'y^f^^. vV^Mf '" %^y^i^ry O ..." ^m k. \ # 'i?^'^ '/#n — gbO A4M4 . ser . 5 MÉMOIRES DE LACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE 5T. PÉTERSBOURG. Tome VI. AVE C a:;:HIST01RE DE l/ACADÉMm FOUR L'ANNEE l8l3 ET S^. i 8 1 4. PETERSBOURG, DE L'IMPRIMERIE DE LACADÉMIE IMPÉRLVLE DES SCIENCES '1 8 1 8. Publié par ordre de l'Académie , et avec l'obligation d'envoyer, où il convient, le nombre d'exemplaires fixé par la loi. N. Fufs Secrétaire perpétuel. Oi ivi-yr TABLE DES MATIÈRES. Histoire de l'Académie Impériale des Sciences. Années i8i3 et i8i4« Page Evénement mémorable I. . . Chaiigemens arrivés dans l'Académie II. 1. Membres décédés 2. Nouvelles réceptions 3 Election d'un . ' faits ,3 • 4- : . . • . . . • .18 ..... avancemens civils \5 . .. . ibid. 16 à l'Académie 1. Pour la bibliothèque 2. Pour le cabinet de curiosités . 3. Pour le cabinet de médailles 4. Pour le cabinet de Minéralogie Pour la bibliothèque de 5. . , 5. Gratifications, décorations et Pré§ens . membre du Comité d'Administration 4. Distinctions littéraires III. . d'instrumens , , . 17 -• . , . 3o .... . . . 3* » ibid. l'OLservatoire et pour sa collection • • . . .33 • • IV. Mémoires et autres ouvrages manuscrits, présentés 1 Académie 33 \ . Observations, expériences et notices intéressantes, faites et communiquées 9 l'Académie . . . . . ... .... 43 VI. Rapports présentés [xir des Académiciens chargés de com5i missions particulières . VII Voyages scientifiques VIII. Ouvrages miciens . . . . . ..... .... publiés par l'Académie et par des (54 Acadé65 . , MEMOIRES DE ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES.. L' Section des sciences mathématiques. i; L. Eideri. Commentatio .... La Grange fractionem continuam , qua lU. in potestates biiiomialcsexprcsstt Pagi 3 Ejiisdem. Analysis facilis aequationem Riccatianam pcr fractionem con• . . . . tinuam resolvendi i9 Ejusdcm.. De intcgralibus quibusdam inventu difficillimis 3o . Ej^iiikm.. • Solutio succincta et elegans problcnatis, quo quTcruntur très summae quam sint iiumeri talcS) ut tain quadrata . . . . . binorum diffcrentiac De radio curvedinis curvarum dùplicis curvatarae N. Fufs. E' Colli>is< N. F/</j. . Duarum curvarum investigatio . sinum et . cit- . •• . Methodus facilior investigandi novas . deque 66 . illas • séries, 86 • • quibus Eidenis cosinum anguli multipli postrcmo exprimere docuit; terminorum Investigatio serici ex datis productis qnotcunqiie 118 terminoruin contiguormn curvarum quarundam , quas describit punctum • • . . curvac Jatae dataque lege niotae E. Colltiis. F. T. Sibubcrt. Eitlrciv. 64 earumque proprietatam transccndcntium . , indagandis osculantis positione facillJme culi Ejiisdcnt. . Investigatio Reflexions sur théorie la du Anomaliae verac per mediam. dctermjnatio . i33 . i53 •• 335 calcul différentiel Observations de la grande Comète de l'année 1811, faites 256 . • Novo -Tcherkask au mois d'Août 1812 p. T.. Schubert. Des Maxima et Minima d'une fonction de plusieurs variables. 267 Winihi-Jiki. h Littro-x. F> !.. Determinatio Sdnibtrt. Calcul l'an Et^uidein. geographicae Observatorii Casancnsis la Comète de i8i5, l'Observatoire de St. Petérsbourg îi EJKsdem.. latitudinis Calcul des observations de de 1816 l' . opposition de Jupiter observée . .. , . . h St. . . . 3i 1 Pétersbourg 3i9 . . Opposition de Jupiter et occultations observées à l'Observatoire ,. de l'Académie. .. . 9fj6 faites . . 3a8 II. Section Jes sciences physiques. De liobeirxein. genitalium monstrosa mciitatio . . Pag* ..... deformitatc et spina bifida coin. 341 Tbuiihng- Coleoptera Capensia, antennis lamellatis, sive clava fissili instructa, TnnhiS. De ptscatu Volgensi Ozerctskoviki. TiUshis. 3F, ..... Plantarum novarum aut minus togiiitarum Pentas piima De nova Medusarum specie Gadolht. ..... , . . . Dcscriptio et analysis. chemica Sti'mbeilitki . . 3g5 4^^ 497 . 55o . 565 composltione salium proportionibus 5g3 696 tetrciv. Extrait des observations météorolugiques faites à St. Pe'tersbourg Anne'e 1806 . . par feu Mr. Inckbodtsoff'. 660 des observations météorologiques faites à St. Pe'tersAnnée 1Ô07 b^ourg pàt B. Petroiv, 671^ Aiundo Ledcbour. 3F. Gadol'in, Ejusdeoi.- IVilbelmiii Discjuisitio de limitatis in Extrait .... . ITT. Section des sciences politiques;. G. T. Hcrrmann. P^ussie- Ejusdem. Résultat» Données statistiques sur statisticjues sur principales foires de les . . . . . de l'étendue- la la 685'^ . surface et sur la population de l'Empire de Russie, depuis i8o3 jusqu'en 1811 inclusivement . . . . . .712' H. Storcb. Des entraves à des marchandises étrangères, l'importation comme moyen d'encourager- la production nationale. Première • •- 74^' Ejusdem. Des entraves h l'importation des marchandises étrangères, comme moyen d'encourager la production nationale. Seconde partie 776 partie C T^.Hcnmann. Tableaux • • . statistiques sur l'Empire de Russie, pendant depu.s 1811 jusqu'en i8i5 les commerce étranger de amices 1802 et 1807 et le . . ^^ooooco^ciooco • ; •• • • 84»' • HISTOIRE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES. Années i8i3 et 1814. 1- EVENEMENT MÉMORABLE. Don patriotique fait pour ravancement 1. de l'Histoire de Russie. le 04 DéceTnbi-eiSiS'S.E. ^W. le Ministre de l'Instruction publique Chancelier dans la fit de savoir a la Conférence que S. E. l'Empire, Histoire, a fournir destiné les Annales Russes Ihrfjuc. Comte iVicoZa^ de Roumdntsoff, vue patriotique de contribuer au perfectionnement de l'Histoiie nationale, doit M^^ te en répandant les sources de cette une somme de 25,000 Roubles, qui fraix de la publication que T Académie possède des meilleures dans sa Biblio- . VMarT'WUÀ'* II. CHANGEMENS ARRIVÉS DANS I/ACADÉMIE. Membres d é c é d é s^ !.. Académiciens ordinaires. a) L'Académie 181 3 une en fit très grande perte par la; mort d'un Académicien aussi estimable par que distingué par caractère , son parmi placer le droiture de la rang où Géomètres de son tems et de les su se a il sa nation. Mr. Sbneon Gourlcff, Académicien ordinaire pour les Physico- Meqibre de Mathématiques, Mathématiques de Professeur l'Académie Pétersbourg et à Impérial* l'Académie à RussCj éclésiastiquc des Ingénieurs des voycs do St. de, Communication, Conseiller d'Etat et Chevivlicr de l'ordre^ de St®. Anne de l8i3, dans çu- la 2 1 Institut décéda classe , 47^ année de son âge. la le 11 Décembre Le Défunt fut rç- Adjoint de l'Académie le 26 Mai 1796 et nommé Acad^- micici} ordinaire, vier 1798. a voit été à la suite d'un ordre Suprême, le 3 Avant son cnlrcc au Ca-pitaine Mathématique et d'Artillerie d'Artillerie service de et Jan- rAcademie Professeur de du Corps des 1 il Physico- Officiers de L\ Flotte à rames. Ayant leçu ses premières leçons de Mathé- matiques au 2'^ corps des Cadets^ dit alors Corps des dv du Génie, où dets (VArtillerie et fut placé 1778, un goût décidé pour det en un il comme Ca- les Mathcinaliques et talent supérieur le portèrent bientôt au -de -là de lin- struclion élémentaire de ses maîtres, et après sa sortie en 1784, fut il nommé maître de navigation et d'Artillerie du Corps des Cadets grecs. sion Suprême, un les ouvrages des lors il brassa a et de Officiers avec permis- et chargé la Flotte à 1798, de don- rames. Dès ouvrages des meilleurs auteurs et em- les successivement parcourue juste fit, hydrauliques; et c'est à son retour en étudia digne il voyage en Angleterre^ pour y examiner leçons aux thématiques rendit 1792 avancé au rang de Capitaine qu'il fut ner En pures et toutes dans avec la tant méthodique, et un thode des Anciens, branches des hautes appliquées , d'entrer depuis les lui firent avec un succès qui le carrière de goût Ma- académique, qu'il distinction. Un esprit dominant pour la mé- embrasser un genre de recher- ches analogue à ce goût. Préférant à la gloire de découdes vérités nouvelles le mérite d'établir sur des bases vrir plus solides les vérités connues et les principes déjà établis, il s'attacha principalement à les démontrer d'une manière plus rigoureuse. ainsi que la Sa Géométrie et son Calcul différentiel, plupart des mémoires qu'il a présentés à l'A- cadémie^ et qui roidcnt sur des sujets analogues, prouvent que ses efforts n'ont ïls pas louables n'ont pas été récompenses. sans eu- succès, comme Des pensions , des des avanceraens civils et des décorations anrt gratifications, en ces occasions, attesté, san^j comme en une infinité d'autres, combien notre Monarque adoré aime à protéger les sciencf»s Ces ceux qui «travaillent à encourager à et que feu Mr. Gourieff a rendus aux sciences services comme perfectionner. les ne Professeur sont guères inférieurs ceux à qu'il comme Académicien. Dans les établissemeos leur a rendus d'enseignement nommés plus haut, ainsi que dans l'Ecole d'Architeclure navale, dans L'Académie de Nevski et dans des l'Institut il a donné Elèves, .de xjui leçons depuis, voyes de communication, ou foimé nombre de bon' a il contribueront à leur tour à répandre en Ri l'A- enseignement. leur des goût des Mathématiques et sie le 'la Ingénieurs Une veuve et la bonne méthode dans sept orphelins pleurent mort d'un époux et d'un père chéri, et dans vra de ses souvenir de ses amis, le disci[)les, dont quelques uns de sa mémoire vi- ses collègues et servent la patrie et leur Souverain dans les places les plus émincntes. Une fit en autre 1814 §n/îg Lniiis fut l'Académie perte non celle de son respectable Doyen, Mr. /Fo//- tirafft. moins sensible que Académicien pour la Physique expéri- mentale. Conseiller d'Etat et Chevalier des ordres de Si*". Anne de la 2*^*^. classe et de St. Vladimir du 4*^ degré, Membre de la d'Agriculture,, de tannique Moscou, de celle 1814 dans la total des de Berlin suite forces, quel après etc., mort le 20 Novembir avoir en d'un épuisement de quelques attaques d'apoplexie. à St. Petersbourg le capitale cette très 25 Août 1743, le- membre ef- fectif de l'Académie Impériale des Sciences, dans sa Mathématique pour remplir Elevé, après de Physique et la , le jeune la à fut rappelle place de Professeur de l'Université de Tubingcn. mort de son père, dans un des Sémin jires du Duché de Wurtemberg, que et destiné à l'état éclésiasti- Kraft s'adonna néanmoins par goût aux sciences qui avoient fait la réputation- de l'auteur de jours et publia déjà en Mathématique sous lo et aequatore. le 1764 titre: Lorsqu'en à Tubingen un^ obtint pour observer le d'ernieT Mr. Krofft une part active a ces expéditions; cadémie lui conféra' celle d'Orenbourg, ou ce- mémoire dfe 1767 l'Académie prépara plu- passage de Venus devant le disque du soleil, et ses De ratione ponderum sub po- sieurs expéditions astronomiques, chercha et bas âge avec son père, été pendant plusieurs années patrie , bri- la Société des Naturalistes de 72°*^ année des son âge, Le Défunt naquit quitta du Bureau Société Impériale libre économique, il' l'A- alla observer phénomène important. Ayant été nommé Adjoint de l'Aca- "==' 8 i"68, demie en et Académicien ordinaire en 177 1^ îiiddj après son retour, feu Nr. culs de Tables de ses r il Léonard Euler dans les cal- lune et dans ceux de sa nou- la velle Théorie de la lune, dont la publication avoit précé- Un grand nombre de mémoires in- dé celle des Tables. Acta de zélé son fut il Novi Commentarii , dans les sérés Acta les et les Nova l'Académie prouvent son activité scientifique et à remplir nommé ses Physique du de Professeur En académiques. devoirs 178c Corps des i"^ Cadets, et quelques années après Professeur de Mécanique et de Physique du Corps Impérial des Mines, places qu'il A remplies avec distinction d'années. suite . En l'Amiranté l'associa ses devoirs fut 1802 à le Département travaux, ses pendant une longue Impérial de en qualité de membre le plus cher de celui de donner des leçons de Mathéma- Mais lionoraire. et succès plus le important et tique et de Piiysiquo à l'HériLier présomtif du Thrône Impé* rial et à son Constantin, Auguste frère. Monseigneur leçons qu'il a continuées dans le Grand -Duc suite la aux pkis jeunes Grands -Ducs, et à Mesdames les Grandes-Duchesses, et qu'il n'a ncr à Tous zèle cessé Nosseigneurs ceux qui infatigable ont que depuis les très peu de tems de don» Grands -Ducs Nicolas connu le et Michel. Défunt savent avec quel et quelle scrupuleuse fidélité il a rempli 9 lès attachés a ses places, et que ce n'est qtie sa devoirs dernicie maladie qui en a interrompu exercice de près d'un demi-siècle, Vladimir en 1793, 1799, après un décoration de St. L-a Anne en 1801, celie Ste Conseiller de Collèges en cours, le rang de le de Conseiller d'E- celui tat en 1804, des gratifications nombreuses et des pensions ont été carrière II. et une longue et , presqu' exempte de ma- été celle d'une vie active, sobre, calme et régulière. a ladie, récompenses de ses services les constamment heureuse a laissé l'union la une veuve, avec laquelle plus douce, et un qui fils il a vécu 87 ans dans depuis nombre sert d'années avec distinction dans la carrière diplomatique. Académicien extraordinaire. b) Une troisième perte sensible que l'Académie a faite dans le cours des deux années, dont nous traçons l'iiistoire de celle est Mr. Auguste Chrétien Lehrherg, Académicien extraordinaire pour l'Histoire , d'une hydropisie de poitrine 43^ 7 année de maternelle. donné !/• - • ~ il a du Après la âge. La mort 1770. Aoiit naissance, eût son sa que première Conseiller le de 2 3 Juillet mort i8i3, dans Le Défunt naquit lui Cour , Dorpat à la le ayant ravi son père avant sa première éducation à l'école publique instruction il se tendresse là de Dorpat rendit à Jena G lui et y fréquenta, pendant quatre ans, les leçons des Profes'eurs de cette Université avec tant de succès qu'un Gcnlilhom- me Livonien , Mr. de Bock Mr. avec Lchrherg qui avoit , éloges , le entendu parler de achever fit à Gôttingue et voya_^ci à son retour d'Angleterre , Gouverneur de ses ans dans ce poste et au 17 devenue la sienne. nore Ehlerti, à Dorpat, qui lui a survécu. lui le études nomma fils. Il vécut d'une famille qui étoit il épousa M"*^ Anne EîeO' En 1798 membre du Magistrat donna cinq enfans, dont une seule En 1804 il à* , sein d'un Négociant et fille et fraix , ses ses se rendit à St. fille Péteisbourg avec la famille Bock, et y ayant fait la connoissance de quelAcadémiciens qui eurent occasion de reconnoître ses ques profondes connoisances dans l'histoire ancienne, et surtout >dans à la géographie ancienne de Russie, l'Académie un mémoire Russischeii Geschichte y démie eut lieu le fit présenter Beitrdge zur qui obtint l'appiobation de l'Aca- et lui valut la réception laquelle Février : il Geographischc 1 1 au nombre de ses Adjoints, Mars 1807 et fut suivie le 7 1810 de sa nomination au rang d'Académicien ex- traordinaire. Quoiqu'atteinti. presque dès son. entrée dans l'Académie, de la paralysie au point de se voir privé to- talement de ne l'usage de ses jambes, connût point de bornes. Il son activité litéraire a fait présenter siiccessi- =^ li vement à l'Académie dix mémoires, dont chacun un point important de Krug, et c'est d'après ces peut apprécier la et qui Ont été ami et Collègue, Mr. l'Académiciert jour par son au mis ancienne l'histoire ëclaircit perte mémoires que monde savant le que l'Académie a par faite la mort de ce Savant estimable et regretté. c) Membres honoraires de E. Mr. André de Narioff S. , l' Intérieur. CoTiseilIer privé a^ctuel. Président de l'Académie Impériale Russe et de la Société économique, jChevalier de l'Ordre de libre 1*^^ St^ Anne de la Commandeur de l'ordre de Danebrog^ Membre classe. honoraire de l'Académie mourût 2 le Avril depuis 181 3 dans la i5 Décembre le 1796, 77® année de son âge. Mr. Thomas Tichorsky, Docteur en Médecine, Membre du Conseil médicinal et de l'Académie Médecine et de Chirurgie, Conseiller d'Etat, Ordres de St^ Anne de la 2^^ classe et de 4^ degré, mort à la 81'^*^ année IMPÉRIALE de Chevalier des St. Vladimir du Pétersbourg le 2 Février 1814, dans St. de son âge. Le Défunt a voit été reçu membre de l'Académie le i5 Octobre 1798. Mr. d) Membres honoraires externes le Comte Louis La Grange , Conservateur et de Arts, Officier de la l' : Membre du Sénat Institut national des Sciences et des Légion d'honneur et grand 2 croix de 12 de l'oiclic 1er à rAcddcmie de Berlin, et après Géomètre de son tems, le premier i8l3> âgé de 78 Avril Mr. un leLmion, aiUrefois successeur de. Léonard Fal- la I.i décéda à Paris le lo ans. Membre de T Institut national et Cliarles Bossut, Géomètres de France , des premiers mort de celui - ci mois de Janvier 1814» d'ins un âge mort à Paris au très -avancé. Le Dé- funt a voit été reçu au nombre des membres honoraires de l'Académie le i3 Octobre 17.7^e) Correspondant externe: Maurice Mr. Prasse , de ques à r Université de Leipsic. le 19 1796 Sept. 1814^ âgé de 4^ et moumt Professeur des M'athémati^ Le Défunt à Leipsic a voit le été reçu 2 1 Jianvier «^ns.. Nouvelles réceptions, IL a) j4u nombre des Adjoints.. Mr. Edouard CoUlnSy Elève de l'Académie dé classe , le la i"* élu unanimement Adjoint pour les Mathématiques,, 26 Janvier 1814. b) yJu nombre des Membres honoraires de l' S. E. Inté rieur. Mr. le P'ince Pierre f^oîhonskl, Lieutenant -Gé»-- aérai, Aide-dc-Camp Général de SA M/\JESTÉ IMPtiRIALE: et Chef de l'Etat-Major de Ses armées, Chevalier de pluordres; reçu le 27 Janvier sieurs 181 3^ E. Mr, Paid Tchitschagoff, Amiral et Chevalier des S. Ordres de St. Alexandre Ncvsky, classe et de St. vrier 1814. S. George du 4^ de St^ Anne de la degré; i"^^ reçu le 16 Fé- Mr Gidilawne de Richtcr, Docteur en Médecine, E- Conseiller d'Etat actuel. Président de la Société physico- médicale de la S. ffctuel. 2^^^ E. il Moscou et Chevalier de classe; reçu le 'Mï. le l'ordre de St^ Anne 16 Féviier 1814. Baronet Jacques PVylîé, Conseiller d'Etat Médecin du Corps de SA MAJESTÉ IIMPÉRIALE et Président de l'Académie IMPÉRIALE de Médecine et de Cliirnrgie, Chevalier de l'Ordre de St^ Anne delà i"^^classe^ et de S. tuel , St. E. Vladimir du 2^ degré. Reçu le 25 Mai 1814. Mr, Alexandre Crichton, Médecin du Corps de Conseiller SA MAJESTÉ LMPÉRIALE,. Chevalier de l'Ordre de St^ Vladimir du. 2 le d'Etat ac- degré ^ reçu 25 Mai 1814. Soa Eroinence MS*". Stanislas Sistrencemcz de BoJiust;^ Archevêque Métropoli4:aia de Mohilef sur le Borysthène^ Président du Collège catholique Romain., Chevalier des 14 Ordres de St. André, de St. Alexandre Nevski, dimir du i' degré et de St^ Anne; reçu le de St. Vla- 17 Août 1814. Au nombre des Membres honoraires externes. c) Mr. Frédéric Guillaume Bessel, Piofcseur d'Astronomie et de Directeur l' Observatoire Royal à Kônigsberg en Prusse; reçu le 2 5 Mai 1814. d) Au nombre des Correspondans de l'Intérieur. Mr. Joseph Hamel, Docteur en Médecine; reçu Juin 23 i8i3. Mr. Joseph Samuel Littrow, l'Université bre le IMPÉRIALE ProfcsseT.ir de Kazan ; d'Astronomie à reçu le 23 Décem- i8i3. Mr. Alexandre Wilbrecht, Capitaine en Chef des Mi- nes de la 5® classe. Professeur de Mathématique au Corps IMPÉRL^L des Cadets des Mines, premier Géographe du Dépôt IMPÉRIAL des cartes et du Directoire général des Ecoles de l'Empire, Chevalier des Ordres de St* Anne de la 2^^ classe 16 Février Mr. Professeur versité et de St. Vladimir du 4*^ degré ; reçu le 1814. Charles Frédéric d'Histoire Lcdebour , naturelle et de Conseiller de Cour, Botanique à l'Uni- IMPÉRIALE de Dorpat; reçu le 25 Mai 1814. Mr, Jean Doyen de André Lohenwciii faculté de la térinaire Conseiller de Collège, Médecine de l'Université IMPÉ- RIALE de Vilna ; reçu le Mr. , 17 Août 1814. Louis Henri Bojanus, Professeur de Médecine véà l'Université de rOrdie de St. IMPÉRIALE de Vilna, Chevalier Vladimir du 4^ degré; reçu le 1 7 Août 1814. Mr. Cornélius Auguste Reissig» Conseiller de Chevalier de l'Ordre de S" Anne Cour et de la 2^^ classe et de Vladimir du 4^ degré; reçu le 17 Août 1814. .St. III. Election d'un membre du Comité d' Administration. 181 3. élu Le II Août Mr. T Académicien Schubert fut membre du Comité pour deux ans, à la place de Mr. TAcademicien Sevastlanoff', 1814 Le 17 Août. S. E. Mr. l'Académicien Fufs, pour deux ans,, à la place de rV. Mr.. rAcadémicien Severguine. Distinctions I i t é r a i r e s. Mr. r Académicieni extraordinaire Ulésius fut reçu an nombre des Membres honoraires externes de l' A'cadémie Royale des. Sciences- et Belles - Lettres de Berlin^ = i6 Mr. FAcademicien Ozcretskovskyj Fut reçu le l ^ E. S. nombre des Novembre 18 13 l'Académie IMPÉRIALE de Médecine et de Chirurgie. r Académicien Mr, reçu r Académicien de Correspondant extraordinaire caJLe Moscou. fut Nasse fut reçu éconr- libre Société physico-médi- Gratifications, Décorations et Avan- cemens M8^ S. E. tration de le payej l'Académicien civils. Ministre ordonna au Ccmité d'Adminisà la veuve ^t aux enfans de feu Mr. Gouricjf une gratification de que SA MAJESTÉ L'EMPEREUR au Académicien , dit travaux pour particuliers dont il Mr. de Schkgclmilch IMPÉRIALE Société la membre honoraire de la mique, et V. extraordinaire honoraires de IMPÉRIALE des Naturalistes de Moscou. la Société Mr. Associes nombre des membres honoraires non-résidans de au il au l'ordre l'Académicien de St. le 2000 Roubla«î, avoit. daigné assigner récompenser de quelques avoit été chargé. extraordinaire Vladimir du 4*^ Tilêsius fut décoré degré, le ci Sept. 1814. III. PRÉSENS 'faits a L'ACADÉMIE. Pour la Bibliothèque: 1. De la part de rAcadcmie Royale des Sciences - I de Stockholm: — Kongl. Vetenskaps Akademifns Nya Handlingar. Julius December 1811, Januar — Deceniber 1812. 8". Akademiens Handlingar af Ar i8i3, 2»; Kongl. Vt'tenskaps i"") Stockholm 181 3. 8". De la part de l'Académie IMPÉRIALE Russe: i«) CoMunCHia h nP[)eBOAbi ïia^aBacMbie IlMnepamopcKOK) Poc- 4acmb VI. C. II. Gypri, 181 3. 8". o coMiiHeuin GxoAcmBO Me;KAy Cauc^KpHm- cificKOK) AiiBACMicK). 2*) Paacy.-KAenie : CKHMi H PocciiicKHMi flibiiiaMH, H O npotnxo;i:AeHiiJ Cia^auCKiiro HapOAa. comhh. Iîb, .^leBaHAu. C. 3°) vIiiReu, ii.in II. Gj'pri 1812 Kpyri c.iOBecHOCiini Apeaneil h HOBOii ; 8°. Cc^. C. II. Aarapna; nepes. /\m. Coro.tobwmi.. Hacmb 5a. 6vpri 1812 b^ CmuxornBopeuie Khh3jî Gepriiï 4°) Hoib Ha paaMwmjienia. n. <\>. lUiixMamoBa. C. II. 6ypi-b \%i^. 8**. H cnDaBeA-niBafl nontcmb o naryGubixb Hano.ieoHï BoHanapiTiC jioMwc.iaxi n n[)OM nepeacn» ci» HfeMei^iaro ^3biEa AieKcaHapT» LUnuiROB^. C. fl. Gyprt )8i4' 8°. **) KpaniKa/i : De la part de la Société Royale des Sciences d'Ed nboiirg: i Transactions of the Royal Socifity of Edinburgh. Vol. VL Edinburgli 1,8 ta. 4". a") Transactions of the Royal Society of Edinburgh. Vol. VIL i') Part Histoire, 1. Edinburgh 1814 4^ ^ ^ i8 De part la de la Société Royale des Sciences de Londres: rhilosophical Transactions oF the Royal Society ofLondcni, 1809 Part a; 1810 Part 1 and 2; 1811 Part i 181a. 4°. and 2; 1812. Part 1. London 1809 1*) for the years — 2*) Philosophical Transactions of tlie Royal Society of London for the year 1812. Part 2; for the year 181 3 Part i and 2. London 1812 and i8i3. Trois Vol. in 4". De la part de la Société des Amis Scrutateurs de la nature à Berlin: Der Gesellschaft naturforschender Freunde zu Berlin Magazin fur die neuesten Entdeckungen in der gesammten Natiirkunde. V"'- Jahrgangs 2' Quartal. Berlin 1811. 4°. i") Der Gesellschaft naturforschender Freunde zu Berlin Magazin fur die neuesten Entdeckungen in der gesammten Naturkunde; VI"". Bandes 1', 2', und 3' Quartal. Berlin 1812.4". q") De la part de la Société biblique à Londres: The ninth report of the British and foreign Bible Society. MDCCCIII, vvith an appendix and a list of subscribers and i") benefactors. London 181 3. 8". XçiGTOv èîyAwTToç. 'Ev Aovêii'Cf- 1810. 8*. De la part du Comité de Censure de l'Université i") 61 2 ) 3') IMPÉRIALE de Dorpat: diverses brochures imprimées. Trente trois ouvrages imprimés depuis le i5 Octobre i8i3' Trente et un ouvrages imprimés depuis le 8 Mai 1814. 19 part de la Société IMPÉRIALE des Natura- De la listes de Moscou: Mémoires de la Société IMPKRIALE des Naturalistes de Moscou. Tome IV. Moscou 181 3. 4°. De la part du Bureau des Longitudes: Observed Transits of the fixed Stars and Planets over the Meridian, in the years 1799, 1806, 1807, 1808 and 1810. De la part de l'Université IMPÉRIALE deDorpat: Semestres in Universitate litterarum Caesarea, quae Dorpati constituta est; a Calendis Febr. i8i4habendae. l'raelectiones De la part delaSociété des Sciences de Kharkoff; YcmaBi XapROBCKaro o6iu,ecmBa Hayni. De la part de l'Académie Royale de Berlin: Abhandlungen der Historisch - philologischen Klasse der KÔnigl. Preuss. Akademie der Wissenschaften, aus den Jahren 1804 — Berlin 1814. 4°. i8ii. De la part du Département de la Marine: MopcKoii Mtrfli^oc.ioBT> na Jifemo i8i5. C. H. 6ypn> 18 14. De de l'Académie de Médecine Chirurgie résidante à Moscou: part la et 8*. de Ji,[dineiniiEa hjih iiayKa o coxpaneHiM SAOpoBbs .TouiaH34aHHaii ripc^eccopcMi npw Bep.\HH':KOMTi semepHAtH HapHOMTi yMH.iiimt HayMaHOMT. nepeeo^b ci. HbMCi^Raro. 1") , . ; MocRBa i8j4- ô". OnHcanie n .ttienie o6bIKHOBennbJx^ AtmcnHXT. 6o.\b3ueH. Co-miieiiie f^cKI^opa il Ulepepa, nepeEe^etio ci> HbMeLjiiaro C, ^leBHi^RHM^. MocHBa 1814. 8°. a'') 3* 20 part de la Société Royale de Gottingue: De là Conirnentationcs Societatis Regiae Scientiarum Gôttingensis rei8i3. Gôttmgae 18 3. 4". centiores. ^ cl. Il ad annos iQii — De part de l'Académie Royale des Sciences la de Munie: der Kônig]. Denkschriften Mûnchen, fur das Jahr t)e la Altademie der Wissenschaften zu )8i2. Mûuchen 1814. 4"^. partde Vlr. Fater, Professeur àKônigsberg: Kônigéberger Archiv fiir Philosophie, Théologie, Sprachkunde und Geschichte; Jahrgang 1812. 4 tes Stûck. Konigs- i") bfrg 181s 8°. Kônigsbf rger Archiv fur Naturwissenschaften und Mathematik. 4 tes Stùck. Kônigsberg 1812. 8°. a") De la part du Capitaine de la Flotte du M r. de K u en s r s te r n rang i"". : ooRpvrb cBfema bi> i8o3, 4, 5 h i8o6 rovo noBCAfeniK) Ero Hviit^peinopcKaio He.iim^cxiiB.i, ira »") Tl) memecrnuie fi.iX'b, K.'paô.iflxb HaAea;/^fe h Heufc h npoM. Hacmb III. C. U. Gypri. ï8i2. 4°. 2" I Mémoire sut une carte du détroit de la Sonde et de la par le Capitaine de Krusenstern etc. St. rade de Batavia Pétcrsbourg i8j3. ; 4"- "Wcirter-Sammlungen aus den Sprachen einiger Vôlker des beôstlichen Asiens und der Nordwestkiiste von Amerika kannt gtniacht von A. J. von Krusenstern etc. St. Petersburg 1810. 4". 3°) ; 4'*)'A^JArtC^ Kl. nymeuierniBijo BORpvn. cnlirna Kaniimana Kpy3ei-rin>»pna. 'C. II. 6} pri ifiidJ Deux Volum. fol. grand Impérial. ' 21 De la part de Mr. Fwc/icr, Directeur de la Société d e s N a t lu y 1 s t e s à Moscou: i H3c.tfcAOBanie o6t> HCKonaewhixT. Hnxo '.flimixcia. MoCKBa 1812. 8". 1°) bt. Mockobckou ryGepiiia Zoognosia, tabùlis synopticis illustrata , in usura praelectio- Q*^; num Acaderaiae Irnp. medico-chirurgicae Mosquensis. Auctore G. Fischer. De la Tom 1 part de Son et 2. Mosquae 181 3. Eminence Mgr. le Métropoli- tain StanislaveSiestrencewicz de Bohusz: Recherches sur l'origine des Sarmates , des Slaves. St. Pétersbourg 1812. 8^ 1") des Esclavons et Table des noms propres qui indiquent les matières contenues dans les recherches historiques sur l'origine des Sarma- 2"^) tes, des Esclavons et des Slaves. St. Pétersbourg 181 3. 8". De la part de AI 1°) Tl r. Etter rfgno degli Slavi, : hoggi corrottamente detti Shiavoni, Don Mauro Orbini. In Sesaro 160 fol. min. 2°) A compamou of the London Muséum and Panthéon; by Historié di 1. W. Bullok London i8i3. 8". De la part de Mr. le Professeur et Chevalier Thunberg à Upsala: observations and conjectures relative to the généraIn a letter froin of the 0| ossum of Novth - America. Prof. Bart.m to Mr. Roume of Pans. Philadelphia iSoti. 8% 1") Facts, tion A discourse on some of the principal desiderata in Natu- a) ral historv , of this and on the best menis of scient e in the united States ; pron'ot.iig ttie tudy by Benjamin Barton. Philadelphia 1807. 8". \nn.iles Botanici , redacti cura Dominici Viviani. Vol. ^•) pus a. Genuae 1804. 8". 1. ^= 20 programmes de l'Uni versitd d'Up- 4°) Plusieurs dissertations et au nombre de dix. sala, 5") Caroli muni. Thunberg Pétri Upsaliae i8i3. etc. Flora Capensis. Voluraen pri- 8". De la part de Mr. Pat ter son, Membre et Agent de la Société biblique à Londres: Eight reports of the i") for the years i8o5 Britisch and foreign Bible Society, — 1812. 4 Volumes. London iôo5. 8% The tenth report of the British and foreign Bible-Society. 2°) London 8°. De la part Mr. le Conseiller d'Etat actuel et Chev. Dshounkovski: KpaniKoe OniicaHie De la part de Dorpat Kpacii.ibHux'b pacminitt C. fl. ôyjiri 1812. 8*. h Professeur Morgenstern à BnacHtHuiifxi. cnoco6i. paase^eida hxt. Mr. bi> le Pocciii. : Auszûge aus den Tagebûchern und Papiercn eines Reisenden. Italien. 1 sten Bandes 3 tes Heft. Dorpat 181 3. 8°. 1°) Praelectiones Semestres in Universitate litterarum Caesareà. quae Dorpati constituta est, habendae etc. ".") m Zwei Reden a Sarge Sr. Dnrchlaucht des Russisch-Kaisfrlichen General Fcld MarchaH's Fiirsten Golenischtsch<fKutusoff - Smolenskoi, am \* Mai 18 13 zu Dorpat gehaken '*') - - von D. Karl Morgenstern. Dorpat 181 3. Dorptisthe Bcytrage fiir Freunde der Philosophie, Litieratur und Kunst. Herausgogeben von Karl Morgenstern j8i3. 1 ste Halfte. Dorpat 181 3. 8*. 4'j 5") Klopstock" als vaterlandischer Dichter. halten von Eine Vorlesung ge- C Morgenstern. Dorpat 1814. 4"- i •=™' 23 De la part <îc Mr. William Maltby à Londres: Catalogue of thc Libra-ry of the London Institution. London i8i3. 8". De la part de Mr. rAcadémicien extraordinaire Langsdorff: Some account of the Herbarium of Professer Pallas; by Aylmer Bourke Lambert Esq. from the Transactions of the Lin- i") nean Society. Vol. X. Discurso sobre a utilidade de Instituçao de Jardins nas provincias de Br.'zil; por Man. Arruda da Camara etc. Rio de Janeiro i8io. 8°. 2°) 3° Dissertacào sobre as plantas de Brazil por Manoël Arruda da Camara etc. Rio de Janeiro i8io. 8°. ; ; De la part de Mr. le Colonnel des Ingénieurs de Waxell: Brookshaw's Pomona Britannica, or the Nobleman and Gentleman's Fruit-Repository Nr. XX, XXIII, XXIV, XXV, XX M, XXVJI, XXVIII, XXIX, XXX, (avec un cahier supplémentaire et le texte de l'ouvrage) gr. Roy. fol. ; De la part de Mr. l'Académicien extraordinaire Tilésius: Naturhistorische Friichte der ersten Kaiserlich-Russischen unter dem Kommando des Herrn v. Krusenstern glùcklich vollbrachten Erdumseglung, gesammelt von Dr. Tilésius. Erstes Heft, St. Petersburg i8i3. 4°. De la part de Mr. le Professeur Struve à Dorpat: De geographica positione Speculae astronomicae Dorpatensis; Auctore H. F. W. Struve. Mitaviae i8i3. 4^ De la part de Mr. le Chevalier de la Coudraye:<''' r TpopemH'if^CRÏc h npaKmjriecKie ypORn 4.1H «sfiAtOACiiifl ao.irornw fia Mopts. nocpcAcmBOMi p^acmofluia .tynbi om^ co.uma i") HAH omb 3nb3A''; GoiuHCUHbie F. JLLl&Bajibe ^e.ia Ky/\pe. G. n. 6ypn. 161 3. 8°. Ré[>onse aux réflexions de Mr. le Baron d'Eggers sur la nouvelle noblesse héréditaire en France. St. Pétersbourg 2"; i8i3. 8^ , De la part de Mr. le Conseiller d'Etat . actuel et Chev. Richter: Commentationes Societatis pliysico- medicae, apad Univerlitterarum Caesaream MosqueHsem institutae. Vol. 1811. 4"' et 2. Mosquae 1808 I. pars i") sitatem — 1 entworFen von Dr. Geschichte der Medizin in Russland Wilhelin Mich. Richter. i ter Theil. Moskwa 18 13. 8". 2") 3") , Mf'Awo <î>H3HieCRiH »ypHa.it, hah TpyAbi Of iu,e cm n a co- peBHOBaHiH MocKBa 4*j Bp n ôabixi a 4)H3HiecKHXi HayK.b. Hacrnb i. J.808. 8". HcmopiH MeAm^MHM bti PocciS. "^acrab i. Mocitsa 1814. 8*. De la part de Mr. le Conseiller privé Hermbsfàdt: Cheraische Grundsâtze der Kunst Bier zu brauen, von S. F. Herrabstàdt. Berlin 1814. 8". De la part de Mr. le Prof. Lieban k Mitau: Ueber die Hauptbegebenhfk in der Hekab'^ des Euripides. 4". Ein Versuch von Dr. H. C. Lieban. Mitau 1811. des Sophoclts, iibérsetat 2»; Einige Szenen ans dem rhiloctetes von Dr. H. C. Licbau. Mitau 18 13. 4". H» = De part la de S. E. 25 Mr. Conseiller d'État actuel Korniloff: i") CnrnaAM, nocpe^crnsoMt koiixt. npon3r>o,i3mcfl maKmHMec- AfeiicinBiH ipsGHiiro v[>Aoni.i. Cûmiiiikiim KiinHinauoMi iro paiira KopuH.iOBUMb. C. H. 6yprb 1800. deux Vol. in folio. jiifl KpamKoe CHrHa.ioiipomBOAcrnBO rpeGnaro (I).iOrna, BuôpaaHoe im> CHrua.ibiioii Kuiira 11 npcj. i&oi. 8'. g") De la part de Mr. Buldakoff, Directeur de la Compagnie Russe Américaine: )") Sept livres sur divers sujets, en langue Japonaise. 2°j Deux livres de Comptoir, en Japonais. De la part de Mr. le Grand-Baillif Schrôter: Beobachtungen des grofsen Cometen von 18.07, samt einem Nachtrage zu den apliroditographisclien Fragmenten. Gôttingen 1811. 8-. De la part de S. E. Mv. le Conseiller privé et Sénateur Golénichtcheff-K outousoff; Oja un ncmpeG.ieHÏe eparoB^ h inrHanie 1°) .iio6e3Haio MocKBH i8i3. 4°' .^OBi. onieietmBa; cov. hxt. IlaBJia F. H3i npe^'fe- Kyinj-aoaa. P.^AOCinnnii nfecni, bo c lany GeacMcpmHuxi nOABiirOBi dciitRaro rocy4apfl A.ieKcan^pa I. Cow. n. Foji. KymysoBa. IMocRBa i8i4' 4"' 2") 3°j 04a ua ncKopeaie Cinn.iHqbi (J)paHi^*iH. coq. II. Tqa. KyrnyMoCKBa 1814. 30BblM1>. /[•". De la part de Mr. Sage: i") Institutions de Physique; par B. Paris i8n. 8". G. Sage. Tome I. II. Ill et Suppléaient. Histoire. 4. 26 Opuscules de Physique; par B. G. Snge. Paris i8i3. 8-. 3", Tableau comparé de la conduite, qu'ont tenue envers moi des Ministres les Ministres de l'ancien Rei^inie, avec celle 8". du nouveau Régime; par B. G. Sage. Paris iQM2-) De la part de Mr. le Comte de Rumford: Recherches sur le bois Rumford. Paris i8i3. 8°. 1°) et le charbon ; par le Comte de Recherches sur la chaleur développée dans la combustion et dans la condensation des vapeurs ; par le Comte de Rumford. Paris i8i3. 8°. a") De la part de Mr. le Conseiller lier privé et Cheva- Léonhard à Ilanau: Taschenbuch fur die gcsammte Minéralogie. VII ten Jahrg. 8°. te und 2 te Abtheilung. Frankf. a. M. iai3. 1 De la part de Mr.- le Prof. Giese à Kharkoff: <J)n Tu 3e BceoGmajï Xiimï/ï rObTj i8i4« fl,.\H yiatmixca. Hiicinb III. XapB- 8'. De la part de Mr. le Prof. Neumann: j") Prinzipien der Politik. Ein Fragment von Prof. Joli. Neu- mann. Dorpat 1814. 2°) Haïa-ibjibiH 8". yro.iOBHaro npasa ; Gypri. 1814. 8. ocHonaHi» Meaiia HeiiMana. C. II. coi. npo4>' Delà part de Mr. leConseiller d'Etat deZimmermann: Australien, in Ilinsicht der Erd-Menschen- und Producten-kunde, nebst eincr allgemeintîm Darstellung des grossen Océans, gewohnlith das 5ùdmcer genannt. iten fîandcs ite und r>,te Abtheihmg von E. W. A. von Zininjermann. Hamburg . 1810. 8". De la part de Mr. le Comte Sicrakovsky, Recteur de l'Universilc de Cracovie: Architektura obeymiiiaca wszelki Gatunek murowania i budo- wHiia Toni i tt 2. De là part de Mr. J. w Krakowie 181a. fol. l' Académicien Bode: E. Bode's Erlauterungen ùber die Einriclitung und den GebraiK h seiner Astronomischen Jainbiiclier, nebst einem \'ervon 1025 Sternen, nath Pivizzi's Beobaciitungen. Z' ichniss Berlin i8w. 8\ De la part des Auteur s ou Editeurs: De nova explicatione phaenomeni elasticitatis corporum rigidorutn; Auctore G. M. Pauker. Dorpati i8i3. 4°- Ueber den Zvveck und die Organisation der Thier-Arzeney-schulen; von Dr. L. Bojanus. Frankf a. M. i8o5. 8\ Ueber die Ausrottung der Rindviehpest; von L. Bojanus. Riga i8io. 8°. Anleitung zur Kenntniss und Rehandlung der wichtigsten Seuentworfen von chen unter dera Rindvieh und_ den Pferden L. Bojanus. Riga 1810. 8". , Douze dissertations seur a l'Université académiques ; par Mr. Hàlstrôm , Profes- IMPÉiilALE d'Abo. Fragments of the natural history of Pensylvania; by Benjamin Smith-Barton Part 1. PhiLidelphia 1799. fol. Hints on theEtymology of certain english words, and on their afhnity to words in ihe languages of différent European, Asiitik and American nations; in a letter from Dr. Barton to Dr. Thomas Beddoes. A memoir concerning the fascinating faculty, v?hi(h h is been ascribed to the Rattle Snake, and other American Serpents; by Benj. SmithBarton. Philadelphia 1796. 8". 4* Supplément a to which has memoir, concerning tlie fascînating faculty, bt en ascribed to the Rattle Snake and othcr Aiucrican Serpents. In a ktter to Prof Zimmtrmann. Facts observations and conjectures relt^tive to the génération of the Opossum of North - Atiicrica. In a lettcr irom Prof. JBarton to Mr. Houme of Paris. Plulad.. i8o6'. Q: , A discourse on some of the principal desiderata in natutal romotmg the study of f histcry , and on the best nicans by Benj. Smith - Barton. this science in tlie united States Philad. 1807. 8°. i { , przpz M. Samuela Bogomila Linde. Slovnik Jezyka Polskiego T. w Warszawie 1812. 4". Vol. V. K , — De summatione serierum secnndum datam legem differ..ntiatarurîi. Auctore C. H. Kupfer. Mitaviae 181 3. 4". Chemische Untersuchungen, mineralischer, vegetabilischer und animalischer Substanzen. Laboratoriums von I. F. ô te v. ; Fortsetzung des cheniischen etc. Berlin i8»3. 8-. John British Mineralogy or coloured figures to elucidate the Mineralogy of Great - Britain, by James Sov.'erb*. Nr. XXVlll et XXIX. i8o5. , A new elucidation of colours, original, prismalik and material etc. ; by 1. Sowerby. London 180g 4^ Observations on the effects of Magnesia, in prcventing an invvith some remarks on the creased formation of une acid by William Brande. London composition of the urine ; ; 1810. 4°. Additional observations on the effects of Magnesia liam Brande. London 18 3. 4 1 by Wil- ; • Experimcnts to ascertain the state in which spirit exists in fermented liquors by W. Brande. Lundon 1811. 4* ; Chemical Researches on the blod and some other anijnal fluids by William Brande. London 181.3. /[". , Formulae lineavum subtangcntium ac subnoru.alium , tangeiî- 29 tium ac iiormalium, castigatae et (îiligentius, quara Lipsiae 1798. 6''. let, explicatae a Fr. Th. Busse. fieri so- Gang und Grôfse der Weichheit des Wassers, aus den Versu- Zimmermann gef. Igert chcn des Herrn v. Leipzig 180J. 6\ von F. G. Busse. Vcrgleichung zwischeii Carnot's und meiner Ansicht der Alund unstrer beiderbeitigen vorgeschlagenen Abhelgtbra fung ihrer Unhchtgkeit von F. G. Busse. Freyberg 1804. 8". , ; Neue Méthode des Grôfsten und Kleinsten , ncbst Beurtheilung und einiger Verbe&serung des bislit rigen Systems; von F. G. Busse. ^Freyberg 1808. 8". ErstcrUnterricht in der algebraischen Auflosung arithmetischer und geonûtrisrhi r Aufgaben; von F. G. Busse. ErsterTheil. Freyberg 1808. 8'. Etrennes chronomttriques pour Paris 1810. l'an 1811 etc. par A. Janvier. 12""-. Essai sur les horloges i8ii. 8^ publiques etc. ; par A. Janvier. Paris Des révolutions des corps célestes par le Mécanisme des rouages ; par A. Janvier. Paris 1812. 4^. Thoughts on the expediency of disclosing the progresses of manufactures by John Cleniiel. Newcastle upon Tine. ; 1807. d\ The new agricultural and commercial Magazine or gênerai Dispository of arts Manufactures and Commerce by John , , Clennel. Nr. ; 1— i5. London 1811. 1812. 8"^. Grammaire de la langue arabe, vulgaire et littémle ouvrage posthume de Mr. Savary publié par L. Langles. Paris , ; a8i3. 4.°. Notice de quelques ouvrages de Littérature Indienne, publiés en Bengale. Paris 1814. 8". Praktische Grammatik der Russischen Sprache, inTabellcn Und ilegelui von Dr. Joh. Severin Vater. Leipzig 1808. Q". == 30 Ueber G.i?ometrie, ncbst einigen Versuchen ûber die Verschiodbarkeit der Gase. Einc von der philosophisclicn Facilitât zu DorpatgekrôntePreisfchrift, von Fried. Parrot. Dorpat 1814.8', Pour le Cabinet de Curiosités. 2. De la part de Mr. Ogneff, Directeur des Écoles du Gouvernement de Poltava: Une toison d'agneau d'un beau jaune foncé. De la part du Cabinet de SA MAJESTÉ IMPÉRIALE: Un 1") dans crâne de Rhinocéros, du poids de 5o livres, trouvé Kolyvan. le district' de Deux jumeaux en esprit de vin, dont l'un n'a aucun signe apparent de sexe. Q") Envoyé par l'Empailleur Philippoff à Astrachan: Vingt -huit oiseaux empaillés. Huit peaux d'animaux. Une peau de sanglier. Une peau de l'Antilope Saïga. Une peau de Pélican. De la part de Mr. l'Académicien extraordinaire Langsdorff à Rio de Janeiro: des papillons, dont les écailles appliquées sur le papier, selon une méthode nouvelle et particulière au donateur. Trente -six mêmes feuilles représentans sont De la part du marchand Chabounine a Kola: 1») Squalus Canicula. Q») Raja clavata. 3") Spongia Norvegica. De la part de la Régence médicinale du Gouverne m entdeKouisk: Deux Jumeaux mâles joints par les côtés, avec la description. De la part de Mr. Buldakoff, Directeur de la Compagnie-Russe Américaine: Deux petits temples d'idoles, de la baie de Yaniva de l'is- i") le de Saghaline. a") Une caisse vernissée remplie des bougies de cire végétale, 5") Une coquille enchâssée, à l'usage des prêtres arabulans. Un bonnet à l'usage des mêmes. Un trébuchet ou balance. 6°) Un collier de défenses de sanglier, des îles de Mendoza. 4°) 5") ^°) Une mâchoire pacifique. de Dauphin (Delphimus Orca) de la mer Un poisson de bois a deux têtes, tiré d'une baleine prise aux environs de la forteressf de Novo-Archangelsk. 8") Une plante épineuse des îles de Sandwich. 10°) Un javelot à longue manche. g') De la part dti Correspondant, Mr. le Conseiller de Collèges Lokhtine : Une défense et une dent molaire de Mamouth, trouvées dans le cercle de Tchtrnoyar. De la part d e Mr. leChe val ierThunberg à Upsalà: Deux collections de plantes sèches exotiques, contenant des plantes rares du Cap de boiuie Espérance, de ia nouvelle Hollande, de la nouvelle Wales etc. 32 Pour 3. Je Cahinct de Médailles. De la part de S. E. Mv. le Comte d'Armfeld, Chancelier de r U n V e s t c d' A h o i r i : Un exemplaire en argent de la médaille frappée aux fraix de en mémoire des bienfaits que SA MAJESTE l'Université l'EMPÉREUR a daigné lui conférer. , 4. Pour le Cahinct de Minéralogie. De la part de Mr. le Minéralogiste -Etter, Correspondant de r Académie: Un morceau - de Molybdène mêlé avec de la Hornblende et du Feldspatli com{)acte. De la 1") 2^ Une lite, ait de Mr. l'Académicien Zakharoff: pierre d'étain mêlée de talc transparent et de Schôr- pesant 4 livres. Une pierre d'étain compacte 3 livres. a") cristallisée en partie , pesant Ces pièces ont été tirées du district de Nertchinsk de la rive gauche de l'Onon. De la part de Mr. S o ^v e r b y à Londres: Une gravure, représentant en grandeur naturelle trois météorolithes tombés: en Yorkschire le i3 Décembre 1785; h Fosà Tipperary en Irlande du Correspondant, Mr. le Conseil- en Ecosse le 5 Avril 1804 au mois d'Août 1810. sile De la part ; et ler de Collège î.okhtine: Deux morceaux d'argille blanche, parsemés de feuilles de plantes pétrifiées, trouvés aux eaux minérales du Caucase. De la part de Mr. le Conseiller privé et Chevalier Léonhard à Hanau: Deux modèles d'une représentation plastique de la forme externe des montagnes, avec le texte explicatif de ces modèles. 5. Pour la BîbïiotJicquc de l'Observatoire: De la part de Vï.r. le Profes^ear Bessel: Einige Resultate ans Bradley's Beobachtungen gezogen; F. W. Btsseli Koni^sberg iiJi3» De la part de Mr. F Académicien Bode à von Berlin: Astronomiches Jalirbuch fur das Jahr i8i5; herausgegeben von J. E. Bode. Berlin 1812. 8". a») 2') Astronomisches Jahrbucn fiiv das Jahr 18 1 6; herausgegeben von J. E. Bode. Berhn i8x3. 8°. 3") Astronomisches Jahrbuch fur das Jahr 1817. Berlin i8i4-8''. De la part de Mr. le Conseiller dé Cour et Che\alier Reissig: Une machine déclinatoire, de l'invention de ce savant et ha- bile Artiste, supérieurement bien exécutée. IV. MÉMOIRES ET AUTRES OUVRAGES MANUSCRITS, PRÉSENTÉS À L'ACADÉMIE. 1 ISie^e 8 1 3. Analyse des Smolenskischen Meteorsteins; par Mr. Schérer.. Ueber einen liandscbriftlichen Chronographen in der Bibliothek der Ermitage, als eine von den Quellen derNiconischen Chro- ; Histoi.e. -^ "^ 34 nik in der Akademischen Bibliothek. Ein Beitrag znr Kritik der Riissischen Jâhibucher; par Mr. Krug. BbiniicKa M3T. AOHeceiÙH Moiine.u.epcKOMy OHmectTiBy T. cI)iirK)ne 3Hanin h UcKyciuu-h , o cnoc^dfe At>.ian»b ciiponi. 3bi ii.iB nuieHM'iRii ; par Mr. Zagorski. Continuation du Journal des observations astroaomiques Wisnievsky. De Cancris Camtschaticis ; par Mr. Tilcsiu*. de l'Académie par Mr. Fufs. Histoire des Sciences. Impériale KyRypy- ii3i. ; Année par Mr. 1812; Uebersicht der Witterung zu St. Petersburg wàhrend 20 Jahren, von 1792 bis 181 a; pjr Mr. PérrotT. Ueber die anzuwendenden Mittel den Gefahren vorzubeugen, die und iiber durch Anhaufung von Cidavern ntstehen kônnen < , die \erbesserung der Luft bei epidemischen Krankheiten ; par Mr. Nasse. Résultats tirés des tableaux métriques depuis 1796 jusqu'.j 1809» relevés sur ceux qui confessent la religion grëcqne en Russie; par Mr. Herrmann. O npou3xoaîAenin ctiiflx-b h o6pa30BaniB GesoapAOB-b bo BHympeHHOaîHBomHbixx. Co4HHf.nie Bott.e.icua; par Mr. Sévas- tianoff. O cinpoeHÏM p,T4ya:noiî o6o.io^kii MopcKaro nca. fiiry, Aou-mopa. HaGAio^enie F. MeA"qH»w m XiipyprLH bi ^liiBopHfe; par Mr^ Zagorski. 1°) AcmpaxaHCKoS ; 06t. oaepHbixT. coAHx-h h.ui caMOcaARaxx 4°) KpbiiMCKOÎi; 5°) KopHKOa2") ypa.tbCRoii ; 3") MaHi nKon y") TyaaaKy.ibCKOH ; 8*) Bo p3 11 uc ko ii ; CHOÎi ; 6") 36e.irîicKoîi : ; ; par Mr. Ozeretskovski, OnHcauie rop-b oko.io^Tii^aitcs .le:i:al^H^^; par Mr. Schlégelmilch. O BapeHiB KyuiaHbu nocpeAcinBOMV napos-b; par Mr. Z,Hgorskû Einfache und wolfeile Zubereitung des unglasurten irdenen Geschirr's , wodurcb selbige» nicht allein wasserdicht , sonderm = 35 aurh geschickt gernacht wird die verdiinnten Minerai - Sauren })ar Mr. Kirchhof. dariu zu kochen ; Essai sur les ruines de Saratchik; par Mr. Ein neues Fudiometer Hermann à Pskof. oder ein ànsfserst schnell wirkendes eiidiometrisches Mittel. nebst Beinerkungen ùber die Phosphoie=cenz par Mr. le Prof. Grindel a Dorpat. , ; Clavis Botaniccs antiquioris, sive synonyma auctornm Ante-Linneanoruin. nominibus genericis recentiorum accoinodata (Pl:mtae phaenogamicaei; par Mr. le Docteur Trinius. O Me.iia.i.u' noAo6fjbixb infe.iaxT. ii3t> orHenocmoaiifibix^ ii^c.ioieji, CROHCinBaxTj h ijxx cnoco6h rpmonion.ipi^iH ^pyniMT. nit.ta.MX ; par Mr. le Docteur Hamel. , MnHepa.ïoriittecKifl npnMt>yani« o6v cO/^ep)t;aiiiu Rk ocmpoet rom.ianflfe, na BaA- niiiicKOMX Mopt; par Mr. Séverguine. O RKrojHï^iinifM'b A nonïpe6,ieHiH men-ioniBopa npii BiiHOKypeaiH; par Mr. Zakharoff. Ueber die Wol^chen Nestors. Ein Bruchstûck kritischer Vorarbeiten zur Geschichte der Russen, par Mr. Ewers à Dorpat. OciiOBaHifl BcecGmPÎi ncinraHiecKOÛ HcmopiH; parMr. Kaidanoff. Versuche ùber die Erzeugung des sogenannten Kali-Metall's (KaKalihydroidete) aus blofsera Wasser linietalloid par Mr. , ; Grindel à Dorpat. Kp iiiKoe H3.\ojKenie paaAH'iHwxi pcHi^ia.ibiioe HûiHCACHie; par . cnocoSoB-b H3iACHAnib 4H^(f»e- Mr. Gourieff. C^^pHiecKafl TpHronoMenipiH; par le même. Plantarum norfdum cognitarum Decas prima (iconibus illustrata); par Mr. Hermann a Pskof. De foetus canini velaméntis, imprimis de ipsius membrana allantoide. • Prof. Observatio analomica iconibus illustrata Bojanus à Vilna. ; par Mr. le •'^ii3i(;.iorHiecKoe pa3cy:fv'\eHie o npHqwHaxT. po4HMwxi njimeirfc H ap^r»xb nopos.oBTi ycinpoenifl bi «ic.iOBtiecKOMi. aibAh ; -i< par Mr. Zogorski. 5* ==" 36 praelectionibus tyronunt botanicorum acPhilosophia botanica comodata; pir Mr Smélovski. , H n-uo/fulfl Ha^i caàinflimïAuiCH xinBotnubiMi» ; par Mr. Sévas- tianoff. Continuation du Journal d'Observations astronomiques; Wisnievski. De derivatiombus analyticis dissertatio par Mr. par Mr. le Professeur ; Pauker à Mitau. Allgemeine Russische Sterblich^t'ts - Ordnung, von i ten bis 107 ten J^hr; par Mr. MuhJert, Instituteur a Wyborg. BaMfewaniH xo^HiicmBeiiHbiH HCiiHbifl BT. i8ii ro^y BT. w 40 K.iHiviatna oiiifiocHrriidCJi B.^pHfly.ife; , yilT- par Mr. Spaski. Methodus facilior investigandi novas ill s séries, quibus EulerMS fiinum et cosinum anguii multipli postremo exprimere dotuit ; par Mr. Fuss. BbiniicKa y'uincHiiwM'b B^ C. rieinepGvprî^, nj)!! IlMnfpamopcKoS AK^i^eMÏH ILiyRb ^ nafi.iiOAeHiflMb o noioAixb ii «oa.n lu o.ivi, par Mr. l'Elève TarRJ!B.leIliHx^ M nepeMtnaxH. bi 1812 ro4y ; hanoff. Démonstration du théorème de Taylor; par Mr. Schubert. Chemische Analyse des Doroninskischen Aërolithen; par ^^r. Schérer. Investigatio terminorura sériel ex datas productis quoteunque terminorum contiguorum ptir Mr. Fuss, ; Mémoire sur le théorème de Taylor; par Mr. Werkmeistcr, In* stituteur a Moscou. ALbildiing und Beschreibung df r sonderbaren Sudaraerikanischen Handblume (Chelroste.won riatanoiàesBuinholdi) und ihrer innern Structur insbesondere par Mr. T^ilésius. ; Erkiarung aller in den Russist hen Ghroniken vorkommenden Namen von Sonntagen, nach ilin^n benannten Wochen und Heiligfntage, mit genauer Besummung, <ier Zeit in die sic fielen; par Mr. K.rug. Beschreibung eines neuen Alkoholomcters , nebet eintr vx>t stândigen picnometrischen Dorpat. Tafel ; par Mr. le Dr. Lamberti a Lamberti's Telemeter ockr Distanzenraesser. Hohenmessungen Resultnte batometrischer Pansner; Observations Mars, Cerès et Pallas, de in Daurien; par ^îr, faites à l'Observatoire IMPÉRIAL de Vilna en i8i3; p^r Mr. Sniadecki. ÏÏJC.itiAO"«^">e npH^Hiib pajpbiBaui» KaMueu cyxaro ^epena CMO^euHbixTi 8040K), niani. , oini». RJHHbeB^ hsT) *e paapwBaHi» Me- ma.wiiHecKiixTi iiipyGoRh c^ bcaojo omu roj)OxoBi.ixb m 6oho*biXT» 3epeHT> no.iowenHMX'b oii ohkîh h hoitomx KpbnKO aaaepinwxTi, onbiinoBt hb opciinuMi. ; par c». npîicouoK) n.ieHiemi» uoawsk Mr. Pétroff. Continuation dn Journal astronomique Donnt'es statistiques sur la ; par Mr. Wîsnievskî. chasse en Russie; par Mr. Herrmann.. Auszu^ aus dem Kometen - Beobachtungs Journal des aufseror» dentlichen Akademikrrs V. Wisnievsky, enlhaltend die Beoba^btungen d.es erofsen K.ometen vom September 1811, welche în Neu Tscherkask im Jahr i8i2 angestellt worden» - - Ueber die fabKikmàfsige Anwendung der oxydirten Salzsâure, zum Papierbleichen und ùber die Bereitung dieser Sàure im Gros, sen , nebst par Mr. Beschitibung des dazu erforderlichen Apparats;; N ssé. Nahcre Hestimmung einiger Porph.yr- Arten aus dem Caucasus; par Mr Schlégelmilch. Sur la position des plans ; par Mr. le Frof. Littrcw a Kazan^ Mémoire sur la transmuti^tion des matières mucilagineuses eni sucre ^ d'après un procédé .rtificiel, sur ses qualités physicochimiques et sur les différentes époques de fermentation adop»tées à présent par Mr. Nasse. ; Investigûtio, rurvatum quarundam, quas describit punctum curvaeb datae diitaque lege n.otae , par Mr. l'Elève Collins. Dénonstrations arithmétiques; par Mr. Kausler, Sommation de plu&ieur& séries; par Mr. Kausler^ Réflexions ultérieures sur les fractions continues périodiques qui expriment les racines carrées des nombres entiers, et sur par leur usage dans la reclierche des facteurs des nombres JMr. Kausler. ; Continuation du Journal d'observations astronomiques; Wisnievski. par Mr. O xo.iOAHJibHHKaxi M lixT. yMcaptain; par Mr. Zakharoff. Outre cela l'Académie à reçu régulièrement dans la courant de l'année les observations météorologiques, faites à Astrakhan , Nicolayelï et Cathérinbourg. 1814. De la monnaie de cuivre, et particulièrement de celle de Russie. Première Section. De la monnaie de cuivre en général; par Mt. Storcli. Hawajibuwji ocHOBaHifi cpanHnmeABiioii ManGaxa; par Mr. Sévastianoff. AnamoMiH I. <J). B.iio- O HaB.ieKaeMoiM-b new^eccnDh atiiBCmHbixi h np03H6aeMbixi> mfeAx; par Mr. Zagorski. Résumé des affaires scientifiques traitées dans les séances ordinaires de l'Académie IMP: KIALE des Sciences, dans le courant de l'année i8i3; par Mr. Fufs. Décades sex plantarum novarum in Imperio Rossico indigenarum par Mr. Ledebour. ; Recherche d'une ellipse dont les dimensions approchent le plus des déterminations des arcs de méridien faites au Pérou, en France, en Angleterre et en Lapponie par Mr. Wilbrocht. ; KpamKoe MHHcpa.iOBi. iiaii^eiiuhixb Oôep^-BeprijRleiJCiiicpoMi 3ux«^e.ib/\OMT> s-h MoJi^aBiH, BaAâxiu n Becapa6CROH OdwiacniH. H3'4HC.'ienie KpiimH'iecKoe paacMompfcine po^a pm6t. KorihKOMx n.iH ncracoMii uasbiB^euaro (l'egasus Liun.) ; par Mr. Sévastianoff. ' = 39 Essai de déterminer les élémens des planètes ou comètes par les observations gcocentriques par Mr. Littrow. ; KafÎHHenia HMnepamopcKoH AKaA^niÏH H.}K^; par Mr. Séverguine. 06r3|)Knie m:- npp,i.ii.fi,iro O KpacH.ibHwxi> paciritiii^x-b Bi PocciH canioc^uiio pacmymHxi ; par Mr. Smélovski. Ueber die Wichtigkeit der Kenntnifs und Bearbeitung des alten Slavisrhen Keclits fur die Erklarung der àltern Russischen Gescliithte und lùr die Russische und Slavische Geschichte ûberpar JMr. le Prof. Neumann. liaupt ; Beobachtungen iu>er Rereitung des corrosiven salzsauren Wege par ?ir. Nasse. die Quecksilbers aui nassem Chemische Analyse ; Charkovschen Meteorsteins des ; par Mr.. Scliérer» Kants metaphysische Anfangsgriinde der Naturwissenschaft ihren Beweisen widerlegt von F. G. v. Busse. , in mit besonderer Rûcksicht àuf eine Ueber die Pravda Ruskaja der Akademie von Henn Professot Neumann. vorgelegte Abhandlung par Mr. Krug. Gênera et species plantarum Pharnracevtico/ Medico et Oeconomo maxime nctabilium par Mr. le Prof. Jason Pétroff. , : ;, Ueber die Quallen par Mr; Tilésius^ Recherches chimiques sur l'Acide muriatique ordinaire, par rapport à sa réaction sur l'alcohol et sur quelques métaux ; par Mr. Nasse. ; Extrait des observations météorologiques faites à St. Pétersbourg, Année 1807, d'après le vieux stile par Mr. Pétroff., Descriptio botanica; novae speciei Veronicae , Auctore Jasone Pétroff. Bf^schreibufig des Wollastonschen Goniometers ; par Mr.. Etter^ Berechiiung der in den Zeughausern aufgeschichteten Kugeln.. Eiii Beytrag zur Anwendung der Lehre von den arithmetischen Progressiouen uud dei Gleichungea vom. ersten Grade;, pair Mr. Kausler» — 40 Extrait des observations météorologiques faites à Astrakhan, depar Mr. Lokhtine. puis 1804 jusqu'à 1814. -, Données statistiques sur le Commerce de l'Intérieur de la Russie, qui s'est fat par eau en 18 13; par Mr. Herrmann. O BbinapenHhTXT. C01HXT) H Ao^î^'TRaeMbixî» Boa^ymiibiMi» «"pa^HpoBpninMi; par Mr. Oxeretskovski. MiiHepajtorii^iecKoe o6o3phnie cfenep^ROCHOMuoS ^acnm II »M6aK- cRHxi ropi.; par Mr. Schlégelmilch. Continualioii du Journal des observations astronomiques , depuis le 26. Janvier jusqu'au i3. Mars, par Mr. Wisnievski. Tableau général qui indique la part que chaqiie bram he de l'industrie •eau en nationale a eu dans le commerce par Mr. Herrmann. 8 3 1 1 qui s'est fait par ; i Uebcr die Reinigung der inlandischen Cochenille TH^papr;!,, Coc- polonicus) durch Befreyung derselben von einer fetten Subwelchr ihre Anwendung in der Fàrbekunst erschwert; par Mr. Kirchhof. icus stanz . BhMUicKa Y'iHMeiiubiM^ vh AKa^ewin H iVKx C rie nepRjprfe npH Ilxn'priTnopcj^oii Hab.iio^ftHinMT, jeiiiaxT. H nepeMeHaxTj bt. i8i3 r< o 110104 'Xb 11 b aaviH ibix». mbpar Mr. l'Elève Tarkhanoff« ,,i,\ ; ad theoriam epicycloium pertinentes Disquisitiones Lmruw. Von einer merkwiirdigon Verknôch-erung fincr Hernie , ; par Mr. der Brustbeinmuskeln pur Mr. Tilésius. Réflexions sur la théorie du calcul différentiel; par. Mr. Schubert. E«'iiiecmBeuHbiH npauaneAe'iia 11 npHMÏyâ ùii Aocmount^a bcii^h v.-b I^apcmiit lIjKonaesibixx; par Mr. Zinovieff. O pLiG) h.e \e3nHnh nKùMe GtuienHuH «aabiBaeMoii; parM'r. Zinovieff. O6o3] Li.ie Mtic>fiv>B^ IX j/eMhHbi iôif> noroyu.i bi. mcienïM noc.iM''H;tT» roAa; par Mr. Zinovieff a Kazan. meçinH - JlpitMLn ni» o iil.|»ofluinc.ii ^peunocnin >i 6p; aonai-iti paa-THlii\>,\-h xpebn.ouii ropx 'PocciticjvHxt.; par Mr. Sévergiim-e. <* O r.iinoK}])tinibixx hOAn.YKHX'i; par Mr. Zakharoff. 41 De monstrosa genitalium deformitate t.itio , ))ar et spina befida Coininen- Mr. Lobenvvein. De la monnaie de cuivre, et particulièrement de celle de RusSection II. De 1» nionnaie de cuivre russe, dans son rapport avec la monnaie d'argent; par Mr. Storch. sie. Observations astronomiques, faites a l'Observatoire de l'Université IMPÉRIALE de \ ilna, depuis le commencement de l'an 1814 jusqu'au mois de Juillet par Mr. Sniâdecki. ; Coleoptera Capensia, antennis lamellatis, sive clava fissiii instructa; par Mr. l'hunberg. De summatione serierum; par Mr. Littrow. Gedrângter Auszug aus den Mathematischen physisch-mathematischen, physicalischen und astronoinischen /Kbhandlungens der Denkschriften der Kaiserlichfii Akademie der Wissenschaften zu St. l'etersburg, auf Veranstaltung derselben, von einem ihrer Mitglieder verfertigt. II ter. Kand. Geometrische und trigonoPolygonometrie und Anwendung inetrische Wissenschaften der Analysis auf Géométrie und Trigonométrie. Nebst einem Nachtrage zum ten Bande par Mr. Kausler. , , 1 ; Beobachtungen um die Zeit des Sommer - Solstitiums 1814, zur Erfindung der Schiefe der Ekliptik, auf der Kônigl. Sternwarte zu Kônigsberg angestellt von F. W. Bessel. O l^nK.iOH;\ 1X1. ruxT> , 3niinHR.toii4HXTj n no^oônbiMT. o6p,i30Mb rHnomiK.ioH^axi h o 4pyKpiiBuxi MUiiaxit , paaîflaJou^Hxcfl ; par Mr. Fufs. repMinrneTiM pyKOBO^cmBO Ki npaKinHKO - SKCHOMnqecKOMV AOGbJRaniio caxapi h no.usnaio Cbipon.i 1131. CBtKjibi, maKi. «e H Kl. 4;'yr»'Mb pa3HbiMi. ynoinpeÔ.ieuinMT, oiicii par Mr. l'Elève Moukliine. ; Bo3pa:i;f nie nporiiiiBi HOBf.ix'b MufeHiii Fr. no\b3fc ceACBCHKii par Mr. Zagorski. MopecKM h TyMC , o ; CHCineRia nT>ii}i04w Knp.ta .linnieH. Hi.i; par Mr. Sévastianoff. 4aciflb III. C mwnbnll. llmii- Philosophiae botanicae. praelectionibus tyronum botanicorum ac. cominodatae, pars alttra; ])ar Mr. Smélovski. H'iitoire. 6 — 42 O BepmiiHli ptKH RoAra ; par Mr. Ozcretskovski. fjiteS Continuation du Journal des observations astronomiques Mars jusqu'au 19 Juin de l'année 181 3; paf depuis le Mr. Wisnievski. O xiiMMHecKo'vvb nacifeACBaniH oGb!KnoBenHaro nopox^, 11 o cnocoôhxtj c.\yxRifi,\t\h Kl nonpaB.\eniK) Hcucp leinuiro uo[) j.\a par Mr Schérer. , i '. ; • Ueber die Rangordnung im spcitern Griechenland, verglichen mit par Mr» Krug. der im frùhern Rufsland Beobachtungen iiber die Ausdelinung des Wassers durch's Gefric; ren in luftdicht versthlosstnen FÎaschen, bey kùnstlicher uiid natûrlicher Kàlte par Mr. Nasse. . monnaie de cuivre et particulièrement de celle de Russie. Pe Section II i. De la monnaie de cuivre dans son rapport avec la l'assignat; par Mr. Storcli. Betrachtung ûber die successive Hildung der algebraischen Gleichungen und Folgcrungen aus derselben fur die B', stimnmng der Anzahl reeller und imagmàrer Wurzeln, die sich in einer je nachdem gegebenen allgenieinen algebraischen Gleicliung par die Beschaff'enheit der Coetiîcienten ist, beliudcn miissen Mr. le Docteur Kupf r. , , , Données statistiques sur les principales foires en Russie; par Mr. Herrm.inn. Anomaliae verae per mediam deterininatio; par Mr. Littrow. La description et le dessin d'un tigre royal, tué le ly Octobre 18 13 dans le district de Kolyvan par Mr. bj.aski. Réponse la à deux questions proposées à Mr. Spaski de la part de Conférence. Observations météorologiques faites aux mines des Schlangenberg, depuis le mois de Juin 1812 jusqu'au 14 Juillet 1814; par. Mr. Spaski. Ueber Seguin's I edergerbercy Méthode par Mr. Nasse. Continuation du Journal des observations astronomiques; par Mr. - Wisnievski. ; « 43 Ueber die Basaltformation im Hochgebirge des Kaukasus; par Mr. Schlégtlmilch. Ueber die Zuckerbildung beym Malzen des Getreides und beim Bebrûhen des Mehls mit kochendem Wasser par Mr. Kirch; hof. Sur le mouvement des corps qui s'attirent en raison directe de Mr. le Prof. Littrow. leurs distances; par HoBaH xHMHHeCKaH HOMeuK.iamypa, O.taHACROÎi BoeiiHOÎi rcuinumajiH , coquHeHHafl npOBH3opoMi KoH^pamoMi, I^iiceBCKHMi. du calcul différentiel. Second mémoire; "Réflexions sur la théorie par Mr. Schubert. V. OBSERVATIONS, EXPÉRIENCES ET NOTICES INTÉRESSANTES, FAITES ET COMMUNIaUEÉS À L'ACADÉMIE. 1. Le un rapport de Mr. l'Académicien Secrétaire lut extraordinaire Wisnievski, daté de Stavropol 1812. tite Il mande Comète dans d'avoir découvert le la constellation observée jusqu'au 17 Septembre. Bouvard a découverte le 2. donne de lilr. connaître Août à la et de l'avoir même que Mr. Paris. Professeur d'Astronomie à Kônigsberg, un apperçu de mieux grand Bcsscl, 1 19 Juillet une pe- du Lynx, C'est du il Décbr. ses la travaux entrepris dans la vue nature des étoiles doubles. nombre d'observations exactes a mis Mr. 6* L^n Besscl en "=" 44 de état déterminer le monverucnt annuel en propre de ces semblent venir à étoiles, et les résultats qu'il pui de l'assertion d'étoiles sont autant de systèmes de corps , que tire étoiles les doubles et un mouvement commun autour d'un corps 3. ses "Mr. le sur calculs l'ap- grotipes les ayant chacun central. Docteur Pansner communique le résultat de la d'un hauteur du Kamt- des volcans chatka, savoir de celui qui est situé à i5 ou 20 verstes du Port de hautecn- à Pierre St. 8278 et St. Paul , dont évalue il la pieds de France, d'après les observations 'barométriques et thermomctriques des Physiciens qui avbiertt accompagné La Pérouse. 4. .•suite Mr. Struve, Astronome à Dorpat, communique une d'occultations d'étoiles fixes et d'immersions et émer- sions des satellites de Jupiter qu'il a observées. . Le prix •de ces observations est rehaussé par la détermination plus exacte de l'Observatoire de Dorpat , dont la longitude à l^ S^y^ 38^'' à l'Est IMr. de Paris Struve fixe et la latitude à 58'. 22''. 41^5. 5. Mr. l'Académicien «ime notice ayant pour titre : extraordinaire Tilèsius présente Ein cJiirurgisches Mcisterstùck der JVatur, contenant la description d'une ossification totale des inusclcs pcctorau.x d'une poule, ossification par laquelle la = nature de guéri la fracture a de cet animal, poitrine la mcme que la fracture d'un de 45 os de l'aile, enveloppé en- tièrement d'une croûte calleuse. Mr. 6. une l'Académicien de Stavropol, lettre extraordinaire Wisnîefsfd, mande d' avoir Sextant à réflexion ]a hauteur de l'Elbrus , de 16,700 pieds trouvée de Mont- blanc. et niveau 2 3oo pieds la hauteur Arrivé à Géorgiefsk où le de l'avoir de Paris au dessus du mer, ce qui surpasse de la dans mesuré avec du va se rendre dans il quelques jours, Mr. Wisniefski se propose de repéter cette mesure et d'obtenir un résultat plus exact, cette ville étant plus proche de l'Elbrus , et les erreurs , provenans de la réfraction terrestre et de l'observation d'un aussi petit an- gle d'élévation, de moindre influence sur la détermination de la hauteur de la montagne , et où il aura par dessus l'avantage de pouvoir déterminer plus cela exactement la au moyen d'observations de l'azimuth et de la distance, position géographique relative de Stavropol et Géorgiefsk. Dans la ses terre que et faire 7. calculs il donnera se tiendra compte de l'aplatissement de à l'Académie le résultât aussi précis pourra. Mr. l'Académicien extraordinaire Tilèsius présente à la Conférence quelques os de Mamouth (ExtremiUs humeri 46 Ulna) qui ont été déterrés a Volkova Derevna inferior et par les Sappeurs des gardes occLipés à creuser un IMr. 8. d'avoir découvert gillcuse vitriolique , dont (sulfate de examinera fer). avantageux d'y 9. sur Il bords les établir a il du Kuban une tiré un le local très beau et verra une fabrique d'alun et terre ar- s'il de vitriol seroit vitriol. Mr. l'Académicien extraordinaire Schèrer présente Chciuische Analyse cette fossé. l'Académicien extraordinaire PFisniefskl mande des Doroninshischeii AëroUthen. : Selon analyse les parties constituantes de la pierre de Do- roninsk sont sur cent parties : — Chrome 2, — Manganèse Terre silicieuse Terre métallique Terre areilleuse Nickel - — Terre calcaire Terre talcqueuse Soufre — Perte - — 100, 00. La pierre de Doroninsk est donc remarquable à cause du Chrome qu'elle contient. = Mr. l'Académicien 10. à la Confcrmce : liber Qiœcksiîbcrs aiif qu'il seroit utile sels à la Con.seil 11. Bcreitung des nassem M'ege. Par de Mercure Conférence corrossif, il a dont il d'examiner les vertus médicinales par des expériences comparatives ; posa die présenta dont Mr. Nasse donne la description , obtenu doux espèces de croit extraordinaire Nn.^sê Beobachtungen sahsauren corrosiven des piocédés , 47 c'est de communiquer pourquoi son pro- il mémoire au médicinal. Mr. l'Académicien extraordinaire Schèrer présenta un mémoire sous le kovschcii Metcorsteins. Chemische Anal/se des titre : Char' Selon cette analyse les parties coa- stituantes sont sur cent parties : Silice — 48 Mr le Docteur Joseph Ilamel 12. , Correspondant de dans une lettre datée de Bath l'Académie , communique , Conférence plusieurs notices intéressantes à la la fabrique autrefois par le Dr. établie chair des baleine , Gibbcs, pour con- ou de cire , dont on peut des faire bougies; d'un Graveur en pierre, Mr. Bankes, 2°.) Sur l'invention de donner une couche noire à l'agathe de Saxe, concentré en le quelques heures dans de l'acide sulfujique cuire laissant Sur animaux en une espèce de blanc de la vertir i°.) : Sur une nouvelle manière qui se pratique 3°.) en Angleterre pour conserver fraiche, pendant des naviga- de longue durée, tions viande cuite ou la de Mr. le Dr. Jlamel , étoit rôtie. La lettre accompagnée d'échantillons du blanc de baleine du Dr. Gibhes , de cette substance de la cire fondue d'un morceau d'agathe à couche et noire. Mr. Mïilhr ^ 13. ment d'Irkoutsk que 22 le ment de terrein Correspondant de l'Académie, Août on terre a ressenti qui a duré à causé aucun dommage. pouces anglais, ïrkoutsk 40 Secondes. succédèrent deux secousses cependant 28''5 et Directeur des Ecoles du Gouverne- le ciel .issez mande un tremble- À un bruit soufortes, qui n'ont Le baromètre étoit serein et la chaleur de degrés de l'échelle de Réaumur. a 14 49 14- I-e Secrétaire que impiimé re lui ment connu, Mr. de ons a envoyé un Physicien avantageuse- Docteur Seebek, le qui a réussi à pro- des cubes et cylindres de verre, par des ray- dans duire voir à la Conférence un mémoi- fit lumière polarisés des réfléchis, et configurations symraétriques coloriées très remarquables et très variées. de repeter priété chargé l'Académicien extraordinaire Pètrojf , 15. Mr. de Mr. Morecbinr sur la pro- expériences les du prétendue rayon communiquer de violet , la vertu magnétique à une aiguille, sur laquelle on le pro- mène, présenta à Conférence l'appareil dont la il s'est ser- vi et lut la description de tous les procédés qu'il a ob- servés dan<î ses expériences. Quoique Mr. Pétrojf eut ap- porté la à ces expériences plus scrupuleuse attention Configliachi , et magnétisme, ni 16. de lui il p.ar imaginables eu le même sort que a impossible de prodtfire le les il , été a le rayon violet, ni par le. rayon et rouge, Mr. l'Académicien Schubert communiqua une lettre Mr. de Kruscnstcni, datée de Londres et contenant des notices intéressantes : 1°. fjire servir pvoquc que hitstciie. les de un Sur dans une seule boctc, in\-cnté de soins tous rétrulatif à clironomètre dans par Bréguct , la marche double la vue linfluence réci- deux montres exercent l'une sur ' l'autre; =* 5o cercle sur le nbiiveaii C^. pour Trougthon de entier six pieds , de Greenvich l'Observatoire fait par d'après un nouveau principe. "^h. Fischer, 17. à des Naturalistes Moscou et IMPÉRIALE Correspondant de l'Acadé- donne connoissance d'un météore qu'il a observé à mie , Moscou le 28 Octobre 1814, à C'étoit soir, et Directeur de la Société de un globe se dirigeoit la heures 5o minutes du feu d'une globe de grandeur de la 7 pleine lumière lune à blanchâtre' son lever. Ce du Nord au Sud avec une vitesse moin- dre que celle des météores qu'on appelle étoiles tombanIl tes. étoit à une ha-uteur mouvement avoir un très considérable de- rotation ques personnes prétendent l'avoir et paroissait" autour de son axe. Quelvn.i avec une chevelure, ce que Mr. Fischer n'a pas pu remarquer, quoiqu'il tient pour possible qu'une phosphores'cence de sron ait {ru produire quelque chose de semtiliable à une queue.' 1-8. "Mr. à Hatjan , le Conseiller privé et Chevalier Correspondant de l'Académie, i°) sur une pierre météorique, tombée, près d'Aix la Chapelle et déterrée au Léoithnrd donne plusieurs notices intéressantes concernant la Minéralogie. tres: atmosphèie il Entre au- y a 5o ans, commencement du mois de Novembre de l'année passée. De cet acrolithe, qui *= pèse de 7000 livres, Mr. l.èoiihard espère 1 Jiiens, 5l dont promet d'cn\oyer un à l'Académie; il (îoitliard ( variété du Spinel ) Salam pierre la 3°) de l'opale ; d'obtenir des frag2°) il parle trouvée au St. trouvée dans du basalte noble aux environs de Frankfort sur le Mayn; 4°) il promet Ufj collection orognostique des minéraux qu'i[ supplément à la iransinellra à l'Académie au printems prochain, VI. RAPPORTS PRÉSENTÉS PAR DES AGADÉMICIENS CHARGÉS DE COxMMlSSIONS PARTICULIÈRES. Le 1. Secrétaire exiraoïdinaire niicien 4 Décembre 1 8 de g aphicjue lut un rapport Uisnievsky , de daté, Mr. l'Académi- de Stavropol le 2 et contenant ce qui suit: 1°) la position géo- i quelques points de la ligne du Caucase, calculées par Mr. il isnievsky , d'après ses observations, de Mr. Biitzknjt'Shy , Lieutenant- Colonnel de la \\ prière •Suite de militaire S. de M. la J., chargé ligne. d'une «î levée topographique et Mr. IVisnievsKy espère que l'Acadé- mie ne désapprouvera pas cet acte de complaisance qu'il s'e-st }X'rmis mandée par en le faveur d'une entreprise aussi utile et com- Ciou\erncmcnt; 2°) Mr. IVisnicvsky ayant 7' ' ïetronvo ig le mète do i8li, jusqu'au 5' ne Comète,, il et peu pas et surtout paicequ'il moins entre sa , h\ Co- U nMiche depuis ce jour 29 observations U\ eoncccioa des élémcns de à Li dèterminiUian de son teins à a y un intorvallc de près de 18 première appaiilion et la d.cinièie observa- Mï. IVisnkvsKy. S. 2. le Nova - Tsc'vfMkask. Ihtle que ces se il périodique» tion de li en a observé Août, contribueront celte JuilK-t E. Mr. l'Académicien fufs, rapporta d'avoir \i\ mémoire de Mr. le Professeur Littrow à llazan, sur une méthode de déterminer nouvelle les hauteurs observées près du Méridien, et de l'avoir trouvé digne d'être impri- mé avec pour 11 ajouta 3. l'Académie qui seront choisis à 5^ Tome. que l'auteur mérite d'être encouragé par l'Acalui continuer ses communications, Mr. r Académicien d'avoir lu le cKHxî) mémoires de Section des Sciences malh'.'maJiqucs du la démie les extraordinaire Krug rapp^orta mémoire de Mr. 5pawA/: O ApeaHtixl) Gn6ijp« xypraHaxl», de l'avoir trouvé intéressant; et ju- et geant d'après ce mémoire et d'après ceux, que Mr. Spasski avoit fait présenter précédcmjuent son goût pour des soudre l'Académie, que par recherches historiques;,, et par le lieu de son séjour actuel, quelques à, il seroit questions qui en: état et à: portée de ré- intéressent les Historiens, de proposa il pour CCI de il le mémoire Mai , sous le titre ; csoucmôaxo , son fit Mr Spassky, Oiue^iQcmojiHHUXÔ yiCriozatt //3<3 en à qu'il présent»; reporta Zakharoff ??ii.jaxo et nii^a.jiS; triinsmises présenté Je 5 npitmmùsMHin cjjoco6i jpum.nô fcuent IJamel , .iiema.jjQJio^o6'ibtx5 û.xo commun icjuer d'eux, r Akadémicien Dr. le Air. et qui ejTefj Ak. 4) en lui ti coA^p^anitt kù rapport contenant en substance: que ce mémoire mérite l'ultention de l'Académie, paiccqu'il renferme nombre de sur n^anière la et q_ualilés d:e produire propriétés; nouvelles observations, tant les métaux, qu'il seroit à désirer que sur leurs que l'Auteur continuât ses recherclies, dans la vue de mieux déterminéela quantité de l'oxygène dans les dilïérens degrés d'oxy- dation^ et qu'il repctiit ses expériences avec l'acide cique et avec la base a couleur foncée qu'il en a boratirée,, en examinant bien les propriétés de cette dernière, 5) crii de Mr. Mr. l'Académicien Storch reporta rouvrag.e manus- Kmdanoff , Sarskoye - Sélo que la d'im ordre rapport : Professeur - Adjoint OcHoaamji eceoG^eà du Lycée de Jio.uifuitzecKOii. Conférence l'avoit chargé d'examiner, de S, contenant E MS*". le Ministre en substance : , ucmopin, à la suite- et il présenta son: qu'il a lu cet ouvrage avec intérêt; que le travail de l'auteur lui semble méritoile; qiie sa méthode est facile et claire; que les sources>, , ~ 54 d'oïl puisé, a il bonnes et sont choix des ('vi-nemcns le idcontés dans ce Cours d'Histoire conforme au but de l'oiiainsi \ rage, que les la conception que ces évcncmcns amènent, reflexions, que élèves ; des l'auteur a adaptées à bien de mettre en avant de l'histoire de chaque état la fait géographique du pais , description mémoire jeunes des exactes des années, mérite l'auteur rendu avoir historiques se la surchargeant des dates reconnoisance du public Russe, par son travail les que Goîdsmiclt, étrangers, tels de lui bons auteurs Ileercn, Mcincrs quVnfin Mr. l'Académicien extraordinaire An/^ même jugement sur cet ouvrage. Mr. l'Académicien 6. en contentant de nombres ronds; que accessibles l^lanncit c\Cj porte le la gens , sans tourmenter Id extraordinaire d'.ivoir elé à Olvhta, pour y vertu d'uiie résolution de examiner là les Pètroff rapporta paratonnères, en Conférence, et de les avoir trouvé tons en très bon état; qu'ayant remarqué cependant que le magazin ])ctit il puits, hquel aboutit dans à le poudre, n'a qu'une demie Archine d'eau', a conseillé de lui donner plus de •j. conducteur du plus profondeur. Mis. les Académiciens extraordinaires A[n/g et /^c/i/- herg présentèient Uelur die leur 1T olochcn rapport A'estoi's , sur le que Mr. mémoire intitulé; Prof. Eiccrs » le jugement de T Académie'. a» soumis rn siibst.mce: son tenir rapport contient qu'aussi dans ce fragment d'un noirvel idée dans éij)ise , oir-r Russes, Mr. ELivers persiste à sou- sur l'histoire des vr.igc, Ce un ouvrage [Fom antérieirr Ursprunge des âussischen Staats): savoir que les Slaves ont habité convient soyent Danube inférieur; qu'il oiiginairemcnt les bords du que déjà avant vérité la à répandus le 5®. au -de- là des Carpathes , siècle ils- mais qu'il se l'es- fait encore chasser en Russie, en Dalmatie, en Servie etc. ])ar des Bulgares du Woloches de cité pour et à la d'accord avec montrer le trer selon lui, Tout en rendant justice sont le à la saga- vaste lecture de l'auteur, ainsi qu'à son zèle sciences, les Siècle, qui, 7^. Nestor. rapporteurs l<:;s ce résultat, dont dôcd^nent pas n'être seront en état de dé- ils défaut de solidité, sitôt qu'ils seront chargés d'en- dans une discussion CDmpIette de Tobjet en question. ^, Mrs. les Académiciens Nasse, chargés d'examiner extraordinaires Scfiêrer un mémoire de Mr. seur Grindcly sur la formation le Profes- du méulloide de kali duit par le Galvanisme dans l'eau et pro- au moyen du mercure, firent leur rapport, dont la substance est : que les ex*- périences de Mr. Grindel ne sauroient servir de preuve à en la formation réelle d'un du mercure qui garde sa métalloïde; fluidité que l'amalgamation ne peut point venir a rappiii g.ime des assertions de l'auteur , pu provenir du fil a parrcquc d'argent dont il cet amal- s'est servi comme tzonducteur, ce qui est d'autant plus probable qu' avant négligé de recueillir d'examiner le gaz qui et développé pendant l'elTervesccnco, il avoue lui-même que du mercure, l'eau, après l'amalgamation s'est montré aucune n'a propriété alcaline l'Académicien Scliuhcrt, chargé d'examiner tm "Mr. 9. mémoire de Mr. en fit le ihcorème de Taylor-» son rapport, contenant en substance: que la démon- stration fait sur JJ'erhmcistcr, du théorème, preuve -de la donnée par plutôt que de subtilité du l'auteur mémoire, de solidité la son esprit; que toute sa démonstration consiste dans un rai- sonnement métaphysique qui d'une grande utilité dans souvent sans conti'edit , , les Mathématiques , mais est qui. pour ne pas drvenir plus pernicieux qu'utile^ doit réunir en hii trois solidité, ce qualilc's (jui n'est essentielles: l'évidence, J'ordre et la pas le cas de l'autexn-, ouveilement avec l'essence, des corps la qui confond manière dont on conçoit en Géométrie leur cngendrcment, c'est-à-dire qu'il confond l'idéal avec le réel; qu'attaché à sa manière de formation des corps, l'autetu- se voit dans concevoir la ii('-cessité d'avoir recoins à deux aiUrcs idées hi nvétajiliysi- "= ainsi Mr. du tcms et deux grandeurs hétérogènes, le , et d'jmalgaincr tems et l'espace. E. Mr. l'Acaciémicien Fufs, chargé d'examiner description d'un Télémètre, présenté à l'Académie p r 10. la du mouvement celle qiies , 57 le S. Docteur de Lamberti, en en substance: construction qtie fit son rapport, contenant cet instrument, par son principe et sa morne , sujet est à donner dans la pratique des résultats très -peu exacts; et que, quoique d'un usage commode et pour prendre des distances à éxpcditif, militaire et sans prétendre à il la un degré tolérable de précision ne sauroit être d'aucune utilité pour des levées exactes. 11. Mr. l'Académicien extraordinaire Kii"c/i/io/, cliargé par la Conférence d'examiner deux compositions prises des fusées de Congreve et envoyées à l'Académie mité savant du Ministère de la guerre, en contenant stances. le résultat de son analyse fit par le Coson rapport, de ces deux sub- D'après cette analyse les deux compositions con- tenoient sur loo parties : La première: Nitre — 5a La seconde: === est tliotnctte paifaitcmcnt à Id de pouvoir en de l'air, qu'on autant faire Enfin Mr. Schèrcr correspondans. contraction 59 veut de attribue à produite par un changement de température, les variations que Mr. Grîndcl a observées au nioven de son appareil et de qu'"il attribue à une absorption l'air. Mr. l'Académicien Séuer^uine , i3. l'ouvrage de Mr. le Conseiller de charge d'examiner Cour Pansner: Resultate dcr Untersuchiingen uher die Hdrte uiid specifiscJw SchwerQ der Mineraîien, que stance: les en son fit rapport peines que l'auteur contenant s'est en sub- données, en dé- pesanteur spécifique d'un grand terminant la dureté et nombre de méritent toute l'attention des Minéralo- gistes ; tés fossiles, la mais que son idée, de fonder sur ces deux quali- un nouvel arrangement systématique des minéraux, ne sauroit obtenir leur approbation, aussi peu que son moyen de déterminer leur dureté, d'autant moins que la méthode de JJ'crncr est beaucoup plus simple et plus exacte. 14. Mr. l'Académicien extraordinaire Tilès'ms , chargé d'examiner un mémoire de Mr. le Professeur Lêdébour: Décades scx pîantanim novarum iii Imperio Rossico indigena- rum , exhiba son opinion, portant en substance: que cette description de soixante plantes, pour la plupart 8* du Kara- = 6u tchalka et des îles Koiiiiles, rama?;sées non encore, on mal connues plus et cliiiie même , dans les la lipse, le plus courte, donner luipubliée, dont les de méridien faites au Pérou , mettre plus en fit et-, et ea France , en son rapport contenant en mémoire présente un d' accord de méridien; essai intéressant entre les diflérentes mesures àes que l'Auteur s'est de peines à trouver une ellipse dont férassent le Recherche d'une dime)isions approchent le plus des détermina- que ce : les donné beaucoup dimensions dif-, moins que possible des principales mesures du degré du méridien. 16. Mr. l'Académicien extraordinaire 5'c/iércr présenta son rapport, concernant l'analyse de deux prétendues compositions dos fusées de Congrève, instituée par un Comité nommé par le Ministre de la Police, à laquelle Mr. Schérer avoit été chargé par la Conférence confirme celle * Capitaine en Chef des mines de yîngleterre et en Lapponie, arcs et Mr. l'Académicien Fufs, charge d'examiner E. classe et Chevalier IFilbrecht: substance la même - Mémoires de rAcadéinie. tions des arcs de dcciites , est plus exacte qu'il n'auioit pu mémoire de Mr. 5®. Itii qu'elle mérite, par conséquent, d'être et i5. S. un et p.ir qui d'assister. Il se tiouve que cette analyse avoit été instituée antérieurement par . Mr, en ' l'Académicien extraordinaire Kirchhof. que l'une des deux masses est: fusées ordinaires, et que sineuses, de cire la et flamme inextinguible, l'autre, est la Le résultat composition des contenant des parties ré- de l'antimoine, loin de brûler d'une se laisse éteindre par une très petite quantité d'eau. Mr. Schèrcr doute que ce soit la véritable des fusées de Congrève. niasse l'Académicien Mr. 17. mémoire de Mr. u. und Kenntniss der w. s. en le fit Storch chargé d'examiner le Ncumann: Ueber die Wichtigkeit Prof. Bearheitung des olten Slavischen Rechts son rapport contenant en substance 1°) : que l'Auteur de ce mémoire s'efforce de prouver qu'il existe un ancien Scandinave; preuves de IlpaBfla il droit Slave indépendant du droit Germain et 2°) qu'après avoir établi cette thèse, appuyée historiques PycKaa, comme générales à _, l'Auteur faut puiser les notions de ce droit , de donner une explication nouvelle; section passe 3°) et dont tance il essaye que la troisième droit Slave à quelques cas particuliers propres à le la du mémoire contient une application de cet ancien l'histoire que à une des principales sources où mémoire de éclaircir des Russes et des peuples Slaves en général; 4°) la est terminé par quelques vues sur l'impor- connoissance de ce droit Slave pour la véri- ûcation des auteurs qui ont écrit sur l'histoire de ces peu- == 6i pics; 5°) que du mémoire y commune; pénétration peu qu'il peut fait travail est celui recherches d'une bonne tcte pénibles et d'une preuve d'une bien avoir été trop dans quelques unes de ses assertions, loin de Aiitei'.r l' et qu'il mais que son est le résultat connoissance intime des loix Russes. 18. Mr. l'Académicien et Bibliothécaire Schubert rap- porta que tous les livres , destinés par la Conférence à réparer, autant que cela pou voit dépendre d'elle, les pertes de l'Université IMPÉRIALE de Moscou, c'est-à-dire, tant les doublet tes de la Bibliothèque académique, que les ouvrages publiés par l'Académie et imprimés dans sa Typogra- phie (un exemplaire de chacun) ont été encaissés avec soin et seront expédiés le 9 loués à cet 19. et rouliers effet. Mrs. Tilèsius, Mars à Moscou , par des les Académiciens extraordinaires Smélovsky chargés d'examiner un mémoire de Mr. le Pro- fesseur Jason Petroff: Descriptio h'otanicu novae speciel ronicae , en remirent leur opinion, portant en substance: que la plante sèche, décrite par Mr. Petroff^ une nouvelle espèce, n'est Ve- loin d'être qu'une des nombreuses variétés de la Véronique [Feronka incana, spicata, minor, angitstifnUa) vue en fleurs dans son pais natal et décrite par Gmèlin. =' r Académicien extraordinaire Petroff fit rap- Mr. 2 0. 63 Okhta 18 Juin 18 14, pour y examiner les port d'avoir été à paratonnères. D'après cet examen tous les quatre conduc- teurs sont en bon état et puis les les puits, où vont aboutir leurs beaucoup mieux fournis d'eau, de- extrémités inférieures, améliorations faites à ces puits, à la suite d'une de proposition Mr. Petroff , contenue dans son rapport de l'année passée. 21. Mr. l'Académicien extraordinaire K'irchhof, chargé d'examiner les eaux l'Académie par Son Eminence de minérales M?"", MohilelT, le envoyées à Métropolitain SieS' trenccvicz de Bohiisz, présenta son rapport, contenant le résul- de la bouteille livre cet N°. 1. de cette eau un pu être cide les sel réconnu j réagens dissoute la est: que l'eau de chaux dissoute dans consistant en carbonate de chaux très petite quantité , n'a mais qui est vraisemblablement de l'a- L'eau de la bouteille N°. 2 manifesta par présence de l'acide nitrique et d'une chaux dans de l'acide carbonique. contenant siccité une gris jusqu'à siccité laissa sâtre la trouvée contenir deux grains seule- a cause de sa qui , nitrique. de s'est ment d'un précipité et contient Après l'évaporation jusqu'à carbonique. l'acide La substance en examen. tat un grain de la et -demi carbonate Une livre évaporée d'un précipité gri- de chaux et de l'acide 64 La «inrialiqde. trop petite constituantes, ni du quaniiu* ne permit pa? d'y reconnoîlic Cciiix, ni irsidti toutes des deux les parlies leur proportion. VII. VOYAGES SCIENTIFIQUES. 1. L'Académicien extraordinaire IVisnievshy conti- ^Ir. nua en 18 1 3 plan dressé droits, où ses courses astronomiques, en poursuivant le par lui et approuvé par l'Académie. Les enil a institué des obsçrvations, sont Stayropol, liavkaskaya, Oust-Labinskaya, Egorlitskaya, Novo-Tschcr- kask, Kamenskaya - Stanitsa, Khopersk, Tambof, Riazan, Klin, Vychney-Volotchokj Valduï 2. pressé etc. Mr. l'Académicien extraordinaire U'ismevsKy, em- de finir en 1814 sa une dernière excursion dans longue et pénible tache par les Gouverncmens de Novgo- rod, Olonetz, Yaroslav et Kostroma , fit ce dernier voyage envoya la continuation du Journal de ses observations astronomiques Ce sont les observations instituées depuis le et î26 Janvier jusqu'au 1 3 Mars de cette année à Oust-Waga, Archangel, Mésèn, Pinéga, Kholmogori, Emetskoe, Shenkursk, Welsk, Weliki-Oustioug, Sohvytchegotsk, Yarensk et Oust - Sysolsk. I = 3. E. Mr. r Académicien Ozeretshovshy S. position de Séliguer, dont l'envoyer les de rapport le 65 faire environs à sont encore fit la pro- autour du lac peu connus sous naturelle, quoiqu'ils fussent l'histoire remarquables , voyage un très cause du voisinage des sources du Vol- ga, du Dnepr et de la Dvina. Comme un tel voyage parut pro- mettre une bonne récolte pour les sciences, étant un observateur la cette Mr. exercé, aussi proposition , le excursion la par Conférence applaudit à voyage eut lieu ,. et les résultats publiés par l'Académie, seront fait de dès que Ozeretshovsky les aura rédigés,. VlIL. OUVRAGES PUBLIÉS PAR L'ACADÉMIE ET PAR- DES ACADÉMICIENS. i') née 1811. 2 ) IMPÉRIALE des Sciences de St. Tome IV, avec l'histoire de l'Académie pourl'an' Mémoires de l'Académie Pétersbourg. St. OcHOBaHivl nepBhifl >i3biKa rétersbourg i6i3. mpH J\eOHrap^a Efi^epa, MacmH nepHoit omAh.AtmiH, nepeBeAeHHwa cIj C|)paHi^ycKaro ce mhofhmh npHCOBOKynJieHiiiMH, BHCKOBarnoBbiMl», AKa^ewi» HayKb 3Kcmpaop4n- Ha PocciriCKoiï BacHAieivil) , HapHbiMl) AKa^e.viHKOMT). omAbjienie 3.*) 4.°. AAreGpw i e. h CAOBapb Xhmhhcckih TomI) i C. IL 6yprl). 2-e, h co^epjKau^iH Bb ce6t> 1812. 8\ co4ep.^amiH bI) ce5t) eeopiio h npaKuiHKy XiTMin h np. Tpy4a.viH AKa^cMiiKa Bac. CeBeprwHa. Hacmb IV et (J)HrypaMH. C. IL 6 y ]g ri» iSiS. 8\ Histoire , 9 Itfciiè jBSsmam COMMENTATIO TN FRAGTIONEM CONTINUA M, QUA ILLUSTRIS LA GRANGE POTESTATES BINOMIALES EXPRESSIT. A U C T O R E L. E U L E R O. Conventui exhibait die 20 Mart. 1780, Iste vir hanc potestatem Binomialem illtistris (l -\- xf" nicLhodo prorsus singuLiri ex ejus dilTerentiali logarithmico in hanc fractionem continuam convertit 4 : -*- Cj -f-n)x 5-t-( 3 — ")^ 2 -f- (;-(-n) x^ qnac expressio hac insi£;ni cxponens numeins intcger, sive positivus, sive negativiis , n fticvit abiumpatur et proprietalc gaudet, ut quoties ad foimain finitam redigatur 1* 4 II. Quoniam haec fractio continua non loge iiniformi, eam ad legem uniformrm interrupta, progreditur, sed quod coramodissime fiet, si eam sequenti modo per «remiis, id partes repraesentemus (i -f- xf : - 1 ^A — 1 -L ^ n« . _il=l"li^_-U -rn)x* a-t-(i -t- B B — 3 ^^—Jl^^L^' .-^ C C =: 5 + ^(3-t-n)x> D (4— n^x ^-t-(4H-n)xJ . etc. Hinc A **• igitur per _, rcductionem habebimiis ('— n)Bjc ^ "'"aB-l-(i-hn)x D T.. modo erit (i— nn)xx:a "•" O^Mf^ _, -^ 2B-H(i-rn)e 2 (i Simili revo- — n)x , (nn — xx i) :4 : (^-H)Cx o _, ^ "T- jC+(2+n)x o _i -^ ^ Ebdem. modo- habebimus. (m.'Of 2 . C4 -nn) xx_a 2C-^(ï-(-nJ* (î— n)x j^ (nn — 4 )*JC-4 y et 1 : p (- ita porro. III. _i C^ Q.(iodsi snbstituamus, I + — Ti)D3! - Çî — n)x (9 — wn)jca:|A jam hos valores ordine loco A, B, C, hCin — i]xx - etc, continua sequentem induet formam : fitictio -.4. 3(J -^i*)-(-('"'~4)'fJf 4 5(_i+ix)+(^ nn — Q)xx :4. 7 ( ' -H a *J -1- (tn — i6')xx:4 etc. IV. Quo hinc fractiones partiales abignmus, statuamus x:zz 2 y, ut nanciscdinur hanc expressionein (i -t-;j)"::i i-hzny i-i-i' — n)y + (n n — ')yy3(i+j'J-t-('nn — 4177 5i>-h:>}-^-{nn—9)yy -f^+y)+ etc. » qnae forma " _ — " transmutatnr in hanc: (""- O» ,7^ r -u facile , _L_ / , Addatnr utrinque ?z/, nt prodcicet "T-/ ~^ j('-f->) + CnTi — 4)vv (i-j-îjji— sCi-t-'jyj quae expressio jam ordine V. sinistrum satis + cfc. ' regulari procedit.. Dividamus jam utrinque per t -h y, evadet : _">_^ ,- L''^' '"^''^ . :. membrnm^ Ex parte dextra aiitemi singulae fractiones snpra et infra per prodibitque haec forma et 1 -y- y dividantnr ,, i-|-( nti— i>vv(t-f- >)» 3 -h ( nn- 4 "" •> V 4- >) ( ' 5-h{nn-9)yy. {i+y)* — i6')yy{i-i-y)* — 2s)yy (i-4->)* 7-j-(n H 9 -hi nn : II -t- etc. Hanc "VI. denuo cxpressionem igitiir ad majorem concinnitatem iedLicemiis,statuendo-^--:^z-, ila ut sityrr^^:^* Hoc autem modo membrum sinistrum, ob accipiet hanc foimam : — ^>;i^-^4—(,Trz3« » i — ^-^. 2 r -f- quod ergo aequa- bitur huic fractioni continuae: I 4- (« n — )zz I 3 -r (nn— 4)gg 5-»-(nn—ji)z» 7-l-('n n — i6)sa 9 -t- etc. quae, ob clegantiam, summam altentionem meretur. VIL Nunc igitur per se manirestiim est, islam cxpressio- nem scmper alicubi abiiimpi , integer, sive posilivus, sive neg.]ti\us. eliam membrum pro n sciibatur sinistrum si fiiciit niimcriis Evidcns autcin est eundem valorem retinerc^ eliainsi — u. Hoc enim facto evadct nz f(i-f-z)— " H- Çi z) "] > zy^n (i C-t-z}— 1 — — quae fracLio, n (jciotics : — supra etinfraper(i —z z-)" mnltiplicctur, induet liane formam: (._zjn_^,lfl2)n quae est ipsa expressio (,^3)n_c, _~jn J piarccdcns. Sicqiie pcrindc sive litterae n valor positivas, sive nogati\us est, iiibiiatiir. — / 1 7 VTIT. Ira sumamns 111=^1 si fit niembinm sinistrum- rr 1, qui etiam est vjlor clcxtii. Pono posito « c= H^ 2 membjTim sinistrum evadit etiam fit sinistra, zz: — ut et dextra, fiunt IX. menti.. deducere ^^"^ nonnnllas atitem Ilinc vel evanescens vel infinitas, -. conclusiones maximi mo- imprimis autem casus, dalur valor imaginarius , z litterae pars exponenti n tribuatur valor prouii licet, vero dextrum modo sumto nziz^S Simili rz:i-f-z-z.. membrum i-f-zz-, quo pcrducit ad insignem conclusionem,quandoqu dem ipsa fractio continua nihilominus manet qua a rcalis, igitur conclusione initium Conclu sio qua z rr f sumamus. !.. / — 1. X. Hoc igitur casu fraclio continua banc habebit formam:' 1 i)tt ( rtn i — (un 5 — 4)f / — — (nri^— o)ff (n n 1 i6)ff — 9 at etc vero pars sinistra nunc erit ntV—i [(i + fy— ot+Çi— y' — )"] : (i-htv quae non — o" — (i obstantibus dcbct A-alorem rcalcm, tV — Tyt partibus » imaginariis certe haberef quem ergo hic investigemus. Hune in; fmcm ponamus t'- ^"-|, ita ut sit t = tang. (p; tum igitur erit: ^i -t- 1 y ~ 1 j _ -^j^ __ -^^ ,, — modo similique ; His (co?. vil / ty ( l — eof. n isin. 0)'* <p~V — t sin. n () COI. tp^ JoTlpn • nostmra membmm sinistruni substitulis igitiir A'aloribus evadit V ^ l) : 2 71 / — -tg^ coj. n^ sîâ. a Cp 2 y — I XI. Posito ergo ntg. (p n tg. (P co!. n <J> sin, n $ I ' fg. n <p cprzt habebimus sequentem fiactio- tg. nem continuam maxime memoiabilem ; nt (titi ïgTnCp 3 t)t t — (nu — — — 9^^ 4 )tt (.nu S 7 — etc. quae igitur hoc modo repraescntaii poterit tg. n(pZ=l V-inn-, )tt_ 3 — (nn-— 5 — 4)^f (nii — o)f f 7 qiiae ergo expressio anguloiTim Ita si per 3Cp — ete. tangentem anguli simplicis fiieiit n :=z Eodem modo si n z^ 3, erit tg. - commode adhiberi potcst ad tangentes miiltiploriim expiimendas. : _3t_ t 2, habcbimus tg. 2 cp zz ^^^. : iLnll i—8tt i. — 3tt 3-tt Ilic cnsus maxime notabilis se ofieit quando exponens n accipitiir infmite paivus, tiim cnim erit tg. n (P zz. n (f), ergo, utrinqiie per « dividcndo, orietiir ista forma: CI) = -'5-I-91L -f-etc 7 qtia fractione continua per tangentemf ipseangulusexprimitiir. nunc Consideremcis XII. casum , quo exponens n accipitur infinité magnus, at vero anguUis cp infinité parvus, ideoque etiam eius tangens t infinité paiva, ita tamen, ut sit nCj) n: 0, ideoque cLiam n =: ô; tum t habebimus igitur istam fractioneni continuam: te ô — —^3 — gj S — éji 7 — etc. qua formula, ex date angulo quae ergo expressio tanquara leciproca praeceden- potcrit, tis eius tangens determinari ù, spectari potest. Conc1us i o IL qua exponens n evanescens assumitur Hoc eigo casu XIII. J fractio continua : eiit : 2 Z 3 — 4^" — =» _ — i6zz S 9 7 9 etc. Pio parte sinistra autem notandum est esse (' + ^)''- j =/(n- 2.), ideoque (i -f- z)" ziz M(m$\res de VAiétd. T. VI. i -f- ?i/ (i -f- z); simili ^ modo erit : s lO ^1 — *?•)= ~ i-\~ n l (i i-'"<Je 7')» — — nJ(i — ()-t-nî("-t-z)-|-n/(i '^'^ nI(.-t-2) mcmbiLiin sinislaini evadet 5 z)l hinc ergo habebimus islam formam 1 = z) — — pz» — 5 7 : i6zz 9 — efc. ' hincque ipse logarithniiis sequenLi modo cxprimetur : r-^~ = 3 — 4Zg 5 valorem, Ilic nisi efe. Conclusio IH. exponens n infinité qiia sumitLii XIV. — ergo , lit qiiantitas nz zz: u, ut sit z rz: ~ fiactio magnus. continua finitum sortiatur % infinité parva statuatur, ponatur atque nostra fractio continua erit: , 9 -+- etc. Pio mcmbro autem^ sinistco constat niili(inc modo (i — habcbit hanc formam ^')'' z:: c"~^', esse ergo ( l -f- ^)" zi= e^, membrum sinistrum : quam ob rem habebimus hanc mcmorabilem conLinuam : si- fractioncm 11 «il' CLiius — valor tas exhiberi -•- 1 ~t~ 3 -f- -j -j tianscendens etiam hoc modo pcr séries scli- potest: : 1 1.3,3 1.3..$ -f ' 1.2... 7 '^^^«oocco'^ooeoso • + etc. \- etc. ' d 12 ANALYSIS FACILIS AEQATIONEM RICCATIANAM PER FRACTIONEM CONTINUAM RESOLVENDI. A U C T O P. E E U L K R O. L. Convcntui. cxhibuir I. ^it; Marr. 2- 1780. Jam pridem eqiiidem aequalionis Riccatianae kitioncm per fracdonem continuam tradidi reso- sed usus _, sum inethodo haud parum operosa , qiiae transformationes satis Nunc autcm abstrusas requirebat. longe facilior se niihi obtiilit alia via quae cum ad fractionein idem piaestandi , continuam multo simpliciorcm perdiicat, haud indigna mihi ut eam cum publico communicarem visa est , cum insignes Geometrae hoc argunientum , piaecipue summo studio perscrutari cocpcrint. IL Considero autem aequationem Riccatianam, sub hac forma expiessam : o d j -f- y y d X zz: x" "~ ' rf X , quani autem hoc modo rcpraesento : a dy — *^^- -^ yy dx rr: x" """ rfx , quae quidem rêvera priore non est gencrahor; ^ yzzLX" V h fit dy zzz x"" dv -\-\x posito enim: b— a '^ v x , d ,, i3 modo hoc terminus noviis orieturquc sequens acquatio introduclLis tollctur : sb b ax'^ dv -\- itciiim n — a x"vv d x zzz x d x. Veruni forma assumpta ad institutum nostram imprimis accommodata; vitatis statiio aultni a -{-b zzz c , axdz — czdx -h zzdx zn Fiat nunc dzzii. ista quae prorsus quod z rr c 4- *", ita u( sit hanc aequationem — {c-\-na)pdx similis est -f- : ppdx i= x"" dx , piaecedenti ; tantum cnim eo dis- secundo tcrmino loco c habeamus c --(-/za. in In hac aequatione jam. statuamus pono p—c-\-iia~^~'' lY. et substitutio x"c?x'. factaque subsiitutione, et subJaiis irac- , tionibus, peivenietur ad axdp est ponoque bre- ut prodeat sequens aequatio: gratia III. ciepat^ piaeterea j"^=;- , calculo evoluto perveniemus ad sequentem aequdtionem : axdq — (c-f-2no) qdx -f- qqdx z=i x^'dx, quam quidcm immédiate ex praecedente deduccie potuissemus, scilicet loco termini;, qui erat V. Simili q:=^c -h '2 modo — et coëfficientcm secundi c-rna, denuo qu.intitate nci augendo. na 4- axdr p scribendo q "^ intelligitur , :, si piodituram esse {c -f- 3 na) r hic pono statuamus hanc aequationem X 4- rrdx zz. x"dr. : 14 alqne iiltcriu.s acqiiatio ista axds Sicque porio liic si statuam r=ic-|-3;îa -f- --» P^^^'^^^ : — + 4«n) sdx (c in -{- piogicdi infinitiim ssdx zn x' dx. licet. dnodsi iam loco litterarum p,q,r, s, etc. valores VI. successive substituamus, pro variabili z icpciicmus scqucn- tcm fractioncm continuam salis concinnam : x^ C 'T- c_^_jia~hx^ . 7, o -|- : n a ^- x"- c-}-3 na-f-x™ c-i-^na-i-x^ unde aequationis piaecedentis, qnae, ob ad y valor + — c)^^ (a -\- h :=: c X ' : c-'rna-j-x'"c + 2nd-|-x"+ c 3nii-f-É>fc. Ilinc igitnr pro ipsa acquatione piimum proposita: VJI. ady + yydx z=: nbi scilicet est c zn a , VIIT. continua : yydx r= x"" 'dx, y liac fiactione continua exprimetur •/ — a, ciat : Quodsi ergo x dx , ciit : vicissim piofjonatur ista fractio 15 ^ nunc — ccili _*« ^ ~r- cH-naH-x« vjloiein sumiis aequationcm dilTcrcntialeni — cz X a X d 7, ciiius cl crgo intégrale, niodatum , ijisius z detciîiiinari per hanc z z cl x zn x cl x : -f- praebebit valoiem scilicct intégrale ila 2;i:r c, si , sumpliini et ad hune casiini accoiii- vile definiii illius fiactionis continuae; débet ^ ut, posito xizio, (niidem n fuerit numerus positivus; at fiat fiicrit si negativus, piodiie débet z nzc , posito x ziz oo. Hinc plurima egregia consectaria deduci possunt IX. pro casibus , qui bus giationem admittit. aeqoatio differentialis proposita inte- pro aeqiiatione primum assumpta, Tta 'ponàmus n zn '2 , exil ad y -\- y y dxz^idx, ubi est c ziz a, si unde dxm-^^T"» cuius intégrale est: colligitur X H- et zr et ad ? a / ^^t^ , numéros asccndendo Ac " zz: ~-,' unde vicissini 1 1 y— —y X 2 Ae" — 1 ^ Ae«-|-i qui valor complectetur X (Ae'' , — erit: i) hincque z^ixyzzz x , Ac*+i summam Iiuins tïactionis continuae : i6 XX SVi-\-XX 7a-f-xa! 9 c-H etc. quac praebeat z m: a , cnni constanlis X. ' sumpto x =:: o , A rite detcnninari potcsC. Cum igitur, oh z zn x/, invenciimus — A ^— X A + ( 2- e " e auteni casu ' 1 '^ tota A :i= — l. Cum igitur sit —X mX — e" infinité 2 X e* parue obrcm hoc casu habebimus z —X — etiam : , ' — s sumpto X quasi nisi SX IX 1 z r=r n. o, fiat quod fieri nequit, nisi su- 2X zzzi m haec formula evanescit , eius denominator simul euancscat , matur : i) constans A ita determinari debcr ^ ut, posito x Hoc inde valor fiet 1 X c " zrz i —- - , quam : rr n + X, a ideoque facto x z= o, fiet z rz: a, prorsus uti requiritur. Quocirca nostrae fractionis continuae hic proposilae valor erit: — 17 ax (1+e O X 3X e"^ — 1 etiam hoc modo repraesentari potest qui —X X zzzzx —X f e * ciiiiis fractionis numerator , facta evolutione , fit ==('+iH + à?^ + ?fe!'+"4 Denominator vero ax /. a l^ \ T . erit ; ^^ 6o a a ' I "^ Ï^O a+ ^^ TÔ40 a^ ^^ ^''V > jnde nanciscimur _ z _ + 24a4 H- 720a — 2 ta î (i H- i aâ XI. -.^ + îiô â4 duodsi ergo suinamus a Taetionem continiiam «* -f- etc. ;r.i;6 7:174 ' + jô^ + S6 :::;:: i , etc.) ut habeamus hasoc : e~* '~~ ' 3-t-xx 5+5CX__ 7 adem fractio continua quoque ita + ffc. expiiniitur : 1 -\- l X X -\- ^- X* -]^ x^ ~\- etc. ^l^ i-H- i X X -H ï?ô X* -f- J- x^ + |iiae ambae séries eo magis convergLint, quo ' etc. minor valor ipsîx tribuatur. Scilicet si ponatur xn: 1 , huius fractionis contiauae: M(moirciii(VA(ad. T. H. 3 — r it + + ^ 3 x •J- valor erit '.~^'— : XII. VeiTim etiam ipsa ter convertit. Si enim indices et moie solito ha^c fiactio continua vehemerti. 3. 5. 7. etc. œdinedisponamuSy fractiones subsciibanuis, eae continuo pro- pius ad vernm valorem huius formae proceduntj haec autem «vit huius o{,erationis species 1. 3. 5. 7. 9. 1 I . 4 • lïi I ^ 3 ' 21 • 16 > • ô > autem pateat Q.UO , : 11. m etc. • i38g • y làii f.fr ^^^' > quam vehementer hae aeqiialitates ad> veritatem conversant, considèrent nr differentiae inter termi- nos contiguos, qiiae atque ita erunt alteinatim positivae et ncgativae, ordine procedunt r . ' I . 3 * 1 . I ' 3.16' — 1 , 16.115^ » — . »• I Il j ' . loji y loyi 1 . 16;6 Nunc igitur certo scimns erroiem postremae nostrae fraetioDis '-^ certe 10 ji minorem esse,' quam i Minus ergo discrepat a valore vero XIII. Ilic ^uantus futurus 2 inzi a autem quaestio sit + —— 1 -'^ magni ^^ n: — 05- 1.1 1676 ' t . momenti se offert,, valor fractionis continuae pro z inventae XX 30-t-xx_ S. a.-]- et à;. .. 13471476 :. *9 si loco XX scnbamus — autein habcbimus ; tv tt, — ita t ut sit — tv — x:=:t/ — i. Tum I •* (' unde ergo imaginaria extmdere oportet, Ciim autein sit: 20 Tibi reqniritnr igiiin* nt vel zn — vel j3 rr -f- 1 , g i sit a zzz a et Çgin 1 , idroqne Sicque gemimim habcmiis valorem . proj, quorum alter est/ rr ^ -|- ^, alter vero/ ci: * XV. Haec autem intcgralia tantum — ^. sunt particularia ; pro nostro scopo auteni intégrale completum nosse oportet, nt scilicct constans aibitraria ad statuni quacslionis accoin- modari ponamus ticulares, eos reuera <luia hic vero binos habemus valores par- possit. sit + ppclx = ad}? — ^x ^^ ipsa aequaLione hae duae acqualitates '?' ^"^^ "^ etadq H- qqdy: =^ -J, ^' harum utraque subtrahatur ab et orierîtur pet j :=: ^-\--J^ integranda^ : c {dy —dp) 4- dx (// — pp) — o et — qq) =z o pcr j — p, haec vero per/ — q — a {dy jqTiaruin illa df/) 4- dx (// , divisa^ praebet bas aeqiiationes r ^ dr (7-4-0 = a^'j^ + dx(/ + = o, ^(Al:^ et ^) dltiarum haec, ab illa subtracta^ lelinquit - a ^f^' + « f-J^J"^ do: (p : - -o 7) ; xruius esgo intégrale est ; al (y — p) — al (y — Quia igiiur est p luibebimus : aZ y — r= ^, r/ — — ^ =: C i q) erit : — =: — = — ^, sicque -hfdx (p fd x (p J,. unde pono -)- ^) const.. q) colligitui — 21 3 XVI. Ponamus hic colligitiir : / ?tz^^'' ^ zn f^rr brevitatis gratia pro et p et restitutis , Hincque porro erit: valoribiis, habebitur/nz '-^°^^Jri~p-— • i-l-Aco ax)£kto '-f-ajc(t r/ nnde cj ^ , Oiiia veio est c zi; a et pio z inventa /i zz — 2., nostia continua fractio erit r — 3a-hx—^ XVIT. Q'iia mine in = hac expressione, sumpto x oo^ f t z :zz n ; conslans illa arbitiaria A convenientcr débet deternitnaii , qiiam ob rem , posito x zn co, fieri débet ^l^^"^^. izi o,. = i, Quia veio hinc A iiicit'item est w zz: e"^, qui valor, sumpto x nr oo, enn(îit quo obseiuato nondum scilicet unum mcmbrum aequari débet '"^'^'^ débet I — sicque * A =1 cuius acjj erit — m jt^^'^. , delerminattir , hacc investigatio accuratius institut débet; sumpto per débet o fieii haec x praemagno, ex fraclione continua, continuata, fit a expressio -f- z nr n — —^, iy,_'^^j-^» cui ergo ideoque esse zn^", A aj:= -"^"^ -),. — ax zz: A (i -4- ax" o ax' unde colligitur I- — A.zz (i ''^ax)rT" —^ i_i-}-ax) , • Posito hic \ ' x ziz ck> prodit -» 3 1, ideoqtie erit z nz a -+--7-v^> existante w zr e"** expiessionis valor etiam per séries communes satis; * '22 s Cum enim sit w=e«*, fractio commode exprimi poterit. 74}^ hac forma expiimi poterit tor in hanc seriem evolvitiir denominator vero -^^^ : cujus numera- - 2 (/^+ ^;j~^7^aJTs-+- etc.), erit : Tum manifestum est, fore : (— H- r-î-^ -4z zzi a ^ ( H- — + ^î-? fractionibiis in etc.) .TaV^ "+ {^l'x6 -+- 77^;;^ cum Praeterea XVIII. ;-, + Ponatur enim zzzan- *^ licet. etc.) primam sequen- tibus partes absolutae sint negativae, eas facile vas transmutare / in positi- — hn, utsit: — 5M-i-x7 a H- etc. sa-h* 5 a -i-*~~7 « duare cum habebimus sit %:=: a *fe. — ^^ loco — , : 3e + - 3 «+•«" — 5a-f-ae v substitut© valorc 23 XIX. Consideifmus nunc itcrum fractionem continuara generalem, pio % inventam, q^uae erat : ^ *i _ ^ "+" c-+-^'-^x\ - c-f-ana-j-x"' e -j- 3 n a -h x'* c-f-4ri,<i-f- ff<r. ubi valores ipsius z ex hac aeqnatione diiïeientiali : a X dz — d^terminantur. Jam c z d X z z d x -{- in fractione zn x^cZr, contmua omnes partes abso- kitae, quae sunt c, c-f-na, c-f-2/2a, CH-3/za etc. progressionem arithmeticam constituunt seciindiim dilferentiam na crescen- tcm, at vcro niimeratores omnes sunt inter se aequales, scilicct x". Hïnc ergo vicissim : quoties talis fraciio continua ©ccunitj eius valor per aeqnationem diffeientialem ad gé- mis Riccatianum pertinentem determinari poteiit, quod id m sequente problemate accuratius pioseqiiamur. Pr XX. b l c m a. Proposita in génère hac fractione continua ï z= ?n -f- A :: 24 s o 1 u t i o Si haec forma evidens est , cam et c rr modo CLim . ante hanc converti, in comparetur, allata si statnamus a:=: l m tum vero potestati x" tribui débet valor A quidem nonnisi integratione peracta rem valor quaesitiis pro z X dz fieii — mzd X + Q.aam ob licet. ex hac acquatione quod , diiTerentiali : z z tZ x zz x" d x, derivari débet. XXI. Ut nunc hanc aeqnationem ad consuetam for- mam Riccatianae redueamus, statuamus z zz: x^v ut scilicet hoc modo ad aeqtiatio x'^'^' dv -\- quae , per x'""^' très terminos redacatur : vvx^'^dx zn x"dx, divisa, abit in hanc: dx dx z=. X dv -j- vvx y quam formam ut penitus ad Riccatianam reducamus, ponamus I 1 x'" — et x'*~'"~'i=:t fict t, utfiatx'"~'rfxzr:^'et x n m — — cZi^^-^-— quae est ipsa "" —m = t% ideoque dx—^f'^'dt I , quibus substitutis aequatio t^^'^df, sive mdv -{-vvdt nostra — C'^^'dt, aequatio Riccato débita. XXH. Perpcndamus nunc ante omnia casus, haec aequatio resolutionem admittit , qiiibus qui sunt quando in termino ad dextram posito exponcns ^^-^~^, in bac forma 25 7""^^' 'continetnr grum , denotente r/_Pi » mimerivm quemcunqne inte- sive ncgativum. sive posiliviim , ^— rn — i Ponamiis igitur ^^ utrinque binariuni addendo hubebimus ^rz—^, unde siimi -poterit mrzzQÏH-l et /izz:2. Hinc quoties fuciit m numems impar quipatet sumto n zn 2 , cunque, sive positivus, sive negativus, continuae fucrit Z quod posse , actu assignari H -r— ,-: valorem fiactionis ergo contingit : m2 i -f- 1 Ubi qiiidcm notandum XXIII. Qiiolies absoluta est integratione de- fterî xx =z A, estistente x'^zz t zz x"~^'. beie x" zn A, hoc est aiitcm bis conditionibus continclur, fraclio continua proposita non tiini etiam par methodos ad- hnc cognitas fmito modo netitiqiiam expnmi poterit, contrnli esse dtbemus valorem cjns catianam perduxisse, qtiippe niias si salis ciijiis sed ad aeqciationem Ric- resolutio per séries infi- commode exhiber! potcst, id quod unico exem- plo dcclarabimus. EXemp1um XXIV. Proposita nobis ' a sit I. haec fractio continua H- A 4 +- "c- AKmoirci de l'Acad. T.FL 4 : q6 Hic ergo eiit m rr hac aoqiiatione X d. z « rr r, alqne et i qu.ieii differentiali — z- d X 4- 7. z- fiat ita fi x , instilai debeic, ut x ^n o posilo z zr !.. Ponalnr nnnc z :zr x 2; , S,v -\- V V dx zi^'^^ , ponamns valtir, fit mx ex : loco x scribi of)oitcbit A^ nnde hacqiie acqtiarione lesolnta patet integratiGnem t^r oporlet % ipsius viilor quae et î;r^^^"^ , xdc/w — i/dx^ ut ut comnrode in sumto elemento = o, qude jam poterit prr potestates naturales facile ipsius tuatur ergo u i:^ ax^-|- 6x^"*"' -f- ex critque Iinec oiiiitur in aequatio scricni resol- dx constante sciiem lesolvi x ascendentem. "^' : Sta- -f- c/x''^^ 4- etc. : ^' — aX(X-i)x^~V6rX-+-i)Xx^~"-f-c(X-f-2)(XH-l)x^ H-d(X-+-3} (X+ 2)x^"*"" -f- etc. quae séries aeqiiaii débet ipsi j, hoc est flx^— -Y bx' 4- cx^-^' H- dx'-^^ + cx'-^^ -f Unde patet prions seriei terminum aX(X rcdigi debere, id vel X HZ o vcl XXV. quod duplici modo : — fieii 1) etc. ad nihilum débet, suinendo \zzL. l, Stimatur ergo coaequandac eiuut: primo X zr: o et séries nostrae 4 5 ^ 27 •eiit I. 2c -{- 6 dx -i- 12CX' -{- 2 o/x' -f- etc. II. ax'~' -\- h -f- ex -}- dxx -{- cx^ -\~etc. ^ -igitiir et : _6_ . J ^ ^ I . , b _£_ 2 . . î 1 . 3 . 2 . * Q d qiiamobiem nostra séries XX H uzzx-i- — 1.2 '-. ' . ' 3 1 . 1.2.2.3.3.4.4.$' 4.5 4-5 -^ pio n snmto — x^ H 2- . Simili d.lu pro lies j ' XXVI. / ' 1.2.3.3.3.4^ J .4 3.4 I . . -^ 1 ' 4 modo evolvMrrms erit : 6 cz: 1 — X* H 2-V--3- . a-' . — —j— + etc. 3 . 3"' 3:^ 4'' . ' . î casnni X :zz 1, ac se- . inventa eut: ^^, l.25^2.3cx-4-3.4dx2^-4.5cx^-^ 5. 6/x"* -+- etc. €iu aequalis esse débet : ^ rz: a -4- b X H- c X X -{- (i x' -f- e X* -f fx^ -f- etc. • tindc fit : az:z 2h h 6rz-^n; • •. a C T Hinc crgo SLiinto a ziz 1 — 1.22.3 u Tz. X -f- 1.2 XX H quac cil nunc 1 'j; ^^ .2-. 3 1 3 d a I.Q-.3-.42.J . pro u habcbinnis hanc sériera: ~ H =r^,— X* H x^ 1.2-. 32. ^-5-^^ ^^ +- etc. I. 2-. 32. 4-. m praecedente prorsus congruit,. XXVII. «rit , . 4.> _ 1.2-.3-.4' 3.4 a^ c Invente jam valore litterae u, ob ^' rz: : -f- ï— H x H- --% H -4- etc. r^V-. ^ — ' i.a - -f1^ 1 .2*. 3 . ' — 1 -^ -^ .2- .3- .4 3 -^^— r etc. h 1.2-.3-.4-.Î 4* " ' ' . ^^ 28^ Quocirca ipse valor fiacrionis continiiae propositae erit : H- etc. X , XX , H commode evenit, 1 ubi obiem, JCÎ y- . - -f- A H- -^^, 1. H 1.2 -h- 1.2^.3 — ' -f-. 2 vcius i Ikil valor -f -, H ' . zizzi. dnam- fractionis conti- 2 1.2^. 3". 4- 1 a ' r- 2— -f- etc.. 1.2^.3^.4^.5 a r i (1 m. Ami, Sumamus .^V- 4- etc. 2— -, ' Coro1 XXVTIT.. xzzio ^ etc. , - a 1 eiit : i ' -2 ut siimto fdciamus xr:^ A,, si nuae pioposiiae fiactio 2 , x4 .. . ita pioponatur haec ut continua :• a :zz 1 -f- -, 3 •+ »_ 4.-f-_L 5 -4- ^fe. atque valor ipsius z etiam: sequenii modo exprimetur 2 ^ ^ cuiiis -^ rîi „2 >2 I 3l:£ + — ^- -^ r-2^-^T^ -^- I «2 .1 ,2 etc» ''^^•' r72^.3'-4-.. -*- valor in fractionibus decimalibus satis primi poterit. ,2 : Reperitur autem niimerator :=: commode cx- 2,278584 et drnominator ^^ i, 590635, unde porro colligitur valor ipsius z =1 1,432490;. XXI.K. Potcst vero etiam iste valor ex ipsa continua; deduci.. fractionc Cum enioi- omnes numeratoifis sint nz 1,, 29 partes absolutae soliLo fidGtioncs 3. 4. I • 3 iO . Ô > I » i; 7 * I 2. fraciionrs uliciiLis siibsciibjntur , . 1. qime tanquam indices ordine sciibantur, ' eo more ut sequitur : 5. 6. 43 • iO ' 22i propius et 7 etc • iW * 1Î_9J 972 ad vciitatem; accèdent ,. quo- continueniur.. ^' »»0OO0»30MM>< , 30 DE INTEGRALIBUS QUIBUSDAM INVENTU Dl FFICILLIM IS, AUCTORE L. E U L E R O. Conventui Obtiilerat 1. 5. — intesralis cxJiibuit die J^ f ^ se mihi eum , jiim fuere , iriiti alqiie infinilas incidi, cebat. Primo enim evolvi s z^ semper — fdxlx forma m eiusmodi séries teiminis hoc j nullo modo - ^ -^ Haec autcm erit ï séries modo pateat. / J, — x^^x /x m 4_ ita li- seriem : + '^^-l x^ H- etc.) sit : integratis . modo in /- x^'Bxlx =:^'^- Ix -^rZ' =- T^- l^ Sumcndo x :^ i pcr istum valoiem radicalem (i -h ix* -f- ^^r« pro qua integranda eu m in pai tim assignare nulle ut habercm hanc formula m solito, formula luicc Snspicabar enim, non sine Verum omnes conaLus quarum summam more dudiim partim per qiiadratiirani ciiculi , logarithmos exprimi: investigandi 17M0. Maii cujas valorem, ab x zno ad x ^i i extensum, cognoscere optabanp. ratione , i • est .—^^tj , reperitur 3. -i 4_ liJ -+- et r?'%siiigulis : î comparata , i, _(_ etc. ut cjus summatio , 31 Conatus 2. J. igit[ir ^c^d [)lmibiis siiccossit , donec tcindfin ipsius /x in scncrn poteiat. Scilicet — (i — XX). — Ixx =1 h expfdîii IX scupsi I '^ orancs in soricm re- tolutn qiia eum sit Ilinc institutis negotitim /x:=r^,/xx, pailes facile fcliciter hic loco- — -f- etc. -H : - 6-- + etc.) quadratuiam ad non enim sratim piodibat: -f- .— -+- —4- C rcs idoneam lesolutionem in pioposita in ha^nc transformabatur sicque formula eu jus tentaminibLis niiper incidi , Zx perduccrent dd formulas in- solvtrr, eiijus sinj^uli termioi tegicihiles, fiictorem eicim Giicuii redu'- Ciintur. 3. §. Q}\o hoc fàcilîus praestari hanc reductionem possit constituamus : px(i — a:!)'* — Ax(i — xx)"4-B/ax(i — XX)--', unde dillerentiando txir undc fieii hi^itur A habebitur dx — xx)"~' dividende — xxrzAfr — xx) — ouAx^ + B, et per haec aoquatio-: i ori- (l débet A -f- B m: i et A-\-inA:z:zi. Hinc col- m --^ ista et B zzz ^^ leductio generali? , quociica, sumLo x z=: ij. : /ax(i ~xx)''-=:^^^_;-./ax(i-xx)''-', et loco n scribendo X -f- ? eiit : /ax(i_rx/-' = l?;;^ipr(i-xx-) 32 X' Cnm niinc, integrationcs scmper ab x r= o ad 4- §. extendendo, ==: i *edactionem /"—rr.*i=r tr: - , sit repeiietui per islam ; /dx(i-xx)'-l.i.^; /ax(i~-xx)^ = |.| — ï px(i-xx)':r:|.i.|.i.^, etc. His valoiibus oïdine introductis nanciscemur sequcn- igitiir tem seriem quae séries : niiiho simplicior est ea qiiam snpra attnlimus; intérim tamcn insignem alTinitatem tenet, aique adeo isLae dude séries §. inter se Ut summam 5. aeqiîales. siint hujiis deremus hanc generaliorem v — — -{--^ a.i ' 2.4.4 t* -L:?il- t^ H- j.4.6.6 nuinifcsto est v=zf^l{y^_,,^ t z::::- l't ''^ — ^'^"^ 1) , ^''^^ qno consi- y( + etc. ' : = T-+-H'' + H;::t' + cujus valor investigemus , : unde ditTerentiando adipiscimur ; sériel etc. — — '_-=; iiucgrali 1). Hinc ergo invenio suiunia quacsila s -zl ^ v. fiet poni debebit , 33 V ftin/i, - 1 Hic primo irrationalitatem 6. §; cxtendi gr.itioncm u jr: i, 11 - n: du i — uu. oportebit a termino r ^uii» <^-^' r J ' ciijus tzizV sit trr i, hoc iisqne ad dt - ut 1 intégrale praebet ideoque u s ziz ^,1: 1 1 :, hoc est Tum autem eiit igitur : r y / v z=z C Nnnc t z:z o , • q"^~ CQnhcitur uu v ponendo Niinc autem inte- uzrzO. est ^^^ r'"~~"^ ~~~ — C esse débet Ici. abigaraiis , dit I -f- u ' — /(i-f-u), ubi constans facto i/rro prodit vzilI'Z qui ergo est valor forniiilac initie pro- positae, tantopere desideratas. Praeterea vero etiam séries aoteiaven-tas nunc summare lieet, scilicçt séries ex J. 1 , qu«jte erat tum vero — --'- --^7^ ^ 2.2 -f- 2-4-4 -h 2.4.6.6 H- etc. ' quae summationes simt. Hinc subjungimus seqnens per se — satis l<>,' abs,trusa;e videri pos- T h e or e m a. Proposita formula integraJi f^^Al ejus valor, a termino xzz-O usquc ad x zn i § ". pliciore: trucidri Si ha ne formulaiji. cxtcnsus, est zrz.îrrls. comparemus ciim ista sini- f~_^'^, minim nlique erit, hanc non simili modo c[iin tamen aliund^ constat, ejus valorefla, posse , Miinûrti de i Acad. Ti'l, ^ 3^4 m ab X z=z o ad X extensum, esse '=^'^^ _J— rc 4- X 44+ /_%- ax/r[:*,^=.] =: .^, X' -f- x' 1 inde oiictur hacc séries - + /7f:i-' 1 inen valorem ex elicere mnlto et -f- ^ -4- /s 4- ,^ 4- etc. inveni esse = "^Z j qnem tamodo formula intcgrali nullo adluic isla proportio satis nie- : C zlliLL* §. î Hinc ergo scquitur potui. morabiiis ipsa eic. : olim piimus cujus siimmam a;* Cnm enim sit: - 8. : / -=_^Af His vestigii5 latins in TT : insistent! , patentem mihi quam operationem — simili 3 Z 2. formulam modo tractare licuit,. seqnente problemate explicabo : Pr h 1 e m a. —X ôx Ix / 1 X ) ( valorem, al integralem x :^ o ad x rr i extensum, per exprès^ sionem finit am, tantum arcuhus circularibus et loga- rithmis constantem, exhibere. S o 1 u t i o. §. g. antc omnia observasse juvabit ha ne formn- ITic /X — ÔX m I -X ab irralioualitate prorsus libéra ri pos- — , 35 X ponendo se, hanc abit in «oqr.e /—^; tum autem : x''=z-^^> cnim Ilinc zz: t. x^zizt'^Çi eiit — l substitLitionem prodeat y id- xm, a tzz.o usque ad t z^i 00 autem demonstravi , ^sse — istius est fit per hanc ut ita -— -^, nbi, quia, ctiam ti^o, at posito samto x :n o, tzzzoo, hoc intégrale Jam dudLim extendendtim, foimulae valorem hoc casu — TTl-TT sin. Hinc ergo sequitur , etiam formulae /X — Ô X m I valorem esse 10. — ; integralis : ^ /(l— X) §. x") (l -\~ t") iinde dilTcrentiando prodit ^^ :r3 ,-77:^7^ , Il — sive in logarithmis-. nlx z:: nlt fit faimula ista , ab X :=z O ad X m extensae 1 -^, cnjus loco, brevitatis gratia^ scribamus A." IIoc praenotato in ipsa formula proposita loco Ix scribamus -^Ix'', hujusque loco porro— /(i sicque, facta cvolutionc habebimus — (1 — x")), : -Zxrii— *- + ^i^^^ + ^-i^^"l^ + etc., qua série formam substituta^ formula nostra integralis induet : 5* hanc . B6 ad niembra singula cujus ante valoreiii introdLiciuin TT Ilunc cnmi in levocaie licebit. tmr fineni constitLva- VI sin, -- mus liane rcdiictionem generaliem : /x"- ôx (i — x")^ — A/tc"-' dx (1 ~ x")^-* ' — xY, .j_Bx"(i factaque differentiatione ac divisione per X d X (i —X -, ) prodit haec aeqiiatio : 1 imdc — —A x'' -+- Bm (i — x") — XnBx\ A et B ita dcfiniiintur literae : ^ et B := — T-^— zn Quamobicm, quia omnia haec integialia ab xino ad xzni sunt cxtenden da, habebimus banc r(?ductionem generalem : — Xn ax(i— x)n\X — dx(i— x)i\X -:;.^.p^Jx m — i-\ r^ '/<t 5. IIujus reductionis 11. vàmus , 'ac ATI ::zz n —m pio , prima parte sfecifnda i->. / i . ope singuLis partes evolerit X :iz: 1 idc:t)que uinde colligilur : /x"- ''d-'x (1 — x") '^Pro vi ; / f/)«ft<; erit I —"^ Xr-jr hincque coUigilur pars sccunda ^ =z ^^ A. — sivc ; '^-, Xn^z'2 n -^'%, . 3"7 — xV ~-—'^'^. A. 3n — pute, ob X 3 — ^ m 3 — - —r^— «X — ^ A /x"-' dx (i Pio tcitia X ilr~_5 et Xii ziz :zz ( 1 TÈoclemque modo /•x'-'axri '^^31 ) erit pSrs — xT - . ?»i, ciit : ^ . . . qtiarta : — !ir--.--j:i.i!L-::!'.4:L-i2:^.^ et ita porro. His igitnr singulis paitibns colligendis pro valore quaesito S hanc habebimiis expressionem — 'm) Çî'it —^fe ) Çi— 'w)C.'Tt — w) Çti : S rz: A C—— ciijus Ç. C'^ ^-^'^rt') y . I eigo seiiei suinmam 'investigafi oportèt. 12. Hune in fmém. consideiemus istam sériem ^ge- neraliorem ; n.a ~^ ^ 71.2.1. in, ^ ^ Ti.aa eiitque dilTeientiatione instituta et per ^^T '^dt n — m.Tt , (h — ot )(-.7i — 171)^271 ( 71 71.271 71 cujus seiiei surrinia unde ergo dcducitiir '7t. manifèsto est ^ T z= ^ (i ((i multiplicando: ( —ttj) (; 7| — m) (371 — 771)^371 271. — — v.v.-<-», 3a ^Tiod inte^gral^ ^a t") 1^ '^ ^—T) ieimino 't 3r-o 'iisque ad — — — ~ '^ f'') (n conseqnchtér "habtbiMis Tz=:/^^((i H" ^^C. '^ sTi.'sli '"^ t l), 771) zz i 'i), c'xte-rf^ débet, quo facto erit noster valor qiiaesittis S si:^ T. — 38 Niinc i3. §. dcducta ad sir igitiir novani jam tantnm sumns lucrati, ut res formulam qiiidcm nnllos logarithmes involventcm. integralem sed Ilanc vcro fornuilara ad- €0 ad rationalitatem perdLicere licebit statnendo i—f':=zii^, — i= — TZ-ûi^ tuin enim quod intégrale, tendi debcbat ^ nunc cxtendi u o. rz: fict eu m a atquc ' t z=. o temiino débet nsque ad t rz: i ex- m usque ad ab » Permutatis igitur teiniiHis integralionis J u^ 1 quod intégrale jam '•aduz:zz i-' nanciscemar liinc i fiet : ' certe per logarithmos et arcus circula- res exprimera licet, sicque problemati proposito plane est satisfactum. §. Hujus formulae pars postcrior integrationem 14. sponte admittit , cum sit j^—^zr^ ^^ valor jam evancscit facto u zn o , prodit inino qiie taie infinitus ; membrum pars ^ {^ —O j ^^''• at vero pro altero ter- prior integrata continct quo- — t^(' — dente conjunctum dat — Z—"--. ambo hacc riiembra junciim omnes aiitein reliquae integralis niagnitudinem; '~ '0 » Q^-'od cum praece- Cum ic;itur sit ^-^^— nr sumta partes piaebebunt habcbunt ^-1 ;i, n y finitam 39 Quanquam i5. ^. tvadita, inLci^ialia fornuilarum invenicncii, taliuin utile fore arbitior totani crpiis repcterc; quam ergo solct, hie acijungam. pammper inxestigiKionem , Pr Proposita formula in-- disciepante traciare succincLius qaani vulgo b l e fieri m a. T zn f hac: inte^rall valorem, a tcrmiiio ejiis haud siuVc integrationem ex primis prin- Irane inodo atqcie jam passim pi-aecepta autcin '^'^~ ^~ -n~ d u, uzn o usque ad uzzz i ex- tensum, investigare. S o 1 u t i o §. esse a Modo notavimus i6. ~l {^ — O» ejiisque , tradere V —j .jur^r» ita partis posterioîis intégrale valorem intmitam, casa u:zzi, parte priore iternm dcstrui , integrationem : unde hanc suflkiet ; d U :=: — nator nianifesto liabeat factorem i ut; sit solius ob iibi ^-^p;- , — partis prioris rem statuamus ciim denomi- inde nascitur talis u, scilicet uiizi. ubi erit A .— ^_^ ^^^^ ^ , posito Modo autem vidimas, fràctionis -~~", va- lorcm esse ita fractio partidlis {- , pars integralis liore lem l II. ut sit A =: ^ , hiiicqtie orietur prima {f;z^ ^^ ~ { H^ — ") ^l^^e cum poste- parte ipslLis -'- - , : T conjuncta producit, ut vidimus, valo- — , 4o Pro, §. 17. Tîiendi? sit 1 lpt;is — u", i rcliqiiis —Qu cos. quqm $ Imjiis p.iriibiis qo 111 para tu m- — 1 cluiin , denoniinator evaf. detetminare liccbit. ô Hinc autcin scquiiur tore in gcncre u ncji ""' cqs.ô; ex qua forma atque bine primani et est c cos. ù, omnes potestates altiores ipsius u constantes licebit. Evidens autem difinirc etiam quaevis multipla potcstatum , haruni u "% ipsius u seriem con- intelligitur , potpstates rccurrentem , cujus scala relationis stitdf re, ut, opnrtqt , esse . ipse. qx qua conditionc anguluni i^esçat , inve- fdctor quiciipqLie denomina*. -f- j/// ita, pqsito uuz=. 2 a, cos. ô-. inlrp;raljs —l par -solam vcluti est A//u, Alt', Au*, etc. se'cundiim candcm scahim relationis c cnc. ù,— 1 p^io^ic.di , colligi §. ut ita ex quilpuscunquç bipis scqucjns facile queal;. Obse^rvavi autem hanc pro,gveSsionç4n 18. jUicissim^m , sujato AirzsinJ, boc leinm.i notissimum; vpc.aroi,!,^ sin. (X H-r i) ^^:i: 2 hiacqi,ie séries u sip. ô u^s'\Q.$ Jt^ sin. ô co^.^ sin. X^ facto — sin (X sim-r in sub^idii^iro, — 1) ^ , liaruip potestatiii^iji sequeati modo a(;\9jijpabiitur , =: u^s\n.$/ziz tfc/,5in. d (juo fieri « sin. i/,, $ ;', sin. 2 0. — : s(Q,. O,-; — 4Ô — zn usïn.5 — sin.4Ô; nz « sin,, 3 ^ sin. 2.Ù ; z=z siiji;.,3^; u,si:ip., etc. : ' , 41 atque hinc u Cum nunc sit — sin. (X hinc — z= u sin. A ^ sin. $ ig. §. gcnere conckidimns fore: in ^ sin. (X — i) 5. : i) ^ z=: sin. X ^ cos. Ù — cos. X ^ sin. è ^ fiet : — u^s'm.ù zn î/sin.X5 sin. X^ cos. ^ -}- cos. XOsin.^ , conseqcienler : U ~\ Zi: V- COS. , usum formula ad sequentem qiiae X optîrae est accomodata. Nunc ad ipsùm angulum 5 quaerendum siimainus Xzii/ij dit U rz unde —' '^ : h COS. n 9, colligitnr denominator : n 1 ?(i j/ii — n9) co! Il — — — . (u coc. i) ii n. n 6 « qui ciini debeatnihilo aequari, praebet has duas aequalitates sin, : /z^jno iibi / est nunierus COS. )i ^ fore n ^ n: i tt, unde patet et cos, jzôzni, inieger sive par^ sive impar, quia vero débet esse m: i , levidcns 3 est pro i snmi debere > numéros pares, o, quorum valorum i!I, n-' ut valores pro angulo ^ assumcndi sint: i^, n primus o quem jam §. ita ' ^, 7i' dat «", n',etc. denominatoris factorem (i — u) , supra cxpedivimus. 20. Denotet nunc eritquc M''mf)hri derAca^. ô haec formula T. FI. quemcunquc alium istorum i — 2 ;/ cos. ô-\^uu O certc 42 — fjctor nostri dcnominaloris i u", ^^^ re« fiactio atqiie soluta certe continebit partem hujus formae : ._^„^,^(,^^„ , cujus numerator N reperieliir, uîi alibi dcmonstravi, ex hac*^ Nn "'"~'^',~_1X -"^--^ positoscil.uu-2ucosJ-i-i =0, forma: tam numerator quam denominator evanes- casu qno eigo cet ; unde ad valorem endum , y^J^-^ , — COS. 6) n Supra autem invenimus _ (u-co. " X I / n V. qnod, ob — m u'' denominatoris 1 , fit "i^;-^) ^ : A . "»-+- i\ < : Qs/n.XO _^ ^^g^ j^ ^ ' sin. i quamobrem '^^ J^''- inveni- et N erit sicque numerator quaesitus u^fu fractionis numeratoris loco dilTerentialia substituta dabunt '~ hiijiis erit : __ ^.cosJcOS.m^ m _ + __ ("— •^;-^"± - (m -h u COS. ^^. (u.-cos.9)co,.9sinml, ^ y s;n. a ,l3i . COS. ^' 1) hinc j^,__ ^C.-c..0(..M>wn_m9-nn.(m4-00^ ^ _^ COS.^ COS. WzO - COS. (W-^ )$, J sive N zz: - r— (iijZL££Lili!^?£f:^* -f. sin. m $ sin. ^) N 1= -^ (sin. $ sin. m 9 — (u — cos. $) cos. m $). f. 21. Nostra igitur fractio i'ractionem partialcm : iin.6 iin.mê — — (u tos. é)eos.mi ^^^^ hanc , sive continebit — . 43 qtiam ergo, per du mtiltiplicatam, integrarioportet. Qniaauteni duabiis constat partibus, earum postiema -, <f itzzSÎLJlf£LJ!'±^^ * ' nj itt COS. S -i--uji A • — cos.d -+- uu); piior veio pars: du sin. 9 — sin.m$ / 1 t — 2U ^-~~ l {^ integrata dat i a ^ .:r— ^:^ — sin.md A tae. • Sicque totum intégrale hujus partis k — —— a sin. 9 erit : — — ^n- Ui-2U cos.$-huu) -h ^-^A O an 22. §. 1/ =r o. quo V ' Superest igitur tantuni facto pars logarithmica 1 / -. _ /\\ COS. ^) sin.mi -n consequenter ture 1 — sin.9 . ^ ^^5- rzcij:* totiim j • , •» a« sin. î ô' = ^^^^ Z2 sm. _ » ï 9. _ —— , cos.vii » • : — —n— A nn.wj coj.î« . tag. ^^- (tt S) î/n.m« ortum ex denominatoris fac- intégrale 1 2 sin. i V --h ^ i m &. sin. loco $ successive substituan- ^, ~, -- etc. et in valores supra assignati, qui ernnt ^, summa omnium harum formularum dat verum valorem ipsius T, postquam *-ln. i, erit : COS. Quod si jam in hac formula génère scribamus 2 u COS. $ -{- uu erit : , tur ucos.t evanescit posito ut loco u mi — -— Z4 Pars autciu circularis erit * tag.-^"*^ 1 Il ' Hoc intégrale manifesto jam ni „ __ Z(2 — 2 COS. / Posito autem in génère inde orta erit : —n cos. 1 71 scilicet 2 sm. — 71 u ' addiderimus terminum '-^ , ô :=z ^ integralis pars — sm. î n II iibi loco i scribi debent numeri i, 2, 3, 4, etc., donec intégrale 6* 44 completum, quibus omnibus cxpcditis fiat situs valor quae- crit T inventus. Illustremus haec aliqnot exemplis E X e ni p §. Sit 2 3. ?zz=:2^ quid et 1 11 m i. m minus esse débet q^iuim »t, 7r A :zz ne quantitas ^^ fiat neccssario infmita , erit n sin.-— n mzzzi, ideoqne A zi: - . Tiim vero tur igitur terminus lie y prodibitque invenimus, ante ut V 1 S zrz ^- l 2, erit Tziz'iZs. Adda- T =z Z 2 ; qui est sicque erit, valor formuiae — X * Exemplumo, §. ntroque débet Sit 24. vel 2. 'E.'i m vel prodit A rz ^^. Tum vero sumi nnnc n rr 3, eritque autcm valore l =1 —, quem valorem solum'sumsisse snfficiet, ex quo Tz=. iibi 'n — f COS. 2m7r/|/3 -f- ^^g Trsin. insuper addi débet ï Z 3. T — .U3-\- -\- TT, f m7r, Pro casu igitur mzzii hincque S z= ^T^^- — dxlx- Pro • V i—x' m z::^ 2, crit erit + ^J-^, 3 casu, ubi : ut ante A:iz.~J' . at vero altcro» — - - 45 xdxlr ,./ §". 2 5. Loco pIuiHim exomplorum formniam gêneraient tradamus pro namero quocurlqué n, siriTTenclo Ûzzl'-—, donec fî.it 2l^n, qiiippe quos c'asu's onincs rcjici 'ôpartet. ..7i;itur ex SL'ribendo Dr,h'=>'^ formel pro casu i, 2, 3, etc. — COS. —— C05.T -^ -' .-^'d^ $ zz:'^^ e^oluta et loéo î ordinc hune valorerti: repèrieriius — l2Sin Tijin H- — - - /2 sjn. ^- — siu.- -jzr -i-^ -~^ sin. , etc. Ha? sciTicct fuerit iTsqne partr-î- c*o f<^«, -aqie continuari oportet , qnamdki hoc valore inAento habebilur pïoblemate prima S zr A T, existente A rr — ?î • pro — mTT sin, fi - ^i §. 26, Dciplicis îgittir generîs termini in sione occurnint, quorum priores tantum logarithmos invol- vunt, posteiioies. autera qnadraturain commode usu vcnit , hac exprès- ciiculi tt, atque hic ut istae postcriorcs partes omnes in onicam formulam confrahi queant, quod, si etiam circa priores partes logarithmicas praesrari posset^ id pro invente? 4« niaximi momentî esset habendum. Quod autem ad partes ciiculaies attinet, carura contiactionem sequenti problemate doctbimus. Pr obi enta, Omnes ad quas in prohlemate praecC" partes circulares , dente sumus perducti sive , omisso factore in unam summum communi ^ contra/iere, hanc , n — 2)sin. ——i-(/i — 4)sin.*~ -+- ser'iem : (n - 2 ij sm. --— summare quousque scil. ^ i non superat So1utio §, 27. Ponamus n. : ^ bievitatis gratia rz: Cj) atque séries ptoposita sponte in has duas resolvitur : nsin. 2(P H~ «sin. 4C|) -4- nsin. 6(p -+- -+-w sin. qI<P 2 sin 2(p -h 4sin. ^(p -f^ôsin. 6(p -h +-2isin.2i<P tum enim piior , demta posteriore , dabit valorem , queia quaeiimus. 5. 28. Pro priore jam statiiamiis : p =z sin. 2 4)-t- sin.4(p -f- sin. 6Cp -f- .^..4-sin.2 i^) ae multiplicando per 2 sin. (p fiét : — COS. 3 2 p sin. (p zzz COS. (p — cos. 5 — cos. 7 (p 4- COS. 3p -\- CCS. 5p-+- COS. 7 4) — COS. (2 — ]) -I- COS. (2 i 1) (|> - unde fit p zn / t^t^t^ — — . p — COS. (2 t -f- 1) 47 hanc Pro altéra 29. J. serieni : q :n cos, 2 eujiis sumnianda consideremus primo série ^- cos. 40"^ ®os. 6 Cj) + -f- cos. 2 i ^ statim dat : differéniiiile ^|- r:2sin.2Cl)^-4sin.4Cp-h6sin.6c|)-4-.:...-+2isin. 2iC|). Jani vero reperiemus 29 sinjp :zz: : — sin.Cj) -f- sin.3CÎ)4- sin. 5 — 3 — (2i — — sin. -f-sin. ($) sin. 5 Cp + — sin. 7 Cj) sin. 7 Cj) 1) Cp-f-sin. (2 i-j- 1) (J) — sin. (2 1 — sin. 1) Cp sive 2 q sin. Cp iz: ideoque — o 1 ' (J) + sin. (2 _4_ £i!'jiii± ilî 1^ i: » j;n. conseqiienter habebimus $ + i ,' i) (f) ' : " quibns sinT^ ôcp î valoribus inventis a séries sin. (p* prior , demta posteriore, hoc estnp -\- j^, dabit valorem quaesitum , problemate proposita, diicta in partiura f. circularium, 3o. * vero in séries ^, dabit summam omnium quam quaerimus. Verum ad valores convenit , casus considerari par, vet numerus impar. p prouti Sit tt q n igitui inveniendos fuerit vel primo duos numerus par, pona- 48 turque Jzrzcî/, posLiimus Cp :rr p zzz ita ""J, cot. ^- quae expressio p nz ubi est î P 1= COt. - ncqneat siipcvarc ï mine (p-z^:"^, ciit ^j -f- J sin. vit: . l cot. -^. — (l Iianc : COS. m-K) ; rr -jh i, prouti atqiie qiionîain deducimus : iinde ~ — cos.mTT cot.'"^ ^^ ob sin.inTrrzo, reducitur ad , cos.7;î7r vel impar, nt priori casu facrit vel 7h p erit znz o , numevus pat posteriori vero . / §. 3] . Porro atitem hoc casu ^^z:zicos.7H7rcot.'^ quae expressio, d q ^ ob — 1(2 r= 2 i erit : — ^sin./7ZTC0t.^ i-t- i)sin.?nT ^ , abit in hanc : sin. miz zizo , - zz:: ?2 7inT cos, 7» TT cot. ^v. i cum sumnia quaesita sit np--\-^^l, ca erit Zcot. '"^J, niTT consequenter, loco 2 i restitiiendo Uj erit summa rz îjicot. Qiiare §. 32. Evolvamus nunc etiam altcmm casum, quo n est nunierus impar, bet n, et quoniam 2i-\~l siiperare non dé- manifesto pofii polerit 2 i -^- i z=zn, quo facto stacos. in-TT uni liabcmus r^ p rz: ^ cot.""" 2 sin. . /2 cos. 771 TT, 171 TT 2 fiin. -- — . n sin. 7;i:t cot. --• e sin. TT. rr Dcinde vcro , 49 hincqne ipsa siimmn qnacsita 72 : , n COS. - n _L_ ,-^i ::zi ^ 2 sin. —= n ^- — coi. . ji Cum igiiui-j sive n sir ntimciiis par sivc im- 33. §. par , eadcm summa prodcat, ^ multiplicata dabit quaiLim summa o]£;o generalis supra It pio scilicet î n cor. -- , lucc pcr summam omnium parlium ciicularium, erit ^ coi. consequenter formula ""^j^; T inuenia eiit runc: i"f ,JJ!T ziz- In -\- ~ cot. 1771771 I :- — n -- COS. / • -rr c sjn. - COS. ~— 12 sm. — COS. - - 1 2 sm. ^ ?; 71 etc. qiiae expressio porro, ducta in n sin. ^, — dabit. valorem ex- •71 pressionis in primo pioblemate tractatae, hac nova formula multo facilius erit sicque nunc ex: exempla particularia, quolquot libucrit, evolvere. §. 34. Circa formulam intcgralem, in problemate primo tractatam, casr.s prorsus singuîaiis occurrit, quando /n nz ;;; A z=z 00. At vero habebitur T zn /'o 5 sicque prodit S m: A T m. co. o, cujcis ergo valor Iv c modo plane non dcternîinatur. Eum ergo immédiate ex ipsa prima tum enim fit M<::o'irts dii'A.jd. z/ T l'L ^ — , 5o m zr n erit formula eruere convenit. Posito autem —~ ^ quae ,— x-ï ~ J * per seriem forniLiLi Sr=:/ evolvitur ita clxlx [l -ir X X seiiei summa cum nulla via patet , sit -h x -f- etc.) — x""~' Dx/x rz j^'^. : = ;„(l-t-^-h5-f-^-+-^ + S cujus banc sciiem : -\- X qnac, ab x z::; o ad x rr i exlensa, ob / statim ducit ad : etc.), ^, erit S zz: ^-- . At vero hune valorem ex praccedenie solulione deiivandi. Pr b I c m a. Proposita formula integraîi hac : V zn/— 3 v * ' 1 v% valorem^ a tcnnino v zn o ad v zi: i extensum, per expressionem finitam rcpraesentarc. 35. ~ sicque — v) ~ ejus S o 1 u t i o 5. ( i Z : Cum sit lu:=.l(i — (1 — 2;)) erit per seriem: r zz: i^-^ + ^-7:^^ -h ^-^^ 4- etc. erit : V =:zfdv (^^)* + ^-T- ^' -+- -7-'"* + ^tc-). Qiiare cum in génère sit fdv(i — v) rz — Yn-i— "+ ^' ' hoc ut evanescat, posito Facto nunc y ^z 1 , t? zz o, fieri débet erit pro nostro casufdv (1 C zz — v) r^_!rr;- ziz ^!—_. 1 ' Si - Qiiamobrem habebimus V =: — Tiy^T) = f (^ — «^) vitur. Elit enim : — -4- 1- etc « qno I I ô_f_, j_)_j ) < ^. ad facilius 3 ^«-hi ._ ._ jznri jzf~^ ^tc) redigi queant, : + eta p=::-^+^-4-^-+^' r l'a hoc modo ^:|_3 formulas intégrales piior ita repraesentetiir altéra tcio nostra in duas partes resol^ séries * _-<-|+|4-f-f- etc. ^_.. — qiiae — — (- ' Cum nunc sit -jj-"^—) " 7 (^ "— i^T^* ^^ i" génère 36. §. : ' 4 ' : J-f-3 ^^-f-c qnippe quae casu z:!::! in nostras séries abeunt. Inde vera prodit : fJ - i+j -h r + J^ + iy^y -^y llinc erit igitur p /mo — q z:zf~^'^'~' ad / nr 1 dp = ,-^, H-etc.i=^. -\-y habebimus etc. — d q =. ^-^^-^ Formulam istam consequenter integralem ab extendendo^ valor noster quacsitus erit Vzi: jy~^'^£P^, qui utique sempcr pcr arcus ciiculares assjgnari poterit» logarilhmos et . j — . 5ù C §. o 1 1 a r i u m r i Qiio has formulas ad majorera affinitatem cumt 37. ponamus primo l'zzx", ante tiactata redacaraus, foimiiLi pioposiLi nunc \ rr n n j sit —x ita ut ipsa 1 —x dr (t l x. ) Ttim vero ia formula, ad quam sumus perducti, statuamus; simili modo y^^u, fictque := j V formulae jam dcnominalor et alterum supiti inventa paritas perferta i =z j ^ p~3i cujus membrum ctim forma congiuit r=i>"" ^, Q.iiarc ut reddatur, statuajnus nC --]- n nz ni, idcoque ô:^^^^—^'', sicquc forma proposita Y iiznn f — x""" ^ x ' X n — — ( i 1 fiet ^ r x") '^ Ix , sive r. ÔX Ix _- /(i— x) Tum vero idem valor etiam ita exprimctur r =r hoc sit est / _ — du ^ V rz: ^"— T. Hinc ergo, cum ex problemate primo S ::=: A T, nunc ambae formulae S et V ita a se invicem pendent ut * sit -^ V iz: -^"n— 771 iV S c h 5. 38: ITaec reductio 1 i o n ad similitudinem modo peragi potest* staluendo /i ^ iz: /n^ sive adliuc alio ^m^, atqiie '5^ iranc formula proposita erit : V = /j«/— x"~'ax Ix (i — x") (l— ^ *^ 1 tum veio formula Inde mm \ Ctim auttm foi'mnla ) derivat.i 1 — / it"- V ir: ïDlcgralcs ^^^^ — (i u")) , — «" - du, ' quam obien> istae dnae formulac "^'T, : /• . •^ —X ôx dxlx l X V ^ ^ ^^ (i-x) inter se cohaercnt, unde, quia formula at, —X y ob T = -^ , dxîr dx (i__aç; j ^ V~ sit -''1 V mvento erit Szz:A (- — — Y), quam ante H.iec aiitem rediictio longe est piacferenda illi^ invcnimus defectu , , qiiippe- fractio dilTerentialrs — ^A posteiior tarxjnam simplicior ipsias S spectari potest, valore hpskis nieiatore haec : . 1 S ïta — — u'""^''"'' ^i: u""""' (l du -4- -m J/ / Il J crit: )du. . tMnsPîimabitnr in hanc VI ïdcoqne /(V .' sic sive- qirae ibi iaborabat hoc integranda erat spuiia, quod cnm in nu- occuiiat potestas u'^~^'^~\ qiiae utiqne altior est qiiam potestas denominatoiis tégrale pro (juanlitate ï<"; qtiociica nunc demtim in- T ante evolutcvm hic usuipari poterit. O4oaoc ^^^o^oooc"« 54 SOLUTIO SUCCINCTA ET ErJCGANS PROBLEMATIS, gpo gUAERUMUR TRES NUMERI TALES, UT TAM SUMMAE QUAM DIFFERENHAE BINORUM SINT QUADR.ATA. R E A U C T E U L E R O. L. Convtntui exhibuit die i Maii hoc problema jam a Etsi 1. §. i 1780. variis auctoribus est tractatnm et resolutum, sequens tamen solutio oinni attcntione digna videtur, ideo involvat, sed etiam facili negotio pluies solutiones, tificia inventu difficillimas^ siippeditat. alias §. 2. ximus sit X zzi pp X quod non solum plura calculi ar- quorum ma- Sint X, y, z, très nnmeri qiiaesiti, x minimus vero z , ac statim patet , ponendo , -{- qq et (p — q)'- — y ^^ y^nipq Simili foie x -^ y ==. {p -\- qY modo, ponendo x —% -iiiz et %:=: 2ys s,icque jam quatuor condilionibus est satisfactum, fucrit rr -^ ss zzL pp -\- qq. duiones et Y erit x ~\- % -zz (y- -\- sy adimplcndae — z zzz 2 pq §. 3. et x et rr-\-ss — j)% z=z [r si modo Tum vero adhuc duae con- ut y-^-zzzL2pq-h2rs restant, scil. — 2rs quadrala rcddanlur. Ut primo liât X zz. ha -\-hb) (^cc -i- dd) f rr -\- ss zz pj) -\- qq tum cnim iste valor statuatur duplici 55 modo duo in qiiadrata resolvi potest pzz^ac -^bd q rz ad —b r =:. a d -i~ bc -y — bd. (aacd 4- abdd — abcc — c ; habcbimus y := 2 Ilinc ergo ', Fiet enim : s tzz a c bbcd) et z zr: 2 (aacd -{- abcc ~ obdd — bbcd) hincque adeo y -{- % zz- ;\cd {aa — 66) quas crgo §. / — z zz ^ab {dd — cc)^ adhuc quadrata rcddi Ibrmiilas dcias et 4- Faciamus "y y — zz zz i6abcd{aa — bb) {dd — cc)zzi\j primo piodnctum,: igitur nnde primo necesse est ut haec formula : — 6 6) x ab (a a ad quadratum revocetur. c d Ilunc in finem statuamus : — c d (d res a relatione inLcr binas literas a, 6 et poncre — ce) [a a c d zz a licebit , — ce), (cZ rf d — ce) zz n et quia det , opoitet. -zz , (a a n a b unde habebimus n n b (a a — bb) 6 6) c, c^ pen- : ; unde deducitur aa ::iz''^^^~~ , quae ergo fractio ad quadratum §. ut fiat termini lïoc autem facile praestabitur^ ponendo 0=1:64- c, 5. ^^j^^6' aequatio . T liiiilur o dcbet. redcici : b - c m 66 -h c 6c -f- ce, qua aequatione evoluta? nascetur enim ista et c' utrinque se destruent; oz:z('2nii zz 2 — n a n n — . I — 1) 66c 4- (/la — 2) bcc; unde col• : . 56 erit tlnod 6. §. ergo ponamus brrr G — nîiet c=r cnn — l si nznHn-hi. Nimc negotium totiim eo reducitur . ut vcl haec formula: ah[dd — ce) vcl hacc: cc)(aa — 6b) Teddatur Prior autem formula ob d zz: a qiiadratum. €t d-hC- Sun etd - c = c - ;2;z, crit ah (dd - ce) -3nn (n/n- 1 )(2—nn) ~, erit, duramodo vero ista formula 3 0ni-j-i) potest ; intérim tamcn quae quadratuiîi At 7- §. qnadratum effici adhiberi potest, n zrz h — c , fl nullo modo remcdium facile dummodo loco valoris a :zib-|-c statua lur facto fieC^-" v^^— z:zhb 2 ?i n — 2hc -i-cc iinde , 1 8. Ponatur ergo b nz ;i?j — 1 :zz d^ ni >i/i 3 (/i«H- i) izi Q, colliiritur - :zz -^'-'— O -4c evolvcndo 5. quo fueiit unde +2 et c m2 — ce) reducitur ?in -h- i , erit ista formula ah {cld ad hanc 3 un {nu Tantum ergo opus qnadratum, débet §. scriptis id 9. est 1) (n n est, quod Quodsi factorcs, ficri — -\- 2)-. ut ista formula 3 (/?;i facillimc praestatur, quia /z ;i enini ponatur 3 {nu 3(n— 1) — ^^(vz 4-1), tinde Hoc igitur satisfaclum, supra inlroducîas; — — fit i) zzz n — î)rf!iciatur — 1 liabct \^(n-{- i)^j^^^^^^^. modo omnibus conditionibus praeunde regrcdianmr ad quantitatcs Ac primo quidcm ex hoc valore pro « invento dcducimus : / 57 ?gg— /V/ ~ ~^ c :=: a ratione J"'" • "^'^'"^ sokuio tantura '^o'^^ a,h,c,d, pendet, primo dcnomina- inter literas num<rii>toies tores omittiimu?, q"''^ vero per coîiimuncm di\isorem hocque modo sequenics obtinebimus vaJores: 3 dividamas, c-/4+2//g § + §§•. Ex his derivemus literas p,q,r,s, quae eriint: P = 8//g^' 4- 9^%^ -p + Sof^g* -h 8i9«, szziiôf* g\ — — (/* — 9g'y r (/* ' <? ; Pracstat antem a primis valoribus /et g, pro arbitrio assnmtis, per giaduSj primo ad litcias a,b,c,d, hinc vero porro ad literas p,q,r,s, hinc sitos x,y,z, iinnc calculum per semper licet. enim deniqcic ad Ubi ascendere. juvabit, valores negativos neatiquam turbari ; loco eoriim valores Hanc invesiigationem quo f :=: qu JO. valores Hirrc porro Hic ergo erit depressi tkint colligimus Niânotrci d: VA.ad. imprimis notasse I./'V. l positivos tuto scribere nonnullis exemplis illustremus. EXemp1 §. numéros qiiae- ipsos 11 et m i, g — i, anzdz=:4; hzziB; c:=:i2, azudirzi; 6:rz2; p z^ 5 ; q ::zi 5 ; r zzz i ^ -, r — 3. s ^zz i^ 58 rz=5o; jr^So; 21=14, <1^'' valores ntiqiie satis- unde vciiim ista faciiint ; sokilio excludenda q^uaeslionis EXemp / zz: qiio 11. §. Fîic eiit 2 quamobrem a'r= 7 33025 ; Hinc autem erit simplicjtalcm 1 11 m ab indule et 2, g rn l. = m 800; 7 m 3o5 rnzSi"/; airz 16; 6 := 1 7 ; c =r: 33 ; d Hinc ergo pono deducitur J 1=256, ob est. /5 6. ; niimrri qiuiesiti ipsi 1 erunt : / = 488000 ; z z=4i83o4i : , — 7=495*; + =;1073*; X — z=z56i-; j-f-zz= 952^; j — 2;z=264^. H-/ ml io5^y x a^ ce 2; E X e ni p 1 u m quo / =1 3 j: 12'. Hic cigo 36 sive per d z:z I. miis.. id naiii accipitur. erit depiiniendo ITinc erp;o ad qnod scmper a praeccdente et m l. ^=172; c=:io8; erit az=i; h zn 2 c z=z 3 ; az=:36; ; ipsiim evenit^, Posito enim g 3, excmplmn priimuii icvolvi- qiiando pio / mullijrlLim" ter- /=: 3/i lict n ziz^\^^'~-li quae forma non discrepat. 59 EXemp1um / rz: qiio idcoqiie autem Ilinc et g 2 . z=: a=ri6; h=.L3ij cr=i53; dm6; p m: 4640; r/i=z20705; rz= 21217; 3'=: 256. .13. §. 1 4. Ilic eiit ipsi niimeii qnaesiti x, j^, z nimis fiunt magni, quam ut operae pretiuQi sit eos evolvere. Nota. 14- 5. Q.noniam invenlis numeris p,q,r,Sy ipsa solutio X— r =p— ita d, hincque est adornata, ut fiat XH-/=zpH-(/, X 4- 7. rz r -f- J et x (/ ; a, b, c, — z zz r — s, quadrata — z aequantur, evolvi y j- z et y conveniet. Invenimus autem / -f- z zzz 4cd (na hb), quae, subsLitutis valoribus supra inventis, par / et g ex- quibus foimulae etiam, — reducitur ad hanc formam pressis, 4 if' -h 2//g§ quae manifcsto est : + 9^'y 4//êg — 6//§g -h if' quadratum, cujus radix 9S*). : 4/.^ (//— 3ê§) (/» H- 2//gg -r- 9§*), ita ut jam sit : // -HZ = 4/gc (// — 3gg).> Simili modo cum sit y— 7, zzi /\.ab (dd — ce) erit / — z — 4.4//gg(/4 — 2//g§-f-9ê*)'(/"*H-6//'gg + 9g*) idegque V> - 1 =: 4/s (jÎ/''^- 3gg) (/^ - c//gg -h 9g*) = 4/gc (//-h 3g§). — 6b nentiqaam pro tarncn- enim qnanquani , supia et 5. §. gencr.ili solutio luicc satisfacientes pro x, valoies rabilcs ea Ccternm 5. 1 f. est complcciittir, z, /, innnme- habenda. Qiioniam posuimus azi:6-4- c et o rzib • 7 — c, est , Jianc positionom maxime esse particiilaienr^ quandoquidem huic aequationi infinitis aliis •evidens Intérim potest. hac méthode numcri idonei pro x,/,7-, facile iis AT yy-hzz — fucrint invemi, qui sint X, Y, Z, derinari posse, as xx-\-yy xx-hzz yy \r rj <^ alios , sumendo X n: 1 satis- tameu hic observasse jtivabit, posix^nain fieii ex modis — XX — et Z zz: . \ z=z , — . X-j-Yzzzz; X — Yz=:xx — j/zizG; y^-i-Zz:zyy'jz.U; Z — Xznxx — 2X — D; Y-)-Z^xx— G; Ttim enim Yzi^yy — XïzzQ. statim ad numéros Z Hoc modo antem cimiir.. Similique tingere licct,. modo continue ad numéros Add §". affine r^. et Panciores jam saepius i t a tria majores per- m e n t u m. ambages rcquirit sequens problema; tractatiim.. Pr Tnvenirc pracgrandes dedu- quodrata , diffciciitiue suit b l e m a. xx , y y, quadrata. zz , ita ut hinorum! — , 6h S o 1 II t i o. §: Posîto x—pp-hqqetf-2p(fCietxx—f/:z(pp~qqY, 17". m 2 rs,ùelxx~2.z —{rr~-ssf. superest nt // — zzzn ^(ppqq — rrss) Simili modo, posito x izi rr-\~ss et z TcinUim ii;itiir redtlatui qu.idratum', postqLiarn scilicet facluni fuerit. pp -[- qq quod fit, q =z ad lit snpra Liti est sumendo p:=zac-\~hdf ostensiini, zzfijt (|nadiatiHn, — ce) fiât a::^dz:znn:j;2.^ §. rr -\- ss — bc; r—ad~hbc; sz=Lac — bd. )•/ {d d — iS quadratiim autem , quod , vidimiis fieii , — bb) sumtis b :zz 2 nii^ i et c :iznn'^ 2^ t Qnod si jain loco n sciibamus -, habebimiis sequcntcs geminas delerminatioiies a ziz d nzm m Ilinc istiid prodiiGtuina6cfZ((m ^ nn ; b :=z 2 : mm ^ nn -, c :=z m m -f- 2 n w.- Hinc cigo stimendo pio mctn numéros simpliciores sequens tabula cxhibet pluies valoies idoneos pro Ubi notandum 3 divisibilis, est, si ncuter numeiorum tum valores ex 3 dcprimi posse , uti s-ignis literis a, d, b, c. m et n fuerit per superioribus ortos per in sequente tabula facLum est. 62 Tabula exhibens valores idoneos pro literis a, h, c, d, w m 5 64 m 65 numeri donlis , qno qnaeruntnv ruin samina qucim dilTcrentia tiirn modum modo ante tiûiies très sit animadvertimns ; occLirrerent sumanliir quadrupla X.Y.Z, ita ut bino- quadratum, qnemad- quia aiiteni ibi frac: X ru 2 (// -h z z — X x) Y =z. 2 (xx -j-zz — y y) Z =: 2 (xx H- yy — %z) qui cigo omnes numeri très semper erunt pares ideoque diversae prorsus sunt indolis ab supeiior suppcditavit, illis numeris, quas solutio ubi scilicet unus trium numetorum neccssaiio est impar, quia alioquin deprimi possent. «-eoooooOc-coooc» Mcmo'irti de ÎAcai. T. VI. — 66 DE RADIO C U R V E D I N T S^ eu RV ARUM DU CURVATURAE, PL ICI S ©EJUJE CIRCULI OSCULANTIS POSITIONE. F ACILLIME IKD AGA ND IR A U C T O R E N. F U S S, Coiivcntui exhibuit die 2 Tab. I. ^^âi" *• !• §• Sit Mai 1610. Z punctum- qnodcunqne eodèm piano sita ,. in cnrva non sive duplici curvatura praedita , cnjus ergo puncti situs per ternas coordinatas inter se normales AXnzx, XY=:/, Y Z :iz z, ita determinettir quam z spectari possint tanquam. fiinctiones statnamus functiones x; , ut tam ipsius x, By zizpd x et d % =z: q d x; ubi ergo ipsius in: /? y unde et qr erunt hincque porrO' dilTerentiando ponatur 9/9zz/?^dx et d q z:z q'd X. Ex his igitur démentis définie araus radium osculi curvae pro puncto Z.. 2. §. Sit igitur punctum H centrum circuli osculantis,. hocque punctum determinabitur ope ternarum coordinatarum normalium AF z:zf, FG>z=:g, GH:zi/i, inter se HZ radius osculi quaesitus ; lineam HZ' eandem< magnitudincm retinere eritque est hanc debere, dum^ atque manifestum punctum Z non sohim per proximum curvae elementum,. sed adeo per duo proxima promoveatur; unde sequituï 6i TioTj soliim difTerentiale >ejus diiTerentiale 5. atque evidens ita isthis rectae HZ, sed eriam secundum nihilo aequaii debere. Vocemus 3. primnm est hune jam radium HZzrr, osculi eum per cooidinaUs illas x,y,z,etf,^,h, determinari ut sit: r'z=z(x—fy-h(r ergo cujus expiessionis — ^y-^('^—hy> differentiale secundum nihilo aequari débet. tam primum quant At veio prima differen- facta divisione per 2 d x, praebet hanc aequationem: «liera vero differentiatio , facta divisione per d x, suppe-j tiatio, ditat : i~hpp-hqq-{- v\y —é) -^q\z — h) atque ex his y— t]\ -g et 2 — §. 4. Si —o binis aequalionitJus definiri poterunt valores lu cnim prior harum aequationum ducatur in ab eaque aulTeratur altéra in q ducta, remanet unde sequitur J S fore : : V<i--qV' Sin autem a priore illarum aequationum, in p^ducta, subtrahatur altéra per p multiplicata, prodibit p'{^—f)-^iqp'— p q'K'^ — h)—p : (1 4- pp -f- qq) 9* =• f 63 unde nanciscimur §. et p q' : — >7«— /^ IP'—PÏ Ponamus nunc brevitalis gratia l-\-pp-h-qqi=rss f>( '-l-f f-4-^ 7) ; 5. —7 = /^^ sticcinctius atque "j emnt expressae siipcrioies dcLtiminutiones ita : v valoribns, quibns expressione in data , substitutis reperietur fore 6. §. hic Singiilaris siipia pro radio osculi se olTcit , quod : circnmstantia unde ctiam positio nempe linea / non pnncli H indeterminata manct et in infiniliiin vaiiaii jx»- tciit. Omnia autein quod propterea sit determinata , ejus binae loca rel qiiae lineam icctam cadent, in coordinatae g et h per iinicam dimensionem ipsius/ definiLintur; quare omnia pla- ne piincta htijns lineae rectae pro puncto nostro quaesito H accipi pote ru nt. §. 7.' Quodsi enim rem depreliendimus j Tab Q. F'g- ï* qtiaestionis circulus attentiiis perpendamus , mox hune delcrminationis dcfectum cum cgregie osculator consentire. Sit curvae nostrae in enini circulus puncto Z, in staUi CDZ piano repraesentatus^ et quoniam per operationes supra institulas 69 id qnaesivimiis peripheria punctnm quod ubique aeqnaliter , manifcstum circuli , htijus distet a hanc proprieta- est tcm non solum pioprio centro H hujus circuli convenire, H^ in recta ctiam omnibus punctis scd Unde mirum non erccta, sumtis. normaliser circuli calculus nobis innumerabilia puncta linea recta Z qui ex satisfacit, ex ducitur , ipso centro innumerabilibus eu m quaeri oportel , qui autem ipsi quamobrem pro r erit eum methodum maximo;um per Quoniam aulem omnia 9. nes / nascuntur, quantitates illa in pro r invcntis Facile om- inter haud minimorum difficile eruere. puncta H'' ad unicum sola variabilitate hac minimi invcstigatione om- x, y,i; p, qyp\ q\ habendae 3 ui'de cum valor pro forma m et punctum Z referuntur atque ex quantitalis solus quae- minimum esse valores inventes ; is H conveniat. centro nes nostrum eadem H circuli ad punctuni valoribus istum valorem intelligitur 5. si sita. nostrae curvae haberi nequeant, sed osculi sito exliibet in II est Cum autcm omnes istae rectae ïV Z pro radïïs 8. §. H H.\ ad planum r- pro sunt constantibus inventus talem habeat : rr=:A— cB/-hC#" ejus dilTercntiale nihilo aequale positum dat f ziz. ^- , qui - "70 ex valor desideratus pro /, qiio est unde verus radius osculi pro nostro puncto §. nnnc formulam supra Qiio lO. ventam ad hanc postremarn revocemus, fecimus, rr =A— differentiale nihilo substituto fit "^ *-' rr:=i B (x aeqiiatum dat ^ ^^^ x ^^ 5. pro rr in- statuamiis, iit modo (a: — / ^= supra. — Bï AC— — Z innotescit. Ç. — /) -h C ac—_bb «W — :? r* =: fit ergo c ~ /)», ' ciijiis ^"*^ valore Cum autem sit : ' * ^,1 -^^ . p' p'-^q'q'-i habebimus x §. 11. — f ^ ~^^^^^-,. et qiiadratum radii osculi Cum autem haec expressio non sit admodutn commoda , eam magis evolvere conveniet, quod fiicillime Ex valoribus pro A, B, C, sequenti modo efficietur. supra assignatis quaeiatur : A C = ^^ [{pp -h qWp' -I- 9' 70 4- uu{pp 4- 97)1 BB:=:5(p/ + 990^ eritque dilTerentia : AC — BB =: 5 [{pp -+- 9q){p'p'-hq'q') — {pp' + qcf)'] Tf Facta autem evoliitione reperietur r (jpo erit : siibstitiito AC — BBzril(i4-pp + qf9)=5 onde porio fit AC rr îta — BB p'p'-i-q'q'-i-uu * C ut jam hanc nacti simus expressionem valde concinnam' pro radio oscali quaesito ( pp -f- qtj)' __ : ^ f. Vp'p^-^q'q'-^ !.pq' — qpT ' prorsus uti ab Eidcro aliisque jam, olim est inventus. §. oscLili 12. Methodo commodisimae heic expositae radium' curvarum non in eodem piano sitarum investigandi jam pridem osus sum in dîssertationp Solution de quelques : problèmes relatifs au déLeloppemciit des courbes à double courhure. Ea non solum simplicior est aliis,. sed insuper quaesti-- oni propositae melius satisfacit, quantitatera radii osculi , hoc valore j:'p'^q'q'-^-(^pq' in expressionibus L ipsam circuli osculantit^ : !^{pf-^qq') f J ventis substituto erit ^ etiam praeter ipsam- Cum eniin invenerimus (§. ro.) positionem déclarât. - ideo quod, — qp'fy §. 5; pro : i^iPP'n — <]' (.< -h pp )) . y—-g et ï— /i ih<^ 12 unde pro qiiovis pnncto Z cuivao propositae ccntnim H per teinas cooidinaïas j culi osculantis ^ cir- g, h détermi- na li polciit. Applicatio I. ad curvas in piano tabulae descriptas. §. Qiiod i3. ergo ciirva si tabulae fuciit descripta, et f/^ — situ ipso piano in z i= O, ideoque etiam 9 iz: o erit n: o, unde exptessio pro radio osculi t Pro proposita erit : ' f autcm cent ri circuli osculantis habebimus ( -+- PP) „ f ^ J — f> : . j p' quae formulae cum démentis cognilis cgregie conveniunt. Applicatio IT. ad curvas in piano quocunque descriptas. §. Aequatio pro 14. coordinatas funclio fret est : z z= a quaecunque r/— a-f-f3/; SS — U =z. pq^ l -^ et -f- piano ax -f- P/ , ipsius t, ob unde inter tcrnas y fucrit si 3yzi:p3x et dp:=zj)dx Hoc igitur casu habebimusr (/'— (3//. pp-^qq rr quocunque l -|- pp-j- — 9 p^ nn — a p^ (a-|-(3/j)% " 73 et radium osculi r =z ^'-^ ^ t±JdJi? t>y> ^ fVi-i-oLa-i-ftP nique centri ciiculi oscnlantis hiibcbiHius ^ ss f J p' {i -4s s - . o- J (Kp -h f !^ H- (3(3)) (. > + f'C' : . ' aac-f- (3,3) (app .+ «g p' (, -i- Pro 'positione de- . aa -ir ?ii) y • H-cta.+ pp) Applicatio III. ad curvas in superficie cylindri descriptas. §. in i5. radius basium Sit cylindri z:^a, ejusque axis ipsam rectam AB incidat. Elit curva qudcunque in iinde pro ii2;itur hic yy~hzzz=zaa, Tab. hujus superficie cylindri dcscripta statui poferit j :zz a cos. (^ et î. nz a sin. (J), existante nn£,ulû quacunque fnnctione ponamus ^(p ^z tdx et x. Hancobiem hincque habcbimus abscisSfie 3t r^ t'dx, — at zr 0, g — p— ^^ — of'sin — nftcos. 0; = «t'cos.Cp — att sin.Cp p ;zz -J'^^m et tuai vcro flt cos. zz: ^^ Cp 9' :rr ^^' ex qui bus valoiibu.s colligitur ss :zz i u ziz a a t^f // // + -\- q' rf Hinc autcm sequitur y sin. Cp; -4- _ : a at t y. -^ nu fore — a a (t^t^ -^ ss t*). radium osculi quaesitum si aV (»'f'_tiss/4) Mimcirts del'Actid. J. n. - '•' lO' , : S* I. ^* ^4 et pro positione ccntri ciiciili osculanlis —f= X s s ri^ » — f COS. s% Çîîf f un (p a {f f -i- s s 1-^) 7 '' l6. st-i a(f'K -f^s» H) t» ^ §. s (s:t t C0-. (p -+- 1' iin:'^) s s y habcbimus tr Ilae foimulae valent pro omnibus cui-vis, qiias. in superficie cylindri dcscribere licct, inltr quas praecipue Aichimedea notari meretur hélix va X =Lna(p , - Ponamns x est proportionaîis. scissae qua anguliis in , unde sive (p :r= -*^, ab- bac cur- igitur pio fit Cj) t = — et i/ zzi o, radius osculi erit y ^z a {i -\- un), constans, uti par undc quandbquidcm se est pei:spicuum ,. qualiter -incurvata dium baseos §• lihet, 17.- nn ad z=. :=: fit a /izz x, g =: i. centri ea determinBbilur his forinulis —/—o y— g a z — h nnde i -f- posilioncm X cuiva nbique ae- debtt, eritque radius osculi ad ra- cssc cylindri. ut Quod ista ciiculi osculantis at"— : ,. {i -^ nn) (i -}~ cos. Cp n n) — nny, h sin. z=z =r $ m (i -f- n n) y, i -\- n n) ( z,. — nnz. Ex primo va- Tab. 1. lore intelligilur punciutn in* ipsum punctlim X incidere. *^'8 ^ Ex secundo patef rectam F G capiendanv esse ad alteram axis partem et quidem F FG iz: fin , XY. Ex tertia pcrspi- G II, in>.0 crcctiim, coordinatae YZ oppoG H m )in YZ. Tuin erit H cen- citiir normalcm siuiin esse debere et tiLini circLili ipsuin . unJe patet radium osculi ZH peu osciilantis; punctum X transiie, quandoquidem tiianguliim FHG omnino HZ zr: (i ~{- triangulo est siinilc Il XZ Y et Fllmnn.XZ et n)XZ, ideoque HZ XZ zzz i ~i- nn : : l, uti rtqiiiiitur. App1 J. i c a t i o TV. ad ciirvas in i8. Statunîur vertex coni in superficie (Conica descriptas. puneto axis iaciddt in rectam A;1^%i:eri4^ sectio ad AX — nalis afcjscissaq ut n sit ce, hunc^xem nor- statuatur hanc ob caussam tt ;zr, tangens dimidii anguli in veitice €oni , que ubiquc yy -\- zz s=l nnxx. peiûcie ejusqae puneto X fact^, circulus, cujus d-adius, proportio- jnalis, in lia A, liiijiis coni descriptis et z z=. nx sin.(P , existente Pro cmvis igitur statui angéilo poterit Cj) iinde ut aiuc ^siatuaraùâ d<pzi:tBx et p rz: n -cos. q zrz. n sin. (J) //m — cintsin. Cp 7'' ZH erit- in su- y zz: nx cos.C^ functione ipsius x, dtzut'Bx, — ntx sin,0, — ntx — nt'xs\n.(^ — nttxcos. —« x fietque: cos. <0, <2nt COS. (\)-{^_nt'xcos.(^ unde porio dcducuntur valores 11 (|), sin. (J) , : / 10 * , ^ 76 nn (i -\- 1 1 x x) u =1 nn (2 t -{- f X -h X X t^) jj r= ~\- 1 , existente vu rz:'( {-{-n") (2t4- 1 x)^4- f* x^{l-hn~i^x-) -4- 2n*(2t-+- 1 x) X' t'. nv * ^" Qaod positionem centriHattinct, qiioniiim xalores p^q,p^,(fyS,u^ modo assignaviinus, quovis casu obLito facile eiit eam ex foimulis generalibus supra f. derivare. allatis cnrvas in superficie coni descriptas Inter 19. 12. J. illa singularem attentionem meretur , qaae brevissima est inter data duo puncta cujus riàtura COi. his^ formulis exprimitur : u 1 y zn -^ cas. bi z m —— . COS. X ùj '» . sin. X w ', COS. U( quae si cum nostris formulis generalibus §. 18. compavemiïs, manifestum habeamus est sumi debere Cb iz: cos.w ncos.tai unde porro lit trr ^- — si ita ut x=:-^ — °-^"^,ergo et X — "^^^^^, 'O /i=:^=Lz= î'XX— nunc - - —, hincque in formulis " I Hinc omnia ad angulum w reducendo o Q.uod "-=^*ix, A w et §. 18. loco erit > t rr t dx rz."-^^'"—, n COS. w ' et — -\ x valores hic — . 77 iaventi snbstitiiantur, prodibit ; n zrz q — n — n cos. CD *K sin. I -j- p' =z ^^£J'^i [n ( 1 (}' — — -""^ b" [« (i -^^r^ — — sin. aj)^ sin. Cp . — X tis cos. u cos. Cp], — — sin. w)*), -. sin. uty^-^vu ^ 5 w* Evolutionem aliorum casiium specialium ulte- 20. non prosequor, quoniam ex applicationibus snpra iisLis Majoiis momenti mihi videtur sequentium bino- problematum solutio, quorum altero plani ad directionem curvae in puncto positio fac- nostrarum foiirmlarum. generalium jam abunde per- spicilur. riun X a (i -J- n n -)-X X n n. cof. a)-)-î -—— existente v zn r— n n"-"t cof. riiis — n sin. u)^ COS. Cp -J- X/î cos. w sin. Cj)], \nn cef. <u^ /XX cot. w- -^-(1 5. , -f- ^^9' ^== '^'i'" cot.w* (XX COS. (0= -j- (i p^/?'' r , cor. ti> coï. l -)- ?uz -h X X n n cot. w% rr: .s- r-^ Xn plani in quo quaeritur positio Z normalis, minima curvae portiuncula altero est sita, quam igitur solutionem heic coronidis loco subjungamus. P r oh 5. 21. Proposita curua l e ma i. quacunque non sita , determinare puncto Z normalitcr trajicitur. positionem plant in _, eodem piano Tab. I. quo curua in ^^S-A- s o 1 u t i o Qnoniam punctum Z ciirvae AX:^x, XY^y, YZ zziz tanqiiam functiones teitiae : per .caardinatas ternas qiurum binae deterraiDdtur_, possynt , spcctaii ponamiis ut z =r qdx. Jam concipiatur planum By ziz pdx , per punctum Z transiens, ad quod curvae directio sit pcr- supra <) pendicularis , ponamus atque cum piano tabnlae K secantem ; esse recta m NKV, hue sicque quaestio AKzizk et angulum PllV ;=z puncto libet hujiis rectae quoque ad curvam fore )3 axetn AB ponamus plani piincto hiijus intervalluni et evidens est, , in redit , ut positio lïunc in finem rectae deterjuinetur. hnjus intersectionem si quo- a V ad Z duc.itiir recra VZ, earu normalem , undc rjiis quantitas nullum accipiet incrementum, dum punctum Z pc r clem^'n- tum quamobrem promovetur , dilTeienti.ile hujus rectae VZ nihilo crit acquale statuendum. Vocenujs intervallum A B perpendiculo axein V P ::=:v sin. ù, unde sicque habebimus fit KVzzzi;, ac demisso ex V P , intervallum erit V in K P zz v cos. XP z^ k-^v cos. ô $ et — a:, : V Z^ :zz [k -{- V 60s. & — x)' -f- (v sin^Ù — _v)= -f- z?; oujus lioneni dijl'erenlialc, : nihilo aequatum, pracb.ct hanc aequa- . 19 k -I- V COS. $ ex rcctae posilio qiia A K rr intervdlluni — X -h /i (v sin. ^ — y) p — q Z'n o N K V débet definiii hoc est tam P K V r= ^. Quoniam , quam' a'ngulus antcm haéc arquatio locum habere débet ubicunique punc- V accipialiir tuni i; , stibtracta ilJa nnde ongnlus aiitcni ot -\- COS. Ô ira ^ v z=. o siimarnus — X — py k quae ab , q z -\- et aequatio evadet o, z::! relinquit : p V sin. ^ :r: o , definitiir ut sit tag. rz —- k ex snperioie acquatione intcivaUiini ita Ipscinv ^ definitur sit : qz y k zn X -\- p Y -\- sicquc pioblema- peifecte est solutunl. Coro1 §' 2 2. ex Si pnncto 1 a r i u Y m i in .rectam NK demittattir YO, manifestnm est punctiim O inter omrcctae N V fore id, cnjns distanti.a a pnncto perpendiculmn nia ptmcta cirrvae' Z rs': Ad hoc niinima. pcndiavlnm.XQ, afqtie ob KX:r:A. tiir KQ.zr(A — x) pcipendiciilnm cos. ^. X S punctiim pcr calculum X in rectam KN demittatur per-- determinandu n eiiam ex et : Deinde , XS zn 0.0 zzz y sïn. & et V S —x si crit XQ.zr:(A. ex — x) sin.d X ad YO demitta-X Y S rr eiit' ob angulum =y ces. 9, ô , unde porro elicitur- — 8o K O 3= O Y= quae vae, si — — (/i {Il 0") COS. è — x) sin. & -hy ces- ^ cum sit posLiema linca eam Y ultra ^ ita c3. §. aTi£;nli Q, Quod C r si vcio qiianiilates —x z=r. o 1 1 a r i u m T^ ut sit in : c. q introducere et p vclimus,' =:—--^^^ct cos. $ — 7^^^; py -\- qz, unde porro concluditur foie Subnormalis O Y rr J^ "77 Subtanircns o Y T , m T^iili^ r Proponta , q ' ' P r oh 2 4- cur- bas postremas formulas, loco in nostvas . '. nostrae ' notetur esse ti;.^ in— ~, hinc sin. tuni vero erit h , siibnormalis subtangens eiit x)sin.ù-\-yco!.e (fe sin. $ , pioducanuis usque 0\':YZ — YZ:YT, * }'" linea puncto '. I e m a 2. cun'atura pracdita , duplici Z quovis ejus miiiima curucw portiiincuîa invcstigare sit phunim , in pro quo sita. S o 1 u t i o. Tab. '^ Positis ut supra coordinalis lei^iis ï. lum vero dy :i:z pàx, d%=:z qdx^ dp :=z p^dx etdqrrq^dXy monta AX — x, XY-j% YZzzz ac denuo diflcrcntiando considereipus bina curvae rJcr continua, quac, .quatenus in dircclum sunt posita. , — 8i planum aliqiiod quod , determincibunt, ligalur, pl.inuin tabiilae inteisecaii si prodiictum intcl- dcbet secundum rectarn quampiam NSM, axem vero A B in puncto S, pro quo statuamus intervallmn Ad AS z=: s et an^iilum tam ex Y quam ex hanc rectam Z Y P 113 (j — x) sin. Cf). per- dernittantur YP et ZP, eritque, ut in J. 22 pendiculares A S N zn est ostensutn: -\-y cos. (p. Vocemiis anguliim Z P Y zz: œ, qiio nempc inclinatio plani planum tabulae determinatur , quaesiti ad et cum sit Z P Y HZ g , erit tag. % O' sive , x) sin. <P-\-ycos.(p ' (s quod usui sequenti magis accommodatum erit COt. ÙJ ZZZ ^- est , z Quoniam autem elementa proxima ^^-^-^ in ' : requiritur ut curvae eodem piano propositae bina MZN sint sita, necesse ut inclinatio hujus plani, seu angulus oi, nullam muta* tioneni patiatur , dum piinctum Z per bina elementa pro- xima promovetur, unde sequitur hujus anguli w non solum dilTerentiale esse debere , gente erit piimum, sed etiam secundum, nihilo aequale id quod pariter de ejus tangente et cotan- tenendum. Mémoires de l'Acad, T. FI. 1A 82 Snmatur 'jam solis cooidinatis x, qiiato prodibit sq sz î/'n.Cp z expressionis capicndiim , % pro variabilibus, )•, _, (ix%\n.^ "^ sa nnnc etiam quod quo T> ^ facilius p_ «77 z za qy cas , possit ' • secundum diirercntiale ficri (J) a* est ponamns brrvi- — qy f= —V — cuJLis dilïercntiale quationem . sit : +R Q.sin. (p s I. » ï;a nt aequatio diiïerentianda . eoque nihilo ac- gratia : tatis lia sumtis angtili w, : ^eo%.^ s cnjus dilTerentiale cotangcntis nihilo z= o , cos. aequale positum dat istam Q.sin. + 5R cos. (p = sumns aequaliones ac- : — sdV — a II. Hoc crgo modo qnibus ambas incognitas „ R eos. tp — fit ex secunda aut.em emergit S qui valores si opoitet. : 5 : -^p inter investigaii C^ Q.;i>i. <p p ^ 2 ) et i" prima hariim acqtiationnm .0\ ^ ) adepli diias o. . , se comparentur, R^P — PdR ^ tag.Cp — odP-Pac,. reperietiir primo : ex Ex 83 vcro tiim sin inter ita combinentiir se ut dacatur in i RdP, 2 vcro in P9R, reperietiir fore: cxistente sin. (^ RdP P3R r= /rK3PCK. d p — p a R)i -(- (Q^a p Ciim autem sit Simili derivatur modo cum sit paR , p- — Rap — — — pp unde pono scquitur : ^"'""'^^ (p'q differentiando; 1 '2 facile p a sij- — — habcbimws f =::- pp unde porro — ^' difîerentialibus sumtis erit p) z dx » ^j fore : Rap_paR3:::: (PjL^upllî, zi Denique ob gaR ^ =: ^"~-^ erit (z S.Q. unde j multiplicando per CI, His valoribus inventis, tes : — Rag, 'j_ ax rf- (--_ "" dcterminaliones .^ .xj-f-a'gÇp» — qxi^ — >)j fit: facile Inde derivantur sequeiir : 11» 84 - ^, pq—qp' tang. (î> , PY . z=i sin.Cl) p' (^ — i 1 7W-^(P'i'- rpT^' — qx) -^ Çpx ff — y) V?4' H- iP'f —Tf? qtiibus plani qunesiti penitns est assignata, positio igitiir dum non solum punctum inclinatio ejus , ubi axem tryjicit ,' sed etiarn ad planiim tabulae innotescunt. Corollarium i. 25. Utraque formula tani pro intervallo j, quam pro §, angulo CP continet p^etcf. Oiiod si statiiamus p''iz:oet(/^zr:0, •erit- ^ rz g et tag. (J) est linea recta , et punctum s et Hoc enim . casu curva proposita omnia plana per hanc problematis condition! si =g satisfaciunt ; angulus C|> recta m ducta nnde mirum non manent quantitates est indeter- minatae. Corollarium 2, §. 26, Idem evenit, si statuatur z:=zo, ita ut tota curva in piano tabulae sit descripta, tum enim erit q—O, qf-O, ideoque est , tg. (I> quoniam satisfacit. n: 5 et J =z g , ipsuni ut supra, quod miium non planum tabulae hoc casu quaesito 85 Co J. 27. Omnia valoribus supra na tionem 03 tag. i autem 3. haec clarioia évadent, inventis etiam quaeramus. cj o 1 1 a r i 11 m si ipsam plani qnaesiri Erat autem ejus tangens incli- : rz: quae expressio, sponte evanescens casu z =: o , ob (s in — x) sin. Cî) -h sequentem abit tag. (M y cos. (b :z= , , , per p et q definitam =1 tlJ-±JZJL:zJl)l «•ocqQeoAo*»'^^ / ; ^, ex • 86 DLARUM CURVARUM TRANSCENDENT! UM EARUMQUE PROPRIETATUM TiVESTlGATIO. A Ur TORE E. COL LIN S. Cor.vcntui exhibait die 3o Sepr. 1. §. Utiaque curvamm, quarum investigationem hic scopo niihi 18 ii. proposai, est logaiithmica ac aeqiutiones, quas lopeii inter coordinatas earum, similes inter se. Condilioncs , qdibiis dcterminantur iiae acquationes, sunt sini- plicissimae , perinde ac radiis ciirvedinis, snin eas habite piius expressiones arcuum, lectificatione singulatiiii , respecta ad inde résultantes pio cet. tum veio mutaas earuni Conteniplatus ambas relationes. conjuncte, Itaque se- quitar ipsa disquisitio. Prohlema i. 5. lab. II. Inrcnire 2. X axis curvam , abscissamm qua , \ii A B V X ad tau^cntctji T Y acquctur , si a pimcto erif^atur quociinqiéS- pcrpcndiculum hnc pcrpcndiculum ubiquc datae constanii Vvicne a. ° 87 S o ] fi 'l Positis : Y T X iz: 0, : d x rr TTT^^^ --^^ , C minanda constante — ««) , T -*- t' V •y X ziz a l '^"^—^ 7 unde ^- -f- coUiiritnr ^i ^ P'o inte- deter- ponamus abscissam x cvancscentcm y zzia , habcmtis posito : hincqiie p :^ — ^-2L>z:i^^ et sepaïa- x ^=- al {y ^j^^ ÏX : : cjusquo tangrnte ^^ znz p, ob va) jabilibus giando o A X iz: x, applicata YX:=y, angnlo ab<;cis5a G\\iy^=.aV 1 -\- p p ^ tis i C zz: — a — aa / a , liincque : • Corollariumi. Hac aequatione 3. §. sive pro initio abscissarum, modo cadit in oculos , pro ginariam, aeqiie ac pro 7 sjt potcst etiam y scribi et / inventa applicatam esse /<o, :zr abscissam x — /, (ob/> K j/ — — y-hyyy — y — y y — ua — l^ • cuni x facile , Ex illa enim patet pio x n: o, fab. ii. tiactns cnivae. definietnr inter -, l a j —-^^rz=: ^=z aa x r:i -3; a / -^-^^^-^-^ ~ l " , a. Pari fieri ima- a a). Porro y-\-y'yy — ^ /- unde a-t , ** seqiiitur cmvam nostrain habere duos rainos aequales, RS et RS', eosque sine vergentes. iillis punctis singularibus sempcr supra axem Fig. 2, . as. Corollarium §. Relatio 4. 2. cooidinatas inter cm^'ae hiijus YTXz=:(p; egrcgie exhiber! potcst ope anguli curvedinis cxpicssionesqiie inde collrctae pro x et y = ,-.,% et X = « ; '^ = Sumto verùce 5. R j sunt + 0). pro initio abscissariim muta- tisque axibus çooidinataium, «; . tang. I o n. i qnod sciibendo loco efficitur y et X, X'' -{-a et y\ prodit seqnens aequatio /— hincquc patet -4- / fl cmvam inventum esse Catenariam. (V. Traité me^ibHbiH H3C^it)40BaHiîi BepeBOHHOu AHuin, BacJius est Ilnincp. 92- et 180?, §. Ana^. HaynTî. coi. CeivieHa Typhesa, pag. T 6. : ; -^- de mécanique par Francoeur , §. : (90» î S c h o 1 §. etiam II e r e m a yivioapH- Tom. U. I23.) 1 curvaturae hujus curvae uhique acqualis Nonnali. Demonstratio: Ex aequatione fundaraentali nanciscimur: \ yy lîinc erit Radius — aa * • O »'' Yy — •* ^9 9x(i -f- j)j>)^ ~~' cxpressio ^<^<^^ """ ydy a V yy Eadem ' y'yy--âlx dp pio Noimali oiitiir : yy • — aa eiit enim Scholion. dcre Hinc patet catenariani eadem proprietate 7. §. ac ut circulus , nempe sit Normalis aequalis Radio Re vera autem ex acquatione oscLili. gaii- : Norm. in Rad. ose, si expressio pio radio praedita fuerit signo negativo , re- peiietur aequatio pro circnlo, at eadem, siimta cum signo positivo , dat aequationem hic inventam. Theoremaù. 5. yîrcus 8. est cwvae , RY, aequatur rectae VY, quae pars tangeiitis comprehema inter punctum curvae Y et perpendiculum VX. Demonstratio. Ob dx zz a^^ dy- -jfJr'^^ unde ;^f^ ^^C' = fTy-y^^Ta — ^yy — aa. At y r= YX a = VX, ergo arcus RY — / YX^-VX==:VY. , erit -f- . et Mémoires di rA(4H. T. H. 12 fit 90 Th e 5, dvscùpto VX et VY. redis bliiis m a 3. ARYX, aequatur rectangulo YYZX Arca curvae, 9. r e Demonstratio. a y d'y ay&y / — an; Jydx — /7-:^^f^ = aVyy — icctangul-. ';^YZX. dit ergo Arca A R YX rr YX V Y . : Th e Ç. 10. r e Superficies solidi , m a 4- rotutione arcus RY arca AX geniti, aequahir superficie cylindri, cujus radius ha- rz VX et altitiido acqucdis semisummae abscls^ sis • sae et suhtangcntis, i Démon stratîov Cum formula generalis 2 tt // d s hic abeat in : y By -'^fyYsVj^^—Tî^ habemus integrando ry VJi^aa -^aal y±l^I^If}\ Il _L Sup. n: 2 7r : "1 -^"^^^^~~ "° aive , ob al - at, ^^ =z x , ., erit : = 7r(>-//7 — aâ-h«x) = 7r(YX. VY + VX. AX); quia YX XP rr VX YV, hincque YX VY = VX PX,. S : : . . cïitdenique:S^7rVX(AX-hPXj-7:VX.APz:2 7rVXXiAP. 91 The or e m a 5. SoUdum eadcm 11. §. ^mitum aequatur eo- rotationc dcm cyîindro. D c ni o n s t r a Formula geneialis 'nff/dx, L i qiia o. determinatur illud So- lidum, pio nostra ciirva induit hanc fonnam : — ^frrXvyf^Ta Sol. Sûl.rraTT K-J-l === «^/>"^^^'Seu integrando: j-la'n{yVjy^aa'^ax) ^ , — ïttVX^. AP.(J. 10.) Pr f. 12, b l c curvam , Inrcnire m a 2, - in intcrvallmn qiia ubique acquale constantl cuilihct VY jit Tab. il. ^^* ^* 6, S o 1 u t i o. ObVYc=ib = YX.sin. VXY— /.sin (j^nr/XTr djy ciit H;: * fP 6 p z=z ^^ =_^^-y-_-- , hincque vaiiabilibus sepaiatis : y y — bb :=zbdx, et integrando bx — l {±_y Vyy — bb— bbl(y± /j/ — 66)) + C. 3/ Posito, . y ut ante, : x :^:: O pro yz::zb, erit C:z::^66/6, unde calligitur fore : 12* . 92 26 Corollaiiiim Tab. II. V'tCT °" 5. Pio i3. 1. determinando tractu curvae valent eae- S ' dem fere notationes ac supra §. 3. Liquet praeterea hanc CLirvam habere cuspidem in puncto R. Corollarium §. y, exhibentes valores ipsarum x et Acqiiationes 14. ope anguli ciuvedinis , :c — Ll°£_f^ sont sequentes _ 1 r^tffL^ — 1 (cot. Th e or em a §. Tab. IL ^^' i5. 2. : y =1 —-^ et (p. cosec. Cp -- L cot. i Cp). 1 V et P jwictis, si normalis YP produu^r/uc ad intersectionem Q. mm recta T Q. Punctls catur ^* ducta parallela rectae VP: intervallum PQ. aeqao- tur radio oscuU. Ob Dret dp^ cum s\ty Demonstratio: et pz=-^-^ erit V~i-^pp--=l^ ^-^"^"^' -ij^i- hincque Radius =: 4-^^*. At — XX, 6.— VY et V yy — hbz=z\X, liabe- mus hanc propoitioncni : , 93' VY^ X Y' zz V X ob give , XY^ = VX : . YP Rad. : : - erit : , VY':VX.YP=:VX: Rad. sive VY^ et , ob VX^ : YP izi V X^ = V Y : TV . ; Rad., fit , : VY^rVY.TV — YP: Rad. unde colligitur VY denique : : TV z= YP Sch l6. Rad. = P CL Ergo Radius §. : PonatLir', 1 i o n. perinde ac supra 7., §. formulatn yy i-f-g^^ exhibentem lem formulae generali pio radio curvaturae esse in quavis curva rectam ut, sumta hac posteriore dire aequatio pro curva cum x ::=: r 6b cummaxime inventa ; tur mihi esse liquet in sin autem curva exhibita ^ ubique aequetur constanti banc mutationem signorum commendabilem alia — yy — hl t±L_^j±yi est indolis, ut tangens : signo negativo, debeat pro- eidem detur signum positivum, evadet aequatione PQ., aequa- q^^e talis b. Vide- nonnuUis casibus ad investigandas, ope cutvarum quo- modocunque inventarum, aut novas curvas, aut proprietates singulares curvarum jam cognitatum. - , ?4 TJicorcma Arcxis 17. §. curv^e/^Y, aequatur sanidiffcreiiiiae tan- gcntis et parametii T'ab. II. 2. ' b. ' Fis- a. . Demon Erît unde tit liic elcmentum aicus integrando oblinemus : s t r TV : s z=zi (^ a t i o : , ds=V ^-^^jl~--^dy'—^l^ — Pio tangente autem h). y y — = - V"'^'' := ^f V yy — (Tang. — Param.). =z T V. :=:, ^-2^'--±? , er^o bb Arc. =z ï 1 T/i e or e7J2 a iS- §. ^rca curvac, 3. ARYX, acquatur = trian^îi TVX. Demonst ratio. " Cum sit pro hac curva eleiiientum yox zz: ^ ^ ^ ^ - ? nancisciniur integrando': Aream::z:^^^:=j;^=r|.^VX.^f:=|.ïVX.VT=:fATVX. 7Vi e f. 19- ;• c ma 4* Supeificlcs ^olldl ci£;quatLu- tricntl dijjfcrcntiac su- perficicrum duoriim cyiindrorum, pro radio bascos appUcatam Y X quorum aller Jiahet et pro altltudine tcingentem TV, altcr vejo radium £t altltud'uwm aC' quidGS coiistanti b ::::: V Y. : 95 Demonstratio. c ^yj-a. := c v-^^^ = ^;f ^ c = (:-^ -. ,6=) o I — (27rYX TY _ 27rVY^). î . Th c §. ma 5. Solidum acquatiir summae co. quorum et r e alter habct pro cîîamctro altîtuclinem baseos rectam acquaîem suhtangenti pro dcametro' rectam sain diiorum Cylindrorum, TX , VX aller vero VY et pro altitudine abscis^ A X. Dcmon s t r a t i a. h'Y^y^ry - h-h ^ fr(rr-bb)X ^^-^yiyy-hbf — fi^rr — ^^) ^yy — bb. dy (pbfVdQ_—V(l—f(XdV) — y(yy--bb)' — 3fyydyVyy — hb-hbbfdyVyy^bb; ergo 4-fyy^yyyy — 66 =:y {yy — -|-6'x hineque 66)^ (§. 1 2.), t 5. 2 1. cnrvaiiini , Progredior quas nonc Positis scilicet vel applicatis, angulis curvedinis colligiintiir ad comparationem birraruriï hue usque singnlatim contemplatus sum.. vel consiantibu.s, vel etiam binarum crirvariim aequalibus nonnnllae relationes mntuae ac qnas sequencibus theorematibiis demonstraba> inter se^ proprie rates, utrique curvarum applicatîs et constan- in Positîs 2 2. 5. anguli curvedinis unius cur' tibus acqualibus intcr se, vae supplemcnta angulorum eruiit Sit y applicata et a angLilus curvedinis ob rius ; erit a et §§ 4 pro altéra vero a zn §, sin. unde f3, lisdem 2 3. : : : / rr ^^ y m ^j'-x a fit ziz: conditionibus , hincque , 90° — (3. stabilitis zzi Nonncdl Subtangens m Siibiiormall et Positis ut snpra - vice erit: 2**" ciuv. Tangens i"*"* curvae - curvis, curvae ac p angukis alte- prioiis 14 pro prima curva COS. cpmmunes duabus constans et alterius. - - versa, erit : pro pro altéra : a îin. p» a sin. p. COS. p o. C»!. |3 "î7ir(F - a at a ziz §. 90° 24. — (3 lisdem dinis (J. 22.)^ admissis proportionales ergo ....... etc. conditionibus crunt radii curvecosinibus anguîorum curvedinis. 97 Cil m sit Rad. 1 ciirvae rr: -*— C9>. a- n Rad. 1 Rad. : a. ccj^?. 5;n.i3i COS. 2 m Constantihus 2 5. §. . a^cas.jB 1"^' Suit. 2"'*' Subn. ^-^-^ : ai cr a/rz.'. zn ^'1'- -£^ rz: cos. a nngulls et curv. . > aequaJibiis : cos positis appHcatae 1^'^ ciirvae, appUcatae 1^"' cwvae. p. erit : Fx demonstratione Ç. 23 patet esse: Subt. i c zr "-'^-a et Subn. 2 c =^-3; si eigo fuerit a:=z (3, erit, ob §§. 4 et 14: •* . ' lia. . Subt. i c .zn. applicatae 2 c, et Subn. 2 c Scliolion 5. applicatis scissam X Quod 26. et prioiis zz appl. 1 c. 1. attinet lelationem conslantibus . aeqnalibus abscissarum , positis dénotante x ab- et curvae ac u abscissam alteiius + u — y^^pl^ — Subtang. 2 2""' cuivae zz: , colligitur : Subn. 1"''^ c. Scholionc. §. 27. Mente concipiamus tertiam curvam^ ciijns applicatae T^b ti. sint aequalcs- applicatis A-ero lis tae binamm illaruin curvatum, cuilibet lespondeat abscissa aequalis aggiegato abscissae piio- curvae et abscissae alterius bissumtae , Pro rcspondentium. iiac ttm acquationein algcbraicam M moiiti ael^Aai. l . T/. eidem applica- nova curvd habenuis seqiien: ^ 3 S- ^' 9$ y^ yy — a' quae est ejusmodi recta AY demissoque ut , indolis , A Y, intcrvallum M Y ^it 28. AJtcniter r c hissumto alteriu? prohl. parameter si a. m a. ramonim curvae curvac piimi prohl.; paramétra X ad ipsam uhi(iuc acquale constanti Th e §. ex piincto perpeiidicuh A et Y puuctls junctis IL est evoluta iUiits, hngitudoquc dat arcum evoîutae constante aequetuy 6, fili excu- a. Demonst ratio. CapiatLir vertice sit ejusdem concava horizontalis. deturque stitutis ipsae priore curva in cm vae talis positio ut , supra sumatur ad axeni abscissarum , qui ut Hune in fuicm, nova abscissa zr x^ et nova applicata iziy', poni. débet pro coordinataruin initiuni in positis aequatione (J. 2) x y z=. x^ -j- a et xz^y, nanciscimur = a/ -~^^j^-^=-^ quibus valoribus sub' : y — al ^1+ + lîf + ^'\ " -'^ ' Ad investigandam evolutam hujus curvae designemus ejus ladium osculi, normalem et subnormalem pro evoluta autem ponanius abscissam literis zzi t r, n et >n; atque applica- tam ^^li) habemusque ope formulariim vidgo notaium : y 99 At, r ^z. ob " dV Y —--^ t , a / p' r=: -^A^_=. -=: n in rz X'' + - et m z=z -r^-l^ / ^ -* + a) zn 2 x'' -h a (x'' — u zz: et seu Nunc, si in x'' hincque , :n '-^ «a fili in çrit et — a l 4a unde patet longitiidinem lem esse quantitdti ar<t-(-x') ->•-- dp' y,z=z verlice \ evokuae ) aequa- a. curva 2 probl. ponatLir hznia deturque eidem talis positio, ut axem abscissarum spectet latere convexe, abit aequatio pro eadem inventa, §.12., .y — in sequentem: ' " 4 a Sin antcm initium abscissarum appropinquet vertîcem ver- sus qujntitate a, quod evenit ponendo x'' zz x''"' + n, 4 a. quae aequatio peifecie congruit cum aequatione A. ceoooc^oocoot i3 erit: lOO M E T H O D U s A C F I L O R I IXVESTIGANDI NOVAS ILLAS SERIES, QUIBUS EULERUS SINUM ET COSINUM ANGULI MULTIPLI POSTREMO EXPRIMKRE DOCUIT. A U C T O R E F U S S. N. Conventui exhibuit die ii Aug. §. calcul! viri L. 1- In Eidcrl , ut quae et et cosinus Ucet, laudatus ille 1' dem, ut ipse ingénue rum exigui sunt quibus ad eas tatem logis, : tlieorfa mcritissimi Impériale in multiplorum exprimcre exhibuciat, quae qui- multiplicatione angulo- quas autcm, ob calculi fuerit perductus, des De sciiebus memorabUibus, séries f\itetur; subsidii, Académie angulorum Geometra de Tomo quinto Disscitationnm de Sciences) fuit inserta sub titulo sinus et de uni versa malhesi, nuper (Mémoires academicarum quibus qnondam dissertatione illustris angulomm, i6i3. artificia, obque egregiam simplici- sccundum quam termini serierum procedunt, Geometrarum atlenlione non indignas tem, de quibus hic sermo est , in nuni nostrarum pag. 63. et 72. ita censuit. Séries au- Tomo V Commentatioexpressae reperiuntur: 101 >1 C05.2X^=z — (^ 2 \^ sin. (î) sin. 0— ^ Q sm.(p^cos.2(^\ 8 Q)sin. (î)^sin.3 0-l- i6 Ç) sin 0*cos.4(î)f ^^ ^^^ sin.Cp^sin.SCp- 64 (|) sin.Cp^cos. 6(p/ (-4-128 (;)sin.4)^sin. 7 Cp4-2 56 (|) sin.CjJ'cos. 8CÎ)) etc. etc. Cp— 4 (;-) sin.(|)-s n.2(p 8 nsin.(p^cos.3Cl)-h 16 (^) sin.Cp's 11.445 2 (=) sin.Cp COS. 32 Qsin.(î)^co3.54)— 64 (^)sin.(î)«s ,—128 (r) sin.Cp'cos. 7(p-h256 (3) siii.Cp^s n.8cp) etc. etc. Ubi characteres uncinnlis tcint potestaiis Eulcro et aliis séries procedens hoc modo designatos. secundum tum veio , characteres aliquanto lîiihi Cum sit (') , autem ista methodus piohxior sed etiam , et magis directam , 3-, non 4* in ex ^^~ ^^^- sokim indactioni tribuatur, in- etc. (-) , (;) , termini his coëfficientibus atTecti quidem videtur, nimis pliciorem in est, ut pio ces. x redit:, evolutione casuum specialium x :zz 1 , 2, ducantur. deno- jam ab cocfficientes raultoties harum senerum , eo vestigatione fingatuf binomii etc. (-) , (^-) , (^) , Methodus autem, qua Eulerus nsns 2. §. x^"'' inclusi justo ea , ut viam ahquanto sim- ad easdem séries ducentem. — i02 qnod qnomodo mihi tentare volni , successeiit ex scquen- tibus pjgellis perspicietur. §. stat Ex 3. Analysées trigonometricae con- elementis esse : COS. 2n (^ -{-^Z COS. 2n (P — — — ]/ 1 sin. 1 sin. 2 m Cf) zz: (cos. 2 CP iinde conckiditiir fore — — /— =: (cos. 2 Cf) -f-]/ 2 n i sin. c (J))", i sin. 2 Cf))'', : 2 COS. 2 72$=: (cos.c CpH-/— i sin.2 ($>)''-4- (cos.2$> — /— isin.20)''. Jam loco anguliim anguli diipli plicem cp, et cum cos. 2 <p 2 sin. sit z=. 2 Cj) introducamus siiu- : — i 0=2 2 sin. (p- , sin. Cp cos. Cp ^ his valoribus substitutis nanciscimur : /— isin.(p(cos.0-t-l/— Isin.cP), cos. 2Cp—']/— sin.2Cp^: — 2 /— isin CP(cos. Cp — )/— isin.cP), cos. 2(P-i-/— isin.2(Pii:i h- 2 1 §. Statuamus nunc 4. ponaturque 1 cos. cp -h — atque habebimus >/ — I "/ — 1 sin. (p 2 sin. cp zz. 6, sin. Cp rr p , =z. q ; : + / — sin.2Cprz 2Cp — — 2Cpzz:i cos. 2Cp Hinc gratia : cos. (p COS. brevitatis j/ igitur seqnitur 2 COS. 2 n (P 1 1 isin. fore ~\-- — bp}^ — bp'/ 1, 1. : — {i -^ b p y — l)''-f-(l — 67 /— 1)*, 103 factaque evoludone potestatis (S + C) b \ Cnm igitur sit (p (/^' (p'^ — etc. etc. +(:; ^' ip' ) horum binomiorum erit: - q)V~l- O - /- + _ / - - Q) (p h' ip' _)-(}) rz 2 COS. 2 n Ji^"^ lii -h q^)\ 7') 1 h^ (p* -+- rr)f 7'} 1 b' {p^ -I- crA / : /— — — /— — — — /— — $ 1 rr: 2 sin. 7') 1 : 2 sin. 3 Cp P* 4- 7* .= 2 COS. 4 Cj) 7^) 1 rz: 2 sin. 5 (p p^ -h 7^ r:: 2 COS. 6 (p 7) Cp p- -\- q' :=! 2 COS. 2 etc. etc. Si b^ (p^ valores snbstitiiantur , tiim vero per 2 dividatur, pio cos.2n(P emergit hacc séries: ( 1- (") b sin. <P~Q b'cos. 2(p-hQ) b'sin. 3(pj ^ cos. Qn'P:iz< ' (, etc. (-+-Ç)6^cos.4(I)-Ç)6^sin.5CÎ)-(^)6^cos.64)^ qiiae est ipsa sa séries et absque tantis 5. Q.Lioniam 5. Euleriana , commodius tantum expres- ambagibus valor eruta. litterae n nullo modo ad nu- méros integros et positivos restringitur , siquidem evolutio binomii Newtoniana , pro fractis est , ex nostra cui praesens methodus insistit, negativis , et adeo surdis valeat , solcitionc, seriem illam etiam manifestum veram esse, quicun- que numeri pro n accipiantiir, id quod ex methodo Eule- 104 rinna niillo modo liei truditae ad videtur (Conf. numéros positives c. 1. pro n = —i, atque ob O := — (''):r:-|-i tis et ita porro, notabilis egregiam si siimatiir rcstringeie unico saltem excmplo numerum negalivum (^) = + l , 1 , summationem (^ — piita , (p rz obdnebimus sequentem (i-4-bsin. COS. 2Cp Ita et inicgios pag. 60, 61, 62.). siimamiis illiislremus , n quippe qtiae potins veiitatem se- Quo hanc siimmationrm 6. §. patet, - 1, seriei sa- : ^'sin. 30-f- 6^sin.5(I) — etc. j __i,2ç.Qs,o(p-^.h*cos.4(p~b^cos.6(p -{-etc. Cf) zz: 45°, piodibit : 0:=H-l— 2 — 4 — 4-f-8-f-l6-H 16— 32— 64— 64 4-12 8-^- etc. ciijus Veritas est manifesta, et séries ista discerpatur in tcrnas seqiientes = o <-f- (i— 4-+- 4^ -4^ -1-4* -4^-»- etc.) ( 1 Si SLimatLir (P rz 3o°, î zz: 1 -t- ï si cerpatur hacc : -4-f-4^-4'-^4*-4^-f-etc.) J (1 —2 — 4 + 4^ — 4' habebimus — — — séries ï si : (~i- ( At adhuc evidentior evadit, -i- 4* . — 4^ 4- etc.) \ : 1 î -j- î -4- i-f- ? in stqucnies ei — — — ï 1 i -4- etc. acquivalcnLes dis- loS — + — i-f-i — 1-fH-i[i — iH-i — iH-i — i-h ^ï[i — + — J-f-i — i-h [i -f- 1 etc.] 1 etc.] etc.] 1 1 Veritas sunimationis est obvia. Si 7. 5. finité parvum , casa erit generali série in Iiabebimus cos. 2 n Cp z::: 1 , vero hoc tiim : n (7) m T tt (t) n (f) n zr: — 2 3 . — 3 — '2 ^^ "[ r • 3 y 4 ' 4 : h —3—- J=coî.2<p ' Hinc aiitem sequitur ' 2 r n h sin. j rt i unde, facta divisione per n, et substitutione habebimus T — I r . et ita porro, peracta , ; — — (7) Easdcm inventa ponatur n in- 4. %. ^ ' 4 64 COS. 44> 2 4 in ' —r— 6^001 6 ;J) , ^- ^'^^^ "^~" etc. 6 6?j/n.5 ^ ^ 6«coî.--:|> séries y^ )' inter se aeqnales fore bas séries : 63 ;/ i. j^ ij> 64 COS. 4 (p ~~~ 5 /: 6"cos.6(p ^^ "^ 6 dissertatione saepins citata, pag. 64, Eu- ex alio fonte, rcmotiore et minus naturali derivavit lents atqiie aequales esse ostendit. 5. po.sitam 8. Alteram qnod seriem attinct , pro facile sin. 2^4) snpra $. 1 inlclligitiir eam ex- simili pror- , io6 modo sus Cuin cnim ex inveniii posse. §. bab^ainns 3 : 2|/-isin.2//^=3(cos.20-f/-isin.2(î))"-(cos.C!(p-/-isin.24))'*, loco sin, 2 (J) et cos. 2 (p valores supra hic si veio dcnominationcs b tuin stituantur, , p , ei q introducantur, facta divisionc pcr ]/ litae, §. — , i 3 dati sub- 5.4 srabi- habebiiniis 2 Sin. 2 ,,^^{iJzlPX^rijr:^~^'i--!y' , qnae expressio, rite cvolulis quentein subministrat seriem . •^ - sin -U c^ ) 6^ Cum igitur sit p -f- g -f 9^) -h * h^ iP' m 2 cos. ^ ' (p^ (p* p^ 4- 7^ :r: 2 cos. 54) {p^ * 1 ( ) — / — =: — — q*)V — = — — V — =^ — 2 q^) q^) Q 1 2 sin. 2 (p 1 2 sin. 4 Cp l sin. 6 (p etc. I hi valores substituantur, séries qiiaesita ^ 7^; etc. p^ 4- (/5 =1 2 COS. 3(P sin. 2n(î) zrz - r) /- 1/ - /> b'' (/^-^ : etc. Si O C) etc. ^ se- : (") ^' (p' + V^) ^ — )< ^ (p^ '^ /luj •- binoinioium potestatibus, ita se habebit: - (I) 6^ sin. 2Cp - (-")b'cos. 3(1) ^ ^4_ (" b* sin.40 + b^ COS. 5 Cp - etc. ^ b COS. ^ , ) „ ( cum ) dissertatione quae séries pai^. 72 exhibita, consentit, de eaque, ob rationes supra §.5. jani itidem allatas , Euleriana , in citata aequo jure ac de piiore pro cos. 2 /i 4> J07 inventa, asseverare possumcis , n, integro vel bet numéro Illustremus 9. termini fore scrici sm.2n(p, quidem si obtinet evanituri , nolandum est, mox tantopere (p exempla increscere , rz 60° et (p in 90° , omnes summa eorum zz: ac Sin autem non cvanescit, sed sin. 2n(î) eos hoc casu, ob 6— 2sin.(Pzr2, ut eorum summa ut cuique constat , seriebus z^ 45° exem- verum idem etiam de terminis scilicet: possit finita , cujus rei , dantur aeque (|) aliquot n numeius intcger. fuerit valorem ; seriei sumto patet , n fuerit fractio, tum quidem finitum positivo vel ncgativo, hanc summationem Ac primo quidem plis. fiacto , vel surdo. rationali §. cam verara esse pro quoli- xid fieri innumerabilia divergentibus. hujusmodi iitique séries Etiam casus divergentes perducunt. §. 10. Sit igitur Cpr:3o^ erîtqtieb-i etsm.'2n(pz:sin.—, cujus \alor per seriem ita exprimitur: dn."fr='-^[(:-)-eH-(",)-(;)-.(^)-e + 0-etc.] unde si loco n successive scribantur numeri 1^2,3^4,610., scquentcs inde emanabunt valores sin. — 3 Sin. o —~ z= sin. l^- zzz— ^} sin. 1^ = o, 2 — rr: — sm. ^^ n: : sin. -^ 3 * <[m omncs egiegie eu m veritate ^int consentanei. J , io8 Sumatur 11. §. (^) =: -4- 1 (|) , sm. — =: — z= — sin. - est sin. , V3 -zr— 12. (^) z:z -h 1 , , =— 1, veio erit : sin.— — — ^ [— 2 — 3 ,.: -f^ 5 -H sit et ita porro. Tutu 6 — 8 — 9 -4- 1 1 -M 2 — 14 — etc.], lepraesentemus ita : — 5 8 — + 14 — ^-+-3 — 64-9—12-4-15 — 184-4- __ ^3 ^-h 2 * cinn (")rr~2, (^)r=-f-3, eritque (")i=i~4, (pz=+5, (")=:— 6, ^^^ et requintur. X uti , Sumatur « qnod commodius etc. , 24-2 — 2-f- Ctc] —2+2 5 3 5. 1 erit sin. -ZIZ-^[2 3 hoc nn:— i, ita ut habeamus (y) = --1, 1 1 1 7 -f- etc, etc. Ilarum scriemm, difTerentias primas constantes r=:3 habcntiiim, siimmae vero zzz^ ertint : — l^^l» ^^^ superioiis "^ ^^^ n: | — ^ :=:i, ~ ^^ "T 1^4+ sm. — zn-^ ^^"' 1 ] * inferioris ^^^ ^^^ • 3 «ti requiritur. Ç. i3. Siimatur nziz—3, atque habcbimns (")iiz— 3, O^H-^, (f)=:~-10, (-^=4-15, (;)i_2I, (^) 1^:4-28, et ita porro; 4- erit per seriem • — 4- 36 — 66 4- io5 — etc.! 4- 120 — 6 — 21 4-45 — "4- 3 sm. 7: :^ - tum vero 1 5 •?8 etc. 109 qnae cum habcant <iilTerentias secundas séries constantes, modo , ope regulae cognitac , de- carum summae sequenti teiminari poterunt : Pfo priore 12 i-- l53 io5 9999 — — 3o 21 summa erit | crgo 66 36 i5 3 39 -f- 1 zr 48 etc. etc. etc. |. Pro altéra 6 i5 ergo siimma quitur fore 12Q 78 9999 — 24 erit 42 33 ^-^ zzi ^ -|- | 171 5i etc. := -f | = "^ [| — |] natura postulat. §. 14. CasLis notatu dignus hic do n assumitLir infinité 2 /i vf) HZ 2 « (p , omnino littera séries arciim circularem sinus multiplorum per ut iam supra e si 7. adhuc se- se offert, quan- tum enim tota constat séries per fieri n dividatur, formula expellitur atqiie habebitur quemcunque 2 per sinus et co- ejusdem arcus exhibens. ob hune nuraerutii n , $. parvum ; unde haec divisone Hinc autem . = o; rci sin. etc. etc. : sin.T iiti 45 21 vidimus : infinité Facta enim paivum j erit, — 119 (-) " = -7 (n \ — n n I n — I n —X 2 et ita pono, unde ^^ v_|_ §. i5. 2 n. — sciies noslra eiit b co^ — rjir_jr Cam igitiir j^ j 4 ' 4 j !j> _ , bicos.7^ -^---.3.:r - hoc - , _j_ -{- modo Çîeoî. jA —^jj. ^-^ — — etc. etc. invenerimus arcutn circulaiem qiiemcimque 2 CP vel 0, per seiiem expiessiini secLindum sinus cosinus arcuum multiplorum proceden- et lem, non inutile nunc quoque pioblema inveisum ag- eiit gredi et exploraie summam istius seiiei_, quasi adhuc esset incognita. Disquisitio haec, non parum aidua, practerquara quod nobis *jnsam praebebit in usuni vocandi varia contemnenda calculi quoque ipsam veritatem stim- aitificia, haud mationis illius memoaibilis , paragrapho piaecedentc traditae, adhuc magis conoborabit§. 16. Cum seriem, cujus summa qnaerenda est, jam discerpserimus in duas, quarum altéra scihcet secundum co- altéra vero secundum sinus arcuum mulliplorum imparium, sinus arcuum multiplorum parium procedit , " séries u et v, ita ut ; vocenlwi; hae m u - z:^ — -4- — -— — etc. —^ — — V =. aîque inquiiendiim ^^ habito respt-ctu ad relationeni, quae inter Qiioniam igitur 6 spectare 17. non prndeat, £;rilo ^p riei, nihil tur, eritqiie \l Quem utriusque seriei summam seorsim investigemus, niillo in fincni §. etc. valorem snmmne u-{-v. in erit + — f~ — si 6 et C^ subsistit. licet, quasi ab an- su ma mus differentiale primae se- impcdit qiio minus littera h ut constans specte: — — hsm. (t) -L- h^ sin. 3 Cj) — 6^sin. 5 Cp -h etc. Hanc seriem jam ducamus intrinomium i-i-2 b-cos.2 Cp-f-b*, et cum sit : c COS. 2 adhibita sin- ?2 4^ =1 sin. {n -{- 2)^ -f- sin. {n hac redtictione habebimus — 2) Cp : — ^^ =: — bsin. Cp h- b'sin.SCl) — 6^ sin. 5 CP h- 6^ sin. 7 4) — etc. 2 6- cos. 2 0^^=;— b'sin.3(pH-b^sin. 5Cp — b"sin. 7(p-+-etc. — b'sin. (pH-b^sin. Cp — b^sin. 3Cp etc. — b<||= -*-b^sin. (p -h b'sin. 3(p — etc. -f- -»- unde deletis terminis se ( i -j- mutuo destruentibus nanciscimur : 2 b' COS. 2 (p -f- 6\ ex qua afquatione seqiritur II fore : — - b^X—hb) sin. 4) 112 Qno nunc intégrale hiijtis formulae commodius iS. §. assignare valeamus, loco cos. 2 Cp scnbamus g cos. (|)^ — i in dcnominatore, eritque : — — b{\ bb)d(Psin. $ d u :::=z (i b h)' -h 4 ht coc.(f)- — ' Vocetiir jain '-^^^^zuzZy fietque denominator : (i — bby -^ 4 bh COS. <P^ — — 66)^(l (l —;zzjb~^ —zdz, Biimerator vcro, ob -\- zz) ; fiet : — è(i — bb) d(psm.(p=zi — bby di (i unde statim concliidittir fore du = i . cujus intégrale est :^-, : — u z= î Arc. tg. 2 19. §. hoc : Nunc alteram Arc. tg. '-^"^^ . seriem v est ejus difTerentialc , 1 -f- 2 fc 6 COS. 2 4) -f- 6*, ï eôdem mocto tractemiîs, per d CP divisum , atque habebimns ducamus iû : — 6«cos.4Cp + 6'5cos. ôCp — b^cos. 8(î)-hetc. 6^cos. 8Cp— etc. â+-2 6='cos.2(î).^Ji=:-+- b^Cos. 4Cp — ¥cos.6(P b^cos. 0(p — b'^cos. 2Cl) -^ b^coc 4(î)— etc. -f- |J=: 6=^008. 2C|) -+- •4- -v-b*.|!= Hinc , hncc terminis deletis acqiiatio se H- b*^ cos. 2 (p— b" cos. 40 H- etc. mutuo destruenlibus nascitur ^ : (1 -f- c bb cos. 2 Cp-f b<)^J=:zb^(cos. 2(p-f-bb), » Ii3 ex porro eliciUir qiia §. Integratio 20. stataatar : -'--/t^— H— àocos. 2-;s (p formiilae IiuJLis enim denominator tuni z, 1=:: facillima , fiet si fiet : 1 4- 6* nz ( 1 -f- 6 6 COS. 2(py{i 1-4-26- COS. 2 numerator autem induet hanc .foimam formula jam évadât ut tota = dv i §. seiiei ^ notjssimae A ^ 0- t>" . ex :zz ï !. ' 6 6 S7TI. a <^ -I- 6 & COS. 2 (f) 1 * -^^ -|_ ^ A tg. summa ambabus confldtae . tg. erit r-^,,,,,% . unicum colligamus, ope redtictio- : tg. ^-4- A. tg. ^=: A ..tg. îj^r-f:. sit : :^ 2 bcos. Cj) =1 4 sin. — Arc. ts. " O* modo summa utriusque seriei u et v, illis arcus in eu m nostro casu TT X ts:. — iA. Hos iam duos et Arc. propositae u-Y-v nis : Inventa hoc 2 1. : -i— . CHjus intégrale est V zn : — 1(1 -f-bb cos.2CP)'Dl, b- {cas. 2 <p -\r bb) d(p ita 4- zz), — 6 6 — —4 n: 6 6 2 n4 1 1 sin. Cp r :=: i -^ 66 cos. 2 ($1:121 MfmircsderAcad. T.FI, cos. (J) ; ' (p sin. 02 ; sin. 0^ sin. 2 (0 ; +4 sin. (p^ ^^ cos. 2 (J) ^ , numerator mus fient tangenlii, cujus denominatoi' et J. summa anlem ad avcus reducetur sequentem in modtim. — 4 sjn. Cp COS. (p (i 1 ita ut sit u • et — ?> summa sericrum -]- V zn l cum noverimus esse 1 — 2 sin. (J)^ StatiialLir : 2 sin (p^) —P , Q : Arc. tag. 4 sin. Cj) COS. Cj) formani ~\-^ sin. (p* r^ sin. (^"^ ; : zr: 2 sin. 2 (p , m COS. 2 (^ , «janifestiim est fore : P =: sin. 4 Cp. Tu m vero constat çsse COS. 4 (p r= 8 COS. Cp* Htnd.e cum —8 cos. (p* + i sit : COS. Cp' =z 1 .CDS.Cp* n: 1 — —2 et sin. Cp* sin. Cp- -"t- -f- 8 sin. (p^) quaesita nosirao sciiei per unicum arcum ciicularcm; Iste 2 2. 2sin.CÎ)^)(i -f-t'^sin. (p^) (l valoiibus sabstitutis erit — = — 8sin.(p^ H- 8sin.Cp*)(i _7ro- ^TT cxpressa qUiicii- : 7:r-f- ^cr=:4sin.CÎ)cos.CÎ5(i quibus arcum sin. Cp* „. > erit enini : simpî.icissiraam , li5 facile intelligitur fore COS. 4 (p ita : — — 8sin. 1 4^- -h SsinCj)*, ut jam nacti simus ; a = COS. 4 (p ; unde pono scquitur fore u -I- z; zr ï A consequenter et §. arcnm esse == 2 4) tg. tg. 4 . summa Cum 2 3. summiim quaesilani u et v, hoc est propositae est :zz 2 (J). seiici : — |t'cos. 30 — 6 — 2 Cj) =z 6 COS. ($) -f- ï b^sin. 2 . ut hanc qucns 4- î 6^ COS. 5 siimmationem statuamus modo demonstraverimus duplici igiuir :^: 3o° ^^^ 4- § 6^ sin. ï6*sin4(I> etc. unico saltem exemple illiistremus, 7 . eritque b zn 1, unde emergit se- siininuitio : Z — t? rn-î ^^ 3 2 *- 3 — "^T^^S — — JL-L.X-4-i modo commodissime ï_4_i-4_i ï 4 5 J10. çiijus veiitatem licet. Consideietur haec séries generalior : sequenti 5 z:: 2- -+- 1 z* qiiae in tidla ddt —I z-* — 2.^ -+- I abit posito ir. 1 -f- 2 — z^ — z* -^ ostendeie seiies 7,^ -{- z'^ — — 2' etc 15* •- difleren- : ^,' etcl cil^.j — Y5 2'° — etc. î x^ -I- 1 2® zrz:!. Haec nosLram '^I3^^^I4 Il . 1 Est vero snmma huius que habebimiis exploïabitur , antem hnjus formnlae comtnodissime eam si 4 repraesentemus ita — 4a + 4Z« enim forma (i : — z)-H-32S* denominatoris statiin Limera ton formula e — 49z licet siispicari negotium absolvi posse statuendo f^;^ iz: x , Il idco- , H- sz SB Intégrale 24. hac — : 1 Ex ^-— coirnita zz: seriei — S Ç. 16 tum enim fit : :f^ (2 — z)« a X , denominator vero evadit. — 4z + 4zz zz 4 ^uibus substitutis adipiscimur os ^^ unde integrando j. Hoc intégrale A :; fit : tg. . a: evanescit , in— cxhibiiit supra f[Uod, ^-^ -f- 3;3r)> 2)* (i = posito tg. ~^\ zzizo, uti . zzni,s abit in seriem illam sumto autem Bunc — ,_^,^, . ^ A =: (2 §. 2 3. valorem arciis , lequirftur; qnae , —, ita dticta ut sit : ^ = ';î ob A tg. 1/ 3 . . ^. A tg. /3. nzy, nianifesto cum vcritate consentit.. 117 Anteqiiam huic dissortatiuncLiIae finem faciam, 2 5. §. adhuc monendiitn Gosinu arciis demonstratis , tione muUipli exhibitis , citata ac habeo, hic ab Eutero pio sinu et scricbus 2 ii (p in dissertatione cjns saepius vero ninlto commodius expressis et tam ob majorem usiim , quem divisione angulofum in multiplica- praestare possunt, siniplicitatem in lege progrcssionis quam ob conspicuam , longe an- jam altiquoties pro sinus tcfciendas esse eas séries , €t cosinus anguli multipli, postremo in novorum Actoium Tomis séries IX. et XII. ita - se habent in qiias médium attuli ac deraonstiavi. Hae : - (|)tg. 4)^4- (f)tg.CÎ)5_ etc. cos,n(p — cos.(p\L'{j) tg. Cp^4-(^)tg.0*-(y)t§.Cl)« + etc.]. s^n. n (p COS. 0'^ [(^) tg. (p ••o«o^^ei»««r^ J-. 118 INVESTIGATIO TERMINORUM SERIEI EX DATIS PRODUCTIS QUOTCUNQUE TERMINORUM CONTIGUORUM. A U C T O R E F u s A^. s. Convcntuî cxhibuit die 25 Aug. i8i3. 1. 5. Sint a, h, Ct d^ etc. termini redit, ut hi termini detcrminentiir, si seriei , et res eo vel binorum, vcl ter- norum, vel quaternorum etc. terminorum contigLiorum producta fuerint data. plicissinium , qnod Piimum quidem casum , eumquc sim- quo nempe produGta ex binis attinet , terminis coritiguis cognita pridem a icperitLir que in Tomo primo Opiisculorum analyticorum , modo , per interpolationem nimirum continuas, Cum autem istud modo memoralum Geometram excipias quantum qiiidcm mihi constat, , accommodatam, licct id- pcr et argiimentum , a tractdtum fucrit , minus dircctam si ncmine adhnc, opcrae pretium mihi vi^um est, methodnm priotcm, uipoLe niagis j.im sumino quondam Geometra nostro Eulero soliitum duplici fiactioncs piobicma hoc assumuntur , ciiain ad iisui illos cnsus extendeie, qnibns pioducla ex ternis, qiiateinis, quinis, etc. 2. §. ternùnis contiguis ut data s ,ecLantur. Q.UO aiUem natiira methodi progressionis claiius peispiciatur , et formulariim lex exordiamur a casn illo simplicissimo, statiiendo data esse pioducta ex binis termi' contiguis seiiei" a, b, c, tf, etc., nis quem in finem ponamus: A z=: ab, B zz 6 c, C z:z cd, D :zz c/ c porro, igitur iibi A, B, C, D, etc. et ira tes datae, ex qtiibus termines seriei n, hj, sunt qnantitac, d, etc. de- tciminari oportet. 3. §. sionis lîic potissimiim débet natura progrès- spectari A, B, C, D, examinando qiiomodo etc. utrum infmitesimi sintcomparati , fiant vel difTerentias habeunt, sive primas, vel denique stantes , Sufficiet Ctim. rasse , A'cl progressionem quandoqiiidem etiam se aequales, sive srecundas, con- constituant autem casum lantum dilTerentias constantes inter ejus termini termini geomctri- postremum considéinfmitesimi aequales, habentes, pyogressionem. geome- tricam constitui assumimtur.. §. ah 4. Tu m vero m A, 6c zz B, cd hic quoque zzz C, etc. omnes mines ex solo primo a atque datis fmiii.. Elit enim ;. monendum est , ob seriei quaesitae ter- A, B, C, D, etc. de- 120 r ACE / aBD î^ — gBDF "ace" etc. etc. Protit igitur teimini .A, B, C, D, etc. conliniio propins ad rationem aequalitiUis accedunt , ita etiam tandem aequales fieri simt censendi. c, ht c, §. d:, etc. 5. tcrminorum Qjiodsi a, b, io;itLir c, cl, etc. binos numeri quaesiti proximos hornm qiioslibet aequales statuanius, in- intcr se deque valorem primi a eruamus, ejiis valor continuo pro- pius ad veritatem accedet, qno longius ftierimus progressi. Ita acqualitas o* rr: ^ • az=.h dat acqualitas 'Hoc modo pro a* a* zz: c z:z d A dat successive ; acqualitas a^ zn -^ ; ita dat porro. émergent valoies sequenles continuo propius ad veritatem accedentes a* et h zr: c : [ 121 Hoc nempe piodiictum, valorem primi termini quando termini Uirn infinitum coniinuatiim, in quacsitae, et scriei exhibet qnidcm non so- intinitesimi progressionis A, B, C, etc. rationem aequalitatis tcncnl, ut Eulerus innuerat (Op. anal. T. I. pag. 5.) sed ctiam, ut diiTe- Invente autcm primo termine a, omnes reliqui metricam. §. videbimus, quando habcnt constantes vel progrcssionem constituunt geo- rentias ex infra innotescunt. 4. Ut rem nliquot 6. 5. statuamus primo esse exemplis magis illustrerauy, : A m a 6 :=z. i , B — hc =: 2 C =: ce? m 3, D — 4 , cZ et iia porro , ac icperietur = «^ Constat --1 2.: ' — 4.4 a sequitur m/--, Erit enim ' =:: : l-c 6.6 • H S. S • etc. hoc produc^um infinitum esse autem, notante ^ pcripheriam unde e fore circuli , primum quo invente etiam =^, dé- cujus diameter est unitas ; terminum reliqui ex sériel §. 4. innotescunt. : M.'miris deVAcad. T. VL quaesitae ^^ 12 2 a^Vl 123 h y-rr et ita sint quid Vfdeam.ns porro. Ac primo quidem pi-itt)ittirae. " 6.6 20 • . -o • 4= quod, fiactiones reducendo, a' —" Deletis jam quittir fore CMit 4^ 7^ icpracsentaii potcst 1 7- • -^--il . '-? 6 ziz 2 (/ 1 fi zi: c zz: 3, , m castr : . f.ictoiilHi? tum vcro ex j 4 » e : clc numeratorc ac denominatoïc in hoc nostrac ita • 5-« lii Li* evidens est fore qnalibus , forimiLie —~ 5 §. clc. , , ac- 4. se- uti re- quiritiir. §. Consideretur nunc progrrs^^io JO. trica A — 1 B~ 2 , C —4 , D =1 8 , jam supra intuiimus hoc casa etiam nes a, b, c, d pro §. hae fraction es 4. E — 16 , etc. , scrici qtiacsitae et termi- talem necessario constituere debere progres- sionem, saltcm in pra scqucns ^eomc- Quodsi infinito, a, h, c, cl, ex postremis su- igitur exhibitis valoribus formentiir etc. : T 7 ^^ R'iP fl A-C-E-" ' eae intcr se debcbiint esse aequales unde — «* eliciltir : A4 C4 E3 -bTuif-; /^^'^^ ^ Hinc jam facile . . ni " dénotantibus inlellif^itur A^ /^ Z A- c^ 2 - . 3^ verum valorem . __ 1)4 et Z^ terminos • F4 fore : G- 1- E- G- c^ K* • H4 7. • • • -' » infmitesimos contiguos^ er.it- , 1G5 que pro cnsn Z' =: nostro cZ et habebimus valores numerjci subsLiliuntiir , n\ " hoc est 0* m : 2i=.2'â -8.212 24.28 i4.i4 ., 1 2 * duodsi nnnc .^,^zil. I ... ,4 • et ^, a î'* ' 2-" * * s-8 * * 2* * _, 1 m *' :zz 2 '. Reliqui teimini crunt: f2 6 :=: 2'/ C ::=; 2', Undc hos etiam patct £;eometiicani. rf tcrminos /m constitueie h =:zai;C^=z a z^ rr: ï, d zn a%^, etc. ', progressioneni Sokitio igitur facilior faisset ^ e.xponcntem hiijus progiessionis iiidc c =: 2', :i= 2*, si, posuissemiis e :zz. a z*, eniiu scquentes résultant aequationes A z=z a h zz: a- z :n 1 B z:z h c z^ a^z^ =:z 2 , C ziz: cd :=: a- z^ zzz /^ , D — f/ e ~ a^ 2.7 ~ 8 sumcndo : etc. : ,. :, etc. qiiaium 7,^ lit si quaelibet per praecedentem dividatur , zr:2, ideoque 7, zn /2 et a' zzz -^zzi^-, prodibit hincque arr. — supra. §. Il, Si fuerit in génère Bi:r Awî, Crz: AmvDzz A m', E r3 A m*, etc. tum, sumendo ut ante fecimus hzziaz, czizaz'^j, dzzaz^y etc. : 1<26 ob ahznA^zici'Z ergo z m/m a hczrzBirza'^ i.'^ :=: Am, erit et et termini scrici rz: /A b :=z -/ A z* Z21 m. crunt . — / A f m7 / m / A f m' y m . : a nz >/ A ; m'> t.^— . qiuirsitac " c c — / A f . . . et ita porro. 12. §. seiiera Si A, B^ C, D, litterae hypergeometricam j hoc est si etc. fuerit constituant : A in nb cm 1, B rr b c =z 2, 1. C — crf — 1. 2. 3, D — cZe r= i. 2. 3. 4, E — e/ = 1. 2. 3. 4. 5, et ita porro , tum termini verum procédant; metrice infinitesimi quidem etiam geo- fractio fit obrem peculiari evolutione opus 5. |, crit. infmita , quam- Expressio qiiidem 10. exhibita , qua : a' ~ A^ déclarât sequentes accedxîre : a zz: a a ziz zzz A=C^ "B4~ • • f G'. 5 Fdfiî A c 1. U I B I) F H K V ^ V ^' BDFHKM K ~F+~ continuo valores BDF E=G' C'E» D4 K 4X2 ± • M N Ô propiiis ad veritatcm ; 127 et ita pono. Gommodiiis h idem xAoï a, verus adeo , Vtriiiii Cuin eruitur, ita - ^ sit c =. 2 . c =z 2 . . ri-zizce oiitur a*rr— -- ; ;.3.4' f- ex a* =1 ï; fit . a eLc^ etc. cg prodibit -zz: a m 2 4 i ex : 4 S =: 2 .4 a posito b^ rr: ne raulto :=ihd c^ a* zz: fit ~ ex. , ex e-zzrffnanciscimiir a*zz—^— -- :. 2.4.4» -^ a^ .. , .f . 4 • 6 Continuando hoc nio- do tandem emerget vcrus valor „4 ergo a ~~~ «-J-'?y-5-7-7-9-9- f ^g2.^.4.4. 6. 6. 8.8. la. etc. —f^ Termiiii £ tt igitur seiiei quaesitae ita se ha^ bebtint 4, î 4/ 2 d =: = 2.4./:^ — 2 g 4 6 / I e . . . quomodo 5. ita ulteriiis . 3 . " f / - i.3.5.|>^ /i ~ '. 1 3 . 5 . 7 1^ V etc. etc. qui l procédant perspicutim i3. Sit A^:=rt, B'zzznb, est. C-'zznbc, D' — abcd et pono, et cil m sit A :zz a 6, Bznbc, Czzicd, Diz:de, etc. habebimus : J28 A' z=: a C = aB F/ — a^D G := BDF n D = AC l-^ =2 A C E ir =: A C E G etc. etc. ubi termini secundae columnne consLiiuiint tlatam piogressioncni quae inteipolari qtios tes, §, gandi ex stipia 14- o, h, c, m B — ita d, c, b c h c , , nt antea , ita se atquales ; unde manifcstum a, 6, c, d, una cum datis assiiniere esse compaiatoS;, etc. data pLierint prodiict.» : , A, B, G, etc. série si d, D = def , etc. invcsti- Ilunc in fincm ponamus C =z c d c Hic porro. fl : mine problcnia teiminos terminis contiguis. A et piopius ad veiitatcm acccdcn- pio a^ exhibuimus 5. Aggiedianinr seriei ternis §. opeiaiione eosdcm qua potcrit , asstqiiimiu- valores continuo est ut liccbit numéros infinilesimi sint inter idem evenire debeie in cnjus teiminos ex duobus piimis a et b, A,B,C, etc. definire licet lioc modo: iùg A c bC B oB au j A AD f a BE icr A DG aBEJl c h r F Xdg bC FJ JbC i B F H EH A D G K oBEin. cb CFI A~î) G K etc. etc. fcCFIJJ etc. lex progressionis est perspicua, du m modo, ut fecimus, tibi formae tiiplicis teimini Sujierest ut deteiminentur a et primo nzzio, eritque 'b tum vero : m z^ o, fi€t: ABDEGHKL Quodsi haec postiema unde Hanc In fmem siatuainus statuainus 7, toie 6. A CD F G I K H • ÏÏ^ÎT- H- iJ a dcletis invicem distinguantur. se a rite factoiibus ducatur in quadratum pdoris, ftactio communibus in numeiatoie et denomina- repcrilnr : a' A3 D3 GS K3 M hi î.i Hi lT" facile intelligiiur magis a primis quam si ulterius m^ n et o progiedi et terminos remotos acquales poncre velimus,- valores o} inde derivati conlinuq propius ad veritatem accedcre, quo longius fuerimus progressi, et valo- rem veriim pcr sequens productum infinitum expressum iriN.* A^^ D^Q G^K K'N « a — /i . gj . gj . . jjj- Simili modo rcpcrictur quoquc 6^ Mémoires de rAca.ù T. FI. j^j . etc. Cum enim, posito nzzzht, sit ' 7 , l3o c^'b = A» n^ G' R!" B C F, F H L » 1 tum vero ex positione /i ^ a2 C= D- K^ g- 1- i^Tvîâ valorem fiaetionLim : _ B4 E4 H4 L4 ambarum pioducuim nobis subministrat hune : El H? U V — B3 C3 FJ U M2 nnde concluditur nitum exprimi 1 • vemm valorem per hoc productum infi- : B2J T» ,3 5. n: o oviatur fc2 E=^H H^J. L'O Piogrcdiamur nunc ad casum , qno producta 5. «X quatcmis terminis contiguis ut data spectantur, hoc est Tibi cogniti ponuntur valores : A r= ah c d B zz: h c de , C m: c d e f y D =: defg, hoc casu et ita porro, atque manifestLim est ^ — ^AE a B A ZH ahcVn aBFK À eT ^ etc. etc. == 06 cD TO A E I D c c F A f/ ft hC f fore : a fc , CG "b f — / J c: G L B V R etc. P ZH D H "CG^ £D H M c "c G l" etc. Hi valores sunt quadiuplicis foimae et quomodo procédant I3t in qualibet atur duod si nunc statu* columna perspicuura est. m zn p erit : L C E G abcc — A-ï,^-„T-M-, I , tum vero, posito n :==. o, habebimus : A C E G I L a quamm fractionum prodiictum dat a a C C m p nanciscimur Posito porio n : M A D E H I a : A^ C2 E^ Qï 12 L2 * B* D' F- H^~M~ BCFGKL» 7 fore : concluditur unde aaccx a^^a =1 a^ = A4b4E4f414kTH . Hinc jam — A. -, a^ Simili veium valorem fore facile inte]liD;itur EU A^E * . ïT 13 N N4R K4- • -5r • etc. • modo repcrietur fore Inventis T> C^ —p vj autem innotesciint C3G . -p^j hoc K3 O GiL . -^^ modo . L3P -j^ 0? S PiT . -^ . etc. a, 6, c, reliqui termini etiam qnemadmodum tabula supra data déclarât. Hinc jam tuto concludere licet, producta ex quinis terminis contiguis , iioc §. j 6. : : Fi K B3 F j , . • A zr: a h c d e , B zzz h c d e f , C — cdefg, D-zzLdefgh, si data fuerint est si fueiit : 13^2 et ita porro, tam : 133 INVESTIGATIO CURVARUM QUARUNDAM; QUAS DESClUBiT PUNCTUM CURVAE DATAE DATAdUB LEGE MOTAE. A UCT R. E COL LINS. E. Convcntui exhibait die lo Nov. Pr h 1 e Data airra quaecunque ita, I. TDY mnvetur ^rer recta MN ut in singulis punctis successive tangatur a hac recta: hit ma i8:3. invenire curvam YS, qiuim punctum quocldam Y in tali motu descri- Tah ui. data curva pro luhitu ^^S* assumtum. S oluti o T punctum curvae datae, in qoo ea hac cjus poaîtione tangitur à recta MN; S aufem punctuii? in quod Sit motum snum incipiente aequalem fore rectae TS. cadebat punctum Y, curva spicuum est, arcum tcrminentur puncta thogonalibus et TY : per- De- T et Y in data curva coordinatis or- G Y, DG et TV, DV, existenle DU axe D initio abscissarum; punctum Y autcm in curva quae- sita exbibeatuv cooid.natis XY et SX. Positis nunc *• , 134 DG = c, GYrr--/, DV=rp, TV = 7. SX=:Je, Xr = y, tanarcubus DY =:— a et DT z^fV dp^ ~hdq^ = (^ y gente RT m z; et subtangente inter coordinatas 1°. aicus a per c sive per /, et 2°. arcus cp, tangens Ducatur intersectione subtangensque x^, per jv , /j q. recta TF axi DH parallela ejus F cum MN paiallela ipsi ob aequationeni p et q datam, exhiber! potest: sive per FI RV:=:7i^, agaturque , ex G Y pioducta applicata denique erigatur ; , , recta pcrpendiculura Ob tiiangula TVR, FYI et FKT similia, erit: '-^^\ 1°. TR VR rz: FY Y I zn "^^^ lii-J} — — 2°. TR FY F I TV -/T R TK. : m : — = FK TR VR = TF = -V.— = TR TV = TF KT = -^j^-— nz ^'-^\ : : T> 3°. 4°. : : : : Ilincque colliguntur ' '-^^^^^^^ : -/) g ^) 7 zr Y X =: Y ï 4- K T = ^^^ — F K = l^lzzn±J!LiL-zS.\ et T X =: F ^" r.c - fp I Hoc vero TX invento facile definictiir abNam, ob SX zz: TS — TX rz Arc. T Y — TX, valore pro , scissa X. dit x-(p — a — ^0?-/)-|--^"CP -l) (II.). : Rediictis ruine acquationibus .ingicdiuntur solae variabiles x, I. et II. ad ejnsmodi, quas y et p (sive (j) , élimina- 135 tciqne dcincrps hnc poslrcma, innotescit relatio inter coor- dindtas curvae quaesitac. Coiollarium Cnm sit i- I. n: ''|~ et wzr.'^^^, aeqnationes illae in- ventae pro coordinatis curvae quaesitae, etiam hac foima stib T .. / i. _ : — (p — 09<? _^ — CL (-7— /}3p ^^p X iiz II. e:^hibeti possunt — a -. ^lJzJl-^(P-Lîm, Cp Scholion i. Cel. IVaring de lytica Lib. hus, niotu egregio suo opère : in aequationibus II, Cap oitarcim , II., algehraicis pcr quadraturas Cor in una curva super alte- 1 1 a r i u m 2. Y assumatur vertex curvae propositae, aequatione pio eadem ita comparata ut pro c evanescente simul /rz o, acquationes plicissimae. aliasque vocavit Epicurvoides. la tanquani basi rotante , fiat curvilinearum , primus eas appellavit Curvoides ; curvas vero gcneratas a ptincto pro puncto curvarum proprietati- docendo rectificationem curvarum tali earundem proprierates ^ Si et Misceîlanea ana- modo inventae evadunt sini- Colligitur enim fore qdp—pdq ^ : ^ ndq-hpdp 136 E X e m p 1 u m. Sit curva data circulus dcscriptus radio a , curvani qiinositam cycloideni fore cuique noUim dem etiani dant ejit formulae dq=zJ^^=ML — V-.ap circulo eodem et pp redit _, Ob nostrae. ôcj) — -^_!L-^. qtio casu est. Ean*- q z=.V 2 ap — pp Viap — pp Nunc , quia pio ' * ubicunque punctum assumitur cur- vam quaesitatn describens, aequationibus in coioll. 2. u'tar, iitpote simplicissimis. erutis His autem adhibids invcnilur: y — p et x — f^^^^^-y->ap-ppz^f;^y-ZYy-^^(^r -r/ v^a^-w^ _ )/ o j zzz a Arc. (sin. zn — // « , . haecqiie est notissima cycloidis propiietas, Co Si , ad r o 1 1 a r i solutionem u m gcneralîorem nostram ponanms punctum Y vel extra vel colligimus sequentes aequationcs I. Pio casu, quo __ (q a)dp — 3. intra curvam cadere, : Y cadit extra curvara Çp ubi , céleris manentibus ut c)dq reddendam, : ^^ ante_, dénotant — a distantiani Y ab axe; c abscissain ci respondcntem; k distiinti.ini puncti Y (diini cadit in rectara MN) perpendicularem puncti a puûCtQ curvae lacto hac positione ab ill.i recta ; — a. 137 deniqne avcnm cnrvae tum situin inter et initiiim abscissaium. Pio (]uo IL dénotante casii, — a iterum Y punctam postremo datam cadit intra curvani Y pLincti distanliam alla- : perpendicula- rem ab axe, m vero puncti curvae respondentis abscissae c distantiam a puncto qiiodani rectae MN, ciijiis locus defmitur peipendiculo demisso e puncto Y in hanc rectam, ea curvae positione, qua tangrbatur a recta illo lespondente abscissae littera c ; arcus respondens eidem abscissae. eatam y, pio abscissa x :zz o dam , quippe qui aequatur in rectam MN in puncto a denique designatur Perspicuum est, appli- jam habere valorem quen- , illi perpendiculo e puncto Y MN demisso. Corollarium4. Revertamur ad aequationes îta ditTerentiatae, ut 3c|) in bcnt has : B^ P y. i°. erutas, — c)dp) a^pCcp — c) dq^ ^JlP iJ. [(q—f )dq-\-(,p d^ dl ^''^ lin—f dp —ip et d X ^z d^ dq tinde dividendo colligitur ;s coroll. ^•^ . ) . — MfmoinsdtlAcad. T.yi. , — a— «) dq dq : ^; quae tanquam constans spectetur, prae- hincque: ^^ ' * - 138 TX esse Siibnonnalcm cmvae inventae, unde ctiam concludilur ipsain TY fore Noimalem. indicat, rectam quae Coro 1 1 a r i u Ob radium osculi ciirvae (cor. crit 4.) erit: quoque m 5. datae =: ^,~ et ^^^ =:= - Cum aiUem sit d(p=zd{\^^^) + àx, r^^^^- ~t~ } r zz: dX Co r o 1 1 a r i u m E coroll. 4. reperitLiiunde, 6. ^ : ohV {q—fy-i-{p—c':zzNoi:mali curvae inventae, erit: -^-, ds ^ posita illa Normal» nz N. Normalem curvae inventae Haec autem acqnatio monstrar, vae propositae, ut elementum posterioris, ad Radium curvedinis cur- esse curvae ad elementum illius manente scilicet eadem positione mutua amba- lum curvarum , quae exstat in figura. Coro11ar um sit (cor. 4.) y^ =r ^ a_(lD — i u m 7. , erit ^ ^ r(a-î--')-(^-^-^) !; 139 hincque invenitur pro radio osculi curvae inventae, quem designo litteia R - qiiae, sequens expressio : , {y y -f- (cp ~ a — xY)' ob j= 4- (CÎ)-a-x/ iz: N-^ (coi. 6.) et ^^— I- (coi-. 5.), nuitatur in hanc : yr — N' Hiijus formulae ope cognitoque radio r , me constmi radium r potest. curvae Hune finem in propositae ; jungantur puncta L et K e facilli- Tab. ni. puncto perpendiculum T I K I ^'o- I in, ; in YL aequale Normali N; puncto Y erjgatur perpendiculum porro Px exhibeat recta demittatur T Y curvae inventae Normalem radius ; ducatur denique recta LO normalis ad ipsam LK et producta Normali TY usque ad interscctionem ejiis cum I- O recta O Y erit Radius TY^ Nam OY-zn ^.r^—,^^ osculi R curvae inventae. X T yr ', 1 (Comp. cum Miscel. anal. L Coro11ar a coroll. c. i u m . I rY\ IL), 8. Ex aequatione ds-=i-^ statim dediicitur formula data pio incrcmento aicus curvoidis. Cum enim ïrarins^io i8* ^- i4« sit (cor. 5.) ^f — y—^ ds z=i ">'4- =. ^^x— dx S C 11 1 o n i c. {l. . Prohl. /.)• 2. M N rotans aut duos habet ramosr Cnrva super basim in prodit: , dx Cum infinitum vergentes, aut est curva in se rediens. motus priore casu sus duos quam retrorsuni , habcre débet concavo spectantes possit tam a curva a fieri de.xtra puncto Y descripta puncto S , atquc in origine motus, cuspidem formantes axi Altero sistentem. fine durare gaudere potest , débet : casu , curva infinitate junctorumque inter insistentibus vero se MM tanquain MN nornialiter in- motus utrinque sine quia curvae rotationc ramorum etiam ipsam utrosque ramos infinitos, latere , sinistram ver- datae punctis reflexus axi genita aequalium finitorum , MN normaliier liquet autem curvoidem tune transcendentem esse. Hinc concluditur, ne unicam quidem curvam algebrai- cam in se redientem algebraice rectificabilem fore, alioquin ex aequationibus L et II. quoniam post coroll. i., climi- nationem variabilium p et q, evadere <lcberet aequatio algebraica inter coofdinatas x et /. S c 11 o 1 i o n 3. Ope formularum hue usque inventarum venduni est Pioblema inversum, etiam quo quaeiitur resol- relatio ia- 141 ter coordinatas curvae, qtie puncto quodani a ciinque curva data. tas X cujus lotatîone super recta qnacira- et in illo Nam, ob aeqiiationein / hic datam erui possunt , praebcbunt relationem inter SLiperstint constantes p et c alia qiiae- inter coordina- duae aequationes de- haeque comparatae aut solam x aut /; finientes desciibitur sito inter se coordinatas p et q, ubi autera f deteiminandae , ita ut pr» ÙAt q ::^f. z:z c / Pr %loventur super recta ut ita, b l em a II. ]MN data curva cfuaecunque BDY quoddam punctum fixum simul transeat per B: invenire curvam CY, a puncto quae motu describiturj^^jn^ tali Y in priore curva pro arbltrio assumto, S o I u t i o. Manentibus iisdem lineis auxiliaribns ac denominatio- Bibns usnrpatis in problemate praecedente , liquet , etiam expressionem supra inventam pro applicata y fore eandem, nempe : y. Nunc , __ -^(q —f)-q(p — <:') ad \aIorem pro abscissa addamus adliuc sequentia ; n \ ei respondente eruendum, ^'g- 3. , , 142 Demittantnr primo perpendicula BA, YI, BZ et EF, designctqne E pttnctiim curvae propositae coincidens ciim puncto Bj diini recta fixo evenire ducta statuamiis porro M N ciuA^am in Y tangit, quod puncto C ejusdem rectae in BZ ad punctmn K iisque M N. Pro- ubi secat rectam , KY ipsi ZD parallelam, demittantur denique perpendicula KO et BL. BA z= fl, AC = — h, abscissa CX =: x, BZ r= w, DZ=:t, EF — et FD — g,eritBK — u-/etKY — GZ =:t-c. Nunc, ob triangula TVR, BKL et KO Y similia, colligunSit /1 tur hae proportiones : =z ^-^^-^^ TR TV z=: BK BL — -"^-^ 2°. TR YR zr KY OY — ^.'1^=: 1°. hincque : : : ^^ - fit : lY At : — AX ~ BL -f OY — ?(^-/)-^^(Lzr^) AX zzz — b -i- X, cri;o erit : _ + — ^(u-/)-f-..Çr_-^> 6 imdc sequitur a: ^ fore : quani acquationcm, acque ac L, tantuni ingrediuntur quantitatcs a cuiva cognita pendentcs. Alia Solutio. Etiamsi haec solutio taïuen nonnulla sit attenlione multo longior priore, digna aestimari fortasse potest , quia 143 monstrat, applicatis ad hune casnm legibiis mottis compoeasdein aequationcs resultaie ac praeçedente solntione. siLi, duaie suin aiisLis Ilunc ,ut tangatur in finem a lecta générante. sitain hanc solvendi methodum hrc impertire. et curva sit data primo fixo et modo dispasita,Tab. m, M N in puncto illiiis Y, cm vam quaeHanc ejus positionem Determinetur illud puncttim coordinatis simili ita ejiisdem B, coordinatis , cum puncto coincidcns Incipiat nunc curva, motutn des- Y arcuni curvae G Y, Ad viam curvae Tab. m. ru m altero curva fertur motu. parallelo rectae MN: per- spicuum est,punctum Y iioc nvotu describere lincam rectam MN parallelam aeque ac tuin in ; altero motu autem moveatur curva problemate praeçedente, quo casu etiarn punc- Y generabit curvam ibidem inventa m, quam in sequen- tibus vocabo curvam iJlius rectae priore A. motu Itaque exhibeat ortae, Yv clementutn vero elomentum curvae Yjjl A posteriore provolutione genitaç : liquet , punctum Y, motu ex utfoque composito, describere diagonalcm Yw parallelogrammi Y,acov, ' DG et G Y, atque investigandam deeompono ejus motunr in duos alios, quo- ipsi ^' DF et EF, existente ut ante DU axe D abscissaruni initie. cribatque puncluin E punctLi;n exhibeat Fig. 4. S' ope elementorum Y y Demisso pcrpendkulo Cuf erit et Yjm. complet!, Yf elementuin abscissae cur- '°' 144 vae quaesitae, qnod, ob ipsjm abscissam CX r= r, ponatiir rzdx; particiila cuivae culiim A, quod (Oj- igitiir abscissae sit elementum abscissde SX =:i x" patet etiam, peipenâi- zr^^x''; abscissae x, qiiam applicatae lesponden- x^ cm va A. in hac vero rr:/^, in eiit exhibeie tam elementum applicatae cuivae quae- sitae respondentis tis veio ^v igitur erit ^/ Posita illa m applicata 3 j/ et etiam rr. y, yz^y, ut priore sohitione. Ad valorem secundum pro Yv z=z 3x -f- 9x^ emendum, contemplemur etiam motum puncti B, seu potius puncti quod cuivae propositae , axem incidit , in , punctum hac puncti Y elevatione supra Perspicuum B. fi!xum piimo curva feratur motu parallèle rectae tum idem elementum Y; tum , ea si curvae motus absoluto , incidit in (tali scilicet ipsi A terminus punctum fixum similis : Tcnda, sive, quod eodem ratur punctum B. ori- elementi B. — autem elemento arcus DB necessario Itaqiie redit, in inquirendum motu, terminus sit est, promo- quonam puncto rectae perpendiculum AB sit erigendum, altero quo hoc ad quodnam punctum usque priore motu curva R'IN punctum punctum quoque progignere elementum tur curva A) idem cujusdam motu, si MN, hoc punc- lincae rectae describere ac feratur altero est , si curva tum fe- elementi arcus DB cadat in ut, , 145 nnnc Sit élément uni cnrvae B(3 d»^tae, A'^B'' positia peipendicnji AB icspcciii hiiJLis curvae^ quippe ita motae ut punctLini B to elementnm B^B aequale elemen- descripserit Yv; exhibeant porro curvae Tp et IB aicns curvamm A similium descriptammque piinctis curvae (3 et B, atque désignât B'(i elementnm prioris curvae, quo abspluto punc- tum p cadit in His B''. determinanda stabilitis in finem ponanlur est B'B. lineola TV 1=7, DV ziz p, TR=i:i', VR Ilunc rz: jr, BZ zizu, DZ—t, (iZ' — u, DZ — t', aie. DT — Cp, BD — et /3D — autem Rcctis BA exhibitis simili modo ut in a et problemate praecedente applicata •g ^ __. et |3a hincque fit in <l{f — — iV' — P)-- p) luju '^ i^' YX, eiit — g) — 7) : (Pi"obl. I.) u) __ gdt — ivdu : n^ imde v|^ v|^'. BAzrzÔyzii ? (f^ —Q—w — (n' : yB=i /BfS^-Pv^^ V av|7ir"^ïI^Hp^— ^^"•;|:'"'^^ Ope solutionis probl. I-^ A'' =— [(p^ Mémotm de i 'Acad. T. VI, praec. autem invenitur — 4- ^(u' ~^)±^ u>'ii' - t')^ ^ v|. : 19 . — hincqiic , . : Va—rA' — A'oL~B'Y — d(ti^-dir. pan. ['^Sy^'Ù^V^ -î\^ posterioie cxpresssione ila ditTerentiata , ut quantitates Iiac ?/ et t^ tanquani constantes spectentar. B B - B V -f- vB — Eiii; -^-^)-^-^'>(''- dCp -h a pai.t. ^ll . ergo : - ^)j _^ ^^li^jîi^a' ^ ^ Hocque va loi e compaiato cum supru pio elemcnto Y y cnicolligittir tOj haec altéra aeqiiatio : - acp + a part, ['^i''^zJÛ±2lLL:zP)^ ^ n^u-^^ ^x'' -^ Dx . ax^' zn acp At, ob — a c?-/)-^-h p-z^ i ax - a part. au neglectis u^ et t loco t^. a . part. L — tum et i_^ ^^-i^; ^'? C"-J)-^'^(^ -^)-| _^ lâjL-t-.^lL^ . si, ^p^.^^^^ at respecta u Cçim autem ^ J ii loco sjt : — H scribatur et t , —— , erit : X — Const. -f- îIlizlL±L^^-A>. V, C o r G II a r u m i . . dem esse, quam pzizc, uz=ih, in t zz g, ' constantem in hac solutione ean- Nam pro x.:^0 (sol. prior.); ergo, Facile perspicitur , casu fore r f priore. vzzzm et w zziriy erit qui vcyçià est valot ipsius —^ b, si fit (/:=/, ponatur eodem : Quaie erit C m b. ^ , .U7 Coro1 . l m 2. a 1 i 11 Ad relalioneni inter applicatas q et u i , sive abscissas p et t, detcrminandam demittatur in axem M ciilum Q.Z, quod perpendi-Tab. ni normaliter secat in Ob tiiarii^ula TVR, RZQ. et BZP sitailia erit: puncto P. 10. QZ =z^:^ = ii^^:^fit-!l> et „o p 7 — U^ J_E — îi^ • aZ — PZ =2 AB, ergo: At ^ __ Cnm autem t, BZ rectam siniul >J g (f — — p) sit qf iu (u — g) .functio cognita ipsins p , u vero ipsius liaec aequatio reduci potei:it,g,d aliam inter duas biles u g, sive ^ 2i'>:- et ; ^- varia- p et t, r e>-. :.- Ea^em aequatîo çtiam praebet banc ,fr.^ /^^ :l^ " L) -V .(coroll. 1,). : Corollarium3, ^" ? __ — 7 —— — r^-eutquoque, J_. — C.'-f)d'T^{f^cydp Tf _ g — p)37-C"— ^'' ;i^ -^-^ _^ , ^~ .a$: hincque porro seqoitur fore JV unde — "n — etiain (x fit -, (" „ ~~~~ ' ^^ " — ?)ai> - ;d> ^ > : --f)'dp -f- — — — (t c-)?q (u -y> + (t intuitu figiuae a (P • -3 : — + (y - ay '6)^ quae aequatio quoque ex solo - c)«. facillime invenitur. 19 * 143 Corollarium4Aequationes modo inventae evadunt simplicissimac, si B sitiim esse in ipsa lecta MN assuniaaequatione inturqne pro pimcto Y veitex curvae datae ponatur puuctum , ter ejus coordinatas scquentes aequationes •^ comparata , ita cvanescat simnl nescente — ut pio abscissa eva- Adipiscimui applicata. eniin : d^ * ob u^zq, tzzp, et a, c.fzzzO. b, S c h o 1 i o n. Liquet hoc casu eandem prodire curvam ac Tab. m. tangentibus Fig. 6, yr^Q TY, T'Y'', T'Y'', etc. ad singula puncta cur- in illas abscissis dcant applicatae illis descripta lius datae in coroll. curvae cujusdam, quibus respon- Curva ita quae oritur motu curvae il- perpendiculis eadem nempe erit , praec. dy-^ aequales. considérât©. Coro11ar Cum sit (coroll. 3.) AV, VY, VY^, perpendiculis assuniantur partes tangentium V"Y"s etc. pro ductis etc. ddtae AYY'^ demissisque AV^, AV", si, i u m 5. : ' (^u.^q-^-(^ — c)d*p)dâF~â^^^ — dg — — /) d-p)dq p (dt (u , 149 ^^ ^ èq (d'x.dq-{- (t . dCp — c)dp)d q-hidt. — iti—/)d^p)dp è.l d'q . d^ . » erit : hincque elementiim arcus curvae inventae ds z=. V {du,-^ (t - c) ';jr ; + (at - {a -/) if)^ Prohlema III. AC data curva quaecunque TDY Rloveatur super recta semper tangatur ita y ut recta A B angulum datum BAC cwn illa A C con- Tab. m. illa curvam, quam stitucnte: invenire puuctiim ab Y quoddam in simulque ab alla tali motu rfwcnbit data curva ubicunque as^ sumtuiïu S 1 u t i a. • YG, YX, MZ et TV, exisM et T pnnctis, in qiiibus curva data hac posi- Demittantur perpendiciila tentibiis tionc tangitur ob lUioqne crurum anguli A M et RZ tui lectae N, agdturqiie ad BAC. Pioducan- carnm inteisectionem usqne denique perpendiciikim in RO. — Ponantur : XY^z/, EXzrx, A E rr — 6, (ubi E dénotât puiictum, in quod , motu inchoanle, cadcbat illud Y) GY ;!::; — /, S- 7* w « . 'i5o TV — q, T>y — p, VK=zw, TRz^v, aicns M'A =111, DZ=:t, MN — m, NZ — «, aicus DGZZ.C, DT — 4), BAC DMr=\|^ siniisque anguli Cadit quaesît.je in oculos, expressionem pro appljcata y curvae hic iiemrti eandeni foie ut in Piobl. __ • ci: p. J 1' - fit x definire, hocque effici- —p -\- w erit NR=z« — t-j-p — w , OR — : » •^ D OR _^ ^^_ îin.(iSo°— iBAC) liincquo iv) ^ • p« "^^"^^ tt(^n.—^f -h TÛTiAC r^- At TX — ^^^-;--^^--;T';?~^^ "Crgo : seqiientibus : Ob R Z rr t unde nenipe ^ * > Itaque tantum superest abscissam tur in I, —f) — q\p — c ) -wCq Pr. I.), (sol. '- : RXmTX — TRi3 l(izz£hn-i(L-a — — — (ob — n: —^^^ ^^ ^^ ^ î;^ liincque : A X r^: x b . . nÇn— f-4^j > — ) q^ z^ w^) , . unde denique sequitur •to(f — — — f^ c "-y - - . -w) *- fore : )— Z? ^ G Gro 1 1 a r i u m 1 — Cum sit i8o°— ZBAC^ZTRV Z.MNZ, erit: — sin. TRV. cos. MNZ— cos. TRV. sin. sin. Z.BAC — (3 i5i MNZrr J I — ^ ^ =n '^^J"— . haecquc aequatio inservit • . vaiiabilcs q et u sive relationi inter C o p et t determinandae. o 1 1 a r i u m i 2. Aequationcs înventae pio cooidinatis x aequatione = p, m - V^ du '^=P, induunt lias ' ip aq ^ formas (1— /)ap r iina cum dp), sWez : - 3u' et « "/-', : Cjap f3 pracc, ob coroll. in eriita V - dq et ^' zz — — (p c)3<7 — fa7)ap-t-(cdp-i-/d<î)9<2 „>• ^- CoroIIarium 3. Ponatur P=:-J> erit: {dp^ -\- ?q^) hincque coîligitur d(p pH -f- =1 (A^ nnde , d\l^ := k (dt aù») — , dq—du ^^ (at . 09 . — aw ap)% . : a^^. ap-4- cap — . i) {dt^ . . dq^' at . aqr. au 4-a7*. au» — 2dt .dq.du.dp-^ aa* dp^) . radicibiis extractis , erit: dp. dt-hdq.du—{Bt. dq quae praebet bas — du.dp)Vkk— : dq-hdprkk — avb— LJLL^^. ^ 1 1, l52 His vero valoribus substitiuis in aeqiiatione pro x postre- mo inventa, nanciscimur tianc ' L _, (h —.f)^q -4- (f — : c) 3 p H- [( u — «?) 3 ft — -p-)dq) Vkk-^i Çf Corollarium 4. Sit angulus BAC rectus, erit A,z:ri, hincqiie — (u— /)3?-h(f — c)3 p ^ existente : du 7 , '^-\- df Qiiamobrem etiam x a$ . d^ 3<p erit : — h + CiLz:Z)l^-i'j=LO 9ji 8xV <m0 .mt>V>QO*Ç^00tO0M : 153- RÉFLEXIONS SUR LA THÉORIE DU C A L C U F. D F V 1> R F. N T I E L. I PAT F. T. Prc'senté à la Malgré 1. §. se H U UEllT. Conférence nombre le i5 Juin le à'.^.s 18 14' plus importâmes décou- dont les différentes parties des Mathématiques sont vertes, redevables au calcul infinitésimal, nn ne ?a[nait disconvenir que qui , à c'est précisément miinière la manque plus que tielles belle elle est de l'analyse partie traitée ordinairement, toute autre, des qualités les plus essen- aux sciences mathématiques, de Tévidence solidité. La méthode férentielles tes, dont cette c'est dx, dy, ordinaire consiste comme comme de à dire, et de la à traiter les dif- des quantités infiniment petivrais zéros, et à clierchcr en même tcms le rapport de ces zéros, à résoudre même des problèmes de la plus haute importance, par ex. celui des par \<\ supposition que l'une de ces différentiel- n7ai7;Hfl, les devient elTcctivemÈ'nt égale à zéro, tandis que l'autre ne l'est ;5arre pas, etc. de quantités C'est avec raison, int'iniment petites qui, que la notion bi- malgré cela, sont i54 comme des quantités réelles, a traitées la plus infiniment du second degré, du ou in- troisième, d'un dc- petites même infiniment plus grand qu'un qu'une quantité infiniment autre zéro ; cherche en comme celles-ci, qu'un mi-degié, ou dans des propositions zéro est plus grand, et science la même du bon sens, dans des no- comme celles de quantités finiment grandes ment On une foule d'objections. exacte vain de l'évidence, ou tions attiré à surpassée par une autre, etc. grande Que est infini- dirait - on enfin selon quelques géomètres, de ces quantités bâtardes qui ^ forment une espèce de transition du fini à l'infini, les 00% comme l'ordonnée d'une parabole dont l'abscisse est infiniment grande? Le philosophe ne peut être d'un satisfait calcul qui ne donne qu'un à peu près, ou qui n'est don- né pour exact, que dans le cas où trent dans ce calcul, zéro , et par les quantités qui en- deviennent rigoureusement égales à conséquent ne peuvent plus être un objet du calcul. §. Introduit ment Pour éviter cette pierre d'achoppement, 2. les petits. limites des rapports , Mais l'infiniment petit, le principe il est facile à la place des infini- de voir que En effet, l'idée de est pas moins elle consiste à quoique plus cachée, n'en de cette métliode. on a 155 prendre V<i^ymptote pour courbe même, puisqu'on con- la rapport duquel vient que et de / approchent de plus en plus, est le ^^ ziz o. des limites , Il le mais qu'elles n'at- faut donc avouer elles sont rigou- que cette méthode quoiqu'elle donne plus de solidité au calcul un point de vue purement mathématique, différentiel sous ne de x moment où teignent effectivement, qu'au reusement difTërences les justifie pas aux yeux du ou du méta- logicien physicien. 3. §. La méthode dont Newton poser son calcul de fluxions, par Maclauruiy est assés exacte et solide , de ce calcul. développée pour ex- et perfectionnée généralement regardée comme plus pour ce qui regarde IMais servi s'est ceux qui se sont métaphysique la familiarisé le cal- cul des fluxions, n'ignorent pas que l'idée de l'infiniment petit y entre également , de manière que Newton lui - même dénota les fluxions par o ou leur donna le zéro pour facteur. Au reste, on ne peut disconvenir que c'est , une faute contre des la mathématiques pes de la partie la méthode, de dériver d'une branche mixtes mécanique) , plus (la universelle des les princi- mathématiques pures (l'analyse). 20 i56 5. 4. La Grange à qwi tous ces inconvéniens ne pou- vaient échapper , jugeant que ces êtres énigmatiques de- vaient oLrc tour à fait qu'on leur donne le expulsés de la inatiiénialique, nom de diiîérentielles à démontre, ou d'asvmptotes des rapports, vrage qui est entre les mains de tous du calcul cours à l'infinimcnt petit. nieuse et rigoureuse qu'on Celte méthode pouvait dans un ou- fonctions, toutes intégral, différentiel et fluxiony, géomètres, par les la seule transformation et dérivation des les vègles de , sans avoir reest aus^i ingé- l'altendre d'un pareil que génie, et j'avoue qu'elle m'a fourni velopper dans ce mémoire. Mais d'un autre coté, convenir que cette méthode est sor-t l'idée je vais d(> faut il nécessairement beaucoup plus longue et moins simple que le calcul différentiel vulgaire, et qtie les géomètres sont obligés de se un nouvel algorithme, sans pouvoir auquel on doit les familiariser avec se passer de l'ancien, plus beaux otwrages et les plus gran- des découvertes. f. l'on 5. peut esqirisse des objections que contre les méthodes connues, parceque les^ Je n'ai faire donné qu'une lecteurs sur lesquels je piïis compter , y suppléeront aisé- ment. Elles m'ont fait croire qu'il ne «l'enTisager cet objet important d'une serait pas inutile nouvelle manière, et 1^7 d'employer un autre principe » pour déniorvtrer rigoureuse- ment toutes sa avec liaison je vulgaire , dificrenticl et calcul intégral, sans a^'oir recours aux le infiniment pelits ; dité, du calcul règles les et ce n e.st pas sans une certaine timi- présenter à l'/Vcadémie cette nacthode que cjue }'ose comme un ne regarde que m'a encouragé, c'est la Mais ce qui premier essai. persuasion qu'une plume^plus ha- mienne, pourra lui donner un degré de per- fection qui la rendra peut - ètic importante pour la méta- que bile \a physique de ce calcul. §. 6. plusieurs I.e cdiccil vue, de points- cfifTcrentiel peut être très - ditTéitns envisagé sous de l'un l'autre, dont chacun, dépendant du but qu'on se propose dans ce calcul, exige un raisonnement tout à le justifier. Il donc nécessaire est une idée nette de la différent, usages pour pour qui veut avoir métaphysique de ce calcul , parer soigneusement les divers les , fait qui s'en de sé- font dans mathématiques. Dans riation , les cas où à laquelle il ne s'agit une fonction que de trouver la quelconque sujette, lorsque la variable dont elle est fonction, est subit va- un très- changement, l'emploi du calcul différentiel est évi- demment permis , parctque le seul but qu'on se propose. petit 158 dans l'astronomie pratique, une Un problème qu'une approximation. ii'est de chercher l'influence qu'- est, peut avoir sur petite erreur d'observation de cette observation, ce qui très - commua se fait le ordinairement par les formules dilTërentielles des triangles sphériques. pareils cas, de La méthode donner pour exacte. que celle dont racines d'un Dtins de on n'a pas besoin de démontrer l'exactitude méthode , parcequ'aucun astronome ne la résultat on se est s'avise absolument sert ordinairement, la de la même pour trouver les nombre ou d'une équation par des approxi- mations successives : on néglige les puissances supérieures d'une quantité très -petite, ce qui est sans doute permis, ne lorsqu'il §. s'agit La question, 7. / de x, fonction que d'une approximation. est s'il en ne tenant compte que des premières des différences et puissances permis de différentiel une s'il on peut être sûr de trouver, par les règles vulgaires de l'intégration, la tion /, dont on a tiré par la différent iation pas plus tion à résoudre. opposée à celle de l'autre la suit les mêmes fautif que soit le on Quelque la difficile différentiation, re- fonc- ^rrP, n'est L'intégration est une opéradifférentiation : dans l'une et règles dans l'ordre interverti. procédé qu'on s'est permis dans on trouvera toujours la véritable valeur 'i5g Àe la fonction y par l'intégration pourvu qu'on y com- , nièraes fautes que dans celle-là, mette les qu'on connaisse ces fautes, et ou bien, pourvu qu'on en tienne compte; comme, en multipliant le quotient par le diviseur, on trouvera du dividende , en vraie valeur la ©pposées à celles qu'on avait en ajoutant suppose ^ Si je en autre, les x" . m «x"~' 3 intégrant les mêmes suppositions , trouvera y ::=: par ex. j, ou d n'y Ix =. — , et qu'un nx^~^ dx ou —, formules il . pas de doute a fasse qui'il ne y zziîx, quand - même ces suppositions x" ou seraient fausses. en divisant , faites qu'on avait négligé dans la division. résidu le faisant les fautes Mais ce cas n'a lieu que là où l'on for- me la diflérentielle d'une fonction analytique exprès, pour la restituer par l'intégration ; et il cas ne saurait être d'aucune utilité, ser est clair qu'un pareil si ce n'est de propo- une énigme, ou de s'exercer dans le calcul. §. 8. Mais il y a d'autres cas où il ne s'agit pas simplement, de trouver la différentielle d'une fonction analytique ; mais au contraire, où, supposant les expressions analytiques des différentielles, ou de leurs rapports, comme données, on les emploie pour résoudre des problèmes généraux. àes Dans un difTërentielles pareil cas , ne les expressions analytiques sont actuellement développés , que i6o loisqnil d'appliquer s'agit ou à une courbe particL^Iier , sokuion la , générale à un cas une fonction donnée. problème étanl donné, par rapport aux quantités la première démarche de l'analyse ditions Un x, /, etc. d'exprimer les con- est, du problème par une' équation ; mais y a des il cas, où A er une équation entre les quantités x,}', elles-mêmes, tandis (jue 1rs est impossible il ou extrêmement difficile, de trou- conditions du problème donnent sans difficulté une équation entre nous parlons leurs ici différentielles: et c'est le cas dont qui renferme toutes les découvertes des , modernes; lesquelles étaient inaccessibles aux anciens. problèmes peuvent être réduits sous deux classes, Ces dont la première renferme ceux qui sont déjà complètement résolus par réc|uation ^ différentielle même: l'application de cette solution à une fonction ou courbe quelconque, consiste à exprimer les différentielles dx, dy, par quantités x, y, les fonction donnée les trouvé r équation fait suivant ce qui se fait, la seconde classe, pioblème. les mêmes id ne suffit pas d'avoir il faut encore l'intégrer, Riais, comme l'intégration .se différentielle, le il règles que la voit qu'ici tout se réduit à démontrer mier cas , en différentiant la y de x d'après les règles vulgaires. Dans pioblèmes de pour résoudre ou plutôt leurs rapports, quantité cherchée , et différent iation , que, on dans le pre- que , dans le second - i6i son rnpport.ditTérentiel, est en ciïct et rigoureusement c<\?, exprimé la par première classe est tangente sur l'axe seconde classe 1' x -= ^ est la rectification fy'[c)x^-\~dy-), où ne il analytique de la sous expi^ssion des Un exemple de vulgaire. différentidtion la un ; exemple de la des courbes par la formule pas des règles qu'il faut s'agit observer, pour différentier une fonction, mais tout se réduit à démontier que l'ordonnée, divisée par le rapport ditTérentiel ^^ par trouvé égal,e à ces règles connues , rigoureusement ou plutôt, que sous - tangente, etc. la est le principe duquel on dérive, par des considérations géométriques, la valeur de la sous-tangente zr:-^^, est le se fondent les théorèmes, ces principes i^fi,sCQ.uçbe^ '" zz:nx'^~~', etc. paiceque , dilTérens , ne il serait si pas permis, l'expression générante de 1^ jSous-tan.gente -^^-^ à cij'jppliquer t£j?iiyer. la, étaient ^ même sur lequel ^uelcopc^l^e j^j^païjÇjX. ,^.^^a ^p-abole, pour en SQUS- tangeiupj^ 2 jç^^ C'est dont: dans les problèmes est ^firojTrê'rrie^t^ (Question tout' te 'Veste de là ' ne' iègarde *-qne de' c^tte nature , qu'il métaphysique de -ce calcul; 1' opération mécanique du calcul. §.^9. Le principe sur lequel je vais fonder la méta- physique du calcul différentiel, parait simple et évident Mônohts de VAcad. T. VI. - ^ : 1(52 le Lorsqu'une vaiijblc x est augmentée ou diminuée voici. J une quantité quelconque que je nommerai Ax, il est clair qu'en général chaque quantité dépendante de x, chaque fon« ction de x, que nommerai y, subit en même tems une je augmentation ou diminution Ay laquelle peut être plus , ou moins grande que Ax, et avoir tous sibles à Ax, nature de la fonction): mais les cas, grandeur de la de la quantité dont x et s'évanouira les rapports pos- manière dont / dépend de x d'après la avec Ax. s'en y dépendra aussi A/ croîtra, diminuera, changé; 11 (la évident que, dans tous variation de la a est il suit que le rapport qui a lieu entre ces deux variations, ^^ , dépend de deux choses, qui existe entre les quantités x,y, ou savoir, de de nature de la fonction y, la que X la li'aison objets, savoir , la la partie n'est que même du changement ou de la grandeur absolue de Ax. a subi, pas moins évident que ce de et Il n'est le premier de ces àcux du rapport ^^ , laquelle dépend nature de la fonction, qui puisse servir vice versa> à déterminer cette fonction. Or, comme ceci est précisément le but du calcul infinitésimal, il suit que, dans ce calcul,, il ne faut différentiel, duoique compte que tenir de cette partie du rapport qui est indépendante de la grandeur de Ax. précédente paraisse évidente la par elle - même, proposition il ne sera pas inutile, comme elle est la i63 ' - base de notrR théorie, de la rendre aussi claire que possible. En voici ne dépendait que de ^-^ fonctions seraient du que des lignes si en deux mots. démonstration la le rapport nature de la fonction, toutes les la premier degré , droites, Si et il elles n'exprimeraient n'y aurait pas de courbes; au contraire, ^^ ne dépendait que de la grandeur de , Ax, toutes et n'existerait il fonctions ou les courbes se ressembleraient, qu'une seule courbe: donc, le rapport ^^ dépend de l'une et de l'autre. §• lo. Si l'on regarde toute équation à deux variables, X,y, comme exprimant la nature d'une courbe, ce qui est toujours permis, la vérité de cette proposition est évidente. En dérivant de l'équation proposée (A) entre x et y, l'équation (B) qui exprime on ne fait la relation effectivement de leurs différences autre chose , A x, Ay, qu' introduire deux nouvelles coordonnées Ar, Ay, dont les axes sont parallèles a ceux des xety: en efTèt, l'équation de la courbe (A) étant donnée entre x in; A P et PM :=/, on trouve l'équation Tab. IV. en introduisant les nouvelles coordonnées MdzzAx, Q.S rr: A/, l'axe des nouvelles abscisses étant MN, et leur (B) , origine le point donné M. Or, on sait que par cette trans- formation des coordonnées, le degré ou la nature de l'équation n'est point -changée. Si donc dans l'équation (B) le rapport 01* '^" '* -i64 des coQïdonnccs ^^ le ne de (Icpcndait poiiU dans ia[)potL des ..cooidouiics ^ l' Icment indo-pendant des variables équation (A) sevait çgji- XjVr et pa» constant, ce qui donne la ligne dioitc. le lappoit ^^^ dépendait uniquement Ax ou A^; CL donné doivent IM , rapport toutes les regardées de Téquiition constantes, des les -^r Si, conscqiront au coniiaifc. de la grandeur do non de x ou y lesquelles, dans (Hre c'est Jfeiîctions à (x^) serait comme toutes les i\n j)ui!;r constantes , ]-. également indépcndani dire des coefficiens , ou ou Aj\ Ax-y de sorte que équations (A) seraient mêmes.. Il ne sera pas superilu^ de donner à cet objet plus de clarté par des considérations purement analytiques. Pour cet nous supposerons que la fonction y peut être regardée effet, comme étant développée suivant les puissances de x, ou comme ayant la forme yz~fx, ce qui est toujours permis moyennant l'inversion des §. tion 11. Soit donc quelconque de x; séries. jr zz: b -\~ (Xx , soit Q. étant une fonc- de plus A/r:=PA,x, P étant une fonction de x, mais non de Ax, de sorte que^iziP est indépendant de Axj donnons ensuite à la variable x une autre valeur que y x'', moyennant laquelle / devient zz^y\ zzL h -\- Q.^ x'' , Q^ étant la même que Q. rétait de x: ce qui nous donne /^ fonction de sorte de x^, — ^^.^^^Q.x^—Q.x. Or,, i65 ^yz=.y'—y, A l'zr x''— x, et Ar::;^PAx, par conséquent Oa Qr - P (r - x) ..,<ft:,U^,:^-J.' =z:P, ' - - qui a ccjujliûn dans lieu tous " xmo, on a Supposant donc dépend p. ne. aussi que Q. de x pas soit ou Qlzz:P. Puisque donc x, mais seulement de , faut il indépendant de «a:', Oii Ci étant ia mciftc fonction de x, que Q. de x', pendant de X, points de L\ couibc. les 0' x' ~^,- ^ que Q. est indé- suit s.op il à dire," une quantité constante, pai c'est conséquent, l'équation j' zr 6 -|- dx. est du premier degré., et la li^ne déllnie par les cooifionnées X,}', est une droite. Donc , néral dans toutes les fonctions ou lignes courbes en gé- lignes, lAx,- 1q (jirpites);, ce C'est tire rapport courbes. indépendant de de ^ dépend de Soit grandeur la c^e Ax, X, ou il Maintenant, serait, et Tab. iv. si le rapport j ^ éti^jt pour chaque,) valc^ur déter- M de, 1^ courbe, cm dans chaque point rapport constant, de sorte qu'on jurait A X A j — M (Lî as qz M R-: HT, ^etc. : , ..f . . . .; donc, toul:e la partie jde la courbet MST, serait? une 'Jign,e droite, et faisant droite.. x ::ii_0. Ici, Jigae^ei^tièie 'T \ -r .^ . plus- clai renient piir la A F eux, PMzrr, MN. parallèle .à l'axe des abscisses, puis SQ.,TH, perpendiculaires à MÎS[. minée du premier degré ou des "celles qu'on voit encore considération, des qu'on de l'exception (il -- j. A_LM^T serait ," . \ - 2* '" , i66 Avant 12. 5. qui servation suit d'aller plus loin, de voir, et qui sera importante dans le rapport --, nous fcions une ob- immédiatement de ce que nous vcilons la suite: c'est que, si comme nous l'avons prouvé, ne dépend pas seulement de la nature de la fonction, mais aussi de la eran- deur des difierences, et qu'on n'employé dans le calcul que la première partie qui, de Ax on , par la en regarde supposition, est indépendante la effet comme une ligne droite, et on courbe au delà de M, peut traiter comme la telle, tant qu'on n'emploie que cette partie du rapport complet ^. §. 1 3. D'un autre coté, le rapport ^^ ne peut pas dépendre uniquement de la grandeur absolue de Ax, parcequ'alors, les le Ax étant supposées égales, le rapport ^ serait même dans toutes les courbes, ou dans toutes les fonctions, de quelle nature différentes qu'elles fonctions de soient. Qu'il soit donné deux x jmb-f-Qx, etï^rc-l-Rx,hQ^ et R étant des fonctions quelconques de x; qu'on aug- mente X de Ax, dans l'une et alors, on aurait Azr=:A/, ne dépendait que de la si l'autre le des fonctions y^ t: rapport -dés différences grandeur de Ax. Ar = 0.- ^3r-f X. AQ.-I- Ax. AQ, Azr::R.Ax-}-X;AR-|-Ax.AR, Or, on a donc 107 (a H- AQ— — AR) Ax I\ -f- (AQ — A K) X ~ o. Puisque donc x et Ai sont indépendantes l'une de on peut égaler sépaicment deux les coëiTiciens Taiitre, à zéro, ce qui donne Q_|_ AQ — R — ARrzo, et AQ— ARrzo. par conséquent CIi=: R r mêmes raient les d'où il et z se- par la considération des deux courbes passent par un point M (Fig. i.), il courbes. Si faudrait qu'aux mêmes Ax, répondissent dans c'est MQ., MR, etc. à dire, deux courbes les mêmes Aj, dS, que toutes les courbes, les qui veut ce que / fonctions de x. On trouve le même résultat RT, suivrait dire passant même point M, auraient aussi tous les points sui- par le vans S, T, de commun, de sorte qu'elles coïncideraient, et aurait qu'une seule courbe. n'y qu'il 14. §. que Il est la fonction soit de deux parties , Ax, donc démoritré qu'en général, tandis que / de x dont l'autre l' , le rapport une dépend de en est tout quelle ^ est composé la grandeur de à fait indépendante. Cette dernière partie a, dans chaque point de la courbe, où X est que de donnée , la une valeur déterminée qui ne dépend nature de la fonction ; elle peut donc servir réciproquement à déterminer celte fonction, aussi bien que i68 ]cquation fondamentale entiQ x en cela que çt v: et c'csl piéci^'mcnt du calcul toute la théorie consiste dilTcren- L'autre partie de ce rapport , "dépendant tielct intégral. de la grandeur tout à fait des dilTcrenccs , arbitraire n'a qu'une valeur vague çt indéterminée, .qui pe ^ept aucune- ment à servir définir baser sur cela la tliéoiie du nous allons le faire, du rapport partie calcul la courbe, reste la ^i infinitésimal , comme faut supposer qu'il est dans notre il de présenter 'souis une potuoir, Mais pour nature de la fonction. 1j forme isolée . la première durtstiri -p^int donné' de- laquelle , même, quelque* valeuT •qu'è'rï donne aux' ^ différences Ax, Ay, et de la' séparer entièiiefrient de l'an-' tre partie qui n'a qu-uri^fënS viv^ié^'''¥tj'^ii4 He- pe^t t&rrriinér la nature faut prouver que semble par la de ces- -Èii ^'aiitr?S^ m'btsi fonction'.- la deux ne sont parli-es multiplJcMibfl^ du -tVfi^ autiiè compliquée ,v, niais _ par i^tts il' liées 'etl^' fe^ë'i'miQiî' simple addition; -de la dfé*' pins ^o^rte- que dans tous les cas on puisse former l'équation ' .^^ = F.H- QA X + R A x^ + etc. Pi Q-i R> étant des fonctions de x. • ' _ §. i5. Soit , • . • t • y:^fx, f désignant une fonction quel- conque: on aura y ^^ Aj :z::/(x H- Ax), fonction de (x-f-Ax) ^ui devient égale c'est à à dire, une yzizfx^ lors- 169 que AxrziO. donc que r -h Av" fjut Tl -oit de cette forme /x 4-XAx, X étant fonction de x et Ar; donne "^ ' X :z= que cette bien A/ "^ P où , il faut prouver cjue X ne peut avoir X =2 P -f- Q. Ax -f- Il Ax- -f- cet. ou Ax -f- Q.. Ax* + cet. Or comme il est forme . . , A totijours possible de donner vcision des séries, tout se réduit à prouver^ peut contenir iiucune c) que tion les égaux à )• cette par forme , l)que de l'in- X ne Ax, puissance fractionnaire coelTiciens P^ Q., ctc ne sont dans aucune fonc- à zéro, l'exception de cas particuliers. à première proposition a été démontrée sa ce qui par Théorie des Fonctions analytiques pag. et La La Grange dans 7. S. il ne reste donc qu'à prouver Ja seconde. §, j Soit 6. donc l'équation proposée qui exprime I.1 nature de la fonction ou de la courbe, celle-ci: (A) o d'où l'on = a -V ,3x 4- y/ + 5x^ + exy 4- tire l'équation aux différences, x-i- Ax pour X, et r H- A r pour y, tion primitive (A). Or, il est clair et par 4"/= "f cet. en substituant en otant l'équale théorème bi- nomial, que cliaque terme de l'équation (A) donne, pour coefficient fiMKtion de la première puissance de Ai: ou A>-, une de^,j', moins élevée d'un degré que ce terme; pour- coefficient de la seconde puissance des différences. s 170 moins une fonction élcvce où les . y X . coëfficiens etc. comme- donne par ex. le terme x y -}- rs de deux do^res , A r Ay -f- —^-^ . x y A/= 4- cet. . Ax et de Aj* ^ont des fonctions de de — i) degré, ceux de Ax^, AxA/, et \x,y, du — 2) degré, donc Ay^ des fonctions du (y l'équation (A) du degré n , est donnera pour cocfticient de du degré gré etc. {r -{- s , (il {n — — c), 1), etc. le terme son Ax ou de A/, le Si plus élevé une fonction terme suivant une fonction du de- et le premier une quantité constante, savoir de tous ces termes donnera (3 le ^x-f-y/ terme ou y. donnera Ainsi, la coëfiicircnt entier somme do Ax sera une série suivant les puissances de x,y, depuis o jusqu'à n— 1. ou Ay, lequel, par conséquent, L'équation aux différences, dîc cette forme (B) o =1 p p, (7, . sera donc :• A X -h 9 Ay -h-r.Ax'-h^.Ax Ay-i- 1. Ay' -+ cet. . étant des fonctions de x,/,, du. degré (yi— 1), ryS,t^ du degré (n — Maintenant (C) ce- de (A), tiiée 2), ,. etc.. supposons A7 z= P Ax 4- Q.. Ax* -h R . qui étant substitué en (B), donae . Ax» :. ^ cet 171 — (D)o où, (/)-f-(/P) A,r-t-(/•H-r/Q-^-JP-f-tP^)AI2_^-cet. Ax étant une quantité arbitraire, ou une variable qui ne dépend que ni de coèflicient le x, /, des fonctions p, q, r, etc. ni il faut de chacune de ses puissances soit égal à zéro j ce qui donne : 0:=p-{-qPy O =i:r -f-qQ-f-^P H-tP-, etc. donc P Si était inzo, la première équation donnerait ce qui fournirait une équation du degré (n p r= o , outre l'équation primitive du degré (A) égal à zéro, on aurait, en vertu des Si n. — i), Q. était deux équations, o^r + ^P-t-tP^rur-^-f-'^, du degré ce qui donnerait une équation l'un et d'une, (n — 2). Dans dans l'autre cas^ on aurait deux équations au lieu à l'aide desquelles on pourrait éliminer /, ce qui donnerait une é(}uation qui ne renfermerait que x, et qui, par conséquent, déterminerait un certain point ou un nombre fini de points dans valeur de x. ou courbe, l'équation Il P (C) , ni la est donc Q., ni courbe, clair enfin une certaine que dans aucune fonction aucun des ne peut être ou coefticiens égal à zéro , suivans de généralement parlant, et que cela ne peut arriver que dans point ou est pour une certaine valeur de x , un maximum, ce qui donne, comme on un certain où par ex. sait, P rz o. y 112 On et donc généralement Aj' zz: P. Ai -+ Q. a = P -h O Ax ^J . -j- R A r= 4- cet. tlont . icimc P est indépendant de Jd Ax- -h cei. . preçiier le ^^randeur aibitinire des dil» + cet. ne sera pas superflu d'cclaircir cela pai férenccs ,• tandis que tous les autres termes Q. . Ax en déppndcnl. §. 17. 11 les sections coniques dont l'équation est (B) o z=i ([3 + 2 Sx -f- 5 . Ax + (y -fAx- 4Ax A/ + -f- £/) £ • Supposant donc P rz; O- ou p de équation m la ligne droite. ^ + ^j'% ce qui donne (A) o ::iz: a -f- 13 X -t- y y -h- ^x* +- ex y o, on a Ainsi , la c x: 4' • -f c ^y) Aj- A;.--. o zr (3 +- c ox s- e )•, courbe n'est pas une section conique^ mais composée de deux lignes tes: droi- car dans ce dernier cas on a eiTectivcment p z= o et q zn o. En eiTct^ supposons deux lignes droites dont les équations sont lesquelles, ozr rt4-6xH-c/^:r, étant multipliées et l'une onzf+gx-i-hyzzz.s^ donnent par l'autre, réquation du second degré (A) o z=: af~h (hf-h ag)x~h (c/V ah)y-i- bgxM- (6/1 Ht cg)xy-+ chy\ d'où l'on tire (B)o l'équation aux différences — (b/+aê+2 6êxH-(6/i4-cê)/)Ar A/ -f- 6g A x* p A X -f- qAj-4- cet. -i- {cf H- a /i -f- (b /i -f- cg) x -j- 2 c /;/) -Jr- (6/li4-£g) Ax A/ -}- ch . A/^ ::r: . 113 Or, on a p zz: 6.ç 4- !?r t/zno, parceque o ziz b g m (6 . . et (j zn es •-{- hr , donc p rr o et rmo et .yzzo. L équation (B) devient donc A x(b h -j- cg) A X Ay -\- ch Ay-f- . A X + c Ay) (g A x + . . Zi . A/) , . ce qui n'est en effet autre chose que le produit des équa- expriment tions qui rcnccs des deux fonctions =: 6 J. relation qui existe entre les la i8. . r, s, difff'- lesquelles donnent A X 4- c Ay et o zz: g A x + . . /i . A }' Au reste, il est aisé de voir que, si l'équane contient aucune puissance de tion primitive rieure à la première > ni aucun terme où / }', supé- est multiplié par X, de sorte que ^ est une fonction uniforme de x, la série le Ay ::^ P Ax s- Q. . . Ax^ -h cet. interrompue dans sera terme Ax'^j n étant la plus haute puissance de x, qui se trouve dans l'équation primitive. Ainsi ^ cette corw série tiendra au moins un nombre de termes, égal au degré de l'équation primitive, de manière que, la ligne droite, on aura si c'est o zz: 0.=:^, etc. P étant une quantité constante; et et si c'est du second degré y qui ne renferme aucun Téquation de A/ zi: P . Ax, une équation terme de la x/, etc. on aura R nz o , S iz: o , etc. et Ay :zz P Ax h- Q. Ax^ C'est pour cette raison, que nous forme y^ ou . nous sommes borné au^. deux premiers coefftciens P et Q. 174 Si proposée exprime par ex. l'équation x abscisses l'axe, du sommet étant prises les ordonnées parallèles y Parabole , la les et perpendiculaires de à l'axe, à que sorte A/m ex Ax -f- Ar% substituant -L- R A x' -I- cet. A rA r = P A X -h Q. A x^ H- R A x' ^- cet. (n P — 2 x) A X -+- (n Q — on a o a/ zz x% a . et . . . . =::: fl 1 ) par conséquent . P zn ^, dm^, R zz o, S ir: o, On se souviendra que tout cela est absolument con- forme aux règles vulgaires du calcul intégral. est A/ — P.AxH-Q.Ax' + R.Ax'-f-S.Ax*-}- cet. théorème de Jaylor, qu'en supposant le ne sont autre chose P, Q., R, etc. coëfficicns ou rapports cocfTicicns P:=:^^, stant, savoir, que des diftcrenticls Q.zi:,;^^J, , R j — a-f-pxH-yx^-fce qui veut dire que , A>" zr P . Ax -4- cet. sont égaux à zéro, dans hKjuelle les que et si l'un par y est celles de Ax que le plus grand la -f- , conséquent tous fonction degrés, A)- r^ P exposant et on nz o est etc. ^ de x de la les suivons série uniforme de x, de x montent au scrie les xx*^-" _f- ,j,.x''~', des coefficiens une ptu'ssanccs dans bien, — — ^-^ de l'équation dilTérentielle l'intégral que différens dx étant supposé con- multipliés par un certain nombre, eait Car il connu par les etc. . même degré Ax -f- cet. est ou d'un degré moins élevé que celui de l'équation diliérentielle ^-^;:^o. 1/5 Nous avons d>n!Té pement qu'il à ce sujet née-Mire pour nàtrc n'était des tout à àes port ^=^ diiïérentes. fait On peut donc exprimer généralement le rap- 19. §. parcequ'iî btit, même résultat par des métho- de parvenir au et déveîop^ £;rand un objet sous plusieurs points est toujours utile d'envisjgcr de vue, un plus rz P -f- X . Ax, P une par différences de écjiiation forme cette étant fonction de x, jr, seulement, et X une fonction de x,y, et de leurs différences. En séparant deux ces parties, la première donnera ^ nz P entre x et y, laquelle servira à déterminer la nature de fonction la y dont elle dépend uniquement, aussi bien que l'équation; primitive donnée entre Il est aisé x et /, dont on a de voir qu'on trouve cette équation , substituant dans l'équation primitive, x -\- au lieu de x de ^^ :iz P. tiré et /, et en en Ax et y -\- Ay négligeant toutes les puissances Ax et A^*, supérieures à la première, c'est à dire, en formant, sa première tire, de différentielle substitution 1l\ d'après donne manière ordinaire, -^ les règles vulgaires. nz P -f- X ^^ rz P, . Ax , parccque La d'où Ton Axzro. P de l'équa- tion complète ^^ zz: P-hX. Ax, non pas parceque Arzzo,, D'après notre principe, mais parcequ on sépare la partie X Ax est une expression vague, dépendant . n6 grandeur arbitraire de Ax, de la la nature de la fonction. est Il donc clair trouve par la vée de même la que P est manière , par g^ =P chose même notre méthode multipliés par quoicjue Ax et que la partie du toujours Nous appellerons donc morne valeur , la L'opération re- qui aussi n'est autre des différences complet, rapport qu'on donne aux différences 20. bien, en Ax et Aj)', tous les rapport dijférentiel de x et y, conserve §. , ou des puissances plus carrés les A x ou A/. de le + X.Ax, ou laquelle ne dépend que de la nature de qui qu'on fonction savoir, en égalant l'équation complète entre jettant dans élevées la plutôt leurs coefficiens X, à zéro, dans le second membre de l'équation ^^:nP termes que P seule exprime vulgaiic, et qu'elle est trou- dilTcrenliation fondée sur un autre principe: A/, ou cl Ax, la fonction , quelque et valeur A)'. inverse qu'on appelle intégration, étant fondée sur la mcine supposition, n'a pas besoin d'être démontrée particulièrement. Le problème général du Une cul intégral de X ou de plusieurs variables la fonction la différentiation ; est celui - ci. fonction , cal- différentielle étant donnée , P trouver / de ces variables, dont P a été formée par et il est supposé que P n'est autre chose 177 que l'équation complète des différences de y , supprimé tous les de ces diflerences , même , au revient termes qui contiennent dont on a des puissance* supérieures à la première, ou ce qui ^ tous les termes de AxoiiA/, ce qu'on fait effectivement en multipliés par formant les rap- ports différentiels. On appeler pourrait de dériver fonction la /, ou ^ r=i — ^s-t-j^ — étant cet. y zi: X* ou/rz:logx; au intégral est , séries -+- méthode de sa 3x. AxH-Ar% ou donné , que lieu de deviner ces la l'équation primitive, ^ =: Sx^ différence complète, par ex. - sommatoîre , calcul l'objet de trouver du calcul moyennant le entières premier terme, ou de déduire la fonction intégrale y immédiatemeiît de ce premier terme, lequel, n'est que primé tout le le les Le reste. résultat comme nous l'avons donc juste, même commencement d'une principes du calcul comme on sait, dont on a sup- série de l'intégration déjà dit différentiel 7,), quand seraient faux, {§. parcequ'au fond, tout se réduit à écrire par ex. au lieu de 3x^ -f- 3x . Ax -f- Ax^ par un seul exemple. démontré que , l'équation Mémoires de VAfad. J.VI. ^ :z:: 3x^-f-cet. Tout ce calcul donc fondé sur un raisonnement très -simple, d'expliquer serait Il est 3 x* -f- est qu'il suffira rigoureusement 3x A x -f- Ax' . 23 1^^ éteint donnée, aise de --- y tie peut être que x' + co}i<;t., que chaque équation dëinonlicr ime^ série recuiiente dont tous est sont déterminés par le premier 3 x^, quation, "^^ zn 3 .x~ ~{~ cet. dre changement, en le 3,x* + nx""' ou bien que, d'où : il suit le moin- par ex. /zz:x" ou /rrx^-f-x", sera aussi - l'é- si que le chaneé en u x" ' ou premier terme ^^ =z 3x- pour trouver la fonction de x, dont là ditTérence com- suffit plète est 3x' dt)nc les termes suivans donnée, y ne peut être que est faisiint de terme premier esc il aux difféienGes les parceque dès que cette fonction subit x^ -j- coiist. et . Ax -t- que l'opération principes mécanique intégral, : 3x Ax^ -f- A t^ L'intégration n'éiant . de inverse sont justifiés c'est pourquoi la diiïérentiation , d'ailleurs , il est est au calcul, quoiqu'il la rigueur contraire à la la le calcul plus propre métaplrysique C'est sous ce point de vuc^ qu'il faut en- de ce calcul. \risager la un pur calcul permis dans de donner aux équations la forme dont méthode adoptée dans le calcul intégral, d'em- plpyeï les caractères 5x, dy, comme des quantités réelles, L'analyse d'un problème au lieu des rapports différentiels. ayant donné par ex. cette équation ^^ nz x" -f- ^ * la ques- tion est, quelle difTéienlicl, ou cette fonction, est. la fonction dé})endant y de x, dont le rapport uniquement de [H) , est égal à x^-f-" ; et la nature de en se rappel- 179 lant les icgîes qu'on que aisément , voit C H- ^'\-- + a •cul laquelle les commode, être que la pratique du cal- r~ x^. d x -\- a du calcul règles mécaniques de et ^ , à intégral s'appli» C'est pour cette raison, qu'on peut quent plus facilement. écrire saurait de multiplier par âx , 1 équation cette forme d / donner à ne pour Mais , on calcul difTérentiel , le fonction cette log X. . plus est il suit dans équations différentielles de cette manière ^^:=::;X, les ou de celle-ci dy ::=zX.dx, la dernière se rapportant tou- au calcul intégral. jours §. c 1 Le . ^absolument le calctil fondé morne que le ce principe , sur calcul est donc différentiel vulgaire. L'équation complète des différences -^ zz P-f-Q.. ^x -t- cet. étant donnée, s'aglT'de séparer il Ax^ ce qui se .fait pas multiplié par terme le , P qui n'est en formant de la manière ordinaire, le rapport diflérentiel ^^ r=: P. Avant voir, plus d'aller loin , il comment on peut trouver , notion de fonctions, l' infiniment petit , la dont la différentiatioir . sur cette notion que nous sera ' nécessaire ' de faire sans avoir recours à la différentielle est de certaines fondée ordinairement nous sommes proposé d'ëViOer* enl{ièrement. § 22. Soit n on a donc Aj- m un nombre, entier et positif, a/i . x"~'' Ax -f- a'/î et v:r; a. x": ^- x""' Ax* 4- cet. 33 * ' ' par conséquent ^l =1 o/ix'^et ce qui est Va .Arr'^'^-^x^V^'"--'^^'^--^x^--^ AX4-cet.). zn nnx . ; formule là difféi-entielle connue qui n'a pas besoin d'être démontrée, parceque le théorème binomial est fondé tant sur les que n est Soit règles de élémentaires multiplication, la un nombre entier et positif. m donc j z=r y x"" rr: x , de sorte que '^ y -]- A j :z: (x -f- A x) '^ irz X " ( l -4- \-') " > ce qui donne m Puisque (l -h^^^ devient égal à l'unité, lorsque Ax sem vanouit, supposons (n- ^'^)'' r=:i -f- A -^--f-B-^ H-cet. ;z:S; ce qui donne (r-H Ajr=:x'"S^=:: x"^ [i + n{A^^ -+- 6^*4- cet.) (A^^f -h 2 A B ^^ 4- cet.) +- cet.] et x""^t^""' Ax= 4- cet. Ax 4(x 4- A xf ru X™ 4- m _^ ,(:i-.-j} ^-— ' Comparant cela à (y-i A// — x"4-n A x'^-' Ax4-n(B4- -r A^) x'""' Ax=-+-cet. en obtient ftW btr» A iir: B m —,— HZ - ,, -^^^ 5 n" -r — i) l8i et ainsi de suite; par conséquent H 1 "l — -(^ i — l) " 9 mêmes formules qu'on trouverait par le théorème binomial , appliqué à un exposant fractionnaire, ce qui sont les CD substituant — à la place de On en tire n. 4-Axf^--^î x" "-f-cet. j ac^") et <*' ou _ -.Î-Jt ax Comme nous venons de prouver que (1 -f. ^r = I -h ^i"^ -t- ^F-'-^ ^' -f- cet. dans le cas même oh n y-i- Ay rr -„ (1 ^__ OQ bien est une fraction^ on a, en divisant^, -n- - -^,— ^ . -. - cet. h- «^ ^ ^cet.) r cet.), — 182 égal à un nombre n Texposant négatif, oa entier fra- ctionnaire. Nous avons donc prouvé , l'infiniment petit, qu'en général soit la valeur ctionnaire , de n, de considération la -^'—^=.nx^~', quelle que positive ou négative, entière ou fra- ce qui renferme toutes fonctions algébrai' les ne reste, maintenant, que ques sans exception. Il ctions transcendantes, où tout ries sans se les fon- réduira a trouver les sé- connues des logarithmes et des lignes trigonométri- ques, sans avoir recours aux infiniment petits. §. 24. Dans chaque système , faut que il le loga- rithme de (iH-x) soit une telle fonction de x, qui décroît, et s'évanouit, log % zzz o. en même tems que x, Nous supposerons donc log (1 -i-x) croît, parceque . — Ax-{- Bx" Cx^ H- Dx* -f Ex,' + ¥x^ 4- Ga;^ + n.v^ -i-lx^~h -4- ,. j^ cet. d'où l'on tire de suite log ( 1—x) z^ — Ax-h Bx' — Cv' 4- D.v* — 'Ex'' -h Fjc* — Gx' .4.n.^8__|3;9_^cet. log (1— x^) Or, 1 X' =- Ax»-4- Ba*— étant aussi 1: 13 X' -f- 2 C.v*' -h D:^^ rz: (1 -f- .r) (l D X* -h 2F X — Ex'° — x) « if! , -f- cet. nous avons 2TI x" -K cet. C B i83r ce qui donne i)B--A^ 2)1):= H. s., 3)F^- J, 4)H^r:^^ etc. De la même manière on a log (1 A x^ 4- B x^ ;t3) — Or, 1 — x' rr (i —— — + au lieu de x dans log (i-f- X + X') (i a;) —C et substituant a; -fr- x^), x^" X-hX^ on trouve la première série , m A X -h A X* -h B %' 4- cet. -f. 2 B x' -f- X* -f- H- 3 e x« -f- 3 C x' -h C x« -f D X* X* + 4 D X* H- 6 Dx« -h 4Dx7-+- Dx8-f-Ex^-+- 5 Ex* -^ i oEx» -f- 1 o E x8 -4- 5 E X» -h cet. -f- Fx^ -+- 6 F x^, -h i5Fx8-{-2qFx'-|- cet. H- G x'"-h 7 G A^ -4- 2 G x' + cet. i 4- 11 x8 -f- 8 H x» 4- cet. d'où l'on -f- I x' 4- cet. tire- iog( 1 -x) ( n- X -f- X») =: ( A -f- 2 B) x^ H- 2 Bx» -f- (B + 3C -+- 2 D) X* -+- (3C-f- 4D)x^-^ (C --6D-+-5E-+-2F)x<' -4- (4 D' -+- lo E -+- 6 F) x7 G -h 2 Tï) X* ce|^ G 4- 8 H) -H {Ù -h 1 o E -4- 1 5 F -f- ^ (5 E ^ €C qui étant comparé a log (i — x') r=:-~ 20F H- 2 1 /^ •/ xî» -+- x'h- B x*— Cx'-h cet« donne, outre les coëfficiens trouvés pj is haut, 5)3C^-4Di:zo, 6)4D4-ioE4-6F 7) D 4- 10 E 4- i-S F 4- 1 G 4- £H =: o , = 0r, donc i34 Er=-+-i,H=— ^,G = -f-y. etc. Nous avons donc log (i4.x) = A(r--4------i---y-+-y---+- Cet). A étant le module du système. Faisant donc Azzt, on a log. nat. (i-f-x)zz:x—.^H"^ — ^-h cet. ce qui est la série connue. f. 25. Pour ce qui regarde les lignes trigonoraêtrî- ques, la géométrie élémentaire donne les théorèmes suivars: sin ( — 2):= — cos o nz 1 ; sin (-{-z), cos ( d'où il suit — z)zi:-H-cos(-f-z), sinoziio, que sin z , étant développé en de z, série, ne peut contenir que tandis que la série de cos z ne contiendra que les puis- sances paires , son premier les puissances impaires terme étant égal à l'unité. Nous aurons donc sinx=:Az + Bz'-fCï'4-r>z'4-Ei'4- cet. cosz zz: 1 -f- az* H- bz* 4- cz^ -h dz* -f- cet. De plus, on a par la géométrie élémentaire, sin 2zr 2 sinzcosx, cos2z=zcos^z — sin^z: par conséquent, supposées donnent ces deux équations : les deux séries 185 ssinîcoss — 2At. -«- c!B7.'-+- cEz'-i cet. aCz'^-i- cDx'-f- -t- 2 . Vnz'-t-i B(i7.^-*- 2 Cfl77-H 2 Dn s' -h2A6zVcB62?-+-2C6ô^ }(A) -f-2AC77-i-2Bci' -4-2Adï» sin22:r:2A2-h8Bï»H-32Cx^H-l28Dx^-h5i2E2;'-+-cet cos-i— sin*z::i:in-2az^-t- 2 6 î* -h 2 cz* -^ 2 c/z'-f-cet. -> a^ z* H- 2 a 6 z^ -f- 2 a c »• 6^ x« -h — A^z^* — 2 ABz* — 2 A Cz« — 2 ADz» — cet. - B^z« -2BCz8 (B). coszz=z i -+-4az^-f- i66z*-t-64cz*-i-2 56(iz^ -+-cet. Employant donc alternativement les équations (A) et (B), pour déterminer i)2rt 4; I 5 les coefficiens, on trouve — — AS 2)3B=zAa, 3) 146 =: ~ 2 A B, C " Brt + A 62 =z a6 — AC — BS a^ b, 5) 2 2 c 6)63D — Ca-r-B6-hAc, 7)2 54d=i2acH-6»-2AD-2BC, A rf, etc. 8; 255 E =:: D a -f- C 6 4- B c + ce cjui donne 2)a..---,2)B^-^,3)6=+,^V4)C:=^.-f^^, ^) ^ =^ ~ rj-s-e* 6)D = --^.-, 7)rf^ + -^.-s. 8) E = — -— -+- , etc. Nous avons donc M^'moiresdcrAaid. T.VL ^4 186 h ~- k% sin z:=z. A=i' cos z n^ 1 ce qui î conforme est A4a4 A^côi ^ a-i-I- 2.3.4.J.6 sëiics connues, , îuix -f- cet. ^- cet, . I si A -n l ; et c'est ce que nous allons dcinontiTr, quoiqu'il p»iiaissc évi- dent par géométrie la élémentaire. En cfl'ét Euclide , ayant prouvé que, par la bisection continuée de la péri- phérie du ccicle, on peut toujours |jtjrvenir à un arc dont la de dilTérence corde sa moindre qu'une est donnée, quelque petite qu'elle soit, limite de la lative au membre s'en suit que la corde d'un arc, ou du sinus d'un arc z, re- decroisscment de de que l'équation sin z r~ X pour il quantité limite, z, est sin nous z jr: z. Le second de venons trouver, Az -3 h cet. par rapport au décroissement de z, le pre- mier terme Az. Or, il est évident que, deux quantités étant toujours égales entr'elles, quelle que soit la valeur de la variable z dont elles dépendent, leurs limites, relatives à Taccroissement ou au décroissement de z, doivent aussi être égales: ce qui donne -z:zzAz, donc A rr^ 1. Mais, comme nous nous sommes proposé d'éviter non-seulement la notion de l'infini, mais aussi celle des limites, nous al- lons prouver encore d'une autre que nous ni ferons en moins grand que manière, que A zr l ; ce prouvant que A ne peut être ri plus l'unité. 1S7 — r= ger, ^- que — ni, uii de sorte — /n-4-m/î(i — ]j)-[-mnpq{i — r)-}-cet.). ziuç^lc permis , jours z tel que que vii m <^ i — ^, 1 — et 1 1 p, -f- 1 — de , 1 sin 2 zn <^ '^^ ^^ ^"^ ^^^ ^°"~ ' A est une quantité les constante , valeurs possibles : alors qu'en ' ^^^ yS m substituant etc. et on m, n, p, q, r, seront positives et renfermées entre sorte — P ^^ PS — 2.* toutes les quantités et etc. r, -^ z=i q, g-"- iz: p, que z peut prendre toutes aura disons, pour abré- 1, etc. -- r=: « , sin z^zAï-fi Prenons A> Supposant d'abord c6. 5. 1 zz::: o — — a% -^ on aura Aï (^ -h a= -}- wn/i3- + mnpqy'^ + cet.), A z (a^ -+- »; « jS^ -f- cet.) ou bien sin 2 =z 2 -f- mes de cette série étant positifs: par conséquent, tous les ter- , sinz>ï, ce qui est impossible. J. ce qui 27. donne ^- — ^—=^r) Faisant donc A^ z* La série A<i, prenons ^'<^S^-^)» Supposant ensuite . -!- zr > ^* a sera renfermé entre o et -<- 1. , trouvée pour, sin z ^<f> etA=z^<f, donc {§. 25.) donne ^ ^(l—:^)z^-^.^.^(i—~)%'-h + 6-^ ^^^.3-4.,-^ 2.3 et la supposition ^^ ~ ^^''^ '' << 4. ç ^-^ — doux premiers termes i-|-(i' 6.7 fait -^') 2^^ V g. 9/ que la ^st I cet.J, J» somme des moindre que ^. 01 * 9 188 Ou*elle soit donc z=l ^^^x^> ^® sorte que ^-^ 4'4-î Apres avoir 4Î et fjit , 4Î-6 . — cet.]. T^7V(i — ^) 8-9' •' 6. pour abréger , 4-y-6 4. î. 0.7. 8. 7 ' rr nommé S la somme de tous les termes positifs, T celle des négatifs, de sorte que R S .ii: T — k^z^ {% -f-25-f- — T, supposons -f-^-t-O-l- cet.). -, Nous avons donc $( ^ =r ^-'-"~ 4. y. 6. 7 * %— ^ — ^^ '^ 4.5- gencrdl 4?-^ 56 -^- 4.5 .6.. ce qui aonne q; ^'' (n^6; (nlf:)' — a^ ^^ 11 . ^^ .(n^ .oJC«-+- ••) " •> > X4T4((n-H .o)(n-+- ..j'^'a^ où restituant les valeurs A -< 1, A*z*«<f, on obtient t (n-^8)(n-^-9)(n--IQ)(n-^ll)(Cn + 6)Cn-f-7)— i).t5 ^ «^ * û 36 . (n4-ioKnH-n) û «^ On voit donc tifs * 36 , que le rapport de deux termes consécu- \ augmente très-rapidement, à mesure qu'on s'éloigne davantage du premier terme valeur de ce rapport, §(, et on trouve la moindre en faisant nzzz.o, ce qui donne Formant donc une progression ou -|>>2o5o. l^--"-^-^', géométrique dont le premier terme est égal à l'unité , l'exposant zz: pi^, on vient de voir que T < A^z^ S( (1 4- r^^ + ,5^ 4- cet.}. . et i89 Or, la somme de cette dernière série est égale à •— .ÏTB -t- £049» -^ -049 ^* 4.Î.6.7 l-t , * ". S T- p^r conséquent T<?g°.|.;^^, ou T<i. La également très-con-» série des termes positifs S est vergente ; mais nous n'avons somme; suffit il pas besoin de connaître sa de se rappeller que, n'étant composée que de termes positifs, elle est nécessairement plus grande que son premier terme *'^~:donc à plus forte raison ^ — T est plus S >*"."— o" S>*io^ ^o" ^1 suit que S grande que ^ et que R n: S T est ^^ ou que |^ , — — toujours une quantité positive. En reprenant 'ililiiiiil/ on voit que "-î^^;"^^'^ — — — ^^ R, ou bien sin^z (1 -+- z*)^ << 2.% l'équation <^ 1 ^ (3' i et sin^z(n-z*)<^^-3^, donc à plus forte raison, sin^2;(i-f-2^)<^z*: d'où il dire , tang z <^ z équation la est absurde , vu que dans cette % être aussi petit nous avons établie , e8. peut que C^^Y' Lacroix, T. être ni ce qui condition Af^r-^A^) • §. sin^'z), : l'angle seule ^^ "^ — sin2z<z2(i suit I. ^''oitè ou -"!^ < veut, étant du Calcul Différentiel à etc. que par 33. 34. 35.) Nous (§. c'est qu'on avons donc prouvé que plus ni moins grand que l'unité, donc qui donne 2.^ 2 5.) A ne peut Azu i, ce , 2 igo sin — -^ H zznz a.j cos z =z 1 facile serait Il aussi bien serait d'autant plus inutile, parcequ'il nous deux premiers termes. Maintenant, est connaître les 29. 5. ' il aisé (§. de cet. ' développer plus loin celles des logarithmes que h cet. — — — -h 2 a.3..>.5.6 ' de 9. j. 4. 5. 6. 7 - h 2J-4 a — ~ 2.3.4.5 I 24.) ; ces séries, mais cela suffit de ici, trouver les rap- ports dilTérentiels de ces fonctions transcendantes. Soit y zz: log. nat. at, d'où, nommant base des logarithmes naturels, ou la c c^ :z= X, et e^~^^^ n: x x-\-Ax =i e^ ou bien i -f- ^ Ay = log . +A e''^ zn rr: e"^^ , ( 1 x, X c'est . ceque les termes s'évanouissent, à dire , e^^ par conséquent, + V') = " -^' + t^- «'• «• =4-) ^ = .--^M^-^, + = ou 9/ =r ^ ce qui donne ^^ ^-, stiivans, étant 3o. et (§. 20.), non pas, par- muliipliés par, à X :==;^ O,^ mais qu'ils contiennent la partiel vague du à déterminer la natiue de la §. , cat.), rapport, laquelle n'ayant aucun sens précis, ne peut vir tire Soit fonction ser-f y in: log x. y :iz sin .v, donc y -j- Aj:.=:.sin(x-f- AxjiizsinxcosAx-f-cosxsinAx, . IQl ' usage des séries que nous venons de trouver (J. 28.), et faisant y~i-Ay:=.s'in x(i— ce qui donne ^^^ zi: --!"'- .tn cos X, •u -^^.'^ cosx et B -cet.)-f-cosx(ûa:— ^-i-cet.) — ~ sinx — ~- cosx h~ cet. et ~ sinx :=z dx . cosx. . yzz.cosX: on aura Soit ;^ -f- — ^ A j r3 cos (x -f- A x) zn cos x cos A X — sin x sin A x —^ — sinx (Ax — ^— m — smx C0SX+ x — — zn sinx, ô.cosxrz: ^x sinx. zn cosx ( t -j- cet.) -^ - et '^"^ O — sin / — ^^ -h — X cos X — —Hcet.) , —^ . : ) — —y sin ar sin.v cet.) -}- cet.)/ ( -f-cet.) -f- — X cosx (Ax — f— — AX '^ + ce qui donne X— AX x cos x — ^ x -^ cos-x (i -f- cet.) -^-^ -{- cet.) siii cet. sin ^* cos^ cet. cos*x(i — Ax.tgx — ^ i h cet. =: ^-^ -f-cet.) ^ (i .-h - Ax.tgx -f-^--f- cet.}, cos* X et ou (A.v — t^y H-h cos= x Ax — ^ sin^x (Ax — f— -hcet.)C cet.) ( i — sinxcosx(i — "^^ cos* -- f cos .V ( i \ ,- et A y* zz: sin(x-r-Ax) cet.) -f- cos.v A.l" ^^ -H cet.) -f^ -h j donc sin 3: y rr; tan^ x zr sin .r ( i -f- cet. . ^ •.. Sojt sin donc -f- cet.), enfir7 ^^ ou — ^-^ zz -,-, ou bien à .Xd^n^xzz: -=- — 193 De la même manière on trouve les difTérentielles des autres lignes trigonomëtiiqucs. riables X, ï, que la être formule -T est il clair A/ ne dépend pas seulement de A x, A z, de sorte que le rapport différentiel ne exprimé p et a vu que par ^^ ni par ni composée de T-^- » ayant indépendantes l'une de l'autre, différence mais aussi de peut y est une fonction de plusieurs va- Lorsque 3l. §. 1' étant une et des fonctions détermination la d'après notre principe , aussi de du bien ^ mais , autre , 1' de x . rapport que la par une telle que Ainsi, z. différentiel différentiation vulgaire, se réduit à rejetter dans l'équation des différences complètes , sances des tous les différences, on ne conservera ici termes multipliés par des puis- supérieures à la première que les (§. ip.), deAx, premières puissances ù y, A z, etc. dans l'équation aux différences, trouvée de la manière ordinaire a l'aide de celle proposée entre x,/,z, etc. ce qui donnera une équation de cette forme O ^=. h . Ay 4- M A X 4- N A . . conséquent, par „ ^ ^^^« j^ ^ —r- ou ^^ ^ ' r Max pdx -f- qdî -t- N.A» 2-, rrz — l. Soit par ex. /rrxz: alors, si z est fonction de x, de sorte que A est un rapport donné par celte fonction , oa a 193 et ou dy z= 2.^x -f- a'5z. ^^ n: z -}- ""^J y pendant de X, rapport ^^ ne peut être exprimé par x le ou z; mais, comme il arbitraires fait est ou bien quoique arbitraire, doit A x, quel.'e que soit Id grandeur de A X, ne dépendant de x , qui , doit être de manière même le que Nommant donc entre il une valeur déterminée dans chaque cas particulier, avoir et sont tout indépcndans l'un de l'autre, et A X et du rapport ^^ lequel, de Ax, Az, accroissemens les A/ de'pend de l'un et de l'autre, que évident est indé- z Si ce , ^* rr: ^^ , rapport ce ni par conséquent de comme dans la ^^ zz n, seule et les cas précédens , cas fonction de x , la ligne droite. difiëience est qu'ici n n'est pas mais une constante arbitraire , à laquelle dans chaque cas particulier une valeur déterminée, pour que A/ ne soit pas tout à fait vague. il supposer faut Nous aurons donc ^^ zr z -4- ?i X ' A-x ce qui rapport -f - ?i . ' Azznn.A x, Ay m A x (z -+-nx-i~u.A x), A X et dx / ru z -I- X ou t"^ :=:- -{~x ; sens dans lequel dilïérentiel d'un produit le dan'' il faut entendre le ' vrai est , ' ?2 , ' de plusieurs variables. Lorsqu'il s'agit d'intégrer, on peut lui donner, pour faciliter le calcul , ^^ =Z -f- une ''— , autre forme. donc pelativement Restituant au nrz: :.- , calcitl on a intégral, dyznzdx-i-xdz; c'est à dire, l'intégral de z^a^-^x^zest-x'^. Mêmoirts de VAcad. T. VI. 25 194 La fonction y étant donnée par nne équation 32. §. quelconque entre x, y, savoir (A)o n a-+ |3x-t-y/H-5x^-+- sxy^ ^j'-4->]X^-+- ^x*/-*-HX/*-f^/'-f- cet. réquation complète aux diflerences sera + (B) O =:. ((3 2 5 X 4- £/ -h 3 -)- (y 4- e:c -h 2 -|-(5-f-3'vix + («^ '/) X* -f- 2 ^ X/ -+- H/') A T ^/ -f- ^x^ -t- 2 KX/ -h 3 Xj^'; A y + e;)Ax'-}-(£H-2ex4- 2k/) Ax Ay . -h K X 4- 3 X j) A j^ -f- VI 4- H Ax . A/* 4- X . . A x' 4- ô A X- A/ . . Aj' 4- cet. ou en abrégeant, (B)o^A Ax4-B.A/4-C.Ax2 4-D.Ax.A/ . 4-E Aj*4- F. Ax»4-G Ax* Ay4-H. Ax. A/^'-t-K. Aj', . . . ce qui donne ^^ — — - — - Ax— - Ar — - ^ Ar — - Ax* -°Ax.Aj-^Aj^-Ï.^^.Ar-cet. ou ^ r:: M 4- N Ax4- Q.. A/, M étant une fonction de . N, Q, X, y, tandis que sont des fonctions de x, y, et On a donc l^^rMrz — ^, tous les autres termes dépendant de la grandeur arbitraire de Ax et A/. de Ax, Aj. Lorsqu'après avoir donné à x une valeur déterminée, on trouve on a |^:=i A=o — on a |^ =z o , au lieu que, si B zr o, \zzio 3 ou comme on ! exprime ordinaire, ig5 ment, |^:=oo. A X étant substituée , leur de un paicil fois: dans o peut aussi arriver qu'une certaine va- 11 l'équation (B) devient cas, — C Ax* H- D Ax A/ . . . B s'évanouissent à la et -f- E A/2 -f- F Ax' -f- cet. . . ce qui donne — D j:/C D' — CE) dy dx et l'on 2E sait que indique un point double dans la cela connu par cela courbe. Comme férentiel vulgaire , tout , > est ne nous calcul dif- le nous y arrêterons plus pas longtems. §. 33. Passons maintenant à l'objet principal dont nous avons parlé plus haut (§. qui et 8.) , renferme les problèmes qui ne peuvent guères être résolus que par les rapports dilTérentiels. Nous avons vu que tout se réduit approuver que ces formules ditlérentielles, trouvées par le même principe qui est la base du calcul différentiel, donnent une solution rigoureuse du problème, ce qui n'est un objet de l'analyse, que dans le cas où le Dans tous les est purement analytique. problème autres cas, fonder cette démonstration sur les principes de la qui a fourni le problème, par ex. la géométrie ou canique. Dès que cela est du problème est obtenue' démontré, et dans la même il faut science la mé- solution générale chaque cas particulier, 25* ig6 on n'A qu'à exprimer ces quantités x,y, co qui se de r équation que la foinuiles fait difTcrentielles par la dilTérentiation virlgairc proposée (A) entre x et r; formule diiTéientielle d'un arc , de r espace parcouru pjr les par "un corps, bien entendu, d'une surface , on trouvée par la pre- mière opération à l'aide de considérations tirées de la géométrie OLi de la mécanique, est fondée sur le même prin^- cipe ou raisonnement, que la difTércntiation vulgaire. Si. la solution complète du problème exige l'intégral des formules différentielles, cette intégration, faite d'après les règles vulgaires parce qu'on y fait à la diilerentiation , ne peut donner qu'un juste résultat, la même supposition (§. 7.). qui sert de base Lorsqu'il s'agit par ex. de la rectification générale des courbes , il faut démontrer par la géométrie , chant du rapport qui existe entre s et l'accroissement rhypothénose du triangle formé par des coordonnées x^, y, qu'en détai- de l'arc les accroissemens la partie indépendante de la gran- deur arbitraire de ces accroissemens , on la trouve , dans toutes les courbes, ^'^* comme nous égale à l'unité, y 13 x^ --h ~~ ^' dW) avons vu que cette partie du rapport est identique avec le rapport différentiel vulgaire, et que l'in- té^dtion ne fait que restituer la quantité diffërentiée sui* , 19^ Viint cette régie gaire de (f)x- -4- 6).r*) / 7.) (§. est il , sur qtie l'intégration vul- donnera l'exacte valeur de l'arc: car tout le reste n'est cjti'une opération de calcul. Si lu solution générale ds zn]/ {dx^ -'r- dy') doit être appliquée à une courbe quelconque, donnée par l'équation (A) entre x, y, on tire de cette équation, par la gaire, 3^:^P, et la valeur de différentiation vul- l/'(c)x*-4-3)^)r:z5r .^/(l-^P^), laquelle étant intégrée de là manière ordinaire, donne lare s en fonction de x et y» §. tre Le rapport dilTérentiel |^ =: P est, d'après no- 34. méthode, laquelle , cette partie étant tout ou de I4 fonction y , que de quelle ditTérences ^^ indépendante de fait la grandeur de ces différences, ne dépend que de la nature arbitraire la à du rapport des valeur que férences soit de X la et y. de courbe la P zi: ^^ reste grandeur Or, proposée : constamment qu' on attribue nous avons vu de sorte la même,, aux 12.) qu'en (J. ne considérant que ce rapport des différences, qui est dépendant de leur grandeur , continuation dxQtdy de la courbe comme une ligne droite. Le = P, la- du premier degré , indique une ligne étant regaidées in- on regarde effectivement la même résultat suit de la forme de l'équation ^ quelle étant dif- droite, comme les deux coordonnées. tomme A x et A r le sont pour la véritable courbe au delà du pour Irquel on point déterminée, de X et y be, donné à x a que, pour sorte doivent la regardées être y une valeur et continuation de comme la cour- des quantités Au delà de ce point où l'on a pris les diffé- constantes. rences , l'arc comme se de courbe la confondant avec est sa donc réellement regardé non pas parceque corde , l'un et l'autre sont infiniment petits, mais qu'en excluant la partie du rapport des différences , qui dépend de leur grandeur , on a réellement éliminé la courbure de la courbe, de manière qu'il ne reste qu'une ligne dioite équi- valente à la courbe , la Tab. W. ^^S* ^ et qui , par sa position , détermine nature de la couibe. ALMrrî, son accrois— Aï: il est sèment ou l'arc MmS z^ As, la corde MS §. clair 35. que Soit maintenant l'arc As est une fonction de Az, de sorte que As =1(1. Az-i-K Az^ -\- cet. ou ^' rz a-h R Az -h cet. et ^' =r Q, . . ce dernier étant le rapport indépendant des quantités A^, Az. Or, port des la nous venons de voir que cette partie du rapdifférences est équivalente à la supposition que continuation de la courbe coïncide avec sa corde: conséquent nous avons ^l =^ i. Maintenant, les par élémens de la géométrie donnent l'équation exacte Azzizy' [Ax^ -^ Ay^), 199 donne substitué dins étant qui €e .,-. f ^ . ^ iir i, nous l'équation précédente ^ ou lélaLivcment au calcul intccial, ÔJ ::= V^(dx* -)- dy') zn 3 r / ( i -f P') rapport le , différen- 1^ étant toujours désigné par P. tiel Pour répandre plus de jour sur ce raisonnement qui pourrait paraître à quelques uns de nos lecteurs ne donner qu'une approximation, aussi bien que les principes vulgaires du calcul différentiel, arrêtons-nous encore un moment. Nous avons fait deux hypothèses, l'une géométrique, qu'on d'une courbe comme une ligne droite peut regarder l'arc s 2 de la même longueur (sans quoi on ne pourrait la fier du tout), purement analytique, l'autre la grandeur des diiTérences. L'une et l'autre de ces hypothèses étant évidemment légitime , il quel sera le résultat de leur combinaison. prouvé que ces deux qu'en nière recti- faut faire du rapport différentiel, qui dépend abstraction de la partie de qu'il hypothèses appliquant la reste à savoir, Or, nous avons rencontrent se dernière à l'équation de ma- d'une courbe, la droite z devient, non à peu près (ce qui serait réellement le cas , si l'on considérait le rapport complet des différences), mais rigoureusement égale à la corde de l'arc s. 9z, Par conséquent, l'intégration de cette différentielle faite en prenant pour base la même hypothèse que nous avons appeiLée analytique, ne peut donner que l'ex- 200 acte valeur de l'aie Voilà en quoi consiste s. raisonnement duquel nous nous sommes Tab. IV. 36. J. Il l'esprit servi. ne sera pas inutile de prouver de l'expression de encore l'arc du justesse la dune autre manière. Soit AP^nx, PM:^/, MCI— Ax, dS :r3 A/, et supposons que l'équation de la courbe (A) donne l'équation des dif- férences (B) A/ — P Ax-[- a . . Ax^ -H R Ax' H- cet. . (Voy. §. 32.): donc ^^ rr P -h Q.. Ax -|- R Ax^ -f- cet. quelles que soient les valeurs de Ax et A/. Prenons un point quelconque m entre M et S, et nommant Mp = ^, . pm^^, on aura par l'équation (B), ^ =: P ^-f-Q. <^' + R ^^n-cet., . et par les triangles semblables pq -^/J . JMQ.S, Mprf, -V ^ + a. Ax ^ ^K Ax\ ^ . . . -4- cet. par conséquent^— pf/ ou qm-Çl-^{^—Ax)-i-'R.^[^'—Ax^)-^cet. Or , nous savons que l'cxclnsion de des dilTérences, qui supprimer les dépend de termes la partie du rapport leur grandeur, se réduit à multipliés par des puissances des dilïérences, supérieures à la première, c'est à dire, ù égaler les coëfiiciens Q., Pv, etc. substituant les diflérentielles plètes, l'arc se on a ^ d'où à zéro: au lieu suit qu'en des dilTérences com- — pq zziO, ^rzpq, pmnzipq; c'est à dire, confond avec sa corde, et on a d% il "" 3^(5x2-|-d>^) c**/(i-t-i'2) 201 ne lorsqu'on tient laquelle des différences , deur. Or , calcul intégral, leur de compte comme on l'arc fait partie dci rapport la indépendante de leur gran- est même supposition dans le la qu'on clair est il de qtie trouve l'exacte va- par l'intégration vulgaire de la formule s, ax/(i H-P^). Cela prouve en même tems une vérité impor- 37. §. dont tante , serait il difficile de convaincre autrement. se est clair que, dans chaque courbe, jours plus grand que que la Il différence corde. sa entre l'arc et l'arc M S est tou- Il parait aussi évident, la corde sera plus ou M, S, ou la moins grande, selon grandeur de corde, et que, la grandeur étant la cette la ne différence la distance des points peut être la même même, dans toutes les courbes, c'est à dire, qu'elle dépend aussi bien de la gran- deur que de la nature de la courbe. venons de voir que la seulement de la nature de différence point Id de voir dépend immédiatement de Il est aisé la grandeur, mais courbe, est dans toutes les de nulle. nous différence entre l'arc et la corde, en tant qu'elle ne dépend courbes Cependant , que cette dernière la courbure de la courbe, vu que chaque courbe s'écarte plus ou moins de sa corde, sens tle selon cette qu\|le est contradiction Mémoires derAcad. T. F/. plus ou moins' courbée. apparente est donc , ^^ que Le la 202 courbure de ch.iqne courbe est nulle, tant qu'on que sidère jusqu' ici , fait secondes ditTcrentielles connue. Nous que , et par conséquent , exprimée que peut cire ne courbure comme rapport des premières difTérenticUes, le nous avons ne con- par le rapport des qui est conforme à ce : la Id ihéorie une nouvelle prcu\'c, en allons en donner parlant des tangentes. Tab. IV. ^^ Qu'il soit proposé de liicr une tangente de la 38. §. AMv au point IM eombe que ce seul une droite T'M't dire, à c'est , M commun avec là couibe: point qui n'a car on voit facilement que cette condition définition donnée par classique des tangentes, géomètres, d'après qui passe par un est impossible de satisfait les à la anciens une droite la tangente de la courbe de manière qu'il mener par le même laquelle point est une point autre droite entre la tangente et la courbe, c'est à dire, qui ne lencontre pas la courbe dans un autre point ; ce qui sup- pose l'impossibilité courbe plusieurs de droites commun avec la courbe. sition le même point d'une n'aient que ce seul point mener par r;ni Il s'agit donc, de trouver la po- d'une ligne droite par M, qui ne rencontre que dans ce seul point: l'angle tMw::ziC{) et cette position que cette ligne fait est la courbe donnée par avec l'axe des ah- . 203 scîsscs , on par celui qu'elle qui =z 90^ est. Pour cet les ~, j~, arii^Ies jjl, y, lesquelles feront avec l'axe des ab- M J« [.<. v , M dont les tangentes sont /ï , que l'angle \j/ une fait ou /j. au point M, y la firandeur de la coi do , ou le r.ipport que cet angle change avec est clair Il . du point distance et M avec l'axe des abscisses, on a généralement tang \p rr ^^ aussi que bien avec à dire, c'est tans:cnte sa la '^^ complet des différences dépend de leur gran- La valeur de deur. M et d'autres points tirons par effet, de sorte -qu'en nommant corde par ordonnées , les 4^. Mja, 'Mv, les cordes scisses — avec fait angle est donc cet tout à fait va- gue, mais elle est déterminée, et indépendante de la gran- deur des différences ou de qu'on substitue le du point distance la rapport diflérentiel ~ ja. lors- , — au lieu de H est donc question de savoir, quelle est la ligne droite M passant par dont tangente est la , qui Comme nous venons Mf, Mf.t, M'/, etc. fait avec les abscisses =^^. La réponse 5e voir que c'est la , de est un angle <P tout simple. toutes lignes les seule dont la position est dé- terminée, de manière qu'il n'y a qu'une seule droite qui satisfasse à cette condition y il est hors de doute que ce ne peut point être une corde ou sécante^ dont infinité , et dont la position est tout à fait il y a une vague 26 , mai^ 204 que ce ne peut être que dont la position est la seule tangente passant par IM, unique ou gOLueusemcnt démontré par laquelle sa l'autre point position jj. indcpendanle est vu que pas la tangente, ligne droite, seconde condition , la de cette ment indépendante de distance de elle n'était dépend évident qu'une distance. 11 est M, la position est absolu- la dont d'un autre point par situation ne peut en lequel elle est censée de passer, par aucun autre point de si est ri- d'après position d'une corde la passant par une tangente de de par lequel elle passerait, , essentiellement la Ceci délennince. Id couibe: d'où la courbe en il ciTét suit passer que c'est jM. Nous avons donc prouvé que la tangente d'une couibe fait , dans le point du contact , avec une ligne parallèle aux X, un angle dont la tangente deur des dilTérences,,, c'est à dire^ de la tangente rencontre l'axe point T, on a , tang le rapport diilercn- indépendant de coordonnées rectangles , tiel des est gran- Si Lv prolongation ^\ des la abscisses x dans le MR étant perpendiculaire à la tangente», MT P =r tang tMm r= ^| — P — tang PJVl R, tangPMT-tangPRMi^^Jzz:-^, smPl\U=^^—:^^ = '/^, smPMR=r,-^^pr,==^^ la sous- tangente PT = M P tang P . RI T = | — ^-^ , la sous 'normale PR — MP tang PMR zz>- P — ^^^^, . . 20J ]M R normale la 39. y' [y^ -|- P R^) Si M Iw,azizAj% on u et »J|jl;izA_}-: donc ^It >;?t :::i: M \x et -4- , . Ax, et ]/ cet.)'). . tangente Mf, valeur dilYérentit 1 , V (1 -f- P') ô^ est il que ^^ suit ^'exi est une constamment renfermée entre et ]/(i-f-(P + indépendant de la Q.. Ax-f-cet.)=): grandeur àçs est donc renfermé entre les limites >/(i-+P^) , P'ii" = a>x ; + rz -/(i-hP^) 1^(3x^ + 5/*), conséquent ^^ :r: / (i P^) , ci - dessus. scn suit encore, indépendamment de l'arc tang tM/?i rr ^^ Ax z=: P . ( I \à diflerences, ,^, stance . . dont la le rapport Il -fj^ nomme MwrzAr, — Ax ]/ (l -|- P^) deux limites v^(i-|-P^) comme — ^//, M;xrz:A.y étant nécessairement renfermé entre la l'arc fonction et /;z et qu'on t, )/ . les ^^ ^'/^ "' — (Ax^ 4- Aj-) rr Ax (H- ^g) — A X y H- (P Q A X H- Vi^x corde -i P^) i TMt et roidonnée Njjl, étant ttingcntc Lï prolongée^;, se rencontrent en Or, = y/( MT - V U" -f- PT-) nz la iangente 5^. — du point et sa jj. , la ce qui est dailleurs évident, qu'- longueur de c'est à dire , l'arc > ou de dans le point tangente ont Li même direction. \a di- M seul, En effet, l'arc étant renfeimé entre la tangente et la corde, sa direction, •u l'angle qu'il fait avec l'axe des x , est renfermé entre 206 ,^ deiix anfirles dont les tangente? sont se confondent en quand on ^^', deur de laïc, ou du point ou bien, courbes il a la sans résulte '^' ^' que de l'intégration la , rences, il s'agit d'ex- avons donc prou\c nous vulgaire est fondée sur ce principe que, dilTérentiels, indépendante de partie faut, 11 les règles vulgaires, donnq Comme S. f/wnd/nture des A P M r= S par une for- suifacc dans la formation des rapports la fait mêmes raisonnemens des difficulté , difTêrence de la valeur vé que l'arc même direction, que sa tangente. mule qui, étant intégrée d après l'exacte limites qui par conséquent, : que nous avons employés jusqu'à présent. Tjb. IV. primer la , abstraction de la gran- fait La formule vulgaire pour 40. §. ^-^ M avec une droite quelconque le même an- dans le point gle, /;. «t pour la on n'a conser- grandeur des diffé- à cette condition, et trou- satisfaire ver par là le véritable intégral, supprimer dans T expres- du rapport dont il sion complète tipliés par les diiTércnccs. égal au rectangle Or, nous avons ASr:rMPNQ.Sj;2M, MN, sont les trois cotés tons les termes mul- s'agit, plus le triangle MQ.SjnîVl A a:, Aj, et Aj; et dont nous avons vu que, faisant abstraction de la partie du rapport qui dépend des grandeurs corde (§. arbitraires, 84.), ce qui l'arc A j' se confond donne ce triangle :rz i; ayec A a; , U ;A^» Co7 AS=/.Ar-h^.Ax. A/, ^^^mi^^^, et ~-î, donc ou d S ciz y d X. On peut cnGorc d'une s'en convaincre autre manière qui nous servira ci -après à trouver le volume d'un corps. Soit encore surface SK parallèle à l'axe des x, lectanglc ]MS face Ax )'•) m Ax ]MQ.3mM, , dont la dillcrence Or il est A)*. . au évident que la siu- peut V MS :=: V Ar étant . . qui dépend de fraction est 'égale étant une partie de ce rectangle, toujours erre exprimée par une Li AS est renfermée entre deux rectangles, PO izzj-. Ar. PS j:^ (>* -f- A et de sorte que nature la de . la A/, V" courbe , ou une fonction de x,y. Nous avons donc AS.—/. Ax-hV. Ax. A/, yax 5. Le volume d'un corps se trouve par le mêmie 41. laisonnement. Soit dont la hauteur AMBN r=: 6 , îe la base d'un cylindre rayon C A r^ a soit VWl z=.PN z=. y, P/>rrAx, m^:=:nyz=. volume du cylindre. D'abord nécessairement de a et de 6, ment il son axe, une sion analytique croissement partie il et Ay, h étant constant. — Ay, est clair CP=:ar, ^^8- 4et S le que S dépend qu'en prenant parallèle- quelconque de S, son expres- V sera fonction de 6 fonction , droit Ta b. fV. x , /, et son ac- de ces mêmes quantités et de Aar> Il- s'agit , donCj de trouv£*r la fooK 208 cLion du V de x, y, non pas immédiatement par comme Arcliimède cylindre, lyse qui s'applique également connaissait qui le la on en trouverait facilement les la fonction que le être que le rapport des cylindre S même. Or, ayant la fonction qu'on l'une et l'autre eût été trouvée d'après le et qu'il est impossible que S ou V férentes fonctions. s'agit Ax, Afy donnera en il aurait obte- soit même principe, égale à deux dif- AS par x, d'après les élémens de la géométrie, ce qui Il donc, d'exprimer même tems ^^, et par l'intégration Yz^zfdS. DCENPM la base d'une partie quelconque X Soit du.;demi-cylindre dont la base est le demi-cercle de manière que mené CA, M^npm est la base de AX. Mjjl, ing, çbtient les rectangles jet;' leur évident est V de la manière ordinaire, parceque nue, en différentiant y-j ^- , moins de difficulté de trou- trouvé la valeur de ^^ exprimée par x, /, que cela ne peut fonction V même par l'in- ver , par des considérations géométriques , ^^ , l'on grandeur des différences Ax, tégration vulgaire; et on aura accroissemens Si corps. de cette rapport dilTcrcnlicl indépendant de est tous à nature mais par une ana- fait, l'a la diil^ience , Nv, nr, perpendiculaires à Mvziz 2/ savoir la . DCF.AD, Or, ayant DE, on Ax, mr =. 2 ( / -:- Ay) Ai^, sqrame des deux ipclanglcs 200 ^/JL -j-- ;*^ = Aa\ A/, 2 ce qui étant multiplié par la hau- teur h du cylindre, donne les prismes 'Myzzz^hy.AxzzzV, »!/-rz 26 (/— A/) Or il est . Ax n: II, et leur dilTc'-rence pzzzCib. Ax A/, . que AX, étant toujours renfermé entre cLiii les P et n dépend de la nature du cercle , de sorte que nous avons prismes AX HZ n + Q. . est , égal à allons voir. plus une partie de qui /; Q. étant une fonction de x, /, moindre /?, l'unité qu'on n'a pas que IT besoin de connaitre, comme nous En elTct, on a AXr:26(/— Aj) Ar-h26Q.. Ar A/, . ^ — Qhy - 26 (1 - Q) A/, et II — 2b/, ou dX =1 obydx. que l'intégral de 2ydx est égal au segment DGENPKl z:z z (§, 40.), ce qui donne Xzzibz, circulaire et nommant C la surface entière de la base , laquelle, Or on sait d'après les élémens de la le cylindre entier géométrie, zzzhC zziirha^ : est n;7ra% on aura un cylindre droit est égal à sa base multipliée par sa hauteur. §.. 42. Soit maintenant conque, tourné sur son axe équation entre C¥:^x et APBCA un corps rond quel-Tab.iV. PC, et qu'il soit donné une FD=:FEin:/, qui exprime A PB, par la révolution de laquelle •le corps est né; soit, déplus, FK — Ar, KG=:KH=/ — A/, H/i -- Ec ±r Av. Nommant donc S une par•Gg rr D(/ la nature de la courbe m tie indéterminée AD FEE de ce corps, son accroissement DGlvllEFD rr: AS sera toujours renfermé entre les deux Mtmoirts de l'A.uid. T. ri. - 7 '°" 2ia eylindres T)/i et dU, et nous venons de voir que D/irTry'. Ar, et dHzz:7r(/ — Aj)-Ax, dont cylindrique Dd GghlcUh — manière que AS est tie - tt la . diflercnce e<;t l'anncdii A x (2 y A/ — A j-^) , de au cylindre dll plus une par- égal de cet anneau, donc AS i^ TT A r (y^ — 2y A/ -4- A/^) -h Q tt Ax (2/ A/ — A/^), . . . . . d étant fonction de x, y: ce qui donne — Q) (2 j — Aj) A/, ^/' — Ax — (i TT et ^^z^TT/^ d'où l'on obtient, par S :zz: Const. -|- 7ryy= 3 X. intégration vulgaire, nommant le rayon de Or, znfl, la hauteur du corps 1 CPi=6, la base faut déterminer la il constante de manière que S devient égal à zéro, lorsque y inz a ou x nr o, et ensuite faire x zzz b ou / r^ o. Soit par ex. le corps un donc y =: j (b donne — x), 8/ m PC:CA ^^PF:FD, cône, où ° dx zzi — - By, ce qui âx, SznC — 7 /^ rz: — (a^ — /^) et le cône entier, pre- nant y:=zo, S :=. ^ ha"". Soit le corps un hémisphère dont le rayon CAziCPrra: on aura j^irza^ — x\ S et prenant §. 4-^* z=. C -\- f (a"" — x^) 3x =r ttx (a* — -'), -n x zz a, l'hémisphère Arrêtons nous avec attention un le raisonnement pour parvenir à ce résultat. entier riiz^^Tici^. moment , pour considérer que nous venons de La partie faire, de l'hémisphère ADEB peut être envisagée sous deux points de vue, sa- 2lt voir comme un corps géométrique S supposons qu'on ne connait ni Archimède vérité de d'un la même ait f.ut l'un V; nous ni l'autre, et quoiqu'à la que S égal à ou d'un prisme de la même base et démontré hauteur. ce qui distingue fon- est ait cylindre comme ane que nous nommerons ction andlyliqne de x, tiers et , On aura donc une V de S, cette décoiive-rte , si l'on deux idée nette de s'imagine qu'Archimède sans pouvoir définir 'le du cylindre par une expression analytique: car, volume dans ce Cds, on conn^iitrait S géométriquement, sans connaitre Vanalytiquement, parcequ'on peut représenter, par une construction géométrique, le prisme ou le cylindre, dont les deux tiers sont de même trouvés géométriquement, en coupant ce prisme par la troisième partie de sa hauteur. Quoique donc V et S soient in- connus, la géométrie nous apprend, i) que l'accroissement de ce corps S, pris parallèlement à sa base, ou AS, est renfermé entre les deux cylindres D/t et dH> de ces deux cylindres est égale multiplié par cherchant que pendans de la cette différence un facteur inconnu. rapports les que la différence au rectangle Ax Ay 2) Il . s'en suit qu'en ne qui différentiels grandeur des accioissemens, il sont indé- 4^Jut rejetter Ax Ay (j. 19.), et que par conséquent, . le rapport différentiel ^- est exactement le même que le rapport de l'un ou de l'autre de ces deux cylindres, 27 * par . quo nous nommerons L: D/i ex. Voilà rait connnitic ,- rr - - que sorte purement gcométiiquc «jiii ne nous tlu'orciisc uiî pcjs de fonction la V, si la géométiie ne apprenait encore que le cylindre L peut exprime par cLrL- une fonction analyticjuc de x ou /, savoir L :=; Try* que consiste Tanalyse. Car ^- étant égal pour le la lytique, savoir ^-^ ziz 7: connaissait la fonction V, il A r, et c'est dans celte transition de la géométrie à à nous ttj^, rapport différentiel du corps S y'^ : . Ax; quelle que soit la i^randcur de proposition fe- noub- est avons obtenu une fonction ana- donc certain que, on trouverait par la si l'on différentia- tion qui, d'après notre méthode, est fondée sur le même principe dont nous nous sommes servi pour trouver ^-^, la même fonction pour ds dx dx par des zziTry^'y ,^ que nous venons de trouver pour par conséquent considérations géométriques , et l'intégration vulgaire qui est encore fondée même principe^ donnera la fonction analytique cher- sur le chée Vzn/TT/^âx. Cela snffua , ce me semble méthode toute la clarté _, pour répandre sur notre dont elle pouvait encore avoir besoin. 5. 44- Passons maintenant au rayon oscuhitew. ïes courbes en qu'elles Comme général différent de la ligne droite, en ce changent continuellement de direction, tandis que Ici droite a gue par une direct ion l'iiuariabiliu; invari.ible ; ûc s.i courbiiie, courbes dont, la courbure change nVmpèche cela que })as ia ccrcîc le âc toutes d'ui) poi^r. à on ne poiuiait diminue d'un point à ]Mdi-> n'ait l'autre: de meut dans chaque pi'ircec[u "autre- courbure sa la même d'un corps, malgré l'iircgularité de son se les autres l'autre. qu* dire distin- courbe la phis- irré£;ulière dans chaque point une coiirburc drlcrniinée, inent se instant })lus ou augmente ou manièie on dit mouvement, qu'il moins qu'un vite autre coips, que sa vitesse croit ou dccroit, etc. nous ne puissiqns former une idée nette de Quoique ia vitesse, au- trement que par le rapport de l'espace parcouru au tems, mouvement accéléré ou et quoique dans ait pas le moindre espace qui soit parcouru avec la mèm-e vitesse, il le retardé faut cependant que dans chaque instant il la n'y vi- tesse soit d'une grandeur déterminée, parcequ'un corps dout en repos , tandis qu'une vitesse la vitesse est nulle , infinie sotis ne pourrait durer qu'un instant, et ne tomberait pi^s les sens : ce qui prou^'e que mouvement même besoin est que d'un duire son effet. , vitesse n'est pas le mais une tendance , instant pour se un manifester effort et qui n'a pour pro- De la même manière, l'idée que nous nous formons ordinairement plus ou moins , la de la courbure , est dont la courbe s'éloigne fondée sur le de sa tangente 214 en passant d'un point à sa corde , ou de l'autre , vu que leur paraît contradictoire a la nature des courbes, courbure ne reste pas la ce qui même d'un point à l'autre; ce- pendant nous n'hésitons pas à attribuer à chaque courbe dans chaque point une courbure déterminée , parcequ'une ligne dont la courbure est nulle, n'est que la ligne droite, et qu'une courbure infinie donnerait d'une lieu ligne: ce pas un arc , quelque prouve que un seul la courbure n'est mais une tendance petit qu'il soit , dans manifeste qui se qui un point conjugué au comme la point, vitesse' d'un corps dont le mouvement n'est pas uniforme. Ce que nous venons 8e choses : i) que qui elle sont nous apprend deux dans chaque point n'a rien la courbure la grandeur de de commun avec quent , dire , l'arc , et que par consé- ne peut être exprimée que par les rapports indépendans de la grandeur des accroissemens, c'est à dire, par les rapports différentiels; 2) que le moyen le plus simple de le rayon d'un cercle qui a la ment parceque même déterminer la dans toute moyen mécanicjue courbure du son la est d'indiquer même courbure, non seulecercle étendue, très -simple courbure, mais est constamment la parcequ'il y a un de décrire un cercle d'une certaine courbure, son rayon étant dpnaé. le problème du rayon 45. 5. oscillateur d'une courbe M se réduit a trouver le centre C, ou le rayon IM C Tab. ÎV. du C'Mcle BM qui en M coïncide avec la courbe A1\1S: *''S"' en que ce centre C est situé quelque part d'où il suit dans la prolongation de d'.iboid la normale MR, vti que le rayon. ClM d'un cercle est toujours, perpendiculaire à son arc ou à sa tangente, par conséquent aussi à celle de la courbe coïn- Mais, cette coïncidence ne peut avoir lieu que dans cidente. le seul point M, parceque, si elle existait d'un bout à l'autre d'un arc MS d'une grandeur quelconque, la courbe serait effec- tivement composée d'arcs circulaires: d'où il suit que la coïncidence dû cercle avec la courbe en M, aussi bien que l'expression analytique du rayon osculateur, doit être toutàfaitindcpen- dante de de grandeur l'arc ou de parcequ' autrement évidente, d'ailleins aurait la Ax; la proposition courbe en M autant de différens rayons osculateurs ou différentes courbures, que l'on peut donner de v^aleurs arbitraires à Ax, c'est à dire, une infinité, ce qui est absurde. On se rappellera qu'il en est de même des tangentes rcctilignes, cles tangents. avec est la Il s'agit courbe en que de ces cer- donc, de trouver un cercle coïncidant M , de manière que leur coïncidence indépendante de la grandeur de l'arc, ou des différences Ax, A/, en général; et pour cet effet, notre méthode nous fournit un moyen très - simple , savoir , de chercher 2l6 d'abord l'expression générale du rayon d'un cercle qui a un arc quelconque MS commun avec la courbe, et ensuite de rendre de cet arc, férentiels ',ib. '=' IV. * indépendante de en substituant les rapports dif- expression cette ce qui se fuit, grandeur la à la place des rapports complets des différences. donc BMS ce cercle, C son centre situe MR, et son rayon MPxCms: soient de dans la normale plus, CTB, MCI, parallèles à l'axe des x, MN, ST, 3MQ..-:r:Ax, Q.S n: A j parallèles aux ordonnées alors §. 46. Soit )'', nature du cercle donnera les équations la - : — = 0, (2)CT=4-TS= — 2.^z=o, oubien — A xy H- (N M -h Ayy ~ = — donne de ces deux équations, Ax^ + A>'^ ru 2CN.AX— 2NM.A7. (i)C.V-t-NM'^ £== (o) (C N La En z- différence (3) vertu : de (2) condition la que le tué dans la normale IVIR, l'angle o. (1), C doit être si- centre NMC est égal à l'angle PMR dont nous avons trouvé le sinus 3= 7— IJp2^ (§• 38.): >(i-f-P^} c€ ciui donne P C N rr: -r^ a t-^-^t et N M rz: -7— "^---jt . Substitu- ant ces valeurs dans l'équation (3), on obtient Ax'^^r = ^Tri^F' . 00 bien . := ^;';^^ V(l^P'). Or, nous .avons toujours supposé (Ji. Ay =L P Ax-f Q.. Ax= -f- 1\ . ce qui donne 16.) . Ax^ -f- cet. 217 :— •-<(Ç),.Ax--J-R.Ax3-j-cef. — :(^-r-K.A.r-4- • la grandeur les termes qui en dépendent, ce qui 1 4- P^ ^'^;- connu par est , chose que vulgaire, z zzi ^~^tq~ a. 35.), on a rapport dx 2; de nous nous 1= --^^^ rejetci: Ar, etc. P cri: ~ er De plus, il • tlicorème, rapportons sans ce à Comme nous avons , une démonstration rigou- la considération de l'infmi, mémoire qu'on peut regarder comme un supplément de celui-ci. lieu . trouvé par le calcul différentiel -^J, étant supposé constant. ce 2 I\ Substituant • faut il , théorème de Taylor, que 2Q. n'est autre le le Ax 2PQ..A.r, donné , dans un autre mémoire reuse ' K'^'T-'^ ] dc9 diflercnces arbitraire donne = -^ pour rendre cette expression indcpcnclanle de I\^jintcniint, • ^ c?A.) V^ ^ Substituant donc ^J au de 2 Q, nous avons 3;? dx ddy ' . 47. §. rriyon Voici osculateur , d'ifléreniiations. une autre méthode même Soit ^.1 de déterminer le le point dans la courbe yiom lequel on ciîcrche le rayon osculateur: qxiation de la entre courbe; APzrx', PM=zy, soient cntin lesquelles le point M est donné. MdtioiresilcrAiad.T.VI, soit A M N, Tab. TV. (S) l'é- qui exprime la nature x :=i a, y:=.h, ^ aux secondes sans avoir recours les Ayant mené 28 valeurs par la noim..l3 ^^* ' 2i8 RIRZ, nous avons (§. normale RIRrzb^^. et M pour B.Vrz:u, PR rr: b|^ 38.) la sous-normalc la MZ pour l'axe, nommons MBmf, Prcnôps maintenant rorif;ine des abscisses, et MZ; t.mdis dernière étant peipcndiculaire a Li , même point N, AD = x, DNnj'. Les tri.inglcs semblables FRM,B\C, DRC, nous fournissent NCr ^u, p qu'on a pour le — ^^CR, CR- étant égal BC=:^^lu, DR:=^;^CR, DC t BC: nous avons donc NC=i^'u, BC à MR ^'u, — — — DR in \'h — '/t — f C?. — l'h — t~ ^"u DC — — 3't — l^.^^.w; donc, AD — AP-+-PR — DR, Di\ = DC + NC,^c'est a dire, x — + + ^>, y:=:zh — mettre a place dx , ' dy dx fy, d s d s ' b n °^^ ^j^^^~a's'^> de X et j^ dans ^^ ,^ :zz a^ et substituant ces valeurs équation (T) de la à Nommant /s-— i^' ^^ manière que m5— X z:za~\- (It -\- au , / une 6 les rapports dilTcrcnticls ^^, ^^. donc ces valeurs données obtient ^^ f et ^'^^'^ a t -|- j3 jt , . x, jy, dans l'équation (S), on du même degré entre t , u. Maintenant, prenons dans la normale un point quelconque Z, et menons Zi\, laquelle sera =: /(BN^' -)- BZ-). mant donc Après cela, M Z =r 2 il , on a Z N* =:z w* -f- z=^ sera facile cle osculateur Z, ou laisonneracnt suivant. la — z 2 . Nomt -}- t\ de déterminer le centre du cer- longueur de son rayon 2, par le U est certain que tous les cercles M . 219 MRZ quelque part qui ont leurs centres clans la normale en ou Ta' et qui ont Ti'\ ou Z'''M, toucheront M, couibe en la En prenant le centre Z^ très-près une courbure beaucoup plus grande. la intérieurement ou de un cercle qui , tombant au dedans de tient courbure du cercle mesure qu'on Z M mais tous ces cercles ne sont pas oscula- extérieurement; teurs. respectivement les rayons et celle de la La la M, on obcourbe , a différence entre courbe , diminue à jusqu'à ce que la dis- recule le point Z^; tance IsXL'^ devient assés grande^ pour faire tomber le cercle hors de la courbe, et rendre sa courbure moins grande qti.e celle de la courbe. Il faut donc, d'après la loi de con- tinuité, que ces deux genres de cercles, intérieurs et ex- térieurs, renferment un Cercle unique qui, formant la tran- sition des uns aux autres, ne tombe ni au dedans ni hors de la courbe, dont, par conséquent, la courbure n'est plus ni moins grande que celle de la courbe: et celui-ci est précisénient le cercle osculateur est évident que le ceicle tombe rayon z est plus grand que moins giand: l'autre, c'est l'équation le que nous cherchons. iiors ZM, et de \à courbe, en dedans, U si son s'il est rayon osculateur ne sera donc ni Tun ni à dire; z sera égal à %- :=. u- -\~ %- Z >J. Ceci nous donne — 2zt-4-t% ou bien znr"— — Sous ccwte forme générale, z serait le rayon d'un cercle. 020 ayant son centre en d'in^^ norm.ilî M'^. et cotjpnr î.i M et N; m.iis cornue ne s'agit il ciclence du cercle iivc-c où O faut é^-ilcr en par. 1 é(]uaLion t rz: , il de u valeur t courbe; Ja à / ici \<\ coin- point M, après avoir trouvé Id daîis zéro, combe l\ qae do seul le (T^ , divisé et u- -j- t- par 2 t. §. avoir On peut an<:;si trouver 48. recours ci l'équation la valem- de % , Les valeurs (T). sans de x et j', trouvées plus haut:, nous donnent a(3,a — (3 (x — — a) donc ^^ PC^-")-«p izi). f3-t — a (/ — De plus, u^ b) -f- oi-t, + de la corde MN, par conséquent u--f-t2::=:(x et a^ + où faut substituer il (3^ =z ^-^,-t-^^ stitution fait le zrzzg, = 1 ; x :;:= a il donc ^-^^ , et y :zi b. t^ est trouve , :z= (3 (§. carré — a)^-f-(>' — b)', au Comme cette sub- faut différentier le numérateur et dénominateur, ce qui donne z :=z Or, a^l étant le 47.) > on a encore z^=:g; ^- . mais on par une seconde différentiation , dx étant regarde comme constanC : ce qui donne, a. cause , CCI de — 6_o, 2_-_^.,^^ __^-^^_^ ce qm est ,. pression §. mière n ne scva pas iatitilc , méthode (§, 47.) qui par.ùt la 49. Id pre- simpl;^ , par ci/cïcîircir plus ou deux' exemples. nti E X c m pic Soit courbe donnée la = = r- ^-:*:/-- [3 l. parabole conique , la (S)/-=rpT, 6-rzpa, ^| ^-^^ dx% donc ax^ quelle on a ^^^ ^^ 1 ex- viilg.i!te. f, — m pour la- ou 5/ zz; /^ 3 x, ;^ = a =: / 1^-, — /-^-, Z^^''-, ou bien a rr ,---i^%, 1^ (3 ce qui dorne, en faisant, pour abréger, p -|- 4 a zn q X =: a -h t/ + u/ C I valeurs qui, substituées en (To=: ^- (S), , y — b — 2 / J + "/ J r f donnent ^ '^ 'a a ^ ' /J ^ptt-pty'--opuy~ ou bien, substituant bzrrKpa, (T)o zz pu'-h 4at'— 4tu.V ap~~ qt Cette équation donne u^ c:z Substituant on obtient donc trzzo, et — li t' -f 4ta . par* conséquent . >'^pf/. / ^ -j~ t aussi . )/ ^; u nr o> - , 222 D'après ^^/ la méthode vulgaire, — — "F — — 4>r — ~~ —^l^^y ^=^ v»^p » ^^ 'l"^ vée par notre méthode. ~4-T^x- ^^'^ A^ les soit proposée demi -axes (S) Nous avons z=L donc formule trou- sommet en dont le ellipse ^, (2 y [m" n2 -j- (m=' Substituant la ' m et n, de sorte que * — x] — n'^)x{2m — — — n")x(v.m — ii(m y [to2 „2 _|_ (t7i2 » x)] x) x :=z a -4- ^t -{- au , l'équation (S) , et faisant , , — x^) T:iyx(2m r* 7<r.Va l\. e l une •m2(2 7nx O —— m X — x^). donc dy zn '^^p^ d x y- Qydy =:: pdr, a con^oimc à Exe m p Qu'il on • x)] y zzzb — at-}-(3u, dans pour abréger ^ — ^> —m — =^ 1 — i'^ ZH /AS - on obtient (T) o zn b^ 4- v^'a^ — ^v'^mà -f- 2 1 (>/= 4- 2U ((3b 4- v'aa pa — ab — v-(^m) — v'am) -^ f^ (a* -j- -1-u' ((3= 4-j/2^2)— 2|j.^a[3. tu; ce qui, après avoir substitué — /a m — a), a "-^ 3_5) Q — h' (2 zz: «2 ^ ^JI^C'" -J- /32 — I (/^ |3-) . 223 et api es avoir fait, n^ -f- ijL= a (2 pour abréger, m — o) nz 9% donne Cette équation donne u- zn . t : 4- vqi u=-|-f' --i a-v(m — a)Va(s-m — . ^-, tu ^ n) . ix- (n- t^y — H-v-) (am — n ( a)) , Faisant donc f zr o et u rz o, on obtient le rayon osculatcin- % zzi~r zz '^ : ce qui est parfaitement conforme à sa valeur trouvée par la formule vulgaiic zr^:^^ - En.; elTêt^ nous avons vu que ds^ rz r^^^z'^- ' y'^^X ^^ ^^ ("^ — ce qui donne dy^ -4- donc — 5. . 3-3- :iz ~ }'ddy:n — v^dx^^ donc z=z — La théorie des RTaxîma 5o. ^) ^'''^> et Minima suite immédiate du théorème delnylor, ou de la est une formule qui définit l'angle formé par Li tangente et Taxe des abscisses {§. 38.), scion qu'on regarde cet objet analytique- ment ou géométriquement. l'autre sans la notion de Ayant donc prouvé l'un l' infini j il serait inutile et de nous 224 V En général pins longtem^. iiircfer on verra aisément , que, les formules fondamentales ayant été démontrées, tout le reste qui r'^gardc les règles du calcul dilTérentiel et in- tégral, on §. 5i. dune pas sait nécessairement. Pour ce qui regarde fonction donnée , nante à la physique ou à quelque mixtes, nue, mais doit être trouvét; par partie apparte- des mathémati-. la de l'intégration proprement un objet, c'est mais de Ivsc, non dilTérentiation , dont l'expression analytique n'est pas con- ques férentielle; la d'une quantité mais sa non pas de dif- l'ana- science qui a fourni le problème. Cepen- dant ,v nous en avons donné l'application à quelques pro- blèmes de géométrie, et trer de il ne sera pas que notre méthode donne mécanique, la ce qui servira en les de mon- inutile*, formules fondamentales sans avoir recours à l'infmiment petit: même tems de modèle pour toutes les sciences mathématiques. iiutres §, 52. Lorsqu'un corps est en mouvement, il se A à un autre B, et la loi de contiil ait par-^ pour par\enir de A en B transporte d'un point nuit ^ exige que, couru une ligne ces deux points , droite , (soit A, Dans B, sente plusieurs objets: j) soit ce terminée courbe) , mouvement l'espace parcouru s il se pat- pré- lequel n'est 225 (ou, dntre chose que l'arc aucune li^ne droite) terminé par les deux points force, la le corps n'étant sollicité par A,B; 2) le tems t pendant' lequel cet espace est parcouru, parce qu'il faut au tems, Le produit. pour qu'un mouvement uniforme effet qui se physique fait soit selon la durerait par sa nature éternellement;, simple loi d'inertie , comme la rotation des corps célestes: on peut donc choisir pour t mouvement t. du tems partie telle continuant infini toujours , qu'on voudra, croit sans cesse avec s K, k, étant en mouvement, on aisément que , quoique dans chacun l'espace parcouru s'accroisse avec le tems, cela se fait, n'est pas le le le tems mente dans le et le rapport vement de suivant celui parcouru par k n'aug- ^~ > ^^ . Dans ce cas, K plus vite que celui de s'est l'espace du tems, à /i, et c'est de cette qu'on appelle vitesse, et que nous C'est donc le rapport de l'accroissement celui du tems, anah tiquement que par ~^ ou MdnoireiderAcad. on appelle le mou- formé une nouvelle notion, composée de désignerons par v. l'espace At, K croissant de AS même tems que de A j, de sorte que AS >Aj', manière que et rapport dans lequel même dans tous les corps, mais que, l'espace S parcouru par le corps de le Mais, plusieurs corps s'apperçoit dans et T.VL qui ne peut être exprimé ~ z:z v. -9 226 que On dit que le mouvemont est uniforme, ïors-' 53. §. sur le corps. force n'agit a iiirive, cas, la non seulement dans lieu, quand aucune ce qui Dans ce la vitesse i? est constante, suivant^ mais durant tout le même vitesse A^ immédiatement l'cspiice mouvement s ou t: de qu'on a pour le mouvement uniforme, non seulement '^^ sorte m i?, mais j::izVy ce qui est le caractère essentiel de ce mou- vement. Ceci a une ressemblance frappante avec ce que nous avons (§. dit par En 11.). rapport effet, aux désignant combe deviendra qu'on lui donne sur AP telle grandeur AB qu'on voudra, par ex. un pouce, de sorte que AB est l'unité pour le des Tab. TV. l'axe S* la lorsque le mouvement est uniforme. QLi'on universelle de tous les tems ^ l'unité droites un tems quelconque , par ex. une minute, pour choisisse °' droite, lii^ncs tcms par les abscisses, le l'espace parcouru par les ordonnées, une ligne des différences tems abscisses qu'on choisisse ensuite une vitesse quelconque pour : avec laquelle les corps des vitesses, par ex. celle l'unité décrivent une toise en une minute. se meut avec cette vitesse zz:J, on et tire la droite ACM: alors, APzz^tj PMzz:.sz^tj fait donc BCi=:AB, pour chaque lems donné t:zn minutes, on a A P = ;z. A B, et P donc, Pour un corps qui M=A P- et là vitesse A B= ;ï B C, vzzjz:z.i. On /z . . 227 aurait pu choisir une espaces autre ligne qu'un ou pour représenter la nité des BC, au lieu d'être égale à j, pouce, pour ABj eût été l'a* Alors toise. BCrrm.AB, et on aurait eu pareillement AP-«. AB,PM-«.BCr:«;7ï. AB, donc la vitesse j n: -^ zz. --^y ziz m zzz -^ l Pour un ziz. qui corps autre ne parcourt . qu'une demie-toise en une BD zi:îBC; et ayant mené la droite = A DM, on a PM — PM — s, et sa vitesse — y ru minute, on fjic ? On que donc , voit MAP, NAP. tangentes des angles étant Comme d'après la loi d'inertie, chaque corps, 54- §. une lement , fois en mis mouvement , l'infini; mouvement ne peut cire tités, la continue éternel- par conséquent, s, quantité la t, du assignée ni par s ni par t seul, combinaison ou le rapport de ces deux quan- c'est à dire, lieu , lorsque force quelconque. voir le sauf les obstacles extérieurs, les quantités, augmentent à mais par sont exprimées par les vitesses les ^ '^^^^ i> un corps; le par corps éternel, quand même séquent, l'intensité par ^ ou t seul , est poussé L'essentiel et ce C'est ce qui a également la vitesse. par un choc ou une des forces consiste à mou- mouvement est, en vertu de l'inertie, les de mais forces n'agissent plus; par conla par force leur ne peut être déterminée rapport ou £9 la * vitesse. i23 L'ciTct certain d'un choc tiegié de une vitesse corps telii veut le la un 11 communiquer nn corps un a un choc vitesse ; /> dire, deux ou que trois l'intensité fois vitesse qu'il communiqiie ; coefficient constant , nature plus gi^nde que q: donc f inX/j, A étant sur lequel l'expérience doit con^ fondé sur les loix du peut en est de choisie. Il regarder comme une a qu'on appelle /orce dans ^Ce la même d'une force P percussion permanente. mécanique, dn choc , en ce qu'acné communique de la fois, chaque une nouvelle instant tems^ sera* At une somme d'autant plus grande vitesse, de nouvelles vitesses, évidemment proportionelle à cette îa force ne change pas pendant cq tems , tous les coups qu'elle donne, vitesse non laquelle que l'action dure plus longtems,. qui La vitesse , par conséquent, dans et sera se distingue mais d'après la loi de continuité dans pas une seule le trois mais sur l'échelle arbitraire que l'Auteur de inôuveflient , qu'on ou du choc p est proportionel'^ sulter la nature, parcequ'il n'est pas la de ux sera grand qu'un autre q , s il communique au même aussi fois consjste sont de la durée, si de sorte que même vigueur. Av coi^muniquée pendant le tems A t, est donc proportionelle, non seulement à la force P, mais aussi soi. tems At; donc AvzizKl? .At, ou ^"^zz AP. ^A-^^ 2 29 Cette équation donne une idée nette et pré- 55. §. cise, quand P avec le cas, on peut substituer une farce constante qui ne cliange pas est Dans un pareil tcms, ou qui en est indépendante. d.Mis la formule ^''^nzXP, au lieu de Aty A/?, telle valeur qu'on voudra, ce qui veut dire, que ce rapport indépendant de la grandeur de Af^ est Ai': on peut donc ée,alement substituer le rapport indépendant de ces quantités, de sorte que aussi est ou du ^zXP dt y ce qui, étant intégré, "^"Uis si P une force variable, est c'est même plus le tems At c'est , tout At tems le P, dans l'instant : ^lais, XP à dire, une fonction cet. le résultat P qui agit durant le AP étant la somme de tous les d' n' a pas abord ce suivant suite, jusqu'à la force instant, ^ zr: P a pris pendant Je tems A t. Mais P-f-AP force cette ce n'est plus P-f-AP, que accroissemens : qui donne 2;zr:XPt. du tems , telle que Pi:^a-|-pt-f yt--fn'est ^^ P une agi non n' était force V\ plus que et + A P qui a agi dans durant la force ainsi de dernier le P et P -f- -^ P étant les deux extrêmes, il même eflet peut être produit par une force P^ qui, tenant le milieu entre P et P -|- A P aurait agi uniformément durant tout le tems At; de sorte qu'on est visible que le ,. a, en vertu constantes {§, de ce que nous avons 54.), ^^ zz. h.P\ prouvé des forces Sans: connaître cette foie 230 intcrmcdiaiie la force P P^ est il évident que sa difTérence d'avec ou diminuera avec le tcms At, parceque croîtra P change d'un moment à l'autre, que par conséquent, cette difierence sera fonction du tems At, de sorte que son expres- sion analytique aura cette forme P''— Przp. At-f-q. At^-f-cet. fonctions dépendantes de la loi que des étant suit jt), q, la variation de la force P, fonctions que nous n'avons pas En effet, nous avons P''rz:P-i-/} At-i-cct. et^^^:=zXP' zzz'KÇP -{~p. At -\- cet.) valeur tout à fait vague, vu qu'elle dépend de la quantité arbitraire At mais la besoin de connaitre. , partie déterminée de rapport , ce t point de la quantité At, est 5. vitesse 56.- duand (§. 52. Tnb TV-deux valeurs de 'S Fig. 3. il n'est t et j tirer ACM sera une courbe. notion que vitesse du corps en jM, ne peut rapjx)rt qui nous nous formons tems écoulé (§. entre comme dan.s le Cependant, la appelle la de ce qti'on être exprimée que par le l'espace parcouru depuis 52.), ce ment sollicité par des ABetBC, une ligne droite par les points mais que le dépend on voit facilement que, étant données^ savoir A, C, existe qui ne ^^zzXP, ou dv ii:.XPdt. aux forces, pas permis de cellt T veut appliquer l'expression de la on 53.) ri qui donnerait pour le forces, z; r:^ ^^' zn; mouvement uniforme M, et mouve- ^ r:: tang «i .M|ji, {§. 53.) j ou bien 23l rnr ^^^ =: tang n M v, de sorte qu'on aurait autant de va'» leurs difféicntes, dans la nous avons courbe. jusqu'à î\l dit 44-)' (§. de fester ou produire son autre point de tang courbe p. ou v ix. points ou de : il l' expression M m ne soit pus du rapport faut prendre la seule partie de la distance At: J^ au lieu de —^. ment, quelle que soit la force P, en (x l'idée d'un mais par la tangente Mt; quantité V, que faut Mjjl, que écartée de fait seul corps, pour se mani- le la jut., substituant c'est moment, ou d'un faut donc il tout à soit indépendante ^^^ ^"^'^ Af ' efîèt par la corde dire, qu'il c'est à par décrite M m ou de ^^, l'angle formé pas la n'est qu'on cherche; /, besoin que d'un point la ou |x Ce 38.). (§. M seul, laquelle, comme nous l'a-vons celle dans le point "'«* jx, v, etc. on n'a qu'à se rappeler ce que l^lais , dos tangentes dit depuis vitesse qu'on peut concevoir de points arbitraire et c'est ce qui se fait On a donc v zz: ^y, et des eénérale- l'on peut se convaincie de la justesse de cette équation encore par le raisonnement tessc le suivant. On comprend sous rapport de l'espace, parcouru au tems employé: le mot de vh- avec cette vitesse, par conséquent, dans le point M, ou APr^t, PMzi:.?, la vitesse serait -^, ce qui exprime en efièt la vitesse pendant At on par Mjot. change continutilemcnt depuis Mais comme elle M jusqu'à ^ (paiceque la 232 force ne cesse pas d'agir), mais tous tesse , A; -~ n'exprime pas une seule vi- différens degrés les lieu pendant At, ou de IM en milieu entre que toutes vitesse en la la force ces vitesses; il elle et plus grande jj., que celle en si M, si elle dëcroit. ^ la seule vitesse qui a lieu en garder n'en faut qui ont donc moindre sera va en augmentant; ou vice tersa, Pour déduire donc de M, de vitesse, de sorte que ^| sera le [x, que indépendante des partie sa points suivans [x, v, ou de la grandeur des différences, c'est à dire, qu'il faut po'ser v := ^^. f. Cette expression de la vitesse ^'^=^A est une 57. fonction de t , si le mouvement est sollicité par des for- ces, c'est a dire, le corps a une autre vitesse en M qu'en A, M, etc. une autre en trouve par ix. qu'en et cette première différentiation de la la fonction se fonction J, conformément aux règles vulgaires. Nous avons donc deux équations différentielles entre et s, dv z=i 'kVdt (§. 55.). t, v, savoir t;zr^-, et Pour en trouver une entre seulement, il faut éliminer v, ce qui se fait, la seconde , et substituant cet à intégral dans la première, ou en substituant première dv dans la seconde. f impie , Le la et s place de v différentielle de la moyen est plus différence couir dernier parce qu'on n'a qu'à prendre la t en intégrant la 233 plcte de V, vu que V tout qui est est , ceJ'i donnée par sera que la but de de de ces formules différentielles les tirer Riais t. le par l'intégration ordinaire. la partie des rapports, qui est, indépendante grandeur des différences , il les termes multipliés par At, à la différentiation vulgaire tion comme de règles de celle-ci supposent toujours, qu'on n'a les conserve que de puissances de At, fonction valeurs absolues de s, v, etc. et les faut rejeter de ^^ tous ce qui réduit cette opéra(J. Ayant trouvé 19.) d (^') de cette manière ^"^ z=z - ^- on , dans l'autre équation ^^nzXP, substitue ce qui donne cette valeur — -zziXP, d t ou pour la rendre propre à être intégrée (§. 20.), o(^'^)r:XP.3t: ij preraièie intégration donne s — X/at Pui.'^que celle-ci, est il dans -izzX.fPdt, et la seconde fPdt. intégrations les consécutives , , on prend ordinairement , dans ces de mécanique, dt pour constante, ce qui donne, d'après les règles vulgaires, d (^^) rz -^-^ , dds z^ XPdt^, ce qui ment à comme est nécessaire de savoir, quelle différentielle supposée constante fo. mules . ^^^ est la par conséquent, forme qu'on donne ordinaire- cette équation. MtmnrtidelAiad. T.Vi. 5® 234 X tales Nous avons donc trouvé les de la mécanique d'où l'on =^ : 1) ^ q\ dB s dv ^J dt' dt > tire la troij .équations Br > , quatrième dds -nzWdt^. »—ooooooCoooooo •»» fondamen- 235 ANOMALIAE VERAE PER .MEDIA]\Î DETERMINATIO. A U C T O R E L l T T R O JV, Convcntui exhibuit die 2 Nov. i8i4» Nulliim foisitan, qiia late patet astronomia, invenietiir pioblcma , in qiio enucleando plus desudai int qtlam hoc, quo anomalia vera per raqiiam Keplerus leges motus , mediam quo circa solem quadam mente de- piimus etiam problemati nostio operam suam no- texeiit , ravit Post- dcfinitnr. planetae fcruntur, fclicissinio successu et divina gpometiae, methodumque ad illud solvenduin indirectam in usum vocavit utar , , cuui piopter ejus solutionem , sinus aicus irspoya^ éicn' y et ut ipsius veibis invcnire non Pat rem astionomiae recentioiis , a quo etiam pro- potuit. blema dnectam nostium nomcn problematis Kepleriani magna sectatorum sccuta est catciva, inter nactus est, quos celeberri- ma nomina viroium de astronomia quam optime meritorum, Gregnry , ÏVolUs, Kcill , Machin, Newton, Simpson totqué aliorum clucent, qui eandem rem variis vils aggredientes, gcomctricas construcliones curvarum , vcl Cycloidis , Quadratricis Tscliirnltauscnih, vel cuivae, quae vocalur 3o * vt-l si- 236 n'irim tciii m 'r;nm vocantcs, solvero comri snrrt, qnne hri- rt silurio:i.-s ncqua jm.i.ii d'i'îi soltitionibus >cnit, non primo, ni cjiiae magna ita rcv^cra fcicrimt ano.n.il;a:n cxhibere , oiiincs ad calcula u co inioie .ibs-dvcn- i'cie diiecta scrirs, pu'S<îa sit, anomaliae 170^) n.cdiain ope sciiei intiiuiac cxccntricitatis ad axciii in»ijoiciii ratio et qiia;n\'is g c. siinplic.is a m» ntc sr sp( cit lu l\irc taiiu n vi(1( un. et, i;i qu.in- au- Ilatc diversis aucLoiibiis divcisi;iio<lr Cawcier (am por rNliibere quam maxime stiidiiit ( ( x- potcntius siniuiiii Ikiiincr Jjh.buclv iixommodo, ut, siii- loge Mniplici, cpuv intiicatis, posset, prorsus carcre \id/M(Miuv incommodo mtdf ri prnno de l'Acad. de Boilin iii commodiori ca'cul') iibsolviinr qaoLisqne libtt continuari cui /VcAt^frjao nihiloniinus sempor eo laboiavit gulis terminis m ni is:imo m( llio<io nnenla sit, ila liis" HiIIor, dain diicctae solntionis prae ti-m proinde Mis.-is vn.im ptv si sit adapaiac. Lug'aiige (Mc.n.. conatiis est qui m post F'tc tt. quinqite annos secutiis est Oiian'i ^^Opuscoli asirononiici di Barnaba Oiiaiil) , grcssionis clare 1769.), qui primus enuntiavisse omnium censcndus liiginta m noi-lrae proCum autcm, est. ltg( persuasum habeam, eandem Icgera etiam alla, fors.m sunpliciori, dem rcni saltcm brcviori, raîione ex()rimi possr, hanc eaniterujn rcsuiiiere et quae mihi quaeienti scse ob- tulerunt, hic pioponcic opeiac piclium du.\i. 237 Ac primo qnid(m, 1. 5- quacidiiius anoni.iliiini eodcm ordinc pcr diiuidiiiin nxt'iii mcdiiin), ok m ptr piuicLo pciiliclii compiiidti--, Fx ex piiina a^ rxccniiiedin (t vrr.im h^tbeb.LLU' , s* iid unoiiialiis a consUH^ ^ iif'(]ir;itionibns l)iM!s junciione ounia, qnae Jaiu e, ut m lui e -- e sin e (|trbiis ordiamur, xeram. c et w tl lutioneiii e\ceiUiicitatis vi, riidj f^icilioribus a p<r daMii iMeiijin DcsTgJUindo-unoinaliiiin ut ([lUiUcne r.TiKrqne débita con- pt t* ndj cjMnntiir, iineniLui siinr. lucciiodo satis nota vrl 12 - ZT "vel a s;n w -4- i — dm 2 u ' etMiîi \ " r- 7 -H a sin <? °^ "^in C <? -+-f- nb' 4- etc. sin 3 O) J a _^T- ^1. , tiiiibiis " scli(.bLl^^ sin 3^ e -4- rtc. (\X)- \ ut aliandc noLis, non ini;noior. —— f~'* Ponamns jjm quant itatem soiicl so(ju( nii -A s.n 0) — Ksin cm -+- C sin 3 tinde pio d( termin.mdis lacloiibLis O acqtiijlcm cssa : zn. a sin cj — [( -f- [^l I --h a^) A -^ a j B —a I)] a) Aj B, sin — C etc. . . habebimns; w — a A — Caj sin 2 0) — CtC;. c3S conditionum et hinc aeqnationes : A(i -Ha=)==a(i -4-B) B (l H- a=) zn a (A -f- C) C(i +a^)^a(B-HD) etc. his aequationibus satisfieri , ubi facile vidcmiis , A zn a. a^ B = poncndo " ^ C — a} et nnde tandem concluditur — "" "" , zz. afsinw fore: — asin 2ûj-i-a'sin 3 u— a'sinAw-fCtc.J. Ciim aiitem prima aequationiim (I) ) I eiit, — nos (1) co^ e\ ,\ -\- £v -~- cos 0) M -)- co; e' \i i^ — sit : cruto valore qiiantitatis cos e , COS e rz -—^ vel — /i cum e — et hinc sine n: ; , I a := „ I ( I -h a^) s;n m -4- a- -f- I a cos w Substituto proinde valoïc iiivento quantitatis .; s;i w 1 habebitur '* : sin c -— {\ StibstiUilis qualione -t- a^ -t- ï a cos w m •- — a") (sin w — a sin 2 w -4- a} sin 3a)— etc.). Hf nique A'aloiibiis qnanlitatum & et sine in ae-:--€ — e sin c, oblinebilur 239 m zz: qua prmndo Aliciiii oj — série 2 e sin oj -f- 2 a — — — — (s — 2 a^ (ê -f- 2 a' (e — 2 a-^ (e -f- c[c. ï a) sin I I I a) sin 3 w a), sin 4w a) sin 5 ùj anomalia nicdid per veram exliibctur. ejnsdem dcmonstrationem sciici^ dédit (TV. Siipplemeniband der Beil. astron. Jahibiicher), ncscio 2 (o RolicW qiiamvis quo enore per candeni seriem probleraa inversum, quod niLilto difTiciliiis est, primiim solvisse praefatus non absque sit, ciiin dcm problema primus absolvit, vipjjyooix se omniuni tamen ne nostrum qui- cujiis nimirum solutio jam longe antea ab IlL Laplace (Mec. céleste Liv. II. N°. 16.). data fuerat, §. 2. Simplicissima nostri problematis solutio habebi- tg ^ , tur si valor quantitatis (I) in prima substitua tur. satis ope secundae aequationum Invenitur autem per methoduni! superque- notam ex aeqtiatione secunda: te z=: tiz 1- e to — Anle oninia er^o quaerendi 1. d . (i cos m) siint Vtjlores; quantitaluiHi PrO' quantitate prima. PositO' bievitdtis- causa :; — 240 m 2^1 — m) zzzcosnm — (90 — m) =: — cos{n — — 4) m — (90 — m) zn — w — (90 — m) = — n (90 fin sin (n sin (n sitï . (n 2) 2) cos (n 4) cos (n 6) 6) etc. unde demnm concluditnr fore ^L-lii-rl? :::=--l[,i''-'cos«m-n (rt^2r"'cos(n-2)m H- n^ (n — 4)""* cos (n — 4) w — etc.] et îiinc per triplicem ditTerentiationetn "^^ =-i[«""^'sin«m-n^(«-2r-^'sin(n-2)m — 4)"'^'sin(n — 4) m — n^(ii -f- Pro altéra quantitate. IL Miiltîplicata aeqnatione supra adhibita s^cos" X i^ cos H r -f- n cos (/i —-r 2) a; -J- n cos (n per 2 — 4) -** "+" ®^^ obtinebitnr sin x, . etc.] s""*" cos"x sin X rr: ' -\-n + — — x— — 3)x — sin (n — — 3) x] sin (n — 5) x] [sin (» -^ 1 ) 3^ sin (n [sin (n 1 ) n^[sin (tt 1 ) r] -j- etc. tinde saepius differentijndo et, nti pro prima parte factiim erat, non nisi bendo, id Buflicit, facile casum primiim, qno » zz: 2 (2 p-f- 1), adhi- qiiod ad expressionem habcbitur ^eneralem elieiendain «42 .n-m.an-f-i.csjix îinx — (u— i)""^' — i)r] — 3r"^'cos(/i— 3)x] 4.,ij(,i_i)''-^'cos(/i— i)x— — 5)"^"cos(/i — 5)x} -f /iJ(n^3)'"^'cos(/i~3)r— rrr(;i^- 1 )""*'' ces (/j H- i)x cos(^i (/i (/i -f- etc. Posito autem x = 90 — m, cos(/i-f-i)x • nit sin (n 4- zz: cos (/i sin(/i^ cos (/î — 3)x sin zz: m- — m (a — 3) m — i)x=z — 1) etc.. III. Substitutis denique valoribus inventis in acquatione : ^ «bi signnm cfise numéros o, i^ 2, 3 omnibus indicdt , scilicet rite pio etc: n. ordine ponendos erit expressio nostra^ quaesita, rcductis, tg T —(.--.) (^ -^ ') ^8 . -- (tz ,) / naturali (n-f-i)""^' sin(/i-h]) • 77777-1^0-^^- w — 2«"'''' sin./îm- I ' «—(n-i)?-^" sin(»r— t) »ih-2:(«.-2)''"^' sin(;r-2)m)t ^_H(,i_3):'-^-». JL .,sin(/i,-3) m - 2.(rt-4)"^'sinOi-4)m j_(„^5)''+\.!lL«r^). sin (n- 5) m-^ 2 (/z-ô)""^' sin(«-6) (,z^7)'-^\^l2i^X-0^ sj„ («-7), — etc.. " m \ w - 2 (^- 8);"^' sin (»i- 8) m: j* t>43 Tîac proinde ratione , ad qtiintam duntaxat si «"XCCTi- potestatem proceflere animus est, habebis: ^liicitatis të~=(,i:f(i+otg:— (2 sin 2 m — sin m) ^ - sin m -\ , , simplex ' est et _ (33sin3m-2*sin2w — sinwz)^' ^* ^_^ Séries 3. §. ) , ~^^^-o , . in prnecedcnti J. calculo haiid inventa oinnino satis quidern inconimodo absolvi potest, eo autein laboiat incoramodo, quod loco ipsius ano- nialiac verae hujiis quantitatis €xhi- brat , iinde in calculo pertinbationutn , quas planetae ab non nisi tangentem sibi stat pioindc, ut anomaliam qaae scciindum sinns dit, quod id diiplici ÇHiae.ratur nqtiantitatis nomine omni vieinis paliiintur, aliis primo fere veram nuiltiplt)nim modo fieri ex pei' iisu P^e* destitiiitHr. seiieni expdmamtw, anoraaliae ^nediae in.ce-:' potest. prima aequationtîm w per sinus multiplorum anguli e, (I.) val<Bt quam seiierti pr'unae insigniemns. Deinde ex altéra ffequationtim [nus mulîlplorum angnli w, (I.) qiiaeratur e per St- unde séries a/tcm redundat. Postremo ope ejnsdem aeqnationis qnaeratiir -sin n« pci "sinns muliiplorum "Snbstitiita ma, habcbjLur aTigiili e, unde séries tcrtia orictur. dfinde série secunda «t postrema , seiics 'quart-a> quiîe Vcjlorem ipsitis ùj 31* in pri- per sa- . 244 crit séries m anguli nns muîtiploriim Haec qnarta séries exprimit. qua problcma datum nostra quaesita, resolvitur. His constitutis, singulis nunc partibus problcmatis nostri invigilandum Prima I. ita ha bot se est. jam séries (aequat. i. §. II.) inventa est et : + as' ° - zz — -f- a sin e 'a— sin 2 e -f'3 sin 3 e --1- etc. ubi a ru 4=;.=? i-\-y 1 II. ' — i* ^ methodo nota Altéra aequationum tractata prae- bet sequentem : e = m-h€smm-^ ,-^'^a sin^m —"-^^.d^ sin'w -f . . Supra aiuem (§. 2. N°. I.) etc. inventum fuerat : ^10^—^1^ [n''-^cosnm-M^(«-2)"-'cos(/i -2)m-i-etc.], qiiae aeqaatio differentiata in sequentem abit — — ^ — 2)""' — 4)m — (« sn-^..^n«m_ j^\""~" ^^^^^^ dm--» u»^ -|-njn~-4f~'sin(ji — tiiid€ demum 2) m) etc. J conclnditiir fore : jn «=»w-^- sin (« rTTFT-n—n <;i''~'sin«w— n^(>? ^ — 2)''~'sin(n— 2)w2> -4-nJn-4)''~'sin(/i-4)m-.etc. ubi n est l, 2, 3, 4, etc. , ita quidem ut sit J s 45 H sin 2 m m — 3 sin m) sin 4 m — 4 2' sin 2 m) "*^ ,~Ti!4^3 (4' Éi (3^ sin 3 -3 . H- etc. qiiae est seiies scciinda. III. Eodem modo ope secundae aequationum (I.) invenitur ^sinne zn^ sin « m H- e sin /i cos n m 7-7-^ 3 -\- [sin^m cos/zm] . -f etc. ciijus sériai terminus generalis est 5:1%^^, . o . m cos n ml. [sm Est autem per eandem aequationem, qua supra usi sumus s'^cos^xcos/im zz: eos7rrcosnm-f- Y.cos(-7r— 2)xcosnm -f- Posito deinde ^ ^~' cos (n x zz. 1 OO — 4) X cos n 7w -h etc. — n eut pro tt zi: 5, 9, 1 3, 1 7 etc- cos TTX iz: sin TTW cos (tt cos ("Tt — 2) X = — — 2) w — 4) X = — 4) sin (tt sin (tt '^ etc. unde séries praecedens est : S^sin^wî cos/iwir: sinirm cosnm 4- ^7.7"^ sin (i'^ — — c)cosn»» — cos n ^rsin^Tr " 4} ^" >» etc. ^ . — ' r o^ Tî»2f5 et hinc, singulis prodactis Q'^'^'sin'mcosnm^i [sin in -f- u) (tt simpllces resolutis, factorcs ^s\n(^ — n) m) m — TT {sin (ir—o: '"+" ^^â-^^iK-TT— 4-4-«)mH- sin (tt — etc. H-n)m •- sin (tt — 2 — fi)m] — 4 — /z)m] Comparatis deinde difierentialibus hujus seiici quartis, octaVis, duodecimis etc., «rît 1 , 3 . 3 . . if . 3 m'"' ' (tt -H »2)''~*s.in(7r -h t TT [(tt n)m -f- (TT—n)"^" 'sin(7r—n)m — 2 H- /i)'^'~ sin (t — 2 ' •4- (tt —2— n)"^" -(- /?) >« sin(7r— 2 — n)m] •— .... 3..^.. '-^^'^^:~U^~4-^") sin(7r-4H-/2)m S 4—•«)''""'sin(7r— 4 — «)«?] [(t — 6 H- n) sin'(7r — 6 -f «)m — 6 — ;/)'^~'sin'(7f— "6 — ;2)?JîjH-etc., H- (tt— — : - ^ , H- (tt - efTîin'C facîli negotio dedncitiir, posito sin/!C :=: sinnm ^- Yt^'^t^ 4- 0'" -f- 7"-"^a [(/i-4-2)sin(nH-2)»i TiEî S ^ -f- sin (?i — i)m] — 2nsinnm-4^(»i — 2)sin(a— 2)7M] — 3 (h— i>'sin(/i-f- i)m; 3 (/V^ r)^ sin(n-i)m - (n- 3}* sin (n- 3) w^ etc. IV. *(ex N°. — ?i., ('H-'3)'sin(/i4-3)iM ""^3^' -f- tm Substitmis niinc valôribns II.) et sin »e'(ex N^ IJI.) joullo fere negotio habebitar : , inventis quantitatis e m acquatiône iS'o. L, 845 ^ n"""' sinnm wrr?H-+-!S! 1.2 3 . . n. '" / s'\vi II — (n— 1 -+-——(« — 4)" 2)''~'sin(;i — 2)m 'sin(n— 4)m — etc m -H- [s in («.H- i)w — sin(/î — 0'"] ,",'-:[('i-H2")sin(/i-f-2)fn-2/îsin»mH-(/2-2)sin(tt-2)m] ^la-i "'^-,[(nH-3)^sin(/î-4-3)m- 3 (/i-M)^sin(/i-+-i)m -4I . a . 3 -h 3(n— i)*sin(n— i)»i— (u— 3)^sin(/i— 3)m] nbi « r:r qnae est i, 2, 3 etc. nostra seiies q^iiaesita^ E X e m p u m, l Qnaeratnr terminus sériel praecedentis , qui non nisr excentricitatis potestates continet. tertias Ad hune terminum inveniendum,, qua'erendi sunt facto^res quantitatum e^ae^a^c,, a' unde- prima pais seiiei; dabit pip» n m^ 3 . . altéra; pars . 'J (3 sin 3 m- — sin m)' pro nzn i . . . 2a[sinw-f-g (3sin3m— sinw)}: n ru 2 . . . a^e (sin 3 nzizS ... — m — sin m), sin 3m. 3 CuTn autem a.=i:-|--f-^ -f- etc. summa' quantitatum praC" ccdentUim. erit ; *g (3sin3 w— sinw)-+-£'(i-f--)(sinm-f-^^(3sjn 3m — sinm)) -f - (sin 3 m — sin m), h- y^^sin 3 m 94^ i| E* et m sin m omîsso termine qnae , eadein rêvera sin , quantitas in — sin 3 m s ' est aeqnationc ccntri omnibus nota TDccunit, Hac proinde liitîonem nacti nec nirais ratione secundam sumus ope seriei , ni mis autem vis eadem forsitan, sit, cui quibus solutio praecedens ob in- maxima In debettir. solutionis periculum per eôrnm s Haec autem ofTeit, si n qua ra- tertiac qua nimirnm anomalia vera m et adhuc graliain igitur , auxiliaribus «dscitis, quaerenda 4. videatur, eleg«ifls pars brevitatis, qua solutio ista faciamTis, meras quantitates 5. progressionis molesta est, qua de causa haec tioductionem quantitatis a minus gaudet lex pioponenda esse videtur, solutio caeteris jure mihi , ciijas composira, nec etiam pro evolntione singulorum tcrminorum numerica S.int problematis so- nostri solutio nullis aliis quantitatibue erit, sponte ex antécédent! se tantum loco quantitatis a^ ejusdem valor / ' N" ^^^ "^ ) > a / ^' ) C i.t \ ! / ~ .1^5 n (n-t-jK "4-6)0-4- 7) /tNg . •" 1.34 V j "^ Vî/f ^^^> ) (vide Mec. céleste Liv. IL N°. 2 2.) substituatur, ciyus teiDiinus ger>eralis est : n(n-f- * -(- I ) (n -t- X -4- a) . . fn -4- a« (X— .) — i ) * o/ £ \ : 249 dua ergo snbstitiuione facta ciit omnibus rite reductis: |rn"~'sin n ;n— " (/i — c)""' sin (m— 2) m 4- etc. H- ( : T^' (A^ -t- A'/z -h A'. "4;t3)) (A) -+. ri^)"-^' (A» + A'n ^ A*."^-^ ^ A^. ^Jα^Jl II Va' 1.2.3 V ' 6 \n4-o (^)"^^(A9-i-A7/n,Aî , 1.4.3.4 n(nH-3) 3 n(a-t-4)Ct4-5) 1.2.3 n(t-l-0('»-l-6)(nH-7) -i-etc. i.a.3.4 , ubi n =z: 1, 2, 3, 4 etc. et ubi 'sin(7r-f ^î)m— Y(7I-f-^^-2)'^ f(7r-t-»)^ (tt-^/z— 6) hoc est sin(7r-+-;i -3 pro tt rz: o, 1^2 etc. l 'sin(7r4-?î-2)m) — 6jm-hetc.^ A° zzz —n sin m , ;z A' rr sin(u-4- i)m — sin(a— i)m A= r= -p^ [(n 4- {n etc. M(mohtt derAcaA. T.VJ. + — 2) sin (/i 2) sin (n + — 2) m — 2 n sin n m 2) wi] 32 ^ 25o Aeqnatio (A) tcrtiam nostri problematis solutionem continet, quae nihil amplins dcsideranduin relinquere videtur, §.5. Expressio autem modo multo concinnioii (A) cum quae vis binamm paitiumj ex qui- repraesentari potest, pluies rediictiones bus conflata est, parte absqiie negotio invenietiir 7T7TJ~r _ iibi xsin(/i J, 2, Altéra pars diiplicem qnidem quilibet r en 1, 2, 3 quae — (sr— 2)) séries ^ 3 etc. signumque superius vel prout r vel numerus impar vel par inferius, iibi : ( r ordine naturaîi Pro prima admittit. contractionem factor quantilatis (4-) in est. admittit. génère Primr? erit: etc. continuabitur usque dum terminus ultimus erit pro r numéro pari : „(,j-4_-';)(',i-}_^*) .. (n^r-4)(n-4-r-3) — A' et pro r numéro impari n (a 4-^^) (n -^^^) (n A° + '^t-O • • ('^ + ^ - 2) • 1 . . 3 . . . L-zii . 1=l: c5i Deniqne terminus generalis ipsa tionis , V ubi terminus geneiulis csi secundac partis nostrae aequa- eiit : ^^/'i\'^+r-i/ ir-(^2s-i) 5 rz 1, 2, 3 n (n -4- f n-»-ï4- 1 )(n-4- 1 4-a) . congestis pro uliimd nostri problematis solutione sionem ubi pro meri i. r habebimus sequentem expres- : 22\f)".[5:''(|)''"'. pro (n -ha ï-4Xt+»i-3)\ etc. Omnibus pioinde contractionibus 4- quac praecedentis , serici |-^^/(''+0(^+^u)-(^+"-3)^ A''"^''"'^j] ... (B) r, n, ordine naturali substituendi sunt nu- 2, 3... et ubi s, signum pasitivum partis primae numéro impari locum habet. Haud omnino superfluum erit breviter indicare modo exprcssione ultima (B) uti deceat. , quo Ad obtinendani partem prima m calculabis qnantitatem pro singulis Miiltiplicatis per _\j^ et ipsius r valoribus , puta pro r :zz i, 2, 3 dcinde valoribus quantitatis positis singulis in singulis his his productis pro 32 * . . . C n nume- 202 ris 1, 3 2, . erit . . summa omnium productorum pars pri- ma aequationis (B). Pro altéra ejusdem aequationis parte calculabis primo m:3...(s ^ — pro singulis ipsius s valoribus , • pnta W • pro .?=r i, 2j 3 Multiplicatis deinde singulis partibus per (^Y ' , gulis his productis pro r ponendi siint numeri . . . in sin- i, 2, 3 etc. E^nique multiplicatis omnibus hisce productis per 2 (7)" et substitutis n numeris pro 3 etc. erit productorum secunda pars aequationis (B). Rêvera , institutis generali , erit y-n ^r / f \Ti V;/ /j^N. r — 1, 2, his mutationibus ^> n(n — s)(n-4-?- -i) i 4 * Va/ summa omnium 1.3.3.. (r . — expressionc in fn-t-^^' — ?) ^r — (:î — i) ') =:zr(^)"X''e'--'[A'--'4-nA^-^+"^^-''U'--^-f-etc.] = 2:"(^f [A°-f-(|).A'^(f)=(A^-^A°/z)4-(7)'(A^^-nA')^-etc.j quae expressio cum secunda aequationis (A) parte prorsus identica $. est. 6. Coronidis emple quodam (A) 4. §. loco arqnationes nostras inventas ex- confnmenius, adhiibebimus , cum quem altéra in finem (B) §. aequationem 5. ob nimias contractiones évolution! numericae minus idonea esse videalur. — 253 Qiiaeramus ergo Pônendo casLi, brevitads quantitatum t, c» e', *, et c'. A °, A °, A ° etc. loco A° eo caussa quo n rr: i, n:rzQ, n rz: 3 etc., et eodem modo cura unde ope aequationis (A) deducitur: caeteris, Pro n rz (\) sin m sin 2 1 : 4- (|) A'^ Pro n (I)» factures 2 zr: , = a. : m -f- (|)= (a'' -|- A'^) z= 6. = 3: Pro n — sin/«)4-(|)'(A'*-f A'o-f-A*' + A'°) — |(|)'(3sin3m c. Pro n rz 4: I (4)* (2 sin "4 'w — sin 2 m) 4- {{Y (a'« + A'' 4- A** 4- A'° 4- a'3 4- A'O li d. Pro n =1 5: 24 (t)^ (5' sin 5 m — 3* sin 3 m 4- 2 sin m) •^(t)^(A'*-+-A"*'-+-A'^-^3AVaV2A''-+-AVA'^-+-A'o.2)::=c. Cum autem, ut in §. 4, invenimns, sit 1 (tt A^—-^— 4- 7i)'' ^{n~^n 'sin — (tt 4- n) m 0)^— '510(7:4-/1 — 2) w ^ V <J l-^^?-n^-h'i-4r~'>in(^4-^i-4)w — etc. nulle fere negotio invenitur J , , 254 A ° rr sinm, A rz sin G m ' , — sinm), — 4 2 m) A'^ r=: i(3sin3ni a'' rr. i (8 sin 4 ju A * z=. r^- (5' sin 5 /u sin — 3* sin 3/7^ -\- 2 sinm) ; ac porio A ° rr ï sin 2 m A z=z sin 3 m — sin m ' — A^r=2(sin4jn A'^ zn i (2 5 sin 5 m , sin 2 ni), — 2 7 sin 3 m 4- 4 sin m) ; neque non A^°i=îsin3m , 3 A A ' * m sin 4 m — sin 2 m, r= ?(5 sin 5 m —6 sin 3 m -h sinm) ; et deniqiie A°iiiïsin4m, A ' n: sin 5 m — sin 3 m, A ° m |sin 5 m, His factis erit orz2(^)sinm h rz ^-^)'sin 2 m c n:. (y)' (y sin 3 m — sin wi) d =: (y)*(^sin4m « = (i )* (3-4-, sin 5 — -sin m) 2 m— -»-' sin 3 m + | sin m) 255 unde confestim ope aequationis (A) (li z::l inveiritur m -Y- 2 sin m e -|~ /.e-sin2 m .^ [\ (^-^sïn3 m — -|--^--{^^sin 4 m— ~f- -\- (—""- sin 5 m sj n — m) .1 1 sin 2 m) t? sin 3 ki + | sin m) Unde simili patet, evoîutionem numericam aeqtiationis (A) commodissimo simplicissimoque i^a nt tricftatis id qiiod inde calciilo absolvi protestatem spatio paiicarnm hoiarum de vix quideni posse, aequalio centii ad duodecimam iisque excen- aliis elici possit, hiicusque dalis expiessionibus vix ac ne ai'iinnaie licebit. 256 OBSERVATIONS DE LA GRANDE COMÈTE DE L'ANXÉE 1811 FAITES A NOUVEAU TCHERKASK AU MOIS D'AOUT 181a. • PAR. WISNIEWSKT. V. Présenté à la Confcrcnce le 20 Sept. i8i5. La mémorablG comète de l'année 1811. fat découverte par Mr. Flaugergues le du navire, antérieure 25. sa, Mars N. l'oeil nu que mentât de Lors australe. dans très son et apparition difficilement, 29° 3'' de déclinaison elle n'était visible elle n'a été observée qu'en France pendant sa première apparition; avoir traversé la constellation à quoique son éclat aug- et néanmoins suite, la partie position étant le lendemain au 120° 26^ d'ascension droite soir dans la St. de l'atelier où, après typographique et celle du monecéros, elle se perdit dans les rayons so- laiies. On pour l'a observé auprès de la tète de l'hydre à et 5° 1 7^ de déclinaison la dernière 1 19° 5 7'' boréale. fois le 2. Juin d'ascension droite La comète s'étant dé- robée à la vue des astronomes, continua sa route géocen- 257 de lecre visse, et trique dans la constellation avec jonction du le soleil le en corr- firt Aoi\t au-dessus de la 6. lion, d'où elle se porta d.ins lu constellation lion. Les cèrent sa ayant astronomes et en reparition ; calculé efFet son du notre comète fut décoct- 148° 20^ d'as- cension droite et 33° 33^ de déclinaison boréale. présenterai pas puisque elles mon arivée éclat de la observations ces ont été comète , faites de la du grande ourse, tcte d'astérion, elle de très près 1 de du 5^. bouvier la tète en continuant sa je ob- ne Impériale, dans le tems du plus grand les observatoires. — La comète petit lion sur les jambes et après avoir passé de derrière au-dessus de la p^rvmt au maximum de son y] et route de la sa grande ourse, le quart éclat queue ayant Elle passa le de longtieur. l'étoile Astrakhan, à l'Académie commencement du mois d'Octobre; au-delà à je l'aie durant lequel on la poursuivait as- sidûment dans presque tous dirigea sa course Je l'ap- ne pus d'abord l'observer, je parcourant alors la mer Caspienne ; et quoique servée plusieurs fois après petît annon- orbite , vcrte pour la seconde fois le 22. Aoiit à pcrçus le 4. Septembre, mais tète 2. alors Octobre ensuite entre de cercle mural ; au-dessus des pieds aa de là d' hercule et do la constellation de cerbère, elle se porta dans celle de l'aigle, et passa Mémoires deTAcad. très "près T. VI. de la- luisante de l'aigle yitair 33 255 Décembre. En diminuant graduellement d'éclat, elle le c se perdit pour la seconde à l'entrée dans constellation la observée en dernier lieu à 3 12° 53'' d'ascension dans fois les rayons du soleil du verseau ; où à Seeberg le elle lo. Janvier l8lC, de déclinaison droite et i° calculé les observations' de lo'' fut australe. Mr. Bessel comète, faites ayant depuis sa première jusqu'au appaiition Novembre i8il., remarqua: qu'on ne cette i. saurait satisfaire à ces observations par une orbite paraboliqtie; la déclinaison étant affectée à la calculée reur fin du mois d'Août d'une de deux minutes et demie. Il détermina en consé* quence une orbite elliptique, dont voici Passage ara périhélie Tannée er- les élémens: l8il. Septembre 12, 25 i 75 tems moyen, de Paris — ~ — 140^2 4''29'^,9 Inclinaison de l'orbite — — — — -.— io6°57''24^ ,4 g'-'^n 75.0 Longitude du pé;ibélie ^ ^ — -. — — — — — — — — — — - 0,9954056 Excentricité Logarithme de la distance périhélie — — 0,0i5ii20 — — — du demi-paramètre — — — — o, 3l5i432 Longitude du noeud ascendant 1'' — — — Révolution du mouvement moyer^ diurne de la,, comète —, 9,9374598 — — — — — 3383 années. 259 On voit, que l'excentricité, et par conséquent la révolution aussi , grande, vu qu'elle savoir doit être une incertitude assez sujette à fondée sur une trop petite base; est sur l'erreur de l'orbite parabolique de principalement pour obtenir une détermination C'est donc plus approchée de cet important élément , nomes ont comète , de continuer souhaité elle si Voyageant née 1812. de que Id au tribuer comète le alors dans les Européenne , de ambulant cette le saisis l'occasion, m'offroit , pour con- je entreprise , permettroit. 3l. Juillet N. St. , gouvernements méri- je autant que faites j'ose les que c'est pendant la troisième mon Heureusement mes puisque ayant retrouvé la l'ai observée jusqu'au 17. Comme ces observations sont les seules, été astro- au mois de Juillet de l'an- soleil restèrent pas inutiles, soins ne Août. Russie succès observatoire les observations de la les beau climat de cette contrée le que viendrait encore à reparaître après s'être dégagée des rayons du dionaux: 2 ï minutes. qui aient apparition de la comète, présenter à l'Académie Impériale, en remarquant: la première comète, qui a été observée onze mois après son passage au périhélie. 33 9^0 Observations de faites à comète la Nouvea u Tcherkask sous 4-/° 24'' 34^^ de - latitude et 2^31^4"^ à l'est de Paris. Après quelques essais, qui ne réussirent pas à cause du mauvais tems comète le du et de lune, j'apperçus 3l. Juillet 18 12- N. une lumière jaunâtre très-paie clair à minuit. et ressemblait à la Elle a%ait une [tache nébuleuse ayant moins d'une minute et mal terminée, et St. enfin demie de diamètre. Je ne pouvais remarquer aucune trace queue; d'une et les nuages m' empêchant de observation complette, je me faire une bornai à marquer la position de la comète par rapport aux étoiles voisines. Elle formait UM. triangle alors avec rectangle les étoiles N° 104. et N° 102. du Verseau (d'après le grand catalogue de Mr. Bade.) dcmt l'angle droit était à la première étoile ; se trouvait à peu près 5o'' iiu sud de cette Le mauvais tems ne permit pas de avant le forme sa la et 8. d'éclat position, 8'"'' Août. je la grandeur, Elle n'avait depuis le la comète étoile. revoir la comète changé sensiblement de 3i. Juillet. Pour déterminer comparais avec une étoile anonyme de que je désignerai par la lettre le moyen d'un diaphragme .la lunette de Dollond de trois pieds et demi. dci diaphragme est de circulaire 14'' 23/''9- (n), par adapté au foyer de Le rayon q6i Différence le m s moyen de l'obser- Nr. vation I l'ascen- Les <ordes de sion droite en tcms en tems. moyen moyen La comète au nord Jm. u centre du diaphragme Em Le toile ' û) au nord III. La comète au nord Tm. du centre Em IV. nord La comète au nord du centre I Im. Em, du centre L'étoile {a) au ii''58'37",i 5927,9 S 58 9,5 l 59 4»>7 S 12 Im. 2 4s' ? 4 25,s S 3 7-9 ? Em 440.7 Im. L'étoile (<î) au nord jlm. Em. 85. ,5 S Li* comète au nord 1 3 > "124643,5 7 483i,9 S Im. 47 'i>i l Em 48 5 1,5 S Im. Em. L'étoile (û) «u nord 58 59,1 + 89,» 3 33,5 +144,8 354,3 -Il 32,8 737,3 — 21,4 +1 54,0 7 58,7 4-1 45,4 » b 6 40/5 8 H,3 S 7 5,9 > Em. 12 o'22",o +i'4i",6 12 4737,7 -~o 23,6 4-1 48,4 48 +1 40,4 1,3 Le 1 1 Août. La comète était très difficile a apperce. voir, l'athmosphère étant chargée de vapeurs; c'est pourr quoi je teuses. ne pus faire plus de deux observations très-dou- La comparaison fut faite avec l'étoile de Taérostat -d^près Je -grand catalogue de RIr.. (6) N° 39. Bode. s6û Différence Tems moyen de l'ascen- l.ti cor<i«3 de l'obier sion droite en vaijon en tems moyen te ms movcn L'iitoile /;) au nord Im. du centre du diap!n-.)gmf Km, La comète au nord Im. du centre Em II. L'étoile (/>) au nord ïm.' du centre La comète au nord du centre Em Le 12. plus distinctement avait a n'était 29 39,0 3o 40r2 -l-''43",4 »^5«^^^'\^l 12 5925,2 ^ i3 o 5,oS I 1 a ,4 ? ,57^ '3 Km Le -Hi44",4 2847,8 2837,8 Im. Août. à''. 12''27' i 1 4>4 que la / I guères égal Comme 39,2 t- 1 46>o comète était nuit précédente ; elle Li peu -près une minute de diamètre , grandeur. 2,4- -H i 19 '6 étant serein, ciel visible , H- a à celui des étoiles le centre de la de comète et son éclat la onzième n'était pas assez marquant, j'étais toujours obligé d'estimer à peu-près son Immersion phragme. ïostat, et et Emersion à circonférence la Je la comparais avec l'étoile (b) dia- N° 39. de l'aé- avec une autre étoile anonyme de la huilicme grandeur_, qui je désignerai par la lettre Létoilc {f>) au nord Im. du centre du diaphragme Em, La comète au sud Im. du centre Em II. du L'étoile (/) au nord m. du centre La cnmète au sud Km Im. ' , 1 1 1 1 > 14 2,2 S 12 54 y. ( »4 ay.H S ii'n3 0,6 Il 1341,0 1 16 57,0 i5 59,0 ? 1 17 55,0 S ><-î47,JW i8a3,i. S (c). i7 3'>,4 4-o'37,"4 — 33,6 1 -\-i 56,o ho 38,4 — 35,Q 1 , 263 Différence Tems moyen de l'ascen- Les cordes sion droite en tems moyen en tems de lobser- Nr. vation moyen III. L'éto.ic (*) au nord du centre Im. La coir.ète au sud (m. 1 Om 2 11 Em IV. L'étoile (^) au nord 1 22 9'4 > rmT 11 36 57,4. ? ai 26,8 3ô5o,2 5 Im. La comète au sud 37 4^,8 C Em. 39 I7,(' S L'étoile (*) au nord Un. 1 1 45 î.o,b l 29,0 M 25,0 Em La comète au sud VI. La comète au sud > Em 5()54.? S Im 55 49,8 Em. 57 !4- Vu. Létoile anonyme (t) 12 25 4y,4 La comète an sud n. Vili L'étoile anx>nyme {c) !lm. au sud Em. Létoile (f) au nord ,Ini. La comète au sud 12 37 56 IX. Em. La comète Im. au sud Em, Le i5. Août. Lair était très difficile à 32jO — 24,4 1 - 1 a4,8 12 38 35; 4 40 47,8 -+-1 58,4 41 20,4 U 1 i 2 5o J7, 1 52 17,8 53 38.^ 55 7,4 a 5 1 37,4 54 22,8 — 3i,6 — 20,8 45,4 — 29,2 -{-2 45,0 , la douteuses, La \ 32,6 1 4- a 1 eamète n'étant pas assez serein, la lunette ; observations les l — 37,6. — i8,4 champ de rendait -0 36,4 39 '9.8 elle dans 48,4- 4-157,2 12 26 3 1,8 appeicevoir quelquefois le 1 ôS 55.6 > 4034,6 ^ 6,2 1 S Im. Im. L'étoile (t) au sud / 4' 47-0 S 42 1 56 32,0 m Em ro 36,2 47 ï»>o P -i^ 39 '4. fi 3g 48 6 + s 37 14,2 S 28 3 1,0 l 3o 8,6 V Em 1 46 34,8 ) 1 Em au sud du centre — 33,2 !-o36,6 S 46 4757,0 Il 54 57,0 L étoile (^) au nord 1 -i-i5a,8 38 3o,4 1 — a5,a -f-o'37",2 3753,8 Il Em V. +i'59",6 i''2o'49",(^ 49.4 S so44>2 ? disparaisait c'est même ce qui comparaison fut a 1 264 faite de avec une étoile anonyme l'aérostat une antre et (d) d'après le grand calaiof^Lie de (e) N!° 35 Mr. Baie. Différence Nr. Fems, moyen de l'obser- de l'ascen Le cordes sien droite en tems vation en en tems moyen moyen II. L'étoile ('i) au <;ud du rm. centre du diaphnigme Em La comète au nord Im. 54 7.8 S 53 7,0 ? du centre Km 5^ 19.8 S (m7 Ein 55 40,2 ? 5j 32,(j. > L'étoile (^) au sud La comète III. lY. au nord lit^Sct' 1 i Im Em, (),"6(J 5t3 4o,6 ? 57 4»^\h' Ç ^ La comète au nord Im. du centre Em L'étoile (f) au sud Im. 4 4>'' 5 58,6 5 i3,4 Em 7 i4»G La comète au nord L'étoile (f) au sud Im. L'étoile (f) au sud 5343,4 1 1 57 i3,6 12 10 40 6 Im 957,4 1 L'étoile (7) au sud Im. 12 14 35,0 i637,o Im. i5 55;8 Im. Em La comète au nord VU. L'étoile {d) au sud 12 23 22 Em 2-^25,8 Im. La comète au nord Im. Em. vnr L'étoile (^) au sud La comète au nord Im. 12 56 9,8 57 32 6 56 23,6 58 23.0 i3 19 J,4 Em. 20 5 1,4 Im. ly 43,4 21 l0,2 Em. 946,0 12 i5 36,0 12,8 I 12,4 + 1 6,0 -1-1 54,0 —2 — Il 1,6 l3,2 -h i 49*« -2 0,4! -t-2 2,0 9,8 22 44'^^ + o34,4 41 23,2 1649,2 12 22 ( 1 1,Q — 146,8 — 44,0 ; 1.8 S 2,^ f-o 37,: 10 57,6 12 21 17,8 l Im. Em. 1,6 ,2 — 152,4 6 14,0 Em »!• 5 -t-i i S 57,8 Em f o'36", 56 36,4 85i,4 13 Em Em V. La comète au nord 12 —a Il ''53' 7', 1 S ? 12 56 5i,2 ) l 57 25,8 +0 34,6 4- 1 54,4 S ( •3 .956,4 -^ 1 5o,o ^ ? 5 20 26,8 -1-0 3o,4|-(-i a6,8 . s 1 ^65 Le AouL Les observations d'aujourd'hui ont ëtc 17. faites principalement pour Li détermination de son ; mais que que la le sont elles lumière de la avec rétoile anonyme quelque incertitude, vu sujettes à comète r^tnit (d) extrêmement La comète lunette. vent secouait la la déclinai- fut du i5. Août, comme foiblc, et comparée il suit: 'Différence ) Tcms moyen de raioen-Les cordes sion droite en tcms de l'obter- Nr. en te m vition moven La comète au sud Im du centre du di.iphragmeEm rf)l,n L'ctoile anonyme «733^5 II. au sud En La comète au sud Im. lEm. Im. jEm. L'étoile (^0 au sud III. La comète au nord Jm. du centre lj<:m. L'ctoile ((/) au nord ;im. Em IV. La comète au sud 3 23 38,3 ^ 24 55,9 25 11,9 1 3 2Ô 5 ,9 1 1 3o i3, 3o Jo ?9,i Em. Em. Im. Em l _3h 46,: S 3947»! 39 54,7 Im. ? S "i3 38 «3,1 La comète au nord •) gb'44,7 \m. Im. L'étoile {d) au nord P^i» 7 s i. 1 Em L'étoile (</) au sud $ 1750,7- ( , 4' 3')9 1344 5,1 45 4'.,9 45 5 , i 47 27>9 1 1837,7 i3 24 17,1 j 266 Différence Tems, moyen de l'obscr- Nr | de l'ascen Lescor des [sion droite en tcras moyen en temS' | moyen VI. La comète au nord L't'toile (d) au nord Im. Em, 5o54,3 S Im. 5i 18,3 > 5a 35.5 S Em Le mauvais tems comète au-dessus de , et ic*'5o'i.3")i I 5i 56,9 la trop petite l'hoiison, | — 1'43",3 H-i'î!a",4 ' + 117,2 élévation de la ne permirent pas de conti- nuer les observations les nuits suivantes. O00eOwO000004 267 DES RI A X RI I D'UNE FONCTION DE ET R! A l N I RI A PLUSIEURS VARIABLES. PAR F. Pr<^senté SCHUBERT. T. h à J. 1. La se fait si facilement la fonction Conferer.ee proposée par une suite de différentiations, ne renferme variables. sujet (*), examiné que et faut convenir il des distinctif Euler 5 n'est pas pléé (*^*); mais qu'en passant, avec si lorsqu'il s'agit d'une fonction Eiiler, en traitant ce fonctions de deux variables, Lacroix que les Rlr. maxima qui qu'une seule variable, Le célèbre de plusieurs tère 18 Oct. 18 «5. recherche des maxiina et des vuninia , présente plus de difficultés, n'a le et (**) , des miiiima , le carac- indiqué par Le célèbre Lagmuge y a sup- suffisant. comme il ne pouvait traiter cette matière je crois qu'il ne sera pas inutile de ré- pandre plus de jour sur cet objet important, et de dévelop- (*) Instit. (•*) T-a':tî CdU. (i.i D'iffer. XL n». 28(f. sqq. Cap. Ccikul D'ffir. et (*•*) MifhenUiut analyt. p.ig, 89. lut Tome I. pag. QyS. sqq. et Tbioric ties /«nctions, png. igs. sqq. 34* per avec ^ni - de base à celte recherche. Ç. c ctc suivi pai indé^Dendantcs l'une fuit [l'est permis de les traiter séparément, on. fait lorsqu'il' s'agit c'est a Les variables x,y, se réduit à ceci. dont u est fonction^, étant tout à l'autre, qui d' Euler Le raisonnement tous les analystes j de me paiait devoir tc;- raisonnenrent qui clarlê le à dire ,. il comme de dilTérentier une fonction de x,/: est permis de cliercher: d'abord- la valeuï*' de X qui donne un maximum ou minimum;, eni regardant. y comme constante, et ensuite celle de j,, x étant" regardée comme> constante: quations, ll Ces; opérations donnant autant d'é- — Oy '/y=^Oy qu'il y a de' variables, on déduit les. valeurs, de x et de /, desquelles biner seulement celles,, par ex. il faut en- com- xz= a, jK in 5, dont chacune un> maximum oix-uw. minimum:. rend la fonction il à. la. fois î?our cet effet, iL faut qu'après la. substitution*, de xzzz a,, yz^b. les positives ou négatives différentielles en» secondes. ^" ^^ d.y~i même- tems.. Ainsi ,, deviennent u étant fon- vlion de x,y, z,. etc;. la: règle qu'il: faut suivre pour ver les maxima: ou minima. de valeurs, xnz.a,. ^-"2=2 O,. 1^ zz: O;, w,. se jmb,. %.z=lc,. etc.. etc.. rédiiit a qui: trou- trouver des. rendent ^^ im o,. et qui! dbnnenf le même signe (-+-ou.—)/ aux. coefficiens différentiels, du. second: ordie^^", ^^1-, ^J„ etc.. 259» Cette règle ne peut ctrc en 3. §. sonnement sur lequel ceux que rait elle qui , comme légitime, est fondée,- après avoir .idopté ce trouvent la règle qui en attention à- que nous tion que était pa- raisoiTnement résulte,, vicieuse, en donnant Eulcr, plus conséquent; mais verrons' d'exposer,, il ne faisait pas dans le Il, étant fondé sur la supposi- variables x, y, etc; sont ennèrement indépen- les rigtienr. il rai- une' circonstance très-essentielle. Le raisonTiement dantes l'une de qiie si le jutte ;- et es-t sont en contradiction avec cux-mèincs. Gctte rcgle> dcf.tnt, l'autre,, cas où est vrai ne sauvait donner un jaste' résultat cette' condition a lieu dans toute sa que dans une Jonction u de x,y, ces variables sont tojours censées, être indépendantes, tant qu'il ii^est pas donné une ou plusieurs équations entre x, y, etc., mais elles qu'il" existe deviennent dépendantes l'une de l'autre,- dès une pareille équation. OV c'est précisément ce qui peut avoir lieu, et ce qui cn^ effet arrive souvent, a: cause dès éq,aatiQns ^^ zzi^o; n^" ^^ Or ^t i^ ^5t clair que dans un pareil cas, le raiisontienienC sus dit sur lequel" on a; basé la- ^'yji maxima et minima], Cela mérite' d'être rendu plus pliqué. §. théorie dès 4, etc.. Si: ne peut être ap- clair. dans la fonction proposée u , sont: séparées lès variables l'une de l'autre,, les équations . ''."zzro, elc. j'nzb, / :z= b'', forme, J' donnent chijcnnc iinmcdiatement par des iin de constantes, 270 sorte que etc. données les valcuis xma, x rz n^, etc. par équations des de cette ^'zzzY s::zO, n'ayant aucune :z:iX ::::z o, liaison entre elles, on peut les combiner à volonté, sans contrarier les ^^zno, etc,; pourvu que équations combinées, par maximum ou un ex. a et niiiiinmui, 6, rendent u en bon d'observer que dans ce sera (Il différentielles 4" second degré le? y.ariables x, /, etc. 1"^ °^^ ci- des quantités ^^ , ^.^. cas, ce sont les seules étant, nulle , par ce si sont mêlées ensemble, de manière sont fonctions de plusieurs variables, alors, etc. les équations , comme de x seul, comme ^~ de /). Mais, .que ^^ est fonction .que (:+;) valcuis même teras un ce qui est indiqué, dessus, simplement; par le signe les |^n:0, ^"nzzo, etc. déterminant une certaine l'une devient fonction de l'autre, relation entre x, y, et par conséquent le raisonnement susdit n'est plus légitime. Jl est vrai qu'ayant autant d'équations ^^ mi O, elc. on peut les éliminer à une près , y a de variables , quelle sera donnée par des constantes. qu'il la- Mais on ne peut plus combiner à volonté les différentes valeurs x::=: a, xzz:a^, j rz 6, yzi^b'', etc. Chaque valeur correspondante de /, par une autre valeur ex. h, et a de x a sa valeur on ne peut substituer y zzi i^ avec x::z:a, sans détruire les •211 équations celle ?" -i O , etc.: donc la y dépend de valeur de / est fonction de x. de X, ou donc , dans toutes §.5. Il supposent les équations ^^rrro, etc. c'est à dire, dans les différentielles secondes et celles d'un ordre supérieur, lors- s'agit qu'il faut de trouver les opérations qui maxima ou minimay regarder/ comme fonction de x, je, les il faut, dis- y comme fonction et de X et de /: par conséquent, du étant •:=:(^")^x-f-('^")3/, différentielle sa rapport par à x renfermera diJ^éren- la du premier terme lequel de- tielle par rapport à x^ vient (~)Dx=, que du second terme ou tant ( — dxdy: --^ ) \ d X y il n'est donc pas permis de négliger ce second terme, dans 'la seconde différentielle de u prise par rapport k x, excepté le cas où ce terme lapport à X, c'est à dire., n'a- où ^~ n'est pas affecté par les variations de x, étant fonction de de X, de manière que les Nous voilà donc revenus règle suivante. Si les pas de différentielle par y seulement, comme — variables sont séparées dans u. au même résultat variables x, /', etc. qui donne la sont séparées dans la fonction w, de sorte que g" rz: X, |^ zi: Y, sera un maximum ou minimum, lorsque que g^, ^^ , ont le même signe. etc. it X =r o, Y z=. o, et Mais si elles ne sont 2-2 pas' séparées j bles, ne il 3u 3u ^" , ^^ , des' termes 5. 6. faut y 5- J' Tl est , ^, etc. soient uiroctés du cîjouter d'autres .conditions, à cause etc. clair. que donc employé dans toujours °-^j, pas que suffit même signe; il étant fonctions de plasicivrs varia- le raisonnement qtvon a cette recherche , et <jui est fondé sur l'indépendance des variables, n'est admissible <\\\e tant que ces variables sont réellement indépendantes ^ n'a lîeu que jusqu'à la première donner à cet objet toute dilTérentifUion. clarté la caractère des m.athé.njatiques, je ce qui — Pout «t solidité qui sont le me servirai d'un raisonne- ment qui ne suppose pas du tout -que les variables , y, etc. .soient indépendantes l'une de l'autre. r, Nommant u^ ce que <levient la fonction u, lorsqu'on y met x-k-h, y-hk, % -{- l, lor etc. au lieu de x, y, z., etc. le théorème de Tay-' donne l'équation : - u = "A + %k +|^i +m.] + + M^^A' + g^A' 4- lÏJ» SJ H + (A) «- [f Tl- d'où il suit minimum^ la il première terme , ou que , faut poi^r que l-e + cet. que u devienne un maximum ou premiier terme ile ce^e. série^ difTérçnti^llc , la cet.] le second reste toujours positiC disparaisse , seconde difTérentielle , que ou ,et ou négatif, quelque valeur qu'où donne aux quanlitée su* 273 bitiaires, h, ou que dans h, l, etc. terme s'évanouit, troisième soit le de quelque manière que dent l'une de comme 4.) , (§. l'autre, supposition le qu'on donne a x une elle cesse quoique l'autre dans le cas du tés lî, k, les faire l, X, etc. y, la de ces hors poins- xrza, yznb, maximum , de manière que , dès autre valeur , on comme on qtie j dépen- etc. dépendance nait de cette valeur de u, ^t de celles de peut changer /, %j Or, etc. — = O, etc. cette qui ont donné etc. y, , en vertu des équations du maximum ou minimum y ou de rr o aussi variables x, les ou ce second cas le etc. z, par ex. veut. est Il a -t- /i , donc évident dépendantes l'une de soient maximum ou minimum, les quanti- sont tout à indépendantes, qu'on peut fait à volonté positives ou. négatives^ ou bien, .l'une positive, l'autre négative oa égale à :^éro, etc. Par con- séquent le premier terme ne peut disparaître, à moins que tous les ooëfficiens des q^uantilés égales à zéro, ky etc. .ne deviennent /i, chacun en particulier: d'où l'on obtient les équations ' qui (I^) a. suffisent =o leur nombre étant xrzfx, X = , 3- zn, a, 3- -p etc. , , pour jdéterminer les valeurs de a^, égal à celui ^tc. y:zzb\ yzizb\ ^yiérentes valeurs ou racines données MtmoimdtiAcad, T. VU Xj y, etc., de ces variables. etc. z^nc, Soient etc. les par la solution des 35 , ^ Ô74 équations (B) , supposons que et — ^» — ^b dy= dxTz ' Bxdy — ^' dz^— ^' — ^( — ^i ' dyd^ de sabstitiTtion «fime x rr a, y zzb^ z rz c, CCS racines, par ex. ,yxï la ' donne etc. ^^^• ^'^^• llors le second terme deviendra ^A/i^-|-BA^-|-Ci= .".' 4- 2 A^/iA-4-2 A^/ii -f- 2B^A/ 4- cet. ^ faut donc que, lors des A/i* -i-Bk- -^ Ci--+- maxima ou minimal -+- lif, sans pouvoir passer d'un état à l'autre. "j. Voici raisonnement par lequel Lagrange a le à cette condition. tine quantité D'après la loi de continuité» quelconque ne peut devenir négative, aprèt qu'en passant par zéro avoir été positive , impossible que la quantité ne peut devenir nulle. il : est donc m passe d'un état à l'autre, si Or c'est ce qui a lieu, lors- que l'équation mirro n'a que des racines imaginaires. ,1 gardant elle h comme inconnue l' dans 1 équation Re- mmo donne ^-— — / /A* Aj, (t ^. Aj i •+• . h -I m m reste toujours positif ou néga- arbitraires h. A, etc. elle quantité 2 A^/i^-f- 2A.hl-i-cet. =^ të.«5 satisfait la que, quelques valeurs qu'on donne aux quanti- 30ït telle f. ) * -'^ Il + La condition . / (^ nécessaire — V 4- A, 1-4^....)» Bk»-+ri* -f.:B.H^. ^— pour l'existence des maxima ). ott . 275 minîma est donc que la quantité sous le ou que jours négative , A {Bk* -f- C/* -h (i) (AB Pour que tive , d'après le — AJ) O =2 (AB . . ) ou bien que .)-, . — AJ) + le radical > o. l' cet. soit toujours négaV même raisonnement, ou que puisse devenir nulle, n'ait (AC k' -h quantité sous la faut, il — Al) + -f. 2B,AÎ plus grand que (A^ -|- A,./ -f- soit radical reste tour qu'elle ne l'équation C — Al)l' 4- cet. H-2(AB,-~A^AJ^ZH-ceL A* -h (A que des racines imaginaires. Faisant, pour abréger, AB — A^ml, AC — A' = K, A B, — A^ A, =: L,cette équation ft il H j —— — y { (IK — L^) de soit positif; et ainsi etc. zro, on aura sonnement , suit en (s) I même être positifs , àxx — jï j ; , comme ci - dessus ^ que faut donc, (o) donne l' + suite. cet. Supposant donc d'abord î, (i)AB — A^>o, et par le même rai- K— L^ >o , tems que les produits ou les quantités de suite ; et ainsi AB, IK. A et B^ I et , K, même signe. 35 d'où il doivent afFectéeff 2^6 Voilà donc miaima, quand toutes IK positif, li AB>Aj, 3) nmxima ou cks- fonction u ne renferme que la Elles se réduisent bles. Gonditidons les ces quatre: tiois^ varia- AB positif, 2) i) 1K>L^ Comme la tioi- 4) AB — A^.zi:l soit positif, Li seconde se réduit à ce que K ou AC — A^, et par conséquent aussi sième exige que ÀC soit positif. Nous avons donc ces conditions:' 1) AB et A C positifs, ou A, B^ C, affectés du même signe 2) AB> a;, 3) y. AC> a;, - Al) (AG - a;) > (AB, - A, AJ4) (AB Sans insister sur ce qu'une quantité 8' §. au négatif, aussi bien par ser de l'état positif par le zéro, dans le théorème de Tayîor, pour le de quatre cas par Lagrangc , toutes ait les qui tités et qui , aux la recourir condition le racines nécessaire savoir que positif que dans positives , ou négatif, une méthode indiquée de l'état lieu variables que usage bornerai à développer me parait plus simple maxima ou minimal avoir me fréquent maxima ou minima, que passer de je et d'un conditions des besoin évident très - connue vérité peut pasl'infini donne sans qu'on imaginaires. Il est pour l'existence des la quantité m ne puisse au négatif, ou vice versa, ne peut le cas où m est la somme de quan- multipliée par un facteur commun positif premier donnant les minima, le second les. C-*7 maxima. renfciment ces quiintités ce cette forme teur commun restent dans ne soient })i : quantités qui composent w, etc. est impossible que k, li, tous les quarrés des -zn n (p^ -)- 9^ + qui distingue les que tous clair du signe affectés les arbitraires les q^ue U est comme Mais 7 -f- : r^ il à moins donc que faut -h cet.) , m ait n étant le fac- maxima d'avec les minima. l'es quarrés p^, 9% etc. doivent être car si l'on à r^ le sieurs quarrés, par ex. — r* : il cas positives, donnait à un ou à plu- signe — la , différence des ^ pourrait devenir positive ou négative, d'après les différentes valeurs de h, ky l, etc. quarrés p^H-q^ 9. 5. Soit XL :ir. une fonction des quatre variables v,Xyy,7y auxquelles ayant donné les valeurs vzz.a, x=zb,y:izc, % les coefficiens — rf^ différentiels 39u. ddin 3-o2f» d^* ddu ddu ddu ddu ddu ddu ddu ddu d3^* dzT' dvdx' dvdy' dvdz' dxdy* dxdz' dydz* reçoivent les valeurs « A, B, C, D^A^,, A,, A^/, B^., B^, C^, + xrz6 4-6'', j)^=zc+g'', de sorte qu'en substituant 2;:zza z zz: d ~\~ df, la que nous avons désignée par la lettre dont le signe (-f-oii— ) sert à reconnaitre les m_, maxima et et les quantité minima, devient + A^a'd' 4- B^c' 2 Or il est 2 aisé a^, de voir -f- q^u'on 2 B^ih'd' + C.c'cr. 2 peut lui donner cette forme: 27« m — Ar(a' -h ab' -h Pc' -h ydy -f- v(b' -h 5c^ 4- téff *ïni même forme relativement autant de termes et de la a aux quantités of,h\c\à\ que l'équation (A). Le développement des quarrés donne (B)^ — l'équation a'^ 4- (a^ H- >i') '/' + (P' 4- X»5' -f- |a«)c'« a^b" 4- 2 p a'c' 42 (a y 4- X* e) b'^d' 4- 2 y a^d^ 4- 2 (ap -I- X^ 5} b'c' 4- (y^ 4- X* Ê^ 4- fjL^ -y,^ 4- 2 a -f- v^î) d'^ . . . 4- 2 (p y 4- X'^ 5e H- fjL' v))c^ d'. Observant maintenant que les quantités a\h\c\à\ sont la comparaison des indépendantes l'une de l'autre (§ équations déterminer ficiens (A) et (B) a.^^^ AB — A^ AB, Ayant etc. =iF, à seivira fait, 6.), les neuf coef- pour abréger, AC— a; —g, ad-^aj =h:,x — A^A.rrl, AB,^ - A^ A^rz K, AC^— A, A^-L, oa trouvera 1) les équations suivantes : a^^-, 2)p=::\% 3)y=:',^ 4) V=j-a— J, 5) \'Z — \ — ap donc HZ ^ , e rr ^ 7) , ^= ou 5 —\ , 6) X^£ ::= ^^' — «y, - ^ _ p^ - V5^ = ^-°Fp-, — py — X'Ô£, ou =: ra-îs" 3) ^*<vi 9) .'=^-v--X^--|-^V=:,:r(t^"-K^^^:^^^')- >! Û îaat donc que les quantiliés 4v). 7), 9*) «saiont .positives ^ 979 Cf^mme te qtiané A' est nécessairement et positif, la pre» mière donne F > o; ce qui étant substitué, l'équation 7) donne G > o, et F G — I* > o. Cela posé, positif et d'où il résulte de l'équation 9), il plus grand que que F H quantité positive la — K' est ^'qzziz 9 suit H>o, FH-K»>o,et(FG-P)(FH-K^)-(FL-IK)«>o. Les conditions F>o, G>o, H>o, nous apprennent même tems que A, B, C, D, même signe. en 5. 10. Il FH — K* > o , conditions du H > o et est vrai sont des suites immédiates de la dernière et des précédentes; et minima , les plus simples, il que doivent être affectés vaut et mais, les dans la recherche des maxima mieux commencer par les conditions passer à celles qui sont plus com- pliquées, parceque, dès qu'on voit que les valeurs vzzia, a in 6, ons, ne satisfont pas etc. il serait inutile de continuer le cjIcuI. Nous avons donc trouvé vienne un à une seule de ces conditi- qu*afin maximum ou minimum, quantités suivantes soient positives: que la fonction u de» il faut que toutes le* £^8o - h=ad— a^, fg— i% (FH — K^) — (FL — T==AB— a;, g=:ac— a;, — Fil -^ K% et (FG Mais il tions k remplir, est permutation I-') 111)^. de voir qu'il y a encore aisé lesquelles se quantités des d'iuvtres condi- manifesteront par la simple a\ h\ c\ d\ parcequ'on peut placer les variables v,x,y,z, dans tel ordre qu'on voudra, et qu'on (§. 9.). facilitée Ûciens équations ,(A) et (B) par rap- les B ou C ou D, au lieu de A port à fait peut ordonner Dans cette permutation , comme nous avons qui est singulièrement par la manière dont nous avons désigné les coefdifférentiels A, A^, d'après les principes etc. du calcul il faut se rappellej que, différentiel, on a B,zi:A^., C,::r:A„ D,=:.A„ C,-_i.B,, D,=:B„D,=i.C,. Cela posé^ on trouvera a'',^^ c'^, d^, la permutation des quantités change F, G, H, que nous appellerons quan- du premier tités que ordre , en BC — B^ — ¥', BD — BJ =: G\ CD — C^ nz §.11. Les quantités du s,econd ordre, II''. FG — l^ctFH — K*; étant dév^eloppées donnent FG-P=:A(ABC-f-2A^A,B,-AB;-BA;-CA;)=:A.N, et FH-K= = A(ABD-f-2AjA^;B^-AB;^lBA^-^DA^)z=:^A.P, de la' tuant dernière desquelles C au lieu de B, on forme de suite, en substi- 6 c8i GII-L^ Ces = A(ACD-f-2A,A,/C,/-AQ-CA5-DA;)=:A.a quantités trois AN, AP, AQ., ont été trouvées dans A soit le facteur commun de in(§. y.); et il est permis de choisir pour ce facteur, B ou C ou D, au la supposition que Mais on verra qu'en substituant dans ces lieu de A. B au quantités lieu de A, et trois A au lieu de B, N et P ne chan^^ent point, tandis que Q. se transforme en BCD + 2B,B,C^ — BC; — CB] — DB; — R , FG — P devient B.Nrz:-(FG — P)» que Fiï-K^ devient B.Pr= J(FH~K^), et que G fi — L' devient B.Il. Permutant ensuite A et C, NctQ.ne chanmais P devient gent pas R donc FG — P devient C..V — ^(FG-P), FIÏ--K.^ devient C.R et GH-L^ devient C.Q..z:;^(GH — L^). La permutation de A avec D ne fait aucun changement à P ni à Q, mais elle change N en R, de sorte que FG — P se transforme en D.R, FH — K^en D P =1 5 (FH — K^). et GJI — L^ en D a — ° (GH — L^. que ]MY conséquent et irz: , ; . . CcJà nous donne ces équations de condition : (a)AN>p, AP>o. Aa>o, BX>o, BP>o, BR>o, CN>o, CR>o, CQ>o, DR>o, DP>o, Da>o; lesquelles se réduisent a ces quatre, AN>0, AP>a, AQ.>o, APx>o, parcequc x\, B^ C, D, doivent cire affectés du même signe (§. 9.). iUmoirei dtrAcatU T. VI. 3 f. Quant 12. — Kf > o, peut être mise sous cette forme {h) F + permutation des trois lettres résulte les trois équations: être positives (5) il Mais (J. dans S( > o, îl étant quantité la ne ellrs SI , en il F.S(>o, G.Si>0, H.Sl>o, Sl>0, parccque du premier oidre, F, G, H, doivent, On a donc 10.). FG H + 2 IKL -^ FL* — G K^ — HP > o, faudrait encore substituer B, il . B, C, D, entre lesquelles ne donnent qu'une seule, savoir toutes les quantités 9.) 1 K L — Fl.= — G K= — II i^ c 1 produisant aucun changement où (§. (F L rr FG II T.a r équation du troisirme ordre — P) (F H — K^) — (FG elle il est aisé de voir que cun changement par cette la C, D, au quantité permutation. veloppement donne S(=z:A*^.9K, ÎHHI lieu de Ai n'éprouve au- SI En effet, son dé- étant c:= — ABCD — AB CJ — AC. b; — AD b; — BC A^ ~BD. — CD.A^ . . . a;. H-2A.B^B,Q^2B.A,A^C,;+2C.A/,A„B,;H-2D.A^A^B^ 2A,A,B,C,-2A,A,B,B, - 2AABA- -^A^c^^-A;.B^-f-A^B^ Cette expression de rapport SJÎ étant tout à fait symmétrique par aux quantités a, leste toujours la h', c, d, il est évident qu'elle même, de quelle manière qu'on transpose 283 ers quatre quantités. Ces ces q[idtre équations , A^ £0? > o, B^ SOÎ > o , D^£0{ > o. rement transpositions Or, les qiiarrés positifs^ il fournissent C=^ 20? donc > o, A^ B% C^, D-, étant nécessai- en résulte une seule équation : S[)î > o» S( > o. ou §. 1 Rassemblant ces 3. maxima ou m'uiima d'une les résultats, on obtiendra, pour fonction de quatie variables, toutes les équations de condition, qu'il sera ou moins grande simplicité. ser d'après leur plus Une proposée, fonction u de quatre variables v, seules valeurs de v, les rendie u un bon de clas- maximum ou minimum, x , y, dc, ?. , y, %, étant qui puissent sont données par les quatre équations ^f^" -,3" du Qu^, paimi les ^9" ^ valeurs ainsi trouvées, on choisisse quatre correspondantes , V zzi a , a: rr 6 , y z= c , et qu'apjès les avoir SLibstituées renticlles •cette de u, on désigne substitution, de la ddu _ ce z :=z d , dans les secondes diffé- qu'elles de\iennent par manière suivante : 284 Alors, les conditions anxqirelles il u devienne un maximum ou muûmum, que d'abord les soient afTcclés quatre cocfficiens du même que faut satisfaire, afin se lédiiisent signe (-{- ou — )_, à ce A,B, C, D, dilTéicnticls, et qu'ensuite, pour abicger, ayant fait, ab—a; — F, AC — a;-g, ad — aJ — h, BC — B; =: F", B D — =: G', C D — Q ~ H", B^} — A^A^-=:Ï, AB.;-AiA,;=^K, AQ^-A^A^^-L, BQ — B,B^— M, FG — I^— N, Fil — K^r=P, G — L^ = a, F'G^ — M^ - R, AB, II FGH-4-2IKL — FL= — GK^ — IIl^ — F (G — L^) (K L — HI) H- K (IL — GK) — % N, P, a, R, % G^ quantités F, G, toutes II -f I II, les soient positives. ces toutes F^, II', Si les valeurs de v^ x, /, z, satisfont à conditions , la fonction lorsque A, B, C, D, sont positives, elles i* sera un minimum, un maximum, quand sont négatives. On vu que toute la question dépend en- tièrement des quantités X% /m.*, v% (§. 9.) qui doivent être 5. 14. positives : a on peut donc regarder le problème solu par trois équations cines X, Si jui, y; comme ré- du second degré, qui ont ce qui condtîit une seule de ces racines les ra- à la métliode de Lagrange.. est imaginaire ^ ce qui donne «as on à Ifmrs qnarrés X*, ji.oblèine impossible, est ou v% une valenr négative, fj.% et 1j m miiiima, dans l'hypotlièsc de v pas maximci fonction n'a a , x z^ b, etc. .-zz le Mais on voit en nicme tcms qcie les quantités X% [j:% y', petivent niilks , être impossibles. wavimn ou mïnima deviennent sans que les On dans un pareil cas auiait a. f3 9.) (J. m — ^ [{a^ -f- h^ 4- c' -^ y cK)-j — A w ^z A [n~ ~\- p^) etc. . n% ou , m resterait toujours positif ou négatif, selon le signe donc Les de A. conditions sent donc à ce qu'aucune ne soit des quantités cependant observer que, quantités X^ /x^ v^, disparaissent, valeurs qu'il (A) et (B) de conséquent (§• 5)t3 m (J. 9.) 9-) etc. (J. l3.),. conditions'. X^ =o rfo^iTcra , h\ dans le cas ou les comparaison des deux donne plus d'équations (3, etc. ce qui amènera de Supposant par e.x. n'y a d'indéterminées, Douvelles A F_, rédui- se négative» faut II mavima ou minima f\cs la a, F rr o et j)ar comparaison des deux valems de ces équations : = ^, 6)y=z"'^, 7)ap-^^ 8)ay .:_4t9)f3 V + F-=.,-^.. Ayant déterminé des équations les six quantités a, j3^ y, jjl% ^1^ v^ à l'aide 4) 5) 6) 2) 9) 3), savoir 2!^6 ^ « il — -A'P — A' V— A' ^ — G *6 *e /j '*< -, L ,.j encore satisf.ure aux équations faut donne mière m avec F _d __ ^Aj^ ^^ ^^^ t" nz T^ deux Les o. AB ^r A/, ou ^ rrr -^ _ b -g^ __ h OH— L» A-^G-' 7) 8). La pre- ce qui est identique i) donnent autres ^^ ^^ 2 ^=U' ^ == A=' ^ ^^ ^.^^ -^^ .^ m */ et ^^.^ d'dboid et puis, substituant A,, =:i/AB, , B.=zA,Y^ B,-A,/^ et ce qui donne = o, K = A,^(/ AB - A/,) =0. et K s'évanouisIl faut donc que, lorsque F est nul, IrnA, (i/AB-A^) et I même tems: alors les formules du §. 9. deviennent sent en a=^Vl 2 V- ^^ (3 _ O = V=:'/, V ';, A* O _ G ç, *-' ^ A2 ^^ ' "^ = 0, 5^g, ^ s FI- 1. iO G» g, G/ A- G' A2 équations absolument conformées à celles que nous avons A *^ trouvées ici, pas trent conditions FV"^ vu que dans I FG ce les quantités indéterminées calcul. zn o et K m A^tA'*^ / Si on ne J. 9; Lorsqu'un des coefficiens différentiels A, B, C, D, i5. par ex. A, viendront n'en- pas aux o, les quantités 5, e, fx.^, y% devien- draient infinies dans les formules du §. J, e, satisfiu'sait s'évanouit, né^^alives , Dans le premier cas, à toutes les quantités F, G, etc. moins qu'elles ne soient de- nulles. la fonction n'est pas susceptible de pmxima ni de minima^; aux troisièmes dtins le second , faut recourir il dilTcrenticlles. Comme il ;iriive trcs-riirement qu'un problème analy» présente des tique fonctions de quatre inutile d'appliquer cette variables, il serait méthode à des fonctions d'un plus grand nombre de variables. Lorsque variables , la i', fonction proposée u ne renferme que trois x, y, toutes les quantités qui se rapportent à z ou d, disparaissent dans les formules précédentes a donc (§. : o r:: D rr .A^rz B^ rr C^, d'où il suit que les quan- H, G', H', K, L, M, P, Q, R^ S(, disparaissent tout tités on i3.) a. Les conditions des maxima et minima se réduisent fait. donc à celles-ci: les différentielles du même signe, affectées et les A, B, C, doivent être quantités F, G, F'', N", positives. Si la fonction u ne renferme que deux variables v^ x, quantités précédentes disparaissent, excepté F; toutes les on donc que ces deux conditions a remplir: n'a les coëf- ^^2>Yx'y <^oivent être affectés du même signe, et leur produit doit cire plus grand que le quarré différentiels ficicns de s ;r- ' Il petit ne sera pas inutile nombre d'exemples. d'appliquer ces règles k uçi 288 i6. La §. u on fonction proposée étant — + x' H- 6 Vf -\-2xz-\- 3y^ -h 2 v^ 2.- -f- 4 z ; cos quatre équations a (a) ll-3v--^6y=:o, H- 3x- -^ 2z=: o, lesquelles donnent ,- rz: Aj 1— O, :r dyâi ti —W s ,- — ij)^ in O, :, -,- zr rîj 2 , ''-» étant les valeurs substituées au lieu de v et x, en et b vertu des équations U s'en suit (n). F=z36ab, G — 36 (a— 1), Ilrir 24 a, F' rz: 366, i£fl, L zir o, G'— 4(6 6— 1), Wz=z24; Izzo, M.— o; N = 36 x36.fi 6 (a— 1)^ P = 1440^(66 — 1), K— •Q.— 6x 144.0 (a — 1), R— 1446 (66 — 1); §lz=GP — 36x 144. a^ (a— 1) (6 6— 1). de G et G^ suffisent peut supposer que des valeurs positives pour Les valeurs qu'on ne î; et X , l'unitô et : que alors ^ z; il et 6 x est doivent clair que déterminent les maxinia ou minima Les équations (fi) pour nou,9 rtie plus toutes le s (J. apprendre grands que quantités qui i3.} sont positives. donnvHt ces résultais: , c89 — du ^ dv dont — 6v ^u ^" zn 3v' ây et r rr -*- 2, première ne peut donner maxima ni minimaf com- la me nous venons y—. donc v =: o z=z o, — zn — — V =/" de c. On voir. a v zzz -^ 2 , donc et y a de plus Il — X — 4 z= O, ^" r:i 6 X^ 2 ce qui donne faut prendre dont il eue positif. la positive , racine parceque x doit Nous avons donc Zzn x:zi:-f-l, et — |x*=: — |. Les valeurs i; — -h 2 X , donnent donc pour étant = H- la 1 , j =: — 2 ^ z = — I , un minimum, A^B^CjDj fonction m Le yninimum de u positifs. =:— 7i. u' est donc X-zzi^h, y "=- — ^-\-\, En eiïèt, zz=i — \-^-l, on trouve, en négligeant les troisièmes puis,- faisant 'sances de g, h, i; k, rz 2 -f- §> l uc=î/-4-6g*4- 3h^ -^6gk-^lhl-\~ 3^^-4-2/* — u'-i-6{g-\-}_ky-Jr-2{h-^\lY-\-lk*-h\l'' — u'-^m, où m, ëtant sitif , et donne à la somme de quatre qiiarrés, est toujours po* par conséquent g, h, k, Mtmoirts dcrAcàd. u> uf , quelques valeurs qu'on L T. VL ^ "3 . 290 Ton Si une des antres racines, choisi eut f iz: o^ à laquelle répond y z=. o, et ensuite, faisant vzzig, xz=z\-\-h, y=:zk, - par ex. on eût trouvé u^'zi:-- 3^^ z:z u' -h 2 h' -\~ (h -4- /)' H- 3 k^- -f- l' x;::! — '4-/.. -^ôgLzn u' -4- m, m peut devenir positif ou négatif, à cause du dernier où Prenant par ex. g=:2/i, A terme 6gk. m z:z — g h^ on aura §. donc n'y a il =iC zz. o et ^^^, j^ m Crzo, tité négative fonction §. u ce : n'est G et qui pas zz: — h, A^. + y -^r/itJ.jz. ; =r ^i <* i par conséquent, quelques *A'aleurs qu'on donne à v, x, /, z, A' zz: a^, Izzz donc ni maximum ni minimum. Soit u z=. f'H-x'^^^a.zrj^-^^jS.îJZ. 17. ^^—" : m — 2 A, il est toujours AC — A* rz — a^, une quan- suffit pour nous apprendre que la susceptible de maxima ou minima. 18. Soit proposée la fonction transcendante u :zr sin (i^ 4- X H- j 4- z) 4- a cos (f 4- X -t-/) -h p log i» — Y X* — 5 y . Faisant, pour abréger, v-\- x-{-y-^ zzzzp , sin/jmCj), cos^rzvp, 1^ zn cosp t" m cos n rz o : — 5:r:o, — = cosp — asin g o, on a ^"rrcosp — asinq — 2'yx nr o, ^" v-^x-^-yzrzq, ctsin(/-|~| zr. donc cosjozzo, sin^zzio, xzzo, et rzz:^ , ouCPzzrt: 1* ^^=^±1- Les secondes différentielles donnent, en faisant cP-t-avjyzi:^, , H^ m CD — . C!j =: aC^vj^; ce qui suffit pour faire voir qu'il faut prendre des valeurs positives pour Cf) et \|/, savoir Cj) r: vp — -+- 1 En effet, positif, d'où doivent être G nous apprend que ^ doit être l'est aussi, parceque C et D suit que de valeur la il affectés du même signe également être positif, à leurs cause de ( — H'' z:r a donnent , en faisant :zz 4/ zzz -f- 1 donc ) ; v|/. Les va- + a zz l doit v{/ e, et ^:r>,, A3=-(Ê-f->i), B=-(£+oy), C--e, D=:-i, A^-A -B,--e, ^d^^d~f^d — — ^> F = é(^-*-2y)-+-2v]y, G — F^ == 2 y e^ G^ = a H- 2 y, H^ M =: 2 y N =z 2 y ; R iz: 2ay (2y -f- f) Ainsi , toutes les U=za~^-y), -V), L :zz >j, P rz: (a -f- 2 y)>)= 2aye, Q. a (e -f- >]) , e>)(e H- -vi), (ae-f- 2 (l -+- 2a)y)'V] -f- e>i, K zz z:z a^ 1 1=; e v), ; 51 + ~ 2 ay7](£ — "vj -f- >j)*. quantités F, G, etc. étant positives, et A, B, C, D, négatives, s'en il suit que les valeurs supérieures i; zz j , xzz:o, sinpzz + i, cos </ zz: -f- i rendront u un maximum. Ces valeurs donnent 7 la lettre = 1+/» P — f-^r-^^-' r désignant l'angle droit, /9zz4«rH-2;, n et n'' étant des sin /» =: sin z rz; nombres cîo"c A nw - ^ _ /zz4?ir d'où l'on 1 , entiers et 2; tire zz (4;i^ -|~ i)r ; quelconques. 37* Nous «93 avons tk>nc les valeuri V — l, X=:0. y — 4nr~l, = qui dQnneot le maximuyn de la fonction effet, savoii u, i,-f-aH-|3/logf3— ,log5— l). u^çiz Çtî (4/1^-4- i)r, 7. . supposant ^ (; et — l+g, x=ih, y—4nr~l-\'h, z — {4n-\~i)r-^l, négligeant seconde , les puissances de g, /i. A, î, snpériemes à la on trouve u riz: sin [(4 «-4-4 1/~^ 1 ) y-h^'+- h-+ k-+l]-^-a cos (4 n r -^ g^- /i -h A) ^-|3(loê((3-4-5g) — log5- i)^Sg-yh' zr cos (g -I- /i -}- A -f- /) -(- acos (g -t- /i H- A) ^P(lo^P-f logfi-l-Jg) — log^-i) — 5g-Y/l' ^a^_(l±^±lP__«_(g4_,,^A)^_^/,a ou bien, faisant pour abréger, ^H-/n-A-4-/r3a, g-t-/i-^Ar=:6, uzzu''— ïa^ d'où il suit g, hy A, /, donc, que que i/>u, quelques valeurs qu'on donne à pourvu qu'elles soient a''est — "6* — v/i« — ^^"; très-petites. On voit un maximum, mais qu'elle ne l'est plus, si cos (i; -)- X -h j) zz — 1 , ou ce qui revient au même , si a est négatif. Faisant par ex. cos (r.-f:- x -4- /) rz yzzz 2, 5 zz: 6, la fonction u devient — 1 , et a zz: 1 , ^ ziz 4, 293 ~ i-f- 4 log — 4 = -- 4(1 4- log — '— — n* — zon Pfcnanl rr /m: — — — — rr zz donc u^ zz j et u 2 /i^ n' -f- 3 g, A -:r: g ^, ^, /i tloh.ç f I i/ f/ fy" -}- ^- (8 2 ,?, ^; I), ? ^-. a n 11^ -f- g- g, b r:: 4 g. : 1/ n'est pas un umxiimnn. §. Prenons pour dernier exemple 19. u - X' M- J' -f- fonction la W + 3/^ 4_ 5xj- — X — ^1/, ^' même dans les fonctions de deux règle indiquée par Ruhr ne suffit pas pour qui nous fera voir que, variables , la décider des maxinia et minima. |;;zz3x« Elle fournit les équations + f XH-5/-i = o; |;-3rH-6/-f-5x-i|-o. La première donne y- zz 3 x^ -I- fg^ X — 1 d'où , il suit 5 9X^ r— + ^^x'-H^i^|x=-^x-hi ~- > 25 ce qui étant substitué dans la seconde, donne (J'oîi il suit deux fois xzzo, yiz:-{-î, Ozzo7x^^_-/x-f(71^? d'où l'on et ensuite — 90), ou ozzx--i-^^^x — 1';^; tire ^ -_ — 'aî±>^('' r-t-?'03i log ) ' "~" — î^±i'6 108 ^2Î ^_ o "• 103 ^ , 294 Nous avons donc donne /m — maxima les suivans ^ {^^ seconde J^, la et minima — yz^ — f^^. fonction u, x rz: et ^^J. de la La première • y a donc, pour Il les trois cas : r = + |; 2)r = + /^, y^-^ll; j)xirzo, •^J = H- ar — — / lOS * • 90 Les secondes dilTérentielIcs donnent Il vient donc, pour le premier cas, où Ar=^f, B — '/, ce qui prouve que, mum. l'on voit A =: -I- que 9. §. Le second même premier cas, le cas, xzz.h, faisant et F la a un minimum 011 x z= -4- -^^^ p — quoique A ^ 17 , fonction n'est ni une valeur * ^" trouve o t; — soient , donne 1 5 ^?i afTeclés : du maximum ni minimum, nég.itive. valeur de u dans cette hypothèse, y :zz.^ 90 "^" ^ B les F zm o. y ziz — ^ 17 -307 et que dans et ^ s'évanouit, parceque g -— '-Q7 signe , i/ est A^ r on voit que , parceque u est un mini- on trouvera formules du d' où dans Nommant u^ cette valeur de u, y zzz^ ~\-K , d'où x rr: o, / =r -f- | FzziAB — A;=:25 — 25:=o; Nommant et faisant 1/ la x zn -^^^ ~\~ K 295 ce qui peut être plus ou moins diilorentcs Dans viileurs de h et 1/ donc , u'^ on trouve , , est : -t- ^ /i^ H- 3 ^^ -f 5 /a évidemment un maxfmujn. »'0t> le:, donc a un maximum. comme ci - dessus , ~ — ^/i^ — f^A^ î/ selon où xir: — 1^|, yz=z—^^^,on a A zr— y, Bnz — -^^ F zz:-4^ 2 J 5 ||i En elTèt i/, k. troisième cas, le grand que OCVOwOCOOOO^ 296 DETERMINATIO LATITUDIXIS GEOGRAPIIICAE OBSERVATORII CASANENSIS, A U C T O R E L l T T R O TV. Convcntui exhibait die 8 Nov. Observationes seqiientes quem vocant multiplicatorio Instrument uni hoc a cel. me a institutae diametro Baumann i8i5. circulo. siint sedccim digitorum. ad Stuttgaidiensi iin- giiem usque elaboratnm, columna verlicali fixa instructum est et iino tantiim tubo anteiiori gaudet. Ciim aiitem novuni nostrum observatorium nondiim ex omni parte finilum dis esset , observationes pluribiis incommo- laborabant, quae fere omnes a loci, tandus estj importunitate nascuntiir. ut observationes una fere cuin Sic e. nisi mutando circuli niajori nnis est , foie spero. factiim solis incommotlo observationurn ab his similibiisque poli alLitiidincm ope me nie- Fustellae numéro mihi exploraie difficultalibns est, incipc- locnm, nulle modo potni. turo autem anno, quo oandem polaris g. ciilminatione rent , obstante fenestrarum jugamcnio, cui deri, adop- ciii circuliis ani- liberalum , 297 T. Piinsqnam observationes méthodes licrat mihi "TT distantia in qiiae aliqiuis , easdem cdlciiLindi bieviter Sit ipsas médium proferam, mihi novae videnlur, altin^^ere. observjtae stellae polo a boreali ae- qnatoiis; % ejiisdcm" distanlia a polo horizontis, qiiae pro momcnto ciilminationis abcat qnacoiis, s in angulus horarius et Z; sitque \|/ x mz— Z. altiuido ae- His positis habetur, ut cuivis satis superque constat cos (Z -j- x) quae aequatio ma li et m cosTT vaiiis cos\|^ -f- sïn 7T sin vj^i cos J, modis in séries convergentes transfor- potest. Sit brevitatis causa = -;^^^„, P ômsin-^, ita quod pro qfnzcotgZ , a=i(/sini'^ Ponamus primo , valorem esse , pzz— J^ quantitatis x satis x sin \f\ ut liceat quantitati sin x substituere série non ita exignum id magna observationum prope meri- diani planum institutarum fere nunquam non licebit. Hoc ergo casu invenies ope aequationis praecedentis — -'- p*a'ô«+ -^-^ p^ q» ^'°4- etc. X :=i p^^ - p^ao*-+- 1.2 p^a^e*'^1.2.3 ï-ï-i^ - cujus sériel lex pcrspicua Quodsi autem loco est. ipsius x potestatem quamcunque ejusdem quantitatis desideres, habebis Mémoires de l'Acad. T. H. ^^ 29B nÇn 1- ubi , si ponatiir Eundem valorem + ;) , piodibit 4^" .2 1 n =z . i pi -)- 3 Q3 g» Çb -t- 3) •" ^^^^ 1 j x quaniitatis séries etiarn ope primo inventa. fractionis con- tinuae exprimere licet hoc modo: X zzz vel eliam , si logarithmi placent i logxrzlog(Pl?^)-PQ^^-^^(Pa)^â^-^J(Pa)'^''-^~J7](Pa)^0«-etc. quarum omnium serieriim. lex progressionis nuUa explicamultas similes Alias, autem. tione indiget. gotio inde deducere licet,. qiiibus hic, eo magis , SLipersedendnm esse existimavi , nullo feie ne- brevitati consulens, cum non nisi SLipponcndo sinac :=: xsin i'''' valeant et seqiientes aequationeSj hoc incommodo, si rêvera praecedentibus anteferendae incommodum est, liberatae sint^ Ponatar azzzpsin'^ et b izi a irtùmero quocunque; (tang ^y Accepto — q et habebis pro n = in cl' hac -^ n a^ -^ série '{a - q) » zz: l, -i- erit "^-^ a''-' (a^ qf D9P tangf Otiodsi — pO'- — p^ q$*-^(i-^l^ q^) p^ $* eodem modo ponatur nr^3, casusqne hi 5, 7 etc. singuli evolvantur substituanturque in aequatione notissima T — ^^ngT— ft^ng'-J + itang^l — jtang' J-H etc. habebitui" ^:=:pù' -+- (f quae — p'qô*-\-(^^ -f- 1 2(jf^ + 47*) 1 -f- ;;^i)'° ùq')p^^-^(3 — ( i + 5q^)p*qô« o -+- -^-9^+429*) p V+ etc. a cel. Mollweide data. est séries Eodem modo valor quanûtatrs sin — ope expressionis praecedentis pro (tg t)'' derivari poterit, cum sit Pro cos * habebitur pari ratione c5s 2 — — DO - 4- -^ te*i.2.;-^.Os î 1 tz^ a ' "-^-^ tg«- -4- etc. 1.2.3.23 O2 ' Porro simili calculo invenitur 1— tg^- ^=1— 2tg^-4-2tg^-— Ctg<'--|-2tg®- — etc. COSXZIZ iH-tg^-fX sinx = 2 tg — ^= tg - tg'^ 2 ' 2 -H 2 tgï| - 2 tg7^ H- etc. X tangxr:—^-î-:iz: tg f -^ tg' -^ + tg^ | ^ tg^ f ^- etc. 38* 3oo quibus evokitionibus, utpotc hic imiiioiandi non facilliinis^ est locLis. Si autem , ut lognrithmos supra , adhibere placet, habebis ( 4 '^,-3 i ] l ) 5 2.3 3.^-4 " 5 ubi lex progressionis patet. Vel dcnique , fiactiones continuas adhibendo , 1 Quarum omnium serierum quovis in casu , rere potest , riel ùm censeo. , -i-etc. termini duo vel très primi qui leveia in Astronomia practica occur- SLifliciunt. Demonstrationes autem liarum sé- longiores qiiam difficiliores , Coronidis loco adjiciam hic noi;ligendas esse demonstrationes aliarum , 301 formulaium satis concinnarum quas antc annum et quod , exciurit alla via invcnlas publici juiis feci. Ex acquationc cosz = costt cosv|/ cili + sinTr sin\l/ coss tiansfoiinatione dcrivabitiir séries sequens log cos Y znlog cos ^- cos^H-/3cos ^— ^p2j,Qs gj-t-î/^^cosajubi tempore stellae a zénith cum sit minationis, qiio casLi séries praecedenS:, hanc ciil- zr o, in + P^ — iP*-^ ^tc. .y abit : log cos ^ c^ log cos ^ cos ^ -(- /9 qiiavum proinde dilTcrentia — i P" 1 erit log cos ^ =n log cDs ^ ^- 2 {p sin* -^ — ïp'^ sin^ ^H- 1 p' sin Pio observatione seciinda / vel z"^', /^ etc. ultimam, id — etc. pm tangjtang^. Jam denotct ^ distantiam z'', fa- si s sit qaod' fere hnnc in tertia etc. erit Facile autem apparet scmper, et _, parvus et p fractio angcilus usuni kxt' , ^— etc.) % et s vel aeqiiationem satis exigtia_, praecipue pro Stella polari, quae £^op^v]v adhiberi solet, locura habet, in sequentem abituram ; log cos ^- zz log cos Y -f- 2 sin=^4 (p — 2p' -i-Sp^ — 4p* Est autem p - 2p= -4- 3p' -etc.:zr -^-^ - sinTT -;^^ sinv|/ 4 cos"^ -f- etc.). r ~ . 302 iindc scquitur fore sin7rsin\|> ^ , h 2 sin* — lo2 cos -- zz. \q>sl cos -r A summa omnium numeromm ex tabula notissima Sit Dclamhcnana (Connaiss. des tems l'an XII.), per Cum numeri hujus numerum n obseivationum singularum. tabulae contineant valores quantitalis divisa /2 sin- y\ ] erit , pro V sin i^'' / omnibus observationibus simul sumtis, adhibendo logarithmios communes , log Fcos- cos- cos*- , . . sin TT sin \1/ .1 KA/xsmi logcos-^— n Jani sit positis facili negotio diiTerentialia quod saepissime sita z'''^ -f- . . . et z'^ =: -^ Z, quibus . demonstratur fore cos—2 cos— cos—2 2 siquidem --^^^ 4cos'^— + Z =r z -4- z"^ .- licebit. . . . Va' :zz Ccos— ordinum negligantur , altiorum Ilinc ergo aequatio nostra quae- crit : 1 logcos| id _ — logcos^ 4- A sin TT sin v|/ p. sin i''. _ 4 cos^ Eadcm denique mcLliodo invenies . 3o3 . ,o log sin { =2 log sin ^ —A sin-n sinvjy y. sin i . . 4sin- -v et ^_^-- — Iogtang^:zilogtang--~Ap.smi .—--,-^^^4^ ubi log fjL sin i'''' n: 4.3233592. Cognilo autem ope harum formulariim valore quantitatis ^, cognoscitiir etiam verus valor quantitaris latitLidinis quaesitae vel v|^ loci observationum. rr: Observationes aliis elenientis ab meas adornavi , ita integio calculandi ut ciiivis potestas easdem" stiperesset. Ego autem, quoad declinationes, tabulis novis solaribus cel. de Zach , respectu ad Lititudinem quoad refiactionem. tabulis sum. Literae" demum a cel. solis Bcssel haud neglecto, nuper éditis et usns a et 6 notant divisionem libellae co- lumnae verticali- aflixae in utraque parte ejusdem, a prope- observatorem 5, et b prope stellam observatam, 304 3o5 « O 1 3 3o6 ITis ». observationibus in Sole factis ncrodii: ob<?ervatio Aqiiilae, cujus positio ex catalogo ccl. riazil desumia» Eiat autem haec obscrvalio sequcns: 3o7 F = „^-',- dit rediiclio qTii Cp :zz AF /==P.co.s(4)_à) — a/, valor qnantitatis 0, ob simdam tcmpus dcnicjne ô sidciiile motum hoiologii, incedebat , conecLiis quod fere sit tempus horologii pio momento meridiei T, B status Tlicimometri Rëaiim. exprcssus. , 39*: Sit (J)^. veri et Baiometri dig. Quo facto habtbitur tabula sequens. se- et ang. 3oS Sixioo oicoi-.fSl» ]^0 co 4>- o c:, CO, 1 I I I I I •- - Ctx o I I I o» 0\ o» 0\ ta c* I , w CoO Kj O (O 05 ! ' 05 Oi 4» I 0>\ 05 Oii - » ko 00 o 1 o ce OO CRi ! tO CO Oi •<) o> co <o •<! w j I ^ 02 CO + <i i I » co OJ o 4^ Oï ' 4>^ I co 05 oc I ' I I >I > 3o9 Tcmpore postrcmae accolera bat 2"" o'' obseivationis (Atair) hoiologiiiin lO^'', 8. Cum valor iinius divisionis bitur correctio coluiiinae libcllae veiticalis sit 5'''', pio qiiavis 72 habe- observatio- mim série LJ.1 [(a-^a'+ a^^+ .. .) quae correctio voccliir nis et refractionis veram per r et per - (6+ L Vb^V. dl. unde p.odit tabula scquens. .)] ~ ^/- ^ (a-6), Variatiouem autem declinatio- d S et ô r , parallaxin . ipsamque refractionein altitudinis per p indicabiraus, 3to Jnlli I 6 ^o" JÔHiio 9 aS Jîili! j — i5 0.75 — 2ù 27.9 — > T» " 55 83 8" o.'diD ÔT5 14^04 •_7.5 9 58 :^U7 52 ^QQl^Q5\\i,-2j b' 33 18 .0^ 33 ,5"\^ 6a 3d 35 .8 ï î>,'7 "~ 36"ti2 3642 ^9 9'J — 5 01 — 7a 4 33 î?8 4"'" lo -^ Au •ii>ti lo , 4-'i,''i dr 5c)Ç) Augi'sti » 17 5o i | i 5 5o".95'4 8"rS''^5".5-) 65b''5't ' C^ ?3 3 3y ' 9 1 1 3(5.90 '5o".o 474'Vi'i 1" 05 ^ 4''-4-4| Tol)8 — îi3 14 90] ~o8ÔI 8 , 3it CALCUL DES OBSERVATIONS DE LA CO.MÈTE DE 1 5 I FAITES À L'OBSERVATOIRE DE ST. PETERSBOURG, PAR F. Présenté à Cette SCIIUBER T, T. la Conférence où chaque nuit jusqu'au 5 possible d'à ppcrce voir May ciel le i8i5» M. l'Académicien PVlsnefskij permis, l'a nouveau Style , , cet astre , depuis le 3o Mars derniers jour où il fut à cause des crépuscules dans notre climat, durent toute la nuit dès le 23 Avril St. Après sa trouva trop peu élevée n. 2 2 Nov. comète, digne de Li plus grande attention des astronomes, a été observée par qui, le conjonction avec le Soleil , piur être visible. mète était si faible, sur l' horison En général, qu'il m'était la de St. la comète se Péteisbourg, lumière de cette co- impossible de l'observer avec précision, de sorte que M. de ïï'isiwfiki , doué d'une vue extrêmement bonne, ces observations. gé de les fut oblige de se charger seul de En revanche je me suis volontiers chai- calculer. 3l2 Les observations ont été faites avec deux micromètres annulaires, dont les diamètres sont de 52'' 58'''', 5. Le nombre des observations faites dans chaque nuit ou je de est à quinze , trois moins favorable. les ai 28^^47^'', 78 et de selon que le ciel était plus calcule toutes ces observations, J'ai soumises à une critique rigoureuse, qui m'a fait voir qu'il n'y en a que trois ou quatre qu'il faut rejeter; compte du degré de précision que chaque tenant enfin , observation droite ou de j'en pris ai espérer pour la détermination de l'ascension fait déclinaison, selon la grandeur de la corde, la un milieu. ployé la précession , résultat de la une si les Le calcul, dans lequel aberration et nutalion ascensions comète. Au grande hauteur, droites reste , qu'il apparentes observée toujours fut aurait inutile été em- donne pour , déclinaisons et elle j'ai à d'avoir égard à la refraction. Je les avec lesquelles la comète a été comparer. que je désignerai par les des étoiles, 11 y en a en A,B, etc. K: culées six les d'après grand dix tout le quatre dernières, le apparentes commencerai par calculer premières, deinior lettres A jtisqu'à V, ont été cal- catalogue lesquelles ne catalogue de M. positions IJoile. s'y de M. Piazzl ; trouvent pas, J'ai calculé la les d'après piécession 3l3 arinuelle d'après l'aberration mé triques. et la les formules niUation données d'après les par M. formules Bessel, trigono- 3i4 Prcccssion de l'observation en dccUn. 64^3111 -f- 9^4782 -M6''.2o'''',744'-f-2''.24^645 lOj 4600 H-i6. 23^ 009-1-2.39, 660 64, 4597 ôg, 9256 4- BU 75, 9914 E en^ de'clin. JÇ^ A Frécession jusqu'à l'époque annuelle en j-+- 79, 4596 — 79,. 9524 9407 H-i7.47>4i4-f-i.3o, 809 2, 9560 4-19. 21, 905 -4-0.45, 284 o, 1716 4-20. 16, 527 — o. 2, 632 5, — 2, 4888 H-20. 24, 871,-0.38, 190 i g!- 66, 3853 4- 7, 2484+16.52, 374'-+-!. 5o, 679 hU 67, 700o| -h 7, 8044' + ! 7. 12, 762'h-i.59, 212 lU 67, 423i| -h 8, 5020|-M7. 8, 878'-+-2. 9, oi5 kU 76, 4850 + 2, 3105+19. 30, 217+0. 35, 407 I I 3ï5 dûclin. A -18 ',47 ^ 4".36 B -20, C 20,' 12 D E F G Leur somme Nutation en Aberatioti en J^ 36 -h. 3,-95 A\ -2 decliiu 2^2 3 -r.54 -22, 19 fn yR I en decl. -40^70-0^18 -4. 85 -42, 55;— O, 90 --h 6, 34 -24, 43 -3, 3o -44» 55 H-3, 04 -24, 60 -^ 7, 57 26,, 81 18 -5i, 41 -^5, 39 -25, 72 8, 99 -28, 36 -1, 02 -54, 08 -^7, 97 84 -1-10. i3 -18, 60 H- 5^ 22 -2 8, 74 -o, 17 -52, 58 4-9, -23, o5 -4> o3 -41, 65 -»-i, 19 96 -43, 40 +1, 49 ,H- -2 3, 45 -23, 5i --2, -3, 96 II -i9> 89 -+ I -2 1, 5o -+- .4, Si -23, 37 -4^ 17 -U' 8*/ K -24, 97 -^ -27, 07 -1» -52, 04 -+-5, 81 5, 7, 75 94 H-O, 64 3i6 Le 30 Mars , nouveau Style , premier comète parut dans tion, la leur jaune lumière la était- condensée où M. de IFisnefskl crut appercevoir un vers le centre , très - petit lunette de nuit, d'une cou- la dont vive , assés jour d'observa- noycau, accompagné d'une queue à peine per- ceptible: le diamètre de la Photosphère fut d'environ une Aucune et demie. minute dans le voisinage de avec une étoile de fois de la la direction pu vérifier la et de connue ne étoile comète , elle la grandeur, 8. 7. de vitesse la fut sa trouvant se comparée onze pour s'assurer marche. N'ayant position de cette étoile, je n'ai pas calculé ces observations. Le 4 Avril faire vent le était si violent, qu'on ne put qu'une seule observation, peu sure à cause du vent. La comète I-e fut comparée avec d Persée 5 Avril le 3 minutes, la diamètre longueur de on put l'appercevoir à de la la Photosphère parut de queue de i5 minutes, vue simple. la (A). et Elle fut comparée quatre fois avec c Persée (B). Le 7 Avril elle fut comparée quatre fois avec 2 33 Persée (G). Le 9 Avril sa lumière parut déjà un peu plus Elle fut comparée six fois avec 2 35 Persée (H). faible. 3i7 Le le blie, la 1 1 Avril sa lamièie se trouva diamètre de sa Photosphère d'environ 2 longueur de parée trois fois la clair queue de i5 minutes. alTai- minutes, Elle fut com- avec 226 Persée (I). Le i3 Avril du sensiblement de lune ; elle parut encore plus faible à cause _, son diamètre était de moins de 2 mi- nutes, et on eut de la peine à appercevoir la queue, lon- gue d'environ 5 minutes. fois La comète fut comparée cinq avec 9 Cocher (C). Le 2 5 Avril elle Camcléopard fut comparée quinze fut comparée dix fois avec 24 (D). Le 27 Avril elle fois avec k Ca- méléopard (K). Le 2 May elle fut comparée onze fois avec 2 Lynx (E), Le 4 May elle fut comparée six fois avec 12 Lynx (F). Le 5 May, dernier jour d'observation, comparée sept La fois avec la la comète fut même étoile (F). table suivante présente les résultats de toutes ces observations. 3iî? Jours 1 , 319 CALCUL DE L'OPPOSITION DE JUPITER OBSERVÉE À ST. PÉTERSBOURG L'AN i8i6. PAR. T. F. Présenté àl la SCHU BERT. Confcrcnce le :?.8 Août 18 iS. Les observations de cette opposition , de faites par MM. H isnefski et Tarkhanoff, n'ont réuissi que quatre nuits, à cause des nuages. Passages au méridien d'après une pendule Tcglée sur le tems sidéral Vieux Sly^ Spica Bord occidental Avril de Jupiter 1 i3".i5^23^58 1 4. 14''. 31 "',0 8 14''.40''.35^88 12 - i3 - 14 - 2^, 73 23, 58' - 23, 90 g. ff. /y 13. 32, 28 - - 36, 27 - - 35, 80 14. j3. 1, 2, 65 42 36, 20 320 321 322 323 324 325 Dans Jupiter, j'ai demi employé la moyenne de de ces observations au ccntie de parallaxe horisontale du Soleil au Soleil ziz 5,20279=^:0, diamètre moyen de Jupiter ziz 19^'',! 2 distance - réduction la 2i = <i, rayon vecteur de la terre - ziz rayon vecteur de Jupiter - ziz distance de Jupiter au zénit - zzi ii°Si\Y'' zzi 11° 54'' 35"^ ':^^- de Jupiter déclinaison - A l'aide de ces éle'mens donné - R, 5,43499 zzz r. = le calcul trigonométtique , à, m'a : distance la de Jupiter à la terre parallaxe horisontale de Jupiter parallaxe de hauteur demi-diamètre le 1,00738 :zi • zzz de Jupiter - zzz p sin a zzz 4,428 14 r=^, -=1:1 ,974 z^p, zzz l^'',8 76 =:z /?'', - d zzz 2 2^^,^6 zzz d\ zzz même réduit au parallèle zzz -jj- zzz 2 2^\g6 zzz d'\ Il droites, faut donc et — d' ajouter // zir 20^^^, réduire au centre ^ d'où il fZ'' zi: 22^'', 96 aux ascensions 58 aux déclinaisons, pour viendra : les 325 32 7 La comparaison de ons , avec CCL1X que nous avons le résultat, que les ter trop grande, tables Ji le conclus des observati- ces lieux , tirés donnent Avril de la des tables , donne longitude de Jupi- 4'''',6; le de 8'^, 6; le 1 2 i3 de 3'\i ; le 14 de4^'',5; et au contraire sa latitude trop petite, le de i6^\5; — 1 ii le 6'^,l5, Pour 17'''', 6; 14 de i6'^,5. pour réduire faut les de Avril ces les le 12 de Le milieu le i3 -|- 5^'',35 et l6^'',4; est longitudes et latitudes géocentriqucs. erreurs aux lieux héliocentriqucs , il multiplier par ce qui donne les corrections à appliquer aux tables, savoir — \'\2>6 pour 65 pour les longitudes, et-f-iS^^, titudes. L'opposition a eu lieu le i3 Avril matin 3"48''38^' tems 5''4o'34 moyen de Paris, à ou ^ — — - St. Pétersbourg. h>~*ooooeoOoooooc*a<^ les la- 3c28 OPPOSITION DE JUPITER ET OCCULTATIONS OBSERVEES À LOCSERVATOIR.E DE L'ACADÉMIE PAR F. T. Pr6cnté à L'intention de la SCHUBERT, Conférence réunir les le 7 Février 1816. deux oppositions de Jupitet empêché jusqu'à 1814 et 181 5, sent, de présenter la première à l'Académie. celle de des années l'an i8i5 piter qu'une fois , n'a pré- Mais comme pas réussi, n'ayant pu observer Ju- à cause des nuages , différer plus longtems. d'étoiles par m'avait je ne J'y ai joint quelques la lune, les seules que j'ai l'ai voulu occultations pu observer dans ce tems - là, qui était extrêmement défavorable. 2 329 I. Opposition de Jupiter, l'an 1814. Observations de Jupiter , comparé avec Résidus. Vieux Style Passages au méridien d'après une pendule réglée sur le tems sidéral Février Rcgulus Bord occidental de Jupiter 9.58'49^20 - - 49,80 - - 50,62 - - 5 1,60 - - 51,98 10 11 12 13 14 io"-3i^. 9>7 - 3o. 40,75 - 3o. 12,57 29. 43,72 29. 14,96 Distances au zënit, observées Therm. Barom. I au grand quart-de-cercle mural Réaum Régulus Bord boréal de :^ 10 Février 47°.3^i4^'56 49°. — — — — 11 12 i3 14 Le l'air 7''-20''^,89 -i3°,8 2 8^. - - 12,40 4. 22,57 —16,2 J49. - - 13,77 49- 1.27,59 -13,9 - - 17,73 '48.58.32,63 — 11,6 _ -18,21 148.55.33,73 -13,9 14, le ciel était astres français commença l'observation de demain eut plus il n'y ce jour Mémoires de rAca^. T. VL 11, 25 11, 10 9^ 30 7, 60 à se couvrir de nuages, et déjà pendant l'observation paraissaient sautiller 8^17 si trouble, que les dans la lunette, de sorte que est moyen un peu douteuse. d'observer. 4 Le len- 330 Calcul de ces observations. 331 332 Tc.ms moyen des observations à St. Pctersbourg 10 Février 12^2 2^. 5^^47 11 — 12 — 13 14 — — 17. 39,82 — i3. 14,98 - 8.49,35 - 4- 24.37 Pour ces époques donné Bouvard tés les tables les lieux héliocentriques les 2 2".3o". 7^47 — 25. 41,82 — 21. 16,98 — 16. 51,35— 12. 26,37 de M. Delamhre m'ont et celles de M. la terre, lieux de Jupiter, les uns et les autres comp- de réquinoxe moyen. au Soleil, de Paris Leur combinaison donne l'angle ou ce qu'on appelle angle de commutation, ainsi qu'on le verra dans la table suivante. 333 334 y sa latitude gë- A la latitude héliocentiiqiie de Jupiter, on a R r- ^~- , ocentrique , de Jupiter, p z:z ~ p =z i^^, gg53 ; bien pour yenne de Jupiter au plus, Soleil, paralhixe horisontale la cl Février /? nz 1''^, 995 ; ou nommant o la distance moson demi-diamètre apparent demi - diamètre son distance , 14 le De jd zi: 2^'',00. à cette et :r= 5-— .^, et on trouve pour le 10 Février gëocentrique sera d^=:^=z^;f|. Supposant donc a=: 5,202 79; cZ =z 19^''^ i 2 : on trouve df zzi 0,2^^y 55. La parallaxe p, étant multipliée par le sinus de la distance de Jupiter au zénit, donne celle qui doit être appliquée aux observations; et on la trouve pour le 10 Février zzzp .sm 49° donc, pour — p.sin48°56''48'''i=i^5o5: __ 14 tous 8^ 38'''' n: 1'''', 509 ; les cinq jours, p' zz 1'''', 5i. Ainsi, la correction des distances de Jupiter au zénit est Sq"", 55 — i'\ 5i z= 21^ 04 : ce qu'il faut retrancher des déclinaisons, parceque le bord Pour corriger boréal a été observé. ridien, il les passages au mé- demi -diamètre de Jupiter à son faut réduire le parallèle, en le divisant "par le cosinus de la déclinaison qui est égale à réduit zz: 55'''', 9 7 droite, puisque 10° 54^; ; ce c'est le et on qu'il trouve ce demi'-diamètre faut ajouter l\ l'ascension bord occidiental qui a été observé. De cette manière on trouve 335 336 On réquinoxe moyen. m— i/\.'\2>-j ziz -\- 1 ger 1'\^ ; de signe, apparente ainsi, des la en trouve longitude en latitude =10^ l'aberration en longitude en z= latitude — o^'', i6. Il faut les chan- parcequ'il s'agit de convertir la longitude comptée longitude de l'équinoxe moyen: correction des longitudes est latitudes en niuation la :=: + o"'"', résultat des observations. 1 6 : zn + 2''^, g; celle d'où l'on obtient ce dernier . le 14 dont on d'oà, en rejettant l'obsen^ation da 14» i^''\ig: cîe a \u moyenne raison ci-dessiis, on tire Icrreur hi des tables, en longitude --i-6''\'}2; en latitude =:— 5'''',5 3: ce qu'il faut encore réduire aux lieux héliocentriques, en multipliant ces erieuis par que les tables exigent, en latitude z=z -|- Au reste, il ^||f-- rz: serait La 0,8 166. correctioft donc en longitude zz:— 5^'',5; 4'''',5. est de conclure de ces aisé résultats, que eu lieu le 12 Février V. St. avant l'opposition de Jupiter a midi à peu près à ii'i7''8'^ tems moyen de St. Pétersbourg. II. Occultation de i.^a^-^: par la Lune, i8i3 le Pour vérifier a 5 Septembre V. St. V immersion J'observai la pciKliilc d ins a 2 la 1 étaient nuit , et les de là, de 17 ,54; et aberration /R apparentes passages de a i^ et de Marcab, droites 2 i "5ô^i2^'',663 et j'observai 22 û5 11,72. a ascensions nutalion leurs suit nicine c4''i 8'''j5. réglée sur le tems sidéral, est JD DD ,34 Les la qui 2 li moyennes de ces deux 2 2''55''2 9'''', 1 8 i — ry'',o33 2 i'''56'i 2^^,63 ; L\ étoiles somme de et -f- o^'^,334; donc 5 2 9'''', 5 5. Il et 2 ''5 '2 1 en prenant le milieu, que la pendule retardait et tems sidéral de que l'immersior? St. fut observée à Pétersbourg. AUmoircs dr rArnd. T. FI. 4^ 20 24^36'^ 338 m. Immersion âc <^n, de Passage di-oite ' 1814 le i Février V. St. 7 3' observée à 9' Régiiltis à 9" 5S''53'''',02. moyenne =r 9' 58^2 8'^^, St''^, 8. Aberration 06. — -i-o''',igi. yî\ apparente de Réi^ulus : La pendule Tenis sidéral Son et as;;ension notation zrz g 58^28''',25. = 24^11: ce qui donne de l'immersion m avanroit donc le 9^833''''. IV- Emcrsion de 3. i 1 8 nr, le 14 24 Février Y. St. observée à 1^' i3'i\.'i^^,L. Gemma Passage au méridien y^^ moyenne Abeir. et nutation ,5^ 27'.r6",y8 /\.o.'à'j,(\o i5. 80 4i)>'207 14.. — — 0,209 o,'..o5 du Serprnt iy\iJ5'.cJ4.',4>i ^ i5. 35. 7,124 i5. 35. 6,^70 — \ Milieu i5. 26. 48,c,o5 - 98,072 — j 97, 760 I __ Q7",32. Tems sidéral de l'émersion zn V. Occultation de 5 SB, 1814 le observée à 8^33^55^'',4. I4''i3''i9'''',3. 18 Mars V. Emersion à 9 6''. 37'. ^ moyenne | 6. 3b'. — 4 '5' 58,069 0,662 Aberr. et nutationj ^J^ apparente G. 36.67,207 7,3o3 La pendule avance) ! St. 43^22'''',2, Alpliard Sirius Passage au mc^ridien 454 I i4' 4o-3<3,795 y5\ appaicnte 27 G'>»'> La pendule avance Immersion ce ' 14'^ 4-^ 4-' V't^ 9'm8.35", 17 7'^22'.5o",o5 7. 22.^'5f5io 1,029 — g. 18. 27,216 0,1 13 22,42,481 9. 7. — 18. 27,103 8,067 7>569 Milieu zz j"y6^6. Tems sidéral de — . — l'immersion — l'émersion >i^ •••••«C/O'OO'O"'^^ :=i 8 11:^9. . 33''. 4 7'^^,'? 5. 43' 14' 5^- II. SECTION DES SCIENCES PHYSIQUES. 43 DE MOXSTROSA GENITALTUM DEFORMITATE ET S FIXA BIFIDA COMMENTAFIO. A U C T O R E 7. .s£. A. Convcntui Magnam in LOBENTVEIN, exhibait 6 Julii i8i4-» humani corporis constrnctione raiumque abcnationis die naturae abnormitatemv plioenomenon , eruditoruni contemplationi piopono , cui simile iiUum in magno monstroruin numéro, quae vel in locupletissimis rerum naturamLiseoium acadeniicoram lium collectionibus et vel in exactissimis anatomiae et physiologiae riis thesauiis,, commenta- hucusque continentui•, aut connotantur, inveniie haud licet. Eminet qiiidem hoc formitas , tis in subjecto mira genitalium de- haud minor tamen est intestinorum et systema- uropoetici, atque singularis denique caudae equinae de- generatio. Praeter varies autem illos structLuae lusus« 342 vindxat, plma adluic snnt iinatomia sibi <jU03 respoctu physiologico , iiiimo Snppedilat scilicet foniibus eiLicnda occnrrunt. heimaphrodismi do cjusque inversione ; foctu , de de de foimatione dcnique haec ob- monslrositatis vesicae urinaiiae hernias connatas inter ve.sicLilae hydrorhacliitidis hujus -quadam specie sitii^ulaii djlTerentja lisu de diagnosi et de spurii ; exomphalinn ; solum sed simul ralionc et genesi , et non ai;qiimcntum scrvatio qnae iisdcm hisce ex mcdico , et alia , uinbilicalis spinae et in bifidae, nique divmsa hujus lethalitate. II i s t Infans monstrosus , dituii sumus , r i a. cujus memoriam bisce paginis tra- quarta paupeiculac familiae hebraicae pro- gcnies^ in lucem piodiit Vilnac, in subuibio Zarzecz, anno 1811 die 1 1"""^ Novembris; nata e matie annomm viginti quinque , statuiae habitusqnc mediociis , pâtre autem pusillo, gracili, tiicennaiio; parentibus, quibus a natura nor- malis conccssa fuit corpoiis çonforniatio, et non interiuptae sanitalis usus. Priores vcl constitutionis nis, etiam physicae corpoiis , larium intnmescentia. In lies infantes nuila vcl icctae valetudi- freqnentioie glandularum jugu- afficiebantur labc, nisi tum gcncalogiae ipsoiuni nullo indi\ iduo unquam utiiusque paren- singularis quacdain observata 343 ftiil coi'];)orîs lis, scu dofûi:nitas. ciiinfcrendo, occupata doini; pater, merccs cii- potias,, ci^^est-alis diriicili famirur- rcr aclininisiinlioiic n-]<îtcr inienLus crat suslcnt;andae e-\is(cnliae cjiae; uliiusqnc vitae i^rnus miscriimuin. Cordi pcrqiiam gens mater, terrores priortuii cum obnoxia , erat qtiio; etsi nocua , sioncm objecta, insolitae terioics ilLis inat'inae modo potucrint foetus explicandae sufficeret , imaginationis rc niiibililati matemae eiïcctus nornunqiiam indiil- tantam ineulcarc impies- quae , si oiigini abnorniitatis uiKjuam naevos inFantura esse Ciedideris. Quid, quod fuerit conscia , nihil sibi omnium afïtcisse mentem deli- aniiiii cxcitaniia, adco esscnt in- ipsa denique mater bene singnlari magnac sacpius dcjeetioni viiium subs( qucrte ut iiiiagina'Joni nullo et quatuor gia\idita!.is mensiuin pcriodo', cuias et int. r timido eorum, ratione , nihilque alio^ rum graviditatis tempore accidisse symptomatum, quod quaIcmcumque cum monstrositate foetus aleret analogiam, cui- ve vel minima conceptionis abnormis inhaereret ratio, aut remolissima cvolutionis irregularis suspicio. Légitima gestaiionis periodo incessit irotus infantis utero , ts vero debilis usque in dies graviditatis irr ultimos, quam justo termine absolvit partus, laboriosus quidem, sed omnino naturalis, nec non a matre sine ullo trimento perpetratus^ sanitatis de- 344 Octnva post nativitatem die inrcuistam piima vice con-spcximus piolem , funiculo umbilictili Yidimiis infantcm a monstrosa duo. lune jain deci- rite vcntris atTectione, iini cujus rationem sequentibus icdiliuni sumus, continuis heuî tantisque exciucidtum doloribus , vix quidem , in statu mam , scelcti, ejirs aptus csset matris iibciibus. vitam non ejulatus anatomica, qua absoluta perpessis p( Ivis doloribus instituta praesertim cclcrum corptis, nisi génitales, spinam medullamque viscera • qnare considerabimus , quales docuit aspoctus, illa in tota Os.ium infaniis tamcn compji^r?, stxus videb.itur esse potioris; abnorme non crat Tîelvisque fuit hodiemam usque confornuui Ilipfjocrotica. p)roportio, sine con- et hujus physîognomia, patri nonnihil consuiiilis, a modurti monstrum, in museo ad repositum , Bene adservabatur. dicm moitem Cauta post ne hoc et deci- in infetioies paralyticus, Universitatis anatomico quartam nisi et Miserabili cxicnuatus lacrymas et inter extinctus. clissectio ad dicm traxit ad extremitates vulsionibus ut stigendis vix , quoad imum ventrcm, partes dorsi, cxternas et interna abdominis imprimis abnoimitates ipsa corporis superficie simplex dein connotaturi, quae interna partiuni patefccit dissectio. A bno rm i t a t e s e x t e'r n a e. Cum extcrna capiiis, thoracis et exticmilatum super- 345 -ficirs condliionis fueiit triin>o.iimis non qu.ie memaiiibiînu'^, omnino Ifgiiitnae, diiTciebcint a nihil coicim foii;na com- solita, ut mo.v ad ilb, quae stiLictur^e normali extedus eian.t conu.iiid. Abdomen. vcniebat conspccUiDi duos lillia parabolicam in ') ') ciijns describens , mediac sliicac plaida pollicts Lita, -) abdominis icgione notabilis infciioie, anteriorc, Tn dcorsum lubra , in penitus excoriaCa, circtimfeientia, lineam fere ex ima puite divergens, regionis epiga- crmibusqae suis *) uliunique ingncn demissa , coinplccLebatur umbilicuni ''j, jam pcrs;anatiim pubcm et , totainquc simiil rcgionem Kxcoiiatani ingtiina. deerat scilicet cuticula musctili , transparoK nt bi'iculum tiliud sinisterius , ^) , cutis ; dicimus autcm adeo erat tcnuis, ') Tah. V. A. A. A A. -) parielis abdominalis Tab. V. R. C. D. ').Tab. V. C. •*) Tab. V. Tdb. V. E. 6) Tab. V. F. M'm$-reir!erAc.id. 15. D. T.ri. ut Tu- penitus supeificiale, umbilico superius, noiatum, nuUiiis eiat moine nti, mère cutantinn. ^) regionem, luborem peiquam exaltantes. tantum levi iianc hypogastricam, 44 convexitate 346 Tegiimenta communia parietis abdominalis gae rubiae ambitu verum terminabantiir in toto pla- iii limbiim piomi- nulum, qui lincam illam parabolicam ') constituens, ccrlos designabat limites inler pliigain abnoimem et reliquam ab- dominis ciicumfeientiam , ut adco tota bus circumscripta , istis nudaiii fere exhiberet mam ciim et , illa area tcniiis\simo aponcvrosim abdominis , ibi tenuissimo illo involucro unum conflatam^ ut ubique hac in bor musculoium subjacentium , limiti- =), sub involucro cutanco tencni- cutaneo ita in legione transpareret ru- neque ulium albae lincae vestigiura. darctur P u d e n d a. Qaod autem primo intuitu eminus cxultaie videbatur, membrum virile ^) tamen excedentis. etsi solito in longum, auricularem instar loco posilum, singiilaris très, -et quod superat^ polli- adulti digitum aequans crassitie, cornu sursum, sinistrorsum, incurvatum, lissimis, multuni Cylindricam illud membrum normali erat mol- totum eleganter rubrum, lius, ces , erat conditionis, proportionisque, consuetam striis subti- transversim annularibus^ vermiculorum more nota- «) Tab. V. =) Tab. V. A. A. A. A. ») Tab. V. G. B. C. D. 347 fine in tiim, solito oiificio '), miijorc, liions, glande carens, quare magno quidem gentis Tsraeliticae do- et praepulio ; loie solcmnis nconati ciiciimcisio celebrari non potuit. joiem aiitem excitabat necessaiio qiiod insoliiuin illud nicnibmm , duin viveret infans, vam conliniio Icnlamque stillaret alviim, leni motu ipsius CLilari membii provcctam; urinae ?tlembium ilkul spuiium decursu carebat epi- tolo in muçcLiLuis tiinicae intestinalis Qiiam vile iianspaicient. serins , cutaneum j vel inde inlelligitur , elToimaveiit, nec fienulum, sed fueiit adaptatio, ciuni qiiod iit striae de qua dicemus indumentcim hoc neque praepiitium ejiis ad membri orifi-- qualis est illa dermidis ad labia oris. Scrolcim *) eadcin, qua lugosum, sede , _, ftieiit talis fla- vernii- nihil. dcrmide , cutc lubra involutnm , sed tam tenui , ciiCLilaies Ma- attentionem spectantiiim, membrum, excoriatione rubens, magnitiidine et forma adparebat normale, sursum, extrorsiim, utrinque saccatum ^), testes occultos ibi nienliens, niillo attactu dctegendos. De parti bus muliebribus extcrnis nullum adcrat vestigium. Orificium ani solito guus, inter in loco nullum , sed porpc exi- postremas seroti rugulas altissime absconditus, ') Tab. V. H. -) Tab. V. I. 3) Tab. V. K.K. 44* 348 qui, sursnm introrsiim dcliteicens , styliun tcruirm In itdiniUcb.''*- difficilli.'iu: '), iiho(]ue iiii^uine b.isi insolitum fixa cor- icsidcb.it pusculum -) tabae magnitudinis, dcftctu tef^uinemoium parilcr rubiLiin , foinui fere niaminillari , infriiii? in papilLnn quasi miilicbrem dcsinens '), siib qna iluxu Icnlo, std con- tinuo excernebatur loliiim pcr viain angiislissimaiii, oculos latenlem Ipsa setam ciii , quidem sciolo attaclu haec vix facile pio;sLis per corpnsciila dcsidrratos , men suspicionem et interna *) interiora niaminillaiia iiidicare infici^it fiajiccre tcsLJciilos , in quam ta- vidcb.inlnr, villosa licuit. illomm supcificics, dcncgavit strucUiia, quani suo loco per- lustrabimus. D o r s o m. In SLiperiore parte rcgionis sacralis oculis scse manifestabat tumor ^) , oviim anseriniim magnitudine cxccdcns, mollis, clasticns, indolcns, cuti sanae concolor, fluctiians, pression! adhibitae non ila cedens, nueretur quidpiani. Erat idem •) Tab. V. L. ») Tab. V. M. M. 3) Tab. V. N. N. 4) Tab. V. O. O. 5) Tab. VI. A. is ut ejus voluinen impù- tumor spinae bifidae. 349 cojm nostio dissertât. one in mcntioncin initiii^iiiMli i <î i de.' D. TTcyhcr<Ki veiU-- qtiem vidorc esc Tiuiior, eJild. c ft-cit hvdiope specds Mohrcnhcinui obseivar.ionihus '), (juojd extciioia sumni.iin (juideMn ciiin 11 stui Vilnae anno bralis, in consensti ciini quoad inLcina vcio nostro anjloi^iam cxhibcl, ce mini ma m. Dissectio partiiri: eodcm Ut , modo piocedanuis îcrnaiiim, rile j.i;ii in nisi icrum ncxu ille connotatini, observabantui a pailiuiii qiioquc in- opoitct, contenta in tlioracis encephalo nihil quem pro paiagrapho de spina doisi pacto in descriptione pai- discctione abdoininis quae hac contraria, peiluslravimus, ventriculo quarto', in igitur inteinaium oïdiemur piimis .corporis disscctionc inferius in Hoc commemorabimiis. n ter n arum. omnia; ipso etiam fuisse innotuit eiroiis , tinm extciiora ante omnia dicamiis, constituta meliori qcio i in , ea im- cavitaie nattiiae Içgibuff quaeque proxima ducent via ad indagandas abnormitates, qiiibus interna genitalium ludebat stiuctura, cabat et ad dorsal is. et sano ») vcrsari detegendos eiiores, quibus colunina pec111a vcro omnia , quae in statu normali videbantur, silcntio praeterire duximus. Beobachtungen verschicd. chirurg. Vorfalle, B» I. S. lya, Tab; II. 35o Abdomen. Non abdomine apeito, qualcm teitia oiTert tabula, erat hic enim viscerum conscpectus ; sunt quae cxposita , veio ^rande oiTondebat anlrorsum superius siio abnormia. latebant abdoininis hepar prae- adeo ociilos , voliimine ut protractnm , ventre in prima dissectione Rcapse a imo tantum piae caelciis illa et deorsum vcntriculum et omentLim majus, inferius iniestina maximam partem in pel- vîm depressa , obtegerct, atque antcriore superficie parieti abdominali interius ma^^no infia ambitu accrctum esset usque in umbilicum. Exemto jam hepate simul cum ventiiculo, omento reliqna liene , colo viscera, in abdomine semivacuo, et , tantum repraesentavimus pro faciliori demonstratione, studio ab invicem dislocata et explicata , sursum protracta , inferius, petefi- nt ralj ut illa omnia , atque intestina quae sub ils laterent visui. intestinorum tenuïum qui gressu natu- Ita tractus per omncm umbilici et hypograstrii regionem cirnim- duci debuisset , arle '), nunc de loco motus , deoi'sum tend re vidciur , a superioribus ubi continuo tramite supra pu- spurium illud menticbatur bem e cavo pclvis egressus quod in Tabula ï. occurrit sub littera g. membrum *) , , «) Ta; . Vil. a % Tab. Vil. b. a. a. a. 35î. Quod igitur praegrande apparcbat rihil eiat, qiiam veriim membrum viiilé, intestiniim ilecn , aliud loco jnsolito super sympliysi pubis ad exteiiora emer^en?, fere nudum, membranae suae muscu- annulaiibus tjansparentibus stiiis rubiuin , quare in vivo lenem pcrislultictmi , vi cujus per oiificiuni ejus laiis motum ilucbut alvus loco quod nullum adesset intestinum co , ') pio- intestinalis abnoimitas consi- tractus stcbat in nullus appendix vermicularis, et nullus coccum, daretur transitas tenuis in crassum, tanla enim illorum ab invicem erat separatîo, ut intestinum tenue, riora vidcbatur lotii. Maxima quidem intestini exeiceie a ventriculo ad exte- usque progressum, per se Iiiaret exterius loco urethrae, interius vero ncc minimum ejus cum intestinis crassis da- retur vinculum aut communicatio. Normalis aberat vesica séminales, urethra et prostata habebatur vestigium urinaria ; : cavernosi nullum aberant vesiculae in pêne illo spurio corporis ; nullum glandis aut praeputii, musculorumve erectorum aut acceleratorum. Scrotum denique cum sacculis suis duobus lateralibus '), dissectionis ope perscrutatum , ') Tab. VII. c. ^) Tab. V. K. K. I. totum oninino vacuum, J332 'branam v'daitos, nec ingiiinc, in innnem tantum celhiLirem loco icKticiilornin piiium exiuict.im, contincb.it. cavo pelvis abcToniinis, in aiit mem- qtuisi , Sed ncc lu-c ia tilla alia testiculis , ita parte corpoiis inveniebanlur tcsUculi. auteni Sictit vcio etiam monstmm istiid carcbat carebat utero et ovaiiis ; spuria tanien iiteii vcstigia demonstiiibimns poslea. Quod Tab. Vil. adspectus libcrioris lit. adparet intestinum d. paruni gratia magis ad neatum^ totum forma siliquae latuit loco recti partem intestini ilei , pt-r pelvim egrrrsini, minime tamcn acutius, antc vertebias lunibarcs dccnncrct dtm partem pro Ime icctum batiir sine iubendam uUa sigmoidea perinaeiim , ad apcriretLir coli nt intcr capacitas tinLiit mucosum, cnjus nulla rigo , cum ) T.ili. ') Tab. Vu. c. Vu. f. d. Tab. Vil. f. styli , , qui- crcdimus, iinde continiia- seroti pliciiKis notato. ^) paium ilLini dcorsiim postrcmas ope =^) ') Arcta excrcmentoriim loco humorem con- rccti siiprema fuisse inflexione poro angiistissimo , interna deli- rétro infimam Cnm snprcmtim fjus principium ipsi jnncluin. crassum, dextia a intestini siiperioribtis dabatur scatu- extrcmitas ctsi , dcficiente 353 coeco, ipsa tamen clausa, tuaiet cavo abdominis libère in fluc- ')• multo Dictu duo difficiliora illa quae eleganter symraetrica ex utroque e cavo pelvis sunt corpusciila *), intestini recti lateie cavum abdominis adscendebant. Corpas- in cula haecce, tum habitu, tum structura, penitus abnorniia, neque testibus, nec vesiculis seminalibus viri, nec ovariis faeminae Olivarum cunt. formam adcuratiorem similia, fere interius cava, illa , extcrius referentia, etsi descriptionem sibi expos- dimidiae vix magnitudinis, colorem affectabant uterinum, fundoque suo, deorsum crassiore, fundo pel- vis insidentia, intcrno scilicet perinaei parieti accommodala, sine ullo Superior autem cujusvis extremitas conica continu- mercio. 11 tamen cum perinaeo ipso aut cavitate pelvis com- m excurrebat in canaliciilura, sursum tendentem, tenuem, album, candore, tubis Fallopianis aliène, nitidiusculum, gyris continuo decrescentibus serpentino more, seu potius in modura cochleae, quinquies retortum, fine ultirmo perexiguas in fimbrias abeuntem, colore, forma et structura fimbriarum iiterinarum per canalictilos brillarura diminutivas , quasi illos injectis, aëri ') Tab. VIL Tab. VU. g. g. Mimoirtidtl'Aiad. et fitn- nuUo tamen modo de- e. T.yi. niercurio, impervias, ut externuiu orificium suspicari quidcm, ") tamen 4^ 354 moiistiMie Liheine' li-^neiit. pciitonactiin coipnsciila liitrbcinl p.iitil^us , aecjuc iic eoiunK|ue Ciinalicnli serpentiiii, nccjua- olivaiia Corpusculorum utcii pacitatis circiter situs origine, sitn. inlcrnas rn^milas nucis nuicoso , pusculoiuni parietcs pistaciae pcnitus iitruniquc inveisus ; csset et. texluiam intimam, minoiis, Erat reftita. lespc ctn immo omni nota , eoinm aulem cavitas, crant simillimi, parielibcis pariim olivarium minimas fjiioad ciijus vicini'; , rctro lii^iimentis sinft junciae. (jn.iiii et illae rimbritic ca- hiimore limpido, i^i3;itm- hoiiim cor- stincUnac analogum utero, canaliculi dircctionc et fine suo iLibis aiUcm serpentin! Fallopianis vide- bantur consimilcs, structura tamcn clastica, colore candido, ncc non splcndore proprio , viri similiores, ut adeo in vasis deferentibus spermaiicis toto hornm cospiisculorum oli- varinm, canaliculorum, fimbrillarunique apparatii singlilaiis quacdam genitalinm organoruni sexualitim commixtio intercederet; ntriusqne vestigia, nciitrius ciora internoriim degeneratio tamcn perfectio, etsi et scilicet sexus plura feminini, pau- masculini essent generis. Renum ") et situs et conditio a aberrasset ') quidpiam, Tab. VII. nisi nalurae legibus hand glandula suprarenalis reni dextro h.K I 355 defuissct penittis. Uielcium (luilibet ') iccto tiamite e rené suo diTficb.itm ])elviiii, non essct suo in vesica Lucre jam in inf^iiinali lii^amento cmn vcio noimalis piacsto infLindcient , quivis, lotiiim Pouparti egiessus , Tabula V. liteiis siib utiinsque ureleris valde absconditum intioduximus cadem via , '), implanta- villosae, qua- papillae in^iiinali ~), leibiae, exloiiis lebat ibi cui iiiinaria, siib singulaii batin- Icni iii M. M. delincavimns. Laosculum in papilla peiangustnni , cui qua loiium lento sua sctan) *) quidem , sed continuo, per inguina dcfluxit stillicidio. hamm papillarum inguinalium Quantamcnnqne externa positio de tcsticulis spuriis la tamcn illas inter movere posset suspicionem, nul- et testiculos nam intcrcedebat similitudo. runi ulla locurn quoad Neque cum habuit comparatio, strueturam papillis etsi eniai inter- mamma- forma papil- larum inguinalium luderet sub specie mammillamm, adeiant tamen praeteiea mammillaies pectoiis villosae , ejusdem lecens in in nato infante loco solito , veiae papillae illae veio inguinales, videbantiir structurae , cujus vesica uri- ') T.,b. ') Tab. VII. 5j Tab. VII. I. l. VII. i.u k. k. ) Tiàb. VII. m. m. 45'= 356 nonnunqaam occuirit ad exteriora pubis, quod naria cversa ubciius cxplicabinuis in adnotatione VII. Sufficit rit hic monuisse, quod vesica urinarid non adfue- nec urethia, nec vesiculae séminales, nec pro- nornialis, ncque partes génitales stata, constitutae alterutrius au* rite utriusque sexus, nec externae, nec internae, omnes enim, quas hoc in infante desciipsimus , excepte scroro , défor- mes ac erroneae 3 erant ut judicium, quod in adnotatione difficile II, esset de sexu illius dilucidare tcntabimus. Tumor Sacralls. Quod fidae tumoris interiorcm conditionem attinet , sectione contenti, lotam sacralis non hujus tantum tumoris ommino columae pagem perlustremus , opportct , ipsum inde vertebralem tractu vertebralis dis- com- prius encephalum, «t in specie ventriculum ejus quartum , continuo seu spinae bi- ') , examinaturi , specuni et ut medullam spinalem prosecuti> perveniamus ad sedem spinae bifidae^ et raram ibi In aderat detegamus caudae cquinae abnormitatem. ambitu cerebri extravasatio ; et cerebelli nulla ventriculi vacui, non distenli^ normales. ctsi pariter ') etiam latérales et tertius Ventriculus autem quartus, vacuus , ad capacitatemi Tab. VI. A. quidem aquarum tamen , amygdalae 351 majori continendae aptam , calami longitudincm sciipiorii trium oblongatani posteriorem rcni demersum fuisse unciae , medullam latum hians, sérum in- superficiem ejiisqiie va- spinalis sacralem jlkim spinae bifidae tumo- Hujus ex tnmoris cavi- videbalur. tempore sex tate sectionis bantur in in retio quod inde e ventriculo quarto medullae ginam dcflucndo , fiindo per totam in disruptus , linearum spatio transmisit pelkicidum , ter distentus, aquae limpidae évacua- circiter ex ipso tumoris sacco , jpartim partim e lumbari spccus vertebralis conlignatione redundantes. Columna vertebralis nebatur vertebris , numéro. Costae loco debito lumbares utrinque inserta. dorsali dextrum , inde sinisteriora versus a quinta vero enini autcm usque per tantum friabilia brales e lateribus lioribus latus ad os sacrum etsi alias naturae lege modum coarctata, eorum interverté- tantummodo essent conspicuae. Ultimae omnesque, quatuor scilicet, corporum a supe- tumidiores , deorsum in Vertebrarum dorsalium cor- coalita, ut cartilagines autem vertebrae dorsales lumbares erant quaelibet duodecimam ad ad nonam usque , adeo quatuor columna vertebralis a lumbares usque incurvata. compo- tribus quarum semper angustissima , hic taraen pcaeter et et nonnisi duodccim , Ipsa quinta vertebra pora viginti ka solitara très, ut incrementi crassities proportionem exce- 358 Vcitebrne lumbnres priietcrea omne?; dciTt. protiii?;iiej nJmis antrorsiiin iit perinde miii;na in iiltior, in niinis in Juiiibis ori- vno con\e.\it'as retnr concavitas poslcrius , nnleiiiis montorio consiieto postoiioiibns a , pro- abcloiDcn protiihcrans, et hamni qnidem vertebrarum specu potiisima obscivaie- ttir aquauim ciica medullam colleclio. Processus spinosi vertebrarum kimbarinm sed spinae sacrales très siiperiores, les, spmiae, valde tit rotiindiis intcr tcr lincariun perpendicLiIaris OLto. B'^n ! circnlum fere describcns, hiattis, per qnem hiatus, dulla spinalis ita , novem iina , norma- scii imperfectae, bitidae, et adco divergentes, illas oriretur erant. ciijus transversa cum diame- linearum aquis evasit me- ut pars ejus posterior , nullam ibi for- mans caudain equinani, substantiam medullarem ipsam porinstar rigeret extrorsuin ovalis, quasi bifoiiatae lore pcrlaceo lamellae '), instructa , medullaris , transversiin expansam, quae, nitidissimo co- toto in ambitu circumdabatur po- fiteriore paiiete spinalis vaginae, sub tegumentis bus magnum ^) in tumorem extensae, cujus colligebanfur aquae , conrinuo flnminc e derivalae, foliumque illud •) T-b. vni. V'V- ') Tab. VIII. «. «. ei.x. S) Tiib. Viii. fi. (i. /3. i3. in communicavitatc ') spccu vertcbrali undique alluentes. 359 ipso deniqne In mediillae folio, siib specie coloris illo pciliicci cineream ceiebii substanlijm icTerente, tiii» ludcbant fomniclla ; siipciius mediLini supiemum erat styhim ipso in omnino coecum, fundo ramelkim et -), et cohimbini caLinii , infcriiis posteiioreni interius angiistum, infeiiiis mcdullaiis folii ^)j €|iioiTun capacitatis^ meduUae parietem cndem, qua sernm scaturiebat, médium , Itmi maximain vaginam inter admiltens, '), via. Foiamel- centio positcim, mox claiiso dcsinens, inter anteiiorem Fo- mediillae et vaginae paitem delitcscens, nullum inter illas transmittebat vagina senim , ibi utique in statu naturali sat medullae respondcnte. arctc Nervi sacrales posteriores , posleriora , sacralia parle abnoimis deerant ; portio deficeret. cum Ita ut ipsa foramina ossîs anteriores vero, medullae propagati , illius piogiediebantur , sic postenor tantum ex anteriore more normali caudae equinae nervi crurales et obturatorii, ex tribus vero ex duobus lumbaribus primis lumbaribus , ischiadici iiltimis et sacralibus primis cujusvis lateris suborti. Hiatus triangularis ille, qui inferiori in parte ') Tab. VIII. $. ') Tab. VIII. ,. 3) Tab. VIII. i. ossis sacri pro exitu V,,;j, 36o finis caudae equinae, id iiltimi arteriae est, ceu imparis nervi veterum , rioris , spinalis ante- destinatus esse solet, hic superinducto singulari ligamento transverso clausus erat. Ep c r i s i s. l Tnquirere in naturam monstrorum in génère, aeque ac sterilem esse operam, effatum familiare philosophis , dicas studia nisi enim Etsi variae explicanda thcoriae illae sagaciori difficultate speciosae , origine sunt plena. quas luimanLim in e.xcogitavit hiiCLisque scriuinio salis ingenimn , haud fecerint, quas dives insuper coUegit experientia, et numerosissiniae, observationes quae et monstrorum multis quidem tamen haud consentaneum, verilati iniitilia , est, ingratam parum quid addiderint utihtatis scientiis physicis, et vix iiberius locupletarint rem medicam, muhura tamen prodest illorum indagatio vcl in affirmandis, vel in refutandis variis de generatione scntentiis, et in explicandis diversis ejus phoenomenis. Testantur id immortales virorum, in le physiologica clarissimorum, Stellerl, ahorumque vario labores. Sunt et nostro respecta singularcm quandam in Tfolfii, casu nonnula, quae mereri videntur atten- tionem, quaeque sequentibus examini subjicere et propius indagare qui animus curiositatis omnia iUis committere, est, cetera vero pkis , quam utilitatis studio delectantur. 36i igitur Neqiie labomm et difficnltattim omnium tempornm physiologi humanae quibus dcsudarunt demonstrandis et expla- in génère aliammque abnoimitatum catisis et monstroium nandis in , lusibus oiganisationis participes nos reddere, neque observata oninia, qaae nostro ex specimine redundare possent, funditus exhaurire intendimus. Quatuor hoc pacto adnotationes ex recensîone infantis, hisce paginis connotavimus , historiam cujus animadvertendas proponimus, tjuarum prima prae ceteris in definitioneni et classificationem abnormitatis inquirit, altéra vero perquam dabii sexus occupatur analysi. Tertia, missis mon- diiTicili strorum rationibus in génère, tractabit de causis et origine monstrositatis hoc tantcim abnormitatis ejus promptu in cum ratio in subjecto in specie, sit. Adnotatio quarta , praccipuos spinae bifidae caractères inquiiens, in operi finem imponet. Adnotatio I. Abnormitatis Claàsificatio. Infantem vimus monstrum , argumentis. qui in in Non operum ipsa fas hujus commentationis fronte appelaest , ut liunc titulum comprobemus insistemus hoc sensu definitioni anatomicorum Mi.-noires diTAtad. T. VI. minorum~^tomo Ilalleri, III. 4^ p. 3, 3^2 moiîstinm appdl.Jt ahcrrationem anrft::!if a adeo eridehtem , ut Igftarorum ociilos speciei fabrica cnoies enim qtianlitatis adnnmeiat sitatibiis nis intercédât mitivae iim tribiiendi grave opinione striim abnormitate individmim qnod Que minus autem conformationi pri- dummodo formae oculos cadat , qnidem nostra qiiarc viti- humanae mon-- speciei ex conformalione primitiva ma»na corporis contraria, prorsus aj)ricc) monstio- qualitatis cri-oies in mecetur, borat illi an morbo ; tantum iilnd dici nonnali ntrnm sint, et sit , in minime advettens, quantum disciimi- , eo, in ac aeqcie sune consuetci Drfinilionem hanc nimis esse geneiaKni, feiiat. est, et'uim vol et insi<^ni , Id- struciuiae qdoad qiialitatem partium. assentimus Ilallero in monstrorum défi- nit ione, eo lubentius ejus classificationem amplectimur, qua rite distinguit rcspectu partium illa per cxcessum , in monsU^a per defectnm , per transpositionem, et pcr transformationem , classis in abnormium addendo hisce subdivisiones cujusvis specie. Fixe jam dubitamus, ita recto infantem, monstra dijudicandi de quo nobis sermo modo , est, nulli omni jure ad. monstra référendum esse, omnes enim in eo deprehen- dimus caractères; qui monstri definitionem absolvunt. Aderat error formae ^ confoimationi error nativus ; naturaii error pcrmagnus valde contrarias^ crior et insignis, tum quali- 363 tiim tiMh, - quantitatis, et tcitn extcrnaruni, cj'iani fisi objectionis vix , monsLii q(ia ttiia lari coiUia stntcnti.iin, , quam etsi maxima Acce- limnani dcfonnitates recenseri .posset, pars quod hoc in striic- servaverit legiiimiim. corporis dit, infanti, ut inter simplices corporis typum esse tribLiendiiin pliaenomenis instar a abenabat nimium reliqiia phiriu;n, Uisce uiionibus con- tiinemcis judicaiTuis abnonnitas légitima pariidiii corporis iiiu inaruDi. aliquid tiliihnii insii^nis cnJLis cjiiidein subjecto onmes omnino obx'iam vcniant idque ad qciamlibet caractères ciijusvis speciei mohstrorLim, eorntn classem pertineat ; erat enim id monstrum per ex- cessiim , per defectutn , per transpositionem , et ptr trans- foimationem. Per ctcessum Membrnm : maramillares papilldc virile utroque inguine; in praegrande; spiiriiim utérus spurius duplex. Per defedum poribus : cavernosis Dcfectus urethrae prostata et coi- vesiculisque seminalibus; ticulorum aeque ac ovariorum ; maximae cum partis coli; absentia tes- absentia intestini coeci et absentia renis succenturiati dextri et quintae verlebrae lumbaris atque nervorum sacralium po- steriorum. Per transpositionem : Abnormis directio testini jlei et recti; cjeviatip weteium, et exitus in- et vesicae urinaiiae 46» 364 bipurtitae translocatio ; abcrratio situs inversus uteri spuiii geminij meduUae spinalis. Transmutatio Per transformationem : formam pénis ; intestini ilei in mammilhuia dimidiatae vesicae corpusciila urinai iae; corpuscula oli varia loco uteri, et singularis de- nique illa degeneratio caudae equinae per spinain bifidam, in folium medullare desinens. Peccabat igitur structura hujus infantis partium non- nullarum superadditione,, plurium defectu, aliarum translocatione nec non singulari quarundam contra naturae legem transformatione, ut tanto deformitatuni stri onini jure numéro nomen mon- meruerit^ Ad nG IL t a t i o Monstrl Sexus^ Cum tanta esset genitalium hujus abnormitas. atque- infantis,, confusio partium ut spuria quaedam utriusque se- xus contineret vestigia , neutrius tamén vera , camque caractères sexuales proprii re ipsa essent ambigui^ etsi primo intuitu valde apparerent distincti , singularis inde ^ curiositatis indigna cujusnam. denique Anceps in anceps igitur _,, cuivisj sponte- seÈer obtrudit sexus mirura aeque ac difftcilis quaestio, fuerit monstrum ? genitalium erat natura, iilud configuratione particim neque in determinando sexa 365 ilactiiabit opinio, cctLir donec ad certa de hermaphiodismo revo- piincipia. Constat ex praemissa superius anatomia monstri, partes adfuisse génitales utriusque ternas , tum de loco solito internas; in sexus complures, tum ex- praesentes denique ipsas fuisse \ri alienum translatas, vel a naturali forma multuni aberrantes, vel singnlari inter se modo confusas. Exterius corna illud praegrande, quod tum magnitu- dine, tum rubore, priapi gerebat omen, quodque respectu siius ad extemam pubis regionem et propter figuram suam cylindricam facile pra virili liabebatur membro, non potuit primo intuitu non indicare sexum potiorem. men illud non erat, nisi Membrum ta- spurium , seu supposititium , erat id scilicet iléon intestinum , pénis loco foras productura, deerant enim, excepto scroto, vrra omnia sexus masculin! organa externa, ut supra jam monuimus,, sive> quod idem est, erat virilis raonstri caractet omiiina spurius. merito pénis ille dicitur moastiosiiSj tum respectu magnitudinis , normitatis intrinsecae ^ cum esset vero intestine, peni im-- tum respectu formae, praesertim vero interna Non respectu ab* eju& structura similis autem nullatenus. Ita etiam, se- xus sequioris partes génitales externas defuisse omnes, ximus; desiderabantur enim labia^ vagina, externa omnia pubis femineae vestigia. clitoris^ di- verboi 366 Qao.id loco snnt duo dignii commcmoraviinus coipnsctila ') tiiram notiitn intf^riora, parielum inteiTcim duo ex hisce iîdi illi €tsi pcrqnam scrpcntini, oiUi taincn, fimbriato tiibis (jii04id coipusciilis vasis df fncntibus utciinarum vices agentibus. continiii, \'iii siio, siciit similes , liic tamen se- Dcerant xui masculino interius vesiculae séminales ipsae, niineo ligamenta utcri sLruc- direciione et fine situ, feminae , candoie autem iiteiinis et habitLi et structura tubaium olivjii.i, feminto an.do^j^ pono ni- sexiii canaliculi , qnne sno i\la, tx Patet et ovaria. sic his ut fe- omnibus, quaedara intus adfuisse utriusque, et plura quidem sequioris, sexus indicia, deficientibus reliquis: ipsa vcro pracsen- tia fuisse spuiia, rum omnium abnormia, confusa; caiacterum tamen ho- peifectissimi eiapt utriusque uteruli patietes et fimbriae. Si in jam cocxistentia paitium genitalium utriusque sexus eodcm siibjccto dénotât maphroditum spurium in specie, ractères ipsi fuerint .spurii , maphroditis spiuiis M'nshergil ') VÎT. quidem her- dum parlium illarum ca- elucet , adnumerandum peit.inebit ille infantem huncce heresse. ad, classem ') Tiib. •^ Ccnimcnt. de singulari gcnital. fi. et hermaphroditum, Juxta mentem hermaphroditoruin g. defortTiitate et hcrmaphrodltis, Ç. i6. 367 qnaiCIim, seu nibnstro^am, plLiiimcic non sf)ùric!é Ulteiius aiilém sae. moiistroslis jure sit^, iilri(jnc' si sinsjul.ire ac lio'imn cjiuieVas' ',' rfn an omnino monstio- heimaphraditLrs isie andtogynas paiitis hôc natttrae phacnomenon eodeiii in-ter censcbis' esse, adpaiet hermàphrodis- acleoqiie-neEitra' eJLis spocies , doncc anatomia partes illo eniiu in infante cum externis, tantuin occurrant viriliaî; simul iitramcjLie habebis speeieni-, pa^rtes ciim exterius soLi autem considerando interna androgyniim'dicas , si in quo utriusqoe sextis praedominanfur mascnlae_, an* drogynam vero, feste sed fueririt, nccitii- adsci ibendimi internas ncin cdmbinavéFit inler illa/mn gonitalitfirr parritim ntilliis Ncutii: miis , sohnn andiogynos, i'iuer icfcrenctus cum qua praecellnnt femineae. in Hic mani- exterius praedominabantiir genitalia masculina; pénis scilicet praegrandis, cientibus etsi hiuliebi'ibus spiiiius, et scrotum verum. deti- omnibus; interius autem nohibiliores erant partes femineae, uteri scilifcet duo spifrii, et fimbriaé verae , virilitim , posita, dum illis ambigua illa intérim si hue referas; unde narum androgynani. riusj ut ita perparum ^uid ap|^ositum esset vasa deferentia , jiatet , tubarum loco ihfan'tem respecta Erat îgihir hermaphrodilus inter- iile spu- ex caracteribus externis et internis compositiis, seu, dicere liceat phroditoa spurios , occultirs , distinguere in sfquidem placnerit Iiermaconspicuos j qui aspectu 368 externo spurios utiiusque sexus manifestant caractères, et in occultos, in quibus alterutrius sexus vestigia latent in- visa dere enim atque diversae indolis exemplis lu- Variis terius. est génitales partes dum uno eodemque natura , iitriusque sexus ita ut caractères unius modo , collocaret exterius, intérim splos , in individuo nonnuqam disponeret, modo altcrius comités, dum alias sexus oppositi notas vel seorsim, vel perles organa sexus alterius, intimis hu- manae structurae absconderet lepagulis. Verbo : monstrum illud exterius ad appqrenliam «rat puer, interius androgyna; ulrumque auten^y simul consideratuçi, to sistit in sensu stric- hermaphroditum spuriumj monstrosum, cccultum. Adnotatio llï. Ratio manstrositatîs. Duo snnt_, nuperrîmîs quîdem ^analomiae demonstratiolîibus probe strositatis cognita , originem tquae gcnesim et scilicct intestionoruni peiiodo legitimus ; yesicae urinariac, ad expliçandam hujus mon- extra et tune faciunt piapcipue ; umbilicum , noriiialis prima bipartitio situs embryonis atque invcrsio quoque ad exteriorem imi ventris superficiem obviae. In dato infante primus jam docct ^spectus, . parietcm ^bdominalem anteriorcm >»l?. infçiiore parte regiotiis epjgas-? 369 ad pubem usque , ti-icae tandem coalitione succedente antea , et plagam illatn in loco fissurae labiam contraxisse, qUae longe lateque circa circumducta limbilicum quateniis erat ; enim plagae ex- eatenus locum denotari censemus , tendebatiir riibor , ubi qtiidem sibi respondentibus , exteina tamen musculis , rite tegiimenta supeiindiicta nativitatem in Talis fuerant^ restitisse hic ante videtur fis- et vesicae, exterius retardatae, in recens Patet superest» non abdominis linea alba sura, qualis in casu nato juxta longitudinem fissum fuisse prima embryonis aetate ca- scilicet Vum abdominis, ut, quod infra dicemiis uberius, extrorsuni tune deprehendantur intestine et ipsa vesica urinaria, sita quorum successive nalis fissurae ititroëuntium in ambitu paries abdomi- modum in côllimat. Dum vero nascitur loetus , stante adhuc vesica, immo et oculos , penitus salutata, non potuit enim prolabi^ quod intus in cavitatem inversa , nondum retardatae ac inversae abdominis rubra quasi spongia, destillat. s;rc , improprie prolapsus nornine siipeificiem Vesicae ita exterius villosa interna , ad ex- patula , lotium tune ex perquam abscondito, extrorsura rara vesicae, ita occurrunt cxempla , adhuc haerente et membrana fonte extus tune vesica nuda cadit sub susceptum. erat Neque nimis et _, intestinis abdominis teriorem fissura ^ extroTsum inver- ma^no enim auctorum compro^ 37a bantur numéro, inter qiïos classici eminent/îoojie ^) ctHcrder '). Similcm hic ttansenn^m tantum conîmeoioiasse liccbit per quam, afcnornïit^tem , servavimus anno sano, piiioscntc siniul atrosia 1809. in invcîvsioiws cujtis ])tiero intclligitiir vivo, dcceimi, cetomm vesicae delineatio cxtat in musco anaLomico Cacsareae Univeisitatts Facile membii, ob- Viliieasis* ex ante dictis, in nvoir^lro, cnjtiîf his- toiiam scribimus, eandem in linea alba abdoniinis praeexfissuram, titisse quae alias sic dicto inversae vesicae dein um- hic aLitem toto in tractu a sii- naiiae piolapsui ansam praebere, et circa sokim bilicum consolidari solet, nri- perioribus deoisum coahût, rémanente tantnm hiatu partis infimae, transeunti intestino dcstinatae, atque jecto insinuanti sese ileo inservientis. cerum abdominaliiim versus inclinatio, docet umbilicum ; infra adhaesio et hoc in siib- Quanta auteni vis- fissurarn illam antrorsum fuerit hepatis ad peritonaeum usque quantus in niusculorum hiatus , loco fissurae quondam magnus tegumentorutn, esse dcbucrit ope intercedentis ibi plagae adhuc excoriatae distantium, testatur ambitus, etsi subjacentes hi musculi ipsi perfecle juncti jam fuerint, et clausus rite umbilicns. ') *) De nativ« vesicae minariae inversae prolapsu, Gott g4> 4* in puella observato^ De nativo prolapsu vesicae urinariae inversae 1 , Jenac 1796. 4. 371 Oiiemadmodiim vesica tur illis tui, iinLe intestina facile nato saepius observa* leccir^ abdominalem residua , sive , et in coarctatjonis retardatio a illa suam peregiinationetn propria iiitestinoium , dicemus, procrastinantium ineitia, Eniinet tune ad umbiliciuii laxitate, magnus intestinomm quasi prolapsus, qui pioveiierit. congenitae de qua mox , sive a n.ima musciilôrnra ipsoram umbilicalis ita pênes funicnlunî uinbilicaleni extcrius, occurmnt haeieniia^ in ipse hiatus umbilicalis j«sto serins contiahi- quibiis , igitur fissuiiim nomen vulgo herniae obtinet, etsi solo peritonaeo involutus, et omni velamerito cutaneo destitutus adpareat, dum intérim bus oducta tam liernia Signnm sit. id est caracteristicum, adeo enim. inter se dilTerunt , classificationem nosologicam exposcant. niarum quod cer- duas herniarum umbilicalium species ponit dia- inter ^nosin ; tegumentis communi- umbilicalis vera in génère caractères propriam ut requiritur , sibi genuinos her- Inter ut teganiur illae indumcnto cutaneo; itaque herniae umbilicalis nomen non meretur, infanti sese quae cute obtegitur, paulo post nativitatem emergere , decidui marri: nisi illa jam aut a in et qualis nonnunquam loco funiculi umbilicalis difiiciliori partu evadere solet vero species herniae, de qua hic agitur, ipso oflert nativitatis Icmpore ; portio scilicet norum, tune ad cxteriora umbilici haeientium., intesti- solo peri- 47* tonaeo involiita immo nonnunquam vel hoc Neque herniam dixeiis, ipso careng. déficiente cute ; neqiie prolapsum intestinomm , quoniam haec intestina tune tempoiis, quod de vesica diximus, nondum erant intus etiain ne ; ut enim infra intestinoiLim extra iimbilicum est positio, in abdomi- videbimus, légitima in embryone haec quae post nati- vitatem vertitur in vitium. Rectius forte hic tumor vecabitur exomphalus, eodern saltem jure, berans , quam quo bulbus ocuh, exophthalmus dicitur ; extra orbitam protu- modo enim nomcn illud exomphali usurpatur pro hernia umbihcali, modo pro versis tumoribus in regione aliis , di- umbihci occurrentibus, promiscLie. Exomphalorum horum exempla non adeo qui- dem rara , sed sine medela sunt omnia , paucis post diebus nativitatem plerumque enim miseri taies infantuli ine- vitabile subeunt fatum, cujus ipsi tribus in casibus fuimas testes. In uno illorum ipsi nativitati infantis, concessum nobis fuit , assistere quem, brev^i postea mortis victimam, conservavimus in collectione anatomica Caesareae Universitatis Vilnensis. yratislaviensis tio adhuc ') ') aetatis Viderunt tamen , quasi per exceptioncm, infantem alium, hoc malo affectum, anno vita superstitem. Bresl. Sairnnl. Vers. 17. p. 90» ter- 373 jam embryonibus hune intestinomm tenerrimis In tum extra umbilicum delineaveiunt Alhinus '), Soemmerrmg *); van Doeveren '), tio praeterire licet, nes meminisse H'risbcrg *), plures alios silen- si tamen hac in re dissectio- solertissimas jiivabit , et, si^ demonstravit qiiibus Fridericus /. situm hnnc intestinomm usque in tertium ern- Meckel ^) , biyonis mensem esse normalem. duare status intestino- si mm exomphaliciis usque post nativitatem parduraverit, in eo tantum error naturae videtur consistere, quod id orga- non illo tempore perseveraverit etiam evolutionis gradu , bus competit. in inferiore adhuc qualis primis tantum embryonis mensi- Magnus est numerus auctomm, quorum ob- servata de hac intestinoium retardatione, seu sic dicta her* nia umbilicali recens natorum, testantur: omnes in eo con- veniunt, abdominis viscera tune in hacce contineri hernia; omnes tamen id signant titulo. par cum vitium incongrue herniae umbih'calis dé- Bene ceterum animadvertit Richter ^), he- intestinis plerumque in hisce contineri heiniis. ^) Annot. Acad. Lib. I. Tab. V. Fig. 3. *) Descript. anat. embryon. Obs, II» 3) Spccim. obs acad. pag. Sq» *j Icon. embr. hum. Fig. III. ^) Abhandl. aus d menschl *) Aafangsgr, d, n. vergleich. Anat. Wundarzneik. B. 5. §. 5ôQ. u. Physiol. p. a84' 3o©» 374 Onmia observavit biûda Ibdomihis viscera imiTio Uuchmann i-efeit Aliter aiitf>in enim ox proclivitate teni n^quc mïrd nostro hkckel in monstro Iiepatis ad iinterioiem umbilicum interius cnm spina habuit ; etsi siinul F. et J. ^) res exOmpIialo contenta tali Exoniplialmn '). Saiidifoft in '). se abdominis parie- accreti , esset facilis conclusio, hiijus etiam infantis viscera pdiis extra umbili- cum collocata fuisse ; in nato tamen infante consolidata jam umbilico, intestina cuni he}3ale comprehensa jam erant in cavo abdominis , phali , nilûl jam ut ita observaretur seu herniae connatae extra umbilicum , intestinuni , exom- nisi ileoii non forma herniae , sed loco pénis exterjus a pube pendulum. Singularis oainino haec erat abnormitas, ncmini forsan hucusque observata, quam ad intelligendam loci theoriam opus erit commemorare hic quam de umbilicalis , de usu vesicLilae structura animalium in génère inge- nio&issime proposuit Okcn ") quamque de , observatis confirmavit Kieser '). specie hiimana Erit illa nobis aiixilio in ') Ephcm. ") Obis. 3) Handb. +) Okcn und Kiaei-y Beytragc d. vcrglcich. Zoologie, p. 3. Heftll. pag 84. Tab. IV. Fig. III. IV. ^) nat. cur. auat. d. Dec. II. 6. c. p. li. L. III. pathol. Anat. B. 1. p. i35. Dcr Unpiung des Daripkanals Gottingcii. app. obs. 45. a. pathol. aus dcr p. 54.. i8o6. vciicula umbilicalis 1 Ileft I. 1810. 375 demonstrarvda origine hiijus inonstri , fors et monstrnm in- aucLoribns sciviet umbilicali vc.sicula. m.ie de illae deraonsttavit in priniis ventilata nondiim iroljjins diebus extra res lit illo ait, adhuc deprehenduntur embryone in spuiii, cum de usu ve- tcnipore inter physiologos satis ex piopriis ejus adeo prima imperfectum aliorumque illa periodo, et angustum in illa funiculo umbilicali , dnplici dccunentia, quarum iina intestinum tenue, crassum altéra dénotât , ccns tenue , abhinc annis ut ejus in cavo intestina contineri nondum pos- sint , série jain cavnm abdominis con- dcductam , obseivatianibus est, in incubatis fucrit. embyronis abdomen qua ovis in intestina ') , Juxta stntenliain Okcnii , aiictorum exactissi- iate&tinoriun cavitate amnios, iimbilicalis sictilae hnc fdciunt qiiarmn opp quadiagiola puUi gallinacei tincri ^laltuin etiam fain>.itione obscrvaliones , abunde conûrniandam theoriam de ad vic,issi?Ti iitrumque in cavitatem abdominis delites- nimirum fine interno sursum continuatur ser- pcntinis ductibus ab umbilico ad ventriculum, crassum vero per interiora intestini finitur in anum. Arabae utriusque extremiates externae, paralello situ sibi contiguae, immediata *^ desuper tune continuatione Nov. Comment. Acad. T. XIII. pag. 47Ô« scient. hiant in vesiculam iimbili- Imptrat. Petropolit. T. XII. p, 408. 375 calem , tamen hac vesicula , intestina in ipsa munis quasi bulbus, e Non continentnr amnii positam. cavitatem extra sed est haec com- pênes invi* qiio intestini utritisque cem emergit principium, quam ob rem bene docet Okenius, suam trahere e vesicula intestina originem umbilicali. Ea jam proportiône, qua augetur imi ventris capacitas, quaque is suam magis magisque cavitatem in paullatim introtrahuntrilr quo ut externae fit , elongentur , intestina, haec per umbilicalem finiculum, eorum extremitates continuo magis extcnuentur. et adsciscit Tensione hac indies aucta^ vesiculam inter et intestina commune quasi porrigitur col- lum seu ductus umbilicointestinalis , stantia relativa vesiculae donec successu temporis adeo, ut hac quodam cujus umbihcalis ipsum illud interventu di* augetur collum extendatur puncto obliteretur penitus, in continuo, et absoluta obliteiatione rumpatur cohaesio> atque intestina dere* linquant vesiculam, ipsa particulam colli secum trahentia. Exlemae tune utriusque intestini extremitates, quae semper sibi in situ paralello erant contiguae, nunc sibi res- pondent ad angulum, qui valvulam coli efibrmat in pos* terum, tractui communi quasi intermediam. tem particula illa colli, quam intestina Exterius au- secum abripiunt, mutatur in intestinum coecum, cujus processus vcrmicularis cxtenuatam colli obliterati caudam refert. Post spon- 377 vesiculae t.iiieam illam ulterior succedit niinis , atque dantur ila, umbilicalis inlestinoium musculi ut in scparationem inirotractio in sensim cavum abdo- iimbilicalem funiculum clau- ciica normali nativitatis tempoie nihil statLi jam inlestinoium conspiciatui exterius. Nostro in subjecto natura huic regulae aliqua tantum ex parte obtempérasse videtur, ex conditione erroneum cruitur, facile impcrfectnm et fuisse caus.im lolius obliterationis , quae consticta ;ialurae le^e tractu intcslini jara in e}us allitudine , Cum scilicct ut infima enim abnormitatis illius opus fuisse huncque conformationis abnoimitatis. intestina inteiccdentis^ ipsa in Jlla média errorera nimirura obliteratio, visiculam tt colli ^ parte absolvitur, hoc in infante ipso CQntigit, crassi colon inde et quidem coli tanta brevissimum. resultaverit tantum adesset in portio, recto jam proxima, videtur dcficiens ejus principium propter oblitejationcm , Exclusa parte ita potius sive nimis loco alto positam, cvolvi excludcbatur coli , futura cjus origo. non potuisse. simul et coecum, Quamprimum enim collum vesiculae non dchisccbat Icge solita in mcdio, sed ab ipso canali inlcstini proTïima, et simul coli , seccssit cum sc-d illa crassi, immo cum portione collum vesiculae intcgrum ; vcsicula in etiaiii MimoirtiitVAcai. \"el T VL vanum pars colli , cjus abiit igitiu- absccssit non soltim pars quac coeco elTormando 4^ 37S esse (Sestinata Intestinum soict. quod ab- obliteraLione colli vesiculae in ipso separationis il- soluta quo valedixit vesiculae, lius piocinctu, ro crasso respondere debuisset dam autem tenue, valvulam , coli in ja m niinc intesti- continuum ad etTorman- errore typi normalis seorsim a collo vesiculae solutuni fuisse videtur, aut avulsum ; nnde fac- tum ut nunc , est , introrsuni delitescente, deielictum retardatuni, sedem futuri pénis occuparet, ibi- in transitu cum non q^ue coeco , et colo praepiopere déficiente haberet, Neque fine hiante , libère' cui nec locus modus valvulae. desnnt exempla, in qnibus tenue sépara- alia erat a crasso. tunr et ipso cuinam adliaeiesceret parti, lesiduum dependeret a pube , erat inseïtionis,, nec exterius iléon, In distantia separati ilei et coeci in- tercessisse vincula filamentosa et cellularia, refert DesgraH' ges caecos ') ; fuisse, ubi quideni his alio testatur tractus dircmta in in intestinalis fuerit hi ipsis i) Journal Osiander nostro Bulletin?, erat adeo' obversos bipartitus ,. intercedente haud ut penitus pancreate.. satis analogi ,, Sunt nihilominus utrunique intestinum erat scparatum, etsi anibo de Med. par Corv'isarfy an X.. Thermidor. ^ Neue Dciikwiir.'ligkeiten etc. ^ sibi imma casum notât yJubery ^j, '); continuitas , casus interruptionis fines I. de la Socic^tc de Mcd. B. I. Tli. p. 1806. J,aav. 17g. 379 abdomine, ut adeo millnm constet •exera- «continerentnr in pluin nostio pciftcte simile. ratio ex iisdem Ctini tamen illomm qiioque eo solum dis- deiivanda veniat, fonlibiis iitrumqne intestiiium, abnormi obli- crimine, quod in illis tcratione laborans, cavum .abdominis receptum fuerit, inte- Tim diim fuciunt in alterum hacc omnia tamen Okeiin de usu tatis nostio retardatum haeserit, exteiiiis confirmandam ad vesiculae umbilicalis, et nostram monstrosi- explicaLioncm in dalo infante .comprobanL Quantumvis doctrinam hanc, ab Okcnio excogitatam , et ar2;(imenlis experimcntis oppngnaie et et a Kiesero et Mcckeîio Jlofstetter (vide Aiiteniieth, nint Band entianim annos cula l.ucae hortim intestinorum in Caesaieae Academiae sci- qnodammodo htijus doctri- animadversionibus de diyerticulis Lucae anat. originem quae jam ante CoiifunuUur porro Okcnii the- im Darmcanal. A%rnbcrg, culorum tcet (vide actis prima nae fundamenta posuerant. intestinorum tentaverint Enimett observationibus , in Petropolitanae rcccntioribiis excnltam, ulteiius iSop.), nihil tamen detrimenti infe- IVolffii scx ingeniosissîrae Aichiv fur die Physlol. von Reil luid : IX. gravissirais qiuidraginta Oiia doctrinam Donerkk. die Diverti' ïiher i8i3.)î qnibus ille diverti- codem ex embryonibus fonte , pristina sçili- bipartitione /l redundare o * 38o nnde dorct , sehiin disciiiDino, tùmis luiJLis tcr monstri et ciiiod genesim derîvavimns , nostri nitnlcMn j'.ixtii biparli- Liicac loctis cmbiyanibiu non in inteslinuiUiii eo constan- iil idem. Ties propeinodtim de loco prima pailitionis slant sc-nk-ntiae : ilkim sru in parte inia et Okciiii ad valvulam coll ; siipponit valvulam , pristinnc intestiiiomm ilei ; alicra Mcdielii, supra terlia deniqiie Lucac, modo in tenaij modo in crasso intestino sedem pio naUi re coiuin altciLUiLim bi- Kic^erl lociiin indicat, cvolvaUir piins et nt ex- act! us. Piimae speciei fere adsciibimns nn^trn'ri ceito enim adorât separalio loco in fiilurae val\ulae coli^ adcrat enim iléon, de» rat rationem ipso loco valvulae coli, ad fuisse in coccum, fbrmandam crassum conspiiare iinde. debiîisset exompTum^ colligimus, sepa- cum quam con- tenui, Quemadmodum vero ex abnorniitate intrstinorum hujus iponstri confiimatur thcoiia Okciiii de migialionc intcslino- lum embryonibiis, in servit ad formatione ita idem hoc monslrum qiiocjne corrobor.indam sentent ia m vesicae iléon intest inum ï} Handbuvh d. uiinaiiae rctardatione p^thol. anat. 7. F. Meckelii '). Si enim sua ad exterioia 1814. iJ. L pag. 716. in- de coii- consideremus;». pubis de* 3Si tentnm, et membri et mcthrae occupasse lomm, rorximqTTe praepedivisse eiii, cldsain T>; exisU-ntidni , quocjue \'f-!cain ni ICI fuisso, et Si , euni copd'oiînanLiir scilicct at(]ue /ciaveiit in faciJcy quoad retaidaluni statu in vosica evolutioni-s stadium^ itltciccdente usq.ue post ilca piohibita nativilatcni peisc- enibiyonis. Con-wruit hoc phacMionirnon bus , bipailitionis primitivo, statu coinposilio infant is quac , inti. lîigitur pcistit:sse ejus sit vesicae fuisse abnoimeiij non quoad lantnm nlterior fueiit, posr. emb'vonum le^^e pailes di\isa in U:iica:n sed vrsicani du.is sein[)>M" V'^«ic.j!ii monst.ro slatiini in Meckelii vo^ica tncntein priin tus in situ exiioisum inversa nuuniiiiliae labiae. villosa JMXia jani norinali ciiilibf t, fonnam. Hientirbatur sciius cx- Quae Litciik suus e \cnc lespondobat uirtor, cujus- insolito, mciiibiana Tcm piimordiis itle£;atarn in a sua sxmIc m lUiocjive in ini.;njne adjjarcbat papilla, aliud nihil nali\'ilaLcin cjue iiiu.iiddvcitc ndiim iuiluic co ipso âc quain scMnivcsica uiinaiia, qiiartim eiat, lioc m.igis iirinciiiaiîi o-bservalionibus aliis, qnam cnm aptissime dua^- quarum unain notât Fohiii ') -, akeiam Soemmcrrlii^ -) ; exemplis- innix.us, indux,it Mcckcllus, simillimiim rite period. *) SedHlot Recueil *) Tc/^, Qiiatst. mi;d. at(}ue hisce T. XX T. pag. 353 varii nrgumcmi. aliisque monslrorurri duabus — 3"4' Harderovici lygi- p. ^3- 382 «X laminis esse cnvrarum corporis humani ortnm «icam urinariam inveisain titam, ut vi, inilio sese et prolapsam sistat, et intus trahi docuit jam drtar in Si eiit : forsan et bipar- dcin convol- qiio datnr sicuti icciproco hoc in forsan quaedam analogia qtioad modiim, opus peragit '^^e-i '). foeta a5cen=;iis vcsicae, descensns , testicLilorum apertam exteriiis occurrere et , processu natura diveisum id urachus vesicae, qiiod guberna- culuin Ihinten est testiciilo, et in casLi retaidationis vesiexteiius inversa, sicut a letaidato tesli- cae manebit CLiIo inlus lalet testicondiis. illa Mammillas .autem inguinales hnjns monstri quod tinet, «id omnem -evitandam suspicionem, an at- consi- illae non fueiint pro supplcmento monslroso mammil- deiandae larum pcctoris, transpositionis Insu forsan ranlium, supra j<im in inguina aber- monuiinus, infantulum papillis mamil- larum normalibus instructuni fuifise superficie pecloris, in sede légitima. Quod ratione ilei contigit contigisse videtur utero, ocupabat solite loçum etiam uteri, unde vesicae enim iléon et ille 1. c. p. 716. 734- situ quoque duo puscula olivaiia scjuncLus dctincbatur ad i) urinariae , latera, idem suo inin cor- non inver- sis qnidem. fandus paiietibus , et iitcrOj- sictit vesicae tamcn ininiutato corpiisculi utiiiisque uterini sitii esset adeo inferius. tit ,. Fors; urinariae, prima embryonis peiiodo^ bipartitio et silus inversas, conditiones sunt staLii normal! fiimiliares, AdnG t a t i o- IV. Splna Bljida. Au tumorem, irr regione sucrali hujiis infantis positiim,, pro hydrorhachitide,. utrum. pro spina bifida habere liceat,, diJLidicanddm superest,. quam: ut exactius resolvamus quaes- tionem, propius examinanda erit utriusque- vocis vis et significatio. Spina bifida et hydrorhachitis seu hydroihachis pro synonimis haberi soient impropiie,, realis tamen inter iJIas intercedit dilTerentia:; datur enim hydrorhachitis sine spina; spina bifida , quondam autcm observatur. bifida sine .hydrorhachitide rarissimô Hydrorhachitis; nlmirum,, seu aqua- mm collectio in specu vertebrali, locum habet aliquando sine ulLi spinae dorsi fissnrra;, ubi vero' fissae sunt spinae, plerumquc' subsunt aqiiae in specu,, vel q^ualecunque de- mum nisi extravasatum hic distrudete uniciis,. volet, aliud ; vix: enimi morborum. aliquis, scnsim sine sensu spinas vertebrarum ut fijiddntui instar juguli, eO' dum. spinas. 384 irt Halleii vcibis ntamur, aut non sinît coire, ant maie ') dividit conglntinatas hdcc nibus fissiuae processus spinosos ^) ossium conformatione aut , quasdam spiuas quare penitus , esse spina ipsa vèrtcbrarum in om- prima saepe a sive potins im}:>erfectos, fissos , aliasve , tamcii abunde cnim deinonstravit ratio , est l\luiray Ncquc oblitérât. et \'ertcl)rarura partes deficere pleriimque vcl connata bifida apparet, vel primis sallcm infantiae solct temporibus, oriri donec spinae adhuc vcl cartilai^incae, vel tenerioris saltem oseae compagis sunt fissura visa rarissime ennn : jam spinis est, adultis ejusmodi in Qui de solidioribus. spinis, vi externa ruptis, notantur casus , hue rcferendi non sunt, cum hic illa solum spina quae bifida , ex hydrorhachitide. oritux Eadem dam loquamur de loci igitur interccdit intcr ratio, hydrorhachitidem quae inter causam et spinani et eflectum ; bifi* iis ubi hydrorhachitis spinas dorsales dis- scilicet in casibus, trudit, erit spina bifida effcctus hydrorhachiîidis; ubi \e- ro connata aquas , in spinarum ratione spinae bifidae. ctsi spina non reciproca Cum sit fissura temporis invitavit succcssii hydrorhachitis bifida, T. IV. distinguenda erit ') Elem. -") Spinae bifidae ex irala ossium conformatione pliysiol. erit clfectus tamcn hydrorhachitis existere possit, p,ig. hydrorhachitis 87. initia. Gotting. 1779» 385 in clausam et extiavasatuui aqnarum, in spccu coërcitum; seu tebralis, clausa sistat hydropem specus veï- fissara, iit cum evtravasati tumore, ad ex- vcro spinam bifidani fissa teinam dorsi supeificiem conspicuo. hydrorhachitis casu Slante hac crat fissa ; \era scilicet spina bifida cuni tumore extrava- siUi in est, frcquentior enini occuirit in regione lumbari; laiissimus dcnique nostro diagnosi , in Raiior quidcm hujus loci morbus icgione sacrali. dorso aut coUo. in Qiiod auteni majoiis momenti esse, et singulaicm omnino altcntionein videtur , mereii sibi miia monstio caudae equinae est transformatio, cujus re anatomica notatu videtur exemplum igitur observatio in et cujus unica nullibi deprehendimus., hoc in illa dignissima. Aliis enim iïi casibus spinae bitidae cauda eqnina, per hiatum spinarum in tumorein seu saccum externum egressa, extremis nervo* rum suorum finibus interno et eo inseri , delineatur more ; _, autem nostro abnormi , 1. in vel lumbarem c. . 1I( id in primam succedente prorsus , res àlio modo. parieti affigi Nullum formabat , altcramve ' ' ') fatiscit ; idque valde ut intra formare !' MimoimdetAcad. T.Fl. solet Mohrenheithil specimine collîquàtione subjecto liabebat se vcrtcbram ') quo fere , ipsius sacci 49 solet. 386 medulla spinalis nodulum centraîem; nullam pono caiidam equinam, scd individiia continua batur nei vos ut in spcciim sacralem, inde reddcret sacrales anteriores ; paries medullae posterior, nullos in nervos disjunctus, aiiteni scd con- tinuo solidus et integer, per hiatum spinae sacralis bifidae in saccLim tunioris externum egrcssus, et sub egressu quasi huic spinaruni posterius insidebat detruncatus ipsi instar folii medullaris explanali, quod cinereae potius me- dullae spinalis fisscnae substantiae erat analogum. Connaia haec medullae spinalis abnormitas, cujus origo nec erat spinae bifidae, tribuenda lare aquis , serius sicut foict. nec vi aquarum , Allutbatur in sacculo conlentaium, quidem folium e specu transcuntibus , illud undique profccto futurae macerationi obnoxium , ipsa columna , medullae fissurae et medul- continuo, nunc vcro nec quoad coloiem , nec quoad densitatem substantiae suae depravatum, quae pluribus in casibus, macéra tione diutius perdurante, vel emol- vel colliquata, vel corruptione immutata adparere solet. lita Aquae, hoc in quae aliis turaore contentae, erant limpidissimae, in exempîis plus, minus, cruentae aut ichoio- sae occurrunt. Aquaium fontcm Ti cujus illae, ler posteriorem internas suppeditavit hydrocephalus, vcntriculo quarto ad infcriora disrupto, in- medullae spinalis paiietem ejusque vagi- as? nam desoendentes, per spinam bifidam ossis sacii in exter- num tumoiis saccuni insiiniatae, colligebantur. quod Notavimus , tae medullae fuerint ^ quidem extremitatum hae tamen extie mita tes nervis , infeiiorum praesentibus scilicet paralysi affec- spinalis pars infima, horum utpote nervoruni origo, aqnis in specu vertebrali contentis 'nimium compressa, non potuit non quariim ab incolumitate functio explicaretur incontinentia urinae nervos ad intelligendam recurrere ; et inversae sacraliLim uni- ita illornm cum sympa- vesica per totum in opas esset ad incontinentiani vero in statu vesicae disjunctae cavum , deerat et quod susciperet , si- et qui contineret lotium , ut adeo ejus incontinen- spiiincter, tia per magno anastomosin , siquidem abnormi , mul nervorum Ex paralysi porro nervortim sacralium facile ce dcpendet. thico paralysi partes, afficere abnormitati prius vesicae , quam paralysi nervorum sacralium tribuenda fuerit. Neque si mirum cruciatus id fuerit , id vitae certe quod vcl fuerit lethalis , praetereundum infantem diem ad superstitem , poscere , silentio cum tôt haec spina stante quod, abnormitatis reliquae decimam quartam haud minorem ipsa , inter videtur, ç.s5t sibi , fuisse attentionem ex- bifida hoc morbo usque prius jam non excmpla 49* vitae, 388 aliquot dies ultra piolractae , sionem tumoris, ipso quidcin ignoraniLis raiissima ob compres- sint Non paitu plerumque letlialem. siib casus , quibus in vita , non obstante spina bifida^ ad aetateni provecliorem usque perducta fuit, païens sed noruin eoiuni quin(|ue Mohrenîicim Treji^' Roscnstcin refcrt octodecim adducit annorum ^) ; octo annorum homo quidem , sed mentioncm fccit cujus quidem de spina quod illa ') Anweis. '• c. ; aliud annorum viginti inimo z. Kenntn. duinquaginta ctiam non ejusdem aetatis Joann. Petr. Franc u. Kur. d. Kindeikrankh. pag. 65g. pag. 176. '*) Nov. ^) Acrel, 1. ) Philos, transact. act. Handling. nat. curios. 1748. pag. 91. T. II. pag. 3g4* c. Nr. 41 O* Cases of Surgery, pag. 22. de Soc. Roy.ile de Med. 1784. ^) Ilist. ') Ontleed. heelkund. Verhendl. Amstcrd. 17^7. '°) Dekct. opuscuJ. mcd. Vol. pag-, la an- '°) morbus ; qua singulare id animadvertendum est, bifida ^), Ye^f-Osk. akad. '') ^) exemplum niedico Badensi, Buch, quinquagesimo in ') ^); Camper ^) ; ^). septcni annorum diiodccim ^); Biidgen viginti annoiïmi ') ; annorum octo Acrel norum quinquaginta Swagcrmann erat , spinam bifidam an- Ita annoiiim septemdecini Tf'else 4); annorum JVarner -); nmucrus. est II. 33.. ib dcmum 389 anno sponte stipervcnerit. aet^itis ter ') (le spina bifida quinqiiagenariae mulieiis casiim refcrt, lUiqno vi, t|uàtn ossi sacio isad oitiim, illata, fractcuas potins, Ciim cetcium ad spinam bifidam connatam pertinet. exempla longacvac , oppido sint' Q.aem antem Hochstaed- aut illos spinae snboitae, serins casus lara , bifidae exceptionibus potius, pro quani pro regulis, habendos esse liquet. Erant rcm in , in qnibus pressione in caput adhibita , liydroibacliiiidis aiigeri vidit Hehcm^treit ^); tiimo- erant alii, quibus, tumore spinae aperto, subsidebat, clauso, intu- muit caput j teste Rosenstcin ^); in aliis denique dabatur tnmoris intumescentia cuivis inspirationi synchrona, obser- vante Roux *); nem inter ininio intercessisse non milteretur lotium, tumoie notât Mohrc-nheim observavimus, ^) geniosissiraam ') Dissert, de spina Bell /. bifida. F. nisi et nihil 1. Journ. de *) 1. pag. 175. hoc in infante bifidae eodem Mcckeîil observationem confir- Altdorf. lyoS. Med. T. XXIX. ut vesicac pag. 660. 5) iirinarias , vero pag. 140. inversae , in pag. 491- Lehrb. d. Wundaizn. T. IV. pag. 338. 4) vias pleno, aut arte presso, omnium liorum et spinae iterum ») c. : Coëxistentia adhuc dimidiatae, c. nonnullis communicatio- tumorem hydrorhachitidis utut subjecto in- 390 nuu, qiia ) is teste Littre, Revotât, Voisin et Delfinl, ve- sicam inversani saepius, praesente simul spina bitida, occiu- ad vert t. lerc i Quod denique diversum lethalitatis spinae bifidae gradum attinet, expertissimo facile consentimus PortaVvo, sus- pic ionem moventi equinae minus foisitan inferre periculi , erit *) , tumorem hune regione in quam enim pressio medullae spinalis eo pejor , contigerit loco, quo altiori cum nervi spinales eo sint functione nobi- quo superiores .liores, caudae superius; EXpI i origine. c a t i o Tabu1a r u m. Tabula V. Partes abnornies abdominis externae, in situ naturali delineatae. A. A. A A. Plaga rubra, excoriata, parietis abdominalis, lusu naturae tegumentis communibus orba. B. C. D. Linea fere parabolica , confines communium limites denotans. — E. Umbilicus. ') '• ») Aa.it. c. pag. 735. nicd. Vol. I. pag. 3o3. tegumentorum 391 — F. TLibcrcukim scipcrficiale paiictis abdominalis aliiid, nullius momenti. G. — Finis inteslini ilci, II. — Oiificiuin menibium mcmbri mentientis. virile ininae loco al- Convexitates scroti latérales, vacuae , ceu sac- huJLis spuiii , viim excernens — I. K. K. Scrotum inane. culi L. — sine Styhis in anum, loco inconsueto inter postrenias rugulas latentem^ introductus. scroti M. M. N. N. testicalis. Papillae duae rubrae quasi mammillares in in- guine, poro quaevis unico perforata, Poi i duo angustissimi , hi occulti , papillarum manimillarium inguinaliuin, urinam excernentes. O. O. Setae , papillarum poris immissae , viam urinae indicantes. Tabula VI. Turaor spinae bifidae, in nitudineni ovi rcgione sacrali positus, maganserini excedens. A. Ejns convcxitas extcrna, turaore adhuc integro a posterionbus conspicua. 392 Tabula VIL Abdomen aperttim lien, cjus c omentum , hepav, ventricultis, : cavo cxcmta ; sLim a. a. a. a. Inteslina colon, intestina vero tenuia suriiacta. tenuia, altiiis quid de loco mota ^ ut paitcs subjacentes magis fièrent conspicuae. b. — Finis intestini pans (vide sum spectans , ilei , Tab. I. hic membri G.) ; virilis in autem , locum occu- statu naturali sur- abdomine discisso, dcoisum pendulus. c. ~ Odficium hujus membri excerncns. (Confer Tab. d. e. — — — EJLis extremitas g. H,). superiôr , cocca , ccu finis coli, deficicntis. Stylus, per ti g. I. uiinae loco alvuni Intestinum rectum, siliculate. ceteium f. spuiii, anum abnormem, intcr postremas scro- rugulas latentem, tiajectus. (Confer Tab. I. L.}. Corpuscula duo olivaiiaj penitus abnormiaj structurae uterinae.. h. h. Renés, quorum dextro dcfuit rcn suctenluriatus. i. i. Uretères, k. k. Papillae Tab. 1. mammiliaics M. iM.). duae inguinales, (vide 393 1. tid rn. urcferam Oscilla 1. hisce sub papillis hian- exterriii, Tab. (confer. N. N.). I. Stillicidium ininae, in Tab. m. I. opç setarqm O. O. indicalum, Tahula y III. Tiimor spinae spinalis a.a.x.a. eum transiuis, compareat. niedullae pcr Margines ut spinae hiattis, et disseclus, bifidae communium tegumcritorum tumoiis a posterioiibus dissectorum. p.p. |3.p. Caviias rem , depletis aqiiis parietem interio- tunioris, vagina medullae spinalis mednllae spinalis , loco a conslitutum, cxhibens. y. y. Finis pcr spmac hianim instar folii bifidae inedullaiis , ossis caudae equinae sacii cgressus, transveisini ovalis , e.x- teniiatus. 5. — Foramellum super rcni parietem spinalis sursum ducens, — Foramellum introrsum in mednllaii intcr posterio- niedullae cjusqtie angustius cenlro in bilidae. medio folii, cocco T.VL fine medullae spinalis brevissime delitescens. Mémoint dtVAtad. vaginam qua via e specu vertcbrali aqua saccum spinae fluxcrat in £. folio ^^ 394 /. — ForatnelUim angnstissimiim, anterioiem medullae "vaginam sursum ab spinalis ducens via inferioribns intcr parietem ejus et aictissima , aquis carente. -j^; — Massa ligamentota , hiatui triangulari ossis sacri, per quem SGt, quasi obturaculuni transveisum superimposita. finis caudae cquinae "•MMOC^tCVC transiie debuis- 395 COLEOPTERA CAPENSIA, ANTENNIS LAMELLATIS, s I V E CLAVA FISSILI INSTRUCTA. DESCRIPTA A TIIUNBERG. p. C. Conventui exhibait die lyAug. i8i4- Coleoptera Insecta , qiiae antennis clava xit Sapientissimus Creator, Classis plertimque aestimari soient, ideoqre Entomologis adamata , riosis pretio acqaisita. speciosissimi suis ille Pauca agnoscunt ; et Âctaeon , Lucani, Cetoniae pergrandibiis ostentans , simes collecta et Siiperbiunt in miisaeis mae Geotrupcs species , instrd- fissili inter speciosa et majora hujus , maxime, a cu- non summo raro magnatum maxi- Hercules , Neptunns'. Coprides, et antennis exiguus licet corpore , raris- Ptyoccrus. ex hisce frigidas regiones ^ plcraque sub ardentiori Siiio fera adustas Giobi terraquei ut patriam sitas , suam calefactas plagas incolunt , Africae, Indiaeque utriusque feliciora climata amantia. Q.iiae australem angulum Africae inhabitant, usque E^iropaeis innotueiunt , et hue sequentes «numerant pagi- 5o* 396 nae, qiioriimque desciiptiones illusLr. Impciiali Scient iarum Academiae submisse Majorem olTciuntiir. partem horiini at dcsciipsi duduin an-nis 17 porc omnino incoi^nitam, et, in Capile bonne spci 17 73 et 2, "7 1774, eo temnovanu dici solet, i\l collei^i, Pluies deinde scientiae cultoiibii5 innotnemnt, paitim in piopiiis meis editis opusculis, partiin logicis. SupeisLint tainen •descriptae,, qiiae blici jiiiis alioiuin opcribiis entonro- in adhuc non paucae species,. heic antea neqiie pcr me, neqae per alios pu- factac siint: tomologiae heiois et quaitimqtie stiidiosis idco delineationes non omnino ingiatas È',n- foie speio. iLUCANUS. L. cnpcnsis: niger, cylindricus, elytiornm snlcis pnnctatis. * Lucanus capensis. Thiuib. Nov. Insect. Spec. 1. p. 5. f. 1. GEOTRUPES.. G. Boas: thorace retiiso nu recurvo; fjcotmpes Boas. Similis G. prominentia duplici; capitis cor- elytris luevibns. Fabric. Eleutcr. luisicorni 1. * p. 8. magnitiidine , glabtitie , colore et tota structura, excepta thoracis prominentia duplici, nec. triplici. G. ferrugineus : thorace bilobo, subtus liiisutus. • 397 Similis G. nasicurni , neus, Caput medio SLibtus costa scd quadiuplo minor , vilidsiis ' totus ferr-ugi- villo dcnso fenui^ineo. tiansvcrsa, mcdio subcorniita. T/iorrix'cOnVexns, àaU'ce obsoleie bilobus, iaevis, EIftra laevia, coipore brevioia. 43^ r et usas: thonace retuso^ capitis coinu e.xciso, femoiir bus posticis crassissimis. !* G oLrupes i^eLti^us. Faiv/c. iLleuterat. i,. pag. 19. Corpus magniiLidine Melolpnthae t'ernaZ/A', convexum; siipia glabrtim, Aiitennae fissiles piccum; Limi.nis Caput conico - elevatiim siibLiis luftsccns, villosum. tribus uti in coinu palpi rufae, et obtusiinij subexcisLim , obsolète lugosum , inarginatiim, ihorace multo an- gustius.. Thorax siibangulato-rotundatus, convexus, marginatiis, antice piano -retusus , ineimis punctis minLitissimis impressis.. Scutclhim obuisiim, brevissimiim. Elytra abdomine brevioia, laevia, glabra, marginata^ intra sutura m stria unica. Fcmora crassa, postica crassissima, inermia. Tihiae brèves, crassae; anticae extus tridentatae, inlus uni- dentatae, apice trispinosae; posticae extus muticae, apice laminis quatuor compressis obtiisis.' 398 Tarsi ciliati, ungnicnlati. Obs. Caput singuldie, applanatum in conum erectum, bi- fidum. G. cornutus: thoracis cornu piTSsam; capite exciso. Corpus magnitudine Scaiabaei simplici ante lacunam im- * stercoraril , totum piceum, supra glabriim, subtus villosum. Caput subquadratLim, depressum, marginatum, excisum, in- erme, thorace multoties angustius. Antennae clavatae , fissiles laminis tribus , piceae, articulo intermedio globoso, pilis aliqiiot explicatis ferrugineis ciliato. Thorax rotundatus, convexus, marginatus, antice laciina lunulata magna impressa, niiniitissime punctatns, cor- nutus: Cornu in ipso margine antico erecto, catOj simplici , brevissimo. Margo trun- thoiacis subtus feriugineo - ciliatus; in medio linea glabra. Scutelîum brève, punctatum. Elytra abdomine paulo brcviora , imprcsso - rugosa , costis aliquot obsoletis glabris. Pectus ferrugineo - villosum. Pcdes ciliati, pilis fcrrugincis. Feniora cpiîipressa, incrniia. 3"99 Ubiae posticae extns qnadridentatae ; apice iinidenttitae , anticae extiis tridentatae, apice unidentatae. G. Syrichtus : tlioiace recul vo Geotrupes Corpus rotiindato glabro , simplici ; elytris pilosis. Fabnc. Eleut. syrichtus. magnitudine Scarabaei i. cornu capitis * p. itercorarii , j 6. totum piceum,. glabrum, punctatum, convexum, fulvo- viilosura. Caput subiotundiim, depiessum, maiginatum^ thorace multo Margo angusiius. anticus retuso - elevatus. Cornu simplex, recurvum, longitudine capitis. clava trifoliata. \/4atennac fissiles Thorax convexus, lateribus rotimdatns, antice pro absque pilis , capite excisus , postice truncatus, marginatus , inermis margine subtus valde piloso , pilis fui vis. Scutellum brevisimum, obtusum. Elytra convexa , striata, abdomine breviora , marginata , obsolète pilis raris fulvis pilosa» Pectus fulvo -hirsutum. Abdomen et pedes fulvo -villosi. Femora mutica. Tibiae anticae extus tridentatae dentibus validîs, comprcs» sae, intus unidentatae; posticae extus ciliato-ser- xatae seu pectinatae, bispinosae spinis longioribus» 4po Tarsi G. nnguiculati. ciliïvti, thoracc lotundcito incrmi ; a/'Jt'>î : lato brevissimo ; corpore subius lufo-piloso. Fabiic. Geotrupes mies. G. arator : capitis cornu Eleiit. laevi thorace 17. p. i. subu* ineimi niger ; elitiis Eleuter. 21. punctato- stiiatis. Geotrupes Fahric. arator. G. globator: p. 1. thorace punctato inermi niger; elytris pun- ccato- stria tis. Fahric. Eleut. Geotrupes laborator. Similis priori, 21. p. l. sed thorax huic punctatus. SCARABAEUS. S. Co)-yphûcus : thoi-ace bicorni , corpore fenugineo. f Scarab'àeûs coryplîaeus. Fahric. Elcut. i. p. 22. APIIODIUS. A. ater: capite iritubeiculato, medio subcornutoi elytiis stiiatis Aphodius ater. glabijs. Fahric. * Elcut. A. ruficornis : thorace inermi, 1. p. elytris 11. striato-punctatis, pe- dibus anticis villosis. A. ohlongus, conve.xus, ater, pedibusquc anticis supra glabcr, subius pcctorc villoso-rufis. /^ntennae rufae, uti et femora aniica. Capiit et thornx laevi.i, incimid. EIftra stiiata stiiis brunneus A. piinctalis, longitndine muticus : thoracis niger , Aphodii antico elytrisque totis Eljtra obsctira^ iinmaculata, A. merdarias Aphodius meidarius. A. binotatus: -Corpus pediculi maioris rufis. striata. inuticus elytris testaceis ; : antico ovatus, niger, -anguîo thoracis exLe- magnitudine , riori sca merdarii , ^ngulo * elytiisque fenngincis striatis. iMagnitudiiic abdomînis. Fahric. Eleuter. muticus thorace p. nigro , elytris testaceis pUncto nigro. magnitudine statura et; i. sutura nigra. * 80. lateribus lubro ; * Rlelolonthae hoHicolaEy depressum. Caput oblongo-quadralum, marginatum, Tiigrum, glabrum, punctatuin. OcJ//z fusco-glauci. Antennae nigrae articulis octo, clavato- fissiles. Palpi quatuor, interioribus brevioribus. Thorax quadrato-angulatus, convexus, niger, marginatus, lateribus sanguineus puncto nigio. ScuteUum nigrum. Elytra testacca, et sutura glabra, striato-punctata. nigrae Mémoires Ht VAtad. T. H. nigredine versus Margo exterior apiccm sensim ^^ 402 medio singuli In latiore. punctum unîcunï elytri subquadiatum. Fectus et dbdomcn glabra , nigra ^ cinerascentibns pilis oblecta. Pedes omnes nigii, glabii. Tibiae anticae cxtus dentata?, extimi paris longioics, spinosae. A. contaminatus signatLiris Aphodius muticus : ater, elytiis striatis giiseis, * fuscis. contanii-natuS. Fahrîc. Eleiiter. i. p. 77, ONITFS. O. apcUes: capilis Gornu albis, Onitis apelles.. O. aygulus bievissinio, elytiis cincrcis, calli» * : Onkis aygulus. Fahric. eapite Elcut. 28'. p. 1, elytiis tLibeixiiato ^ Fahric. Eleut. 1. p. testaeeis^ 27. COPRIS^. C. oedipiis: thoiacis coinn piano snbtns dentato; capitis tiuncato tridentato. Copris oedipiis. Fahric. * Eleuter. 1. pag. 3o. C. nonestrinus:. thoiaee bicoini utiinque impresso; elj" peo Linicorni, Copiis nemestrinus. integro. Fahric. Habitat in aceivis ûmi^ * Elent. 1. p. quos peifomc. Jt^ 4o3 Corpus magnitndineScarabaeuin stercorarlum superat, totiim aLiLim, glabrum. Capitis clypeiis liinatus, integer, marginatus, iitn'nque costalus Costa ab basi cornutLis. ducta, teiuiissime punctatus, occilis Cornu cylindiiGum, erectum, siraplex, clypeo brevius. Thorax convexLis , marginatus retiisus , , latciibiis utrlnqae impressus, medio cornutus cornLTbus duobus ponectis simplicibus, capite brevioiibus. Elyira abdomine vix bieviora , striis Os, pcctiis marginata , clausa , striata tenuissime ptinctatis. et Femnra ovata, abdomen antice feniigineo - pilosa. crassa. Tibiae dentatae. A itcnnae fissiles palpiqcie rtifescentes. Similis C. molosso, a qiio vix diflert^ 1. magnitudine minoii , 2. elytiis striatis. Simiîem e China 1°, habiii, nisi et omnibus partibus majorem : thorace tiuncato, letuso, costa, transversa répan- du - dentata , et capilis cornu brcvi latiusculo bfido ; '^0. aliumque thorace, ut stae magis exsiantibus in priori, sed angulis co* et capitis coraii conico , simplici 5i erecto, 404 C. Jachus: thorace piominenLe bilobo; Copris curvo siinplici. jdcluis. Fabric. C. splcndens: capitis cornu * Eleiiterat. thor.ice i. acneo pag. 3i. coinubus duobiis C. Jiainadryas : Fabric Eleutcr. i. p.ig. thorace tricorni intermcdio C. caelatus : Fabric. Eleiiter. ihorace talo ; capitis Copris caelata. trîretiiso i. piano aciito» 36.. p. tricorni 32. * bidentato,,clypeo reflcxo bicorni. Copris hamadryas. nigris * compressis; capitis eiecto apiee compresso. Copris splendidulus. xe- medio' qiiadriden- elongato recurvo^ intus unidentatO; f Fabric. Elcuter. i. p, 37.. C. sexclcntatus: thorace retaso sexdentato*;; capitis cor- nu recurvo simplici. * Corpus magnitudine Scarabaei vernallSy convexum ,. atriim, glabriim^ Capitis clypeus semiorbiculatus, antice rotiindatiis, excisiis, marginatns , cornuto, dcpressus ; postice callis adspersus,. margine subtus ciliatus. truncatus vertice latitudine fera thoracis,. Cornu simplex , longitii- dine dimidia thoracis, reciirvatum. 'y^ntennae fissiles clava triphylla_, piceae.. Thorax rotundatus , marginatus; antice retiisiis, praemorso- sexdentatus^ callis adspersus: Dénies quatuor, in- 4o5 termedii minuti, latcidlos duo majores; postice laelatere iitroqne vis, puncLo impressus, convexus, me- dio obsolète sulcattis. Elytra clausa, convexa, abdomine paulo breviora, pimctis impiessis striisqiie obsoletissimis exarala, laevia. Subtiis omnia glabra, pLinclata. Femora mutica, piloso - cilLita. Tibiae anticae extiis tiidentatae, apice unispinpgae; posLi- cae extus unidentatae, trispinosae. Tarsi ciliato - serrati, iinguicuiati. C. sagittarius: C. sagittarius-. hyaena: basi atitice mucionato^ capitis cornu * e recto. Copiis thoracc Fabrïc Eleut, r. p. 41. subbidentato , thorace dilatato. capitis f Fabric. Eleuter> l. p. Copris hyaena. 5i. C» hispanus: thorace mutico; clypeo elytris niito; tissimis. Copris hispanus, Corpus Capitis femoribus intermediis remo-' Fabric. Eleutr. 1. p. 49. Scarabaei stercorari paulo majus, nigrum, glabrum. clypeus caliis slriatis^ capitis exciso cor- * magnitudine totLiin cornu erecto lunaris, tectus , marginatus, costis antice exciso - fissus, duabus lateialibus , cornutus» 4o6 Conm in vertice siniplex, rectum, thoracis longî- tudine. 0,9, colhim clypcns et yfntennae clavatae, rricirgine stibtus fcirugineo-pilosa. rufescentes. fissiles, Thorax marginatns, antice late lunulato-retusus, postice rolundatus, callis sparsis rugosus, niarginc postico magis €um marginern Intra laevi. lateialem costa fovea depressa. Elytra maiginata, abdomine breviora, gulo praeler marginalem octo striata, in striis sin- teniiibiis. Pcctus punctatum, margine et jnxta feinnr pilos[im. segmentis Abdomen punctatum, posticis anoque riigosum, supra punctatissimo. Femora crdssiuscula, angulata, punctata^ intus Tihiae secundum affi^itur dentatae, angulatae, basi hirta ; par longa. apice incrassalae, bispinosae Tarsi arliculis quatuor, triangularibus, comprcssis, dilatatis, valde pilosis. C pcctovalis : thorace mutico ; clytris striatus. Corpus m.ignitudine recurvo ; capitis cornu * Copridis michicornis , totum atrum, opacum. Capitis clvpeus rotundiitus , maiginatus , integer angustior , uiargine subtLis ciliatus, callis , thorace rainutis- 40T sfmis adspersLis , brns , simplcx ociilos Costa Antennae tissiles, Subtus intcr os et vcitice , fcre Cornu rccrinr- thoracis. InLcc tiansN-r-isa. laminis tribus, pectiis macula magna glauca. Tkoror roiundatus, convexus, Jaevis^ niari^inatiis, freqiien- utroquc maigine callo glabio in callosus , tissime enrnutus. longitudine notatLis. Rlytra abdomine paulo bievioia, marginata, striîs obsoletis, punctis octo minutissimis exarata , nigra , imma»- Femora compressa , mtitica. Tibiac anticac cuLita. Pedes piîosL extus q^uadiidentatae, apice intiis unidentatae, com- pressae ; posticae angulatae, ciliato-senatae. brevissimi , hinodis: capite imiiinguiculati^ antici biiinguicnlati, postiei C. angustissimi, Tarsi thorace miitico bicostatOj antice elytris transverse laevibns. costato ; * Paulo major Copnâe nuchicoriù^ totus ater^ opacns, convexus. Capitis Thorax clypeus rotundatus , Costa mcdio transversa in convexus , versa antice subbiloba. pEessLim. intcger , retusus la reflexo-marginatus, et alia versus costa utioq^ue in basin. medio trans- latere puncttuii im- 40 8 Elytra vix manifeste C. stria ta. thoiace clllatiis: miitico occipite ciliato , tuber- * ciilato. Magnitudine paiilo minor Copride nuchicornl , totas ater, opacns. Capitis clypeus integer margine rottindatns , medio costa transversa obsoleta ; reflexo. In in occipite tuber- ciihim crectum, minimum. Él}1:rn l.ievia, vix manifeste striata. Femina paulo minor tuberculo minori. capitis ATEUCnUS. A. saccr clypco : tibiis Ateiichus thorace scxdcntato ; posticis ciliatis ; elytris sdcer. Fabiic. Eleit. p. i. incrnii lacvibus, 54. A. lacvis: cJypeo sexdcntato ; thorace gibbo gine punctato-crenidato. crenatoj * laevi, in^jr- * Atcuclio sacro duplo minor, totus ater. Clypeus Ciipitis sexdentatus. Thorax gibbus, laevissimus, margine crcnulato ciliatns. Elytra convexa, marginala, laevia, obsoletissime A. ))iiis: clypeo elylris scxdcntato; lacvibus. * thorace striata, pvmctato ciliato* 409 Sîmiîls omnino Ateucho saov , sed quadixiplo minor , lo- tus ater. Capitis clypeus sexdentatiis. Thorax convexus, punctatus, ciliatus. El/tra convexa, lacvia. A. minutus: clypeo sexdentato, pedibiis posticis elongatis.* Ateuchiis minutus. Fabric. Eleuter. i. p. 56. A. Intricatus: clypeo sexdentato ;.thoiace punctato coselytioiuin callis quadialis. * tato; Ateuchus Fabric. intricatus. Eleuter. A. bacchus: clypeo quadridentato; que glabris. Ateuchus bacchus. i. pag. 56. tliorace gibbo elytris- * Fabric. Eleuter. i. p. 5 7. A. barbatus: clypeo quadiidcntato; capite tliorace pedi- busque barbalis. * IMagnitudine ateuchi sacri , sed magis gibbus , totus ater, laevis. Capitis clypeus angulatus, quadridcntatus, antice cuin incisura laterali Tliorax minori ciliatus. valde convexus, punctatus, erecta barba postice lonoiori. Elytra gibba, marginata, obsolète Tibiae valde ciliatus striata, punctata. hirsutac. A. ciipreus: clypeo exciso supra ciipreus, subtus violaceus. Mémoires ne l 'Acad. T. 11. ^2 • 410 Atenchus cupreus. Fahric. i. p. 59, Krnm - livier et alibi. Habitat in stercore ad Corpus Kleuter. magnitudine melolonthae horticolae paulo majus^ subdepressum, totum snpra riifescens et aencum for veis impressis; subtus violaceiim, glabriim. Caput angulatum, excisum, arcu coslaque elevatis. trifoliatae. j!4ntennae fissiles^ Thorax angulatus, maiginatiis, pro capite lotundatiis ; singulo in lateie cxcisiis, punctum postice maJLis et profundius impressum. Elytra abdomine paulo brcviora, Dens clausa.. absqiie piinctis, striata, lateralis nullus, licet elytia co loco. contracta.. Femora latere inteiiori T'ihiac iitrinque denlatac, conipvessae. dentata, crassmscula'^ Tarsi spinosi^ minimi. A. flagcllatus scabris. Ateuchus A. clypeo cxciso niger, thoiace elytiisqne * lldgellatns. c allô sus: pillosis. Ateuchus : Fahric. Eleuter. i, pag. clypeo exciso ; thorace laevi ; * scabratus. Habitat juxta uibciii Fahric. in Elcut. 1. pag. sleicoïc equino.. 59. Sp. elytris pa- * 411 Totus ater, opaciis, magnitudine melolonlhae hortîcoïae, depressiis. Capitis clypeus subtiiangularis, marginatns, antice retusocxcisiis cum incisara laterali obsoleta , postice ro- tundatus. Thorax convexus, i m marginatns, punctatus, antice retusus, lateribus dilatattis, elytris latior, postice rotundatus. In medio costa glabra inteniipta. Elytra marginata, abdopine paulo breviora; rie sextiiplici papillosLim papillis globosis nitidulis. Femora mutica; anteiiora ex pilis singiikim sé- macula splendenti latere intcriori fulvjs notata; Tibiae anticae extus denti- hus quatuor validis armatae; posticae utrinque dentatae dentibus minimis pluribus. Tarsi valde te- nues, unguiculati. ATspinipes: clypeo exciso, femoribus posticis bidentatis. SimUis omnino ateucho Sclicfcrij sed paulo major, totus testacco - fuscus. Clypeus excisus, rotundatus, niarginatus. Thorax convexus, Elytra ciliatus, striata. Pedes intermedii elongati; femora tibiaeque spina simplici magis elongati^ armata. Postici bispinosis spina baseos majori. femoribus crassis, Tibiae ciirvatae. 52 " 412 A. costatus: clypco exciso fuscus, elytris Inter tiicostatis. * minimos, magnitudine Pipeiis, totus cineieo - fuscus, pulveiulentiis. Capitis clypeus cxcisus. Thorax convexus. Elytnim singulum tenu bus notatum. coslis tribus i Pedes postici elongati, curvati, ineimes. Cetoxta. C. piihcscens : obscure niaigine albo Cctonia pubescens. acnca thoracis segmentorumque bipunctato. f Fahric. Eleuter. 2. pag. i38. C. hirsuta: obscure aenea thoracis marginc albo; tricostatis. elytris * Similis cetoniae puhcsccnti, scà minus virescens, et minor, obscure acnea^ supra pubescens: su buis aenea, im- maculata, hirsuta. Thorax marginatus, postice intra marginem lineola alba. Eljtra punctata costis tribus in singulo niiidioribus. C. atra: atra, glabra elytris obsolète tricostatis. Habitat prope Svarlkops rivicr et * Zout-pann. Corpus cctonia aurata paulo minus , dcpressiusculum inm glabrum, atrum, sis tcnuissiiiiis culatum. , to- punctis lineolisque transvcr- flcxuosis impressis rugosum , inmia- f 4i3 Caput thorace pas?im angustius , miiltoties aeneo-nitens. Thorax octangnlatus^ marginatus, convexas, postice latior carina in ta Scuteîhnn medio obsoleta ; in margine postico punc- duo impressa. miilto brevius costa elytiis Eljtra abdoniine breviora obsoleta. aliquot costis obsoletis, postice coeiintibus intermediis in calliim. Feuiora compressa, mntica. Tibiae compressae, extus iinidentatae, apice qiiadrispinosae C, eus pi dat a c]ue nigra : cinereis. iitrin- f Cetonia cuspidata. Fahr'ic. cordata: nitida C. clypeo porrecto basi capitis thoracis limbo elytrorumque margine sinuato ; atra, Cetonia cordata. Fabric. Eleut. 2. p. capitis i38. clypeo cordato. f Eleut. 2. p. 189. C. strigosa : nigra thorace lobato lineato ; elytris abbreviatis ferrugineis. Cetonia strigosa. strigis f Fahiic. Elcuter. 2. p. 1 39. C. raitcci: nigra, obscura elytris obsolète rufo-maculatis. Cetonia rauca C. cornuta: Fabric. nigra Eleuter. 2. 143. obscura^ immaculata, thoracis margi- ne antico subcornuto. Cetonia cornuta. p. Fabric. f Eleuter. 2. p. 143. 4«4 C fasci cul arts thoracis : , quatuor albis ^ liiieis viiidibus ; abdominis lateribus Cetonia fasciculaiis. * baibitis. Eleuter. 2. p. Fabric. clylris 144. Magnitudine celoniae auratac, plana. Cnpiit quadiatum, nic;rum, punctatum, giabriim, paulo rctusiim, ante oculos iitrinque sulco, lateiali. Antennae nigrae, clavatae, Thorax niger , fissiles. glaberrimus , punctis minntissimis : latera elevato-marginata ; lineis quatuor albis pictus. Scutcllum nigmm, glaberrimum, lUiinque sulcatum. Elytra viridia, rugoso-lincata, f)onc costas coarctata, abdo- mine paulo breviora ; costae nigrae. Pectus nigrum, pilis fulvis Abdomen nigrum , glaberrimum , Latera fulvis. dense obtectum. et incisuris anus teguntur ad latera pilis pilis fulvis in penicillos collectis. Pcdes nigri , et glabri, secundi paris tertii Femora crassa , paris sulcata. Tlbiae primi extus dentatae denlibus quatuor ; spinoSife. Tai-si quatuor digitis nngvi- culatis. C. aulica: viridis, maculis albis. Cetonia aulica. G. Capcnsls : nitida thoracis niargine elytrorumque * Fabric. hirta, Eleuter. c. p. lufa, 144. albopunctata. * 415 Cetonia capcnsis, Magnitudine Eleuter. 2. p. Fahric. cetoniae auratac , tota 144. glabra , ftisco - m- fescens. Caput subquadratum, punctatiim, anntennis fissilibus. Thorax sexangiiLuus, maiginatiis, punctatus, luber, maculis nigris oblongis . Scutellum nignim, punctatum, elyliis triplo breviiis. Elytra abdomine brevioia, punctata,. mfa,. raaculis nigiis adspersa. Abdomen fusciim niaculis Fcmora nigia, ciassa, riibn'y. rufo- maciilata. Tihiae spinosae digitis unguiculaùs^ Sternum porrectuni, C. signât a: thorace nigro margine albo; elytiis testaceis sutura margineque nigris. * Cetonia signata. Fabric. Eleuter. 2. ' p. 145. Habitat prope Rict-talle}" et BulTeljdgstrivier.. Magnitudine cetoniae auratae. Caput subquadrat[im, laeve, nigrum, antennis Thorax angulatus, fissilibus convexus, laevissimus, niger, albis lineaque lateribus- ferruginea. Elytra abbreviata , lacN ia , ferruginea, sutura nigra. Linea- snbulata a costa ad utrinque nigra. In mediain et macula ante basin; margine externe guttae aliquot 4i6 Dens albae, lateralis niger punclis albis. Scutel- liim nigrum. Pectus et abdomen Anus niger, nigra maculis , glabia, lana dcnsa ferruginea. oblongis quatuoi punctisque duobus parvis albis. Femora C. nigra, fenugineo-pilosa. Tibiae et interrogCLtionis atris ; elytris : biunnea Fahric. nigri. thorace maculis quatuor macula flcxuosa Cetonia flavo-maculata.. tarsi * flava. E'.leut. 2. p. 14^- Habitat propc Swatlkops Zout-pani. cetonia Magnitudine aurata major , depressiuscula , tota glabra, ferruginea. Caput oblongo-quadralum, subexcisum, thorace anguslius. Thorax subocto-angulatus , postice lalior latitudine fera elytroruni, marginatus, conxexo-planus, laevis ; in medio raaculae quatuor, magnae , nigrae, quarum par posticum unica et majus ; praeterea in latere utroque postice quatuor obsolète nigrae. Scutellum elytris mulloties brevius, maculis nigris duabus. Elytra abdomine paulo breviora , lacvia , linea arcuata nigra in singulo, figuram signi quaestionis formante. Incisurae abdominis nigrae. Femora mutica. prcssae. Tibiae latere extcrno tridentatae , com- 4n C. slnuata: fusca, thorace clytrisque margine et maculis duabus * fia vis. Cetonia sinuata. Fahric. Eleiiter. 2. p. Cfimhrlata: viiidis, 147. thoracis etytrorumque marginibiis * ferrugineis. Magnitiidine cetoniae auratae, paulo major, dcpressa, glabra. Caput quadrato - oblongum, marginatum, subcxcisum, viri- de, prominens, thoiace multoties angustius^ puncta- tum, oculis olivaceis. Jkorax angulatus, convexus, marginatiis, tenuissime punctulatus , viridis, lateribus ferrugineis, antice angnsdor, postice latitudine fere elytrorum. Scutellum viride, brevissimiim. El/tra abbreviata, tenuissime striata, postice nodo iitrinque elevato, viridia, lateribus ferrugineis. Pectiis et pedes virides, punctati. .Femoray imprimis postica, crassa, inermia. medio unidentatae. Tibiac apiee spinosae, G. trilineata : nigra, fascia flexuosa Cetonia trilineata. C. thorace lineis tribus albis , elytris scutelloque albis. Fahric. Eleuterat. semipunctata : viridis, M/moirct deVAcnd. T.VI. Fahric. ,f pag. 147.' thorace q^iadrilineato; elytris basi lincatis, apice punctatis. Cetonia semipunctata. 2. Elcut. * 2. pag. 148. ^3 C. af ricana sterno viridi - nitens, : ponccto; Cclonia afiicana. C. acuminata aciiminalis. Fahric. minor cetonia hiisuta, Clypcus capitis 2. p. * 149. pallido-maculala, elytiis * Cetonia acuminata. Paitîo P21euter. obscure aenea, : inciimbente'i punctis nigiis imprcssis. eJytiis Fahiic. spiha capitis Eleut. 2. p. aiirata, nigro - 154. aenca, subtus cineieo- supra undique cinerco - variegata. fissus. Elytra prope suturam apice acuminata, lateribus et apice depressiuscula extra costam curvatam. Abdominis latera albo maculata. C. hçiemorrholdalis : margine anoque Cetonia haemorrhoidalis. Habitat in Swariland et nigra, rulis. elytris viridibus; thoracis * Fahric. Eleut. 2. p. l54- alibi. Variationes plures occurrunt varie maculatae. C. car m élit a: nigro-viridis; thorace elytrisque testaceis; ano biguttalo. Cetonia carmclita. * Fahric. Eleut. G. p. 1^0. * C. velutina: nigra, elytris fascia lata ferruginea. Jlahiiat piope Svartkops Ma^^iiitudinc Zout-pan. cetoniae auratae, depressiuscula, tota glabra 419 et nîgra, excepta fascia elytromm, callisquc duo- bus Lueralibiis pcctoiis. Caput tliorace 77/c/rflx sLibiingulato- rotcind.itiis, vis, incrmc, laeve. multotics ungiisticis, marginatus, convexus^ lae- poslice Jarior, latitiidine fere elytrorum, ineimis. ScidtHuui elytiis miilloties brcviiis, Eljira ubbicviata, obsolète sulcata, apiceque nigia , in mf dio basi fascia prope scutclkim latissima liiteo - feiTUginca. Fascia interduni simplex, interdum in mcdio fusca notata tiansversa, sic pt f^sciae fascia feniigineae binae vi^egptur, Subtus omnia atra. ^asis dentis pectoralis lateraiis et callus ante basin elytri feiiugimea. Femoya compressa, Tibiac latere C. externo unidentatae, apice quadiispinosac, adspcrsa: fcirnginea, elyiris viiidibus albo-gmtatis, f Cetonia adspcrsa, C. alhopunctata gris; inutica. Fabric. elytiis ferriigineis C. cinerasceiis : j54. Fabric. alborguttatis, linibo atro. f Eleiiter. 2. p. i55. thoracis dorso atro, linea cinerasccnte ; cinereis nigro - macniatis. Cetonia cinerascens. pag. 2. tliorace ferriiginco, punctis qciatuor ni- : Crronia albopinicta. elytris Eleuterat. Fabric. Eleut. 2. f p. i56. 53* 420 C. irrorata: nigra, elytiis striatis ferriigineis nigro CLilads. Cetonia ma- f irrorata. Fabric. Eleuter. 2. pag. i56. C. furvata: thorace elytrisqiie testaceis nigro - punctatis; abdominc hirto Cetonia furvata. incisLiris riifo, Fabric. Eleut. 2. atris. p. * i56. Habitat in SvarLland. Melolontha horticola panlo major, tota ferruginea, sed sii- pra magis pallida. Caput angustum, lufo - fuscum, marginatam, antice rotim/ datum. TJiorax convexus, laevis, rotundatus, antice angiistior, maculis pluribus nigris et intersparsis albis variegatus , quarum in raedio quatuor minoribus quadratim positae. Elytra abbreviata, tenue striata, ornata maculis nigris, per séries positis, Vectus, abdomen Abdomen subtus et pcdes et supra Femora macula nigra C. puhera: stercori muscarum pilosi. anum cineritie alba maculatum. notata. thoracis marginibus albis; abdomine albo - maculato. Klagfiitudine cetoniae auratae, culis similibus. viridi - aenea, elytris viridibus ; * depressa , tota pilosa pilis albis. exceptis ma- 421 Capiit paivum, angustum^ subquadratum. Antennae lamellis tribus. fissiles Thorax marginatus, octoangiilatus, antice angustior, liinu- lato-excisus, convexus, punctatus; linea alba utiin- que intra margines latérales. Scutellum médiocre, punctatum, sulco utrinqne ante apicem. Elytra abbreviata , punctato - rugosa ; Ante hiimeros albo. Dens sqiianiula lateralis hunieri rufescentes. separata viridis, piincto mediocris. Ahdominis segmenta ad latera utrinqtie duplici ordine ma- cularum albarqin notantur^ uti et anus fascia et gutta duplici alba. Pedej spinosi, punctati. teriora linea Fe»iora antica fovea impressa; pos- alba. Ohs. in ano deficiunt interdnm C. hirsuta : birta, fascia guttaque alba. aeneo-atra , scutello sulco duplici. * Magnitudine C. auratae, depressa, tota atro - aenea, nitens:» villosa, punctis frequentissimis minimis. Caput rotundatum , thorace multo angustius, marginatum, antice quadridentatum: dentés latérales instar ctorum eminenlium Palpi quatuor. : intermcdii paulo pun- longioies. Antennae trilamellatae. TJiorax subocto - angulatiis, inermis, marginatus, medio li- 428 nea obsoleta margincs intra : pone médium latérales linca alba diinididta. Scutellum elytris miilto bie\iiis, acutum, utiinqiie siilco insciilpto medio ad apicem, a hnmeris abbrevita El) ira postico, singiila et calio costis quatuor obsoletis, eo^untibus subriigoso-piinctata. Capiit, thorax et elyti-a pilis Anus supra gutta utrinque Pectus et abdomen sparsis erectis villosa. ville longo alba. valde hirsuta subfer- rugineo. Fcmora crassa, angulata, conpressiuscula, mutica, Tihîae cxtus unidentatae, apice quadrispinosac. C. lii^uhris: albis. glabra, elytris atra, macula C. hottcntotta : duabus atra , albis. glabra, Mucorosa : i58, elytris postice maôull^ f Cetonia hottentotta. Fahric. Eleuter. gris y anoqu^ * Cetonia lugubris. Fabric. Eleuter. 2. p. C. laterali 2. p. 159. thorace elytrisque sangvineis, micilib' ni^ abdomine rufo nigroque. * Magniiudlnc cetoniae auratae, tota obscure rufa seu sangvinea, glabra. Clypeus capitis quadratus, subcxcisus,. marginalus, piceits. 423 Thorax angulatus, convc.xus, punctatiis, niaculis pliiribiis nigris. El/tra stii.it.i, Abdomen punctata, maculis sparsis nigris. nitiilnm, liiteribus maGLilis njagnis atris seu poiiu3 rnfti,inj nigitiin. Obs. vaiictas adest punctis raaculisque thoiacis obsoletis. C. gutatta: nitida thoracis raargine iiifo; elytris atia , albo-guttatis. * Magnitudine cctoniae sticticae, atia, ejaSque similitudine, tota thoracis margine solo rufo. nitida, Cîypeus capitis excisus. Thorax elytraqiie albo-giittata, guttis sparsis pkmmis. Elytra abbieviata, sulcata. Âbdominis incisurae ad latera Pedes miniinis albis notata, giîttis pilosi. yariat elytiis viridibas. MELOLONTHA. M. aîopex: thorace abdomineque hirsuto ; ferrugineis. elytris gîabris * Habitat in remotis regionibus, terram perforans. Magnitudine melolonthae elytris, Cîypeus vulgaris , dense hirsuta capitis antice pilis ovata tota , exceptia pallide ferrugineis. marginatus, nudus, excisus. 424 Antcnnac et glabii, ferriiginei. p<ilpi Pilous capitis, thorax et pectus conspici non possimt, prae densitate villomm. Klytra glabra, abbreviata, marginata. Abdomen postice fenugineum, minus hirsutnm. Feniora la ta , dentata, intciiori latere nuda. Tîblac filifor- mes, trispinosae. M. longiconiis nigra, : Melolontha longicornis. Magnitudinu fere elytris pectore hirsuto. * riifis ; Fahric. Eleut. 2. p. melolonthae solstitialis , 166. cylindrica- Caput rotundatiim, retusum , depressnm, intcgrum, punctatum, pilosnm, thorace angustins, nigrum. Anntennae fissiles laminis tribus, piceae. Thorax subangulatus , convexus, postice truncatus, niger, marginaïus, punctatus, pilis minutissimis cinereis tectus. Scutellum nigrum, brevissimum. Elytra abbreviata, conve.xa, ferruginea, punctata, cinercotomentosa. Pectus valcle pilosuni. Abdomen nigrum, Pedes villosi. pilis brevissimis tcctum. Fcmora mutica. tus unidentatae. Tibitie extus tridenlatac, in 425 Differt a hrunnea nielolontha non elytris striatis , sed punctatis. M. pilosella rubrcT, : pectore hirsuto. * Maguitudine melolonthae solstitiaîis , cylindrica. Caput, thorax, elytra, scutelluni et abdomen pnnctis minntissimis confertissimis impressa, pilis bievissimis cinercis obtecta. Pcctiis hirsutiim ville ferrugineo pallido. PedcS pilis villofi. raris Caput sLibiotundum, dcpressum, marginatnm, integrum, Innula in medio transversa , elevata ; thorae an- gnslius. Thorax subangulatus, convexus, marginatus, margine sub* tus ciliatus. Elytra abbreviata, çosta elevata, absque striis. Femora mntica. Tibiae extns tridentatae, intus unidentatae. M. hicolor: glabra , apice anreis. * Melolontha bicolor. M. pallida: nigiis. viridis , subtiis testacea ; Fahrlc. Eleiiter. 2. p. glabra, testracea, capite elytrorumque sutura variolosa : riolosis. 166. * Mclolontha pallida. Fahrlc. Eleulcr. 2. p. M,, pcdibus v i Uosa , n igra , 168. tho race ely t risque va- f Mémoires Hel'Acad. T. FI. ^4 426 Melolontha variolosa. M. ru fa : Eleut. c. Fahiic. 169. p. glabra, lufcsccns, elytris testaceis, clypeo qtiin- qucdentato. f Melolontha rufa. M. virons: Fahr'ic. hirta , Elciit. c. fasco-aenca, dibus ; elytiis testaceis. Pauîo minor melolontha p. 171. capite thoraceque viri- * solstitiall , acneofusca, subtLis hiisutj. Capitls clypeus transversus , integer , maiginatus , viridi- nitens. Thorax convexus , viridi-nitens, puncto in utroque latere impresso. Elylra convexa, laevia nodo anali cxstanti, testacea cutn viiedine interlucente. M. vÏTldis: Melolontha glabra^ supra viiidis, subtus ainca. * viiidis. splcndida Fabric. Eleuter. 2. p. atra, elytiis Melolontha splendida. Fabric. ?.'!. "M. : prohoscidea : vitta 166. abbreviata aurea. f Eleuter. 2. p. hirta, nigra, elytris 1 74. testaceis margine njgro. * Mfclolontha proboscidea. M. fuliginosa : Fabric. Eleut. 2. p. 179. glabra, supra nigra, sublus picea. * Qiiadruplo fere minor melolontha variabili, cui similis, ad- 427 eoqne inter minimas tota glabra, subcylindiicû-coi> vexj, supra nigra, siibtns picea sen infescens. Pedes lufesccntes, femoribiis posticis crassis. Clypeus capitis angulatus. R'L hirta, nigra, ano rufo. ' melolonthae paulo minor melolon- analis: magnitudine voriahilis , tha brunnea, ovata, convexa, postice latior , toL»: vel nigra, supra glabrata, subtus villosa. fiisca Clypeus capitis marginatus margine refîcxo, integer^ qua- d rat us. Elytra laevia. j^bdomen postice sanguinenm. RI. picea : glabra, fcrrnginea tlytris Melolontha picea. Fabric. M. haemorrhoa: hirta, ticis riifis. Eleiiter. 2. f 18 3. tibiisque pos*. * atra, elyt risque p. atra, elytris postice Duplo minor melolontha brunnea, siibtiis striatîs. convexa, ovata ; villosa; supra glabrata, capite, thorace basi nigris. Clypeus capitis excisus, marginatus. Elytra basr et sutura nigra, ceterum rufa. libiae posticae rufae. M. caffra: glabra, tota rufa, capite pedibusque nigris. 54* * 428 Mclohnthae bmnnrac magnitudine nicn magis satiiraLe , ciiî similis , colore ta- rufo. Corpus ovatum, convcxum-, glabium, poslice latins. Caput nigrum, clypeo angulato, niarginato, Thorax obsoletissime punctaUis, biiinneus, marginc fusco, El/tra temiissime punctata ijbsquc stiiis , subcxciso. biuanca, suuua fhsca. Suhtus corpus et pedes nîgia, ano sanguineo. M. dimidiata hirta, : nigra, thoiace postice clytiis pedî» busqué testaceis. * Ouadruplo minor melolontha hrwmca^ convexa. Capitis clypeus excisus, marginatus, niger. T/iorar coavexus, glaber, iintice niger^ postice sangnineti?, EJytra laevia, glabra, pallide ilava» marginibiis aniico et laterali atque suturae Abdomen et pectns basi nigris. hirta, nigra, ano lufo. Pedes valde liirti, nifescentes. R^. totta: hirta, pallidis. Habitat prope nigra> elytris plaga nifèscente, margine * Cap in Taffelberg,, -vulgaris. Magnitudine aphodii crratici, seu plagiata major_^ tota ovata. Caput nigrum, punCtatum^,. clypeo exciso. Anteima& nigrae,. fussiles^ laminis. clavae c^aaUior. hirta,, 429 TJiorax nigeiv pnnctatiis^ maiginc antico pilis erectis' cilia-» tus; fascia jntcrduni poslice aicuata, rubra. Elytra nig^ia, pcinctata absque stiiis_y abdomine paulo viora, pilis spaisis canis eiecLis hiita, teiioii tcnuissime pallide flavo. ta ntur plaga postica lufescente. Pecfus et pedr-s Higii^ valde pilosi pilis bre-^ margine ex- .Saepe elytra no- erectis. Abdomen nigium^ incisuiis .brevissinie pilosis, .albidis. Anus intetdum aiibet. Variât, i.thoiace fascia elytrisque plaga rufa. 12. thoiace nnicolore, elyttis' plaga rufescente. 3. thorace elytrisque iinicoloribus. 4. tliorace unicolore, elytrorum, plaga «ancque Dijfert riibrif, ab apiiodio pïagiato: 1. pilis corporis, thoraci? elytroriwnque .erectis. 2. margine elytroriim pallido. 3. stnîtura ovata magis, qaam cylindiica. 4. magnitudine saltem .triplo majorL -M. gihba: gibba, testacca, tomento cînereo nitidula. f Melolontha gibba. Fabric, Eleut. 2. p. i83. ^l. seti^era: snpra :binnnea pnnctato - pilosa, ncreo - hirta. Major melolontiia snbtiis ci- * iidgari , supra tota brunnea punctato - 43o siibvariolosa punctisqiie setigeris ; siibtus cinereo - tomehtosa. Capitis clypeus marginatus, excisns, antice concaviis. Thorax convexiis, angulatus, marginatus, medio siilco ob- soleto et mac[ila utrinque nitida. Eîytra convexa, marginata, irregulaiiter punctato - vaiiolosa , Costa et postice nodo elevato , abdomine bre- viora. Pectus et femora hirsLita villo longiori. Tihiae quadiispinosae. Femora crassa, inermia. TRICHIUS. T. punctigerus ni gris. : hiitus, testaceas, elytiis punctis quatuor * Magnitudine melol. hortkolae , capite, thorace oninibusque subtus densissime hirsutis, cincreis. Eîytra testacea. abbreviata: puncta parva, nigra in medio, in singulo elytro bina. Variât situ punctoruni in T. lineatus tris : pubesccns, thorace fulvo-nigro-lineato; ely- testaceis Trichius lineatus. T. nigripes: elytris. : sutura fui va, f Fabrlc. Eleuter. 2. p. hirtiis , i33. fuscus, elytris testaceis; apicis cincrascente. f margine 431 Trichius nigiipes. Fahric; Eleuter. 2. p. T. macnlatiis 134. glabcr , cinereo-maculatus, capite supra : thoiaccque nigris ; elytiis piceis. * l34- Tiichius macLilatiis. Fahric. Eleuter. 2. T. villosus: supra niger, sublus albidus. f hiitus, Trichius hirtus. Fabric. Eleuter. 2. pag. T. pilosus: p. i34- subtestaceus, capite thoraceque nigris; hirtus, elytris piceis. f Tiichius pilosus. Fabric. Eîeut. 2. p. 134. T. llmbatus fenugineis hirtus, : triangulari atra. Paulo minor trichio fasciato , Cnpitis clypcus excisus, Thorax ater, niger, elytris macula : * totus subtus ater, villosus. inarginatus, niger. macula flexuosa brunnea intra singulum latus. El)tra test.icca costa longitudinali ; marge cxternus, sutura, macula trigona et suturae apex nigra. disci Variât maculis thoracis obsoletis et omnino nullis T. hipiinctatus: viridis ano biguttato; elytris testaceis.* Trichius bipunctatus, Fabric. Eleuter. 2. p. Elytrorum sutura marge et viiidia. T. saxicola: villosus, cyaneus, omni Habitat in nigro. l32. elytris * summo monte Witsenberg. testaceis: margitie 432 Quadrupla major melol. horticola , fusco-cyaneus, subtus hirtus, immaculatiis. Capltis clypeus viiidis, margine valde elevato-reflexo. Thorax subangulatus, convexus, maiginatus, viridis, villosiis. El/tra abbreviata, marginata, testacea costa elevata, stïiatomarginibus suturaque nigds. piinctata, Similis melol. abdominali. T. campicola brunneis ; nitidus, thorace niger, : cyaneo ; elytris * abdominis latenbus albo maculatiF. Similis melol. horticolae, sed minor et totus glaber, subtus niger, capite thoraceque cyaneis. Clypeus reflexus. Thorax m medio unistriatus, Scutellum nigrum. Elftra stiiata, tota rufa, immaculata. Abdominis lateia albo-macnlata. T. carhonarius : yillosQs , nigro-vaiiegatis. Duplo major melol. ater, clytiis testaceis: costis * horticola, totus ater, opacus, hirsutus subtus, capite thoraceque atro punctatoque. * El/tra testacea , costis paulo elevalis nigro - irroratis. yariat elytris magis nigris et fere totis. T. rupicola : villosus, virescens , capite nigro. Rlelolonlha rupicola. Fa6ric. Eleuter. c. p. 17 3. * 433 T. ursiis: hirsutissimns, Melolontha ater, pcciibiis qnatnor testaccis. 184. Fabric. Eleut. 2. p. iirsus. '*' Elytva glabra. T. hombylius: pilosus, niger, elytiis testaceis: bus apicis albis. Melolontha bombylius. T, capicola : Variât Valde Fahric. trichio urso , tus, atenimus etiam 1°. totus atenimus. 2°. ater pcctore sunt affines tum i85. Eleut. 2. p. * Melolontha capicola. Duplo Fahric. hiisutus, ater, immaculatus, clypeo acumi- nato bifido, minor lineis tri- * Eleuter. 2. p. alias 179. simillimus , totus elytris. aibo - hirsuto. trich. capicola forsan et cliscoîor , tan- varietates. T. cliscoîor : supra ater Mi}wr paiilo melol. subtus ferrugineo. * villo atro, horticola, totus ater^ vellere hirsutus , supra nigro, subtns ferrugineo. Clypeus acuminatus, fissus. /Jnus cinercus. T. crinitus Melolontha hirsu- : hirlus, supra crinita. viridis, subtus niger. Fahric. Eleuter. 2. T. capucinus: hirsulus, ater, elytris pag. pictis. Minor melol. horticola, lotus hirsutus. M(moin-ideVAcad. T.Fl. ^^ 184. * * 4^4 r'')'7?(''^yiiciiminatiis, citer. ^Itibrr.capite b.isi Tnorax villo hiisiitus aler, nigro'j hiisulo, villo ntto. cincuis Liiulique ciiculo villomm alboium. Elytra biunnca^ ^'///.v |}ilosa pilis alris. albidus, hirsutus. Audonieii nigrnm, atio - hirsiitum , uti latcribus albo - villosum pcdes, altcro laterc albo-villosi et , altero ni- s^ro - villosi. Pcchs posiici clongati, inermcs. T. Ursula: hirsutus, supra maiginibns Magiiitudo et statura pcctus omnino albus; elytiorum subliis trichii sed capicolae , subliis \'ellere çiim abdomen villoque albo - tonicnlosa tecta; supra niger Clypeus ponectus, atci_, * convcnit ; proxiiiie et albis. laiioii albo qiio huic uti longioii nigio vcstitus. bifidus. Elytrorum margo omnis cinerasccns. Pcdes omnes hirti; elongati , post.ci latere altero vellcie nigro, altero albo ciliati, incriiics. T. vittatus: pilosus, cyancus, clytris testaceis: lineis bus albicantibus. Melolontha vittata. * Fabric. Eleuter. 2. pag. i85. T. lynx: hirtus, niger, elytrorum margine aureo. * Melolontho lynx. Fabric. Elcutcrat. 2. p. 184. tri- 435 'J\ liirtus: Melolontha capite thoraceque viridibus ; hiiUis, Fnhric. hirtj. T» ovinus: Eleuter. 2. p. cin( reo - hirsiitus, Duph minor melol. horticola hirsutie densa Caput atriim, Thorax ater, elytris * fuscis. , niger, lS5. elytris subtus lotus bninneis. niger,' * tcctus cinerca. pilosum, acuminatum, fissum. pilosas. Elytra briinnca, immacnlata, pilosa. T. tricolor : albo-hirsutus, capite atro; thorace cinereo; anoque elytris Mlnor melol. testaceis. horticola , * totus hirsutus. Capitis basis hirta; clypeus integer margine elevato réflexe. Thorax cinereus pilis erectis nigtis Elytra brunnea, immaculata, Abdomen .-Iniis et pectiis sparsis erectis nigris. albo - tomentosa, hirta. ferrugineus. hirtas, T. depressiis: Duplo minor pilis pilis sparsis. ater, subtus flavo-hirsuttis, supra pilosus. * melol. horlicola , raris totus ater ; supra pilosus sparsis; subtus cinereus densa villositate tcctus. Capitis clypeus aciimiriattis, fissus. Elytra in mcdio doiso versus sutJitram fovea depressa. Anus ciher^us faseia atra. 55* 436 Pedes postici elongati, inermes. T. jnojiach us niliil Clj'pciis ininor Lhorace iiigio, hirsutns, marginibus biiinneis, elytris bls-j Non : lineis duabus atris. * al- melol. Iiorticola. acuminatuSj lliorax atcr, hiitus, pilosus, niger. fissiis, cinctus villo albo j in medio lineae binac abbreviatae niveae. Elytra briinnca, fusco-pilosa, marginibus exterioribus atris. Pectus albido - liiisiitLim. Abdomoi potias albo - tomentosiim^ immacalatum. T. bis triât us: hirsutus, bus suturalibus ater, elytiis atris. Magnitudine melol. hortlcolae, Clypeus capitis integer, Thorax totus subtus ater, villoso. ater, hirsutus villo atro. intra Pedes postiei elongati, T. vulpes : hirsutus. marginatus margine rellexo, basi Elytra brunnca; brunneis: lineis dua- * suturam utrinque stria atro^ villosa atra. crassiores. aurcus, fulvo hirtus^ abdomine ferrugineo. * ]Melolontha vulpes. Fahric. T. marginèllus albo - tomcntosus, : Eleuter. 2. p. gine albo; elytris brunneis. Melolontha marginella. i85. thorace nigro, mar- * Fahric. Eleut. 2. pag. 181. 437 T. tibiaîis: albo-tomentosus, thorace nigro hirto; fusco - brunneis. elytris * Similis trichio margincllo, coipoie subtns albo - tomentoso, sed pcctore magis hiisuto Caput et thorax atra, FJi'tra brunnea, basi fusca. villo diffeit. atio liirsuta. Tihiae posticac elongatae, curvatae. T. fcuioratus: glaber, ater, elytris brunneis; femoiibas * posticis compressis spinosis. l'ix Oryzae magnilLidinis totns Clypcus capitis acuminatus, ater, glaber. [issus. Scutellum album. Elytra brunnea, immaculata. Siihtus ater, laleribus Anus ater, abdominis albo-guttatîs.' fascia alba. Pedes postici elongati. valide dente Femora aimata. compressa , crassa , Tibiae curvae , basi terminatae spina insigni. T. pusillus: glaber, brunneus, capite nigro. Octics minor melol. ab illa ginea et a * bninncay adeoque sufficienter distinctus A mel. ferru- melol. mclanocephdla. Fahricii Eleut. pag. 170. quoque, quod minime punctatus, n°. 56. distinctus sed^ laevis» 438 Clypcus intrger, rotiindcitiis, marginattis, niger, rrflcxus. Thorax, Elytia^ corpus, pcdes brunnca, laevia, immaculata, T. costatus: glaber, siipia duabiis. * tosus, elytris costis Dimidio niinor melol. ctoreque albo cinerens, subtus albo-tomen- horticola, - tôt us albo - tomeniosus pe- villoso. Supra cinerens, thoracis lateiibus albidis. Elytra exciso-angustata, costis in singulo duabus tenuibtis. /inus obtusus, spina terminatus. T. siilcatus: hirtus, subtus albus , brunneis sulcatis albo - lineatis. supra niger elytris * IMagmiiidlne circiter mclol. hortlcolae. Clypeiis subquadratus, marginatus, integer. Thorax im macula tus. £//tra fusco-brunnea, basi villosa- sulcata latiora, tenuissime punctata et sulcis lineisque pluribus albis ; in ipso apice lunula alba. Pectus hirsutum villo albo. Abdomen tomentosum, album, immaculatum, PedeJ atii , -u>4 •' 'J' •' iHiti. Femora postica ct'assa Spina- exteriori^latere terminata. ermes-, s|^ina iitrinque terminatae. Variât atio^fliïvtscente et tibiis rufi?. , obtusissimiim. mutica , apice Tibiae drdssae, in- 09 T. multi^iiitatus : tomcntoso - cinereusf, neis, niiiCLiIis orto cineieo-iilbidis. * nielol. hoiticola, Minor minus densissimis tolus pilis feiiiigi- brevissimis' flavcscrns. tectus, Caput elytris toin lUosum _, clypeo parum exciso fiiscuni, nuui^inutum. Thorax Elflra cinti.eiis maculis tribus ferrugincis. ferrugineo-tomentosa , maculis in singulo quatuor ablongis, albidis. Scutellum cincico- albidum. Pcctus hirsutum villis albis. Ahdowen tomentoso- album, immactilatum, iiti et pedes toti. Fcinora postica ciassa, inermia. Tihiue inciassatae, ineimes, spina utiinque tcrminatae. Ungues nudi, mfi, validi, cuivi. T. cliiragrlcus: pubescens, ater, elytris albis: linea atra; femoribus posticis bidcntatis. Magnitudine mclol. horticoLie, sed tis * latio», totus ater excep- marginibus elytrorum, tenuissime nigro-pubescens. Clypeus excisus. Elytra alba ; linea in mcdio lata obliqua atra y apiceni non atiingcnte. Pcdbs postici elongciti , monstrosi. Femora crassa ^ basi dcnle obioleto et intra apicem spina valida armata. 440 posticae curvatae, compressae, spina valida Tïbirte terminatae. T. rufîpes: glaber, ater, femoribus posticis Intcr minores, ater, palpis pedibusque anticis maonitudine scarab. arenarii, totus glaber, palpis solis pedibusque anticis Femora postica crassa, iiifis; bidentatis. * rufis. basi apiceque dente parvo armata. Tibiae incurvae, extus ciliatae, spina teiminatae. T. cancroides : albo-irroratus ; aler, femoribus posticis elongdtis crassis ^ tibiis unidentg^js. Melolontha cancroides. * Eleut. 2. p. Fahric. Latcra abdominis albo-maculata, 181. médium totum tomentoso- album. T. crassipcs: glaber, nigcr, capitis clypco quadridentalo.* "Melolontha crassipes. Fahric. Eleut. 2. p. 180. Corpus totum nigrum, glabrum, laeve. Caput marginatum clypeo antice rotundato, quadridentalo denlibus obtusis. Antennae nigrae, fissiles, clava trilamellata fusca. Thorax convexus, marginatus. Elytra abdominis longitudine, convexa, marginata., sulcis tenuissimis. Femora valde crassa, angulata, parum compressa, inormia. 441 Tiblae anticae compressac , dilatatae , tiidentatae ; posteri- ores dentatae, ciliatae, ungviculatae. Ohs. Thorax subtus ata, capitis clypeus postice et subtus nigris. villis T. arthriticus: niger elytris giiseis; clypeo tridentato^ fcmoribus posticis incrassatis subinermibus. Melolontha atris. * 180. p. albo-farinosiis thorace canaliculato atro ; : abdomine albo fuscis ; elytris Elenter. 2. Fahric. arthritica. T. atomarlus cili- : punctis lateralibus * Melolontha atomaria. Fahric. T. dentipes elytris testaceis ; : niger, Eleut. 2. p. 177. clypeo qiiadriden- tato ; pedibus tibiisque posticis spinosis. * Melolontha dentipes. T. spinipes: Fabric. Eleut. 2. p. niger, elytris brunneis; scutello toto lateri- busque abdominis albo - punctatis ; cis elongalis. 180. pedibus posti- * Corpus magnitudine melol. hrurineae , glabrum, nigrum* Caput depressnm, punctatiim. Ocull et antennae fissiles nigrae ; os pilostim. Thorax convexns, punctatiis, postice sulcatus. Elytra marginata , abbreviata , striis et punctis, albis brevissimis. M(moires de rA.ad. T. H. subriigosa , brunnea : glabra absque lineis obsoletis ^^ ex pilis 442 Pectus et abdomen pilosa. Anus pulverulento - flavescens. Ahdominis latera albo-punctala , ex scilicet pilis albis quatuor utiinque. piinctis Pedes anteriores quatuor fusco-ferruginei , spinosi ; postici elongati, crassi, longitudine corporis. Fcmora crassa, extus convexa, intus concava, basi dentata, margi- ne pilosa , ferruginea. Tibiae inflexae , falcatae, medio unidentatae. Plantae ciliato-spinosae. T. gonagra: grisea, crassatis muticis. Melolontha gonagia. Corpus totum rufis pedibus rufis; pedibus posticis in- * Fahric. Eleut. 2. p. 180. tomentoso - flavum supra infraque , pedibus glabris. T. ahbreviatus: villosus, niger, clypeo tridentato, elytris abbreviatis testaceis. * Melolontha abbreviata. T. podagricus : Fabric. Eleut. 2. niger, clypeo tridentato; biisque posticis dentatis. feraoribus ti- * Melolontha podagrica. Fabric. Eleuter. 2. T. deustus : pag. 181. p. 180. glabcr^ thoracis lateribus albis; elytris lu- nula apiceque nigris; abdomine albo - maculato. * Corpus magnitudinc melol. horticolac paulo minus, glabrum. totum. 443 Caput angustum, marginatum, punctatum, antice rotundatum, nigium, antennis rufescentibus. fissilibus Thorax convexus, angulatLis, maiginatus, antice attenuatus, glaber, marginibus lateralibus pio capite excisus , linea intermpta alba. El/tra abbreviata, testacea, glabra, exterior, sutura stiiis Pone mediurn lu- et apices nigra. nula subtriangularis communis punctatis; margo nigra. Scuteîlum nigrum. Pectus et abdomen nigra, subpilosa ; abdominis bo - punctata. latera al- Anus supra maculis duabus albis pictus. Tibiae fusco - rufescentes. Femora rufescentia pilosa. T. calcaratus niger, elytris flavis: : bus tibiisque posticis spinosis Melolontha calcarata. T. sexlineatus nereis. : Fahric. fascia atra; femorirufis. Eleuterat. pubescens, niger^ 2. f pag. i8o. elytris lineis sex ci- * Qiiadniplo minor melol. horticola, totus pubescens, niger. Clypeus excisus. Scutcllum cinereum. Elytra lincis sex cinereo - albis picta. Pectus, lalcra abdominis strigaque ani cinerea. Pcdcs antici tiideniati, intermedii ciliati; postici elongati, 56* 444 valde incrassati, spina bascos valida. Tihiae curva- tae, spina teirainatae. T. mïnutus : niger, giiseis; elytiis nioribus posticis acnte Melolont.ha minuta. Fahric. T. fus eus: glaber, fuscus, ineimibiis. crassatis Pedicuîo duplo major , pedibus testaceis; fe* dentatis. 182. Eleiit. 2. elytiis biunneis; fcmoribus in- p. * tiichio minuto valde similis , sed * obscurior, femoribus muticis. Caput, thorax et omnia subtus nigra. Rlytra testacea seu fusco - brunnea, immaculata. Pedcs antici picei. Fcmora postica incrassata, inermia. Ti- hiae posticae incrassatae, spina tcrminatae. T. thoracicus duabus : hirtus, thorace nigro : maigine lineisque * lateis. Paulo niinor melol. horticola. Corpus nigrum, subtus albo - hirsuinm , supra anusque fla- vescenti - tomentosum. ClypeuS subquadratus integcr, Thorax niger , _, niger^, marginatus, margine valde elevato, capite basi hirto. hirtus, lateribus et margine postico flavis ; lineae duae in medio dorso abbreviatae, flavae. Elytra hirta , flavis. laevia , biunnea, sutura et margine postico 445 Pcdes antici picei; postici elongati, T.fulvipes: hiitiis, nigri. Ihoiace cinereo; elytiis ferrugineis ; margine postico flavo; pedibus mtis. Magnitudo, statura Corpus subtils et similitiido tiichii * thoracici. nigrum^ vellere albo tectum, ano llavo - to- meutoso. Clypeus integer, concavus, margine erecto, niger. Thorax hirtus, cinereo - tomentosiis. Elytra ferrtiginea, laevia, margine postico flavo. Pedes pilis raris hirti, basi villosi, anticorum tibiae nifi ; bidentatae ; postici elongati, inermes. T. fuscipes: hirsiitus, subtus albidus, supra ferrugineus, elytrorum margine postico flavo. * Statura et similitude trichii fulvipedis et tJioracid, eorum- que magnitudo. Corpus subtus nigrum^ hirsutie alba tectum, ano lateribus- que fulvis. Caput basi hirsuto-fulvum ; clypeus subexcisus^ concavus, marginatus, niger. Thorax hirsutie fulva longiori tectus. Elytra ferruginea, villosa, margine postico lunula flava. Pedes omncs nigri, pilosi; elongati. antici extus tridentati^ postici 446 T. setosus: tiis villosns, subtus albus, supra nigris stiialis, pilis testaceus, ely- * Qitadruplo minor melol. hortlcola, subtus hirsutus, albus, ano fieuugineo. Clypeus integer, marginatus. Thorax fusco - cincieus, Ehtra villosus. seriebus aliquot c pilis testacea, nigris erectis. " Pedes nigri, hirti. Pcnlcillus ad oculum utrinque piloruin nigrorum singularis exstat cristatus. T. hilateralis : hirtus , subtus margine nigro alboque. Duplo minor. melol. hortlcola, albus, elytris brunneis : * hirtus totus. Corpus subtus antice albo - villosum, abdomine nitido atro segmentorumque marginibus albis. Clypeus integer, concavus, marginatus, niger. Thorax nigcr, valde hirsutus. Elytra brunnea , angustata : margine nigro fmibria alba, suturaque dimidia postice alba. Anus ater cingulo albo. Pedes antici rufi, bidentati ; reliqui nigii, postici elongati inermes. T. hilohus: lineola hirtus, thorace gibbo sulcato } elytris nigris; punctoque ferrugineis. * 447 PecUcuU tripla magnitudinc^ totus teniiissime hirtus. Thorax v.ilde gibbosus, fuscus, dio fcrruginco-pubescens, me- striatLis. Scutcllum ferrugineum. Elytra nigia ; lineola abbreviata et singulo in punctum ferrnginea. Suhtiis ferruginco- villosus, niger. Pcdes ferrugineo - hiili ; Aphodil validis ; glaber , supra cinereiis, thorace lineis qua- trillncatus : tuor, spinis elongati. postici T. bispinosi antici elytris tribus fuscis. oblongus , statura , * quadruplo pediciilo major, totus tcctus. cineritie CJypeus integer, marginatns. Thorax lineis quatuor fuscis. Elytra linca costali abbreviata et sutura In pectore juxta Pedes rufi, fuscis. pedes intermedios macula magna flavescens. antici tridentati ; Tibiae posticae fuscae ; ul- timi elongati, inermes. Scutellum minimum, nigrum. T. ruficaiidis : que Pedicuîo rufis. glaber, ater, elytris, abdomine pedibus- * quadruplo major, totus glaber. Clypeus quadratus, marginatus, integer, niger. 448 Thorax convcxii.';^ l.itciibus ni,i;cr, piincto impicsso, postice obsolcta. stria tes ta ce a, Elytra laevia, im macula ta. Pectus nigrum. Abdomen luhm), immacnladim. Pedcs omnes et rufescentes ; toii bidentati j antici postici elongati femoribus inciassatis inciniibus. T. araneoides : iTigineis ilavescens clypeo subieflcxo, T. hinotatus : Fahric. hirtiis , Duplo minor horticula , melol. domine rufo, Elciiter. cinercus, punctis diiobiis nigris. fcr- * fiisco- fasciatis. Welolontha araneoides. clytris c. clytiis p. l83. testaccis ; ano * subtus pcclore nigro , ab- cinerco villo tcctis. Clypeus transversLis, marginatus, pnbescens. Thorax valde convexus, olivaceus, hirtus. Elftra angnstata, testacea, immaculata^ glabra. hâtera abdoniinis albo-rnaciilata. Anus ferrugineus^ lonientosiis, punctis duobus Pedes nifi, hirii ; ribus atris. antici tridentati; postici elongati, inermibus crassis. T. sexstriatus: subtus albo-hirsutus, supra niger sexlinealis ; ano flavescente. Similis in multis femo- trichio elytris * sexlineato , impriniis elytioruni 449 lineis ; non vcio AJagnituduic quadruplo mjjor, scd clavatis. ci ici ter nieloi. totus niger, sed hnrticoîae , siibtus tecttis brevior secl latior ; hiisnu'e alba; anus supra cinereo - pubescens. flavescens ; Clypcus femoiibus elongatis, bifidiis. Thorax niger, piinctis minudssimis albis griseiis, margine posiico albido. Elytra fusca, lineis tribus in singiilo cinereo -albidis. Scutellum cineremn. Pcdes antici tridentati ; ti intermedii ciliati ; postici elonga- liirsuti. , PTYOGERUS P. niiistaclnus. * Act. Stockholm. 1. fig. 2. 1806. pag. 1. Tab. 0. 3. TROX. 1\ sul catiis : niger thorace snlcato alato ; octo marginequc serratis. Trox luridus. Habitat in Fabrîc. collibus extra Corpus Trosabiiloso Caput parviini, Aiûcnnac * c. pag. 111. nrbem. iiuijus, loium cinereo- nigruin. ovatum. nodoso-inaequalc, glabrura. tri la niella tae. Thorax convcxiis, AUmoira Eleutcrat. elytris costis .-U rugosus,, rAcad. T. VI. anlice late excisus; 57 postice- 45o rotundatus , ciliatus ; et utrinque lateralis in medio sulcus Scutcllum minimum. tenuissime ciJiatas pioducta. Elytra pioftindus cuivus. Lalcia in alas planas, abdomen undiqnc includcntia ; in singulo costae, quatuor crenatae, coalitae, intcr quas duplex ordo punctorum; maigo cxterior seiralus, postice ciliaLus. Abdomen planum. Femora ra anlica macula fenuginea notata; Tibiae spinosae; tarsi 'J'. angulata, punctata, pilis hispida; femo- et tibiae articulis sil phoides : quatuor cilito-spinosis. glaber ; niger, laginco-ciliatis. ihorace elytrisque carti- * Habitat juxta urbem Cap. Magnitudiiie ^ilphae grossac, oblongus, supra convcxus, subtus planus, scaber, fuscus. Thorax convexus, nodosus nodis pluiibus parvis; latera complanata, dilatata; margo omnis cariilagineo ciliatus. Entra clausa , marginata , rugosa et nodulosa nodulis quibusdam apice cinerascentibus laevissimis fere penicillatis; margo nereo- ciliatus. Femora crassa ; tibiae spinosae. Silphac faciès, sed antennae trilamellalae. per séries, e tenuissime pilis ci- 451 DECADES TRES ELEUTHERATORUM NOVORUM DESCR F. /. r S IT I ESC lise UOLTZ. Conventui exhibuit die 25 Jan. 18 15. Nonnullas eleiuheratoruni parlim nova partim , in desciipliones nova gênera gênera Cetonia nent tt ciebus nova condidi gênera , siiisse arbitrer. : demque animalcukim absolutam addenduni Plinimi vel frustra cjus in allati historiam , tradere vel L. ne in quid parti- amplius — supersit. Livonia et ean- sit , omnibus niutandum eleuthcratoium indigeni, duo quoque e sunt, Leth ru s 1 . curam impo- saepe singuiis sectari, et corrigendum descriptorum difficile nonnulli in regionibus Caucasicis lecli , Surinamo rei Constat inter entomologiae peritos, multis- qne comprobatiir exemplis , qiiam bus adhuc pkires inde nonniillis e spe- si non Conti- indigna. Melolontha Fahric. species habita valde ditTercntes quaedam distiibuta continent entomol5giae peiiùs non plane quae ofTero , f e r i u g i n e n s. corpore oblongo, ferrugineo. Caput fcntigineum, scabrum, pilis paucis instrucnim; 57 * aii- 452 îice maigine l.icvi, ciilisqne duobiis Ociili in mcdio clevato, tuber- trijnc^iilo m.ugine antico atiis. miigni, ^lobosi, atii. Antennae fcrriigincae, limae Lethri pilosae, ante octilos insritae, simil- cephaloiis , claxa at t.xcavala (ur- ceolatd). Labrnm brève, tiansversiim^ latc niiaii^inatum, ciliaKim. Mandibcilae magnae, poiiectae, validae, intcgeniniae^ apice obtnsae , extus pilosae , .intus nudac , fcrmgincae; angiilis Rlaxillae longitudinc capitis. nigiis; brèves, niembranaceae, recrée, pilosae, integrae. Palpi qiiatnor filiformes: qiialibns, glabris^ bus antciiores aiticulis fjiialuor posteriorcs brèves; inae- articulis tri- pilosis. ligula membranacea , intégra, pilos^u Labicim corneum, rotundatiira, inflexum. Thorax fernigineus, magnus aniicis dtflexis, lat«rali Scutelliirn mujori triangtilare, , gibbtis, iiiargine piinctatus; citrinquc ( lex aïo , angtilis piincio irnpresso, nigro. pilosum. ferrciginetim, Elytra ferriiginea , pilosa, marginata , convexa , haud con- nata^ punctato slriata; striis dominis, siiUira nigricante^ Aîae magnae. octo; humero longitiidine elevato. ab- , 453 PecUis et abdom^f?n feiiLiginea, nitidd, Fectoris punctatis, Pedes fcriiiginc'i, ticulis triangularibus laminis latera miiltis in facie elytromra pilosi; tibiis dentatis, tarsis omnibus ai- qiiinque elongatis, pilosis. Uliis. rer. natur. Uni- Dorpat. Cacsar. spccics Difleit _, marginatisque tecta. Habitat in icgionibus Caiicasicis. vers. seLis sparsis instriicta. partibiis haec (magnitudine Aphodii fimetaiii) cum Lethii génère, quo tamen separan- dani non putavi. 2, Geotriipes thoracicus. G. muticLis, briinneus, capite thoraceque atris, elytris piinctato striatis. Caput atrum, nitidum, laeve, glabrum; clypeo piceo, pimctato, emarginatOj margine elevato. Oculi picei. Antennae pilosae, piceae. Thorax iiter i , nitidus , glaher; pirnctis sparsis lateralibus m p rassis. Scutelkim brunneiim, laeve, nitidum. Elytra brunnea, nitida, piinctato striata^ lineis quinque re- 454 <;iiliiiibus, spaisis l'ectus, . inegulaiibus, cactcris humero impressis, laevi. abdomen pcdesquc picea, Habitat Surinami. Mus. Valp'i at corpoïc cylindrico. Scotodes. 3. genciicus nitida, glabra. naiur. Univ. Gaes. Dorpat. ler. Magnitudine G. IMonodontis, Cliaracter punctis nonnullis : quatuor inaequales : anteriores secniiformcs , postciiores clavati. Rlaxilla membranacea , bifida. Lahium coincum, tiansveisum. ^Inteitnae filiformes. Scotodes annulatus. Corpus oblongum , elongatum , pubesccns taidum, Blapibus _, immarginatum, afiinis. Caput insertum, inllexum, elongatum, complanatum, griseo pubescens. Oculi magni, globosi, Antennae filiformes , longiorcs , tertio atri, rcticulati. versus apiccm ante oculos increscentes , thorace pilosae; articula inscrtae , elongato. I.abrum corneum^ subquadratum, pilosum. 4^5 ]\]andibulac coineac, iiniilcnuilac, brèves. Maxillac membi\inaccac pilosis: biis, icctae , , cxteiioii bifidac; laciniis aequali- magna, tiiangulaii, inteiiori païA'a, lineari, Palpi qiiatuoi- inacqiialcs gati, ciilo Ligiila secLiiifoinies ; magno, ino : anteriores qiiadriarliciilali, elon- ailiculo secundo clongalo, ulti- compiesso: posteriores aiti- Iriangiilaii, majoii, iill.imo niciiibranacca, ovato. bifida; laciniis quadiatis, pilosis. Labiuin coineum, tiansveisum, pilosum. Tiiorax siibquadratus, giiseo pubescens, immarginatns, antice lOtundatLis, tiis elevatus, capilis basin tegens, ely- angastior; margine postico medio levitei emai- ginato. ScLitellmn paiMim, oibiculatum, pilosum, albunr. Elytra lincaiia, libéra, giisco pubescentia, dense punctata, immarginata rigida, , abdomine longiora, lateiibus deflexa, foinicata, laevia, apice lotundata. Alae magnae, diaphanae. Corpus subtus nigro pubescens, nitidnm. Pedes femoribus nigris ^ nigris ; culatis , tarsis teretibus , griseis, posticis- tibiis griseis ; annulis quatuor anticis quinqne-arti- qUadiiarticulatis ^ articulo primo 456 tiltimo et inciirvis, elongatis ; iinguibus duobus bipaitilis, cum Blapis ge- fernigineis. Habitat in Livoniae locis iimbrosis. convcnit multis Scotodes paitibus in ncic, ditTcrt tamen satis antennis filifonnibus, palpis ante- rotundo). — Noinen gmeiiciim Carab 4. C. Caput labioquc securiformibus , iioribus apteiTis, 11 ater, s transverso a Blapibus c-œTcCdy^, tenebrlcoscis. c y a n elytiis (in i p e n n i s. violaceis, stiialis, nilidum. aliiim, Oculi grisei Antennae piceae, Thorax basi nigrac, pilosae, ihorare longiorcs. nitidus, cordatus, canaliciilatus ; atcr, marginibus externis elcvalis, ScLitellum parvLim, atrnin, nitidtim. Elvlra violacea, fere plana, libcra, marginata, ata ; striis piinclis noveni ; margine toto It-viier apiccqne tribus iinprcssis. Alae nullae. Corpus siibtus Habitat in stri- pedesqiic brcinnea. glabra. rcgionibns Caucasicis. Species hacc magniuidine C. leiicophlhaiini. 457 Hydrophilus chalcaspis, 5. IL griseiis , elytiis stiiatis , _ capitc aeneo, C.iput viiidi acneum, nitidiim, piirictatum, a basi ad mc- dium usque Ocnli carinatuiti. niqri. Antennac flavae, thorace breviores, Thorjix feiru<;ineus, punctatus, nitidus; disco nigro aeneo, feiLigineo carinato. ScLitelliim niininuim, griseum. Elytia grisea, valde convexa^ crenate striata; striis e pun- ctis impressis, basique lina inter primain et secun- dam abbieviata ; medio marginis PecLus et abdomen disco punctoque in nigriçante , nigio. nitida. atra^ Pedcs fenuginei ; feinoiibus quatuor posticis basi Habitat in Livoniae aquis stagnantibus, atris. plantis _ aqua submeisis adhacren?. Species haec^ magnetudine H. marginellij facie subalie- na, qua de causa organa cibaria exaininavi, at Hydrophili characteiibus gcneiicis aequalia chalcaspis a j^^^Anaainç', MmotmsderAcad. T. FI. inveni. aeneum clypeum Nomen gerens. 58 triviale 458 Dyt 6. i s à 11 s (Dytîciis illiger) D. thorace elytioriiraque margine f 1 a flavis, v i c o 1 1 i s. elytiis cincreis, scmipunctatis. Caput alriim ; macula antice duabus juxta coidata fcirugineisj positis posticeque lineis punctisque utrin- que tribus ante oculos impressis. Oculi grisei. Antennae, palpi labiumque fenuginea ; antennis longitu- dine thoracis. Thorax laevis , duobus latcialibus, ticum minimis macula mcdia , glaber ; flavus , duobcisquc punctis ad marginem pos- nigris. Scutellum parvum, atrum. Elytra grisea , ultra late glabra ; punctis rivulisque médium usque impressis, suturaquc tenerrime parvis a basi margine exteriori flavis. Pectiîs atrum, nilidum. Abdomeiî fcrrugincum , glabrum ; segmentis fusco mar- ginatis. Pedes quatuor antici flavi; tarsis simplicibus ; postici fer- luginci ; tarsis natatoriis. Habitat in Liyoniae paludibus. Statura D. cinerei, at magnitudine D. bipustulati. 4^9. "J. . D y/Ci s c Li s (DyticLis. D. livido seiiceus, capite, fuscis. Cjput fuscum, glabrum ; postice linca semicirculari nigra. Oculi nigii. r Antennae longitudine atcr, marginibus pe- clytrorLiin dibusque Thorax ser-iceus. illig.) th6racis, • ^ fciscae. "..)ijj;gn^ Jl punctatus ; disco lacvi, nitido, limbo livido sericeo , marginibus exterioribus brunneis ; postice loco scLitelli productiis. ScLitellum nnllum. Elytra nigra, livido sericea ; raargine exteriori fusco. Pectiis et Pedes abdomen atra, * nilida. fusci ; tarsis posticis nataloriis. Habitat in Livoniae aquis stagnantibus. Inter at corpore minores hyjus generis , magnitudine D. ovati, magis complanato. 8. T. T i 1 1 u s a t e r r i m Li s. hirsutus, ater, elytris punctato striatis. Caput atrum, hirsutum, nitidum, punctatum. Oculi fusci. Antennae atrae, longitudine thoracis. Thorax ater, Scutellura niiidus, hirtus; pilis atris; transverse rugosusj parvum, rotundatum, glabrum, opacum. 58* 46o Elylia atra, nitida, piincLato striatà; pilis atiis» no.vem; striis pilo-^a ; . Pcctus et abdomen atra, pilosa. Pedes atri, Habitat pilùsi; in Longitudine tit)iis; quatuor posticis flavescentibus. Livonia. circiter 9. quatuor lineaium. Corynetes • . a e n e u s. C. nigro aeneus, thorace elytrisque pilosis. Caput nigro aeneum, pilosum, nilidum. Oculi atn^ opaci. Antennae longitudine fere filiformes, Thorax nigro aeneus, thoracis, pilosae, nigrac, perfoliatae, versus apicem pauUo incrassatae. pilosus, rotundatus, marginatus; lim- bo exteriori elevato^ scabro. Scutellum parvum, nigro aeneum. Elytra pubescentia, pilosa, laevia, nigro acnea. Pectus , abdomen pedesque nigro aenca , glabra; tarsis piceis. Habitat in Livonia. Antennae a Corynetis génère panllo diversae, tura et magnitudo omnino Corynetis violacci. at sta- 1 46 Canthar 10. i p 1 u m b e a. s C. ihorace mclrginalo: limbo^ oie, pedibus abdomineque pallidis, elytris cinereis. Capiit nigiunij pubescens; oie palpisqae pallidis. Oculi atri, nitidi. Antennac fenugineac. Thorax maiginatus; limbo pallido. ater, ScutcllLim cineieum. Elytra pubescentia^ cinerea. Alae nigrae. Pectiis cineieum, sericeo nitens. Abdomen pallidiim; segmentis nonnullis nigro maculatis. Pedes pallidi; femoribus posticis geniculo nigro, tarsis ferriigineis. Habitat in Livonia frequens. Affinis videtur C. nigricanti illig. et C. pellucidae Fahric, diffeit tamen elytris cinereis^ abdomineque pallido. 11. Cantharis litterata. C. thorace marginato, ferrugineo: medio elytris Caput riifum, Oculi atri. basi nigro testaceis. maculatum, M nigro, 462 Antcnnae nigrac, Thorax basi feiriigineae. utiinque mcdio feiingineus ; marginatus , diiobus M punctisqiie versus marginem posticum nigiis. ScLitellum testaceuni (interdum nigricans). Elytra testacea, immaculata. Alae cinereae. Pectiis nigrum, sericeum. Abdomen nigrum ; margine rufo. Pcdcs ferruginei ; omnibus femoribus striis duabus longi- tudinalibus nigris. Habitat in Livoniae betulis. ]\Iagnetudine variât; at macula thoracis média constans, puncta duo postica interdum in macuiam iinam con- fluunt. 12. Canthar i s me 1 a n o d e r a. C. thorace marginato, nigro punctato, pallida, capitis basi corporeque subtus Caput pallidum; Oculi atris, ano ferrugineo. verticc atio. alri. Antennae ferrugineao, Thorax ferrugincus^ basi rufae. marginaïUa, angustalus; macula longi- tudinal], nigra. 463 Scutellum cinereiim. Elytia pallida, immaciilata. Alae albac. Pectus atiLim, nitiduni. Abdomen atriim; ano feirngineo. Pedcs pallidi; feiiioiibiis posticis macula nigra. Habitat in rcgionibns Caucasicis. Magnitudine C. tcstaceae. l3. Cantharis melanoptera. C. thoiace marginato, rufa, capilis basi elytrisque Capnt rubrumj Oculi vertice atro. atri. Antennae nigrae, basi Tlîorax rufLis, riibrae. marginal us, immaculatus, nitidus. Scutellum rufum. Elytra atra, nitida, immaculata. Alae nigrae. PectuSj abdomen pedesque pallido Habitat in Livonia. Magnitudine praecedentis. lufa^ immaculata. atris. 464 C 14- C. coleoptiis racis c c i n e 1 1 a m a n a. punctis rnbris quatuor, capite, th*- atiis: lateribus pedibusque anticis llavis. Caput fiavum_, nitidum, glabium^ Oculi nigri. Antennae r u f i antice laïc emarginatum, flavae. Thorax gibbus , glaber , magna, triangulari, nitidus , atcr; lateribus macula fia va. Scutcllum parvum, atrum, nitidum. Elytra atra , nitida , subpubescentia ; puncto altère disci maculari, altero apicis miiuito, rubro. Pectus et abdomen atra. Pedes quatuor postici fcmoribus nigrisj antici flavi, tarsisquc Habitat in fia vis. Livonia. Statura parva, magnetudine 1 5 . Coc i C. rufipcdis. n c 1 1 a c x c 1 a m a t i o n i s. C. cassidea^ coleoptris tionis atris : signis transversis, atri. Antennae flavae. duobus cxclama- ru bris. Caput rubrum, marginatum, nilidum. Oculi tibiis , 465 Tliorax angulis anticis productis^ atcr ; disco nitido pun- clisqnc duobus impressis, latciibus opacis. minimum^ atium. Scutclliiiii Elylra atra, glabra ; nitida, punctoque formi disci transversa cunei- linea versus margineni riibris ; abdomine supra mbro, late niarginata ; limbo punctato. Corpus atruin , sLibtris opacum \ sublus rufo marginato. Pedcs atri ; geniculis tarsisque ferrugineis. Habitat Livoniae pinis. in C. arcticae, at coleoptris magis convexis. R'IagiiiLudine 16. Chrysome1a hume C. viridi acnea, r a 1 i s. thorace elytrisqiie punctatis, ano ferrugineo. Caput viridi aeneum, punctatum. Oculi grisci Antennac longitudine thoracis ; ridi primo magno vi- aeneo, glabro; sequentibus quatuor ferrugineis^ glabris, Thorax articulo ultimis nigris, pilosis. pl'anus , immarginatus , punctatus , viridi aencus, transversus. Scutellum parvum, acncum^ Mémoires Hel'Acad. T. n. lacv^e. ^9 466 Elytra mnrqinatn, puncUila, viiidi ncnc.i ; nullis clcvaûs obscuris basi lincis non- humcio eleva- abbre\iaLis, tissiino. Alac nigrae. pcdcsquc viiidi Habitat in Livoniae alnis. Corpus Anus siiblus aenea, laevia, nilida. lufus. Stdluia magnitudineqne C. lapponicae. 17. Ciyptocephalus bicolor. C. vioLiccus, elyiris limbo lluvo. Caput \iolaceum, nilidum ; Oculi oie flavo. izrisei. Antennae corpore brcviores, obscure violaceae ; culis Thorax tribus basi aili- fcrrugineis. violaceus, nitidissimus_, immaculatus. Scutelluin violaceum, nitiduiii. Elytra pnnctato striata ; striis obliquis novem ; violacea 3 tenuissime violaceo marginata. Pectus, abdomen pedesque violacea, immaculata. Habitat in regionibus Caucasicis. Variât elylris limbo basi abbreviato, nullis fiontis. impressis limbi nigris. punctisque non* — Rlagnitudine C. ilavi- 4^7 C ryptoccpha1us rn f man 1 8. i ii s. C. violaccLis, oic, antcnnariini basi pedibnsque anlicis Caput violaceum ; iTifis. antennas inter fascia rubia , labro violaceo. Oculi atii. Antcnnae longitLidine Thorax corporis, pilosae, nigrae, basi rubrae. violaceus, nitidus, laevis. ScutellLim, violaceum, laeve. Elytia violacea , strias nitida , punctata ; punctis nonniillis in singLilares congeslis. Pectus et abdomen atra, nitida. Pcdes aniici flavi ; femoribus stria nigra ; caeteri atri \ femoribus basi paullo rufescentibus. Habitat in Livoniae salicibus. Magnitudine praecedentis. 19. M me i t e s. Character genericus: Palpi quatuor inaequales ; articule ultime majori ; truncato. Maxilla bifida: lacinia exteriori cornea, apice Liguîa membranacea, bifida. Antcnnae setaceae. 59* fissa. 4^3 Alimctes unicoJnr. Corpus ovatiim^ elon^atum, opacnin, lacvc. Caput inseitum, inflexiim, fcrc loslratnm, cyancum, nitidum. globosi, reticulati, lalcrales, ni^ri. Pciili paivi. Antcnnao setaceao, thoiace longiorcs; nimo; I.abmm atrac. qiiadratiim, ciliatuni. Mandihilae coincac, exsertae, apicc Maxiilae bifidae fissa : lacinia inteiioii ; arliculo secundo mi- fissae. exlcrioii coinc a , membianacca ^ lincaii , intégra, apice bicvioii, ciliata. Palpi quatuor inacquales: ri, anteriores articulo ultimo compresso, triangulari; posteriores brèves, culo ultimo iTiajori, majoarli- cylindrico^ truncato. Ligula membranacea, bilida: laciniis divaricatis, rotundatis, pilosis. Labium corneum, integrum, rotundatum. Thorax ater , nitidtis ^ angustatus; antice capilc mullo latior, lateribus rotundatis , poslice margine posiico elevato; laie canaliculatus. Scutcllum parvum, rotundatum, atrum. Elytra atra, opaca, ligida, fornicata, haud connata, abdo- men tegentia, ultra médium basi defloxa, latitudine thorace duplo latiora, incresccnlia, apice loiun- 469 data, marginata, punctata; nalibus subelcvalis, isfî.'.ncio striis quatuor longitudi- prominentc. Alae niagnap, diaphan.ic. Corpus subLus atrum, opacum. Pedes quatuor anlicis articulis quinquc, primo tarsis atri; clongato; posticis articulis quatuor, primo longis- simo; unguibus duobus incurvis, simplicibus, rubris. Habitat in Livoniac sorbi aucupariae floribus. Genus habitu proximum Mylabridibus , spccics haec magnitudine Mylabridis decempunctatae. — Nomen generis (.(.L;j.ijri)ç,, simulator, capitis inllexi causa. 20. Character genericns Stenodera. : P((//j/ quatuor aequales; articulo ultimo majori, truncato. Mavilla cornea, apice mcmbranacea, pilosa. Li^iila membranacea, bifida. yiiitcunae setaceae. Stenodera sexpimctata. Corpus oblongum ^ immarginatum , laeve , subpubcscens, tardum. Caput magnum, depressum, rotundatum, exsertum , xum, punctatum, airum, subtus pilosum. inf}e- 4*/0 Oculi niagni, ovati, marginales, Antennae setaceae, nigraj^ leticiiKiti, "ante ociilos alii. inscilac , coipore bieviores ; ailiciilo secundo minimo. Labmm poirectiim, cornetim, ovale, atrum, ciliatum. brèves , intiis integiae ; apice ]Mandibulae corncae , membianaceae , extus pilosae. Maxillae corneae , membranacea lamina geniculo tiunco inserta, pilosa. Palpi quatuor aequales; articulo ulLimo majori, compresse, oblique truncato. Ligula membranacea, bifida : laciniis elongatis, truncatis, pilosis. Labium corneum, ovatum. Thorax antice angustatus, posticc ater, nitidus, elongatus, latior margincque elevato ; punclo magno prope marginem posticum medio impresso. Scutellum parvum, Elytra ovatiuii, atrum, opacum. immarginata ; molliuscula , fornicata , abdominis ; haud connata rubra ; glabra , juxta nigris ; positis , , thorace latiora, puncds duobus inaequalibus ultraque subrugosa ; lineis médium macula basi sinuosa nonnullis obscuris longi- ludinalibus elevatis ) humero elevato. Ali de daphanae. longitudine duplo 471 Pcctus et abdomen nigrn, seiicea.' Pedcs clongati , aniicis tis; articulis tarsis elongatis, quatuor posticis quincjne ; ungnibus diiobus qUadriaiticiiLi- lubiis, bifidis^ incurvis. regionibus Causcasicis. Habitat in Gtnus intcr haec seiicci ; nigri , niagnitiidine Lyttam Mylabridem «et Fahr. ; spccies — Nomen Lyttae erythroceplialae. ste- nodera a cTS.cg, angustus, et èécy, cervix. 21. Moidclla flavifrons. M. ano inermi, atia, antennarum anticis Capnt atrum, nitidum ; Oculi basi, oie pedibnsqiie feiingineis. oie palpisque fetriigineis. ' atri. Antennae pilosae, atrae ; basi articulis tribus feirugineis glabris. Thorax, scutellum elytraque atra, nitida, immaculata. Alae nigiae. Pedes antici ferrugineij caeteri Anus atri; spinis tibiarum fia vis. inermis. Habitat in Livoniae sorbi aucupariae floribus. Magnitudine M. thoracicae. 472 22. M. ano ineinii, Mordella punctata. oie tlioraccque feniigineo nigia, : puncto nigio. Caput nigmm ; OcLili oie palpisque feirugineis. alii. Antcnnae pilosae, nigrac, basi ilavae. Thorax feniigineiis ; puncto niedio nigio. ScLitellum elytraque nigia, immaculata, opaca. Alae nigiae. Pectus et abdomen nigra^ nitida. Pedes quatuor antici flavi ; geniculis nigris : postici nigri; geniculis tibiarumquc spinis ferrugineis. Anus incnnis. Habitat in regionibus Caucasicis. IMagnitudine praeccdentis. 2 3. A n t h y p n a. Character g-cncricus : Pal}3l filiformes. Maxilla bifida, apice setosa. Manclibula cornea. lÀS^ula membranacea, bifida. Lab'ium tridentalnin. yîiitennac clavalo lamellatae : clava orbuculala. : 473 novo grneri scquentes melotonthae- Fahf". speci- ITnic es, coipoïc lîirlo, lis cLiVcUjue antennamm Aathypna a) oibiculata différentes, ^dnumero. ursus. Rlelolonlha TricJiius. anguslis, pLinis, apicc divaiica- clytris Fahr. ursus. illiger. . syst. IMagaz. 4. eleuth. 84- 184. 2. 140. 14*^- Aathypna hombyliformis. h) Mololontha bombyliforrnis. Fahric. p. M. Ilerbst. illig. Anthypna cj eleuth. 2. 141. 184. Giinita. Tnchius. syst. Col. Mag. 4. tab. 3. 84. 25. 14. fig. 141. arctos. Melolontha arctos. Herbst. Col. 3. tab. 25. fig. il. d) Aathypna- lynx. Mclolontha lynx. e) Fahr. syst. eleut. 2. p. Mag. 4. 84, 1^2. Trichius. illig. Anthypna crinita. jMeloloUtha crinita. Trichius. illig. 184. 142. Fahr. syst eleut. 2. p. 184. 143. Mag. 4. 84. 143. Anthypna cyanipemds. f) Melolontha cyanipcnnis. Fahr. syst. eleuth. 2. 184. 144. Anthypna g) Jilrta. Melolontha " Trichius, hirta. illig. Mimoh-is derAcr.d. Fahr. syst. eleulh. 2. Mag. T. VI. 4. 85. i85. 145. 145. ^^ 474 h) Anthypna vulpcs. Melolontha vnlpes. Fahr. Corpus elongatnm, hirttim, Caput brève; clypeo Ociili . syst. cîcut. 2. p. i85. 146. immargihatiim. quadr'ato, niarginato. globosi, latérales, niagni. Antennae longitudine capitis , clavato lamellataej clava orbiculata. Labruni nicmbranaceum, clypeo tectiim, integrum. iMandibulae corneac, brèves, compressae, acutae, intus membranaçeae, extiis barbatae. Maxillae corneae_, bilidae; lacinia externa geniculàta^ pilosa. Palpi quatuor filiformes, subaequales; articule ultimo majori, ovato, subtrutieato; posteriores hirti, elongati. Ligula membrahacea, elongatis, Labium corneum _, labii apici inscrta^, biftda : laciniis divaricatis, pilosis. tndentatum. Thorax transversus, marginatus. Scutellum latum, brève, rotundatum. Elytra fere plana, marginata, abdomine breviora, apice divaricata. Alae magnae. Pectus sterno nulîo. Pcdes elongati; tarsis omnibus quinqnearticulatis. articulis 475 •omnibus elongaiis , paiillo filifoi^mibus; iinguibiis duobus incurvis. Anthypnae orgnna cibaria a nielolontha valde difierunt, auteni tiicbio multis in partibus conveniunt, hic quoque ad ab anthypna dilTerentia_, comparationem trichii exposai JMandibulae membranaceae , qua de causa instrumenta cibaria, : -angustae , rcctae , clypeo brcviores. LigLiIa cornea, labio sis, subtus adnata, bifida: laciniis cras- medio triqiietris , fossa ad maxillae receptio- nem magna. Labium corncum, elongatum, apice emarginatum. Anthypna ab dv^^oç,, floribus (anthypna et vttvocv , flos, bombyliformis in dormio, quia in tulipa gesneriana) pernoctare soient. An 24- Character gcnericus IMaxilla cornea, cundo t i c h e i r a. : tridentata: bifido, tertio dente primo intègre, se- trifido. Lahnnn corneum, tridentatum, clypeo tectum. Antcnnnc cîavato lamellatae. Pertinent ad hoc genus sequentes Getoniae Fahric. specics, clypeo rotundato, sctitello magno, elytris 60* coriaceis, 41^ apice tiibcre niillo, sterno lato incnivato, pediimque anticoriim c) iingLic intcrno lato, bifido notatae ^ntichcira tctradactyla. Getonia tetradactyla. Fabr. i5i. 80 syst. cleut. 2. p. Mololontha tetradact. Herbst. Colb) : 3. lab. 27. fi^. i, bicoloi: Ant'ichc'ira Melolontha Herbst. Col. 3. tab. 26. bicolor. fig. 4. (Melol. bicolor. Fabr.'syst. eleut. 2. 166. 33.?) c) Anticheira smaragdiLla. Getonia smaragdcila. Fahr. Rlelolontha syst. eleut. 2. 143. 44. p. Herbst. Col. 3. tab. 27. virens. fig. 2. Getonia smara^^dula. Herbst. Col. 3. 265. 62. ci) Aiiticheira fiicata, Getonia fiicata. Fab. eleut. 2. syst. G. cincta. Herbst. Col. 3. tab. 3i. e) Melolonl'ha syst. syst. cleut. 2. elbiiit. Herbst. chrysis. 5; 81.? i5i. 2. 140. c8. Col. 3. tab. 26. fig. 6. .înticheba. vircm-.' Getonia virens. Fab. Jf) fig. AnticJicira chrysis. Getonia chrysis. Fab. §) i5i. 82, Antichcha clavata. Getonia cldvata. Fabr. /) ? Aiitidieira Gcti^nia syst. clcut. 2. 141. 29. splendida. sj^-Irndida. Fabr. syst'. clcul 2. 141. 3o. 477 B^clolontha splendida. Ilerbst. Col. 3. tab. 26. fig. 7. i) ^ntkiicira îucida. Cetonia liicida. Fuhr. syst. eleut. 2. 141. 3l. Corpus ovatum, supra ^labmm, subtus plerumque pilosuin.. ifiiitiàrginattim, farddrn, Caput îOttîndatum> feVb éxsertùm ; clypeô rotundat'o, mar- ' ginato. Oculi latérales. glfobosi, Antennae distantes, clypeo SLibtusr ad mandibnlae insertionem insertae; longitndine capitis clava oblonga, elongata.- Labrum corneum, tatLim : sub' capitis clyptum reconditum, triden- dentibus paullo prominentibus. RîandibLilae eorneae, crassae, compressae, intus iinid,entataeS extus margine crenato, reflexo. Màxillae corncae, crassae, tridentatac ; tis ; primo magno , integro, dentibus acumina- secundo bifido, tertio trifido. Palpi quatuor sabacquales : articulo ultimo majori, ovato, obtuso. Ligula méinbranacea, labio subtus adnata, triangularis^ bifida: Labiuni lociniis comcum ginatum. , divaricaiis. pilosis. lateribus ante apieenr, apiceque cmar- 4T3 angiUis anlicis deflexis, poriecfi-j, an- T-hairjx 'tTansvcisuo: Liteiibusque m-arginatis. lice magnum, Sciitellum triangulaie, nonnullis in speciebus ely- dimidio breyius. tris Elytra laia, coiiacea, gine integro tbrnicata, (non infia abdomine breviora; hiumernm ut niar- Cetonia in aurata etc. emarginato), apice taberc fossaque média nullis. Alae magnae. Pectus steino magno , depresso, elongato, triangulari, in- cuivo; pectoris lateia non (ut in Cetoniis thoracem et elytra supra producta. intcr Pcdes femoribus quatuor posticis complanatis ; ds pro[)riis) dentatis, poslicis spinosis; interne lato, compresse, tarsis bïfido: poslicis lacinia extcriori ungue externo elongato deorsum remoto, — Articulo ungue anticis acuminata, interioii compressa, truncata; tuor anti- tibiis ultimo qua- tarsis , ab altero tarei anlici spinoso, pedcs antici tetradactyli apparent. Ad meliorem Anticheirae generis dislinctlonem ab Aielolontlid (cum Cetonia nunquani permlitare potest) instru- menta cibaria Melolonlhae , ab Antichcira ponere volo ditïcrenlia , ex- : Labium oiembranac^um , clypei apici insertum , infle- xnm, bifidum, medio SLibtus intcr mandibulas pio- ducUim. Klandibulae comeae, crassaci triangulares, intus subdentatae, exlus edentulae. Maxillae brèves, coineae, apice truncatae, miiltidentatae; deniibus brevibus, simplicibus^ acuiis. Anticheira ab àvrlx^iç , 25. poUex. Elater depressus. E. lineariS) niger, thoiace inargine ferrugineo, testaceis : elytris- sutura nigra. Caput atrum, nitidum j palpis GcLili • testaceis.- nigri.- Antennae Thorax testàcèae;- depressus, niger ; margine ferruginèOi Scutelliim parvum, nigrum. Elytra linearia , punctato striata ; striis octo pubescentià;» testacea j sutura margineque abbreviata nigra. Corpus subtus nigrum, nilidura ^ ano Pcdes testaceo. testacei. Habitat in livoniae betulis. Simillinuis E. pusillo , at corpore depresso, ferrugineo marginato distinctus. lineari thoracequè 48o E 1 q t Çii" ^l.a V e s c evïj s. -g6. E. pallidas, thorace feiriigineo, Cjpul rcMiiigiiiciun , glabmm'^ elcvatû, puncto Ociili magno clytri?, téçtapeis. Clypco truncaLo , niaigine iriangulari mpdio impresso. atii. Antennae fuscae, pilosae ; Thorax fcncigineus , primo feirugineo. articitlo nitidus, ^elongatus, complanaîus, sub- pimctatiis ; margine antico <;iliato. Scutelliini paryum, testaccLim, pubescens. Elytra, testacea, pubescenùa, panctato stùata; stiiis novem. Pecins glabriim, niiuium, fciiugiûeum. Abdomen pcdesqtic pallida. "Habitat Affinis in regionibns Cancasicis. videtur E. fcrn.igineo, at corpore tninori, ;tho- racc depicsso clongata satis distinctiis. 27. E. atf i-, E1a ter atr i p e n n i ^5. thorace convexo, ncneo, elytris crenatis, pedibus rufis. C.ijJtiL aeneunij niiidum, convexutn. Oculi a tri. Antennae longitudinc thoracis, Thorax convexus, aeneus, ScLitclliim atrae. nitidus, siibtomentosus, laevis. parvLim, atrum^ concavLun. 4^1 Elytra atra , siibpiibescentîa, crenato stiiata ; excavatis novcm. ctis Pectus et abdomen Pcdes e pua- striis taisis riifi ; Habitat in DilTeit ab E. atra, opaca. testaceis. regionibns Caiicasicis. cui riifipede , oblongo, thorace convcxo, afîinis acnro, vidctur , corpore crenato striatis, elytris antennis atris et magniludine E. pusillum aequante. Cerambyx acanthopterus. 28. C. thorace elytrisque bispinosis, Caput fldVLim, punctatLim; fia vu s, elytris costatis. verticc lineaque inter antennas scabris, ferrngineis^ dentibus duobiis elevatis, tis inter antennas, duobusque ad insertionem aliis mandibtilarum productis, feriugineis; bus magnis antc antennas impressis ; apice Oculi mngni , acu- punctis duo- mandibulis atris. atri , aurco nitentes , oxcavati. versus antennas latc . Antcnnae corpore longiores, piceae; articulo primo majori, • ilavo^ glabro, tereti, scabro, secundo minimo, ro- tundato, piceo, punctato, glabro, caeteris angulatis, elongatis, piccis, scabris, tertio, quarto quintoque pilosis. Mémoires de rAcad. T. 11. ^^ TiioiJX sc.ibrr ,, fl.ivu?;, postnioïc mijoie; sccibii.s, {Vnii.uiiK i*^" ; iitrinqne duobiis tlcvjtis, dio c.iiina Sccitrlliini spin^s. duabl^s. ,ob;nsis; iitiinquf^ sc^ibiis uiiDe^iciiIis i'cmi^intis ^ uie- elc\'dta scabid, feiiui^inea, coidalum, fldvum. maiginata ; costis tribus longitii- siibm<;osd, Elylra ilavj, diiuilibiis eUiVTçi^tis .çoncoloribiis laevibiis, marginibus « spinisquc duabus apicis tei iore bmnneis, acuminatis; ex- lon^iore ; sutura elcvatii. Prctus fenugineum, seiiceum. Abdomen pallidum, glabrum, Ptdçs testacei,- g^Iabii ; femoribus quatuor posLio's ad Gulationcm bispinosis, Habitat Suiinami. Mus, :Afftnis ceite nitidum. C. bicoini, tibiis aiti-» pubescentibus.. natur, Univ. Caes. Dorpat. rer, diiTqrt tamcn antennis piceis, cgpite qnadiidcntato, thoiacis spina posteiioii majori, piac- cipue clytiis bispinosis, immaculatis, abdomine pallido et pe.dibus- oninibu^ testa ceis. 29. S a perd a S, violacea, scutcllo sliiisque pectoral! s, duabus lateralibus pectoris niveis, Caput violaceum, punctatum ; labre pilosor Oculi atri, Antenrieie carpoi-e lonpores, nigrae; aiticnlo Thorax primo violaceo. Irnerrime punctatus, glaber, sublus ad violacciis, pedes anticos nlbo maculatus. Sciitelkim niveum, opacnm. cyaneo nilida , Elytra violacea , dense punctata , glabra, apice ciliata. Pectus violaceum, piinGtatum, glabram; lineis duabas late-^ ralibns longitudinalibus niveis^ Abdomen Pedes opacis. violacetim, nitidum, glabrum ; aiio -villoso. atri, opaci ; Habitat im tibiis tarsisqae rcgionibus Caucasicis. Univ. Caes. Dorpat. AlTinis S. pilosris. ' violaceae , at "^ Mus. rer. natiir. distincta , signis ' minor et caeteris exceptis, corpore fcre toto glabro. 3o. Ca11 i d i Li m v e n o s u m. C. thorace piano, inermi, elytris antennis rtigosis, viridi aeneia, ferrugineis. Caput cupreum, punctatum, canaliculatum. Oculi atri. Antennae corpore breviorcs, pilosae, fcrriigineae ; apice nigiis. 61 * articulis 4^4 Thorax planus ] cordât us , antice posticequc medio cupreiis, laevis, lateribus marginatus, et subtus scaber^ viridi aeneus. Scntellum viridi aeneiun pimctatum, Elytra viridi aenea, plana, punctata ; lineis duabus longitudinalibus rugisque transversis ciiin lineis cocLin- tibus elevatis. Pectus , abdonieii pedesqiie picea j clavatis. Habitat in Livoniae pinis. Magnitudine C. violacei. femoiibus conipresso 485 PLANl^VRUM NOVARUM AUT MINUS COGNlTARUî^l P E N T A S P R I M A. A U C T C. R E TRI y I u s. B. Conventui exhibait die i5 Fcbr. i8i5. Qiiod nus si BotanicoiTim quibus terras australes et mi- ij, adiré concessum , cognitas novis indies copias ditati, scientiae ambitum recens plificare et possunt;. nobis^ ad hoc hiemale coeluni relegatis, quibus splendidioribus neque natura magnam horti aitis floruni operibus abundantiam submittit , in herbariorum nostrorum que studium usum aditus nec praeter diLifere relictum Qua ratione parum plerumque ab' homine privato praestaii potest, nisi copiolas nihil facile sese nostrum exerceat et experientia qualicunq.ue edoceatur. sticas exornare Kewenses largas suas opes explicant, gentera est , detectis pLintarum speciebas am- si cui,. praeter dome- ad Musea publica et Acaderaiarum uberiores coUectiones feliciori quadam sorte reclusus fue- lit. Itaque nihil profecto exoptatius luit, quam quod ilL Scient. Academ. Petropolitana. veniaiix mihi contingere po- bénigne concessit inspiciendi et usurpandi, q^uae vaiiis peu 486 oibrm KuthenicLini institiuis quondam tnije scrutiitoiibus roportata etiam ciica Jam herbaiia. locupletissima itinerib;is in possidet, est eximias bas collectiones probari de novo iiis- ut , eo praestantitis , ficii bac fado agmine piaestaniia^ tamcn rapacitas voracissimoiLim in non , mihi videor, nissimo Academiae qnibns Sibeiiae Botanicorum ad eos pcivcni , inicr alios visi indigcnaitim, qui descentes , plantariim fasciculis, ex variis satis 'dïgni nobîs exculiantur. Etsi enim hacc parum accurate, plantas praecipne in tus, nec Piinus alrox vcl ma raro cXiTtas piovincia Gilanensi confundat, nec locus natalis pluribus foi et ceféi'is sese color et cognitartini,' prao asservai-i, diligcnter Ginelini fairago, Imperii Ruthenici et impri- qui éx itinére infelicis Gmélini 'junièris bene multos sunt , dernceps edcndis huma- operibus jam nostioium digna de- et cognitii consilio satisfacere conabor. Inspectis itaqiic pluribus, mis aut , hoc gencie fumni panlo clc- pauca nova piehendisse ill. qnihus aut tempus edax ea , inter pepercit allici et, undique inumpere animadvcitimus ; , cqiiidem nientius quid solct, qiio ipsa plnres omnis modi Iiostes, ad perdenduni paiatos quasi nn- oniiiino génère siio collecta et dolendum clsi tissimam illam expeiicntiam, qiia est cclrbrrriniis a inicgia illis ilIis satis lectits, rite pepe'rcei'it manscrit, et sponte sit inlcr adscnp- ita, ut et anctor deniqOfe 4^r. njr.iinn pI'^Mnirjnc g.ilciiij; la 0(11 [)Kiies jx tdiii jUciin no\ .is .uit qj.is , una Pentaues singukis piopiio eoq-ue obtriiserit iis . mira sane et miixi'nf sin- expedivisse iis non Siillem ciim cognitas, pro per qnas in editurus siim , illis ainplo hcibaiio salis satis videor, inihi novis agnoscendas esse intclicxi. Br 1 . B. m II t o s m c n t o s u s. j^^^ ^^^ paMJcula eiecta, spiculis lanceolatis subcompiessis glabris, aiistis gluma bievioiibus, culnio foliisque strictis- moltissime tomentosis Habitat in Provincia Gilan. Perennis. Radix repcns. Culnii pédales aiit scsqtiipedales, adscendentes, teretes, striato, tomento albo vestiti, inferneque geniculis alU quot inteicepti. Folia in ciilmis junioribiis approximata, alterna, linearia,. subpungenlia , striata^ lantigine patenlia , crassa , niollissima imdiqiie tecta. Vaginae teretes, striatae, aeqiie lanuginosae, Ligula brevis, lacinulata, glabra. Panicula palmaris, crecla, contracta, panciflora. Rachis intcr ramos inferiores paniciilae tomentosa , su- perius scabra, teretiascula, sthata,. parura flexuosafr 4S2 Rami simplices, flextiosi, erecti, scabrî. subcompressae, 6 SpicLilae flavescentes , lanceolatae , florae, flosculis —9 imbricatis. Gluniae calycinae lanceolatae, compressae, glabrae, inaeqtiales : nervis tribus , niinori exterior elliptico-lanceolata , glabra, majoii acutiuscnla acuta nervo unico notata. Gluma corollina superne niargine pidiusculis gluma membranacea , sub percussa, bifido terminata ; breviori triplo apice nervis tribus hisarista Gluma exteriorem aequans^ paulo angustior, apice ad flexurae angulos ciliata. recta interior bifida, Axis scaber, truncatus. Gerjîien hirsutum. Explicatio Ta bu la e IX. a) spicula intégra h) calyx m. c) corollac d) corolke e) Tab. A. n. gluma exterior a. gluma a, interior Arist i d a pauicula erecta ramosa , arisfis n. PistiîUiin a. 2. X. m. p e n n a t a. ibliis aequalibus plumosis. liliformibus longissimis, 489 Patriam ignoro. Inter plantas Dauricas praesertim b. absque nomine locique natalis indicio in- Pallasii veni. Perennis. Radix in arena late repens videtur. Culmi bipedales, conferti, erecti, geniculati, superne ra- mosi, teretes, glabii, ad inium usque foliorum vaginis tecti, Folia alterna , patentia , convoluto - filiformia , longissitn», incurva, retrorsum scabra, glaucescentia. Vaginae teretes, striatae, scabriusculae. Ligula brevissima, truncata , villis brevibus dense bar- bata. Panicula longa, ramosissima, erecta, ante anthesin contracta. Rachis angulosa, leviuscula, Rami striata. tenues, elongati, divisi, subflexuosi, scabri. Spiculae compressae, lineares, glaberrimae, uniflorae. Calyx aristas subaequans: glumis lanceolatis longum riori attenuatis, glaberrimis, nervis quinque, interiori in acumea inaequalibus; exte- paulo minori nervis tribus leviter notata. Gluma coroUina calyce multo brevior, linearis, gldbra, convoluta^ basi fasciculo pilorum brevissimo stipata. KUmoirc, dt VAtéd. T. VI. ^* 490 terminales, patentes, siibarqiiaîcs; pUimosae, coroILi quadiapto longiores, calycein vix stiperantcs. 3. Aii-'iJf" T. Allant. nijs oninino yJrlsticlae PanicuLi Obs. Ceterii'ii 35.). t'ilifoimibus puii^ciitis grainen nosliLim flaccidis abiinde 0< sf. foliis (FI. longissi- diveismn. Explicatio Tabu^^ic X. Tcon graminis, qtiale in herbario asservatur, paniculam conversio Jiacc aiitem cxhibet nutantem. ratione magni- tndinis plagLdae, in qua siccandiim rcposuit inventer, spe- cimini data \idetur; esse adfneiunt vioies, panicula instrucLi eiecta, curavimus apud a. .^ et culmi spicula m. n. h) glumae calycinae m. n. c) corolld intégra m. n. d) cadem é) inseitio aiistavnm, absqiie aristis a. earcinique nna <r, Crucianella stylo s a. C. procnmbens , capitulis terminalibiis pedtincnlatis , bus bre- quoium unum liguide addi a) 3. Tab XI. cniin qiiinqnel'idis pentandiis, cauleq^ue hispidis. foliis /lori« subnonis lanceolalis 491 montium Sanamisicoium ; Habitat inter saxa floiet Julio. Perennis. Radix brcvjs horizontalis, lignosa^ Caiilis dodrantalis, diis atque pedalis et fibiis brevibiis ramosa. procumbens, ultra, ex nodis lignosis nu- infra emittens tenues fibras radicantes, snlcato tetragonus, angnlis aculeis bre- ramosus Folioium sursum hispidus, raiisque vissimis : rarius ramis oppositis patentibus. veiticilli compositi simplex, infeiioiibus remoti; foliis senis, Infra bievioribus reflexis; superne pleiumque no- nis, lanceolatis, aut ovato-lanceolatis, mucionatis, raar- gine revoluto caiinaque aculeato-hispidis. Pedunculus ex summo maris, verticillo pollicaiis, interdum pal- reclus. Flores in capitulo terminali hemisphaerico plurimi, ?luridi, bracteis sulTulti, mentientibus, exterioribus perianthium ad basin commune singuli, flosculi singules lineari- lanceolatis , acuminatis , margine aculeis longiusculis rarisque ciliatis. CoroUae infundibuliformis longior, fililbrmis, Limbus quinquefidus tubiis quam in congeneribus limbum versus , païens: paiilo dilatatus. laciniis brevibus 62 * li- 492 angastis , neari - lanceolatis nec un- obtusiusculis guiculatis. Stamina Stylus 5. — racta corollae adnata. faiici ? ante foecundationein tubo brevior, ea pe- — coiolla duplo fere longïor. Stigma clavatum, rugulosuin, bicorne; siib foecundatio- ne apicibiis. callosis patentissimuin^ ante et post eam ' claiisiiiiîo. Obs. Hanc ex Rubiacearum. I. gantissimam. a Gmelino in ejus hereditate Laxmcuinia famiîla plantam fascicuîata ele- dictam botanica sacpins videre mihi Gontigit ; specîmen majus, idque ramosum delineari cuiavi - sed ob analbgfam pîantae^ nosnae cum Criicianellis: maximam ab harum tribu eam, diifoeiare non ansns^ s«m, etsi staminum «iimerus ,. ceteroquin quinns,, limbusque in pîmibiis Crucianellae speciebas noa imgiiiculatus seionetioncitt suadere videantur. Obs. 5. Cunt Cr. capitaîa Biîî. (Pl.Syr. Dec. i.T. 3.) a qua folioriim niimero» ahitirdine caiilis, floiumque colole > ut cetera taceam ,. satis. diffeit ,. eonfiuidi ExpIicatiO' Tabulae XI^ m. n. •) fios- h) ejiusdem faux apcrta êu non patcrit. / 493 c) stamen a. d) stigma clausum o. e) idem hians f) germen a. a. g) tubi basis bractea mimita a. 4. Criici anella Gilanica, C. procumbens, foliis Tab. xtt, quaternis lineari-lanceolatis scabiis, floribus reraote spicatis, bracteis ovatis subciliatis. Habitat in montibus Sanamisicis et Gambu dictis. Perennis- Kadix tenuis, fibrîs ad nodulos Bgnosos parvis repens. Caules spithamei » pédales», et ultra, geniculati, infra et imum versus nudi , subtetragoni y lèvissime striati,, gjabri> basi ramulos foliiferos, supeme ramum unum alterumve floriferum emittentes^ Folù in medio canle congestaj qtiaterna^ lînearia ant lî- neari-Ianc^lata, acnta, paletitissima, saepe reflexa, margine infiexa , facie punctis piorainentibus sca- bra, glaucescerttia.. Flores in spica racemiformi pîeruraque simplici , subinde composita remotiuscnli, oppositi^ divergentes. Bxacteae ad âoieDût singulum ternae ^ qûaium. extimai 494 paulo major, ovatae aut ovato-lanceolatae, acutae, lubi basin obvolventes, marginepilisbrevissimisciliatae. Corollae tubus linibus lidLis ; extrorsum incuiviis, longiis ; satis atiombens quiquefidus pal- ; laciniis li- proxima , bractearum neaiibus ungiiiculatis patentissimis. Stamina quatuor, fauci corollae Stylus tubo brevior. a Ohs. Cr. forma earumque inseria. ' ciliata Lam. niargine vix cui evidenter ciliato, sicut et florum magnitudine distinguitur. Explicatio Tabulae XII. n. flos b) bracteae ad basin tubi c) germtn a. a. 4) tubi faux aperta cum genitalibus a. Achille a v e r m 5. Tab. XIII. A. m. a) i c ul a r l s. semiteretibus lomentosis glaucis, foliis pinnis oblongis spinoso-dentatis imbiicatis, corymbo simplici. ? A. tcretifolia , bus, pinnis foliis pinnatis terelibus cano-pubescenti- transversis truncatis dentatis dense imbii- catis, coiymbo simplici. Willd. sp. pi. Tora. III. p. 2198. Habitat in Provincia Gilan. Pcrennis. Hadix lignosa, subfusiformis, uiuliiceps. 49^ fasciciilat', pcddlcs, crecti, teretes, tomenCo> Cailles pîtirimi, dlbido s.m[)licis^imi. tetti, Fûlia vix pollicaiij, pinnata pinnis minimis (infcriomm : faciem lateraque arcte obtegentibus) oblon^ sub lente spinosa-dentatis , gis, mar- distinctis snperioium serratuiam argutam meriticn- ginalibiis; tibns, apice paulo Litiora, obtiisa^ linc.iiiii, tomento ^Ibo in* teitexlis, — Ex hornni petiolati foliorum semipollicaiium, ob pinnas aicte alis fasciciili sessiJes aut imbiictitas semitcietuira. Corymbtis teiminalis, simplicissimus, panciflbms. Flores magniUidine flonim ^. Ptarmicae, ochroIeticL Calyx imbricatiis margine ovalo - lanceolatis carinatis^ ciliatis. Flores radii circiter ci squamis 7. lacinia reflexa, emarginata; dis- pkirimi satLiratiores. Receptaculi palrae Linceolatae, pilositisculae, longitudine flosciilornm. Ohs. Ob. lis cl. WiJIdenowii descriptionrm mihi non planam AchiUcae suae teretifoliae , eujiis sa- pinnas apicc truncatas dicit, nostram, pinnis oblongis aciitis instructam, cura planta cimen poteiit. ejiis herbdrii conjungere non audeo , viii claiiisiini cum usque dum spé- icône nostra comparari 496 Explicatio Tabulae XIII. m. n. a) flos b) squama calycina c) et d. flosculi radii a. e) flos f) palea disci a. a. a. g) pars folii inferior a tergo visa a. h) faciès partis folii pinnis obtecta o. Moooeo^oooooc 497 DE PISCATa VOI, GENSI. AUCTORE N. OZERETSKOFSKY. Convcntui exhibait die 22 î^ljrt. i8i5. Pisc :atutn Volgensem descripturus operae pietitim duxi limine de piscibns ipsis aliquid piaefari; a st.itiin cognitif >Tiem cum mdgis ad moddta m quae istoricus naturalis, h ; ideo vulgi judicium quorum habeam acco- neque ea momenta hic proferre possum, ichthyologus praecipue, primum in hac Tiumerabo per prae stitisset. Itaque nomina pisces , quos Volga vulgus format , monstrabo, tempusque, quo cujusque celebrio- re ris or copia niaj omnia simpliciter alit , dein divisionem , quam capitur , declarabo, post haec jam reliqua suo ordine procèdent. .quis Volgensibus circa Astrachaniam ducuntur pisces seque ntes: GeAjTâ, ocempb, ceBpiora, comId, craep- ,iH.^i 3^ -^ haec casanb, ôb.iaa pBi6niJ,a, jrococb species occurrit) , LL^yiia, Ôepillt), (rarissime cy/liaKl), nCh, napacB, .niHt, OKynt, ro- •^er jj'b, uo/\At)iiJ,in\b, •'tOT ijiB, KpacHonepKa, mapaHL, epmb, GhmeHâH, ca sô^K, ycaMb, BOÔJia, Mémoires ^t rAcad. T, VI. mepexb, hohh, ce.ib^a,b. ^^ 493 O.nnrs ho^ pcll.uur I ccciioea, cLisscs frrs iii ap- priji^i paCi.a;i p:::La (rubr.i), quo KfiMldr Or:.:/^ coj.'ji-vt Sccundu iiicninhOLaR (drpur- ciitip.;jiih. ^jpfKi , niiniiiuîi dc^cj(uiin.nid.i) ; cauurh, C-Èdi phiOumiy Jocori,, Tt'ili.i vrn;:;n: di\iJ;i!>t ^ '{, crrj.iyh, lioc nomine l'cniiinr, ujj[Ka, ôrpiuh, ciiîcikl. siib audit .iLlL'Linhl (usualis sive parva), ad quam rtli- qui nt i^nobilts vilioicsque icicgantur. ^li:cinjiKG6aji et .i/Ij.iorna/l (juolibct •viis tx fo nuipcio tantum duobus, liibeino nuario Tenit , tcnipore in maxime hamis aquarnm ôfjMH pblôltlia et Prior non piscis). Volga glarie probe obdiicta Posterior extialiiliir. plena Ja- tantum tiirgentium' et tnrbidaium intindatione sub oculos cum qui gppellauis est saepissime ex iisdem G'ÈlUCHaji , Ejus turc temporis tanta Astrachanenses elongati in quod infixis in latine altum piosiliat, furentcm lirsignat. multitude conspicitur, pontibus stantcs pio unaqiiaque corripiant extiahantque. sis se. Mai Balyk (pinguis tatarice C'hmnd'iR , ciili flu- aut lacubtis obvri siint, et nunquani non capinntiir, ex- ctpiis nisi anni lenipore in ut pucii nnculis extremitati bafcre mcrsione A Tataiis is comeditur , pisccnv a Ros- minime. K}aCHa/i phiôa cerlum emigrationis, quae apud pisca- tores dicilur xO^lh pbiCk, tempus agnoscit. ga soluia, q^uod sub ûncm Febiuaiii vel Glacic in Volinitio M«utii ac- 499 ciderc sotet , o;ciin scquitur CCùpiOiCl niaxima hac ditui peiqne , copia capiUir , in spccics Vol- in Aprilis et si CtliepAli^lh ; XO.lOeaA , mare tendit , appellatur dein et iterum Dum vero circa ad occùltatnr versus duo tempore piscis Ccepioza vero sesc). quae diebus jam frigoris, aquae , inukis giegibus médium Augusti tempus frigore octllip'b et CCbplOiCl, ôi.lij- dicit. (volvens audit, (calida) lumni CCCpiOlCl vulgus JiOKivnnaJl iiiapKan finem Julii ut tempore aqciis (juando occunit, nominatur tu ne (enans , seu niigrans), rétro s])ati(iin ex parte jam gra- majoii iteïum inundationis subsideniibus , vcTO lum laiius, mensis nominanuiique eo tcmpore am- conconiiiantc on'Uipji , intfginiii tempus vero ipsum audit XO.yb ù'Linuh; médium Circa Ô'h.lÂKil' iCl Caspio ultro m.iri pdssim ivl)ir. IJanc diiabus ciicilcr hebdomadibus practer- iapsis bae ex lklui:^a stniirn rigere Béluga vero capitur ; calidis si\b initio au- ut loquuntur, emigrat. incipinnt, OCCiUpb cuiii remanet, quaerens sibi lûca proptcr liiemandum, ut loquuntur, profunda, quae xime ad concursum ficri. Omncs hae duorum vel très diciLur fia fluviorum soient specics unà sub oculos veniunt na- tantque in aquis A oJgae. Allia trium ma- Circa loca ejusmodi natans ôk- JiMhi .10;Mmc/l (in foveas deponitur), quae loca versus mare tan lum observantur. Celebriora ex illis sunt: tazmcKOJii ifeLipfnicKihi, nijMip/iucKCtJiy KO^weepinna/i etKO.ucna/î. 63* 5oo Qnomodo ex his- 3clugae locis extrohantur , suo loco a me desciibetui\ AutLimmiIes pisces veirsalibus eijLTsdem specier pingui. oaes- sLint, tempore tur,. veinales veto acsLivaîibus postpom.iiitui. Aestivo oeciiirentes pleiumqiie absqiie ovis (w^pa) capiim- unde dhcuntuf jUa^an veL xù.mcmaj% (coelebs); vere veto autuinnoque majort ex. parte CLtm.^ ovis. undc audiunt . Miignitudo- pisctiinv. vaiia*. et dfversar. obsetvatar. ïuga non excedit uliia 2 S spitbaraas Kossicas; lum Luilù casum- nadirabijiit^ qiio 33. spithanTaïum. longam. umcum! tan- piscator. Béluga ad ostiiim Bïcsan m aiitumno extraxit; veïo 4, spithamas dod. descendit. Oidinaiie capitur .1.0 Be- infra 7, 8, 9, ad 12 spithamas loDga,. Ocemfby. J3nî- raaxrmiiSj non; thamas 3 roinor. vero crdinaiiae pliis quatn 9 spi- 3 spithmarnm, dictus taAÔhimis non extrahitLir ; * usitatoque Ceepioeci atititrgit 5, 6 et 7 spitharais longiis irretitur. maximae 8 spithamaxum. miniraae 3, niensuiae 5 et 6, in Volga capitur» Reliquaiuui paucis potest. in. venditione , piscium ccvta^ raai.;mtudo- determinari a cum eoEum- niimerus magis quam; miîgnitudo aut piscatione: spectetui. Ex varia. BeUigae magnitudine vaiiav iterum ejus denominatia oiitor l quae. 1 2 LintLiai spithamas. attingit, appellatur . 5oi Jtiipnaa, infra hanc mensiiram descendenç, jio.îipi-Èpiiajl, inferior, caJlKÔmJt diciuir; hue a i3 ad i5, \6 spithamas ^p.f/ûwz- mn^ a 16 ad 1 g Jia.lfpiamepttM^ qiiae ultra, Mmnepan audit. i3 Topùijma x^aj^uia spilh. ad magnum corpus tenue prolongatum cunque obvium. let de Béluga tiones est Volga degluciens; valde vorax, quod- hoc tantum va- et in reliqvarum Laensuratione : hae appella- apud piscatores atque- nanr uterqiie ex ea praetium est rrBomenli irragnr herum (xO-SAIIhI)) piscibus sumit, licetr , nonnnnquam heri ad trulinam pisces aliis, quanti singulis^^ pud^ contraxerint/, vendant. rantuL- habct, non habcat locunis Mensura eocuiTï jn ; Capat 8. pisees a dimidio" ociili Belugae débita niensura^ aestimatur 6 spithain. ceepmÈ Mensu- ad extremum pinnarum: ani. 12 débita mensuia 'Ron spitham,. ocempif statuitur ; piscis,. qui debitam' dimensionem non attingit. voeatur ue^OM^pOKIir quare pio eodem praetio- duo ejusmodf loco unius, mea— suram: debttam non adiraplentis, da-ntur.. - Sed hoc totum pendet a contracta herili cum pisca— tonbus, a quibus sa^pius piscitim spectatur numerus, non mensura consideratur. De his fu^ius alio loco agetur. Instïumentorurn^ quibus in Volga piscibus insidiantur,, triai SQOt. gênera: sepimenta-y Imml seu. wici ,. et i-etia,. Soi 'Sepîmcntiin) duplex est /lepcôOMllcl, aliicr KO.loe.ii : ij/jouin y rhiiKH y ceimuwinn , singLilis his nunc transvcrsnm lUHHb ita iit pâli, unus ab alio iibi aqiia stieniia tota eorum séries porriguntur. recto fluminis cursn paritcr crassis ram ceje qucm sinuin ritu mçdo aicualo consertis, ab adveiso his sic ad fign- efformati , disccdentes, icctius a seque inviceni quod spatium ab une audit. In apcllo , pâli carccris inlroilu obturata est possint. conliniiis 3 in car- patente, laxius figuntur , ut si P.i- sepibus viminc tribus in locis transversalitex vinctis, quae palis disjungantur, cum laqueis supra tiintur. Carccium pro spalio flu\ ii alicubi i3, lo •ne a ordi- ex palis omnium intercapcdo baculalis, et serpentis ad extrc- MiWlcpan introivcrit, ejus magniiudini cedcrc loruin ap- quos U36bl appellant , alinm Jiojc ad est, in dimidicim per inflexionem extruuntur, carceres , e.liam orgyias De primo figun- placide aqiiae marient, iibi Palis cxovato-cordalarn circiter uceO/j-b, axawb. et modo: fliivii mitates iisque decnrrat; ne jiosou/iû, jiO'bdAuxa conficituy sequenti lemoti ; flexuoso, aUnnm uncoium sunt ciiûcniH, s. retium : eo.wrdimay 3(l6om:a , sigillatim. 3a.6oHKa tiir audit liamoiLim caHAÔôhe et .f//f/iù , iinuni : iiide et et infra demit- numerus varius Ji aedificantur. est : Médius audit So3 aquae m pote mcciiiitri ex co , f|nod pi'^Tirncii , H3'~l MCttllPpciH cxcipienLc , pleiLimqLie Bclui^a matcraja ex- cuisiîiti tiahi solcat, Sepes du m lant; ultra sese lum vcl ingreditur, carceiis in |)iscis , scpi menti piiloriim interslili.i converti ostiuin dcxtrorsum^ vcl sit i;.i impertit. ostiurrt sinistrorsuire angiistus, rét- ut ita aut inflecti non pcrnii'tat, co- gitur exinde in tali statu manere, carceiis sinus carceiis obt.ir- aqnis promovens , in sinum ejus descendit, qui cum ro ipsi ad et IModus iste qualem latera vel ipse capiendi pisces in Vol- ([uatvor tantum locis ,qruie Uczugi noininantur, maie versus, cclebris de quibus suo loco agemus. est: Ex diversis officiis diveisis quoque nominibirs operarii Primus insigniuntur. mane hic bis de die, débet 7abojkas lustrare, an quid piscium detur; et vespere autem scrutatur est ômopii^ilK'b: unco niagno quorum munus sunt duo JlOj6mopiL[lîKI/, vigio ad ostia xis , et malleis la nt, et carceris cum ligneis sive Huic acutissimo. iincis clavis , est parvo quas subjecti stare in manubrio renijUia nainfi- appel- quem piscem ôaiopuilth'b ex puppi pendens ex- si traxerit, mox ctim oncis ad cymbam eorripere et frontcm perculere , alque sic Rclifj^uorum operariorum , qui captum ad sunl yTl|^h TeKl/UiCt deponere.. €0.lM.UlLillKh , JiHpÂ- 5o4 côopiunn-b , KJceen^iiKi, , iiHK-b , pioa.JLilJim'D , munera , alio loco exponentur. annis zahnjka reficienda est, primo statiin Bis singulis veie, et initio autumni, nonnunquam etiam vice tertia se. post inundationem. Reficitintur aiitem non ex integro, sed tantum ab aquis cormpta sunt. qiuie locis, iis lus e radicibiis eviilsiis est, novtis jam rimosae evadeqt, novis infigitui;; iibi zahoikae , aquambulorum, qui de uczugis alunlur, munus sepimenti fundum, inersionis pluriinas refi- duo industiia in mergi per A'iccs singulas in partes et manibus quod conuptum invenerint, mox cmer- ubi conlrectarc; est sepes adeo Antequam resaiciLintur. ciantLir Sicubi pa- gcndum, inspecLorique dcnunciandum, qui eodem tempore, dum hi ad zaboikam lustrant, cis lacsis tis altéra an orr.nia in navigio pracsto fit. Lo- ab aquambulone demonstialis atque iisdcin refccvice mergendum ei bene rcsarcita genliam inrcfecium uczugis, qui certoque scrutandum, ne vero quid per ejus neglivocatur relinquatur , omnia socio a sint; est, alter ex aliis bene scrutata experimento, nimiruin mersione, testetur. Taie testimonium alteri de.altero jnvicem agendum fccte tangant, est. Fundum maxime^ an eum sepes pei- exp>niri debent. cuiun dctur, saccis lerra turatur. Ut hoium Si refertis, laborcm quo Loco spatium va- quos n'ÈMUbt vocant, ob- arduum ob oculos ponam. 5o5 dcscribam niinc, dunt. Ante paci, spiritLis paratiim, qiio oninia vini cyatho unico, cxhaiisto , Iii rnorans, ca- balneum calidissime introït quod eu m ob finem proxime ad zaboikas exLriiicom- dum corpus satis calidum sit, pellcm ind[iit, usque navigiumque ascendit, lustrandum et ubi signoque crucis ter ta , accc- 4 circiter unciainm hic nndus, per spatium unius horae vel duariim tur; in ad liistrandas zahoîkas ritu veste dejcc- est, pedetentim corpore elTormato , in aquas descendit, et fundum petit, quem pedetentim ad tendens sursum attollitur, semper manibus structuram operis contrectans, nis vicicibus demittensque cessitas dein iterum deorsum abît, atque sic alter- nunc in urgebit, manet, usque aquis quam prima simus et robustissimus ad put attollit, pus riguerit tremueritque ; ori in dum respirationis nédemersus in superficiem intermittit, calefacto, promovcndam vel calidis- aquarum ca- qua dosi usque dum cor- quod dum senserit, statim bdlneum deponitur, cjathusque admovetur ; iterum attollens haustoque aliquoties aëre libero iterum opus suum agere peigit, quod non rum vice sese momenta saltem continere po- 7 urgente, Respiratione test. nunc deorsum sursum sumpta , spiritus ite- vini alter corporeque in balneo pariter pelle induilur, ad operam suarn cujus continuandac modo supra dicto exit, fmcm tum jam co die Mimohtrsdcl'Aca^. T. II. facit, cum sanguis ex naxibus a"^4 506 scmicjue animis extiactus in lluxeifr, rfr)iisqi;c i'uerir. Qui roiiiisLiis balncum yiost frii;{is seinper scciticntc, piostratus tuor et jvist balncum cjiiinf.|ue c-t' balnei et dcbilcm tur. Ad minimum frigorisque pevlustrandam dicium 7 opeiis , poiem anitni tumra post et casus tolam spatium niolcm eigo dalum , stu- qiiieti perpeti hi aqiiambulones cogun- est , qui non vitam suam cum morte commutaiit. tempus ante hoc muneic fungi potest. totos concomita- Singulis eoiura q-uatuorve membris laxatur ; corripitur. Leviora damna sunt , ffingatur, aurium cfficacia alius Alius post très tuniore strationis piunt. capiiisqtie est conditio intolerabilius nil potest. ilLi, ad palos et stirculos sepium Haec unquam corporis cum oculorum acies minj-iatur , dolores nec numciantur vulnera imma- Nullus nec vertigines assiduique tintinnitus postea sentiantur. ter vi- jani NuUus plus 10 annis lies sepimenti UL rcquiritur. unumquemque corpoiis iiliiraus ille frigus tamen naluiam Utranique patitur. robustam et vei eiiir»', qua- es!", Dcbilior veio vix tolciaïc potcst. diebus lur. \icil)us n>nit»io-, in- pcrpelui At in- quae tenipore lu- in aquis illisi acci- aquambulonum , qua gravius et in pisca.tu exercendo excogitari Eliguntur ex iisdem operariis^ qui proprii iiczugo- runv sunt ;. praeter solarium, singulis zaboïkae lustrationi- bus^ ainphora una spiritus vini ipsis dalur. 5o7 llepeÔOllKa. Hoc genus st[jiiiiciui a primo niulliu» pioisusciiic ditleit, in Pcili alius tr.insN crsiini se a ordinc»ii conncxi, quao in\ iccni altcKiin in cis solct ficii timim iniani circitn ciassis, modo fidli ne , paloiLini cum dimidia orgyiam Onines pâli fjxi aliis aquamm sedibus elocenLur. Interstitia per qui 3 vices tiansveisaliter Ne vero ope viminis conligantur. tenuioiibus, autcm , quos eliam iluvii 6, }i36bl ctiam hune a versus extremitatem supremam baculis ad paies clavo tiansveisaliter insertis comprimuntur. inde siif- claudunt sepcs, confectae ex baculis abietinis, ad palis discedant, spatio aeque oblique, ex ad\crso fuiminis cuisti sunt impetu 3 ciiciter digitos crassis ^ bacillis fln\ ii laUis apprinie con- dediiccnda, quod cLiam in zaboi- rclinquunt. , Irabibusquc in toluni sui tralics libciuni piopter navigia scivatur. inodiis flm il scinper lecti figuntnr, spaLio dislanlcs, ori^)iae (ingiinl;, sliucndi cjiis in Carceres appcllant j quorum numerus pro varius, ut zaboika in modum conficiuntur : est, alicubi 4, ex opposite duo- rum sepimenti palorum figuntur frontaliter alii duo in spatium etiam orgyiae, ita ut carcer latitudine et lengitudine habeat. trabibus trabem- transversaliter nia latcra caiccris dunt; quaiUim latu!^, quatuor angulos pari Herum summitates etiam tangcntibus sunt colligatae; ad proportionem scpis quod sinistrum erit, si paratae occkir sccundum 64* flu- 5o8 occupât ctiam ciirsum considères , vii sepes, srd enm in moduni confccra, ut suisum exlolli deorsiimque iterum dcmitti autem per fiinem trochcae injectum, AttoIlitLir possit. quaé trabi médium caicciis occiipanti infixa veio onere piopiio ei appensis. lUOlilKO) se In fundum caiceiis angulos dcmitiitur clathrum, piaeparalum , langentibus ciijiis singiilos fila qualia apud siitoies , calceoiuni nsu, plicantur (CHHLKII apud piscatoies audiunt), quae a fundo ad instar extremum in alligantur» Ne vero fasciculura^ inter choidaium piotensa atque versus collecta , se fusti,. interposita jpaulul» crassior, A est^ trabibus adnexo, invicem contorqueantur, tabel- la parva tenuis^ quae zpeôCHKa audit, fasciculo versus fascicu- illis adnectitur funiculus vix unius ulnae longus, unco parvo gneo , quem lumiKh. appellant hujus hiachinae, modus sequens. sublata ad sales ad clatimim constituentes secundum veio baculos mediam latitudinem lum (pe- propter extrahendiun. snnt accommo- longi conti ad sunt in lapidibns hnnc in fmcni ex baculis tiium ciiciter pollicum crassis cruciatini invicem dati ; adjuvantibiis Labitui est. , terminatus. li« Totius vero propter pisces incarcerandos instruendae, est. Janua infimam. sui carceris ligUuram , per trocheam suisunL quam bacnli transver- ope viminis constituunt, ut anlea monni, in medio ex- cipitur tigno manus humanae crassOj unius ulnae iongo» 5o9 extrcmitatcm iînjns aeqtialis cuni ad niodiim lono;i- accommodan- iiansversim, supeiius longitudinaliter, infenus ut tignum aliiid ambo tigna tudinis deprimit; tur, alteram quae palos connccttint, trabes , infia in suis, trabibiis aliis jaceant. Inteinum tignum, janaam tenens, trabi anleiiori per laxum fiinem unico tantum loco est copulatum ; quod inferni alteram piemit , tingentem. aliquantisper cohaeiet , vus per ab utraque transversnni cxtiemitasin qui funiculo versus per laqueuirt at- firmuni alteram relaxatur. Cuneus; par- iniicitur, extrcinitate januani illaqueatur, tiabem posteiioiem extreiuitatem , iina siipeini, ne de ipso prosiliat, infra simpliciter trabem decurrente per nodum^. versus laqueum cunei hujus extremitates chordas vero nentur- Supra laqueum huncce cuneum. detinentem. impo- per ritUE uncukis ligneus, te- a chordis supra memoratis in funi- culo protensus, qui tam caute huic applicatur, ut, si vei minimum retrorsum chordas moveris^ laqiieus,. cuneum tigno per uncum illi injectum de- haec machina eflectum suuni superiori impositum detinens, trahatur. edit.. Atque Effectus Piscis^ adversus devenerit ,. quam longe litur ^ sed tota sic autem hic concomitatur sequenti modo.. aquam tendens, ad scpimentura hocce dum rostre- scrutatur sibi ultcriorem. progressionem^ aliquanda scpimentum acerrime quatiens mosentiena omnia iii incassum,, tendit recta, adi SU) cl.iutLnim , •stpiniciui - •rans Ciirccrc ywn prcniil prGtcnsns m choidas, reLiovcisuiii totnni caiccicni dum teligen't, iinciilns quns , pcr tiiiclus vum detinentcm, simiil cxplo^ si-bi scmtl ingrcssus ncccssaiio <]uo ini;rc(litur , (xitus lucnin sic at(jiic ch trahit qui tuni ptosilit, a trcinsvci?um in prcssione piscis J.iquciini, cuncum tignum supcrnum, \)a\-- in- fernum picmcns, laxatur; infernum vcio, lr;insversale scilicef, cLim a superiore jam non vitale januae elisuni. mit, atque piscem sit Qno jani iit impcditum, smsum exilit, gia- janua libcrata deoisiim praoceps modo, dtîm faeiit incaiccraUis piscis, submersiim pro quatuor contis illi ciathmni Médium vacuum pioptcr tas, haeicntibus e.xliahitur, tum sacco , est JïP.pc-ÔOlhlH acrius hic loci circiter cau- oxcint appellant. Parant liunc ex cannabinis digito circiter crassis in initio, tremum v-ero ad circiter 8 quo saccus ab fundum duplo tenuiorihus modum cuculli, ad Jiiat, orgyiam vero pisces transcendai e possint, in funibus ijutem sursum soli- qucm (jus ! jQuvio agi iindas, Ne relinquitur. spatium fcindum in piscisque vcluti in patora^ jucunduni sjiectaculnm -dcproniitur. Hoc cdvca tcnct clausiim. in oris ; ad expleclitur extremitate quadrangulari, profundus ; ad orgyias totus annuli viminci, intcrstitio spithaiiiac iinus latcra oris, altero, pcr tcnnia funiciila applicantur; ad palos vero, viicuuni inlcrsiitiiim ilu\ ii pieraentcs , ligiintiir in fundum 5^1 conti loiii^i arcte (|iie ad- ibidem Lipide d-eiiicri^uiiMir , pei lios ctis veio ut liqtii LUiini-i ani^iiH , abire dobcnt piscis si rc (jiiorum pjiiDiii u'iiii- liberi stint, in fundcuiî cnn- eum fnnibas longr saccuin intraverit , ipso jam aquao cnisu cxtcnditin ut aiilcin seqncntia aqua-c, hr,^c<' omncs (jui , In opportuiK extiahi collii^icpie unà in contis possint. Sac- illi ,. im-nioiiiti , jni\i;itnr ; inspiLo hisccn-s ; corTstet cie contos merr^cndi. facilcquG cmn supeina palis arlnevi. cxtremiCd-fe , injiciuntnr annuli ootUor) I in sij^^ni saccuni appiime pcr clavos ccrto piscem in loco adbibcnttir. fkientis, juiieta. utpotc contra' ,. s.icciini In ipsa superfi- tiansvcisini' jacct trabs palis In médium trahis firmitcr in- quercinus non' adco magnus, similis ligitur arcus illis, bus parva dolia vincke solemus, eum in modnm, extremitas ejus haereat in trabe , altéra, tenuior pectantem sacci chordae, nexae^ quibus similes caicerinis, atquc a fundo protensae, copulantur , Itaque dum saccum movet, arcus inflectitur, operariis nunciat una et mcdiae latitudini parvum eidem arcus piscis qui- Ad hanc pros- tintinnabulum plicalur. ut quae brcvior saccum quasi naso prospecte!. est, inlrasse' eum extremitati ap- intrat , chordasque statimque campanula sonum edens piacdam in sacco dari, quo audito mox fu- ncs ultimis angulis sacci applicatos corripiunt, collcctisque fais omnibus saccum foras extrahunt, praedaq^ue potluntur. 5l2 Hoc genus sepimenti non est ita perrenne uti zaboi- ka , sed singulis annis de novo cxstruendiini. ex initio autumni ad congelationein a.qiiae quod temporis spatium non nisi très circiter Usus ejas tantum valet, menses compre- hendit; nimiram, ex initio Septembris ad cxiuim Novcmbiis; aquis sub riae ad obdiictis destiLiittir Sex p( rcunte. glacie _, noctcsque vigiles quantilate opcrarii tempore piscatus cimbis hi ad ad eam sint, qui alternis vicibti.y piscemqiie incarcera- machinam ilerum mox apparent. cxtiahant, et tiim mate- dimidia JlcpcÔOÏlKaMh piaesto esse debent, dies in gelu sepimentum navigant , Non sed in una rate longa, remiimque aut coniim niilliim adhibenr, at manibus Ap- palos apprehendentes ratem^ qiio vokint^ promovent. pLilsi ad hune aut illum carcerem trabes ascendunt, qui- bus cum etiam asseres pisccs extrahere chordasque nec sint superimpositi, nullo ncgoiio et et januam non rcliquos attemperare possunt. Pisces demissam aitus machinae , in te. exinde Jipopijh invicem capti vivi deponuntur in vigium , cujus carina de industria rimis perforata ditque cuneos attollere , (excisa) , na- est, au- aqua semper récente eo permanente, perque dies aliquot pisces vivos servan- Ex hoc dcin jani vel vatagam saliendi, vel singularcm vivi ad lempus fiigojis niittendi in lacum depoitantur. 5i3 Propter Zaboicas nimiiuni taies pium hiant apeids et spatiosis, quod reliquis magis profundis quae verno tempore per , piscium graditiir, in mare Cas- tanta multitudo nt saepiiis manus piscatorum prae pis- cibus dcficcre censenda sit. Grcges SLint^ ut si cymba per ad remos saepe saepius pis- flnxinm fueris practervectus, cis plana, opportuna, loca siint ostiis qui flcivii , est , prae capiit clccta nec non in aquae superficie dorsa eorum con- iJlidalur, spiciantur. Itaque prae omnibus Volgae locis, quae vul- go [phiôUbin) piscosa tam quaestuosa sunt, ut de stantissima et rubellorum lucri annui ex piscibus nense rationum conclave {phiônan Propter Jicpeôonna stiorcs, oslio zaboicarum loca prae- appellantur , his dev^enditis 40 Astracha- Kanmopa) capiat. eliguntur sive Ka.jôea fluvii latus profunditatis majoris, ad alterum sint eum trunci arenoso demersis ; non angu- inundationem (post pius intercipiunt, minoris sint, fundo evulsi hoc accidere solet, fiindum fluviorum sae- quos KapïU piscatores appellare consue- verunt) conspurcato. si unum puro, nullisque arboribus in lutoso, enim cum radicibus mcnii, ut, — profundo in Volgam veram decidentes, neque adco iindas acres agentes, ad haec ejusmodi, ut ad ut millia Ostium fluvii eligendi tanti est mo- profunditas cjus profunditali proxiniae Vol- M(m«ireideVAcad. T.VL ^^ 5i4 gae non respbndeat , sepimentum arena aiit si cjsu aliqiio post. quam minimum obiiiatur fjctiim ; non jani modO' qiiaesUim ulliim, sed ne piscem qiiidem unicuin ca{)ere herus possit. Talem jacturam audivi fecisse mercatorcm Czei- nojarensem, qui per très autumnalcs menses unicum Gccinpb ceperit, fluvii , in qtio erat KO.lOôCt fixum , osrkif non satis electo profundo. Ejusmodi commoditatibus instructa loca adeo ut ab Astiachània rara sunt , nimirum riczin observentur, nan 8pyT,jcl , non nec tionem, Ka.MllHCKaJî. pisce? capiendi; fîiivius dua flinins aujaq/î locis Cza- Enotaevka, versus tepCaiilKOe.Ka Non speinendum vero gênera tantunr ad oppoitunis , versus sta- liicrum, heri vx hoc aequiiunt, Pra tribus mensibus ad minimum jam mille rubclloruni de piscibus lucrantur ,. eperariis solvunt, et erogant. lèbre est. In p»raeter eani pccuniae quantum in summam ^ quam exstrucndum sepimentum ûiwio Kâ.u a hoc genus sepimenti maxime céPrimus ejns inventor pracsul Kasaniensis T/Yco- fhilact habetun. Ad extruendum intcgrum na-lôea spatium duarum septimanarum requiritur. ciïiîi Instrumenta adhibentur tantum rates fèstuca y mallei et securis. Mateiia lignoruiiï ex ur- bibus Volgae superioribus dcportatur.. In sepimentum fa- ciendum Èum dmni àd id. peitiiicnti apparatii suratus 800 tiaiaellL erogatur.. 5i5 Et hacc sunto de gencre instmmentorum primo dicta; .igcndiim est de altero se. de hamis. Tiinc iur de cnacnih. Cnacwh in lingiia Rossîca- latiori sensu désignât producendum accommodatum. Apud apcite piopiium nomen nibus reliquis quens est. Praeparandi distinguitur. cannabino Fiini (a per nodum funiciili piscatoribus distantes, cjus , piscatorice horum singulorum exlremitates modus xpejJWllHa se- vocatur) digitiim crasso, implican- pennam anserinam quam duae spithamae longi in\icem piscatoies vero quo hoc instrumentum ab om- obtintiit , septcm vel octo orgyias longo , lur quem- apparatuin ad aliqnem efTectum vel per insidias vel libet in minus crassi unam cum dimidia a se JT0e041l,bl y filis ductores. Ad tenuibus etiam canna- (piscatorice jipn6ll6HLhï JipfiMa) annectuntur arctissime binis et In primis igi- firmissime unculi ferrei (piscatorice KaeauUbl) , extremniii probissime inacuati. versus Horum sinuationi mediae la- queus parvus ex setis equinis contortus innodatur, oui versus extremum inseritur sudes seu cortex salicis aut populi nigrac jam olim vetustae, ecpiMOKl, mensurae Rossicae crassiis et longiis, [ôa.iùitpna figurae piscatorice vel quadriangularis vel subrotundae audit). Funis iransversalis , 65 * «ji-^s- 5i6 modi nnculos numéro 60 excipicns, audit 4.1/liHlilK'b'y duo vero aut très aptid pisoitores in /j.iHHHHKJi luiuiii copulati vocantLir aa.ll). Itaque hosce CciUh fluvii modo transversum pluribus oïdinibiis, ad extremitalis adplicantur , a quas aquaium loco cant^ dcmittunt; ne vero cuisu tur , quibus ctiam alii JiOpii/lKH fixo vo- movean- lapides ponderosi transvcisalis funis fundum dicto praeparatos in funcs suisnm in supeifi- ciem aquae ab utraque extremitate ducuatur, supia aquas signi loco tigna, innatanlia Sitas în tcnentes. hamorum aqua hic funis est : transrersaîïs ipsam fundi arenam tangit, funiculos vero ciim uncis sur- sum siiblatos sum vorsum ludibundum. dit[ir aquarum cursu perpctuo hor- tenet, in siiber Cum itaque piscis in fundo gra- aquani dissecando, et nunc hue nunc iihic sese fle- motum aquae perseqaens, uncum se- ctendo, suber levé, cnm ad piscem Piscis vero, trahit , atqiie acie ejus punctus, dum petere rncipit , sic eum magis undas qiiatere locis et fun- ad quarum raajorem impetum proximi etiam liami ope siiberum pertrahunUir; tis corpori admovet. vulneraUim jam ii enm miserum mul- tantum hami tenent, qui pro- fundius sese in corpus ejus insinuaverunt. iastrumentuin est praepardtura, » ut (jtio Ita certe hocce acriua sese piscis 5n defendat atque tiigam moliatur; eo Kon iinprudens atque ïiictui'. foi tins et rudis videtur dmius inha- is fuisse, qui piimus has insidias piscibus struendi asum invexit. Tiiplicis generi-s CHacïïlH usus in Volga datur;hafc, qnarrrdesciipsi, suborum cam audit ôcUÔl-ipouiHCUi vel ciUtaAOenan (ipsa capiens), vocatur alicia Ki[,CKOGaJl fiu.sla cainis sed funis : in hujus uncos loco aut Behigae aut Som in es- hanc minus soient in fundum de- piscini piscibus figuntur ; nicigcie , (fmstulenta) transversalis hamos possidens^ funibus pcrpcndicularibus indice instructis applicatus, in aquis mediis Hoc modo soient praecipue circa Vatagas ca- nianet. pere Calmuci re.i/S, ducitur. Teitium; scilicet pi«.ciculus nonnunquam genus et HaJRlîena ôCMlia in fraudem in- (ad viviim capiens) parvus, mapciHh vel go6m dictus, unculfs accomodatus, pisces praecipue Belugam allicit^ perque suuni interitum illum interire facit. versus tantum niam et tali ritu Versus ostia fluviorum' mare pisces capiuntm-. Inter Astracha» Czariczin nullibi mihi videre contigit. Tribus perdiem vfcibuff CHùcnih lustratnr, nîniirum mare, meridie rc. et Lustratur vespere, aut duabus saltem, mane et vespe- autem hoc modo. Ad funein indicem ex cymba dejecla anchora , quam KOUlKa appellant, compreiiendit cxtremitatem ejiis dentibus ciaMb, atque eum extra- 5i8 ctum -in friicum piippi cymbae inseitum iinciim împonîf, dein jnccns in pnppi sensim funem liansvcrsiilem ciim mcnsuranlis nianibi.is fiontcm pcrcussiim in molis solus , niajoiis niLini sedet. Si que ulterius eumdem totiim in cymbam veio cuni operario , niilkis Cïilih riim navigat , Si piscis fucrit inJiamatus lecolligit. clava donec iin- lotamque cjcis longiuidincm ad modum CLilis a fiindo attollit, fuerit et sic Uno lustiavcrit. niinoiis qui tiim ad le- ftmem demittit , piscis , corripit , attiahit at- continnarc pergit, perlnstiato ad allc- scrutatisque omnibus ad stationcni ciim pis- cibus reveititiir, quos in cavcani seu piscinain, quaiii ïcieuh appellant, ex viminibus contextam deponit, aut ad funem ligatos in aqiias miitit , /linilh audit. Si jani qiiod piscatoiice na VdiKinii Jioca- decem aut plus piscium per dies aliquot ceperit, ad vatagam déportât, et hero reddit. duilibet piscator ciaM) ad bere débet, numerus 40 propter manum semper praesto ha- ut jaceant in aquas demeisa ; permutationem servandus. lem singulis septimanis madidos extrahendo , loca par eoruni Mutant auet siccos in eadem inimergendo. Hoc gcnere instrumcnti utuntur piscatores a subsessione aquarum ad initium autumni ; ponuntur etiam hicme Vol- ga glacie probe obducta; scd hoc majori in usu est ciica Siçf fluvioninT ostia mari ncc non exponanc enticleabo scse ,. ,. ipso Gaspio' in quo qtianto peiiculo piscatores , in , mare flucntia , iir dum piscantar,. posteaquam de ofTiciis eorunt agarrr. Fluvii fundo declivi et arenoso magnani piscium copi- am pisciit()iibus largiuntur^ profil ndi taie eoriim pioficna aut ceite paiiini ; C'f'pioitï, ïn aestate enini pisces, piaecipue profiindo rarissime nec non tempore nubilo et tuibiilento solum graditur, magis vero ducitur arena, per quant sese volvit, acclivi et non satis alta. eiibi oppoitnniLa& loconim detur , liaec piorsus non Q.uare si ali- non nisi in hisce arcnosis dcclivibus ciUKlIin demergi soient, Alteruni genus iincorum: constftimnt jytKIf (arcus), uni tempori et piscantur bris ad ivnnm; piscem capiendum inservientes , 6'L.U'ia pbl6uiJ,Q ncc non JancTario, Wodus Primnm eajn tantum sub finem mensis Decem- quo tum larga ejus copia apparet. ejus coniiciendi est seqaens;. secnri aut alio instrnmentO' excidifur in gla- cie ad aquam lîuidam sa, fosaiila (jipo:w6î>) non adco spatio- niinirum qualis pisei extrahendo est apta, in se, P'rope ipsam glaciem deligitur arcus parvus et humilis vimine- ns, cu}us cornua nfve' stimgutttui", lit madida applicata adeo fiigore con- ne rohustissimus q^uidem a glacie absttaheic 520 Pone arcum hune avellcrcque possit. minimum tervalliim sic fiimatum, in in- locantur très conti ad staturam huma- nam simul alli, figura triangulari conica, situ tali, ut infer- ris extrcmitatibus remoti inque glaciem In conncxis sic ad aliquod spatium infixi, supernis per sint suspenditur laqucus aliquantum ciassior, duplo longior et modum inflectatur ut , si cadens, tis , sursuni anteriorem sex vel octo filis rctro si attoUat. extremitati vectis anteriori nodum connexi. cni vectis , contis adstringilur eum in demittatur posterior a addilo sibi aliquo pondère , aut gravitate , invicem anterior ejus extremitas , super arcum fossulam prospiciat ; sua , se Dcin Jus rite confec- tenuioribus contortus, ejus longitudinis, fluvii non tan- hujus funiculi annectitur uhcnlus ferreus Fini ut qui in cuacuih valde inacuatus. Truncus unculi et offunditur stanno aut plumbo figura vi speciem prae se ferre videatur, tali, ut pisciculi par- facicque ementita pis- cem, propter quem hae insidiae tenduntur, perniciem vero adducat videatur, in ut ut quae tali ad extremam. sit , nioverique ctlSClUhH, disco late- quasi vivus unculi aculcum squama infigitur, emsu earum ; illis, nuilto tenuior, versus extremitatem fiunt, incnrvam denticulatus laliter deorsuin applicatur funiculus, ex qui in fossulam demissus tantillum fundum gat. a inscrtiono aquis iacta pote ad verso, sine opposita, inlcrmissionc perculi- 521 qna ciir, moveri et resplcndcie cogitiir ; loni^iiis iindis versus unciilum -Iseqiienli modo. iste capi- a fiind» frcistuliim Tota additur. machina pliinibi instruitut Ad fmcm anteriorem vectis in eodem lo*- quo hamns pendet, innodatur funiculus ciineolo par- CD , vo tcrminatus, ita spithamam plicutur circiter ednexam rsibi lamellam, ei hamoque in Vecte inflcxa aquas cuneolus pei arcum intromittitur , que instruitur tali ad ad arcum propoitiona- longitudinis copulatam, transveisum vero pisces hamans, funiculiim cuneolo instructum im- extremitate altéra tenens tae , vectis inflectatur, cuneolo si in filum infia si mile , filum ut longiis, aicnm attingere valeat ; in modus et abstiahatiir , acvioribiis filo iindc Ne vero hanius demissus ÔAWUimb. audit endi plumbnm piscem emcnticns horsnm vorsum re modo, perpendiculariter ut tinam ejus extremitatem ar- cus delineat, alteri lamella pariter intus ^rcum ducta, po* neqiie eum dum piscis nnciilnin piscicultim déglutit, adncxTim ; ris traTîs\'ersum in obicem ementitum escam abstahit cum hamo facial. sibi esse Jtaque, putang, furiiculum lamellae cuneolus vero ex sub arcu a gravitate ponde- posteriori extremitali vectis additi exsilit, de fossula extrahitur, atqiie ficiem posita glaciei dcjicitur. hicme cxcicent ; singuli sic Qui piscis hamusque inhamatus in super- hoc instrunirnto piscatDram ad 20 ntunero ejusmodi machinas 52 2 .id intervalla rum cursLi sibi tngmio, non longa vohcnda- ipso aqnariim in collocant, incjue nicdio coiuin oïdine, confecto prospectant in partcm vjdciint vectcm hamo pisce mim inshLuint. lo satis ulianique sublaluni, suisiim detracto iteium stipra Singulis diebus i!hic iiicmoiaio iibi dcqae modo machi- foiluna favCiit , ciii , atque , advolanr, ad i5 numéro pisces extialuint; cul jam minus cadem et adspirant_,. 5 aut 3 piscanliir. Piaeter frigns, qnod tem- pestatibus expositi peipeti cof^uniur, alla nulJa licilLidinesque hoc gencie insLiumcnti damna sol- piscantes giavant torquentque. De Lisitatissimo reliqiioitîm hamornm génère hic fuse persciibere non mihi necesse videtur, cum eorum praeparatio adeo simplcx piscosis sit, ususque eommunis idemque habeatur. Quare extiemitati adnexnm filnm lineum val ex- baculi longiuseuli attenuati setis equinis contorsum ad sui limitem bi iinculnm, ta talium ubique in fluviis aut tencns, qui escam piscium ^ micam panis vel piscis lumbricos Terrestres pu- ahcnjus vehit , forte insertnm ut jam vel pueris hoc piscandi instrumentum no- tum rehnquo ; placet tamen unicum ex et eum pondère plum- nullibi usitatum referre his ut singularem modum, quo Tatari As- trachanenses circa fluvios in desertis errantes, in capiendo QOMli utuntur^ sane is est notatione non indignas^ pisean»- 523 tur non ex ripa, sed ex nnvigio rntione scquenti. viva iinciikim fiinicnlo in pique in navigii adliacrenti clavum ad miim, altéra addito pondère cymbam remis ulfra pro- funde cavato^ superficiem patinam manubrio instructam, disco ad pcrceptLim apprehendit, oie hainatur aquariim eum adnatat ; ejiis per intervalla momentaneus obscurusque sontis CoM'h tenendo una manu ha- sedens , vero orgyiamm longo piip- anncxiim infixa , aqiiam demissa, rcmex leniter pellit , ut c circiter Rana pro- qiiatit, aqois exaudiatur. in conspectamque ranam cum unculo ingnrgitans inHic maxime mirari licet , quid qciam simnl extrahiturqcie. cum sonum adfugiat, est, quod liqui aufugiant? Plurimi dicunt sonum illum esse similem voci, piscis quam lue ad editum edit femina cOArL, maremque allici defraudaiique. na cOMh vocem aliquam proférât, sententiam pedibcis eo , vu]gi Sed et simulata sit, an femi- nequaquam igitur in ficta cum incertum hac re- potius vero statuo sonum hune repracsentare vocem ranae^ cnjus unica mihi inccrta species scmper loties in aquis lacuum dclitcscens, audivi, sinu'Ilimtim edit voce aquam ^juocunque cavo percutias vero nescit, piscem CO.VI) <^sse , eum quod etiam, dum exaudiri solet. Nemo animal omnivorum, saepius- que illud ranas cancrosque appctere r-um est, bfii, ut ipse mul- solere. Nil igitur mi- audito iicto sono illuc adnatare , 66* conspcc- 524 tamqiie ranam dcvorare. Ratio Kioinnib. CQM06b Ultimiim cupât lum vulii Kos.^iet pisc.indi tdiis in. Volgd canjoe^e, quod qucimcjuam iin[)ioprio , oc- dluul est, (jihim fer- nihil aut tiifuicam disstctum, versus extreinum bifuicarn in Iiciim , uncoriiiTi denriculdtiim, inacuatiim, baciiloque sive manubiio versus Incolae h.iiiim fiindiiin insertuni. proprie, hoc bidenti in regioniim, non cajcim et mijKù utiintur i'ciiendis verno tenipore , cum inundalion s inoks nacea, declivia, parvos jdc Tune enim utiaiDque hxnc est, quod supra in nMxima S(^se 3nHh loca profunda vitare, dis et stagnantibus, in. r,unt , insiniiaie ceperit. ejicere diciint ; copia, cn'KiH'b praeserlim, locis Ceterum omnes sit. arundi- o\a speciein generatipnem in actum producendam opinio Joca in cum ejusmodi et loca appareat, dictis, Liciis h.inc muUis gregibus pi-^caioies ipsis affirmant , ducique et tempus ad convenire vulgi verno tempore ca- eum tune aquis placi-. quLbus,, ut saepius curiosi inter ar.und.ineta observa- aut herbas lutuin- que vagantur, mane et vespere fuiiosi acresque adeo, ^d 2 ulnas liv'mphamque locum et supra 6 totdm aut doimieniibus lo. aquam in perturbent y numéro sirailcs , ita , altitudinem nieridie congrcssi , ut ni ut prosiliant ,. vero in unuin. perstant mites jam. tetii^eris autf jeLSUeputuis, vix loco- sese moveant, conspectuiiique homic , 5q5 nrm Buiilo peritid rccte laicie temy)ris nuncjuam sed Ciuidd eniiii a hiijus hnc insfrtt- iUis (iiiocjne scilicct siint , sqtuiniae soliim compung'endjs In sciend.» est: feiiendi nias j.iciildndi ; f|Liod -, faxtt. fi'iiendis iis dam t|nai a «nrfd^anf minrine a fronte aiit adversiis sqiia- tam durae piscis et Inbiicae sunr^ ut saepkis ietiim ip^is impactum éludant et abaque noxa rtcedant. pia(da est l(vit( r vcilnerax (lit, enitii vi et prosternant , tus. loboie quem Ciasnojariae magnum sasanorum supra memorato Praerorca potiri^ \.-o]ii|)e alias ni.)nnbiiuin CCl'UlHbl robustus nec vulnus iiianibus valent, ut nccesse, cui (fficiet, detinrbit. nec si Tanta saepius ferientem cas^um: ipse ego aliquoties sum exper- adjacentes insulae,, lacubus- refertae proventuin incolis praebent, qui modo jaculandis summum veino tempore ponunt, ephebosque qui icti sit in iis oblectamenturw juvenum cxistimatur, majorem q^uantitatem eorum hocce instrumente com- punxeriit. Teitium instrumentonrm gemis^ Gonstitnnnt retia, quae pro diversa latitudine et longitudine, vaviaque foraminufin spatiositate, i\ne insert ion<;'que ponderis et indicis, diversis quo-- nodiinibus insigniuntur. lleiiOJ'b pUctitur modo usitato ex filis cannabinis, tenuio- lihns, trihus simul junctis ; tiA^edaL 2 5o oigyias; latitudo ejns jam maxima nunquam profundiias etiam iam maxima; duar 52t5 cum Membia, ox quibns aequnt. dimidia rcte hoc coag- mcntalur, piscatoiicc aiidiunt ^jo.l// (partes), qiiarum in HtôO/lhy si cjus maximam lalitLidinein considères, 5o numéro orgyias latam poncndo, seu alae, ut loqtintur^ fora mina versus sinum médium fiaet 4 4 quem MQUIH seu pu- appcUantj angustiora possidcnt ; argvias et ca\'us , Partes extremae digitos spatiosa habont, saccum, sive erit. unamcjiiamque 5 sacci vero, qui ad sensim ad angustum redactus est, eum con- foraminibus vix duos digitos permittentibus; fila prae reliquis crassiora adhibentur, ne a multitu- stituentia dine piscium, quorum scmpcr major copia ex eo exlrahitur, Funis superior, rete disrumpatur. vocatur a piscatoribus ji04Ù0pa subera sibi applicatum tenens, in eepxnaji , quem etiam vol lamcllae aut cortex betulae mote usitalo , subtiiergatur, pcr lapidibus, qui .JlOACopa HHmnnJî. parva interstitia locanLur. ne Inferior funis ad fundum pertrahant, onustus, audit rete ejusmodi appellatur a piscato- llctiOjl) xibus cmpaKHeeoïi vel pkcHOn (fluviatilis); nimirum, quod illo piscari soient in fluviis profundis ac spatiosis. Danttir ycro adhuc duae cjus species, quarum primam HMMeHHOl'i^ >alterani pacnopuon vocant. sumlum) a in fluviatili et profundus sit, <cumque niinorem hoc ex que îLiLMcmoii (nomen de lacu dilTert^ filis quod et non tam latus crassioribus plcctalur, (j]iamH/l) possideat. sac- Piscantur eo in la- 527 et rricignis ciibiis spatiosis, tili, so^d non ita maxime cc(3cnil), et, qni Ibto dhvero ex toto convenit fluvia- pKJlopnon pisces; ciintur, oo, qaod partes, ex qciibns copulatnr; in dilTt'it inUr se eohiicrcnt, tenjpoie^ neces?iiiUis lit sepinari, non possint pawo momento, quaedam ab et inviccni' iis demi, Ut'jntnr hoc in ipso maii ex cybmis opeiaiii piscanubi , tc.s ; tendunt ; ni si grei^es ini^entem eorum in mjjori piscium spjiio minuattir; tium distendiint;. spjtiosiiis in lem re.quirunlur lO ad dem ad pacjîOpHOH ^ et tantum iiJL.ieHHOfi sunt in domini Bo.iOKmna diiTerunt conficitur, in in. retinnr ut vel ipsa re^ undecinius, qui audit officium primum ne-^ lO, toti- est trahere funes rctc in et subera loco debito, ubi quid imo loca ipsa piscosa , Operarii apud nteo^lliK'b divinare. minoii Ad nceajl» fluviati-- Operarioriim reficere , fuerit , parciiis si vero, incluso m^eo.lîUKL insereie, applicare lapides ruptum et Hee04ïHK'b vero débet retia; labor rrretiant. operarii, inciderint^ involvnnt ; vero inopiae^ plurimos spatiositate 60/jlûh-b; casa ietia< hocqtie ideo agunt, ut extidhenda , copia niinqiiafn nuiltitudinem demtis quibtisdam UCeOA'h partibiis vidcant, pisciam conspieiant , non aliàs ubi sint,- quam servi, potestate. et eo , vixqiie Jioij^iixa sunt etiam species ncGO^a: quod jîoisA'fXa absqne sacco seu 20 sinu: aliqiiando orgyias excedit, in unara 52 s tantnm orgyîam lacubns aut pans, profLinda. p.uvis pisces parvos , propter non ncc soTet Si illaqtieandos. etc. OKtjHh Adhibori des saccLim sit ad 5o vel 60 orgyias aliquot retinin lata; tum audit jTOeOHJiU. Altéra letuim specics ad rivnlis in ma- uli ad- Jiotl/iuxa mcmbia , eiit tibi nim. ut 60.WKi{mci^ Rete hoc foramina habet ad spithamam spatiosa ; plectitur ex funiculis penna anseiina paulo tenuioiibus, latitudine nunquam excedit 120 imo orgyias, piofunditatx; qualnor adimpiet; in ha bat pondus , neque tantum funi funtm rccollectum ; in latitudinein cum dimidia proprîis funiculis adhaerent, iiias remoti. nens monioKh ciem in béluga hoc très supcine oui baculi, circiter poîlices adslipiilatiir , longi , nullum versus extremitatem iittenuati adtisrique, pro indice crassi, in sui in ad spithamam est sui unus ab alio duas spitha- Piscatorice hi zeJlllbi, funiculus vero eos te- Adhibctur hoc rete statim post gla- imàiX.. Volga solutam , autiimno , eamque solam graditur , a piscatore et in aqnas fuerit siireum eriguntur , qnos vel inde demergi , certior Quare mox projecto unijiji sefnf>er alam luc , correptumque iibi baculi fit piscem retibus rete in intrasse. applicatum cymba navigans tenct , rete indices piscator saepius hinc viderit queni quando Dum rete irretiunt. dcjectum , exinde ftine , in fcre nimirum navigium attrahit, adnatat atqiic ad il- adeo 529 pfscem illaqneatum ex eo démit, demittit, et iteium ad omne sibi alam in in rursii?qiie aqnas illud cynba descendit. Emensus ad piscatinn spatium adscriptiim, ad caput ejus iterum collectis retibus pioficiscitur, rursusqne ea ibi aqiiis reddit , qiiam operam aliquando vicibus decem continuât, in eodemquc loco iino picr;in«! qnam natibus adspirat , (nomen de pliimbo tractuir) retibus, ex raiis se. copuldtis, plectuntiHT etiam ex filis cannabinis tribus, çonficiuntur ex duobus teniioribus in unum junctis. comprehendit 8 appellant ; in eoriim frustula foramina tantum , nnicam orgyiam ad 200 oigyias ftini plumbi in est quae piscatores Spatium cant ', OiHHeo Men quibus utrumque rete non profundtim ; extenditur. In latitudo his autem pro pondère, inferiori retibus per latiludinen annexo, lamellas ducta compressaque applican- ubi aqua strenue currit, passim ; inseruntur. et densis, si- Raitim rete in profunditatem densum vero 24 i loco lapidnm, tur; vi^iic» summo mane piscantar. Cimnit aliter CGilHTamKJt nisi insomnem nonnulli totam agunt, vespere quoque et mul Xox vel maxime liis co- unius frustuli ab iibi placide, rarias alio piscatores vo- superiori vero fiini retiiim subera, qiialia CHùCfUh sunt, adduntur. tuDtur funcs, elongati, Mfmoires diVAcdd. T. VL Ad utramque retiura alam quorum uniis tenet in adnec- tignum aut fas- ^7 530 piscaloiicc ) aiundinjccuni {ni^pCHh cicnUim eiigcntcm ; nalalilem letcqiie piscationis , tempnre pi^'- alter propter can- dein rtliiiin demcrsorum cicctioncn», ptippi navigii jpplicaUir: hoc modo diiiUin, que instiucta , relia tcnens, n>pLilaniiii ^j'r.ï':>'i»c vtl treiiieie , disien- spaxitiin petunt, piscalor in pnppi sedens manii- fiinduiiique funem per fluvii cln;ii mami quasi de fiinein ubi cripi , senserlt' letia mox collectif retibus piscem jam paratuni sumit, iMisusquc ea distendit, atque ad eundem in hoc piscalii moduin procedit, cmalem, ciiin jTOFOH/iii hiseiviunt haec retia uluntur, servant, tem- pore iniindalionis, ncc non etiam aestatc; loca fluvii pura nulhsque aiboribus tur. Quaie retia in nunquam aquas dein jam si , iisiisque eorum milial la in rum non ha beat. in piscatoies sed prima vice nova primcim vetcribiis fundum quid obstaculi invenerint, iisdem ex- purgato donenscs ca soient inventores primi ehgun- funduni dcnicrsis intercepta deponere explorant, in quo imunt , in solo nova immittunt. ejusmodi Don tantum retium notus fuerat, Cosaci existimantur, nunc ita fa- Volga quoque reddita sunt^ ut neino piscato- Restât nunc mihi uliimam retium speciem explanare: nim. axciHI j tus, ad qui nihil aliud dici potest, 2 tantum quam saccus reticula- orgyias longus , ad ulnas duas circiter profundus et latus y plectitur ex funibus crassioribus, qui 531 vnlgo vocanUir .ÎAM7/ (ex coitice parari), tiliac ver9iis ofilicium quàdiiàngulaiis, fundo convtxo, ad singiilos sui ani;nlos fîmes des) in piscatôres fnndnm etiam ciassos longos , quos' cwpa^KH vocant , adnexos habens. demittitiir, fîmes duo, in longiludinem sibi op- pondéra levLa adduntur, fundum contingat; tenduntur, ut nim. ille sit bus cymbis soient lioc sacco in fuerit appioxiniatis , cymbam deponitur. in praeda in cymbisque sacco tantum , in stentes , dari , invicem ex- sibi quasi piscatu tantum Belugae piscesqt»e iterum giarc prae frigoie ceperint. plerumquc dumque apprehcndunt , in cunis aut exemptaque in Uni tempori locisque determinatis hic- aquae jam ligeie , uczugos Ex dua- quo submeiso ma- piscaii ; praesepio jacens in superficiem deducitur, axaHh in- involutus, laxos funes mox conipiunt, ara- bobusque utiinque protractis , ce duo alteii aqua oie hiante. intensos ex opposito funes piscis eo inde cum laxantnr, ut scilicet appiime uno oris latcre, cui etiam pôsiti, nibus (custo- SaccLis hic versus concursu alias In mare : nim. cum loca piofunda mi- principio jam monui, circa in caspium , ejusmodi foveas, duorum aut trium fluviorum exi- nullibi et Q.UO vero ritu quaque inservit pompa nusquam liic in Volga exstare. piscatus quolibet anni tempore iiberrimus spectatuque jucundissimus procédât, ordine nunc exponam ea, quae ipse oculis usurpavi. 67 * 532 Ciim aqiicip, calore aestivo practeiiapso, rigorem coeli praefectus piscaturae mitiit ad inspeclores sentire cocperint, uczugorum mandata, quibus piaecipit, ut omnibus piscatoiibus tain propiii?, quam ex contiactu inibi piscantibiis, eoaditum inteidicant , ca- veantque, ne quis piaeteniavigantium clamorem aut stre- rum locoium ubi foveae sunt , , pîtum aliquem, explosiooernque^ qua pisces terrerf auffugereque possint,, excitet. Inspectores, acceptis mandatis, piscatoribusque illinc remotis, custodes debitis locis ponunt, qui omnem operam dent copia y ibi certO/ , ne quocunque modo ingénu piscium cubitura , Die exemptionisi ut ita loquar, turus et opportunus putatur, emergere pius ûovembiis ribus, demergique ex pisces in conspiciuntur illis , locis sae- quod initiO' hune vel illum uczug con- instructi. pluiimis hospitibus , Astrachania : tum vel ipsi coëmto invi- codera lauta mensa: tractatisqne- profiscitur , opima parari Deini directoï ipse , pracsertim optimatibus ,. solet),. spiritus frumenti portione data^ verit, ma- adveniente, (qui tum cum ut ad hoiam dictam in (coena nim consterneturque^ maxime usuvenit) nnnciatur omnibus piscato- veniant, instrumentis tatis conturbetur iis- singulisque piscatoribus; quae si; paium eos incbiia-- proprio ad crapulam usque ingurgitant, summo statim Sjpectatoiibus abit, comitante se diluculo ad locum certum cum' eum teitia piscatoium parte,, 533 reliqua eo enim turba divisa ad alias foveas mittitur ; axaHh jaci, qiiae jiibet attigerit, demersa, letia locaque omnia occliisa , dum postquam fuerint piscatores rupto, quod piius servaveiant, silentio, tantos cLimoies strepiuisque subito sustoUunt , ut vel suido molesti viderentur. Pisces, vociferatione insolentt conteriiti^ alii de fiindo in superfi- eiem aquamm enatant, alii in mediis aqiiis haerent, quo- cunqcie modo sibi fugam molientes^ sed frustra; undiqua- que enim circumfusi piscatores viam omnem abeundi praecUidunt. Hic vidisses ingentis molis corpora supra aquas provoidre; conspexisses , quo iis invertantur; ebrii percepisses, cantilcnas vocibus xas vitciperiaque , modo piscantium navigia ab quo cum alter in si alterius de fundo rint ; cesque in servantes ^ cmensus , etiam tune animadvertisses Posteaquam jam sa- plurimosque de eo sumse- axanh^ liO?OH,m singuli distendunt , mediis ut cymbant casu. illi- eum movet ; pisces^ turbaverint^ projcclo audisses ri- uni majoris ponderis piscem extra- hère coram^ alterius oculis contigerit. tis hi madidi simulque dissimilibus cantent; ditur, vel de industria loco livQiem invidiamque, ritu aquis unus natantes aljum irretiunt , sequatur , ordinem eum spatiumque ultimus itcrum a capite loci incipiat. lites excitant, pis- omne Qiiantas cum hic vol ille alterius vicem praeoccupavit^ aut ad alterius retia sua proxime admovit;. 534 quae tametî approximatio nequaqiiam cnim lium foveao vix vitaii spa- y)olcst ; trecentas orgyias in lohgitddinem excedit, piscatoiuni veio tum jam in mininuim i5o navigiis Jucunduin sane laie angustias occupantibus. tantas spec'ta-' CLilum est, et qui nondum ociilis iisnrpavit, pLine giatum; narti' uno fera intuitu ingens piscium copia, quasi de indiistiia propexhibendum tec spectacultim in uniim , tam compressuoi lo- cum redacta conspicitur et nemineni feie piito, qui non summum in modnm admiiaietur, si videiet ponderosissimk , tempore robusta, anni coipora, alio et vel deccm homi- num manus in extrahendo defatigantia, tune absquè omni reluctatione catorum mitia lobore eximique. corripi causam eam esse materia quadam quam utpote ad injuiiam coeli datam usque adeo lubiica , tenaci , hujus dcnsa, piopellendam a natura curant illaèsam , ut non audeant. Piscatores adversarique nioveri Mansueludinis pis- volunt, quod fiigoiis tempore eoium tota obducitur cutis duorum saltem et veluti inanimata extracti sibi etiaiii mucum hune nominant mijôa ^ haud invective sumto nomine de rigorem a humano corpore pelle , piscium tio aëris de fovcis cxempiio duaruiii tantum peiagjtur; intra coercente. circiter Talis horarum spa- quod icmpus cdito tam ludic- ro spectaculo, piscibus jam omnibus, quotquot ibi j.iccbant, extractis atque in sua cujusJibet navigia deposiiis, intégra 535 pispjtoium quoque tilenis ad tiiiba proficisciltii^, tore exonérât, liic loci Qnodlibet solct. siimi; exindc fit, ibiqiie praedam coiam inspec- invidia pio nii ddstant, depiilsiis in rixaquc in si Ultiini enim , giintur mensurantiiique , a se alias ao-i pisces quam quarn incakient , satis venitur ad cymbae , impingnntur ambobus, sese Çhn pioxi- ullia proraovent, piopioiibus pisces inspectori porii- per totum aliquando dieai suas * vices expectant. in redditione Neqn©' non componunt, vercim, nacti lites protrusis donec eum non aquas praecipites dantur. non soluni opportiinitatem, a citicis ut unus alteiiiis cymbam a rate, in hostcm saevit , ncc non ca sumiura. festinat inanus ; fianguntur remi , scinduntur cold[jlii, sine can- et ingenlibus clamoiibiis sodalitimn exponunt, amoveat; hic in nczugum non practimn j^istiiin absqne les nira: poittuir, De U c%u fils. Uczugi qnibus tua habitant et propiia obeuntes, ducti, ti. in a Astrachania operaiii ciica andiunt cum suis vici s. familiis, coloniae , in munia perpé- pisces in scpimentis {3Ct6omM) captos non mercenadi uti piscatores, sed salarie con- longo jam tcmporê ex diversis locis ilkic deduc- QLiatuor ejusmodi vici versus mare caspium infra As- 535 trachaniam siti Primus sont. est liVant ab urbe 2 5 stadiis; secLindiis maHll^Kh pari intervallo distans; tertius KJjMbtJMl, a laeaHt 5 stad. remotus; iiltimus 6 In singulis ad cJiciter divulsus. stad. raiiomm dantiir , extriictum. t^ôtypbi a KfjMhi3JiKi ad 5o domiis ope- nec non etiam in quolibet templum est Oinnes in tumulis posisi sunt ad fluvios ejus- dem appellation is , ostiis apertis in ex vera Volga décidantes, maie nec non iluentes. Annis aliquot abhînc pertinebant hi ad coronam cae- ex publico per puefectos saream , piscaturaqiie mandato constitiitos exercebattir, sumtmn cibus cietati in in fiscum mercatomin illis liicrumque totum de pis- deponebatur ; ex anno 1763 so- astrachanensium sionem ab Augusta Impératrice erant uberrimum loca haec largiuntLir , peipetiiam in posses- adscripti. Qtiacstum quem nunc soient nec integrum neque in omnes dividere, sed collectain pecuni- am in cantora servant, aliquam tantum portionem vel per biennium vel per triennium ii5 hominibus dividentes, qui vel nullas suas proprias vatagas possident, aut possi-dendi facultalibus cartnt ; tributum vero pro omnibus tam divitibus quam pauperibus €X eadem pecuniae sum- ma solvunt. Ex tempore possessionis trachaniae cantota piscatoria dicta. constituta est As^ Singulis annis ad eam 537 giibernandam eligi cum praefectus pendcret , annui tx?ict^\('i ex , rei ïisdcni duo qui eticim , etiani pecuniam scribaium vero , qiialis Ad singulos classe constituitur. infinia inspectores, (jiOô'ÈpeHHbie) dicti, concreditur eoiumque opeiaiios, Huic designatur ; niittiintin- qtiibns mercatoribus crassis pencs qiiem ticzugensis communisque utilitatis adduntur. tjuoque iiczugos , dircctorîs , litiilo decct niimciTis, ex nimirnm ex priinae soient ncc non siimma socii <& officia, omnis cura seu traditur ncc non ipsam piscaUnam in ^bsqnc nllo fuito aut aliquo danino exeicendam inspiciendi. Hi obligantur omnia mandata et unaquaquc septiniana in singulis sepimentis ei cantoia missa exequi, a rationem reddere, quot piscium extractum Ad sit. haec eligitur praecipuus inspector, qui p03hi34H0Ïi JloetpeUHOH appellatui; h. c. excuncie aliosque inspectores, nec non ipsos ope- ticzug ir.iii)s, an pracsertim loca qui omni tempore nunc ad hune nunc ad illum aut rite quilibet suum vigilare débet , proximas vatagas prae rtliquis inspectoribus Omnibus autem bis cujushbet offiicium ne quis pisces plus nec et dircctori, rationc spcctata , T. yi- in alia stipendii non honoris habetur. sociis et scrî- stipendium ex ca- dem socidli snmma depromitur. Mî».oiics de VAuui. observare; captos Huic apportet. his et singulis uti officii , agat , 68 538 opcrariomin Miinus ad ucziigos peitincntium in gc- neie comprchendit ea omnia, quae vél ad sepimentum rcficiendum, vcl ad materiam pioptcr id parandam ^epesque plectendas, ncc non ad cetcras circa pisces captos nécesicquiiuntur , sitâtes quae miinia obire abligantmv, exceptis tantum lare officium est piaescriptum, non bulo liistrandae nisi omncs ^ qaotciuot quibus jam singu- illis, quorum primus jam exposui. Tertius audit sale aspergit. Huic Oiiartus co.lH.lhuptK'b, h. e. norit; ova eorum eximit , nam nullus fere est mp/iHMKh> tus et vesicam extrahit, est^ est de- qui artem secandi non i^artes , qui et ci- scindit ; secundum artcm et formam Huic subjiciuntur aliquot pueri CÔOplUllKU» colligentes; quintus hi , colopiscium qui audiunt nimirum colligunt colopiscium exemtum, lavant, distendunt, depurgant, ôliud sunt vo- ova piscium sale condienda praeparans; sex- KMÎo6UiH?:i pisce qui exantherator , qui conficiens. ex pisce.^^ Horum officium non modo congruo piscium lissime et qui e. tamen proprie nompomitm salutatur is supra subjicientes pisces salsamentario. nec non colopiscium amovet. tcrminatiim; h. se- officia addicti sunt aliquot opcrarii^ jiompOlUHKJ} vel pi3aM,mi^I> ) pisces dissecat , est aqiiam- zaboicae tantum assignatus ; cundus ôaiopm/iKi) et noA'bôaeopiumin: horum cantur Ji044cimuff, siint, quam discipuli jucmuiima* et nil Quod vatagas con- J 539 in cernitj his enim sani multo minor tuiba operaiiorum alitur; neces- tantnm siint mUKh cum impÂmiKh H K.km- CQMLlhllinK'by aliquot pueris, nec non tics aut qainque ope- rarii, qui et vices JiompOlUltKa gemnt, et pisccs salsamen- tario ponigiint. rios illos, In huncce numeriim non inckido opera- qui a heris conducti, rclibus pisces minores, ni- mirutn cacafih, cifjaK'h, ôepuih et icliquos piscantur, quan- quam et hi etiuin in vatagis Horum habitent. cniin nU' merus non nullibi trigenarius aut quadrigenarius occurric, neque tamen spectat proprie ad vatagas , sed ad pisca- turam. Modus secandl , piscis sale condlendl , colopiscium nec non ova praeparandl. Pro diversa piscium magnitudine diverse sectio in vatagis instituitur. modo etiam debitam mensuram, Béluga , de qua supra jam dictum est, excedens_, in quinque pardissecari sûlet. Frimum exscinditur ejus abdomen, quod miouiKil nominantj dein exempta iinpa, ue/i et 6Â3llza, par- tes tes latérales abdomini hacrentes amoventùr, quas appellant MÂKOlIlHbiH (molles), post bas sura quae divcllitur; in dorsum a cauda dorsum audit xpÂmoewit, tranversum abdominis secatur , habetur , Maxct.Via audit (vibratula) ; hoc in transver- cartilago; cauda, pro qiu'nta parte quod piscis est, 68 * 540 sempcr ea narat , cÎLim pio vibret. bpln2;a T.ilis in quinqae- quinque piscibus apnd pisc.nores partes scissa matLir. Caput, quod ôauuia audit,, ciiin branchiib aesti- ejiisma- di piscis a corpoïc separatuiv, cxtraque- mensurani aestihiari solet;^ palatum quoque ex eo exscinditur, separatimqiie sale conditur, quod mijAian]) iippellant;. minoris vero> mollis aut mcnsurae debitae béluga simul cuni capite autein scinditur iramergitur; q.uam MCïHÛcnîa vocant que caudae, frontc intua tantum , longitudinaliter capitis insecta ;. tali intégra dissecta' mandi-bul* a talis irt sal inferiore,. ad extiemum: us- rémanente vel pcHiIisper quoque modo et occmi'b curru CeôpwzŒ cultrari soient » etiamsi debitam magnitudinem excédant.. Hoc tamen- sciendum esc , quod omnium; hoium piscium abdomen, nimirum niioiUKay exsec.etur separatimque salsetur, quanquam in eadem. fovea. pars dimidia corporis, quae tagis valet, ' Ji.liocfih s'afcque conditur, cum Apud- cOM'b non audit, ad: usum in; va- venter et eaput eani- bus devorandum projiciantur, et id quoque, nisi jam in ma- xima copia obveniant,, curatury, ceterum. in totum hic cis nisi pis- negligitur.. Minores, pisces, uti iMljKa,. ÔepiUl,,- et ctfAtWB, exccpto^ casaWBr quem etiam dissccant, simplieiter exanterati, ad. la- tera tribus aut quatuor locis oblique, neque adeo proCunde inseeantur,; alq^ue; sic la- sal deponuntur.. 541 Postquani fupiint pisces dissecti, de majoiibus loquor» trahuiULir in rant in iJla munLur atque ex toto Cuin jam in rediguntur, et Ocemph- semol ctcplO^L^ conceperint, exi- Ei'.Uf^a vero' primunii JOfiOhh- vocaflC^ audiique in. in his per aliquot Ilic sinitur_, in ut acervos niulto sale adspersis. coacervati neque loco, uno' autunino vc- qua deiluxa singulis eoruin' ordinibus in; soibuerit,, dcfluat ; illis jacenC q.ue salis pavimenlum sternuntur.. de njLiria- satis se in Du- rlemiUuntur. per duos dics ; acslivo tenipoie per unum. lO' ibique in nuiriam cellcim, magis salequc curae sui rccondili, requirunt. acervos- pacvos cogitur, quos Jiac- tum^ jaccrc b1) JlùCAOUKaXh, jacendo , (lies- cum- sal substratnni ab- tunî altéra; vice aspergitur et in cuniulos gran- des eolligitur, atque adeo jam in iis per reliquum tempus- durât (qtiod audit lib KOpuiO jacerej^ Autuninalf tempore CClhliCl diclus,. hoc est maxime parari solet piscis Ma.lCiparum salsitudinis habcns; aestivo vero tempore saCùMHLXH, valde saisus, qui etiam^ KOpeHHCl Modiis utriusque parandi unus- idemque est, dicitur. quod majorem aestas salis nisi quantitatem, autumnus niinoren* propter aspergendos pisces requirant^ etiam non maximi. piaeter quod Parvi qfUxi et pisces alia hi in ratione sale- imbuuntur, pavimento cellae sem.- 542 per jaccant madidi ; illi ex cumiilis post nuiltum jam sal haustiim, tempore aestivo libero aëie exsiccandi, foras deportantnr, tur, Iliinc finem in in areae , exstriiuntur vatagis, quae ex his lucian- sive in coUimnis trabes phirimis mo- ordinibus ponuntLir_, ad qiias pisces funiculis rudibus, dictis , Za.lbi duntur. illis mandibula correpti fasciculatim suspen- pio deniio Exsiccati 120 asservantur. quae in se singulas ex in ciimiilos locantiir , audit cijAaKoei, in atque in Mimma, vatagis comprehendit 20, ut vocant, ligaturas {c6Â3KPi), 6 non minor débet piscis appellatur 6 vel 5 majori ex parte constantes. piscibus esse quam p^40ea/l Unusquisque Hujus mensurae 8 ecpuiKOei. (ordinaria) , ccpmKOGh vocatur ôcpuioenni ; piscis inferioris vero se. quatenus jam hic ôepuih et cil/iaKh parvae molis repeiitur. Qui octo eepiUKORh superant, juacnih vocantur, quoniam taies non soliini exanterari, verum in diias partes secari soient; secare vero apud piscatores proprie dicitur Ji.mcmaïUh, hinc jï.mcm'b. Ova enim piscium evadunt naioaian idem est iiKpa. : cisternam , sub triplici ScpHltCinan specie aut Sepnnamiio et praeparantur Mcmcuincili , vel : aut denique .Meuicuimito salsandi modus nim. de piscibus exempta stalim deferunlur ad muriam continentem, perquc clatliriim , ipaxvniKa nominant, cisternac imponi solitum^ a Iibris quod par- 543 carnosis sepavata, in tibiisquo uno tiKpMllK'b MimaJKa spatulis, cum simul vel eani demerguntLir, postea opcratio ad spatiuin qnadrantis tantum horae, vis aut hiemc, mixtura tiinino talis In ova valde modi h'f;pa sacOÀhuan vel Hocce modo nnpa.' niintiir ; qnae tiim granula sunt moUlHan contkere ejiis- posteriori minus in de cisterna tolkintur , salso de neque condensata. libras e nil foraminiila densata saisi fuerint, reponuntur in ovis resideat , e pisce capto asservanturque. jiii- quorum àtque ad superiori toto humore per Postquam satis ut lintei jam con- Propter praeparationem recentia , ejus- nim. staiim de siinita. IlaioCHLl confici volunt sacco cximiintur, atque etiam in dolia ovorum , -ova requiruntur modi cujus capacibus excipiunt , piessione exeunte. a Si est, complicata adeo fiirmiter intorquent , orificia succi hoc exempta sacculis cisterna contos, de quibus supra dixi, admovent, saccorum atque defluxo in dolia repo- illis audit JcpHllClliayï , tum ova , lo vel 8 linleis vocanturque audiimlque ejiismodi MùADCOAUiafl /n;pa illaesa salsa, JuapnaA ; insalsata humore cribrum frigidis, aestiaii- efficiunttir contrahunt, calidis se. priori salsitudinis vorsum non tam dia procedit. casii per Diebus misccntur. dictis, lioisum ab solct; aestivo tantum lempore diebus fervidissimis quoniam tum calor jepu/icmoîi aut Miintm- 544 UOÏl fieri non extidcta sinuil cum ex cortice seres, multoque Praeparatur ea sequenli modo palitiir. paitibiis caïunculosis in as- paiatos, jyÔKlt dictos, stcrnuntur, et fibris tiliae asperso in solem , sale ova : ut dicunt , exponuntur, qui CLim ea paulispei arefecerit , misceniur, iterumqiie ut sinunt; arefiant, horas niixtura alteinis vicibus pcr aliquot qtiae Cum exercetur. sol humoicm <îbsorbueiit , condensaverit ; tum cultris ab operariis secantur, et carunculae cjiciuniiu- ; permixtaque persa Sex horaium spatio, veio coelo rantur ; de quo die pluvia et tandem asseribus dolia hoc die fervido , fibrae,(|ue tantulum sale in eaque talia ova matii- subnubilo integer dics requiiilur. cecideiit, tum sub tcclum as- colliguntur. Si afferuntur, ubi aliquando per duos très ve dies jacent immatura, hoc est non condensata^ condensaii parandi Colopiscii ratio tempestas non pcrmiseiit, talis est : vesicula desumpla cultello parvo inciditur , piscis lificata in asseribus sternitur, aestate foris, dis domiciliis, qua si a tergo inque aqua pu- hieme in tepi- siniturque aliquantulum siccitatis contrahere, concepta cuticula supeiior, carnis adiposae non nihil habens , ab ea cinm constituit_, tur. Ex hisce detrahiiur ^ in intcnor, quae ipsum colopis- pateram aliquam nul amphoram colhgi- collcclis cfficiunlur placcniac una super 1 545 ^ .'".;.!.' [' . ' ; nliam involtita, externeqne cnticiilis snpcrioribus de iisdem obdùctae excipinnUir linïèb tnictis gente , sub I ad hoc emtac , se sicque picio circdmvcstitii tcrapoiis ccrtiiin ncc linLeoqiie non exomni parte eâ's rémandantiir. spatium culiculis Postqiiam jactieiint ; tiiin cx- solutae materiam ex mollem, facileqiic in quaslibes formas ductilem piaebent. aquc ex hac jam aitifex secundum norniam debitam mi- n )ia una fmstula' majoii involvcndo ad figuratn cuticula piopèTncdiirn cordatara et corniculatam colopiscinm, seciin- dani legcs formaque débita pereat , siccationc discedant, CLincolo qnem parvnlo tenui li2;neo, sus cornuuni extrema intorto. atit Ne vero cornna parât conficitqae. arlis^ fastes longicisculos tenues in ex- cauttim est c.inn;a vocant, ver- demum confccta in fila Ita subque tecto recolliguntiir , aliqno foris aut in domibns ad parietes snspensa exsiccan- Frusta tur. ejnSmodi Ad iinamquemqiie très rcquirunttn-; iinica 'très CKOÙUH ad talem parari In soient. Hinc numeiantur. c/'6;)fO^// CKOÔna occmpoôa/l una cnjuslibet spcciei opus Nirfiiram form=im redacta audiunt CKOÔKll. tria sit piscis sufficit ; ceèptOiJi vesiculae ex hcîiigae pondère Rdssifeb colligi potest , ' mille quot piscibus ad colopiscii pud comparandnm. niillia ;• o^^/«JL>Og!& mille ;'•'^ef^^^5 eooooo,^oooooc« Mimorm de VAcad. T. VI. /)Z/rf vero ^9 33 3. 54^ DESCRIPTION ES 'qijatuor proteae novarum specierum. A p. C. TIIUNBERG. Conventui exhibait d;e 5 Julii i8i5. Dedi antea dcscriptiones aliquot. novarum specierum quas in Novis suis Actis Academiae génère Proteae , periaU , et quidem volumine inseiere pla- K penu meo botanico iteruni conquisivi quatuor ex çuit. hoc ipso pulcio va XV, pag. 458. e Iin- et et specioso hue usquc génère afiicano specimina, no- scientiae amatoribus incognita, quae, ut spero et vehementer opto , benignoque in memet ipsuni eadcm ac affectu priora benevolentia fore vehm accepta, nec non cum orbe erudito , in auginenUini amabihs scientjae cominunicata. Patriain liae, ut omnes in génère Proteae, promonto- rium agnoscunt bonae spei Africes austrahs, steriha dos cjus campos niontesque exoinantcs, et nu- semper frulicosae, larius arboie^pentes. Hae vero spccies crescunt singulae in interioribus et rernotioribus versus orientein sitis regionibus, adeoquc la- rius occLurcntes peregrinantibus curiosis. 547 Ut vcro eo magis enrum sinuil icônes dt^cvir tiones sncciftcfas îirifstrarem, adjiingere voliii-; debui. P P, plumigera foliis : ROTE A. filifoimibiis , glabris ;Tab.XlV. snbtrifidis , caule erccto; capitulis plumosis. spaisa , Folia crcctus, fiLitesccns, Cciulis pius filifoimia, trifida , glaber, ramosns. simplicia, apice saepe bifida, sae- patentia cuivato-erecta , et glabra, pollicaria vcl paulo ultra. teiminalia , globosa , Capitula plumosa , nuce avellana majora. Diffcrt a P. clecumbente, cui similis : Pr. 1. caule erccto. 2. capitulis coarctata : hirsutissimis. foliis ramisque caule filiformibiis , eieclis; triternatis , calycibus glabris ; Tab. XV. brevissimis ob- tusis. Cnulis frutescens, errctus, glabcr, Haml pauci versus summitatem ramosus. erecto-coarctati , ligidi^ glabri. FoUa sparsa , frequcntia, filiformia, trilernata seu snpradc- 69* 54.3 ,T'3ïfiiJ'Çompasita, tiiùda ,, caria glabra , patulo - erecta, tripolli- vel ultra. Capitula terminalia, hiisula, alba. Calicinae sqiiamae brevissimac, acutac. pat ni a didcit : a Pr. 1.' lamiV' divarlcato-^'atolis', ligidis, 2. calycinis sqiiamis atu'minatis'. ' Tab.XVI.P. laevis: capitiilis : .nui I laevibus, imbricatis ; glabris, lanceolatis, foliis tcrminali'biis ; involucro bievi. CàuU's fnitcscens, tohis glàbe/^' subdfchbtomus. Rami pauci , subdichotonii , elongati, foliis tecti , siibfast tigi'arf.'.' FoUa sessilia, lacv^ia, ' ' ' oblongo-Ianceolala, obLusiuscuIa, imbiicata. ungvicnraHa. ' Capitula terminalia, glabra, Jnvolucra lacvia. >iiiniHs Pï. conifcrac, 1. in hac 2. in folia a qiia lacvia, tanicn qnod diffeit^ imbricata : conifera riigosa. in hac rami pauciores, elongati, : subdichotomi : in conifera sparsi, flexuosi, Hab.XVII.P-- ovata: foliis ovatis, obtiisis, integris, glabris; terminali ; squaniis calycinis ovatis, capitulo glabiis. Gaulis iiuticosiis, teres^ rufescens, glaber, crectus, ramosus^ " 549 Raifii àltrini^' crecti, FoUa spiiisa , cauVi siniilcs, subfastigiati. sessilia , ovala , obtusa , integenima , plana, erccto-patiila, pollicem Capituhim floriim lata_, sesquipoUicaiia. terminale, solitarium , obovatum, grande, glabruni, erectum. Calycinae squamae inibricatae, ovatae, glabrae.' *000l>C0O300C»«'« 55o • DE NOVA I^IEDUSARUM SPECIE. A U C T R •£ T I L E S I O. Conventui exhibait die 23 Aug. i8i5. In ultimis binis, mi Py ë et qiiod II m. excurrit, decenniis, histoiia naturalis MollLiscorum sensim increscere incepit. insulamm nera naiitica partim ad anstraliuni Plura iti- ^co^raphiam aiigendam, partim ad hisloiiam naturalem animaliuin et vegctabilinm exoticoriim promovendam Rlolliisculoium nuniciuin instiluta , et cognitionem ad etiam piofccerunt. Im- primis Fiancogalliae scrutatoics a Cuiiero cclebcirimo incitât! infciiores aniiiKilinm cioiis strLictiirae classes aniinalctila irspexcninl, et in simpli- marina per secalum feie ne- glecta attentioies facti viiltum induxerunt. Pcromis in irineie nautico FrancogalloiLim, BocUno duce ad novae Ilollandiae litLora instituto, leium Zoologiam et Ethnogiaphiam spectantium egiegitis observator, Argonaiitis Rossicis per trienniiim antecessit, et praeter milita alia Me. dusarum copiam coUcgit, quarum nomina in Actorimi Musaei Parisiensis fascilulo et sciagiaphiam 94 et 95 publici 1 55 fecit jaris Infelicissimo =^). nec icônes neque vero obseivationcs ductLis consilio specieium , peculiares nobiscum communiccivit, anctor quas detexit sed potius iilieiiori et majoii opusculo reseivandas bus et phaenomcnoiLim obseivationibus rcservatis sciagra- pliiae siiac auctor ipse tiac bases et Hisce reposiiit. argumenta insiint , quae praematura morte Zoologiae vero e^o studio iconi- , cuni ac scien- cultoribus ereptus fuerit, absque fundamento remansit» Sciagraphia haec (ypis mandata Peroni nil nisi prodromum quo neutiquam nova sua détecta separatim nobiscum communicare voluit, uti primum debuisset, sed porcfert , tius in in conspectum systematicum omnium Medusarum auctor hoc libello exhibuit. dusarum species ex: No vas et a Perono détectas hoc libello, IMe- quo nec depictae nec in late satis descriptae sunt^ cognoscere non possumus, sed le- gimus tantum earum nomina cuin systcma noscendi quasi excitant, *) et jam cognitarum in redacta, quae spem frustraneam plura cog- Conspiciendi libido nosrris temporibus ita spccificas iis et arrio^it, in systema redigendi ut nil nisi differentia? genericas respiciant auctores, quo fit, ut sin- Tableau des charactère* génériques et spécifiques de toutes les espèces de Méduses connues jusqu'à ce iour par MM. Pérou et Lesueur inséré dans les Annale-; du Muséum d histoire naturelle de Paris. Cahier 94. et p5 de la Collection ou Cahier IX. et X. an. VII. pag, 325 366. (.Voyez le Toiac 14. des Annales pag. 325. Genre X.) — 552 gula non satis explorentur et hypothèses ingcniosae factis substituantLir. Pcrmultis igitur Medusarum scrutatoiibus , nisi pcr .autopsiam animalium vivenlium ex ipso occano piacparati medusarum sciagraphiani Pcroni donec manebit , structura obscura analyticae explicationes Medusarum novae accédant. icônes et Qua de organorum causa plures species, quae et mihi in cursu nautico per triennium occurrebant, nostro Medusarum aggrediantur, et earumque descriptiones studio exploralae sunt, communicabo, antequam Commentarium lïiam Medusarum jam meo deinceps quae et icônes in Pcroni sciagrap- diu consignatum publici juris faciam. Peronii libellus usque adhuc vIm plus praestabit, ac Zoologiae Danicae egregîi opeiis prodromus praestaret , priusquam auctor paulo post subsequentis icônes illustrantes adjecisset. Novas ex Archipelago Japonico cies lectas Medusarum jam anno i8o5 et 1806 delineavi et descripsi, spe- et an- te/inam vix ex itinere redux societati Rcgiae Goettingcnsi communicavi, sed cum per seriem annorum typis nondum demandatae nec publici jiiris vioni prorsus traderentur jrum me anteccssorem Tactae sint , vereor ne obli- vel ne aliquis successorum mco- jiovaque mihi praetereat détecta 553 praeiipiat. IToc saltem ccitiim ronl sciagraphia Medusarum tcm Rledusaium in nisi Peronus antcccssor indefessus Ex ccpisset. viginti ilincre iinico me maximam par- intellcxi , detectarura irienni rem siiam stabilivit. perdidisse inversani in- Medusarum Peronus gênera I,innaei novem gênera quod jam ex mera Pe- est, An qiiartum Peroni gé- ras Geryonia dictiim Medusam saccatam Japonicam meam complectetur, an Melicerta fasciculata Peroni vel an Orythia sua mea cuin Alcdusa brcvissimis plioriuii saltatrice sciagrapliiae Japonica definitionibus conveniat ? vix elucet. ex Tele- meum australem, quem in collectione iconum hi- storiam itincûs celederrinii Krusenstermi illustrantium vario situ ad vivum dclineavi (Tab. XXI. fig. 3o — 36.) , ova- rium animalum Salpae et Monophorae noctilucae Borgl de Saint Vincent non Pyrosomae Peroni synonymon nec ex iiUiusque auctoiis leLitione Etsi jiim nova ïini, nec verear scriptioncm mea dam , ne coattaneus vel successor eandem compleliorem repeteret , tamen invidia seducto bus nuperrime indicatas esse, Mémoiref de r Acaii. T.FI. de- mallem nova quam suppressa Monographiae meae de Physaliis neuliquam vero cjusdem virtutes a e IMuseo intelligitur. non ad supdficiem tantum indagave- judicio scnitatorum publico submitti, senescere. tum, mea itineraria facile esse, errores tan- criticastro quo- in Epliemcridibus Jenensi- me non impedit, quo minus 'O 554 observationes iilterfores de Medusis Velellis, Porpitis, ActiAscidiis aliisqiie niis , moUiiscis qiiorum Animalium adeo , vobisciim saliem noiiiina coinmunicem. jtim per seciila cognita sunt, desciipliones et icônes vobisciiin in posteriiin me non comnuinicandac praebent , studio jQagiare. spectet , Cum enim noviindi plinirnorum augcndi et labor co quam jam inventa rite ut nova polius invcnire , cognoscere studeant, non immerito scd cura cum Retz'io celeberiimo quaero, uter eoium, qui perpetuo no vas res detexerit, an qui notitiarn jam rerum fumiorem inventaium leddere et augere studet, rerum scientiae melius consuluerit ? Penitiorem rerum novarum studeamus et et cngnitarum cognitionem recommendemus. MEDUSA SALTATRIX, Japonica nova species ex portu Nangasaki, Japonice Cassa curragè dicta. Médusa pellucida , ovato-subhemisphaerica, umbella cam- panulata, margine umbellae in systole coarctato^ octo rubro punetatis tentaculiferis, lac'uuis totidemque tentacu- îorum filiformium fasciculis emarginato, intus cava peritonaeo vasculoso veslita quadricostata, fasciculis quatuor intestinulorum convolulis, spiralibus, glaucis, et rostro contorto rubescente centrali styUfonni , nali quadiiûdo pendulis rcpleta» stigmate teimi- 555 Ohs. Mediisa subconica, interdcim ovatn, sacpins campaniicTormis, pclhicidd, ac niiia et distincta pailiiim fabiica constiucta , contra mobilitate vcisalilis, cat ita , in systolen motu agitetur , hcns , alternis agilis continua et momentum quidem ut ne scd perpetno , , morem Medusaruni qnies- ac diastolcn sese contrafrcquentissimis in pulsibtis undis piopellit, et ranae ad instar poirectis tentaculis saltat vel piosilit_, qua de causa saltatricem denoniinavi Me- diisam, caetciLim ob stiucturam intestinulorum, Mednsis insolitoriim internam admodum omnium difficil- complicatani lima, iconibus analyticis illustranda. Uinhella hemisphaeiico - conica snpra gelatinosa , sub- cavum umbellae internum, tns campanulata, tota pelkicida, 4.) apertura ampla vasculoso seu venoso membranae vestitum , cnstis octo subtus ad (fig. peripheriam tum (a (fig. superiore parte visum ut systcma arachnoideae (raiius quatuor) decurrentibus hians, peritonaeo dilatabili fig. 1. simillimo ex ccntro vertical! h. b. h. b.) 2. et 3. a latere digestionis et contractionis elucescat). scu venulae membranae arachnoideae talem observant directionem costae vero (fig. perpcndiculaicm. postquam ad verticem umbellae 3 B. intertexfig. i; Vascula plerumque horizongelatina farta A), Transeunt interioris costae quasi, incurvarunt , in- 30 * 556 intestinula, et inlcstiiuiln,postquam convolvendo ascendernnt, in rostrum (fig. i.a,). Cnstac sunt organa musculosa et simul vascLilosa vel venosa,donec membranae arachnoideae intertextae sunt, venulae enim horizontales vel circulares ex oiiuntur vel iis iisdcm B.) Donec veio ex communicant. membrana arachnoidea versus umbellae 3. (fig. interioris verticem descendunt vel recedunt, liberae sunt et pensiles, et in hoc statu chordarum elasticarum more (fig, 2. ce.) convolvuntur, fascici.los formant intestinulorum similes, testinula appellavi. Ex intestinulis eentro verlicali umbellae est., intestinulis quod in j. fig. in de- 2 et (fig. 1. (fig. 7.) a.) occrpans (fig. 4. D. a.) convolutis circumdatum, con- îortum,. tubulosum,. pistilliforrae, stigmate quadiifido (fig. 6. vel ore unico quadrilaciniato instructura et 4. a. D.) hians, oesophagi munere' fungi phagus: cum ac Stylus vel rostrum. centrale rubens cavum campanulatum umbellae a quatuor ascendentibus in- iterum conjunctis oritur denique rostrum; (a. fig..i.) vel stylus , monstratum quam ob rem videtur.. Descendit nunc ocso- suo- quadrilabiato ,, umbella: in systole contracta,, ila,. ut stigma vcl orificium ejus rxira apnlu- orificio lam umbellae promineat. dit In diastole vero et in cav^um umbellae- iterum: diatim ex eentro verticali «Bentes; (fig. D. 1. b. fig. rostrum ascen- retrahitur. Costae ra- ad marginem umbellae descen- 2. 6.) inseruntur laciniis lotidem 557 tentaciiliferis r[im , (fig. i. D. fig. 5.D), quae contractione costa- systole, foinicatJiii foimani indiuint, et tentaciilà in maif^inalia iindulata ad instar flagcllomin sursum versus dispergunt vel attollunt, quo facto fibrariim, qiiibus margo umbf'llae cingitur eJLisdemqiie aperttua coarctatur, circula- rium ope ita praedam adducant , motum veant , itcrnm retrahiintur, versus motu alterno , aquam Tenant ut hoc , introrsum diastole in humoruni circuitum promo- Mediisam ipsani cavo eiusdem internO' vasis in respiratorium augcant cavo umbcllae , et quovis pulsu ex loco propellant, umbellae Apertura sat dansa ac aqua praedaque impleto, médusa forniam vertit in sub- globosarrr. Lacinae tentaculiferae rubris ornatae globulis vel granulis supra tentaculiferae lorum (fig. octo semicîrcuîares- crassiusculae marginem umbellae cingunt fasciculos 5. 6.) 4. (fig. costarum cl cl subditae cl. d.) (fig. , subtus 5.) octo tentac[i- jaculantur, ac imperio mox attolluntur mox depri- niuntur vel dilatantur vel constringuntur. Tcntacula cirrhosa coloris longitudinalibus maiginem: numerosa,. lactei, filiformia,. internis et umbellae cingentia^ undulato-subulata, fibris circularibus externis instructa^ ad marginem lacinidrum infeiioiem ia octo fasciculos dis- 558 tribiita qnovis in , fii^^ciculo qnindccim vcl viginti nu- supeiior fibris vel raerantur tentaciila ;ncdusa diiplo longiora. vel Rostrl membranae aiachtioideae, cavum nmbellae vasis investimtis, cincta (Kig. ciiculaiibiis quatuor intestincilis spiralibus i. C. pensilibns interioiis Fig. 2. a) oita ex ventiiculi adesse videiur, cui ab oesophago contoito riibescen- loco te pars centralis pistilU (Fig. 7.) alimenta ingeruntur, qnae deinde per intesti- nnlorum canales quator suscipiuntur, costarum per aiachnoideae cumvagantia vasa parallela addiictintur, ciiculaiia parlibiis nutriendis et membranae totum umbellae ambitum intertexta, per reliqiiis vel costis cir- communicantin-. In margine crassiusculo umbellae_, laciniis octo tentaciilifesinualis ris lactei gana emarginato , praeter coloris snnt et impediiint, distingLii fibras quominus subjacentia possint, venu circuJans cendentibus conjuncta inesse quae circnlares , or- cum costis octo des- miiii videbatiir, et forsan hacc vena eiiisdem naturae ac costae ipsae cognoscitnr, mosculosae nempe fibrae circulares ac Ad constituiint. vcnosae ad simul , periphcriam peripheriam fuere , in tenebiis forsan lacteae istae umbellae enim, motus vehemenlissimi contrahcndo si et iibi venam ipsam maxima et dilatando vis et animadver- etiam annulas noclilucus visus est. 559 et papillae coccineae quam qiicie lespiiaioiio cingit , cum costae a nullo aIio> Ilaec potest. cffici lectangularibus vasculis aidchnoideae ergo su nt quae nuiiginem munere fungi. ies{iiialionis earutn quod vcnrim circulaiem, membianae paiallelis scintilljinnt, niolu persuadant, milii unibell.ie fere Sic vcl itertextis cticim. circuiis systeniatis nonsoluin nervoso-musculosi sed etiam vaculosi organa esse inuneie fungi videntur arteii.HTun et omnia cnin us gandent , sed etiain vasoium videntur. Costas facultate sese manifesta inseivire et nutantiimi nimiium formam induere , partem coire libère in adeoque in et vel non solum eniin conjuncta vertice unibellae item m descendere , lium : contrahendi nutrientiam loco tubulosas esse , ex intestinulorum spira- cavo umbellae fluctuantium centralis superiorem oesophage contorto jungi , certutn mi- rostri hique ex multis majoribus minoribusque individuis observatis comperturn malculum ad vivum ac systolen Non solum socius Dr. Ilonier, qui est. dclineavit, diastolen umbellae citcularibus lis in vivo Médusa haec mollusco ex a costis sed etiam tubulosis reliqui simul anisocii cum fibris ac Ijciniis marginalibus tentaculifeperfici primo intuitu observarunt. pdrtiiim internarum structura contractilis et elastica iterum probat, ut hoc plurcs jam praeteiitis tempoiibus a me obseivatae et forma sola admodum situ 56o culoso lespiraiorio confliieie, ac ordinum ac sioJoi^icas , rcndi, in in simplicioiis v. vel digestionis in unum animalibus marinis inferioriim structurae pluies fiinctiones phy- locomovendi, praedam anipiendi, dige- gr. sangninem vertendi , respirandi et etc. NLipenime etiam celeberrimus Meckel, Halen- exploiandis rébus ad anatomen comparatam attinen- tibus expertes, nempe si mile quidquam in Ascidiis detexit, saccum branchialem oesophagi aliam viam adesse, pcr tibus ad in liis cum vas- ncrvoso-miiscnlare mitriente et riLitiir.iin SLiccum in conjungcre, sis, systema probarunt, ISTcdiisae fungi niunere ac nullam quam aqua cum particulis nutrien- ventriculum pervenire possit nisi liacc sola, quam de dcssertatione ascidiarum structura demonstravit et icône adjecta illustravit, in qua anatoratn ascidiae niajoris explicavit. Organa jam dcsciipja superficicm et affixa costae Tiimirnm elastica ad infcriorem umbellae membranae arachnoideae intertexta, punctum fixum habent in margine lae , nbi maxima vis constrigendi, jactandi et vario movendi locum liabet, membrana araclinoidea donec autcm egrediuntur , sunt ac per ccntrum gravitatis, antagonisticam faciunt. vim accipiunt et quod umbel- modo libéra fiunt vel pcnsilia ex ac nulantia rostio centrali inest, proprio vigore im[)elum Simillimam fera stnicturam, partium numerum et 56i functionem in Sîahberi*) MccUisa cymballoidea (Tab.XIl.fig. i. 2. '3.) videmus, et liaec spccies simiil probat rostii cenlralis functionem, qiiippe quod pisciciilo degliidiendo accupatum In hoc auctor delinravit. contigit, ipsam felicisiimo momento^ quo auctoii fLinctionem lostri ccntralis obseivandi, for- ma lostii miiLim in modum dilatati neutiquam dignoscenda est, Costae, loga, quoium imperio umbella rie movetur, fibiae ut affixae systole ac diastole in curavit , utriusque va- cui partes in cavitate et intertextae sunt_, ita pellucida non a pictore percepta nec delineata simillima forsitan specie, neari vel organa coslaruiu ana- nec non membranula, umbellae pendules fuere , musculares quam sint. In celeberrimus Baster**) deli' organa generis in conspectum veniunt, imprimis membranula arachnoidea^ forsan laesa et *) Natuikundige Veilustigingcn behelzende mikrnscopische van in - en iutlan.'l^sen Waater - en Land - Dicren .rtin'Slahbrr sitd van de Keiserlike Académie dcr Aatur Ondoor dcrsoekertn etc. Ilarlcm by J. Fosch '778 in 4*0 17 color FLten ; vel germanice versum a Statio MiilIcrQ Murtni Slabbrrs physikalische Bclustigungcn odtr mikroscopiNche Wahrnclimungen von 4^ in und auslundiichen Wasser uiid Landthicrchen mit XVIII fein illuminirtf.n Kupfcitattln , herausgegcbcn von A. W. Winterschmidt, Kunsthand1er u. Kupferstechcr in Nurnberg 1781. in gr. 4to (pretium 3 rt. 6 gr ). In origine : Wahrntlimingcn M : '*) Bastcr't opuscula subseciva Tom. II. lib. II. Tab. V. fig 2 et 3. pag. 55. 56. 57. 58. In ipsa descriptione auctor plura adhuc obscrvata .Tnnatovit, quae pcrsuadtrc valent, mcdusam suam cum r.ostra maxim m "Sobi icônes vcro probant, liabuisse «iinilitudinern , ipsarum curiosi, quas stylo repratser.tanr, artifices, nisi ' Mt'mo'.res .-le rAcad. T. H. sint rcruin maie ad hoc ncgotium applicari. "^ ^ 562 quibusdtim pendnlis lacerata, et si rostrnm centrnle laciniis partes pcnsilcs ac ieli(jaae ncgieclae atae vel Bcrôes Plura cavo iiiiibcUae maie deline- in sint. cum individiia ciicumeiis sex Medusae nostiae saltatricis niinoribns individuis in cylindio seu vase vitieo sat ainplo et capaci servandum vchemcntissimos pioplcr a sepaiare Berois se marina repicto ad ob- habcbant salttis me coactiim minores, etsi 'tatiices, 'sibus maie reposita aqLia hacce societatc in et ictus mox et Mediisas quia Medusae vidi , vchementissimis sal- tamcn earum pul- hacc molkisca multo majora et graviora motu lento et aeqiiali miniitissimorum ciliorum ope remigcntia, ab una ad alteram vasis partem ejaculatae sont. Magnitiido diim tripollicaris et licet illaesa , Rlartio anni Medusae nostrae pollicaris, natiiralis rarins qiiadiipollicaris letractilia , ad portiim legi et observa vi. Nangasaki In et spiritn in inter- tentacula tamen diiplo longioia. i8o5 Medusam nostram 'iiico est , Mense Archipelago Japo- Megasaki frequentissimam vini conservata brevi tem- poie collapsa colorem et formam amiserat. Mihi non nisi picturis et desciiptionibus in forma naturali conservanda fuit. Explicatio tabulae: Tab. XFIII. Fig. 1. Medusam Saltatriccm, a Japoniae indigenis Cassa Cu- 563 ragé vel cmasclié dictam a latere sistit. Vaiietasoctoradiala et vcl octo costata, natiirali magnitiidine est, diastole laciniis reclinatis tentaciilisque in pcisis , dis- A gelatina pellucida iimbellarti delineata. exteiioiem formans intus C. peritonaco cosftato vel membrana ladii arachnoidea ad descendantes, maliens Fig. 2. centro cuJLis in parte visam Unibella D umbcllae, pistiikim vel cavitate pendnlis a su- sistit C. ce. intestiniila gelatina farta 6.6.6. ex costis oita qnae postquam convolvendo ascenderiint, ad formandum pistillum Fig. 3. apertura a) parti bus in costae descendcntes pensilia , punctatas campana pendet. Umbellam eu m periore rubio tamquam rostriim costae vel 6.6. 6. 6. marginales lacinias tentaciili feras in vestita ex .solo vel rostrum conveniunt. a) vertice visa eiiisdem crassities usqiie ad A. gelatina farla, internam umbellae su- perficiem , membranula arachnoidea C. vestitam et vasculis circtilaribtis intertexta costae octo in infcriore 6. 6. 6.6. umbellae supeificie descendentes et in vertice a) ad formanda intcstinula et pistillum con- junctae. Fig .4. Médusa bellae ab hians infcriore 0) parte stigma visa vel os D. apertura um- quadriJacinialum 71 * 564 quod rostvi, in centio cavitalis tinula quatuoi dem cavitate dependet ce. quae rostmm circumdant ,, dépendent, d.cl.d.d. intes- et in ea- fdscictili octo tentacLilomm laciniis totidcm affixoium. Fig. 5. Lacinia lorum tentaciilifera fasciciilo, singula singulo tentacu- ciini a latere visa, magnitudinc âucta, Dy margine abscissa. h. costa, cuius impeiio sursuni deorsLimque nes, Fig. 6. d.d.d. tentaculorum inseitio- glandulis vel globulis coccineis supra notatae. Rostrum lit dirigitiir vel pistillum ex infeiiore parte visiim, stigma vel orificium quadrilabiatum et miiscuîî, quorum imperio labia absorbendo moventur, in con- spectum veniant. Fig. 7. Rostrum a superiore parte visum, lum circumvolventium vestigia , ut intestinulo- quorum ope nu« trinientum ex praeda capta absorptum ad intcstinula et costas transfertur, in conspectum kOOOOOOwOOO 00Q4 veniant.. 565 DESCRIPTIO ET ANALYSIS C II E M ICA STEINHEILITHI AUCTORE 7. G A D L N. l Conventui exhibuit die q8 Febr. i8iC>. Ad morem mineralogorum, qui fossilia, vel recens détecta, vel, ob deficientem cognitionem, impioprie antea de- nominata , novis appellant vocabulis,, recoidationi virorum de aucta Oiyctognosia meritorum convenientibus, nos quoqiie ausi sumus, in neralis mcmoiiam Excellentissimi Comitis, Ge- et Finlandiae Gubernatoris , Steinheil, Steinheilithinn vocare Domini Fabiani de lapidem in Finlandia re- perlum , quai-tzum cacrulciim hucusqiie nimctipatiim , cujus natLiram a qnartzo alienam esse primas, quod sciamus, ob- servavit Excellentissimus Vir; qui" succissivas horas, qiiot- quot summi negotii curarnm vacitas habct, scientiae mineralogicae et geologicae studiis impendere aman§, nulli peperuit operae nec pretii, ut genuinam illius lapidis formam. ceteraque criteria duae, in certiiis indagaiet. svasu Excellentissimi Comitis de Steinheil,. hune lapidem. instituimiis expérimenta analytica judicio 566 Acadcmiae Scicnliaium Tmpoiialis jam siibmittinnis Ilhistiis Petropolitanae-, cxoidiiiin , cîiicentes chaiacterum dcsciiptionc a vcnia Exccllentissiini Coniiiis, nobiscnm bcni^nissimc comnuinicavit, in lingiiam latinam, Reussii, convoisa. adhibitis teiminis technicis cclebiis Sic vero lapidem descripsit Cornes de j,Color fossilis Steinheil: sincerissimi est obscure violaceo-azureo- et heroVuiQ - caeraleus y qui .per quam gcneiicoinm , vero, in majoribiis crystallis, plcturas maculatas, fasciatas et nubiformes, in clarius caeruleum , grlsco - caerulcum , griseum et nigro-viridem , proiit in transit vin- descenti- lapide parcius vel abundantiiis immixtae sint paiticulae quartzi aut substantiae micaceae minutisslme squamoiae , oculo nndo vix discernendae. riiintur nac. rcticulatac, Raiius inspersae repe- maculae rubro-caryphytlino - vel capillari-bru- Piopter parvas fissuras atque rupturas, frequen- tissime in lapide obscure caeruleo coin parentes, cerni- tur interdum vividus diversorum colonim lusus. Non- nunquam adeo obscurus est caerulcus color, qui, ut, lapide versus lumen spectato, viridissimus apparet, in quocunque ceteroquin situ, ,^Q.ua nigri speciem prae se ferat. figura m ex te ma m, habetur aut compactum, in frustis inegulantcr angulosis; sequentibus fonnis : aut crsytaïlinum, sub 567 fA) prismiitum qnadiildtcroriim , s. paralIelepipedoiLim, a) aequilrtteroium , lectangulorum , b) duobus planis oppositis c) guslioribus comprehonsorum , niarginibus tennincdibus singiilis no truncatis , daobcis an- quod rarissi- est, sinuini d) latioribiis , marginihus longitiidinalibus, vel nno piavel duobus planis acuminatis. Ubi, truncatis, adeo descente latitudine planomm truncaturae, ut hacc in prismatis ipsis planis tiansformata videtur crystallus, concurvant, vel in B) prisma sexlaterale compressum , cujus aut fl) quatuor latiora et duo angustiora sunt plana opposita , aut b) duo latiora opposita et quatuor angustiora; vel in C) prisma octolaierale compressum, sub quatuor ri bus et hensum , quatuor angustioribus planis ut contigua quaeque duo angustiora alternatim se latio-. ita compre- latiora duoque mutuo excipiant. Ex con- tiguis duobus sive planis, unum plerumque prae alrero majorem habet lalitudinem. latioribus , sive angustioribus — Sed unumquodque aequale semper et parallelum est paitem opposite. piano sibi ad alteram prismafis RIargo inter latius et angustius 568 pîanum plernmque est obtuse tmncatus, rarias vero 'margo inter duo latiora plana, et rarissime qui inter duo plana angusta ille, aiictiis Inter- est. sitiis dum plana latiora, et inter se, et ciim planis trwicaturae adeo obtusos formant angulos , ut efficers videantur partes superficiei continuae curvatae con- vexae. Praeterea planorum situs, aciem oculi fugere solet verus propter strias et inaequalitates, se- cundura longitudinem prismatis frequentissime ob' servatas. „M a g n et parvas i t u d i n e per omnes gradus, inter exlmie grandes variant Exbnie grandla inveniuntur crystalli. prismata sexlatera et octolatera perfecta , quae raro sunt, sed saepius per coalescentiam cum et pyrite alterata, coarctata et varie deformdta. ita vero inter se tent. Haec longioribus planis suis connatae, aut quartzo Medioai- raro sunt solitariae, utplu- ter g}wides et parvae cryslalli rimuin ex parte orani angustioribus aut latioribus ut aggregata scapiformia i-epraesen- per coagmentationes prismatum breviorum cum decussata et fasciculata novas sistere videntur crystallorum formas plus minus irregularcs, quaruni superficies scabrae sunt et sulcatae, terminique valde gihberi. „Superficies lapidis plerumque spécimen compuciitm vmeqiudis , est stria ta , apud apud crystallinum laevis. 569 sempcr nia obtectd est coitice fere talcosa nigra , grisea vcl obscure viiidi; hacc cuLiciilj tenaioie, ccricuin )iitoycm monstrante, aut experte. iiitoris „ Aspectus interniis miiltum obscure pallidioris minus vel vitreus , nitciis fossilis caerulei nitens , est nitonf distinctus, vel pioisus expcrs nitoris. cerico „ Fractura obscure caerulei speciem hahet festuca- majusculanim vel minuscularum, et transire videtur ad ritm fonnam conchae imperfectam squamas fere in lapide interduin adeo pîanatam , ut , lamellosas exhibcat. Hic speciatim transitus pallidiore e jusque fractura transversall observatur. Fractura ejus prlncipaUs faciem confuse lamellosam ostendit. „ Fragmenta plerumque Nonnunquam hus acutis praedita. boïdalcs, irregularia sunt et marginl- formas exhibent rhom- praesertim in speciminibus clarius caeruleis. materia obscurior, frustulis segregatis intertexta esse videtur pcUucida fasciis nonnisi transparentihus, striis et testaccis , rcctis , stere videnlur clarloribus, quac totum fiuslulum transeuntes consi- ex mcmbranis c'mereis, micaceis, nudo oculo vix discernendis, anlequam ignitus fuerit lapis; comparentibus sub llcivo in cunt v'i ri fisso forma tum vero squamularum opacarum , lapide conspicuarum , descentes, In colore quae picturas produ- nuhosas, vmculatas, destructo simul, gna ex parte, pulc.o l.ipidis m: noires de rAc.uf. T. 17. colore caeruleo. ^^ ma- 5"o „ Pe 1 In ci d quae hruiioruDi , dens est. inteidmn nis tiansniittunt. i quartzo a, Ductilitate hipidis, quarzo m (i.umwii ejus i)hscure cacniîcoruin liiicimin liabent Non enim obstat pana est. Pondère spccifieo parum , in speciminibus maxime notabilem. „ Transi tus in lapidem talcosum duplici comparct Aut enim termines crystallorum parvarum, nigra tenaci- dilTert. viridescentibus 'la lunii- frangaliir. „Odorem afïlatu prodit argillaceum modo. , est. caret. facillime et evi- Iransparentia suut, nonn'i^'i tantum maiginibus radios sirrile fere quoininiis „ Gravitas a fitistuloium aculis.simis in „ Du lit tas as cijssiii. Viiidescentia spccimina et ,, t i obtectos , cuticu- penctravisse observatur snbstantia ser- •pentinea coloris corvino-iiigri, quae pcr fjradus insrnsibilcs in caeruleo lapide avanescit; aut ita "tota crystallus, lem pedetentim caerulea , ut ab una in parte sit comparata esse videtur nii^ra, griseo-viridem mutet , et hune colo- ab altéra parte gradaiim evadens pallide viridis, deinde magis ma^isque ad lut(um et nigrum vergat, desinatque tandem, aut in corticem nigram, aut in speciem „ Locus natalis actinoti. ad Orijcr\ i in pa- roecia Kisko Nylandiae, gubernii Tavastchusensis sila. Ibi est fodina cupri 571 vcnn antiqua, jam descita, detcctiim iioc fossile, qnondcim in noMiine i\uarHi cacruici qnam pulchi jusque , mixtum utplmiimim iibciius icccntioiibus vcnis comparuir, ad- in vcl quartzo viilgaii , vel pyritae cu- cupreo, vaiietatibusqiie sac nunciipaliim , huciisqiie Massae taici, ejiis majores tuhero- renifonncs passim ofTcnsae sunt circiimdatae cortice et asbcstina, actinoto, pentino Copiose quoque simili. mateiiave laevi ser- chloiite aut mica, sibi immixtum habuernnt pyritem cupreum, parcins pseudogalenam, et galenam plum- nonnunquam etiam molybdaenam. bi , Forma crystallina magis régula ris et claritas coloris eminentior esse in speciminibus ex vena tioribus hujus illa fossilis in recen- massae." caerulea et ftcum , : autem venis magnitudine insigniores repertae sunt Ad expérimenta nostra sius antiqua desumtis cernitiir in centigradi, selegimus frusta lapidis inten- maxime pellucida, quorum pondus temperatura caloris i6 speci- graduum thermometri invenimus esse 2,6026, repraesentante unitate pondus specificum aquae. Ante tubum ferruminatorium igni exposita mox indolem prodiderunt a natura quartzi diversam, siquidem cum carbonate sodae neque phaenomenon cffervescentiae produxerunt, ncquc in vilrum coiverunt. A borace facilius susno * 572 cipicbantiir ; ad (uit pracsUindam. pellucidiis i'uit rliombicas rnnt, eumque Rimis di\iseiunt. colorem partim llave,ntein scd partes fere partes minus pcllucidae evase- parlim obtinucrunt et in lapidis intcrjacentes servaverunt nitorcm, et sic coloïc dcstiimus. decussalim pénétra verunt, lapideni vitreus cincrco vol rubcnte conspicuae, colore lactco , opacitate , Globtilus necessaria apeito ignita phnimas ublinucrunt rimas, qnae %"ase vitrcuin cl copia niaf;na sokilionem pioJLicUis Tn qnoque hiijns scrl pallidiiis caeiuleiini, DilTracto lapide iisto, opalinura. in supcrficiebus rimarum conspectiii sese obtulertint particLilae micaceae. ex Itaqtie hamogenis nobis probabile ex quarlzo mica inter se commixtis, iisque esse quo , peracta iistione in vasa alia obtincre noa potius idem et sed fossile formatura partibus , constitui hoc fuit , phaenomena. bcnc clauso Sic enim , obscrvarem^us candefacta frustula integiitatem et liomogeneam apparentiam servaverunt. Color tum in obscuiiorem: grisèo-caeruleum con versus fuit, diminuta luciditas Propterci\ esse et nitor existimamus , vitreus acquali in cencum probabilitate pel- mutatus. explicanda phaenomena diversorum colorum atque rimarum visi cum lili bilium ex acris ad hujus partes in materiam lapidis intcriores, actione , pateret per ûssiuas adiius^ 573 Fissuras in Lipide, sub ustione oitas fuisse censemus, desîmeta ex paitim cohaeienlia caiiindcm dilatationcni vi eiiiptione paitieiilarum aquae , erystaUinis occnliatae , pati ignis riato vi ignis inaequalem ponderis gradu et ponderis amisit , in partim ex inibi pailler ac in salibus ad fbriiiam claslicam rcin ignc no- jacturam eamque diversam pro va- tempore ustionis. centenarius la- Sic qui ad rubedinem ignitus nonnisi pidis , per tiansmissi, Observavimus enim hune lapidcm dactarum. tabilcm paitium ignis ae^^ie dimidiam libram. igné ad fundendum fcrrum sufficientc candefactus, très libras eu m quadrante perdidit. Observa» vimus porro, minus detrimentum capisse lapidem repetitis vicibus ignitum interca et diuti.usque ureretur; in elausis videntur, et perureretur refrigeratum , minus, qui vasis. in quam qui semel quam qui apertis , Quae phaenomena indicare ab admisse aeie recuperari partem ponderis per fugatam aquam perditi , sive aquam ex per accedentem aërem comjniini- alTectione sibi magis fixam in lapide Indcque concludimus , quantitatem aquae cata. Iieilitho conlentam certiiis excedere très in fieri Stein- centesimas hujus ponderis partes. Pro experimentis seqnentibus lapidem triturando aqua, in de^imiis. cum mortario achatino ad subtilissimum pulvercm re- Sub trituiatione senLieburaus odoiera^j qualis ex . 574 humectatis corporibits fovent , tLttim compaiLiit cincieo diis Ad singula expérimenta tes Ipse piilvis habemus, oxi- adliuc liumi- colore, siccalus feie albiis cxasit. ejus centenarinin adhibuiimis do- qiiam pro uni- sive octavani unciae partem , cimasticiim , tare fenum paium qiiae iiigillaccis, cxlialare solet. nmiieris integris vel decimaiibus significan- pondéra aliarum substantiarum. EXper mentum l i n) Pulveri lapidis super fundeban tu r quod mox di nuiiiatici, na elTervescenliae flavescebat, et, 17| pondéra jii vante calore, sig- producebat, odoremque dum, illi similem, quem aci- excitant vapores nonnihil foeti- acidi muriatici sub dintina digesti- cum gase hydrogenio mixti. one saepius evaporata maxima acidi parte, spis- situdinem Milita kito, agitatiis, mellis Liquor, contraxit , et aqua dilutus decantabatur colorem e viridi fuscum. e piilvere albo non so- qui tandem sulTicienter elotus, in tUtro chartaceo col- lectus et siccatus dimidium circiter lapidis pondus habuit. cum sub Antc tubum ferruminatoiium, crtervcscentia solvcbatur in globiilum vitreum pellucidum, carbonate sodae, cum acido pliospliorico' in globulum opacum, proptereaque indicavit, omnes fere ticum e conjunclione partes solubiles, per acidum silicae subtractas fuissse. rauria* 575 saporem Soliitio 6) in lingiia excitnvit acidum, dul- cem posteuque austerum. Pnxata, per carbonatem potassae, Insuper ad- acido abundcjnte, liiteo conspiciebatur colore. carbonate , dito praecipitatiim exhibuit flaventem , quod , decantato Jiquore, dilTcisiim , in filtro valde colligebatur et aqiia elucbatur. Superficies ta liquoris aquosi ita obtenti aeri exposi- tcgi videbatiir pellicula teniiissima. Ex eodem, super c) ignem collocato, secernebatur pulvis albus, qui lateribiis vasis ab addito acido sulphurico, adhaerebat, et centia solvebattir, facile cum eflerves- liquidum producens sapore sulp- hatis magnesiae distinctum. Praecipitatum d) non phnrico totum fere sensibiliter verem album, sapore siccatiim ab instillato acido sul- mutabatur. Adfusa evaporata iterum aqua parte, demisit pulsubtilem, deinde in massam granosam initio hujus , Restituta dulci austero peradditam aquam , praedita supernatnns vix mutabatur solulio, Admiscebatur erat. ammoniaca pura aquosa, quae subflavum Liquor vero aqua, pedctentim solvebatnr, liquorem exhibens non coloralum, qui, coëuntem. (6) a ipsi dejecit pulverem. solutione potassae aqua suffîciente purae, vcl carbonatis potassae. e) elotus, Pulvis per digeiebatur ammoniacam dejectus, cum decem ponderibus carbonatis ara- 5-76 monicae aqua solntis, quibus nihil tradere comperieba- in Decantatus tiir. enim liquor limpidus , et ad siccitatem evaporatus, avolavit deinceps vi caloris, sine residuo. /) Eidem pulveii, aqua denuo eloto, adhuc humido, acetiim destiilatum , quod in fiigidiore adfundebatur lacteam obtinuit opacitatem, peiatura mit ^ solutionem praebens quae per evapeiationem flavo vini in minus spatium coarctata obte- in piilveiea , ad formam gelatinae cogebatur. Admixta videbatur levi dam iterum pioduxit vero cla- colore conspicuam, spuma alba gi calore teiii- solutionem, tandemque ipsi aqua tota liqui- natantem super materia fusca gelatinosa. g) totum Hocce mixtum, ammoniaca pura saturatum, mox in gelatinam Paullalim vero sccernebatur abiit. li- quor limpidus coloiis expers e subsidente materia gelati- nosa novam aquam llavente, pluries quiie eluabatur. decantato liquore, per Ex his liquoribus comniixtis et evapo- latis separari videbantur particulae ochraceae, sim collcctae et lum siccatae /lavo-fuscarum quae scor- formam acquisiverunt squamula- nitentium ^ naturamque oxidi ferri prodiderunt. h) Matcriae gclatinosae pitatae admiscebatur (g) aequalis e solutione acetica praeci- quantitas solution is potassae 577 aqtiosae concentrntae, caiisticac gelaUnam caloie omneni in qnae foiHore digestionis in liquidam solmionem converte- excepto paiixillo pulveris obscure bat , riibii. Sub refii- geratione veio nebulosus evasit liqiior, deposciitque pulvele m oc h race uni notabiliorein prae se dati qui itidem naLuiam feni oxi- tulit, Solutio hae& alcaîina i) ab addito sulphate ammonia- cae tuibata,* fugata vi caloris aniinoniaca^ pulverem dejecit album, aluminae simillimum solvcbatur enim paul- fore ab acido stilphuiico aqua diluto latim saporem aluminis inipertiebat . Veras el. calcfacto , quoque cui ciystallos octaëdticas aluminis, par addiium solutioni nonnihil potas- sae, progenuit. Consideiatis phaenominis nina tus , sit lutione in acido vanda esse ex ferri composisub so- Vestigia gasis hydrogenii, mmiatico observata actione et alu- silica eu m minore quantitatç magnesiae et Steinheilithus. ad eam hujus expeiimcnti , ducimur conclusionem , quod potissimuni ex aquae in existimavimus deri- partes lapidis parum oxidatas. EXpe r i mentum 2. lapidis cum quadruplo pondère digestus et coctus parum mutari videbatur , Pulvis Mémoires île VAcid. T. Vl. ac;di nisi 1 3 nitrici quod ad 578 snbcaciTileum ejus quibus , pondéra acidi Addèbanttir quatuor acidiis li(iiior. tici vergeret colbr, simuhic le\itrr flavrret efficacia solvendum augebatur. pulvcrcm ad muria- Cuni per diutinam digestionem et evaporationem acidi su- massam spissam, in perflui coloris flavo-fusci coivit hic, sub refiigeratione ,. in set liquor , ledactus es- solidum ex- parvis crystallis contextum, quod, aqif^ ebuUiente extracintactuin reliquit acidi nitro - muriatici tur , tandemque aqua elotus , portione gradus 60 calefacti siccatus, quidem lenis fuit, at bonatis sodae in foco Hic ciim nova pulverem album. tum , cum tubi digestus in et elTecit nonnihil minuiba- temperatura aciis ad 0^567 pondéra. Tactil aequali circiter quantitate carferruminatorii etïervescentiatn. produxit et in vitrum pellucidum coivit. Liquori, evaporatione ad spatium octo pondèrum aqnae redacto , adniiscebatur solutio sulphatis ammoniacae, quae sub refiigeratione secernercntur crystalli. octaë- effecit, ut diicae, quae scparatim collectae ponderi 3,2 aequales fue- runt, et saporem habuerunt acidum, dulcem, nonnihil acrem, quae partim in aère calido , formam et sulphate partim in piilvercm fatiscebant, crystallinam sustinebant. magnesiae ac potassae, sale mixtas fuisse comperimus. lias ferri ex alumine contaminaiis, 579 Scparato a crystallis liquori addcbalnr ammoniaca fere ad satiirationcm acidi. Dciiidc nioniacac aqcia sohitus , qui pulvctcin Hic clotus temperatura niiit et in aëiis colorem et pondus 0,1 5. adniiscebatur am- ben/.oas ochraceuin dcjecit. siccatus _ nigiiim obti- Ignitus magneti obediit et 0,04 pondcravit. Evapoiato denlque liquoie colatione separato, obtinui- mus amrnoniacae , sulphatis crystallos crant aliae, subtiles, plumosae, in ponderis 0,162, quae magnesiae, et odoie, sapore dum acre calido amaio immixtaë quibus fatiscentcs;, indicaveiunt salem acidum ben- foitius caleficrent, zoicum. EXp er mentn m i 3. A) Acidum sulphuricum, sive concentratum, sive aqua dilutum nihil eftkere videbatur Ica. Lapidis igniti limae , in ftisco cocdoncMii cuin acida sulpliuiico , lominus inde deris ncque augmentuni frustuia lapidis caeiii- per colore conspicuae , albae cvasciunt. Nihi- neque detiitnentuni pon- cepisse observabatur lapis, neque partes quasdam so- lutas suscepisse acidum. B) Ipse quoque pulvis lapidis, cuin dccuplo pondère concentrati digestus, inilio acidi sulpliurici tur. Cum vero ad ebullitionem redactum parum mutabaesset 73* mixium, 580 nîgrcscente Iiquore, porans. AcMir.i pnngentem aqua , aqua calida sokibilem. ultra septiniam Ex residao , totius lapidis antca quae, pcr crystallinam Aitatncn et odore for- hac via vis. ai-1*illae griseae simile n;uriaticum , ditlicilins quanr ex pulvere intacli vidcbantur pastts sokibiles. sciscipi C) Fulvis lapidis aqtia calida per aliquot qua, in pulveris paitem soUîtam obtiniiimus. quod colore fuit, pcr acidurn va- acicliini salinae nascebantur , crescendo massam evapoiaiioneni aqiiae , in odorem îlavens oiicbatur solulio , snb icfiigciatione, aciciilae mabant spaisit horas ciim octuplo pari aqiiae quantitate diluli. luimectatus digerebaluf acidi siilphmici pondère, Evaporata aqua , et aucto calore nsqiie fere ad ebullilionem acidi, nigrescebat liquot qnam etiam rcfiigeratiis servavir. et spissitudinem contraxit, Addito vero aqnac patixillo, ciystallos obtubit ratus in massam solidam .salinam concrevit. maximara lapidis parLein non resolutam et refrige- Adlnic tamcre fuisse deprehen- diraus. D) Subtilissimns fi) aquam ex particulis ebullitionis calore abiret aqua. spissus ad pulvis , et triplo per pondère acidi sulphurici, digcrebatur, usque quOj e%aporatione Liquor acidus obscuro siccilaLcin clulriationc adhuc granosis separatus, cum 3o-plo pondère aquae calidae in lapidis vi ij;;;nis jim tinctus colore ef 'redigcbatur. Aqua ipsi ad- • 581 excitavit calorem fusa non sokita pulverea partem et massae dissoivit. compaiens subcinerco fuit , Pars colore. Haec denno cam acido snlphmico dii^esta, per aquam tan- dem elota et siccata in 60 gradiuim thcrmo- tempcratiira metra ponderavit 0,571^ ignita 0,5 18. silicae lere purae. h) Solntiones per acidum Naturaiii sulphariciim liabuit factae , corn- mixtae evaporabahtLir, usque que, per refrigcrationem, in massam solidam crystalliîiani concrescerenr. alcohole pnlverera albnm salinum , qui cluntaceo temi)craiura inlcrvcilluin aliquot pondoiis 3,65 lis. Hiil, et in in triplo Ex solutiones hujus aquosa ncni pritnum obtinebanlur les, ad hebdoniaduin atquc vi calons qaod copiosum liquefactae. adfundebarci.r a'ÉcohoI , colloctirs Hiuc , cryslalli elotus , acris in filtro vulgaii post siccilatcin aqUtie dejecir. redactus, pcrfecte solubi- per lentam evaporatio- granosae quadiangula- ponderis 0,66, qnae ab avjua fervida solutae, adniixLo carbonate potassae , purum j dederunt carbonatem magncsiac praecipitatum , ponderi 0,22 aequalciii; , fere in quo propterea ciiciter o, o5 pondéra magnesiae purae latuerunt. c) Scparatns ab bis crystallis iiqiior, poratus coivit in ma.'-'-ain ulleiiu.çqtie' 'era- mollem' scjuamosam , sensiBiliter acidain, cujus per aquaui facta solutio, akali satura ta al> potassiic o.Xtilciie praecipitatiini dédit tassae colore siccalLim cum non miUabaUir , tcriac igné ad iiibedinem album npnnihil ac{|ualc lioc aluniinani potis^imani parleni i\iit vi LiqLior alcohblicus acidus ferri. Evaporato, fuit. ipsi solutio caibonatis po- tassae praccipitatum protulit luteum spdngiosum, cum caibonacea feni, In efficerexompeiimus, prae- fortiter Admixta parliculis caibonaceis. et in alcohole, massam piaebuit ni^iam ex immixlis caloris, catum et ponderi 0^32. teieaque nonnihil ma^ncsiae et tantillum oxidi cl) quod iLivcnlcni, conspiciebatur, tri}iplitanae tistiim carbonate \'eio po- substanlia in collcctum, elotum^ sic- ustuni ostendit naturam ochrae igné rubente in filtro quod una obscure luscae, magneti obcdienlis, ponderis o, o5. E X p e r m e n t u m 4. i a) Pulvis tallorum genteo Repericbatur parum nigra , indicavit fere carbonicum cum duplo pondère potassae exponebatur, igni cipicbat. fere lapidis carbonatis e in comniixtus, (juo omnem argtntum aquam pulvcris crys- crucibulo arJ-iquescere in- massa obsciue grisea, crucibulo coliaercns,, in quac jactura ponderis crystallisationis carbonate fugata fuisse. et sui acidum Per adfusam aquam calidam obtinebatur solutio alcalina, quae cum acido nitrico parum cflervesccbat. Liquoris ita salurati parti adstilla- 583^ batiii soliUiû nitralis plumbi, nuit. Altcri eJLisdem piirti r|iKie limpiditateni non demi- admiscehatur solutio sulphatis ammoniacae, ex qnn lactesccbat, palvcremqiie album ad fundum quae Hic pulvis scpnratus , nonnisi sulphurico suscipiebatur , alumen vasis demittebat.. paitcm cum eodem solutione plumbi ab acido Ex his phaenomcnis vidimus, in pioducens. alcalina oxido nullam latuisse substantiam quae cum solem insolubilem piogignere potuisset , luininae veio et silicae tantum adfuisse deteximus, ut a si- mul sumtae ponderi o^OiS acquarcntur. b) adhuc Pulvis ab aqua intactus , pioduxit acido- muiiatico' sensibilem gasis hydiothionici. inde extractae Quum , per fera niger , calorem coctionem cura odorem et cum^ aqua, essent partes solubiles,. restitit pulvis ni- giicans, qui' elotus et siccatus pondère effecit quinlam la- pidis Hanc partem. habuimus, sedi mox pio parte lapidis non mutata' observavimus ipsam nigrum colorem né scrvasse,. cum in ig- borace abundanle in vitrum pellucidum non coloratum; cum minore boiacis quantitate vitrum obs-cure tinctum produxisse, fenuminatoiii diutinam tenebatur,. non coctionem ponderis, ad carboni, super quo in foco tubi modum cum adhaerens ; acido muriatico eandemque per dimidium sui ipsius lapidis peididisse, et rémanente pulvere albo, solutionem obtulissç viiidescentem, ex; qua^ 584 per alcali pinecipilnta vergens , Si^mm pulvis oblincbiitcir , in fla\''ens, uy- nnUirani et originem, alla occasione cujiis propiiis examiniire nobis proposiiimiis. Solulio, r) (joam ex lapide ciim potassa usip et eloto, per acidinn ciqiia impetravinids , evaporatione muîiaticiim in gelatinam eoivit, qna ad siccitatem redacta, pér aqiiàni et acidnm mniiaticiim extracta, pondéra silicae, €t silica, vuli^arem , obtimiiinns indicaverunt dica'vimas obtinnimus 0,448 quae per ignilionem ad o,3']6 icdncebamiir, d) Se{:)aiata tassae residiia feirnm sohitlim per prussiatem po- sive fcrro oxidato onustiiTn , 0,27 pondéra 0,045 pondéra o,o5 7 pondéra prussialis fcrri ferri ferii, metallici. in toto dejeciimis, quae nobis Ex quo jii- lapidis pnlvere iatuisse. In rcsidua solutione muriatica, per phaenomena scipia -memoratis similia, ^kiminam adfuisse intelieximiis et raa- 'gnesiam. EXpe a) Pulvis îapidis, )• i ment u m 5. cnm sodae^'aqua crysrallisatîoms btilo platinaceo Igni (inadiiipîo priv^ati, expositiis pondère carbonatis commixtiis, in cmci- convertebatiir in massam opacatn, albam, n )nnihil flaventem, quae ab acido nuiriati- co dilulo sokiLi, iactd evaporatione, forniam contraxit ge- 585 Haec latinae. cum aqua acido clic;crcbalur Remansit pulvis aciijfa. tico siccdtn silicae albiis, ciijiis miiria- pondus, post siccationem in temperaUna aëiis aestiva aequalis fuit ponderi 0,6776 post ignitionem vcio nonnisi 0,45. îiydrothionico plane opaca in cum de, ex qua saturata , Ilic pulvis, atruin_, filiii subtilissimum, val- ope, a liqiiido separatus siccuni evaderet, in ochraceiini. nem aqua calida acido vase bcne clauso in paullatim mutavit prinio aé-ie potassa alio tingcbatur colore et Lentissimcque, evasit. spatiosiim. coloiem -admiscebalur deposuit pulvciem servatum, de mmiaticae Solutioni 6) in lividum, dein- Post exsiccatio- elotus, iterumque in temperatiira aestiva siccatus aequivaluit ponderi o, 735. Foititer vero jgnitus reductus fuit ad pondus 0,336, tnm et particulas ochra- ceas obscure fuscas, albis granosis immixtas exbibuit. c) fuit, ex hoc praecipitato colatus mox nigricans Liquor dcinde, accedente pidus^ expers coloris post in aère, claruit, tandemque lim- evasit. tcmpcralura ignitionem vero aeris ponderi ab acido niurialico lentissime, batur, Perficicbatiir cum additum Per additum oxalatem po- copiosum demisit pulverem album, qui post tassae tuvbatus perfcctam ipsi esset siccationem ponderi 0,18, 0,09 aequalis fuit. Ustus qua paitem tantum, solve- cjus solutio ju vante digestionis calore, acidum sulphuricum aqua attenuatura. Mémoires de rAcad. T. H. ' - H 586 tnmcn qiioqne rrmnnsit ccus , c[im aciciilis nonnrllis gypsois inixluj ponileris tir- Sic r\i\<^mi? piilvis insoliitns o,oo5. citcr d) l'qdorem ex ''l'.iiidcm piMocipitiito oxnlico colatione séparât uni per caibonatem potassae diiimcndo, piilvcrem pallide Kx hoc e) per sulphuiicum aciduin exliaximus avant silicea quia muiiaticum , feni , sic commixto (6) qnac praecipuae obtinuimus residiuim qucm pro ter- per inquinamentiuii quoddani rubente, cum carbonate sodac nem igné ju\antc calore, roscum, pondcris 0,018 li.ibuimus, formare vidimus, praecipitato Atque partes. subh'lrni cum et qui reducebaUir. oxidunique ahiininurn utritisque pulverem pulveie obtiiuiimus 0,076, pondeiis flaventeni ad pondus o,o5 •candefactris ra n"]i- euni facillime vitrtim pellucidum igné quidcm fla\ens, post refrigeraiio- in vero coiore destitulum. Itaque cx phaenomenis hujus exporimenti conclusimus silicam in pulvere lapidis contentam, partes cjusdem 0,47 3 eflecisse. ¥a cum ferri tatem metallici ex expérimente 4, pondus in praecipitatis qualcm ponderi fuisse o,o57, (d) intelligeremus ejus oxidati quanti- experimenti 5 supputandam esse ae- 0,073 judicavimus. Proinde esset pon- dus aluminae aeqtiale ponderibus 0,336 -\- o,o5 — 0,018 — 0,073 secundum zz: 0,295. IMagnesiae quantitatein , 587 expeiitncntnin 5 (c) , cxpriincnduiu esse pondère 0,o85 •censenuis. llis partes considciiitis, constitutivas Stcinheiliihi exponiiuus, ut in ccntaraiio lapidis sit ita silicac libiae 47,3 aluminae 29,5 mogucsiae S, 5 fcni 7,3 oxiclatl Dcfectum ponderis ex jactura partium fiigacium, . poiissimum aquae, deiivandum putanuis 7,4 100,0. Fcnviu, qtiod ceitius minimo gradii oxidatum in lapi- de adest, propterea non vidctiir tantam ibi efficere partem ponderis, quantam in hac expositione ferro oxidato tribui- cum ad iïdem pronum nnis ; sed eu m ferro sive magis minusve ad naturam radicalium suoruni inflam- conjunctas similiter sit , esse in ceteras substantias lapide comparatas, mabilium propinquas, ponderaque singularum terrarum dem non cadem refaclis ta fuisse, ibi- ac quae in segragatis et igné tor- partibus inveniuntur ; existinianius, per expérimen- anahtica nonduin exacte salis defmire posse veram ralionem pondciis singularum partium. Aquam notabilcni mus ex tentaminibus in efficere hujus lapidis partem antecessum jam memoratis. H* vidi- Utium 588:. vero omnis defcctus pondeiis in partium constutiva- série rum obscivaLus, dcpendeat ab aqua sola, in lapide aqiiae in lulto vero minoi- ris 60 gradiuim ..it, candetacto etiani paitibus copia sic quantitate segregalis et ignitis quae substantiis in temperatura ca- lapidis illa longe ciijus esset majoi- siçcatis adhaeret, residua, nobis non ceito con- cum expérimenta nostra indicent alias praeterea sub- stantias volatiles in. lapide occulta tas esse. Sic odoc foetidus^ quani acquisivit; aciduni muriatictini cxp. en m piilvere lapidis digest;Lim^ et niger color aci- 1. di snlphuiicL cuiii eodem fortins celcfacti, exp. 3. indi- gîtasse visî siint praesentiam, substantiae oleosac vel caibo- naceae, similiteique odor hepatius cxperimenti 4, (6) prae- sentiam diiri SLilphuiis^ non potiierint quamvis propter nimiam exilitaiem Dubium quoque heic vestigia pertineat, vel nobis adhuc est, annon calx, cujus nonnunquam reperimus ad ipsum lapidem utrum polius aut ex peregninis substantiis immixtis venerit , fossili nostro nostris expeiimentis insinua verit. forte aut aliter Quamvis ceteroquin analysin jam descriptam nott nu-^ hae substantiae. omni ex parte perfectam^ et, sese sub ,. tantum per congruentiam pkni- um experimentorum. variis viis institutorum, quodanmiodO' 589 confirmatam esse putaiemns > postea tamen dcpiehcndimns aliquani satis ejtis concclioneni necessaiiam esse, proptcr non perspectam naturain materiae in piilvere rubio nobis expeiimenti 5. Hcinc enim, cujus color ro- hacrentis. (e) sco-riiber peciiliarem poposccrat attcntionem, Gum admodum .cxigiia nnllis adluic cmsim tantum, ejus nobis supperesset quantilas non- subjicientes periculis , sequentia deteximus phaenomena,.. j) In. igné ad lubedinem calefaclus coloiem roseum suscalefaclus, super carbone praeseitini liniiit. P'ortias in foco flammae reckientis ante tabum, ferruminatorium, obscure grireus tandenique nigricans evasit». 2) Cum carbonate sodae in mma reduccnte fusus ni- fia giLim prodiixit vitrum^ ia foco oxidationibus apto co- loiem bus fere perdidit vitreus, et pelluciditatem. acqiiisivit glo-- Hic^ ex addito fiListulo ferri metaliici, viridem; contraxit colorem,. pellucidusque mansit. que mutala esse videbatuc 3) • 4) Cum borace superficies nitida similiter fere scse habuit , Ne- ferii.. tardius vero- solvebatur,, vitrum. coLoiis expeis pioduxit.. Cum phosphate ammoniacae globulum: produxit lacteo colore tate conspicuum, qui ex aucta fere pellucidus frebat.. phosphatis quanti- Ferrum. cum hoc globulo. 590 cnndichir.i iT£;uhini fLiSLim vix mutato aspcctu 5) Ab acido niliico colorem non phosphorei piogcnuit, non mntabntnr. vjtii. fiii;ido digeslionis nonnullas vini fcni flavcntis et acido tamen Ipse impcrtiit. piilvis ncque qua colotcm nuila- minLiebalur, sensibiliter emisit, biilhilas aciieas calore Tn batur. 6) Acidum muriaticum cfficacids ageie videbantur, continuae leae taiDcn rauïiatico tate dii^estionem pulveris, adhuc sustinens, in ximus ejus plurimas snbflavo colore in 7) pulvcre e cum niassani in illis vi caloris bnlltilae emanaïc cernerentur, aë- At- quidcm destruebatur, cum nonnihil paliidior specifica ratus nilro-niuri.itictim , color pulveris ne sic dintinam cet et li- copiose addito acido Ex majore levi- ficret. qui spatium initio occupalum liquore jam partes natavit, ciitelle- fere solcitas laevitcr tincius, ad fuisse. Liquor siccitatrm evapo- salinam praebuit, albam \el subilavam, aqua solubilem. Acidum sulphuricum aqua ailcnuatuin inox non visibilem, ex immissa pulvere subiit nuitationcm, cum vero, vi caloris maxima pars aquae avaporassct, rufulum obtinuit tinctum liquor acidus, nondum vjsibiliter mutata (|uanlitate aut colore pulveris. llic tandem^ cum diulius for- 1 59 tiii?r|j]p Ciil' fieirr licjuor, eo ipso obscure rutilas ii!f|uo ipse (juo(]iic obsctiiioiein e\"ii(i(-i('t , nigio-fusciim obti- colorem, mdqna ex p.nte adluic non solutus. nuit Acidiim })hosphoriciim ab aqua soIlUumi ciim pulvere digcstum anlcquam ad siccita- 8) tem rcdactum Ex lit. cniccre niliil cssct. hac , Tum vero massa m nigram obtii- aqua exlrahere soliitionem qiiae vidcbaliir vis grisco-fuscds flavcntem piil- saporem habueriint sty- (5,6,7,8,) piicum, plus minus aciduni. Per ammoniacam turba- tae praecipitata dederunt alba, per Remansit dederunt. non solutus. 9) Singulae solutiones subtilium , valait parles salinas, vel subflava pulverum prussiatcm potassae caerulea , par et tincturam gallarura flava, vel aurantii colore in liquoconspicua. re Ex his purae ncq'ie oxidi que pulverem illum roseum ncque patuit ferri proprictalibus gaudere. affeciiones ejus quadrent sui ejus gcneris mclius substantiara. expeiimcnto 4. quod ex tiones illa indagata [b) Ex Cum ne- cum indole ullius alfi nobis hucusque cognitae substantiae, ponere naturd silicae fuerit, licebit, novam similiiudine iisque quo illum efficcre phaenomeni in memorati, dncimur ad eam sententiam, quoque substantia orlae massae nigrae, sint peculiares afTec- acida difficilius subeuntis, quodque 592 ibidem inferiorem per grum massae oxidationis gradum ni- igné tiactatae, et viridescentem soluiionis in per acidum sint, supputandLim esse videtur pondiis dio massae et colorera niuiiaticiirn illiiis factae Haec produxeiit. si ita ejiis aeqnale dimi- nigrae, sive decimae parti totius lapidis. Qiiiipropter demtis ex ponderibus silicae, aliiminae et fer- supra exhibita, ipsis nimia attribuimiis, li, quae , in ita exhiberentur partes lapidis constitiitivac, ut ex cente- nario minae cjus 23 , série educlae sint silicae ciicitcr librae substantiae novae adhuc magnesiae 8,5 et ferri oxidati 5^6. oooooor^ooooo 45,5; problematicae alii- lo, 593 A R U N D O W I L H E L M S l r A UCTO RE LEDEBOUR. Coiivcntui exhibait die a8 Fcbr A. pcniciila striera doisali i8ib". patuLi, calycibiis acutis bifloiis, arista letrofracto-divancaLa coiolla lonijiori, pilis coioIKim aequantibus. Hab. ciica 1 iflin. Ij. Radix Culmiis (in speciminibus sesquipedalis ) simplex, erectus, teres, teniiissime striatus, glaber, ad pani- CLiIarn nostris fere ùsqiie foliostis. Folid spaisa, versus apirem remotiora, vaginantia, praeser- tim supeiioia cauli adpressa , acLiRiinata , scptem - nervia , Janccolato - linearia, niargine et in pagina supeiioii scabriiiscula, subtiis glabra, i — 2ï lincas longa, siiperiora sensim minora, Faginae Sïiictac, glabenimae, foliis mnito longiores. Ligula exsoita, truncata, lacera, culnio aicte adpressa, latcribus drcurrens. Panicula crccta, siricta, palula, 4-^-6 uncialis. Mémoire! de rAcad. T./f. "7 5 594 Rhachis teres, flexiios.i, glabra, striata. Rcunl erccti^ tenues, flexuosi, structura et supeiûcie ihachidis ; infciiores pleruniquc unifloro, duobus 3 — 5 floris altero unifloro, ni, altero ; unico terni , superiores gcnii- 3 — 5 floro; summi solitarii, Spiculae biflorae, riis, pedicellatae; pedicellis apice incrassatis, violaceis. Glumae calycinae violaceae, nitidae, rior longiludinc va- inaequales; exte- lanceolata, acuminata, valde carinata, margine membranaceo - pcllucida, integerrima, iindique bra; interiori duplo majori , acuta , margine mem- brana lata pellucida cincta , pauUo lacera, valde carinata; carina vix aut ne vix Floscull calyce paullo nudo , vel gla- minores , pilis quidem hispidula. aristati ; rarissimis , inferiori sessili, brevissimis qiiandoque suiTulto ; superiori pedicellato , celli pilis sericeis , affixo lateri pedi- coroUam aequantibus undique obtecti. Gluma corollina fida; exterior violacea, lanceolata, laciniis vario modo versus apicem serrulata , usque scabra ; interior flexis; apice bi- margine diapiiana, carina a basi ad minor , albida , aristam diaphana. 595 apice intégra, margine versus apicem scrriilata, cari na Ansta glabra. gkimae e carina exterioris paiillo snpra médium provenions, flosculo paullo longior, rctrofracto - divaricata^ subflexuosa, Ohs. 1. Calycibus bifloris ciebus differt , hispida, apicc tantum glabra. ab omnibus hujus generis spe- excepta solummodo A. bengliaîensi Retz, quae etiam spiculis vero diversissima Ohs. 2. In caeterum est. lionorem Wilhelms'd , assidue incumbit, bifloris gaiidet, qui plantis investigandis nomen dedi triviale. Explicatio tabulae XIX. a. Spicula magnitudine naturali. A. eadem magn. aucta. h. Calyx magn. naturali. B. idem magn. aucta. c. Flosculus inferior magn. naturali. C. idem magn. aucta. d. Flosculus superior magn. naturali. D. idem magn. aucta. 75 DISQUISiTIO DE LIMÏTATIS SALIUM PKOPOKTIONIBUS, K\ COMPOSITION'U: A G A D O L I N. /. Conventui exliibuit die i3 Nov. 1816. confcsso In vires, cinituii coni'inia non in - laro ftiit invicem adliaeiescunt sibi an ex variis vires, corpoinm diveisimode caiissis de coiporum a universali , mine appellatam , in immo per 'inter Sic singulaies ceterasque minus efiici propensiories conjtingcndi , se propter eanderii coiporibus iibi- explorari summo Neu'tono systema dissitorum dominaii candem' vim, mutaiiones. commixta dependeant lecipro- multis visum fuit, guis, et appetitiones, sicoruni nondiim poluit. Post stabilitiim gravitate , Utrum vcro eaedcm coniposito disceini nequeant. cae corporibiis in iiniuntnr nt praecipiiae singiiloium aiTectiones ita que agant esse insit.is , quibus distantia ad mutuam trahuntur vi- iiniveisis , diidnni propinquis plurinias probabile attradionis no- atqne conti- corpoium mixtoium variaium substantiariun sese aliasque e societale paitium minimarum figuras, cognitas conditiones , excliidendi, densitates specie tantum ab 597 corpaiiinj altractione et Torhenio Bcrf^iuan ipsis univeis.ili nomen attractionum chcmicarum socids sibi cligcndi. Alii peispecta veriint quia incerti ftiit vero, ad tribiicntes^ et quidem substantiis optia qvos hodicrni ferc oni- de identitate caL>ssjinin, ubi non efTeclniim similitiido, offimtatcs nuncupa- siibstanliaium sese chemicc conjcingendi, facultatts affines eas optime dici existimavciunt, petiint Buifon chcmicorum, p.juci videretiir phuibiis cuni data nes accr'sserunt , ])raeiintibus censueriint Juu)d , electiuarum, satis dilTerrc, socictatam. Horum exemplo quae miuuam rcceptas jamcfiidum denominationes, utpote minime ambigLias, et caussis quibuscunqiie conjunctionum convenientcs^ nos quocjue in sequentibus adoprabimus. Gallomm Celebii abhinc inter varias substanlias, tiira singulaiiim quidem seniori , esse seculo affinitatnm, chemicariim, quariim le^es a na- mateiiamm definitas, jadicavit. Contra proptereaque semper sententiam ejus mox vaiiae objcciae siint observationes, quibiis affinitas substanliaium tatibus, Geoffroy primam debemus expositionem vigenti constantes chemico qnas, siipcrari interdiim videbalur ab aliis aflfini- secundum praesciiptiim ordinem vincere debe- neque dcfuerunt , qui , phaenomenis artentius consideratis, anomalias illas, salva theoria GeolTroyana ex- ret. Sed plicari posse autumaient. Cumque in série affinitatum 598 cxlcndcnda et varia ratione cmendanda plmitni jam occu- tandem de pali fuissent, ipsius doctrinae veritatc, tempore Bergmanni nulla superesse videbatur dubitandi ansa. Ostendit namque qiiae illustris pro vir , simplici sacpiiis efTectu duarum subsiantiarum habitae sunt, ut attractiones , easdem et denique, sis difficilius,, variiibilis tatis quod ex nobis agentium nuituo se in pluribus simul viribus, per a dùpUces vel quod 'firmitate différant diversa nexus advenientibus caus- interdum facilius, in- afTines interdum plane multipUces, proportione conjunctas ; variis extrinsecus ut duae substantiae liai, tcrduin substantias ut conjunctiones, electivas Docuit, durant. oiiginem inter dixit , evcniie , non appareat celeroquin coëant ; sibi indcque constans affini- vis. In partibus salium constitutivis luculentius bi conspicui elTectus affinitatum fuercint quam chemicarum. ali- Aci- da namque et bases salium, quae seorsim considerata manifestis distinguuntur charactcribus, per conjunctiones justa propoitione factas, quibus ter salia progignunt neidra s. snturata, m plene delitcscunt notae propriae substantiarum in- se sociatarum. Peifcctum igitur ibi adesse crcdcbatur aequilibiium viriura oppositarum, quarum mensurae ex indagatis quantitatibus partium , inveniri possent. In salia neutra constituentium corpore cnim quocunque homogeneo 599 non polesL non eadem esse alTectio singiildrum molcculiirum: propterca molcciilaium corporis acqualis viiibus omnium simui sumtiSj et inde orilurus elTectus tanto majus quanto major , tolius vis erit molecularum pondus corporis ex multitudine sit Si itaque datus sit , dcrivandum. ad qiiem tendant vires, elTectus, ad hnnc producendum tanto minus corporis sufficiet pondus , sive tanto minor molecularum multitudo, quanto mdjor singularum vis quidcm neutris in basibus , et eandem vim ad vis chemicis, rie inler litate, cum se secum Quae vires. basi constanteu aequales ex singulis sententia confirmata fuit animadverterent, neutra pleraque salia va- mixta partes suas constitutivas, salva neutra- peimutare posse; basium , alii aequalibrium desideret acidis vi sese diversis oile- ex unaquaque propterea si aequilii)rium poscat, et si pariter data quae- ad basis , Acquales crunt saturalionis elTectus, salibus datum quodvis acidum data ubique rat fuerit. sufficere et quantitates singularum quae datum unius acidi pondus saturare valent, cuicunque acido saturando, quod cum una basium sal producit neutrum; similiterque quantitates singulorum aci- dorum, quibus data potest basis, aequale cujuscun- satiari que baseos pondus saturare. sint omnium acidorum ad um basium Posito igitur, singulas bases, quod aequales ut cliam omni- ad singula acida saturanda necessaiiae vires. 6oo erunt vires moleciilaiiim^ sive acidomm aiit ba- sium, quibiis satmatio ciim data basi aut dato acido efTi- pondcrnm ratione citur, in tiario affinitates iifllnitates inveisa ; illoiani dati cujiisqtie acidi e at(|nc con- aut bascos ad diveisas bases vel acida in ratione dirccta ponderum, quae ex his chcmiconim pkires nixi hae exacte defmirentur, niis proportiones parlinm determinandi quantum vere activis , salinis haerente maxime satcgerunt relativas Scd quomi- exprimendas. vix opinata difficultas obstitit salibus accnratc indagandi , i\\ pondeiis tribuendum quantum ex aqua Qua vencrit. vohicrunt investic?;are nnmcris quaniitales ailinitatmn lîoc fundaniento poscit illorimi altcrum. saturationem ad in re célèbres R. sit inelTicaci enodanda p.irtibus ipsis infdtigabili Kmvan et I. B. sivc ad- studio Ricliter. Rkliter fusius quam ante quod Siilibus neutris constantes sint proportio- trinam , in se ullus eam exposuit doc- nes et acidoruni, quac ddtuni basis cujnsdam pondus saturare \aknt, et dère saturanlur. si plurium lexit, basium, quac a dato cujusque acidi pon- De veritate horum axiomatum ex analy- salium pervasus apcrtam sibi qua computando inveniret quantitatis quoque salibus, accuratius intt 1- partium in iis quae per analysin chemicam non pctcrant investii;ari. logis divcrsorum viam esse salium se homo- iisdem invc- Comparatis vcro intcr parlibus , miras in 6oi piitavit harmonias, niri nempe pleroiumqiie ad ddtain exprimeientiir pcr séries acidoiiim sariae , qiiod quantitates pondcr» s, basin saturandam neces- numerorum invicem continua in omnino deincepg non propoitione geonietiica Sfquentiiim, et satuiantium per séries numerorum arilhinetice proportio- in ordine acidorum mineralium volatilitim nalium. Sic se basium datum quodvis acidura quantitates primum locum occuparet acidum fluoricum, cujus quantiper c significata, essent quantitates acidorum muriati- tate ci, a^quales terminis aV, cd\ c(P apud sulphurici et nitiici alkalium salia basibus tia, sed terminis cd'^, terrarum alkalinarum gauden- vel cd^,cd^° apud aluminosa, ubi salia esset quantitas constanter eadem, variante turam in et cujtisque animalium , praesentarentur mici , basées; iiidcm d esset ubi pro vaiiaret ; baseos ammoniarae quantitatae z^ a, mina potassae ir:n-f-56; zm a strontiana et magnesia rra-f-96, perspicacitatcm carbonici zzz c, re- in et et per frf^ cd*, cd^, constans , ordine alkalium , in c vero posita sodae zn « -j- 6, esset quan- oïdine terrarum, positis alu- baryta 19 b. Et cum ad Bcri^uuuuio detectam, r:z a -f- Icgem rra-r-36, esset caix zzia-j-'b, icdegisset Mémoins de VAcad. T. VI. tartarici ciirici, cd", cd'*, fc?'^ rd"^, titas acidi quaniiiates acidorum sebacici, oxalici, for- succinici , acctici , naluia secundum na- ordine acidorum vegetabilium quantitale posita e. d a "7 ^^ 602 quod ex singulis datum acidiim metallis qualis pliloglstl qiiantitas extiicctur, sive, nomcncLiUiicic tioris oxigcnii aeqiiali acidi paritcr acidum :=z u ~{- a et conjiincta ut eam salibns ia sufficiant , nietallicorum , ae- idioma loquendo , quod melalla cum qiiantitatc productis sntiirantibus seccmdum recen- esse ad satmationem dati per metallicis datum lationem oxidorum perliibuit positis quantitatibus oxidi niccoli :zz ?<-]-« -f- 6 manganesii oxidi essent oxida feni u -f- a -f- 2 h, zinci u -\~ a -j- 3 b, cupri u 4- n -f- 46, chromii u-]-a-\-5h, antimonii u-i- a~\-gb, cobalti a u-t-a-^ i5b, stanni u-\~ n-\~ i6b, auri titanii u-^a-\-20b, bismuthi uianii t^-j-n-j-- 26, u-]-a-\~2gb, arsenici + a-f-146, pLirini u-\-a-\-ilb, telluiii u-f-a-l-246, u -\-- n -~\- 32 b , plumbi U-f-a-i-366, argent! u-|-a-f-386, molybdeni u-\-a-\-6/!\.b, hydrargyri u -\~ a -\- "job: oxygenii, et ita repraescntantibus a, a-\-b etc. pondéra u quantitatem ipsorum metallorum, compârata, ut pro quocunque acido eadem valeat pro- portio inter u, a et erit, essent quod in Ncmini quideni praetcr opinionem systemate recens condilo non omnia statini exactissime subvenientibus 6. determinata , expcrimentis , quod varia séries latione suas , novis erncndatiorcs rcddere conatus essct Rlchter, atquc quod numéros ex observationibus desumtos saepius corrigendos esse duceret, ut perfecte congruerent, quae propter errorcs in experiun- 6o3 do vix evitiindos discrepare visa per adco multiplicein experientiam siint At phaenomena. conlnmata ipsi vide- bantur sna enuntiata, ut novis intciea dctectis acidis, bametallis ceitius assignaret locum, sibns aut bus jam dcfinilis occtiparent , et alias quem in substantias praesagiiet, quae vaciia snpplerent in Observaverunt autem recentiores , intcrvalla. hodiernam exactitudineni chemicam lysin , invenerimL eoinni haud pauca tantum facta coricctione, JLista ex canssis subsisteie phaenomena Gommunem In quod nonnisi tur composita, superflua finem citata repetentes a vero deviare, ut, ctim neque iillnm ejus adducti fueiunt opinionem, satuiata, per affinitates cbemicas^ producerenet quod in salium formatione vix ullus ex acidi aut baseos parte oriretur effectus, vergente seculo practerlapso tus, nullibi adeo valere pronitatem L. mutuam de novo perscrutari studuerunt. plerique C. tius illo qui experimentis mus ad nondum ad cognosceretur fundamentum, omnino natiiralibiis dcserendam esse judicaverunt , institutis sericbns nequaquam possit laudata qnam proinde, seriemm doctrina ; iii tempoie Richtcri pervenisse ana- expérimenta ab et seiic- adhuc detectum BerthoIIct, cum, ad statuerez perspicacissi- cgrcgia experimentorum série duarum substantiaruin saturationem, ut prorsus inefficax addita alterutrius quantitas, sed suiTiil- sit abundan- facnltatem substantiae 76^ 6u4 cnlusciinqiie tate sccnm iiliuni non minus quaiii ab iidhibita sui quanti-' li^tiiidi ab Ostenderc (icpcndcrc. alTinitate conatus est, nuncjuani non cvcniie, quod antea quoqiie in- tcrdum alii obst rvavcrant , ut ad alterain piacdita, quam teitia totum sejungere non \aleat, pia, quam quae ad formandum alla pcr sibi \'i duobus aliis sibi pro ratione et dividatur. stantias Autumavit affines in illa corpora in sub- quaniiLatuin materiei agant, ficri vi et alias afiinitate inaequaliter affinitatis altéra afiinitatum atque vincat , addita cum cum singula Itaque semper debere, ut substantia copiosius longe majore addatur co- mixiioncm applicata , propiiarum, et sLinîiis nisi eidem prius sociata, hanc coinposituin saturatum nccessaria. sit majore affinitatc substantia affinibus simul corpus expositum utriusque inter ipsa conjungi proportionibus superiores unumquodque ut et quantitatis igitur sibi duas sub- infinitis , nisi posse numéro proptcr accedentes caussas percgiinas efficiatur, ut in data aliqua proportione sociatae e contactu reliquarum partium commixtarum subtrahantur. Et hoc quidem ex pluribus corporibus communi menstruo liquide lutis, nonnulla ita in fieii , qiioties so- comparata evadunt, ut aut vi calorici praesentis formam obtineant aëream , aut cohaesionis viri- bus obediendo, solidam acquirentia formam menstruum deserant, alios ut taceam casus. 6o5 Novii tcre doctiina, qn.ie Bcrthollcti vidcb.itur hucusque iicccptJin primo fere intuilii siibver-, omnibus theoiiam chemic.num mullos nacta est adversarios. Asser- affinitatem lionem ejus de non limitatis substantiarum conJLinctionibus conciliari natuia non posse piitaveiiint cum examinibus coipoiiun vel arte compositoriim , constiuitivarum pailiiim portiones invanatas inaverunt ciystallisationes aliasque oiiiindas conditiones , plerumque pro- ostendenlibiis. Existi- ex cohaesione niolecu- quas BerthoUet pro impedi- raentis habiiit, quoininiis in qiiacunque propoitione formen- lur connnbia, non lariim esse caiissas tiarum mutuae ad versantes, peiegrinas actioni substan- sed potius ipsariim ai'finitatum Contendunt ergo hodieque plurimi, conjunctiones elTectus. substantiarum chemicas saepissime ea ratione fieri, ut mutua succédât saturatio, et aberrationes ab hac régula, quae in salibus, imperfectis olim, tis, rum e. s. p. unoquoque obveniunt , composito termini, inter quos vim hodie acidis aut haiicis appella- sulphuretis quibusdam, in in hujus ita oxidis semper esse constantes pluiium metallodefinitas , intermediae frustra quaerantur. argumenti iit in reperiantur proportionum infringere censuerunt Neque vulgarem ex- perientiam de solutionibus corporiim, quae per gradus indefinitos successive distingvenda esse peraguntur , talia cum perhibeant phaenomena solutionum a sollicite phacno- 6q6 menis pcr chemicas productis, nffinitdtfs atque in conjiin- ctionibus chemicis tum dcmuin paleic veiam pioportionem cum pailimii , ex sit corpus compositum. illis explicationum lias facile solvente sepaiatum menstruo a novimiis , diversitatcs verbis in fcre propius considérantes tantiim in re ipsa parum dissentivi. Ab ut:raque SLibstantiis data proportione inter se conjnnctis gigni pos- sit um enim parte compositum neutrum sive saturatum, adsit rius partis uberioris , quod nimium est, vis sibi substantia dubium in fuit^ indefmitae perfccta quod ex quo aequilibri- virium partes connectentium , quodque ditione sociatae ulplurimum, in admittitur , hac con- non obstante praesentia alte- a menstruo solvente décédant , cum aut ab ipso menstruo aut ab alia quaaffini retineatur. Scd nemini unquam quin a diversis menstruis non raro solvantur quantitates plurium substantiarum. et Itaque homogenca solutione concipei^ vix cum liceat inaequalem partium solutarum distributionem, concedenduin est, substantias solutas saepius in proportionibus indetinitis Gonjunctas stantia non essse. Si differt, ex. dam cum sulphureto ipsum mcnstruum gr. tibi metalli ab altcrutra sub- sulphur aut metallum quod- fusum in corpus homogene- um coit, aut ubi duo metalla utcunquc commixta per fu- 6o7 sionem semper exhibent compositnm omnibas suis partibus simillimum , inte-granlibtis propoitione data stantiae tiis peregrino consideranda solutis : non quamque baseos sae additam , acido et eniin suscipi salis cujusdam quod literque, tiae cae , , in per gradus affinitatis solvi , chemicae, a toto qua suscipiatur. major utcunque Itaqiie onini neatri, salva sive limpiditate liquoris, baseos quantitas: simi- salinis nonnullorum metal- vel acidi nitri, vel alius substan- sucessive augeantur oxidationes metalli- sokitionibns per vim aëris oxygenatae , vi solutioni acidi aquo- chemicis tribtiendum est, qtiod so- addi possit nova sive acidi, lorum quisqiiam negabit, tantillani facile quantitas affinitatibus iibi modo quod tum menstrui cum' substan- afiinitas atque est ratio , alia solutio , salinae qnantitatem ejusdem dubio lutioni veniat pari ratione, aqiia determinala sine ferme NeqLic peragitiir si commix'tae fuissent snb- neutialit^tis conjungendae. a menstrtio simul iiffi- clTcmicaium oita fuisse hacccc conniibia, qnain nitatiini in aprico est, non aliter vi in inter minimum et maximum infinitos, quousqtie subJiac operatione uniformis et homogeneus maneat liquor. Sed missa haec facimus , ut ad propositum redcamus , leges consideraturi , quibus determinatae inveniuntui compositorum partes. 6o8 Animadvertcmnt non tem acidis aut basicis paitem salibus in aequalem esse ejiisdem vel pridem chemici , ita cjuae saturationi ei, abundan- saepius pioxime inleidum veio siifficit, Observaverunt multiplicem vel sesquiplicem. quoqiic diveisa gasa non raio ea ratione potissimiim inter unum vokimine sit alteii aeqiiale, vel lui- se conjungi, ut jns sesquiplex aut multiplex, atque conciescendo vel piopoitione con- liac acream perdant juncta tcncii , si niain. Solliciti itaque, ut de liisce icbus générales inve- nirent naturac loges, hodicrni linunta. sa Inter induslria , nuiltifaria lies celcbris. /. Berielius, ad cas for- instituerunt expe- irnpen- infatigabili adductus est conclusiones: quod in oxidis singulorum metallorum, aliorumque coiporum inflam- niabilium, quae phues admittunt oxidationis giadus, quan titates sint apud oxygcnii quantitatis magis per oxygenii, oxidata semper multipliées quam minima efficitur oxi- datio ; proptereaque illae inter se scquantur rationem nu- merorum intf giorum, minima genii : quod tinitate significetur in sabbus acidis pars acidi ad satu- rdtiontm basées aut alia ejtisdem pars pro date acido , constans (|Uod in tiplex quant itas oxy- ubi necessaria sit aliquola sit aut : dimidia quod in totius acidi, salibus neutris, quantitas oxygenii basées : salibus et neutris et acidis oxygeniuni acidi mul- sit oxygenii basées : et gcneratim , quod in corpo- 6o9 ribus , ex pliiribus substantiis oxidalis , gcniiini sLibstantiae, minimum quae oxy- compositis , ejus liabet pars sit , aliquota oxygenii in singulis ceterarum. Ciim de conditionibus substantiartim tarum infra fiisius inquirere conabimiir, inler se satiira- jam in iis separa- tim considerandis nonnihil morabimur, quae binas substan- proportione tias divcrsa in antecesstini nionere conjunctas liceat , ctiamnum vel scientissime voritatem raro non vitia non piovisae adminicula ut oportet, captorum fiant quaesitatn patefacta sensuum , aliaeque exquisitissima quaeque fallaciae ne Ob- conclusiones omni ex parte naturae consoCorrectiones consectarioiuni hic illic facere habeatur tentaminum variata ratione constans convenientia. Sed natuia duce correctiones necesse est, non sola svadcnte phantàsia, quae Si expeiimentis aliquatenus infucatam exhibere. circumstantiae , ad ducant. nas phaenomena instituas instrumentornm , siant Qnociica lespiciunt. et repetitorum acutissimum cniin quemque observatorem ambiguis nituntur argumentis , fallere possit. vel iiiductionibus ex analogia indubiorum phacnomenorum non probabilibus, ex aliter factis aiit si uni emendationibus diversae rationabiles conclusiones Icx se ipsa eirorum : in experiundo inevitabili-* depromi possint non minus ne dicam, si praesumta naturae contradictionem involvat ^ salius certe Mimoim de l'Acad. T. VI. "î "? erit in 6io lis acquiescerez qiuie subldUs, quae quaiii ut periclitari , incerta adliuc et dnbia sunt, falsa perpensis, palmaria suggesserunt observât iones, tiiidae in mendis loca vcrorum substituantur. His quacdam conteplcmur phaenomena, ex quibus sua depromserit Bcrzelius dogmata. Exactissime oxidum plunibi flavum invenit bus continere oxygenii. In comperit 90 in institutis pluriesque oxido g2, l65 eodein partes metalli et plumbi fusco sui pondcris parti- metalli et 7, oxidi plumbi 235 partes rubri latere 10 partes oxygenii , atque adcsse 86,51 partes metalli et Propterea habebunt 100 partes plumbi l3, 49 oxygenii. spcum pondère experimenlis lOO in partes rcpilitis sociatas in oxido flavo in 799 partes oxygenii oxido rubro 11,111 7, in oxido fusco i5, 594. Si intermedio horum numerorum addatur 0^587, et uliimo 0,004, prodeunt numeri 7,799; ii,698> 15,598, qui rationem habent numerorum 1; li, 2, sive 2, 3, 4* ^I^s proinde in série pioportionis arithmeticae constitutis accu- ratius exprimi putavit quantitates oxygenii in diversis plum- bi oxidis. duodsi vero ita intermedio sublrahatur obtinentur numeri fiat 0,08, corrcctio , et ut ex numéro ultimo addatur 0,004, 7^799; ii,o3i; 15,598, qui in série 6ii continuac propoitionis geomctiicac constituli sunt, rationeiu scqucntes numeroriiin i,]/c, 2, ad quain quam arithmcticam lationem accedimt numeri expeii- nndo ad oxido nigro partes oxygenii 1 3, in oxido albo 19, i3, in oxido flavo 2", 2 addatur jubente BerzcHo , 1,27, ilidem convertuntur habentcs medio nonnisi 0,1 ut 1, ita 6» correcti , ut intermedio i3,6; 20,4; 27,2, ratio- in numcroruni 1,1?, 2. Si vero inter- prodeunt 13,63 19, 23; 27,2, addatur, sulphuris loo sulphuris oxido in acido sulphuroso in acido sulphurico sidphuris sccundum praeceptum subtrahatur expérimenta investigando per partes in nuraerorum 100 Y 2, 2. Oxidationes detexit, invenit Berzelius, in qui numeri, inter se factis, sccum conjtinctas habeic partes hiijus metalli Si j propius^ ropcrti. Experimentis cum stanno nem igitiir secum tenere consociatas partes oxygenii 47, 28, — lOO, 12, Bcizeîii , 1, 63 , 149> "i^ab intermedio horuni habentur numeri 47, 28; 98,49; 149» 70, quantilates oxygenii accuratius indicaturi, qui inter se sunt ut 1; 2,o83; 3, 166, sive fere ut 1,2,3. 77 * 6l6 vero patet, Ciiivis illi aeque qiiod numeri , ut proporlioniiles et quarto sciiei gcometiicae Ex liqnere his ita coriigi possint terminis primo , fiant tcilio a,a^^a^. i, exiatimamus , certo cas indicavisse séries ipsa expérimenta non numerorum, qnibus, secmidum sententiam conveniant quantilates duarum substan- Berzelil diim tiarum , pluribus in Qlio vero videamus , cepta facile theoiia , utrum ipsa ponere amantes societatem, proportionibtis licebit , sibi conjunguntur. conslare possit con- duas substantias miituam quae praeter illam proportionem qua inutua succedit saturatio, in nonnullis quoque aliter deter- coeunt , minatis conditione ea inter se semper conjungi, lit, data alterius quantitate, exprimantur quantitates alte- ïius per termines Sint gredientis. stantia B sériel secuiidum constantem legem pro- quantitates ipsius A quae cum data sub- quidam ex terminis yi conjungi possunt , a /J, , cAt dA, etc, erunt conscquenter quantitates ipsius B, quae cum data A conjungantur, correspondentes termini h A, seriei B, -|, y, —, -j etc. Quia vero ex hypothesi con- stans est serierura lex, eadem erit natura seriei i,o,6,c,detc. atque seriei -^, y, y, y, Ambarum l. itaque termini non possunt oïdinem proportionis aritlimeticae sequi enim csset adeoque i-f-dz^a-f-c; a -{- c — imc — simulque y-f-irziy i ; et : tum + y; ami::z;bzzciz;d; 6i3 quod indicaret niilluni propoilione A: B. harmonia Aderit cum le^is , fieri conjiincdonem aiitein efficerent tiim nisi în unica demum universalis qnaiititales SLibstantiae A cum data B conjungendae termines sciiei AjiA,n'A,n^An*A simulac qiiantitates substantiae B cum data A conJLingendae repiaesentarentiir Commemoravit qno se per B, n~'B, n~"' B, n~^ B^ n"'* B. Berzelius ordincm progression is ariihmeticae, invicem sequi videntar quantitates acidi in salibus pariterqne oxygenii in oxidis, non similiter convenire quan- oxidatis : aut radicalkim de pioportionibus gcometricis corporibus : videttir apertum enim termines progressionis geometricae ab unitate ascenden- do non omnino deinceps numeratos ex. adeo dilïerre numeris a in série differunt correspondentes termini vis in qna observatione corroborata adluic esse hypothesis est, salinarum basiiim titatibus hypothesis gr. arithmelica i,n ', n «, «' non locatis , ac i, ^. progressionum geometricarum eo Sed quam<;ese com- mendare videatur, quod proxime congiuat cum allatis oxidationum plumbi, stanni et sulphuris phaenomenis, in ea- dem tamen inculcanda enim minime cur in nonnullis cunque aliis rum^ non persistere disLinctam non audemus. Usquequo habemus cognitionem caussarura, proportionibus libentius quam in quibus- succédant conjunctiones chemicae substantia- suiïicere censeraus pauca hucusque instiuita ex- 6i4 pfuinuntu deccrnendiim , ad cadcm ubique, a^t utniiii in plurimis casibus valeat qaantitatum ratio, anne pro diversitate subsiantiarum oninimode haçc Ad verunt pluiimas nem duceie flammabilia, lia sabstantias maxime inter se Obseiva- affines oiii;i- illa- Compererunt poiro, coipora in- quorum combustione natae substantiae ad sa- appellatis. formanda aptae sunt, ipsa qnoque ad societates ineunapta das esse : immo saepius evenire, ut ea proporti'one secum invicem potissimum conjungantur qua radicalia, in neutrOi ex productis per combustionem illorum acido sale et generatim, atque basi formato, sociata latent: bus sive neutris, periri radicalium sive acidis aut basicis eas non quod in tatum inter Ad cipua in sali- raro re- proportiones, quibus ipsa radicalia nuda firmissime inter se connecti videntur. llinc probabile fuit, radicalibus inflammabilibus lateant caussae affini- lias partes salium constitutivas. alTcctiones investigandas conjunctionum phaenomena, caloiis nunquam formas capiunt. fere non consideremus quae flammabilibus maxime conspicua sunt. rac spes. hodi- inflammabilibus radicaliuus corpoiibus e pioinde riim ilkistianda satiirationis nova suborta esse videtnr chemicis ernis plenae pliaenomeha variabilis. sit sentitur, in prae- corporibus in- Mutatio temperatuubi corpora novas Frigos qxiidein oboriri visum est, quando 1 6i5 corpoia solida liquida, in vel hacc in acrifoiinia veitun- calor e contrario, ctim ad tiir ; Tiim cresciint. patuit , ciiin praeserlim intei majorem cohaerentiam con- caloris augmenlurn sensibilis conJLingerenUir substanlîac adco di- se versae, ut suas invicein proprietates quasi dcstruerenc, at- mixtoruin proportione connubium omni- que ubi ex daia satuiatum orirctur. phaenomenon ignis, niodc fuit mabilium ci ex duduin Exislimaverunt pridem physi- vel ignem calorico in corporibus antea horum tes scnsibilcm vcro sub combustione corporum inllam- aère producti. in calorem , Luculentissimum ita patefactum prodirc quod , latente, capacitate, libcrurn évadât : diminuta diniinui vero capacita- corporum pro calorico, quoties per conjunctiones secuin aut ex qnacunque alia caussa concretiorcm sus- invicem , cipiant forniam. Sic ignem sub combustione corporum in- flammabilium aère, vitalis , qui corporibus vero Quae , hodie oriri tenens judicaverunt ex calorico aeris elasticam prae omnibus fere gaudere capacitate calorici , concrescens cum in- multum ejusdem perdere interpretatio ne antea observationibus sona lum formam maxima jlammabilibus vidcbatur. in quidem satis con- auctarum vel imminutarum densita- minime quadrare ccnsetui" cum phaenomenis ignis, sub conjunctione nonnulloium metallorum phure aliis\ e cum sul- corporibus inflammabilibus orti, qui velienien- 6i6 lia non cedit tra illiim igni modnm explicandi phacnomena détecta cens per combustioncs producto. Q."in con- aperte ptignare videntur re- ex qua respirationis , calorern physici. Cum enim observaient, aërem vitalem respiratu animalis in aci- animaliam derivatum vitalem habiierunt dum carbonicum converti, concluserunt calorern animaliiim ortiim similiter nuper a lentiore aeris et carbonii atque vulgo ignis oritur a rapidiore sangvinis mutatione , carbonum diicere suiiin Sed ex expoimentis deflagratione. a cel. Dro- non pos- Anglia factis evictiim se, per respirationem arte effectam, calorern animalis, ve- die in adëo nenis sopiti , hoc quamvis ut vitales siistineri cessarent functiones, ejus aeqnalis et artificio est, aeris vitalis quantitas consiimeretur, et aeqLialis obtineretur acidi caibonici copia, ac vigente in animali , tempore spiritum duxit. mus quam ex mera eodem Hinc indubitate patere existima- conjunctione carbonii vitalis oriri. Et quod neque alibi respecta vires naturales sub combustione carbonum ex alia caussa, calorem , quod per calorici sic ad fuîeni cum substantia aeris maxime pronum habemus, ex mutata solum capacitate corporuni originem ducant pîurima calons phae- Qomena. Omnia vero svadent, denominatas in ut crrdamus vires ab elcctricitate conjunctionibus chemicis activas esse, lia- 6i7 mm duae sensibus sesc ofTcne soient nostris sibi tntilLiO oppositae, se inviceni appetenles, quac per conlliclum se ter ji^nis interire vol caloiis })rodncaUir. kicidi, Comparent corpoium , \arioiTnn supcificies fiicentur ubi formae miitationes tari docuerunt expérimenta tum est , Ex se prodete in ea metalli concludeie licebit, occultatas in corporibus vires, qcuie varia ratione patefieri pos- tum vel immutatam electricam indolem de- vel inter se conil^gendo caloiis aut ignis pbaeIlinc commenclat sententia , in subcant corpoia ex ad verso posita appa- in nomcnj exhibcant. liuin affines, superficie atîectio bis atque nionsLrent, maxime quae metallicam perdit faciem, simulac opposita latere clcctricitatis sint , niutuuw ^alvanica dicta , quibus evic- , alteram electricitatem electricitntis reat. densitatis ubi Sub oxidationibus melalloiLim easdcui exci- quacciHique. superficie, ac illae ad ubi contactiim admittantur siibstantiae inter se aut in- phacnomenon. ]iicis, vel videntiir, sinuilac quoque magna probabilitate sese quod et ignis acre ardentintn, et is, qui sub mutua liorum con- cum siilphuie confunduntur, jiinctionc, ubi ex. gr. crumpit , [).iriierque nicnalla corporum infîammabi» caloricum sub comniixtione acidorum cum basibus salinis, aliis corporum consociationibus obscrvatum , ex concursu oppositarum nascanUir. ex duplici cl. rtricitalum Mûroirrs ,i: l'Ac.i.i. cu/ii T.n. aqua, alkohole Si etc., vero "^ atqnc sub simul agrnte caussa succédèrent , si non omncs saltem coipoium conjunctionos chciiiicae , ipsorum corpoiiini , , plurimac nltcia affiniiatis coliaeicant copiilata , qtia altéra , sese mutLio pétant patefactae clectricitalis vires, forma ignis \cl lium abeant. e sinu snbstantianim paullo aitius nobis calorici Scd "videntur combustionLim Innotiiit qua cum sub ponderabi- perseqtienda esse phacnomena. jamdudum , pliirima corpora inflammabilia in aère ad igneni alendiim apto, qtiem gas oxygcnium hodie vocant, ardentia, ipsum aerem e^aslicitate privatum secum conjungere , Cum pere. adeoqne ex toto «jus pondeie incrementa casimilis mutatio corporis inflammabilis fieri, idemque huic accedere augmentum ponderis observaretur, "ubi combustio per alias substantias antea ustas tur, putaverunt chcmici, post traditum ab voisier phaenomena ista sibi perficere- illustri La- interpretandi praeceptum , adjungi sub omni ustione corporibus inflamniabilibus substantiam sibi semper similcm , quam oxygenium nominaverunt , ipsa eorpora usta, communi cognomine oxidatonim ab inflammabilibus distingucntcs. sed et Ilanc theoriam non confirmatam modo, cgregie illustratam nis illorum inflamirfabilium , esse ccnsuerunt ex phaenome- quae per aquam dari vidcbantur, quia indubitala jam ptiram oxi- nemini ftrc non eva- 6ig sit doctiina de aqnae natura. Ctim nquam ex gasibus oxygcnii ret , atque produci , accensis conipaicrc, carum horum gasium pondère totoqne conveiti posse , ista quod aqua gasium oxygenii liydrogenii 'composita. electri- demonstratum certius esse jiidicaveiunt , et pâte*» hydrogenii commixtis eandcmque iteium per actioncs virium gasa in et enim evidentejr substantia ex elementis sit Rem vero ex integro méditantes, ne temeritatls contrahere videamiir cul- pam sententiae ab univeisis fcre chemicis hodie adopta- ! eam neque t<w non possLimus veisitates corporum oxidatorum bene convenire, neque ciim aquiie ipsis non adversari , cuni in di- phaenomenis omnino congiuere existimemus. Noviiiuis aëiem vitalem, sive gas oxygenium titplii- rimiim smuil ciim gase hydiogenio ex aqua tatem agicaUi prodire non vero scmper ex eadem aquae particuîa, sed, notabili simul lioc ut evidenler docuit cel. distantia agcnlium Proptcrea , nisi : neque vi dissitis , oppositis per electiici- Rittcr, sed duarum viribus formari. unius, clectricitatum ex diversis pracjudicata alia copiamur opinione , ex phaenomeno persuasum habemus, aquam non per che- niicjin analysin in gasa siones divcrsimode capite explicabilur illa lesolvi, modificatam ficri. phaenomenon sed per novjs acces- Neque intcrdum facile ex alio obscrvalum, 78* qnod non utmmqnc vim sinuil gas^ ex aqna electricitatis tilterutrnm tanfirm pef sc-d Itaque eliceretur. a^ifinde probdbile sir, pondeiabilem aqnae sdhstantiam ex partibus diversi generis compositam esse, consentanea interprétât io , erit hydrogcnrum ex cum nequc quod maxime veiilali gas oxygcniuni et çt elemento aquae per diveisas tlectricitates transformato constitiiantm-. Qnod gas si mentnm ])artcm, ponderis ponderabili subslantiam veio admittatcu" , gasis oxygcnii unico in aquae esse ponderahilem confesso etiani erit, corporibns inflanimabilibus omne augper combci- stionem additnm, tinico deberi principio aqueo. Vix aritem est crcdibile, quod contrariae alTectiones, quas di\'ersa saepius, ncc raro eadeni acquiriint ladicalia, ses salium convertuntur ab iinica invariati oriantnr. bases salium per dum in acida aut bacanssa additi oxygenii Constat namqtie inter oinnes, acida et oppositas vires electricas quo in rata ad primitivam indolem nexu salibus neutris conjuncta tenebantiir , restaurari. cuum est , diversam eorum naturam , et liberari, sic Ex quo sepa- perspi- saltem ubi vinculis liberata sunt mutuis, electricitati utrique prapriae tribucn- âam esse. Neqcie obscurum erit, electricilatcm acidis con- \enientem eam esse , quac aquae principium genium conveitat , illam elcctricitatem , et quae cum in gas oxy- e contrario basibus conipcteie eodcm gas progignat liydroge- 62 t sinm osfendeiint expérimenta siqnidem : paites corpoiis cujusciincjtie acidae tis sit, contr.iliaiiltir, veniant , qnodl oxvi^f niiiin piodiici pos- s^as i^itnr electiicitate adsci<;cant alia forma m , liy- quae par inllammabia , corpoia principium aqnae acquiiunt naturam acidi , combtislioneni scos induunt aqua nascatur gas ex scilicct iibi Cuni droi;enium. sibi iiqcia elrctrica , pcr vini clectricita- vrio saliiim in o[)po=i(o appaiatus loco in con- bases specmm ex tibi ibi niodificatam , omniinode variabilis ac qiiae basubstantia,- ciit qnae diversas elTicii oxidationes, et fortasse ne eadeni quidcni in acidis vel .ba^ibus Propterea tis. ac in Jihcris nccitie nomen, utpote quo substantia elemcntirm ejus in tuere aeris scilicet qna ccnsemus ex acre lium residuas, se coptila- inter certis vitalis oxygenii dcfmita characteribus, Itaque loco signilicetirr. denominationem halomeleogenil snbsti- seqiientibiis Toluimiis , iisrdein ridem convenire videtur substantias vitali et aqua qnarnin efîicacia non in improprie acidis progenita indicari et basibus sa- sint praecipua haecce mcmhra, sive coostitutivae salium partes. ITis praemissfs affinitalmn, quae, initiam , si facere aggrediemnr thcoriae nondiim fumis probetur argiimentis, neve fiilcicnle experientia hodierna ad praecipua saturationis pliaenoniena plene explicanda sufficiat, iis tamen, quae hue- 622 nobis saltem asqiie détecta sunt, neque plane dîlTcict terdum adumbratiin niutuo Ponimcis phaenomenon ignis indicatis. itidemque obviis, liiim collisu vel caloiici siibstantiiic, occultatas, ex leviore haiiim caloiiciim ad alio vi- in verso ordine ex dissoliitione ignis obtineri diias si electiicilates , quae alterutram corpoia quae in complecti partini elcctiicitates plus nonnunqiiam, conducendum aptas modo adsint Po- sinu suscipere ament. admotis corporibus, conspectui nobis offeruntur, se motis , et sibi libcie atqtie : cuncta nimus' reputationibus aliorum antehac in- a ex oppositis electiicitatibus pioduci non repugnabit, cognitis aulTeiri vero esse bas electiicitatutn jacturas, sibi minus nuUuo et par substantias videntur: instabiles quae, quamdiu non aliam subeant corpora mutationem, ex vicinis vcl calorico vel tur. libère electiicitatibus obenantibus continue lesarciun- Ponimus pono, corpora, per conjunctiones sccum vicem, mutata, pcrdidisse partem propriaruin tamen residuas habere adluic in- electricitatiiin, electiicitates tenacius sibi adhaerentes, quibus ad mutnain tctcndcriint socictateiu; cl proplerea duas substantias catenus intcr se affines cssc, quatenus in s>nu foveant clectricitatcs oppositas, casdeinque se mLituo satcnare, citâtes cum ptrfcclum acquilibrium. hydrogenii In commixloruni obtincatur inter elcctri- combusîione liacc i^asiuni acqaaliui:> oxygenii et viiiuiii evidenter I 623 obtingere videtiir poriigentes electricitatibus , subsuinticim , piodacunt liquidaiii. CK.'dcndi , quod (iivfjsae sese siniilcm utrinque dcstriiendo , aqiiam f|(iae mutuo Et cnin nulla nobis data aliter sit occasio rlTcctac sint electricitatcs , quibiis ponimns dcniqne, copulanicii- substantiae ; quod ex eadtm data proportione e]cctricitatum oppositarum ae- semper oiiatur quilibiitim veio Qciia in nominatis , tura, et iistis, inde, paiitcr ac secum quod et in modo gasibus sociatum habeant ex diveisa liarum na- ex rccipiocis earundem quanîitatibus determinata acidi et bascos Expeiimentis compertum neutre. coipora conjungentes. \ire.s piincipinrn patebit halomcleogenia sint 7,5 coipoiibiis aqiiae tKcliicilatos, inter circitcr in quocunque sale quod ex data aqua est, partes ab altéra elcctricitate in gas oxygenium conve;tantur, siinul ac una ejusdem pars per alteram electricitatcm gns hydrôgenium transformetur, in cissim duo haecce gasa, inter se aquam rea , commixta per 8,5 ponderis parliuni acidi cujusdam basin a mera gasis opposita ab illi scqueretur, radicale accensa , vis dependerct quod acidi in sale augmcnluni quod proportione ponderum pinam si basées et in et oxygenii combustionem redcant. secum gasis i, in Propte- conjungendi electiicitate ^ elcctricitate 7,5: vi- et vis hydrogenii, ncutro ex his partibus producto sui ponderis haberet ex 7,5 6c4 dum partibus , -oxygenii in pondeiis rz i. augmentum Si nient et ex et quod dcfinicnda, autcm acido et in et in ex hydrogenio aucta pondéra, ad saluiaiionem necessaiia inde propoitio orietur alia et hydrogenio utrobique consideianda ve- basi mixtae sint electricitatcs, oxygenio delitescat ex b^isi acido atque basi simul adesse debeant in 7,5 partes oxygenii versus unam Iiydrogenii partera. Vice cujuscunque partes salis quibus adaucta quam singulis elcctricitas ::!:: S- -\}ii quod praeler lulomeleogenia )i acido in tani nihil proportio electricitatum opposiia- oxygenio /• et iKidi =z /'S- --4- -.^0, bdscos pondéra oxygcnii, pondus S-, Iitîlomelcogcniuiii Sit (|). per propria et ii,s pondé- in acido, halonieleogenii pondus Ii.ilonulcogcnii in basi. Ralioneni ;» -h // :/"-f s per analyses esse (ItiLiin izzii: i. et hydiogeniuiii , : sit m et m -j- quae ziz c radicaliuni halonieleogcniuin et hvdrogenii ; et r -i- s incremcntis, posito electricitas repraesenlanlibus ra cognitis pondéra hvdrogenii per n (p , et , sunt partibus Signetur îum. neutii inter per computaiiononi invenire licebit, quae accesscrit , ipsis in basi , in ex explorata proportione versa , qnoqiie d , quae chruiicas deterii:inari possit , poniiiuis Sitque ratio constans inter oxygcnium ad aequiiibriuin c-v liypoiliesi el( cti icilatum ncutrai.'talis in necessaiia sale eiit 625 m H- J'. ]iùquc in~i-r .d^^n-hS .c; et m-+-nzr: a .r-h s. Inde htibcnuis w.n^zac .y— s — ycl-hCs:ad^r~hs-hdr — cSf ?;/ -f- r : ;; ) et Tarn : m -+- n c — a. d ni — c n m -{- n d -\- s zr. : dm (t . — c n. vero in omnibus accuratiiis cxaminatis salibus neuuis eam detectam habent chemici uniformitaterrij ut singularuin datum quodcunque acidum saturantium, aequalia basium, sint halomeleogenia. tes sint Itaquc cuni m et n, pro omnibus modo non constans ne; — erit >• -}- dato acido constan- in idem saturantibus basibus, et constans ratio 6" a:i, sed constantes quoque eiunt r, s et rationes m.S—nn—m~h^r:n-i-S—c:d. d c m -L- « nz: ' > rr: ;-rr c a ' c: m -\- n m : z::z a . c^ : n ziz a . c~ r -{- s : r :zz c^ -^ s : s m -\- n r =z c'' — — genium baseos n 1 r= c erit c/; : d- d- c* . - cd : c . ac c c . c n . > , et pioindc i -, : a a ' . ~ — ar a ^ —d — ad :d — ad id.ac — : rn y d- ci ; ', ; ; : n rz o, r zno, puium oxygenium, acidi erit h. e. halomeleo- et halomeleogenium o. h. e. purum hydrogenium. Si a erit : d- — — d* ubi sequentes apparent casus Si — —ce— — ar c- ar -4- a i- r c- rrl -i~ n. , c- s~i-d^r d r ' : l z=i d : c; erit m rz o, s ziz. oxygenium totum apud basin et hydrogenium apud acidum. Mémoirei de r Acatl. T .71, "'9 . 626 n: Si a rz: c c d dcijudlc i;onlincbit Si i : c- -f- : ;n rr n. ciit pondus oxygenii zn c- -\- cl- i d^; : 2 cd ; h. liydiogcnii. et r ^n s. eiit acidiim e. h. c. pondéra o-wgenii et hydiogcnii pencs basin aequalia. a ::iz Si i ; erit haloincleogenia in Sabstitutis i; et habemus pio m =: r, et n m s. h. c. acido atque c ;u -)- n et rz a /2m7,5— a; r-f-jm 55,25 m-i^nziza; ; . posilis sis rationibus a:i, sequentes Siniz:7,5^. eiit 55, 25 ; rzr: 7,5 Et /• snpra \aloribus d 4- j sliiiilia ciunt- indicatis 7,5 bcîsi. m 1 , . /«m 7, 5. a. 7, 5 — j> 7>5 — n; szn 1,5 .a — i. exliibcntur p»ro valoies quantitatum diver- i]i,)i,r,s: w/:=z7,5oo; /?-- 0,000; rzzOjOOOj.fzn 1,000. — »2=i:6,99i; /zrzOjOOp; rizio,o68; J'=:o,932. — ;kzz6,482; nrr 0,018; rzno, i36;6"i:zo,364. ajzii, n— 6,5 — ;;2r=5,973; /?zz:o,027; /•-j=:Oj204;«y — 0,796. — m-:z5,464; ;zzi:o,o36; ri:=o,C7 1; j':z:o,729. a:zi5,5 — mzr4,955; ;in:o,o45; rzr:Oj339;j — 0,661. n:r:5, (/— 4,5 — ;;;=r4,446; ?irz:o,o54j ;-:iio,4o7;^zzo,593. — «2—3,937; 22zz:o,o63; r:=iO,475;jrzo,525. a~4, flzz3,S 7, — »/zz3,75o; 22ZZO.067; /i=io,5oo;^z=o,5oo. — w/zr:3,43o; )i:=z 0,072; r zz: o,5 s =:zo,/^5 ~ fl-.3,5 — az^S, m — 2,919; ;jrz 0,081; — 0,61 i;j'rzo,389. az=z6, 1 J].3; ;• :i_::2,5 — «iiz:2,^iOj /2zz:0^09o; r:=z 0,6 79; =0,321. J- < 62 7 Siacrrc, eiit m— 1,900; n — o, loo; rzr o,747;,rr:=0,2 53. — inr=:i,l9 1; ;i=ro, 109; r ^:zo,8 14;^ 0,1 85. — 7n— 0,882; nzro, 18; ai=:l, 0,882; ^:::i:o, 18. — «—0^75, — ;n 0,628; Jirro,i22;rr:io,9i6;^ — 0,084. — wi — 0,373; ur=:0,l2 7;r^=:o,95o;j'iz;0,o5o. «—0,5, a— 0.262, — ^11— 0,1 3 1; >i--=0, 3 ;rr=:o,983;jmo,oi7. — 7wr=o,i 18; mO, 32; r := 0,984; ^=1 0,0 6. /iz=:o,2 5 c.r:o,i33, — wrzOjOOO; H:r:o,i3 3;/"^^0,ouo;s.^O,000. ar3i,5 r:^ r::=: l i /î Secimdum theoriam bus nentiis in acidis erit a: i, ratio oinnibus basibi.s r -\- s , dcbent esse ni -f- n. 1 nisi acidoium convenicntia. ticuni , in diversis sint in omnibus acidis , aeqiialia acidis, quae da- halomeleogenia , per m H- n Et nos aegerrime conficeremus negotium interpreiandi , iiinotuit, aeqtiales Non itaque semper erunt aug- menta haecce ipsa acidoium sibus in in sali- halomeleogenioinm Ar observavemnt chemici tam saturaie valent basin rem invariata , CLim aequales eti.im non esse augmenta radicalium nobis signiHcata. 1 qtiantitdtis Propteica basibus. et 1 quam tnemnr , l subsidio esset indubitata pluriuin Ex fidissimis hodiernorum analy- nonnulla salium neutrorum acida, ut mutia- caihonicum, pliosphpricum, arscnicicum, aceticum, etc. sua aucta , habere radicalia quam proxime respeciu inciementi quo in iisdem (îuplo pondère salibus gaudent 79* 62^ Conipeituin jadicalia basium. rationcni inciementoiuiii akcmm baseos ab esse' ubi allciuin locnni tenct aci- , Addimus saturatae. illo nonnuUa niissime cohaereant candem est , conjiinciionibus nuituis divorso- in inm oxidoiuni melallicorum di insiipcr , qiiod fii- ca pioporlionc con- nietalla juncta, ut per justam oxidalioncm alterum pondère duplo magis qnam alterum increscere sit connubio oxidorum in ratio, parilis siquidem mrtallorum inter inflammabilmni conjiinctiones ut et alioruin corporuin se , Quapropter possit. qmbus oxida dependeant viribiis , nectantur , (juamvis illis substantia. Ex his itaque obser\atis colligiinus proportio- ab iisdetn in in acidis pcrfccte saturatoruni esse iit 2 ad atque i, oxygenii ad bydrogenium in acidis, et in 3:1. rum , basibus, sive r:s, quae a major aut sive 747:253, ni minor quod ex alia radicalicim ex ipsis accesserit se- : n lU. 19: 1, scu proxime ut mcinoratis ablndere visa snnt , quam quae oxygenio saliuin esse pioporlionem Sic nobis probabile est, divorsitatcs illorum quod vcl sub oxidatione aut ut basibus et conscqnenler, cundiim computationem modo allatam , con- pondcrosa aqtiac desideretiir nem halomeleogenionim coruin acido- inde vcnire, arre vitali et igné electricitatis copia, et hydrogenio eorum conveniat, vel caussa in ipsis aiit adsit uberior substantiae aqueae quantitas, affinitatem acidis propriam inclVicax, aut i 629 lialomclcogenio dosit ex aqua pondus. nccessaiium Non- nulla coiLiin singulatim considerabimus. j^cicliim suJphuricum in salibus neiitiis basibns conjiinctiim esse repeiitur, ut ejus Si ul)i(juo banc triplo icHionem sit majus habercnt n =^ phatuin, essor ?« non conditioni convcnit : aqiiae in i formatione basi. halo/neleogenia sul- 8 i, et r :j:=6i 1 basium in : 389 ; quod At salibus. aliis salium sed Novimus incfficacis. sic laterc constat, ytàxs in generari in omni acido sulphurico sal babilc quidem praeter oxygenium sit , neutrum omnem hydiogenium dente omnimoda ceteroquin ubi transierit. hac via et acidum sulpiui- in libero est in sul- cum aquam, cu- basi quadam Cum vero ne proabire aquam , quae acido haereat, sva- similitudine inter sulphuricum et jduia a lia acida, suniimus substantiam, qua in do aucrum enini Ex aliis quoque experimentis saLÏs inde lacile fugari potest , conjunctum in sulphuris, in sui, quod nonnisi juvantibus aquae vaporibus , pluuicum convertitur. jus : radicalis in acidum per combustion'eni radicalis aère sicco non produci , rosum se cum radicalis non ambigua apparent indicia praesentis acido sulphutico ]ioccc 29 9 augmentum augmente inter ea ralione sulphuris pondus , in ligato hoc aci- nunquam non residuam, compositam esse ex halomelcogenio, quod pon- 630 dcrc bis snpcret halomeleogenia basiiim in salibus quae aqu.i, et au^mrnti pditein ciiciter teilicuii In salibus neiuris per acidum nitncum a efficidt. formatis magis visa est pondenim Sed fateamnr opoitet, qiiod nondum salis ad amus- ccteroinm lege ratio. neiitris sim explorata acidoiiini A tcmpore praecla- hnjus acidi natura. sit rorum Cavendish dcflecterc et Lauoisicr nolissimum quod acidiim est, nitricLim generetur ex azoto et oxygcnio, quod veto diffe- pliaenomenon rat hiijus phaenomcnis forniationis a quac , corportim combiistioncs in gase oxygcnio comitan- alioniin Inde praesumsernnt plmes cheniici, azolum non esse lur. primitivuni acidi nitiici radicale, sed potius oxidcim quod- dam per que veio an.ab inferiorem radicali , alla ustionis iitmm quaqciam a gradum caibonio , jam cognita exortum. antea A an ab hydrogcnio, substanlia inflammabili Oiîginem eluceret, incerli et inter se disscntientes fucrunt, (isqcie qao ex tescerct, nondum vi elecLiicis [)hiios experimenlis celebiis substantias , quae per analysin chemicam poterant, et praecipue dividi cleciiicitaLis in corpora quidem alkalia inflamnicibilia metallis quorum ustionem iteium sub converti, per prodcant. Ilaec enim expérimenta que extendeient Berzclius Davy inno- et Pontin cam quoquc reduci ad naturam cum piistina fixa, similia forma répétèrent latius- compereriint ammonia- substantiae inflammabilis, I 1 63 metallis liane pro nominc auumm'ù (ia, orii^ineiiî (jiio CLim quam in sociato coniposita qiiacnnqiic alia basi Quae vero prao^terca cum nonditm et déterminai e conabimur ex analysi azoïi , cognoscilni. clïicerc sit diverte ammoniacae a 5o^86 coinpositio enii potuerit, à partibtis acidi muriaîici et 3l.v95 , erit leogenkim 31,95 partium ammoniacae dimidiLim Fer investigatiofies ab Henry et ve z=z tas detectiim habemiis, quod 8 1,833 partes gcnii. Propterea latebiint 26,146 partes azoti et Gonditio nonnihil mutata parrem vidc- mmiatis an^moniacae 2^,g6 halomeleogenii muriatici partes reperiantur alitri Gura vcio contineant SO'^SG partes partibus ammoniacae. 14,98. c.\ Ex hac navimus composituni esso mtiiia- Bcrzpîio tradita. acidi esse partem saJina ammoniacae teni intCilcxeuinr, ainmoniaca ilaque ]n'diog( nium non In halomeleogenii. liir doccntc nnpciiore e.\}")ciirn- nonnisi azoto dcbere snarn nitidum in ammoniacae Jubitain ladicali dislinclani, li)drogcnio amnioniaca. quod ciim liydraigyio similis , coeat. ami)li;cimii cl co in halomeleogenii in azoli in esse si- Daiy fac- 18,167 partes hydio- et partes videtur , eflkiat. illius, 100 partibus ammoniacae 3 1,95 partibus 5,804 halome- Ex ammoniacae hydrogcnii , cum toto in cu]i\^- composite halomeleogenio- ammoniacae 14,98 latebunt in azoto 14,98 — 5,804 =2:9,1 76 partes: eritque q^Liantitas radicalis in 3i,9.5 partibus i>m'- 632 11126,146 partibus azoti :z: 26,146 - 9^1 76 moniiicae, sive zz: i6,9"0. ex 64,905 et 100 amnionii p. p. 100 partes eiunt 35,095 et adaucli p. 53,ii4 ex ammoniacac partes 46,1886 compositi Propterea ponderis, amrnonii P- Quoniam dcnique halomeleogenii. azoti et ex 100 producuntur i56, 935 parles oxiduli azoti ; partibiis azoti 2j3,86 p. oxidi 289,77 azoti; p. p. acidi nitrici, continebuntLir in nitrosi acidi 100 partibiis 327,76 (t : oxïdiiU azoti 41, 358 amrnonii et 58,642 augmenti ejtisdcm, oxidi azoti 30,349 ~ ~ — 69^651 acidi nitrosi 22,399 -— 19,803 — 80,197. acidi nitrici His titatem 7 7, 601 ex analysibiis nitratum dalis, halomeleogenii in acido definire In nîtrico. niacae invenit Berzclius 67,625 partes tibus erunt stra et ammoniacae in conjiinctas. 21,143 p. 19,826 eodem acido auctum tinebit sit idem acjuae ad tur et 67 p. plumbi jQavi. p. latebiint in amrnonii 67,625 Cum vero in ammonium pondère 54*233, bases secundum analysin 11, 23 halomeleogenii. 54,233—19, 826^^34,407. , 21,143 par- acidi ammoniacae, p. ammo- nitrate At secundum lemmata no- 9,913 p. halomeleogenii: propterea p, acidi nitrici licear qiian- saturandas In nitrate inefficacis con- partes plumbi inveniun- a Chevreuil praestitam, 33 p. acidi Continent vero 67 p. oxidi plumbi 633 33 4,79 P' halomeleogenii. Propterea 9,58 p. halomeleogenii , quae ab augmente ponderis in hoc acido 26,465 subtractae pro valore aquae. Si partes pkimbi nitratis 67,29 p. oxidi i:z4;8i, et sese Beï-zelio quo 4, acidi nitrici 74 p. his 100 partibus acidi consistere secundum Berielio a , et secundum analysin halomeleogenium Et cum erit hujus aqua argenti obtulerunt 68,4 P- oxidi argenti, in çfticiunt. Sed 3i, 6 p. Comparatis aquae. p. augmentum sîve 80,197 analysin nitratis inter ponderis ejus partes, ex 29, 3 1 8 halom. et 5o,8 79 aquae. nitratis — — 5i,l67 — secundum eandema5erze/io, ex 29,410 — — 5o,787 — - MtmtireiAeiAcad, T.VL in ammoniacae plumbi a C/iei;rcui/ datam, ex 29,030 ' et Ideo eiunt in hoc acido 9,48 p. nitrici, exhibitam partes acidi =19,62. nitratis colligimus consectariis , acidi posuimus ex 6,252 p. ammonii et i5, 862 et hujiis 26,232, halomeleogenium consistere halomeleogenii se acidi 32^71 p. acidi sit 100 partibus aucti ponderis. 25,342 p. ex consistere halomeleogenium 3i, 6 p. i6^885 relinquunt plumbi, habemus In p. autem cum BerzcUo ponimus 100 totum in acido augmentum =216,612. erunt in - ^O 634 sectindam analysin nitrads — — 50,19*7 — a Bericlio factam, exSo^OOO fligenti Ttaque luediis assumtis nu- 100 continebunt Qieiis, panes acidi — nitrici y^cidum fluoricum 29,489 halom. et Scj 58 aquae. a pliivimis aliis ita abludere visiira ut angnientiim ladicalLs ejus pleiLimqiie aeqiule in- veniretur augmento radicalis basium. est, acidi hiijus sulTicienter natiira Cum autem nequc adhnc cognita sit , neque nentra per fpsum producta satis examinata, discernere salia rondum tnto possumus, utium aJ eundem ordmem ac pieraque alia satLirata salia pertineant fluatës. Ex suis cum radicali ^cidi fluorici institutis experimentis conclusit Davy, idem non ex oxygenio, sed ex hydrogenio oxidatum Qiiod si ita sit^ fieri potest, esse. ut ob defectuni aquae, pon- dère minus augeatur radicale ejus, qnani ceteroium acido- rum radicalia , hydiQgenium aequaliter cuni miuorem quani oxygenium pollens , in quod aquae quaptitatem habeat vi pro electricitatis conLiariae fonnando acide partim transmutetur. In et vegetahiUhus acicUs, ulpote ex carbonio> hydrogenio oxygenio compositis^ erit, secundum nostriira rem con- , 635 modum eiptjsndi veio ntrtini immixtam , hoc carboniiim pcr acjriani , ita ^lodificetur, radicale omnibus commune, variata quantitatis ratione ut alias atque alias sibi sumehdo halomeleogenii" quantiiates divérsas procreet acidorum species, anne potilis lateat horuni diversitatis caussa in occultatis radicalibus alcalium, quorum tant'iUa terrarum aut oxidoium metallicorunr, in omnibus corporibus organicis, ut et in cineribus acidorum perustoiuîri reperiuntur vestigia, certius decisum non esse videtur. Qiiantitates halomeleogenii il- lorum ex consideratis salibus neutris per oxidum plumbi productis computare convcnientissiriium duximus. Qiiae in praecipuis acidis adsint radicalium quantitates , et quae augmenta his accesserint exhibere studuimus, in sequenti tabula prima columna radicalium indicantes pondéra, et secunda incrementa eorum in IQO acidi cujas- que partibus. Tertiam, quae quantitates halomeleogeniorum, quousque ex examinibus salium neutrorum certius deter- minatae esse vîdeantur, et quai ta m quae aquam superfluara latentem significent', pro acidis minus a<3huc perscrutatis, vacuas rcliquimus. aquam loo partes radicale acidi caibonici continent g 7,00 "/S.oo "3^00 0^00 4ijio 58,90 68,90 0,00 46,50 53,5o 53, 5o 0,00 — muriaiici — phosphorici — — augm. pond, halomeleog 80* 636 loo partes rndic. augm.pond. — acidi oxalici continent — sulphuiici — arsenicici — acetici — — — — nitrici — citiici — — taitarici ^ aqaam 40,12 59,88 39,90 19,98 — — halom. 84,90 65, 10 42,40 22,70 66,04 33,96 33^96 0,00 — 64,00 36,oo 3 1,00 5,oo — — 19,80 80,2a 29,44 50,76 34,00 66,00 28,60 37,40 — '3.9,50 6o,5o 23,58 - — siilphurosi — — nitrosi — — — gummosi ~ fluorici — — — boracici — — arsenicosi — — — telkiiici — wolframici — -^ 36,92 49^97 5o,o3 22,40 77,60 34,00 66,00 45,05 54,95 4o,5o 59,5a 74,4^ c5,5» 80,1019,90 80,00 20,00 — molybdici — 66,67 33,33 — ~ chroraici 48,02 5i,9& ~ mmiatici superoxygenati 14*85 85_,i5 — hydrothionici .6,24. 93,76 - Praecipuarum basîum radicalia,. et acqiiisita, per ho- iwm combustiones, augmenta ponderis, quae pro siuin halomelcogeniis haberaus ipsis ba- seqtrentes ostendunt séries: - 638 iOO paitct 63^ ammoniacac - D,l33 oxiduli ijluminae - 2,140 sliontianae raagnesiae - oxidi - ferri çalcis - - sodae - - oxiduli feni 7,OQ7 - - 7>ii2 3,259 oxidi palladii - 8,130 3,55 1 oxidiili stanni - <^,354 8,897 oxiduli cupri - 9/300 platini 2,577 oxidi - 6,707 ccreiit - 3.259 barytae , , 91^55 L oxidi manganesii albi 4,566 oxidi bisnmthi - 9,709 oxidi cobalti - 4,662 oxidi - 10,000 oxidi niccoli - 4,664 oxiduli platini oxidi cereiii - 4,829 oxidi hydiargyri i3,5i35 oxidi cupri - 5,000 oxidi plumbi flavi 13,986 oxidi zinci - - 14,450 - 25,974 potassae - 5,099 Q.uae ex acldomm et - argenti «^-«-^idi 5,889 oxiduli auri - oxiduli antimonii titanii 6.435 - his dalis oxiduli hydrargyii 13,072 26,667. computatae sunt rationes pondciî? 100 pattibus salis cujusciue neulri, scquenti tabula cx[)osuimus, compajationis eigo simul ex- basiuni in laiioncs liibentes per Quantitatem eriuas. expérimenta aquae ciiemicorum oncilYtxa ciysiallisaiionis in salibMs determioa'ani indicavinuis, tionibus et ba^es s-alium siccatorum. busque inter • ari(Li cliemicoruui a^alv^ium uuclorcs. appositia adjur.ctis nonauUis siniul propor- sigp!lica\ imus Noirsini- divcisarw» r» 640 641 642 643 computata acidum bjsis murialis — feiri oxiduli 43,62 — nianganesii — cobalti — niccoli — ceieiii oxidi — cupri oxidi — zinci — potassae antimonii 34,54,65,46 •ceierii oxiduli 33,6o!66,4o 32,37,67,63 per analyses acid. basis détecta aqua cryst. 644 645 646 computata acidum basis phospliatis — stiontianae — platini oxidi — palladii — stanni ~ cuprioxiduli — barytae — bismiithi — titanii — plat, oxiduli — hydiarg. oxidi — plumbi — argenti — nu — h ydr. oxiduli ri Oxalatis — aminoniacac — aluminne — nia^ncsiae — fciii oxidi — calcis 64? computata basis acidum per analyses détecta basis aquacryst. acid. 49,50 oxalatis calcis 56,25 — sodae 54,76 45,24 — ferri oxidiili 5 1,80, 48,20 — inanganesii 5o,8i|49j19 — cobalti 50,29 49,71 ^ niccoli 50,28 49, '/2 — ceieiii oxidi 49,4 i 5o,59 — ciipri oxidi 48,54 51,46 — zinci 48,o5j5i,95 — potassae 44,47 55,53 — antimonii 42,30j57,70 — cerer.oxiduli' 4 1,29 58,71 — strontianae 39,93 60,07 — platini oxidi 39,88 60,12 — palladii 36,72163,28 j 1 — < stanni 36,09 63,91 — cupri oxiduli 34,39|65,6i — barytae 33,06 66,94 — bismuthi 32,7o|67,3o — titanii 32,o5 67,95 26,52 — plat, oxiduli '73,48 648 1 649 per analyses computata détecta j :idiini j acid. basis basis aqua cryu. SLilphntis man- ganesii j::52,c6|:47,94 — cobalti — niccoli 51,8148,191 52,11147,891 Bei-zcUus !5i, 80 48,20' Tupputi I — cererii oxidi 5o,93 49,07 — cupri oxidi 50,0649,94 29,37 !•: 5 ' 25,63 45,00 3,40' 46,60 1 5o,77 49>23| Proust 3i,40j 32,30 36,30 ' Bcrzelius I |;:49,29 :5o,7lj I I zmci 5o,oi 49,99 31,46 32,09| 36,45 1 idem 49, 5o :5o,5o — potassae — anlimonii 45,94 '54,06 45,25! 54,75 IVenicl 46,21 53,79 Bèrzelias 42,00 5 8,00 Klaproth 43,79 56,2 1 — cererii oxidiili 42,77 5 7,23 — strontianae 141,39 58,6 — platini oxidi 41,34 58,66 37, •/4 53,81 41,22 :58,78 — palladii — stanni 38,14 61,86 l37,5o 62,50 cupri oxidiili 35,7 7 64,23 Mimoirii de l'Acad. T. VI. 845 Berzelius 650 con:putata icidum basis pcr anah'ses acid b,i~!S détecta aqiia cryst. sulphatis — biiiytae — bisiunlhi 344c 65,58 34,32' 65,68 j34,u5 65,95' 33,65 66,35 litanii 133,3966,611 plat, oxidiili 27,72 72,281 Beri-eliiis Jiydrarg.oxidi 27,07 72,93 i26,38 73,62 phimbi 26,35' 73,65 Bet'ZcUus 26,00' 74,00 KJaproth 25,75|74.25J 25,78; 74.22 Bcriclius — ami i6,i8;83,82 — lïydr. oxidnli'l5;82 84,18 16,00 84,00 Berzelius 66,67' 33,33 Berzelius arirenti 'S) xArseniatis am- moniacae 73,40-26,60 i -- iiluininae niagnesiae feni oxidj 73,35 j 26/0 69,56 3o,44 |64,38 35,62j calcis j 62,38; 3 7,621 — sodae 60,18 39,82 — feni oxiduli. 57,29 42,71 — nianganesii 156,33 '43,67 — cobdUi. 55,81 44,19 4i,5o| 36,50,22,00 Chenevix :53,2i 46,79 3 8,00 39,00.23,00} Buchoh. I 1 65 per analyîcs détecta coinputata acidum arseniciris acid bisis basis acjua cryst. co.•49,35 :5o,65 — niccoli 55,8o'44,20 — cereiii oxidi 54,94'45,o6 — cnpii oxicii 54,08 45,92 41,10 35,00 23,90 Clienevix ' ! :: — zinci — potassae 53,60 46,40 antimonii 47,78 52,22 -— r. 54,01 45,99 50. 00 50,00 — ceier. oxidtili 46,75 53,25 — strontianae 45,35 54,65 _ platini oxidi 45 3054,70 _ palladii 42.01 57,99 — stanni 41,3558,65 — ciipri oxiduli 39,5.5 60,45 ^ barytae 38,14 61,86 _ bisriuithi 37,75 62.25 _ litanii 37,04 62,96 _ plat, oxiduli 31^06 68.94 I —hydiarg-.oxidi 3o,35 69,65 — plumbi — arecnti 29,63 70,37 28,95 C9,63 70,37 Derzclius 7 l,o5 82 652 pcr coinputata aciduin asseniatis b.isis analyses détecta aqua cryst. acjd. b.i'iis 70,35 29,65 18,48 81,52 aiiri — hydr.o.xidtili 18,09 81,91 Acetatis ammo-i I I niacae — alciniinje — magnesiae — ferri -oxidi — calcis — sodae 75, 1 5 24,85 75, il 24,80! Richter | I 71,14 28^86 71,4628,54 '66,4633,54! Bei-zelius i ,'64,50, 35, 5o 64,22' 35,78 BcrzeJius 162,36 37,64' 36.95 22,9440,11 idem ::6i,70 :38,3oj 6o,36 39,64 ÎVcnzel — feni oxidiili 59,5 4^-49 — manganesii 58,5641,44 — cobdlti 158,05 41,95 — niccoli |58,04 41,96 — ceieiii oxidi 57,19 42,8 i i — cupii oxidi 56,34 43,66' 47,00 37,oo 16,00 Berzcîius i::55,95|:44,o5j — zinci — potassae 155,8644, 14} I 52,36 47,64' 49,85 5o,i5' Berielius 36,00 37,80 26,20 Richter .•48,57 :5i,43| 653 compiitata acidum accliUis pcr analyses détecta basis acid. basis aqua cryst. anti- 50,07 '49.93 monii 1 — cercriioxiduli 49,08 50,97 — stionti.inae [47,62 52,38 — platini oxidi 47,57 52,43 — palladii 44,25^55,75 I — stanni 43,57,56,43 — cupii oxidiili 41,76 58,24 — barytae 40,32 59,68 — bismiithi 39,9 37.66 55,73 6,61 Berzellus 40,33 :59,67 60,09 1 39,2 i 60,79 titanii 33;05 66,95 — platini oxiduli — hydraig.oxidi 32,32 67,68 — plumbi 31,57684.3 Strohmeyer 32,90 67,10 26,00 58,00,16,00 Tlicnard |::3o,95 :69,o5 I — argenti — auii 3o,8 7 69,13 I Berzeîius 21,80, 78,20 Strohmeyer 19590 80,10 — hvdr.oxiduli 1948 80,52 V \itratis ammo- 3i,23 68,77 ' • ' I j niacae 176,10 23,90] ! ! 67,62' 21, i5 :;76,l7 :23,83 1 r,23 Bcridhis 654 computata acidum basis nitratis pcr anal\'se<; acid. basis d**tecfa aqua cryst, aki- minae 76,05 23,95 — niiignesiae 72, 5o 27.50 — ferri oxidi — calcis 72,OOJ 28,00 Bucholz 70,00 3o,oo Wenzel 67,58 32,42 65,67 34,33 — sodae 63.55 36,45 — feni oxiduli 6*0,70 39,30 — maneanesii 59,80 40,20 — cobalii 59,30 40,70 — nîçcoli 59,2940,71 — CLipri oxidi 57,60 42,40 66,18 33,82 61,00 39,00 Bucholz 62,50 37.50 JJemel 6i,8i 38,19 Wenzel 61,30 26,70' 12,00 Bcrzeîius :69,66|;3o,34 — zinci — potassae — antimonii 57,12 42,88 53.56 46,44 53,80 46,20 BerzcUus 51,88 48,12 If'cnzel 48,40^ 47,60 4,00 Berzelius 5i,35 48,65 — ceieiii oxiduli 5o,32 49j68 — strontianae 4^'9i 5 1,09 :5o,42 — platini oxidi 48, 85!5i,i5 .-49, 58 655 1 656 computata basis acidum citralis pcr analyses détecta acid. basis aqua cryst. ferri oxiduli 161,43 38,57 ' — manganesii i j6o,5o 39,50 — cobalti 60,00 40,00 — niccoli 59^99 40,0 cereriioxidi 59,15 40,85 — cnpii oxidi 58,3TJ4i.69 — zinci 5'?,83 42,17 -^ potassae — antimonii 54,29 45,71 57,83,42,17 Beridiiis 5o,oo 5o,oo Fauquelin 55,55' 44,45 idem 5i,io 48,90 Riclilcr 52,08 47,92 —cereiii oxiduli 51,04 48,96 — strontianae '49,63 50,37 — pLitini oxidi 49,58 50,42 — palladii 46,24 53,76 — stanni i45,5 7 54,43 — CLipri oxiduli 43,7 3 56,2 7 — barytae 43,03^56,97 |42,27 57,73J — bismutlii 141,87 58, i3| — titanii 141, i5 58,85 — platinioxidiili 34,85 65, i5 — hydiarg.oxidi,34,io 65,90 Richter 657 computata acidum bnsis citiatis plumbi '33,33,66,671' — argenti 32,61 67,39 per analyses détecta acid. bnsis aqua cryst. 33,33 66,67 6400 3 1,00 Berxeîius 5,00 idem j ;:32,63 :67,37 — a un 2i,2iJ78,79 — hydr. oxjdiili 21, 17178, 83 Tartratis am- nioniacae — aluminae — masinesiae — feni oxidi — calcis — sodae 79,9i'20,09| 74»i3 25,87 Rlchter 79,85'20,i5| 77.70| 22, 3o idem 76,70 23j3o| 74,7'î 25,23 idem 79,00 21,00 JBucholz 69,70 3o,3o Richter 66,00! 34,00 Fauquelin 72,24 27,76 70,49^29,51 68,52 31,48 66,20 26,80 ' 7,00 Bucholz ;:7l,i8 :28,82 — feni oxidiili 65,8934,11 58,00j 29^00! i3, 00 Dcrzellus ::66,6l :33,33 — manganesii 165,01 34,99 — cobalti 64^5-3 35,47 _ niccoli 64,52,35,48 — ceierii oxid. 63,72 36,28 — cupri oxidi 62,91 37,09 1 MùntiresderAcad. T. VI, 658 659 Ex hnc comparatione patet , salibus ncLitiis a piopoilionGs pailium nobis computatas , plcriimque iis m conve- niie, qiiac per novissima expérimenta analytica erutae sunt; saltem non magis ab his discrepare, quam inter se diffe- runt consectaiia ex experimentis directe deducta. Ulteriora chemicorum tenta raina ostendent si in salibus nondam sàlis examinatis ea adliuc detegattir compositionis ratio , ipsis assignaviinus. Fieri quam utiqiie posse nobis videtuv , ut quibusdam basibus vcra halomeleogenia cum incremento in ponderis a radicalibus earum suscepti non quadrent, et ut propterea qualem acidorum iiomenis si eas ap.ud in quoque determinandis adhibuimus. niniis neque , talis abludere inveniatur nostra aedificatiuncula, post factas emendationes leminatum judicaturos esse , quorum jtidicii res neque quisitioni tantillam piv^ebuisse materiara. inaniter nos nostioruiu, speramus tamen béni- perperam d. sit, nonnullorum Quod si quandoque a veris phae- naturae evadere queat consentanea, gne correctio necessaria halomeleogeniis sit , non plane consummatiori alioriim dis- 17 Octob. 1814. 83! 66o EXTRAIT DES OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGiaUES, FAITES À ST. pÉtERSBOURG PAR FEU nK IKOKUOBT SOW a]sî;Ée mdcccvi d'après le vieux style , 7 rédigé par P E T R O TV. B. Frésenté à f la Voyez Tome Seiences de Confcrence le des Mémoires TI. St. Péteisbourg de page 224. Hauteurs extrêmes _, variation, milieu hauteur moyenne et nombre des jours , Paris^ du baromètre T Académie des. Baromètre. I. teur i8i5. i8 Oct. a été au-dessus arithmétique, auxquels de la hau- 28 pouces de 66i NB. m. signifie malin on avant midi, à m. à midi, apr. in. après midi, et s. soir ou après midi. 661 marque A. Janvier jusqu'au jours les i 365 de six mois d'hiver depuis l'intervalle i8o5 jusqu'au Novembre 1 8 1 3i Décembic i8o6, comprenant le de l'année. H. marque 1 de tonte l'année depuis l'intervalle Mai i l8o6, le comprenant jours. E. marque l'intervalle de six mois d'été depuis le Mai jusqu'au Ce x tableau Novembre i8o6, comprenant 184 voir fait 1) : que la i jours. variation totale ou annuelle du baromètre^ c'est-à-dire, la différence entre la grande hauteur du baromètre (28,98 pouces) et en- plus plus petite (26,88 pouces) est égale à 2,1 5 pouces; tre la 2) que (de 1,64 pouce) en Février, pouce) la en variation en Avril, cembre. baromètre a été la plus grande et la plus petite (o,52 de la hauteur moyenne du baro- être la plus grande (de 28,281 pouces) Août ; mètre se trouve du 3) que et la plus petite (de 27,696 pouces) en Dé- 663 II. l) Tempérât lires extrêmes de ratmosplière avec leur dinerence ou res riioyennes, bientôt après Mois Thermomètre de Mr. Dèllsle. viiricition, milieu arithmétique et: températu- pendcint les matins et les soirs, à midi midi, et ou pwir chaque mois de l'année iSo'î. 664 On voit (de froid ^\:\\k\ pnr précédent tablcan le degrés) 189,4 avait été et le 28 Décembre matin ; 2) que leur (de 108 degrés) fut le 26 Juillet la que i) : le plus le 20 Janvier plus grande chaà 2 heures après midi; 3) (jue la plus grande dilTcrence entre la plus basse et la 4*?, 2 plus haute degrés) température en Avril, de l'atmosphère a été (de et la plus petite (de 20 degrés) en Juin ; 4) que la variation totale ou annuelle c'est-à-dire, la différence entre la plus basse et la plus haute tem- pérature dans toiite l'année, a été de la soirs, se Janvier, et moyenne , température 6) aussi les trouve être la plus basse (de et qu'à inoyenne pendant 81,4 degrés; 5) que la la plus haute (de plus basse (de me ci-dessus, en Août. les 126,1 degrés) en Août; ou bientôt après midi , la et 168,4 degrés) en midi en Janvier, et matins 162,'? la température degrés) se trouve être plus haute (de 119,8 degrés), com- 665 g) Nombre Tatmosphère di, ainsi sous et des été, jours , pendant auxquels les la température de matins et les soirs, à mi- que bientôt après midi de chaque mois, au-desau-dessus thermomètre. ', a de quelques divisions principales dd 666 3) Nombre dos mosphère raidi a été, jours, pemiant et bientôt après sous qu'au-dessus du thermomètre. auxquels les la température de l'at- matins et les soirs, ainsi qu'à midi de chaque mois, tant au - des- et entre quelques divisions piincipales , 667 a Il et a il commencé gelcpoiir un intervalle où il de 234 à geler le tervalle de 134 jours. jours, pendant en H. i5i jours, La jours, en du 16 Octobre i8o5, conséquent Octobre •avoir 1806 un elle été ouverte le 16 Mai 1806, apiès et notamment en E. dernière fois le 16 Mai, il les matins et les et en ainsi E. 22 soirs, jours. a in- en A. 160 Il n'a gelé que bientôt après midi , em. H t5 jours et en E. 176 jours. rivière Nev;a, après fois En A. 28 Septembre 1806, après un a gelé, point du tout, à midi , A. 260 la Septembre matin i8o5, 25 le jours. pour recommencé Il ^e]ei clornièie la gelé avait à se après avoir été couverte de glacc^ debacla le 14 Avril intervalle de 18 1 1806, par jours. couvrit de nouvelle glace, pendant 197 jours. ^4 Le 26 après 668 ni; Vents. 669. calme, j que i6-h58-4-7 dominant l'cié : était 1 Jaovv qui l'a suivi i3-4-43-f-4, ou de i 8i dans : le L'éta t de l'a t rapport 160; 3) que dans l'année celui du Sud. IV. Moi^ E., mosphcre. de le vent 670 Le tableau précédent indique: jours entièrement Fiai et Juillet ; Décembre H. il dans le rapport de Cette année-ci Mai, et pour la que 2) on n'en hiver qu'en sereins a a été par que i) compté qu'un seul jour 44 il : 3) 47. neigea première fois pour le la dernière fois le i6 29 Septembre, après un jours. tonna pour la première fois le le 25 Août. fois serein ; y en avait prcsqu'aulanL qu'en été- E. i35 la dernière de Novembre et mois intervalle de 11 nombre des pins grand en Mars, le les le 24 Avril, et pour Enfin, cette année-ci on n'a pas observé qii'line seule parasélène le 17 Mars, un parhelie le 18 du même mois et deux aurores boréales le 7 et 9 aussi en Mars. ^eooooo^oooooi 67 1' EXTRAIT DES OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGiaUES,, FAITES À ST. PETERSBOURG ANNÉE MDCCCVn DAPRES LE VIEUX STYLE ^ P A K B. Présenté à la W, Conférence 6 Avril le extrêmes , vaiii^tion , milieu hauteur moyenne et nombre des jours , teur Paris. du baromètie lôi^»- Baromètre. I. ITautenrs P E T R a été au-dessus arithmétique^ auxquels de la hau- s8 pouces de 672 NB. m. matin ou avant midi, signifie et H a u t l s. u r apr. m. après midi, ou après midi. soir v.di.i- -. milieu aTithmc- Mois les plus grandes, pouces Janv.'o8,58 m. II apr. et plus ». 26,92 pouces tt toute journée li l' h.iutcur poi 1,66 27,75 27,623 m i,5o 27,87 27,978 Mars 08,67 le 1 1 apr. m. 2 7,37]le s. i,3o 28^02 2.7,980 Avr. J28,73 le 10 Mai ic>8,8o le m, 27,50 le 18 s. 1,2 3^28,1 i5 27,985 m. 27,5ole 12 s. 1,30^28,15 28,115 |27,54llçX2apr.m.0,6€ îî7,87 27,956 Juin. c848|le 3 1 apr. m.'c 7,96 Ie3s.elle4m. 0,52 28,22 28,185 luin Ic8,20 5 'VUr" Août '2 8, 33] le 17 le m. 22 «près m. Sept. '2 8,3-7 et «. Oct. 11 m. et le 25 rn. 3o |2i7,i-7le le ,48 27 s. et s, 2S m le ' pences Kévr. 28,62 le 1 8 apr. m. 2 7,12|le 11 2 hauteur^ moyenne, tique , petites , pouces jours le les I après m. i,i6J2T,75 28,084' 28 0,819 27,93 ^28,026 20 ,46r2 7-,69- 27,876^ i5 Icô^^ôile i-6 s 1 N'ov. |c8,46'le3ttlei8aprin.'2 7,l2!le 22 S, i,34|27,79 27.990 20 1,10 27,88 27,895 14 Janvier 1,88 27,86 2 7,974i -22 i3éc. |2 8,4t^!le 28,48 le 25 A. i28,80ilo 5 s. |2 7»29Jle 3 i apr. Mai 126,921e le II. K. ;28,73|le 10 Avril 26,83 :28,8o;ie 5 Mai 26,()(y ]c i m 22 Nov 1806 1,90 27,78 11 Oct. |i,84 27,88 27.734 83 M, 040 1I1. 6i3 A. marque l'intervalle de tonte Janvier jusqu'au 3l Décembre jours Novembre 181 année depuis le l i807j comprenant les 365 de l'année. H. marque 1 1" l'intervalle de six mois d'hiver depuis i8o6 jusqu'au Mai i le comprenant 1807 , joins. E. marque l'intervalle de six mois d'été depuis le Mai jusqu'au 1 Novembre 1807, comprenant 184 On voit par le tableau précédent du baromètre a lion totale été ïa : 1) que plus grande 1 jours. la varia- (de 1,66 pouce) en Janvier, et la plus petite (de 0,52 pouce) en Juillet ; plus 2) que la hauteur moyenne grande (de 28,i85 pouces) petite (de se trouve en Juillet, et 27,628 pouces) en Janvier. Ml moires de VActhl, T. K/. 85 être la la plus 674 TI. i) Thci mo inct ic de xMr. Dèlisle. Tcmpcraiiires extrêmes de l'aLmosphère, rence, milieu aiithmcuque, et l'état tins et les soirs, à midi choque mois dé l'année ou 1807. leur difTc- moyen pendant les ma- bientôt après midi, pour ] 675 Ce lc)blcau 189,4 degrés) la voir: fait clé en a que l) 1806 le plus grand froid (de 28 Décembre; le plus grande chaleur (de 106,9 degrés) que grande ditTérence de Jtiin ; basse.. et (de' 38, 8 3) la pi.us plus la . degrés) est que 2} arrivée le 6 entre la plus hayte^ tei.npératuies ^te^J'ûtmosphcre fut en Janvier, pluS' petite et Iq (de 19 degrés) en Octobre; 4) ^^^^ ^'^ température moyenne, pen- dant matins les basse (de et les soirs , 162,70 degrés) en Janvier, (de •124,60 degrés) en Juillet; après trouve se midi la température 5) . degïés) en Juillet, mi s.t^ qu'à moyenne 159,7 degrés) a.éié en Janvier, et et Jla la être la plus la haute plus midi ou bientôt plus basse (de plus hautei (d;e/i,20 1 1 ii./ oA I - 85 ir 675 q) Nombre des jours , auxquels la température d« l'atmosphère a été, pendant les matins et les soirs, à mi- di ou bientôt après midi de cliaque mois, au - dessous et au-dessus de quelques di\ isions principales du thermomètre. 6-7 3) Nombre dps jours, mosphère a été, penilant bientôt après qu'au-dessus thermomètre. midi et de entre auxquels les la tcmpératnre de l'at- matins et les soirs, à midi ou chaque mois quelques , autant au - dessous divisions principales du 6-/8 a II commencé à-dire encore avant a pour et il i^elc à geler le commencement de le dernière L\ un intervalle de après où en E., Mai, il a , il 2 25 gelé avait c3 Sep'cmbre iScî, En A. jours. poiu- recommencé à geler et a gelé, pendant les matins et les en H. jours, i5o jours, et en E. 10 de 12 Septembre 1807, le par conséquent après un intervalle de 124 Il notamment den-ière fois le la 22 jours. soirs, jours. en A. 172 Il n'a à midi ou bientôt après n idi en A. 264 jjurs, en H. jours et en E. La rivière 180 Newa, 28 Avril 1807 après midi, conséquemment i itervalle Le 1 après 24 matin de Novembre mais ce ne Décembre pendant la nuit , prise, 81 après avoir été converte de glace, le velles glaces , gelé jours. du 28 au 29 d'Octobre 1806, debacla jours. IL, 10 de Alai 1807, le fois c'est- l'intervalle fut un se de 182 formèrent de nou- que du 3o Novembre an qu'elle après avoir été ouverte pendant en fut entièrement 210 jours. 679 111. Tableau gténéral de Vents. la force vents pour chacjue mois de l'année et de la direction des 1807. 680 Les mois de Mars, d'Avril, de Juin et de Novembre ont été les plus venteux ; ceux de Janvier , de Février, d'Août, de Juillet et de Septembre les plus calmes. L'hi- ver IL a été un peu plus venteux que l'été E. , qui suivi dans le rapport de ou de i5o : 85 -f- 47 + i8 91 : l'a -f- 5o -{- 20, 161. Le vent dominant était dans l'hiver celui du Sud. 68i TV. L'étnt de l'ntmo sphère. 682 en avait aucun. Il plus, et notamment compté que un et i-ntervalle 11 pour pour du soir. en été qu'en hiver H., 28, la il la de 144 tonna pour et avait E. beaucoup' où on n'en la dernière neigea pour la dernière première fois le 2 fois du 28. Juillet à. le fois ic d'Octobre, après jours. première fois le 25 de 9 au Juillet 10 de Mai», à dix. heures- On n'a remarqué qu'une seule aurore boréale le a i5.. Cette année-ci de Mai, en y dixième et onzième heures du cooooo,^_coc.oc (faible) soir. III. SECTION DES SCIENCES POLITIQUES. 86» *^z DONNÉES STATrSTiaUES» SUR LES rRINGIPALES FOIRES DE LA RUSSIE P A R. Présente h la Conférence l^es foires forment le et font connoître commerce a- IIERRMANN, T. C. centre l'état des le i Novembre i8i4-» du commerce de manufactures les principaux choisi 1* intérieur du pays: points de Le réunion , le GouAcmemenf erï a crée' un grand nombre de moins considérables. quelquefois G' est à l'ombre d'un monastère, quelquefois sur une vaste plaine que le grand marché des nations s'établit. Un Gouvernement paternel respectera choix des ancêtres être n'existent difficile plus fait sous des depuis des de les transférer tort comme routes de grandes siècles. 11 qui peut est toujours même sur un lieu beaucoup plus commode^ sans faire les circonstances le au commerce. Les grandes foires commerce sont toujours «hoix libre de l'industrie nationale. du- 686 La foire de Makaricw. •1. De tontes les est plus célèbre la foires de *). C'est la Russie celle de Miikariew aux environs du Monastère du même nom, piesquc au milieu des gouveinemens orientaux et occidentaux de Russie que la les marchands de toutes les nations de l'Empire et des États voisins de l'Asie se rassemblent. Une nouvelle ville nait et disparoit an- nuellement, l'industiie nationale étale ses produits et ici qu'on peut porter un jugement impartial actuel. sur son c'est état Les Tatarcs et les Arméniens, les Géorgiens et les Buchares arrivent en grand nombre pour acheter des maeuropéennes nufactures de leur pays. •) .11 Cette petite ville paroit est vendre productions les que ce sont eux qui ont choisi située gouvcrncimnt de Xigegoiod, toit pour et rive g.mche de l,i Volqa dans Je la bi wcrstes de la vile de ce nom Ce- sur à un villigc habité par environ Q o p.iyssns appartenons autrefois au M.ikantw ^ct aprcscrit à la Couronne Ils vivoient ,cie MoDanèrc ^c forestière. La ville a ci!ii5 ma!^ons. Le Monastère t]ui rtt point central du plus grand revirement du commerce d'- Tinen Russie tut fonde sou^ le rignc du Grand Duc Wasili Wa- l'industrie devenu tcrieur le silcwitsch le tenebrtux vers la mo t é iln i «w s ècle , puis ruine |Jar 6:/o. La foire commence à la ,3 j et rétablit en fête de St. Pierre et continue depuis les prtmitrs jours du mois de les Tatares en i • 16 Août. Vis vis de iN'ak.iriew. sur la rive droite de la Vo'g.i se trouve le bourg Li>kowo à embouchure dune petite r.Vièrç du même nom qui fornie un port ou les nivircs arrivent pendant le tcms de la foire avec les prcdu ts volumineux de l'argriculturc t des naines. C'est ici le gr.md marché p ur le cuivre et k ter. p ur les cluv.iux et les cuirs non appreies. Les h.ibitans ont la réputation de laite dci luilcs de tiès bunnc qualité nuis étroites. Juillet jusq'iiu î^ !'• 687 Makaiiew pour autrefois La politique siiiiation lieu des d'échange avec les Russes, nations a changé, mais leur point de raUiemenL a survécu aux révolutions des Etats. L'année 1811 étoit une année de paix, nous la choisissons fane le tableau de cette fameuse pour foire. valeur des marchandises russes exposées au grand monioit à 32,;^6,ooo r. 1,224,000 r. à 1 Enfin la port de LiskovYO à 8,584,359 r.. 52,154,359 r. Les noms: dès très anciennes et son origine. Tion marché celle des marchandises étrangères valeur des marchandises russes apportée total La différentes- rangées de boutiques sont font connoitre l'état de ce C'est ainsi qu'il y a les^ au. commerce dès boutiques de toiles blanchies, celles des passemens d'or, la rangée ancienne et nouvelle d'Astrachan, celle de Sibérie, celle de de soieries, livres_, de draps et de chapeaux de Moscou et de Nige- goiod; suivent la première et la seconde ligne de pelleteries dé Sibérie, d'argenteries et de quincailleries, d'épingles de Jaroslaw, les boutiques pour l'échange des monnoies, les bouti- ques pour la bonneterie, pour les ustensiles, en cuivre et en étain; les armes blanches et fusils, les atteLiges, les cuirs de Pàissie et d'Arsamas,Jes jmagçs saintes, les épingles de Moscou^ 688 les modes et sonlicrs de d.imes, les marchandises coloniales, la porcelaine, les miioiis et meubles ont Icnis rangées particulièies. Enfin on voit les boutiques pom- les boissons, les bou- tiques des Tatarcs, les ustensiles en fer de Jaro-^law, celles pour le savon, les bouticjucs de l'Oural, celles des fruits, de tabac, boutiques des les et provisions de tdblissent dans bouche. les arts et métiers, Jusqu'aprcsent les marchands s'é- dilTérentcs files qualité de leurs marchandises. 11 d-e boutiques y a bien selon la quelques excep- mais peu considérables. tions de cette rè^le, des cordasses Nos données sur les difTérentes marchiindiscs arrivées à la foire en i8ii sont encore d'après les rangées des boutiques, d'où résulte quelque difficulté quand on veut classifier les marchandises; mais cette disposition est un document historique qui prou^'e que Makariew (îes marchands russes apportèrent au marché de les depuis le passcmens du savon d'or, et des 1 5 me siècle des toiles et toileries, de l'argenterie, des Soieries, des draps, fruits; que les manuf.ictiircs de Moscou, de Nigegorod , de JarosLiw , les cuirs de Russie étoient alors réputées et que les lalaies d'Astrachan , les l'Oural et de 1^ Sibérie visitèrent celte foire. peuples de Marchandises russes sans concurrence. Noms jjs march.indises. Valeur Noms en roubles. des marchandises. 55o,ooo pour les Ouvrages en passemens en or Arméniens et Géor- Perses, demi -perses, 2,870,000 se vend: en roubles. 455,000 toiles grises ou ra- doux, haches etc. surtout aux Bucha- res et Arméniens et toileries flandres 500,000 surtout en Russie, le reste aux Armé- se ven- dent en Russie niens et Tdtaies. 1 Coffres livres et cartes se vend: 1er, giens. vendouk, toiles de page 689 Valeur pour 300,000 tbls. géographiques et de Sibérie de Makariew, cabarets de Sibérie 5 0,000, les coffres se vendent aux Ba- chares, en le reste Russie 5q6,ooo, vontàKinap- et Serviettes pes, toiles colorées achta, la toile colo- Habillemens russes rée en Perse, le reste en allemands et Mos se ven- dent en Russie Russie pour 200,000 de M. Chapeau.x de 255,400, pour 200,000 de N. 540,300, Toiles ordinaires se ven- dent au.x Arméniens couetdeNigegorod vend: en Russie se Ouvrages en or et et se ven- en cuivre 250,000 se ven- dent en Russie en étain Cosaques 22,000 dent en Russie argent Ustensiles 558,000 et se Vendent en Russie Souliers, bottes et 127,300, se ven' bas de paysans dent en Russie Pelleteries ordinai- 1 8 3,000, se vendent Bouloirs de Toula et de Jaros- 365,000 law, fusils, couteaux dent en Russie et fourchettes se ven- en Russie etc. 100,000 se ven- 3o,5oo, se vendent Harnois et attelages Equipage en Russie dent en Russie 27,500, se vendent 700,000, en Russie aux marchands en Cuirs ordinaires et aux Arméniens foire Images saintes et 67,000 se vendent aux marchands autres Souliers tableaux Miel, poissons, ca- iar et chandelles vendent russes foire 7,700 se vend: au.x au.x marchands Ustensiles en boii marchands russes Moscou russes. Essuie - mains et petites se aux marchands en 141,000 se vendent de dames et bottes de 5,800 toileries 49,000 se vendent et Mèches aux paysans 3,oou fie vendent ea Russie en Russie . t 460,000 au.x Armé» Verrerie 628,000 se vendent Miroirs et meubles surtout aux Buchares et aux Arméniens niens et en Russie 5oo se vend: aux marchands en foire pour l'emballage. Total 10,293,000. JWarchandisps russes en concuirence avec les Jjioductions étrangères. Soieries fortes à la 3,960,000 se vend, Cotlonneries 5o,ooo 4,010,000 surtoutau.v Armén manière perse 6,400,000 se \ et soieries légères dcnl au.xGéorgiens Fils et l5o,000 se ven- petites i3o,ooo 6,530,000 168,000 dent en Russie cottonneries 3 18,000 Draps, mouchoirs 500,000 se vend: de nanquins aux Arméniens et5, 745,000 6,245,000 soie, et thé aux Russes DiBiétentes mai? 2,3oOiOOO vont 1 chandises en laine surtout à Kiachta 50,000 2,450,000 2,200,000 se vend Pelleteries surtout en Russie 40,000 2,260jOOO Argenteries, parfu; l,723,OOOsevenmeries, instriimens dent en Russie 20,000 ,1,743,000 de musique 120,000 se vend: ,|3^s,^e soie, bonà Tiflis, en Perse nets, gapts 6,000 126,000 162,000 1,162,000 70,000 i5o,ooo et au.Y Arméniens Perles, ambre jau- l,ooo,000,se ven ne, quincailleries dent aux Armén. en ver, épingles Tdtareset Russes ^0,000 Modes et schalls se vend en Russie Sucre, thé, vitriol, 230,000 se vend: sandal, couleurs en Russie 2,541,000 Porcellaine, faian- 20o,Qoo se ven- ce et crystaux Vins vie de dent Russie 3,000 2 15,000 714,000 1,914,000 1 eaux de et Kislar et 1,200,000 de Taganrog '2,000.000, le cuir Différentes chandises mar- Irusse se vend aux' Bucha-Buchares, va à Bro-; 2,400,000 4.400,000 »es et cuirs russes di et à Kiachta^ le reste en Russie Fruits et bougies 200,000 se ven dent en Russi< 9,000 209,000 J 0,0001 5 0,000 40.000 aux Arméniens et tatares 22,32 3,000 rbls. 13,230,00034,533,000 689 spmcrt des marchands de se procurer d'avance un emplacement. Le loyer des boutiques au grand marché et aux environs i3ii à 112,017 R. C'est montoit en loue pour le tcms de marchands En couronne qui les 18 13, malgré la dé- 1812, ce loyer montoit à 111,001 R. sastreuse année de Les foire. la la sont pressés si moitié du loyer d'avance. qu'ils payent 1811 qu'en C'est ainsi grande la ils a voi- ent avancé pour le loyer de 1812 86^169 rbls. en poiu l'année i8i3 76,339 - pour 1814 81,225 — L'histoire Li années dernières di^s écljircit 1812 eteni8i3 -, ces données, première indique l'état naturel des choses, là seconde "prouve combi:'n le commerce a du souffirir de que le commerce re- étoient les articles où Jes ma- i' ennemi , la troisième fait voir par l'invasion prend son ancien cours. Voyons aprësent quels 'nufactures nir et russes puis n'avoient ceux nous fera connoître (Voyez les où l'état elle point de concurrence à souteexistoit. Ce point de nos manufactures en 1811. tableaux pour la page 689.) M(moinidcVAcaiL T.yt. de vue ^7 6go n resnlte de ces table an.\' que les manufactincs russes qui prospèrent particulièrement- sont celles 1) de soieries légères, : mouchoirs de talTetats, mouchoirs et gilets de cachemire , mitivals, ceinturons, filatures et petites cottooneries ; on en apporta rubans , soie, à la pour foire la somme de 6,55o,ooo Roubles. grand marché de ces marchandises viennent Puis 2) toiles les dénominations- raontoient férentes méniens Géorgiens les , , c'est Géorgie, qui sous dif- et toileries ;i 4'^^4^'3o^ Tatares, les la Le •'• ^-^^ '^''" les Cliinois et les goût asiatique pour Perses les recherchent. 3) Les 3,960,000 4) Les marché est soieries se r. cuirs en dans fortes le vendent surtout aux Arméniens. de tout genre- pour Buchdrie , à Brodi , 2,968,300 à Kiachta r. Leur et en Russie. 5) Les petites marchandises en en Chine pour 2_,3oo_,ooo 11 lement qui vont surtout r. paroit que les manufactures étr-angères ne font nultort aux nôtres pour tout ces marché particulier en Asie vaillés LiiTie dans un genre q,ui et en articles qui ont leur Russie et qui sont tra- convient aux peuples qui les 691 recherchent et dnns lequel les étrangers ne travaillent pas, donc Voilci manufactures nos sans moyens arlificirl?. russes discs au étrangères. toient en échange prospèrent de mai-chan- tiers des manu- Les articles que les étrangers apporétoient: Des draps, des mouchoirs de j) tiers marche contre un «^rand factures y avoit deux Il qui natuiclles du thé pour 5,745,000 soie, da nanquin et r. Comme le commerce chinois exi,ge absolum.ent le drap contre le h quel chinois aiment stntout troquer le thé et les nanquin, on trouve ces marchandises réunies aux mê- mes boutiques, marchandises 2) coloniales et des couleurs pour 1,541,000- r. que 3) Des marchandises les Buchares apportent pour 2,400,000 D'où ne sont il pas pour nous avantages ne sont pas 1) que encore parvenues faire l'^s j)lus resuite asiatiques en laine et en cotton nos à r. de manufactures ce degié de drap perfection passer de celles des étrangers malgré olTeijs les à draps tctis D'ailleurs ce de première qualité qui sont les nos entrepreneurs. recherchés dans commerce chinois, mais 1rs draps prus« Si * 692 Le manque de ces draps moycnm? qualité de siens dant quelque tems a dû considérablement renchérir le marchandises 2) Les de teinture bois qu'on: trouvera, coloniiiles , pervthé. couleurs et le les soutiennent nos manufactures jusqu'à ce moyens des pour, remplacer par des les produits, indigènes.. buchares: font 3), Les. cotroneries peu si tort à nos cot- tonneries que ces dernières sont dti nombre de nos factures les Il Y a manu- plus florissanies. encore des mnntifiictur^s fabricpies et nisses qui ne sont pas de l'importance de celles que nous- avons indiquées,, mais qui 1) 2) paroissent prospérer,. sont les chapeaux Russes apportés à la foire pour 400,000 miroirs les meubles et savon. _ - 4) dilTérens ouvrages en fer, 3) telJs le .. r». _ ^ - 62.^,000 — _ - - Soo.moo _- cuivre, étain - 971,1100 — Un commerce très considérable se fait en perles unes, ambre jaune Les etc.. 11 montoit à un million. pelleteries russes tandis; que petite somme de 40,000 les 2,220,000 de r. ne sont marquées que pour la, montoient étrangères , les à vins de Tà^anrog et les eaux-de-vie de Kislar surpassoicnt celles des liai quautiié^, notre faiance et nos cry.slaux étran^^ers pour. de même,. — •• • . 693 un coup lettons d'oeil produits , les bord de la rivière tout est national et la ici montoit iiKitchandises l'autre L'agriculture et les mines exposent an port de Liskowo. leurs sur à 8 valeur de ces millions et demi. Parcourons principaux arlicles i) Cire _ _ Poisson salé Caviar Huile de produits agricoles- — lin — — — — — Potasse Chevaux — Goudron pour — — — — — CfTanvre- __ 108,490 roubles 10,175 — 20,910 — 12,000 — ~ — — — — — — total 2) Cuivre de fonte — CoxYie blanc — — 18,720 — 112,725 — 29,50O — — bètes à cornes — — — — — lièvres — — moutons — — •— — chevaux- — — — - 38,2 5 O 232,9-31 — Peaux de rennes — 411,480 72,386 — — — — 339,587 — 6 50,47 5 — 2,057,729 roubles produits des mines _____ — __ _ 1,620,1 85 roubles 12,880 — 694 non ouvré fer de diffcientcs fer ouvré ______ fer de fonte — ^ _ Acier Souffre qualités- — _ _ __ _ — _ _ _ — Pierres à moulia . 4,007,738 roubles — — — — — 414,579 — _ — _ 58,584 69,068 2 5,OQO 126,300 6,334,334 roubles total de ce tnblcau que Malvariew est le non apprêtés et le commerce en chcviuix, en cire et en potasse y est résulte Il marché pour cuirs les du tjbleau qui antres produits agricoles quées ici se Mais consument à c'est surtout la foire et que grdnd considérable, les n'ont pas clé mar- aux environs. par son commerce en métaux ou- vrés et non ouvrés que cette foire se distingue, la quantité de fer non ouvré cuivre est grande. ' est réellement étonnante , combitm cette du Voilà nos fabriques naturelles. La comparaison des années 1811 noitre celle r)ire avoit pcidue et 181 3 par fera con- l'invasion de l'ennemi , quelles mdnuf<jctutes bdis5oi<fnt et quels aiticles se sont soutenus ? 695 Marcliandises 1.1 toirc apportées de Mak.iricw à 695 Marchnndiîes iportées ï la foire df Mak.iricw de dîmes et bottes de Moscou souliers en i8i3 plus pour 14 1,00^ r, 5o,ooo 40.000 i36 000 3,771 '0 ° 1,763,600 porcelaine, f.iiance etcrystaux 21 T, 000 3^0,000 miroirs et meiiblcs 6 8, '00 <?4i>'^oo 1,914,000 2,3'i7,ooo 4,4of^»ooo 35 1,000 3.a'^4,ofO ouvr.i2:es en ftr, doux, haches 455, or o 1,146,000 104,000 savon 5oo,ooo :i5o,ooû 493,600 i56 40 s5.5,4.oo 9.; petites toileries sucre, thé. vins couleurs eaux et Kislar tt de vie 91,000 87,000 ioo7j5oo 1 i5,ooo 386, 5oo de deTaganrog 293,o'^o diftcren tes marchand iiPS Bu, chaies et cuirs de Russie coffres et cabarets ha'^illcmcns russes et r.lk et bougies fruits grosses toiles tjbac souliers, QOQ,oao 80,100 540,300 384,5oo 22,000 3,000 17 000 8 .700 117,300 45,600 pelleteries ordinaires j8'?,ooo 188,600 horlogerie ÔOjOOO _QO,O0U équipages 3û,5oo nattes '27,500 Diiel , 129,000 1 55,800 bottes et bas pour paysans les S,10t) 7,500 poissons , chandelles • • 697 La fdire nnfactiues avoit donc presque baissé d'un de Moscou ëtoient celles de Sfnoknsk. avoient en grande beaucoup tiers, pariie souffertes, les ma- ruinées, de la là diminution considérable des cottonneries et soieries légères et fortes, des perses, des marchandises en laine, des argen- A cause du manque des capitaux de Moscou les mar- teries. -chandises coloniales devinrent rares et le commerce avec les Buchares languissoit. Les manufactures qui se sont soutenues k foire ou qui ont peu perdues étoient les toileries de Ja- roslaw , toutes les autres ont considérablement diminuées, la ou d'un Au contraire les passemens d'or d'un tiers qui ont leur marché en Géorgie et en Arménie, quart. la bon- neterie, les petites toileries, les porcellaines se trou voient en plus sont assez Taganrog tout et grande quantité bien soutenues , et de remarquable à la les Nos foire. de vins et eaux - de - vie Kislar ont gagnés, mais c'est pelleteries- se la tjuantité ce qui est sur de draps, de nanquin de thé. Marchandises arrivées au port de Liskowot i) cire — produits en 1811 poisson salé — — _ -, _ caviar Mémoires de rA(ad. T.A7. agricoles 108,490 en 181 3 7,75o 10,175 — — — 2O3910 - — 500 ^^ • 698 huile de lin en 1811 12,000 en 18 13- chanvre — — — — 38,2 5 o - — 18,720 — — — 112,725— _ — - goudron potasse chevaux cuirs ~ de bétes à cornes — — — — — — lièvres— moutons — chevaux — — ~ 41 1,480 — 72,886 — 339,687 — 650.475 — 282,931 — — — — — — — — 2,057,729 2) rbls. cuivre fondu i,620,i85 cuivre blanc 12,880 non ouvré pierres à moulin fer ouvré fer de fonte acier souffre pierres à firipperie 3o,000 — — 9,100 — 47,350 produits des mines en 1811 fer — — — — en 1 8 1 3 roubles cop. 223,435 4,007,738 2,385.646 126,300 69,000 414*579 248,561 58,584 76,120 — — 69,068 268,501 25,000 3,33o moulin 126,300 69,000 6^334,334 3,284,593 65,800 4,400. 60 699 Les disparu produits presque avoient agricoles chevaux étoient les tout à fait à la foire , marquant, les productions des mines avoient diminuées de la Les suites de moitié. plus désastreuses la guerre le donc furent pour l'agriculture que seul article pour encore les mafnu- factures. On vend ordinairement que plus chandises apportées à la foire , des marchandises arrivées en ainsi c'est i8i3 moitié des mar- la que la valeur étoit de 30,915, 85o dont on vendit pour 19,444,870 reste Le rapport général le commerce a 11,460,980 sur la foire de repiit son tées à Il est dit la foire comme en 1811 dises avoit été : que la ait pu 5o que plus que vendue , est étonnant il arriver en si peu de valeur des marchandises appor- avoit passées et 1814 prouve, que ancien cours, et que ce changement heureux tems. roubles. millions la de roubles tout moitié des marchan- comme c'étoit arrivé même pen- dant la foire de 181 3. Voici encore quelques détails sur la vente de 1 8 1 3, les soieries fortes à la manière perse ont été bien vendues puisqu'il 700 y en avoit 'moins qti'jutiefois, car de la valeur de 3,069,(300 vendu pour 2j08o,000. Les passemens roubles, on a de même de 58o,ooo, on car , d'or vendu pour 435,000» a mais les cottonneries et soieries n'ont pa^s été recherchées,. à peine en a t-on vendu un de la tité peine vendu la que quels on n'a voit apporté la surchargé et étoit Le commerce en manquoient. les acheteurs marché en le grande quan- nanquin et thé on a à de draps, mouchoirs de soie, moitié , et tiers, livres , des- moitié d'autrefois, alloit encore pire, on n'en vendit que pour 4,000 roubles d'une valeur de 147,000. Les serviettes et nappes et les vendit jusqu'aux deux comme aussi ustensiles les et petites cottonneries , fils pelleteries alloient la faiance ^ en cuivre et en meubles ne le étain. Les recherchées, de i,763,5oo vendu pour 1,41 5, 5oo, mais les on en bien, mais Targenterie alloit mal tiere , marchandises coloniales furent roubles, on a les furent la pas. porcellaine^ Les vins de un et les eaux de vie de Kislar grand débit, car malgré qu'on en eut apporté pour deux Taganrog millions trois cents mille roubles, ou plus qu'en 1811, il 676,000 roubles. Un la foire il de Makariew eurent très presque pour 400,000 n'en restoit que pour des plus renommés de articles consiste en lès la valeur de manufactures buchares, n'y en avoit pas le quart d'autrefois, mais ce qui s'^f 701 trouvoit fut assez bien vendu, delà valeur de 1,1 46,000 roubles on vendît cle très recherche, tabac il Le pour 748,000. vcndoit se il un iuti- presque tout , quant au n'en restoit qu'un cinquième, l'horlogerie se vendit mieux que les équipages. Des personnes entendues dans merce ont calculé qu'à capital fut encore sa-von foire la de 30,91 5,85o roubles admettant le les de 1 alTaires 8 1 3 il 1,868,365 de ce com- y eut sur ua de profit. nombre rond de deux millions sur 3l , aiuoit 6 i pour cent , profit assez modique qui se En on trouve dans tous les grands rcviremens *). 2. 1. Les produits de et en fer, nufactures les des marchandises *) a foire d'Irhit. la Sibérie en pelleteries, en cuivre marchandises chinoises de Kiachta, les Buchares arrivées par européennes par Moscou Orenbourg et et males Archangel Des voyageurs instruits assurent: qpe dans les années communes il y avoit jusqu'à trente millions de roubles en argent blanc sur la place, et que le revirement des marchandises montoit jusqu'à trois cents millions de roubles en assignats; que les marchands detrentedeux Gouverna mens se reiidoient à cette foire et la noblesse de six, que le total de la population montoit à 3oo,ooo personnes ; qa'on vendoit pour un tiers de marchandises en argent et pour un autre tiers à lettres de change. Le grand marché fut consommé par les flammes en itiiô et la foire transférée à Nigegorod en itiij. * 702 (Changées depuis fuient Gouvernement de Ferme, de rivière la foiiC se tient Irbit au bourg Irbit au bourg d'Irbit à une Averste de l'emboucliure nomment Tatares les Irbcc. La environ trois semaines. Le et elle dure fondé en i633 fut tout près de grand marché siècle de l'hiver a la mi Janvier pour pro- fort du trainage, fiter que 17"'® le la nommé ville en 1775. Le forme un carré cathédrale en bois qui contient 91 boutiques, et deux autres rangées de boutiques dans Aux envi- en renferment 58. l'intérieur rons on construit pour le tems de la foire encore d'autres où boutiques, boissons et des est tour , vend les provisions de bouche, des marchandises peu considérables. La ville de palisades et a deux portes, l'une sur le entourée chemin l'on de Tobolsk , l'autre sur le chemin de Wercho- qu'on ferme le soir pendant le tems de la foire. Les données que nous avons pu consulter se bornent à Vannée de 1814, où à se ressentoit encore des désastres Les marchandises arrivées à Moscou. évaluées l'on la somme de 5,01 5, 800 r. argent comptant pour 2,7 74>85o €t à crédit pour 1^097,850 3,771,910 roubles. la foire furent dont on vendit 703 Il pour donc eut y vendu, mais plus anciennes les pour 1^ r. de manque d'argent le de lettres prochaine 1,143,890 change On atiroit reste. trop sensible, étoit durent être prolongées de Rlakariew. Des 149 boutiques foire du grand marché, c3 étoient restées vuides et rons on ne comptoit que 32 boutiques. aux envi- Le nombre de mar- chands étrangers montoit à 25l, les plus nombreux étoient ceux de Catheiinenbourg 28, de Tobolsk 27, de Moscou Kasan de Tioumen 12; i3, 20, de étoit plus nombreuse. Les cottoneries étoient l'article autrefois la foire qui se tronvoit en plus grande abondance, 29 boutiques en étoient remplies, les manufactures européennes et asiatiques montoiant à la valeur de 1,798,000 r. et se vendoient à meilleur mar- ché que l'année passée. Dix boutiques pour 275,000 à tité la r. foire renfermoient Le thé et Les qu'en les soieries 181 3, le filatures et le thé se trouvoit en revenoit à 80 que l'année passée, marché, mais du r. et du nanquin trop petite quan- plus cher la caisse nanquin au contraire étoit à bon avoient rencheries. drap se vendoit à meilleur marché les pelleteries étoient en assez grande quan- . 704 comme mais nombre des acheteurs tité à étoit plus grjnd que l'année passée, elles se vendoient à la foire , le lo pour cent plus cher et encore au delà. En ar^^enterie enivre de des mines tre une avec le pas en r. petite r. en r. En ustensiles quincaillerie et Le produit ouvjé pour 2 3o,000. fer épingles donc pour cette foire quantité d'étain qui se trouve confondue Le se vendit tout, le cuivxe étoit bois de sandal. bien, si 52,000 pour 8 5,000 pour y eut pour 2 5,ooo il fer mieux, quincaillerie .la de 392,500 l'argenterie r. ou- assez bien En porcelaine et en faiance on trouvoit pour 120,000, r. dont on vendit et un quart à Le povl-é sucre La r. fut piesque tout vendu. fit et on avoit ap- en vendit pour 199,200. alloient assez bien, de la valeur ne débita que la moitié de ses marchan- montoient caracicristique qui ne r. On en on vendit pour 65^500. librairie qui quarts, la moitié pour de l'argent, crédit. cuirs apprêtés 72_,900 dises trois pour 209,200 Les de les qu'elle à 10,000 est la point 'de crédit. r. mais elle seule eut cela de branche de commerce 7o5 Xes couleurs pour 25,000 Le r. furent papier d'écriture prix pour ces contrées. •ce très recherchées, y en avoit il et on en vendit pour c^^ooO' est une marchandise de grand On en ^àvoit apporté pour 78,950 r. qui est beaucoup en proportion d'autres et on iirticles vendit pour 62,000. •Les fruits font encore du commerce article on en avoit apporté pour l3o,6oo 'de Sibérie, comptant dît argent un grand pour 68^,860 r. à et et ven- crédit- pour r. 6o,35o, total 129,210. La de le 3 de nature le faire change forçoit les marchands On payoit pendant la du cuivre contre des petits assignats de 2 à du rouble k. 'marchandise la de plus crédit. et le -rouble d'argent 3 r. foire 80 k. jusqu'à 10 k. en billets. 4 r. Le commerce dans ces boutiques construites pour le teras de la foire commerce et eiî aux environs du grand marché où poissons, se fait le en tabac, en houblon, en boissons provisions .de bouche étoit , proportion gardée , plus actif que celui du grand marché. Ces 32 petites bouti- ques renfermoient pour i. on en vendit pour et 1,243,600 7 83,700 r. de marchandises ex comptant pour 264,700 à crédit total 1,048,400 roubles. nUmoirc) de VAcad. T. VL Sp ':o6 La d'Irbit foire été a anlrcfiiis plus consMcrable et comme elle fur ])<nticiilièrement fournie de i\]o:-;cou, eUo n'a pu se relever aussi tre de la avoient En Russie, très l'ordinaire, de nous avons d'Irbit, dont née où le être comparée commerce à la et de foire malgré que Makariew , de la foire tableau pendant une an- le que Makariew jours pour la Sibérie ce la encore très gêné , étoit foire y en '^a voit beau-; il 8 i3 que dei 79,410 roubles. j fait Moscou de revirement à le données que ces plus au cen- situé miirchands les 14 surpassoit celui de resuite Il 1 8 peu de marchandises coup moins qu'à 1814 ne que M.ikiiricw vite ne sauroit elle tou- est pour la Russie est européenne. 3. La foire de Rom en. Les foires de la Russie et pour aprésent tantes Makariew pour une seconde a. pour certaines la et d'Irbit sont les premières classe jéunit de Poltawa avec le quatre foires , est de située foires qui La contrées. de foire sont impor- Romen l'est Cette ville du Gouverne- surtout pour la petite Russie. inent Nous venons Sibérie entière. sur Dnepre par la la rive, rivière Soula gauche. dont celle qui commence a. La la fête qui se ville de a St. 707 Elic est pins réputée, «lie dure depuis le 20 jusqu'au la 3o de Juillet nom d'une mérite le et fcte La nationiile. noblesse des Gouvernements limitrophes, un grand nombre personnes de o;uées s'y Une faires. foire chandises arrivées dans sentir aussi pour 8,59i,85o k 3,802,525 de 4,789,325 r. la sur ces foire que la surpassé ces a La valeur des marla de foire manque St. Elie d'argent se et on ne vendit que donc un reste considérable contrées eut y il le et fait af- dommage qu'il n'y a pas plus aussi intéressante. Tout ce qu'on nature de ce commerce c'est qu'il est surtout pour calculé Mais r. C'est bien r. de détails sur une sait monde beau pour 1814 en distiii- s'amuser que pour même celle d'irbit. années fit personnes les plus marchands des visitée deinicies montoit de affluence telle très est les enfin titrées , rassemblent plutôt pour les premières classes , parconsequent on y trouve les soieries, les cottoneries , les toileries étrangères et russes , les quincaillerie en modes porcelaines , abondance. plus remarquable ici , c'est le crystaux , argenterie, Quant aux autres tabac d'Oukraine articles le qui se vend en grande quantité. 4. La La foire de Korennaia Poustina. religion a fait naître depuis plusieurs siècles cette 89* 708'foire célèbre. cette foire i3oo Monastère près duquel le à 27 tient est situé se d'OreL droite de Id grande route en ou L'hêimitage la bannière de la Averstes C'est de Koarsk à ici qu'on, trouva Vierge placée sur un tronc St. même de- la: nativité^ d'où vient le nom de En 1597, on y bâtit rhérmitage du tronc; (Korennaia). d'arbre le jour une belle en pierre en honneur de la nativité de la église Vierge, sainte une puis trouvé la bannière C'est de la Un pied, d' une au située bel orné de rins à montagne sur la Touskara. rivière degrés ,, large commode, et colonnes en pierre et cotivert,. conduit l'endroit les pèle- le saint où parut pour montagne.. Bientôt le monastère eut une sur, la' 'enceinte en pierre Gouvernement la: première encore une église; et fois Mais 1612 son Monastère eut en en 1618 qu'on transporta ^ille^ fondemens de cette église les i3o de escalier, 'étendard du qu'une source d'eau vive jaillît ici quand on posa terre à l'endroit, où l'on avoit autre la la ville et c'est bannière de l'hérmitage à la mais on la rapporta toujours à l'hérmitage en grande procession, procession se mense. le Mais vendredi; pendant 149 fit Depuis marqué que minué.. neuvième le 1767 elle après ans^. et ne Pâques. attira, un se fait Cette monde iœ- plus et on a re- nombre de pélrsins a considérablement dilai foire qui. a, pris. son. origine, pendant les, i •709 peuple céremonicns religieuses bords de la Tonskara , les seigneurs rians chevaux en ceux cWevaux est mencèrent foire Le commerce se fit les d'abord des environs les vendoient ù venoient en pcJerinagc, et encore le marché eu c]ui ici leur Les considérable. très inseiîsifolertTena; de produits annuellement encore .payer >a industrie les acheteurs chevaux pur et c'est ainsi que comles s'établit la près de l'hérmitage du tfone.' IPÎus de cent familles dé gentilshonimes établissent su| la pelouse leurs tentes,, d'autres font construire des maisonnettes en plajaches ou en-claye, chacun a sa fantaisie. Un petit bois pxès dé la rivière sert de point de et C'est réunion. près 400 Environ villages. Delà parcoiut diins le l'oeil lointain nombre de boutir[ues s'élèvent sur la plaine, marchands de Moscou et d'autres Gouvernemens étalent leurs le les tentes maisonnettes ^sMtablissent. les une vaste pwi rie et découvre les de-ce hais que marchandises , bois une foule immense se répond depuis sur la prairie autour du Monastère, le long des boutiques, aux environs de la rivière et se promène dans le bois; les uns sont en ^iTair^es, d'autres vont en pèlerinage, d'antres s'amusent. marchands de St. A la foire de 1814 Pétersbourg , de Moscou , Jl y eut des de Jaroslaw, de Twer, de Novgorod, de Kalouga^ de Toula, de Tambovv,. d'Oicl, de Woronesch, de Charkow, de Jekaterinos- • . 7 >o de T.ïg.inrog, liiw, du de .\\ichitschewan, ville commerçante CîoLiveineinenL de Jckateriooslcuv située sur le Don, des marchands de Kisiar, de Kiew, de Clierson, d'Odesse, de Nigecforod, de Tscherni£;ow, do Poirawa, de Kasan, de Kasimow, de Staracloub, de Kostroma, de Sousdal Leurs marchandises montoient à Les articles les - — et d'autres villes. 7,616,000 roubles. plus marquans éloient - pour 984,000 roubles 476,000 — ~ _ — — — 2 75,ooo — — peaux de lièvres et de moutons 267,000 — — 596,000 — ^ — — — — 345,000 soieries - cottonerie _ - toileries — — draps — argenterie et modes »- pelleterie _ perles cire -. - _ ustensiles en fer couleurs et viiiiol chapeaux — ustensiles en cuivre — — — — — 974,000 546,800 860,000 48^'^^*^^ 94,000 26,000 169,800 — — — — — — — — Vins et eaux de vie de Taganrog, de Kislar, Odesse et Nigen pour - 95,000 ustensiles en bois — — 40,000 — — -Jll On remarque suitonr ces ustensiles en bois faites d'une mcinière très élégante par les filks des villages d'<ilentour qui les mettent aussi en couleurs tiiéesde plantes sauvages. Chevaux cosaques et des steppes de Id Tauride pour 3o6,ooo roubles , mêmes contrées poissons salés arrivés des 99,600 roubles. Le beau ou mauvais tems le influe succès de cette foire; malheureusement continuelles étoient pendant affreux. foire la vendit que marchands furent obligés on tïouvoient pas il 1814 pour 2,865,000 de vendre à sur le y eut des pluies et C'est pour cela qu'il y eut ne et de infiniment r. les chemins peu de monde Beaucoup de tout prix et ne même à qui laisser leurs marchandises. 712 RESULTATS STATISTIQ_UES SUR L'ÉTENDUE DE LA SURFACE ET SUR LA POPULATION DE L'EMPIRE DE RUSSIE DEPUIS I805 JUSQU EN X8ir INCLUSIVEMENT P A R C. Présenté à J'ai calculé HERRMANM. T. la Conférence données que les 5 Avril le je i8i5. possedois d'abord par tGouvernemens -et puis par plateaux. Première partie. Résultats statistiques sur l'Etendue et la Population de la i.VEtenduc 1. delà iurface, . , , degrés B^'ssie par -Gouvanemens, Etcudue. L'Empire de Russie t\-^ j latitude xt , , ^ord jusqu au «onie 78 s étend et depuis le 43 occupe parconse- qucnt un espace de 35 degrés de de 38° 5o^ jusqu'au 208° de ?' étend depuis le Ferro, ce qui fait un total de Sa suiface est environ latitude. Sa longitul'Isle de 169^ degrés de longitude. de 295,1 52 milles carrées ou de 1,478,258,146 Dessatines. 7i3 Dans espace cet ne sont pas compris Don non \ elle la : le pays des Cosaques du les nouvelles conquêtes faites sur les Turcs et les Perses, la Géorgie, la steppe des Kirgises^ les posses- Finlande , Tarnopol, le , district de de la Compagnie Américaine et Nowaia Semia, puis- sions que les données sur leur étendue ou manquent enticrcmeni ou paroissoient suspectes. De cette étendue de 295,152 milles carrés vernement d'Irkoutzk occupe environ 127,088, Tomsk 85,387, celui de Tobolsk et de le Gou- l'étendue de la Sibérie est donc de 2 12,5 7 5 milles carrés , reste pour rés. Nos données la Russie européenne 82,67 7 milles carl'étendue sur des Goiivernemens midi Cathciinoslaw et Cherson , Astrachan et sont du tems où rinosldw et la et ces Caucasie Gouvernemens étO'ient réunis. 2876 carrés, Cherson ont Caucasie la 5742. milles Cathe- Astrachan Les autres Gouvernemens suivent dans l'ordre suivant selon l'étendue de leur surface 1. du 3 714 - ~ Waetka — — Nowgorod — 8. 6. •;. 9. 10. 11. 12. 1.3. 14. i5- Olonetz 3,147 milles carrés — — 2,06 — — Kostroma 1,808 Minsk — — 1,755 — — 1,434 — Woronesch — Simbirsk 1,408 — — ~ 1,327 — Podolsk — — 1,284 — Wilna — 1,170 — Tschernigow 12,221 — — 17. Volinsk — 18. Tambof — — Kasan 19. — 20. Smolensk 16. Twer 21. Nigegorod -— 22. la Livonie — 23. la Tauride — — — 1,1 35 — — 1,072 ij044 — — 1,008 961 — 953 — 83l 8o3 — — — 8oa 27. l'ancienne Finlande 781 Orel a5.- Whidimii 26. Pleskou q8. Pensa _ _ zgj St. Potersbourg — 1,1 32 ~ 24. - — — 795 77.7 7.74^ — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — _^ — TiS 3o. — . 716 pour base poitoicnt est l'dn 36,329,962 1810. Les états personnes des Capitales, le militaire, les peuples ces nouvellement aquises. siii: la population deux sexes nomades et sans les les provin- Ici commence le Gouvernement de — 1,391,626 iiabitans. des deux sexes — — — — — 2. Koursk 1^212,703 — _ _ — " 3. Podolsk 1,138,968 — — — — — ~ 1,137,281 4. Kiew — — — — ~ 5. Volinsk 1.112,783 — — — — 6. Moscou 1,108,20g — 1,077,662 — — — — 7. Tschernigof — — — — — 8. Tambof 1,029,778 — ~ 1^024,5^4 — — — — 9. Orel — — — — 10. Twer — 1,009,249 — 979,426 — 11. Woronescli — — — — _ — — — 12. Waetka 949,988 13. Perme — — 940,078 — — — — — — — — — 14. Smolensk 919,828 — — — — — i5. \\'ladim,ir 907,469 — Res.in _ 16. — — — — 903,769 — — — — — 17- Toitla 896,972 Xige^orod — — — — ~ 879.897 — — — 19. Simbirsk — 854,090 1. Pultawa avec • - , " 1-3. 20. Minsk — 845,248 ^ ,_ — — m 2 i. Charkow avec — C2. Kasan — — 2 3. Saratof — 2 4- Kostroma 2 5. VVilna - 827,000 — 821,862 — 8i3,i32 -— 810,391 — — JarosLnv 2 — 28. Kalouga — — 29. Piensa 30. Oienbotu-o: — 2 6, 844'^36 habitans des deux sexes Mohilei 7. 806,763 797,641 750,967 745,574 736,725 — — — — — _ Pleskou — 719,781 32. VVitebsk — 707,638 33. St. PëteisboLirg 666f66g — — — 34. Nowgorod 635^81 — 35. Wologda — — 3 i . 36. Giodno 37. la 586,836 — ^ — 573,611 — — 427,066 — Livonie 38. Tobolsk 39. Ccitherinoslaw 40. Id 41. Irkonrzk 416,55a — Courldndc -- — — 43. Cherson — 44. la Tauïide 42. Tomsk 606,547 387,439 376,740 293,967 — — — ^ — 280,406 25j,825 — — _ _ — _ — — _ __ — __ — -^ _ — _> __ — _ _ — _ — _ _ _, _ >_ _— ^ — — _ — — — -« _ — — __ — — — -_ — _ ^ _ ~ _ — _ ^ . ^ — — ^ — — 1 45. l'Esthlande avec — 211,170 habitans des deux sexes 46. Archangel — 20i,3o5 47. Olonetz — 199,549 — 48. la Finlande — 49. Biaîystok — 50. Astidchan Si. la Caucasie -- - — — — — — — 195,822 193,903 68,63 62,773 — — — — — — — — — — — — — — — — — — Les capitales se trouvant sous un Gouvernement particulier ne pas sont Gouvernemens comprises Moscou de et dans de population des Pétersbourg. En la St. 1814 la population de Moscou éioit de 124,553 hommes et 61,520 femmes de 1 Celle de St. 86,o55 individues. Pétersbourg consistoit en 243,620 hommes et 100,457 femmes 344,077 personnes total des deux Le 530,132 habitans capitales. militaire circonstances ne dont le nombre doit changer selon sauroit être évalué à moins de les 600,000 hommes. Les peuples lion ti nomades qu'on peut évaluer à un mil- demi ne sont pas compris dans la population des •J19 Goiivernemens puisque les Gouverneurs ne qu'ils habitent, marquent ordinairement que les habitans dont la demeure est fixe. D'après cela le Gouvernement le plus peuplé Pulta- wa, a environ 22 fois plus d'iiabitans que le moins peu- lO Gouvcrnemens qui ont plus d'un plé, la Caucasie. La Russie a 27 où d'habitans. million la population s'élève d'un demi- million à un million 12 où elle s'élève d'environ 300,000 à un demi million et 2 où elle est au desous dé 100,000. pour juger de îWTais tion il pris pour base exactement les comptée On s'est servi en 1795 et revisionaires et qui des états du à l'étendue rapporter la finit la popula- 3- R-appore terrain; Oii ^j^^^^^j,^^ grandeur réelle de la comme la classe la plus tendue du le fait complets gros de la' de la 5*"^^ Le nombre des revisionaires iigô. nation. révision étoit dé 18,094,012. 1. Woscou est a leur tête avec j,020 revisionaires 2. Kiew 3ù Toula -^ 998 tgô par mille cajTéf -' — — — 720 4. Pultawa 1 72i 28. WoronescTi 349 levisionaircs 345 - 299 — par mille carr^ - 284 -. 32. St Peteisboiirg 255 252 — — — — — — — 2 5o - — 224 222 — — — — 210 »- ^ i52 ~ — i5l — — — — ~ — — — -.. — .». 29. l'Esthlande - 30. Simbirsk. - 3i. la Livonie 33. Minsk - 34. la Finlande 35. Kostroma - 36. la Tauride 37. Waetka 38. Nowgorod - 39. 40. Cherson etCa[ theiinoslaw 41. Saratow - - 94 90 43. OienboLirg - 69 - 34 42. Perme 44. Wologda 45. Olonetz 32 - ^ — - 46. 47. Astiachan et la Caucasie 48. Archarigel 17 - 7 :- - 5 -r —' il ^ ^ 49. 5o. TobolsK et Tomsk 5l. Irkoutzk Mfmoira de l'Atad. T. H, - 9 ^ • La le population Gouvernement de Moscou pays 680 moins peuplé , fois plus comptés et compris resuite de étendue de snr Id nu-ine d'htil)itans que le Cîouveincinent Celle ptojjoition tous les nomades de ce si Il inéi^alcment partagée ; tics a Irkoutzk. saillante la donc est dans le nombre des tableau ce moins seioit Gouvernement le étaient revisionaires. que 16 Gouverneniens de Russie ont par mille carré de 5oo à 1000 revisionaires, j Gouverneniens 8 une population de 2 5o à 5oo hommes, 6 Gouveinemens une populaticn de i5o à 2 5o, 7 une population de 1 7 a Gouvernemens 100 habitans, et 4 Gouvernemens moins que 10 revisionaires par mille carré. Les Gouvernemens plus peuplés sont ceux où se les trouvent les anciennes Capitales de la Russie, Moscou et Kiew. De ces de la Russie deux points de ralliement, européenne diminue vers âmes par mille carré jusqu'à 7 le la population Nord de 1000 à ArChangel ; \'ers le sud jusqu'à 34 dans la partie septentrionale de l'Ouialà Wologda, jusqu'à 90 sur le milieu de l'Oural à Perme, et jusqu'à 69 1 723 sur rOmal méridional à septentrionale de partie Finlande Orenbourg; vers cSo, vers jusqiui' le dans frontière cette l'Ociest dans la l'ancienne milieu à Bialystok et Grod- no jusqu'à 472, au Sud en Podolie jusqu'à 439- En jettant que les Gouvernemens tre Moscou un coup d'oeil sur Kicw et cela encore distinguent ceux parmi . où se trouvent en- Toula, Orcl, PoUavva, Charkow, ; environs de Kicw, enfin Outre Carte, nous voyons mieux peuplés les aux environs de Moscou nois. la Raesan, Kalouga, Wladimir, aux : plupait des Gouvernemens polo- la parmis les Tambow provinces riches en bled se Nigegorod , et la Courlande, manufacturière et le commerce l'industrie sont parvenus à un certain degré de perfection, Jaroslaw; Twer, Kasan; preuve incontestable que dépendent population moins est le sol à Waetka, paysan par à fertile Nowgorod autre comme stérilité population diminue; la comme me à Olonetz et Archangel, là où le en Livonie, elle s'arrêta que celle du à Astrachan et en Caucasie , Sibérie, La ou à Pétersbourg, en Finlande, nomades comme en Tauride, à Cherson en progrès de la des moyens de subsistance. soufTroit autrefois, une 1rs sol. Des peuj)les et Catlicrinoslaw, des peuples pécheurs, com- des peuples chasseurs comme s'éloignent par degié, en raison du genre de 91^ 724 de des Giipitiiux permet phis qui indtislrie leur ou moins l'accumulalioa population des peuples argicoles, ma.- la DiifacLmier? et commeiçans, La Russie n'est pas mal peuplée, on ne sauroit le répéter que assez souvent j. elle n'a militaiies gleterre, ses colonies et ses avant-postes et pas audelà contigcies, des mers comme l'An- Poitugai et l'Espagne; elle traite tous ses en- le même manière fans de L\ ne distingue pas et de l'ancien occupe et elle sujet ou doit occuper pour vues de commerce certains points et langues de le colon la rus.se, sûreté de ses elle nouveau le pour des frontières et terre sé- pares des pays habitables par. des terrains inhabitables, et occuper parconséquent longues de après un terrain immense ,. elle politique de Giand ; elle que depuis soufferte nie d'Àue Allie eu. la balance une administration mieux organisée II, grande les Gouvernemcns légitimes lutte elle et la à, sûreté depuis le rrgne de Pierre le règne de Catherine le eu maison de la devenue importante dans l'Europe que de contre n'est n'a; n'a guerres civiles le bienfait de la publique que par l'avènement au trône de Romanow; elle a beaucoup entre l'anarcliie et la , lutte qui Paris par les libérateurs, de l'Europe.. tyranvient;. 6 , T2 5 D'après les deu.v des données sûres 55o Capitales il villes, y avoit en dont on i8ll sans/,. Fopuia connoissoit j^ populalion entière selon "* 5 dont villes la les deux sexes, ravoir: population montoit de 3o à -personnes, elles coniprennoient 1 33, 70,000 020 hommes 103,070 femmes total 2S villes de 236,090 individus 10 à 3o,000 habilans - comprennans 23o,320 hommes - 210,420 femmes total 80 villes 268i82^ homme? 278,955 femmes y avoifr il total 2.09 440,740 individus avec une population de 5 à 1.0,000 habilan's, villes contenons 2 a 5ooo 547>7 83 individus lia- - bitans parmis lesquels 336,098 hommes 332,917 femmes total l!2S villes de tans dont ^lon des villei. . lOOO à - 2000 669^015 individus; habir — 93,o3i hommes.. 90,685 fe;nmes total: 18 3,7.1 personnes^ •726 loo villes dont la population bitans. Ces villes moins que de mille ha- etoit comprennoient 34,006 hommes - 32,083 femmes total Les 55o villes comprennoient donc 66,089 personnes 1 ,.095,305 hommes 1,048,130 femmes total A ce nombre dont Pétersbourg il la Capitales: Se. population en 1814 de étoit 2,143,435 habitans faut ajouter les deux 243,620 hommes - et de 100,467 femmes Moscou comprenant total 344.077 personnes, - 124>553 hommes 6i,502 femmes 1 86.055 Grand total de 552 ëtoit personnes villes dont la population entière connue: 1,463,478 hommes 1,210,089 femmes 2,673,567 personnes Mais il y a encore 72 villes où seulement le nombre des hommes est marqué, qui montoit à i5o,534 individus. 11 la y Russie avoit donc dans les 1,614,012 hommes, 624 et villes de l'Empire de en n'admettant pour les 727 dont villes . femmes nombre de le que 100,000, il pas n'est marqué aiiroit y 1,310,089 femmes Grand 2,924,101 habilans des total: On peut donc, en luer population la é^^aid des aux villes villes. inévitables erreurs en Russie à trois éva- millions d'Iidbitans. L'industrie du commerce, des villes est des manufactures et celle des campagnes est l'argiculture, l'industrie pêche l'éducation des bestiaux , deux genres d'industrie sont liés entre elles par les mines et les salines. On qui prédomine tiie des d'habitans \à pourra dans et la chasse ; et ces donc juger du genre d'indus- un Etat quand on campagnes reviennent sait combien un habitant des sur villes. pour que nous présentons méritent confiance Les rapports les anciens Gouvernemens russes, pour les provinces balliques et pour les Gouvernemens polonois sont basés sur des rapports détaillés.- vernemens le où se trouvent nombre des habitans de , puisqu'ils Mais dans les Gou- beaucoup de peuples nomades, la campagne et parconséquent les rappoits seront est moins moins connu, justes. 5î - 72S Sous ce point de vue les Gouvernemens de la Hiissie suivent dans l'ordre suivant: Mohilew a un habit, des villes sur 3o habit, des campagnes 1. 2. VVaetk.a 3. Minsk. 4. Poiolsk 5. Kostroma 6. Wlddimir 7. la Finlande 8. Raesan 9. Grodno JO. Plcscou 11. Smolcnsk 12. Volinsk 13. Vologda 14. Pcrme 1 5 . Nowgorod 16. Nigegorod j 7. Simbirsk .18. Kiew 19. Pultawa 20. Irkoutzk 2 1 . j2 2. Witebsk Oienbourg — — — — — — ^ — ~ — — — — — _ — ^ — — — — — _ — — — — „ — — _ _^ — — 2g i 21 20 — «— 20 -- ^- 20 -— ,«. — — — — 26 23 22 22 21 19 19 — — — — — -r- — ^- 1 — — — — — — — — — — i5 — — i8 _- 17Ï *-. ^17 — — — — — ^ _ — — — — — — 29 —18 — — — 16 ï5 1 -• > 729 2 3. Koiirsk a nn habit, des villes sur 14 habit, des campagnes — — — 24. Jaroslaw 25- Catherinoslaw — — 26. Twer — 2 7.Kaio«ga 28 la CoLulande — 29. Tambof 30. la 31 . Livonie Orel 32 Woionesch 33. Wiina 34. ToLTÎa 35. Saratof 36. Olonetz 37.Charko-w 38. Torask 39. Archangel ' 40. TEsthlande 41. Pensa — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — " .13. >— — — — — — 11" — >— — -- — — ^ — — — — _ — — 12 12 12 1 11 loï >- ic — 10 —10 10 — — 10 — — - O' — =— ~" '-' — = _ ._ "" ~^ — -^ 45. Tobolsk - 46. Bialystok — »^ Mémêir,, di l'Acjti, T. ;T — — ~ — — - — •—' l3 — - TschernigcL 44: la Taïuide 14 9| 9 "9 42. Kasr — — 14 9 9 7 B — — 92 •7 30 4 habit, des campa ones 47- Chcison a un habit, des villes sur — — — — — — — raisonnement général 48. la Caucasie 49. Moscou 50. St. Pctcrsbourg Si.Astrachan Le mesure que mais en , — — — tableau est: ce suï qu'à dans font un Gouvernement, dans souffre des Gouvernemens où les en lui juste très Russie nomades peuples l a^ prédomine villes ce raisonnement modifications 1 i — nombre des habitans des campagnes diminue, le des l'industrie ~ — — — 3 les mtMiie principale population des cam- la pagnes, elle est ambulante et parconséquent moins connue, mais toujours l'industrie des villes prédomine extrêmement Tel dans ces Gouvernemens. la Caucasie et de le commerce , daos les les villes , à entre d'autres rapport de l' Sibérie la industrie chasse y a peu d'argiculture, il et rassemblent des villes et population fixe Moscou hommes les l' agriculture , ou plutôt connue mais c'est le à la populatior» Mais parmis les Gouverne- et où l'industrie des campagnes culture , les pèche y trouvent la genres d'industrie argicole , la de ces Gouvernemens le rapport n'existe ambulante et moins connue. merrs où manufactures Dans graîids marchés. pas la est le cas d' Astrachan , et Pctersbourg se est réellement l'argi- distinguent par la po- 731 En parcouranl ce tableau, on voit pulation de lems villes. les rapprochemens les plus ftappans: Archan^el, Kasan et la Tauride, donnent les mêmes propoitions, de même Toula, Olonezt, Tom^k, mais en réfléchissant on devine aisément les et locales qui les ont produites. ditTérentes causes Les bornes de ce^ mémoire ne nous permettent pas de développer ces causes un mémoire particulier, exigent qui dont l'objet seroit infiniment curieux. Seconde partie. Résultats statistiques sur l'Etendue et la Population de La prise ciel et sur générales sont car tous les elles sr.it sont la terre la pays coupe par zones et par degrés est indistrinctement La division par plateaux plus dilTérens. prise Russie par Plateaux. d'un division du la qui confuses élemens claires nature et sans les suit et est une division nature du^sol. Les vues erronnécs selon la première ; plus différens s'y trouvent mêlés, justes la la terrains les les selon la seconde, gêner par les carrés puisqu'on des degrés. Dans un pays d'une grande étendue, dans un pays agricole, cette, division par plateaux est essentielle. Nous distinguons sept plateaux dans la Russie euro- péenne 92 * 732 i) là cîii Nord depuis bois de cliène les oïl terre pî.Ucau le no'ii-e, commencent comprend il mer £;Lici.ile )n=;que la les et parconséqueTil la Goiivernemens d'Archangel^ d'Olonetz, deWoîogda, le Noid de Wa^tka et de Penne, enfin la Fin-îande, St. Pétersbourg et le Nord de Nowgoiod, •2) le plateau des Goii,veinemens baltiques, c'est l'Est h.~ l£;ndc, la Livonie et la Couiiande. autour des sources de la Volga, 3) l'élévation aujourd'hui 4) Twer, Plescou et Smolensk. plateau de l'Oural depuis l'Oural de Catheri- le nenbourg jusqu' k l' élévation dans sa partie orientale: le les c'est Gouvernemens gorod , Sirabirsk , du coté droit sur la Volga il ', Sud de Waelka et riches en bois de chêne: comprend de Ferme, Kasan., Nigc- Tambow, Oienbourg, Pensa et Saratow de la Volga. Dans sa partie occidentale : Jaroslaw, Kostroma, Moscou, Wladimir, Kalouga, Toula, Résan, Orel, Kursk et Woronesch. 5) le blanche et plateau \à des basses terres comprend la P'«L"sie Lithuanle, 6) le plateau des ^Carpathes depuis la qu'au plateau de l'Oural; c'est chnson , mer noire jusCatherinoslaw. PultaAva, Ciiarkow, Tschernigow^ Kiew, Podolsk et Volinsk, " 1 733 ^) plateau des steppes ou le Saratow du coté gauche de tenes des Cosaques du Les les de caractères Volga , la Don et de différens a nous intéressent pas nous parlerons Par de rapport îci la la Tauride mer lii et les noire. chaque plateau sont exposés danr mémoires de l'Académie T, La Sibérie Caucasie^ AstrachaH;, la page 662 i. plateaux, mais seq. comme ils ne sous le rapport de la population^ Sibérie à l'étendue diviser par plateaux. sans La du terrain les plateaux, sui- vent dans l'oidre suivanc. La Sibérie le a plateau du Nord le plateau le des steppes plateau de Basses terres l'élévation les terres sur la 34,572 — i5,i68 — — plateau de carpathes le plateau 2 12,4"/ 5 milles carrés de l'Oural partie orientale partie occidentale le — — Volga — 8,411 — baltiques — — — — — — 5,i53 — 6,5 7 3 < 2,938 — ^^^94 — — • Des 36,329,962 personnes de Tannée 1810 le plus ». Popolâ- grand nombre se trouve sur la partie occidentale du plateau de l'Oural — puis vient celui des Carpathes Etendue; — — — 8,268 — — — — 1 t:on. c) totalité. — 9,804,85 — 7,309,812 734 du plateau de l'Oural la partie orientale l*e plateau du Nord le plateau des Basses - tenes l'élévation sur la les terres baltiques la Sibérie — — — — 3,950,779 2,648,858 — — — — — le plateau des Steppes 4,395,734 — — Volga 5,894,926 1,172,220 1,09 7, 5o3 •— 375,279. Le nombre des peuples nomades manque au moins en grande partie aux deux derniers /') titres Parmi le nombre de 36 millions se trouvoient Division de la totali- _ _ 18,228,220 ^ hommes te par sexe. , 18^101,733 femmes. La de générale proportion Sur le la Mais il y a partie orientale l'élévation de la du plateau de l'Oural dans il y a 1000 hommes 1,026 femmes Volga sur le même nombre d'hommes 1,024 Mais des pla- nombre des femmes surpasse celui des hommes- sur sur donc pour tout l'Empire hommes a 993 femmes. 1,000 teaux où est — les hommes sont looo hommes 995 femmes -— 992 tous les autres plateaux plus nombreu-v que les femmes. Eri Sibérie le plateau du Nord a il y a sur — 1 73:) Id partie occidentale du plateau de l'Ou- ral a de sur mciii looo hommes les terres le — baltiqLies les Basses — terres . le 973 villes plateau des steppes où sur — — 966 — plateau des steppes — — 987 — — Le nombre des habitans des s[ir 992 femmes — le plateau de Cjrpathcs 79^ est le plus grand parhabiu^ 10 habitans des ^'°"*" villes ne se trouvent que 34 habitans des campagnes, puis vient le plateau du Nord où sur 10 habitans de villes se trouvent 74 habit, des campagnes la — Sibérie — -— — — — — — — — — — 101 la partie occidentale du plateau de rOural a sur 10 habitans des villes 102 les terres — baltiques la partie orient du plateau de l'Oural 122 le plateau de Carpathes les Basses terres l'élévation sur la Nous 1 1 i36 — ** Volga avons dû 167 — prendre comme la plus compktte nées. y avoit 17,142,899 Il ductive sur sans le militaire. 169 pour et la plus base la — ~ ~ — la S"'® révision par états et exacte de nos don- '^°°*''"°"*' hommes de 951,1 13 de ' classe la classe pro- improductive — , 736 La proportion générale seroit d'après cela l à 18. ™^ revision la noblesse, les officiers \1i\is il manque à la 5 le donc être peu changée , un La proportion devroit mais pour ne pas confondre nous données sures avec les calculs vraisemblables , les nous états sommes de arrêtés la baltiques res aux qui proportions résultent productifs est le plus grand sur les ter- où 10 improductifs il y a 5g5 productifs sur la partie occidentale a du plateau de l'Oural sur Volga l'élévation sur la le plateau du Nord — 162 — — 16 i — 141 •— i5 — 52 2 — 419 des carpathes les Basses terres 189 — — — — 10 improductifs — — — Sibérie . — 193 — du plateau de l'Oural la partie orientale le plateau des steppes- a sur 20 improductifs seulement On peut productifs derniers qui des 5^'^ révision. Le nombre de la nomades. et les militaire civils, est snpposer plus grand plateaux. est la plus avec raison que le nombre des en général et surtout dans ces Car parmis la classe de Rasnoschinzi nombreuse de ia classe improductive- il y . 737 a beaucoup d'homnes industrieux on agricoles. En Tau ri de exemple par de vilèges semblent nombre nos notre parmis les composent cjui tiers devroit ctre reçu productifs et les proportions générales, surtout il • occidentale de partie i par réJév.jtion — miJle carne sur la plateau âcs Carpathts ]cs Basses terres — — les terres baîti<]U'--s 1.1 pjilie orientale — — du de l'Oural - le plateau du Nord le plateau des steppes la Sibérie — l\ Yl. 1233 Rapport • terrain 880 — — 767 -*- 35 ~- 389 — 127 — 9012 — — — — plateau — — — ..^ 1 é- tendue du 7 — -: tion à l,i 36 pers. des deux sexes Volga le Mémoire I deVAcid. y a dans tout l'Empire T^^ 1 r Oural 1 1 1 jus^^es. Mais en *particulier par mille carre. personnes * r a plateau des steppes seroient Les autres proportions paroîssent plus D'après nos tableaux la des pri- improductive classe la environ un tableau^ celles des Basses terres et du changées. joiiiçsoient comme iuisîi en Pologne, et resG.lnoduiortzi. Donc il paroît que des 05 1,113 hoMmes d'après ciiltivaleui? Noble iise, Li à de 57 5 — — — — — 9^ • 73S En l'étendue réduisant de adoptée carrés en Dessétines carrés on obtient Le rapport de la 295,152 milles 1,478,258,146. population des 36 millions 329,962 personnes des deux sexes a ce nombre est: que 4of Dessétines reviennent sur chaque personne pour tout l'Empire. En particulier — — en Sibérie - — du Nord 975 Dessët. — — au plateau des Steppes - — — terres aux Basses — — — — baltiqucs terres. — — au plateau des Carpathes sur l'élévation de la Volga sur la partie occidentale 4. de Nous présentons froorès la po: BuJation population ^ ici — — changemens — — — — 4i 5= 5| arrivés dans la pendant sept années consécutives d'après les Comptes - rendus des Gouverneuis entre la — 6^ du plateau de l'Oural les 7 38 dans la partie orientale du plateau de l'Oural aux .i3 — — — 88 5"^= révision et la 6™®. et puis la comparaison 739 — a. 3 _ «^ ! S'-o o fl> OSI 2 (* 03 a H 1 740 Les de là de progrès Volga Li 101,790, population éloient sur rélévalion sur le plateau de l'Oural, partie orientale i7i353o, partie occidentale 81,1268 total 252,798. Sur le plateau des basses terres 68,82 5, sur le plateau des caipathes 287,824, sur le plateau des steppes 54.981, et en Sibérie 74,980. Les pro^i^rès de la population inontoicnt sept années à 831,963. La population à dirainuéesur le plateau du Nord de 1,774, et sur les terres baltiques 7,461 total 9,235, donc la population a augmentée de 822734. personnes. En supposant le nombre des habitans en 1804 10,000, on trouve les proportions suivantes la comparaison par des autres années i ttnne 1804 i8o5. 1806. 1807. 1819. i iSio 1808. mayetk. I 10,000 9,938. 10,007 10,014 10,018 io,o35 10,000 9)970 1 9^996 10,001 9>997,'0>o4"^ 10,048; 0,399 10,0 63; 9.989 0,000 10,109 10,109 10,109 io,ogu o.'®?} 9y9'^7 'o„o,o I0,0Q0 ,0,079 10,078 10,295 10, "213 o,3o 10,OOU 9^99^ 10,01 10,1 5?. 10,. 1 0, 100 dan? tout pla-^ 10,000 10,029 lOj^oSS 10,144 10,164-' 10,178 1 1 29^ 0,1 87 0,1 08, 0, 1 0.- I , 85 5i 0,10-3 1 teau V. plateau. 10,000 10,010 10,,000 to,495 10,381 10,455 9)9^9 9>962 io,oag^ 9)66 10,177 9.Ç76 VI, plateau 0,459! 10.5:^9 te ,4.0 5 1.0,389 VU. plateau 10,000 \o,ai6 9.90,3 10,000; io,v9i 10,337 10,387 io,6ja io,6t,8 10,728^ iQ,4a4 10,490 « ii3ûi 1 1,680 - 1,717 10 177a Vin. plateau terme [10(000 iio,iti4 io,,ioa 10x^7^ iio,ao3!io,iQi io,a34i i.o,^i4r> On N'oit avec pLiisir se très peu n'ont commencé que depuis tous les Mais signifiante. pays prouvé , a perfeciiannent progrès réels ces sur tous 1rs S3U963 de i comme les 804^ que l'expérience de que annuellement la qui dénombremcns les et (ont réitérés pouvroit douter des on pourroit cio'ie que on , population personnes et Gomptts- rendus l'augmentation de sept années consécutives sont au moins en giande partie dénombrement plus exact pour ne sont pas soumises aux levées militaires directs. Nous avouons que peut-être cela d'un sultait ]ûà- trouve une augmentation, et que la diminution est teaux se presque qric plusieurs Gouvernemens: et le ré- les classes qui et aux- impots a eu lien en que parconséquent une partie de l'augmeiïtation doit être mise sur le compte de dénom- btemens plus exacts , pour mais nous sommes persuadés , plupart des Gotivernemens les la mêmes irrégularités existent encore, plus le dénomjDrement des classes tes doit de la capitation, et avoir cante de été la réelle. réalité des que exemp- que parconséqiient l'augmentation^ N''ais la- preuve la plus convain- progrès de la population se trouve dans la comparaison^ entre hv 5'"^ et la 6"^^ révision. La^ sixième révision n'est pas encore- entièrement miDée, eik l'est pourtant dans, la plupart ter-^ des Gouverne- ^42 mens et pour tats partiels plus nombreuses. les classes les font que prévoir nous donnerons dans la que général-, résultat le Les résul- toujours favorable. suite, sera Le nombre des paysans en 47 Gouvernemens c'est-à* dire dans toute la Russie a l'exception de Vitebsk, Vilna, Tobolsk et le district de Bialystok etoit à de 15,287,628 hommes, à sion 6™*^ révision la 1 5'"® révi- 7,068,195 L'augmentation est donc de 1,780,567 hommes hommes. ou environ de 1000 la 1116. à igme jévision |, le premier nombre est au dernier comme Seize ans se sont écoulés entre la 5"^^ et depuis 1795 jusqu'en 1811, Le nombre des habitans qui payent des impôts directs dans étoit ces 47 Gouvernemens 16,000,099 hommes classes avoicnt et à augmentées la 6'"^ de 5™^ révision a la de 17,840,050. d'envi-ion ^; la proportion est presque la même: Le nombre de n'y avoit 622,804 iiommes donc que marchands , fait plus de lOOO à 1 1 15. et k il la étoit 6"^'^ à la 5'"''' de 638,397 , 1000 à 102 5. Mais le qui font classe a part en Russie , progrès réviil 15,593 hommes de plus ou environ i, la proportion étoit de des ou des bourgeois n'a voit pas beaucoup aug- menté dans ces 47 Gouvernemens, sion Ces hommes, 1,839,951 de dans ces nombre avoit mêmes Gouvernemens. Il J 743 de 5"^^ Revision à la étoit Cette 123,324. cliarreticrs de 43,022 et proportion est pe 33,65 7 j3 75. à 5 '"^ Révision, 52 12 hommes ou d'environ i, la lOOO à 1122. les Révision pour cette classe est la 6"'*' de 48,234 hommes, leur nom- Le nombre des ecclésiastiques dans ncmens où Ij- de looo (Jaemschiki) étoient a la avoit augmenté de bre augmentée proportion est la ^, la sixième a avoit classe hommes ou d'environ Les de 89,667 hommes et a 35 Goiiver- finie, étoit à la 5'"^ il y avoit donc 15492 de plus ou i, le rapport du pre- Révision de i67,3li6 et à la six,ième de 182,808, comme 1000 à mier nombre est au dernier Les sion est nombre ème de en 3i Rasnoschintzi pour finie étoit à la 56i,5i5, cette 5"^^ Gouvèrnemens où classe il y avoit environ ^, la proportion est de impôts directs avoit à la c'est le à 5"^* a avoient les Révision 1024, se Leur la sixi- 1000 a 970. habitans qui ne payent pas des été finie en noiivbre diminué. i753o de moins ou 3i Gouvèrnemens. 712,176" et à la une augm^^ntation de 17,023 hommes premier la Révi- Révision de 579,045 et à donc La Révision pour 109.3. rapporte Il y en 6^^ 729,199, où- environ -\, au dernier comme 1000 744 La sixième Revision étant entièrement terminée en 3i on Coiivernemens 5 '"'^ la l\ trouvé a nombre totdl Révision de 11,213,649 habitans Révision de 12,439,525 La proportion classe, est des habitjn<5 et 6"^* à la 1,226,876 ou environs augmentation Le le *. lOOO à 1109. des paysans et des marchands ont fait des progrès considérables, celle des simples bourgeois se trou- un ve dans a état stationaire , diminuée par les enfin circonstances. celle de Rasnoschinzi La Russie est nn Etat mais les souverainement agricole, son commerce est actif, manufactures et les artisans ouvriers libres pour les ne sont pas nombreux. On lation peut en quième à hardiment é valeur Jes pj ogres de Russie la pendant les 16 la années, depuis popu\a ctn- sixième Revision, à un neuvième ou à deux millions d'hommes. 745 DES ENTRAVES À L'IMPORTATION DES MARCHANDISES ÉTRANGÈRES, COMME MOYEN D'EN- COURAGER LA PRODUCTION NATIONALE. P A R. S T O R C II. IL Trésenté à Conférence la le iq Fffvrier i8iy. Première partie. Une des principales mesures dont pour •mercantile enrichir l'importation des marchandises étrangères qui ture à être produites dans le pays. a le double but en vue, du. pays, et finalement d'y regarde comme mémoire je la me seule le système sert à consiste nation , la se entraver sont de na- En agissant ainsi on d'abord d'encourager l'industrie accumuler l'or et l'argent, qu'on et véritable Dans ce richesse. bornerai à examiner les effets des entraves du commerce par rapport à pendamment de leur l'industrie influence nationale, et indé- sur l'accumulation des ri- objet dont l'inutilité est aujourd'hui trop généralement reconnue pour avoir besoin de nouvel- chesses métalliques , les preuves. jMais tel MlmoiradfVA.ad. T. H. administrateur qui désavoue tout 94 74^ haut crtcnr po[HiLiiic, cette n'en chesse des nations, dos entraves à il les sollicite, des marchandises pour accroître la masse du numéraire dans pour enrichir la nation par le travail, branches les d'industrie procurer de nouvelles. : dit, il pays, le mais pour perfectionner pour qu'elle exerce, et n'est donc pas inutile Il ri- étrani^ères comme maintient, non pas, les il la pas moins un défenseur zélé est importiition l' consume l'iï'gent qtie lui en d'exami- ner de nou\eau et sous portante: entraves à l'importation répondent au but si les qu'on se propose ; salutaires , fets si et toutes ses faces la question im- supposé qu'elles aient quelques leurs inconvéniens ne ef- surpassent pas le bien qu'elles peinent opérer. C'est surtout contre les produits tranger que se dirigent les entraves dans le système mercantile, moins lucrative que les manufacturés de l'é- l'importation car à l'agriculture censée être es?t manufactures et le commerce étran- ger, et en conséquence elle est moins protégée. l'agriculture de motifs étant de exercée partout , s'en commerce étranger , : occuper que dont les on des progrès croit D'ailleius avoir moins manufactures naturels et du paroissent toujours trop lents et trop tardifs. Les moyens dont on se tion, sont sert pour entraver l'importa- de deux espèces: les droits d'entrée, et les prO' H1 h'ibitions. pour objet d'clevci Les droits ont marchandises étrangères sur lesquelles ils piix des le portent , et de âinnnucr par là leur consommation dans le pays; les proont hibitions pour consommation ; et but de faire tout pour obliger la nation le consommer des marchandises a. Observons d'abord que du moment bande, on peut ni l'une ni excèdent qu'ils cette à produire nationales. de ces me- l'autre complètement leur but. sures n'atteignent d'entrée , entièrement cesser Quant aux droits les fraix de contre- procurer les marchandises qui en sont se chargées, à un prix moindre que celui auquel le législateur avoit intention de les élever; et quant tions, elles sont n'agissent absolument sans que comme un impôt. effet aux prohibi- comme telles, Pendant Id et durée du système prohibitif en Russie *), l'entrée de presqiie toutes les de marchandises manufacture ment défendue; néanmoins constamment fourni, duisoit la il le tout étoit entière- marché de ce pays en l'efTct étoit des prohibitions se ré- élever le prix de ces marchandises des fraix de contrebande •) et étrangère Ce sytêine Mars j8i6; et a du profiit commencé le du contrebandier. En France, 19 Décembre 1810, et il a fini le 3i durée a été de 5 ans et 3 mois. Le tarif de 1816 est loin d'.iccorder une entière liberté au commerce; cependant permet l' importation de la plupart des marchandises jusque-là pro» jl bibées, en les chargeant de dioiti plus ou moins forts. ainsi sa 94* 743 l'a à contrebande est bien plus de CiHHo la marchandises des fraude compte quatre pour on du contrebandier. fraix les confisquées au sont qu'en Angleterre profit ,., une Ainsi en y ajoutant remboursement marchandise an- du marchand. néral peu proportionné voit qu'il l'effet à* de ces entraves soit en gé- l'intention du gouvernement^, on' faire renchérir d'importation contre lesquels les. objets dirigent ces entraves.. ou par une Ainsi, en gênant par des droits proliibition. absolue dises dont on veut favoriser on assure plus ou moins l'importation des marchan- la production dans le pays, à l'industrie nationale qui s'em- produire ,. un monopole dans les Simonde, de transport et fraix. est touiours^ assez; grand, pour, Gonsidérablemenîr il les plus cher *).. Cependant,, quoique *) en. n'y revient que de dix. pour cent pour cent, ploie cent prohibée en France, ou chargée d'un droit de cent glaise, se en entrent qui que parce que contrebande n'est en général que de dix pour cent, sur lesquels le des frontières , des employés des douanes ^ cependant l'assuiance de profit la. nature que chez nous, tant difficile De la richesse com/ncniulry T. II. />. le 229. marché inté- Suivant cet auteur, monte, année commune, à la masse des assureurs n'est' réellement à couvert de cette perte, que lôr^quelle a fait.cnttercD France pi)u:r, 100 raillions de marchandises prohibées.. la soiiiinc des marchandises confisquées millions de francs; s'il en est. ainsi, la T49 Or rieur. mode d'encouragement ce prétendu presque jamais piodiiiie aucun bien, et il peut coup de mal: Quand bonnes la ou Inutile les peut faire beau- nuisible, voilà Taltcrnative. marchandises nationales ne sont moins ni plus chères que les marchandises étrangères de ni même espèce, chargées des fraix d'importation,, ces dermonopole existe par la nières ne sont point importées; le nature des choses, rif ne est inutile il de le proclamer. Le ta- des douanes de l'Angleterre défend l'entrée d'une infi- de marchandises qu'on produit à meilleur prix de nité meilleure qualité dans ce pays que partout ailleurs et : ces défenses sont inutiles. Dans supposition la exceptés dont il sera est toujours nuisible. peu de cas Arrêtons - nous à cette dernière con- et examinons en détail les effets qu'un pareil sidération , monopole quelque contraire, question dans la suite, le monopole produit.. Premier effet : la direction il force la fiation a changer avec perte- de son travail et de ses capitaux.. n n'y a pas de doute qu'ùnpareil' monopole ne donne souvent un d'industrie dans le grand; encouragement qui en jouit, et qu'il a l'espèce particulière ne fasse souvent naître pays les productions qu'on veut y établir; mais. la c'est plus grande de toutes les erreurs d'imaginer que CCS nouvelles productions sont un accroissement d'industrie de Point de richesse. et travail ainsi la quantité de que est toujours limitée par la peut y employer. et qu'on ou l'une borne à une seule; mon capital entre changer le faire piofit aussi l'autre, deux, les 20 pour cent, mais de est clair il que en gain et il me n'est pas je si partage ne gagnerai pas plus de je risque de gagner moins, je je longtems que que, me puis faire je mais qu'en faisant l'une, mon pcuvoir de en quantité de capital qu'on entreprises industrielles qui 20 pour cent , avec ce : un capital de 20,000 roubles, Si j'ai l'autre sans capital à un objet quelcon- travail applicable me propose deux rappoiteront industriel perte. Si et même cette proposition est vraie pour un individu, elle est vraie pour tous les indi- vidus qui composent donc limitée par au ses mesures capital national. j)rohibitives ne font naître l'eiTet ni il n'est plus d'industrie qu'elles pioduisent se de nouvelles industries à que Icii hommes sont peu borne à n*2t- place des anciennes. la La conduite de presque tous tre Or comme pu; de richfsse dans le sein de la nation qu'il y en a voit auparavant; tout tre L'industrie nationale est nation. pouvoir du gouvernement d'augmenter ce capital, pas ni le la les gouvernemens démon- sensibles à celte vérité si 75i Quand manifeste en apparence. par leurs prohibitions ragent n'est pas que telle trie de plus, si branche d'industrie, ce t-'^lle qu'ils gonvcmemens encou- li croyent plus lucrarivé mais parce que c'est une branche d'indus- autre, toute co'nme parce toujours les et qu'on ne sauroit trop en avoir. industrie ne une industrie improfitablc valoit si encouragée ; comme de rètre on faisoit comme ; Comme pas sa propre récompense ; portoit la peine d'être si une industrie profitable avoit besoin si enfin par ces opérations arbitraires chose que transporter les capitaux d'une autre blanche d'industrie dans une autre. „ L'avidité , ne peut est Avoir tenir. une rmùs elle pouvoir croit les yeux plus grands que le ventre, proverbiale de nourrice qui convient phrase enfans ; Bentham, veut embrasser plus qu'elle dit applicable est étendre infiniment aux à l'homme d'État qui l'industrie de ses admi- nistrés, sans s'apercevoir qu'elle est limitée par leurs ca- pitaux. Cette comparaison n'est pas noble, mais elle est juste ; quand et posant, on est les erreurs se tenté de les couvrent d' un masque im- mettre dans un jour qui les humilie. *' Ju<:que-ld mais il est l'effet du monopole ne paroît qu'être nul', réellement nuisible. L'emploi des capitaux des ne nation d'une pour pertes change sans peut être elle. La plupart des industries exigent qu'il en résulte dos matériaux, des instruniens, des procédés qui leur sont propres les ne on si : peut point nouvelles entreprises, tière ; ges, s'il est possible de s'en la perte de leur valeur est en- les adapter aux nouveaux usa- perte est moindre, mais toujours la D'ailleurs -ces pertes sont changement >est plus subit On voit que si le du tout dans servir d'autant il plus y a de la perte. grandes, que le et plus général. système prohibitif a fait naître quelques nouvelles manufactures en Russie, cet clTet n'a eu lieu qu'aux dépens des anciens tra\ aux, auquels on a en partie les ouvriers et les capitaux qui les alimcn- retiré toient ; que ce changement n'a pu et une perte tics-sensible entrepreneurs ressentis de des prises, lyse la richesse nationale. nouveaux établissemens ne cette perle, c'est qu'ils par le monopole ; d'industiie pour s'effectuer se qu'avec Si les sont pas ont été dédommages mais ceux dans les anciennes branches qui ont du rétrécir ou abandonner leurs entre- en ont soulTcrt plus ou moins; et en dernière ana- cette perte s'est repartie sur les consommateurs des produits de toutes les industries, tant anciennes que nouvelles, c'est-à-dire sur la nation entière. 753 Mais peut-être nation la pertes par ]c snrplcis de dédomniap^ée âc cch csL-clle pioduit qrie donnent les nouvel- industries? Peut-être celles-ci sont-elles si avantai;euses' les que leur ennes profit l'emporte occupations der cette du suffit il tomber? fait de pour Pour déci- rappeler que les an- se qu'exposés k maintenir; se de T étranger, concurrence la ont travail et des capitaux u'avoient guère monopole d'un besoin qu'elles question , ciens emplois de beaucoup sur celui des anci- ils aux rendoient entre- preneurs des profits dont les consommateurs n'avoient guère À Les plaindre. se nous suivans articles montreront si ces avantages sont surpassés par les nouvelles industries, fruit du monopole. Second effet du monopole: il force la nation à travailler a perte. La de ses Russie babil ans de la elle-même du du travail y draps classe aisée. draps; ces des profit de besoin a fait si et coûte, si je Mémoires dt l'Atad. moitié plus T VI, . vêtement l'intérît et celui hauts , la division les ouvriers et les cette fabrication y sont encore peu perfectionnés ^ suppose, si peu de progrès, instrumens nécessaires à rares y sont le Elle pourroit fabriquer mais le taux de entrepreneurs a pour fins si qu'une archine de drap y a produire qu'en 9^ Angle- . 75'4 D'un autre colé l'Angleterre a besoin de suifs pour terre *). ses chandelles, ses savons et l'usage de ses fabriques; et degré de prospérité auquel elle est parvenue, le dent du r éducation poud de nécessaire d'un Russie. Dans Pvusses perdent draps, s'ils bétail si suif y cette supposition^ pour 5o peuvent cent dispendieuse est que ren- le prix moitié plus haut qu'en n'est-il pas clair que les à fabriquer, chez les acheter en lui eux des Angleterre; et que les Anglais en perdent autant à produire chez eux des suifs^ s'ils peuvent les acheter en Russie; perdues pu auroient être enfin que ces valeurs employées a produire ch( z les (Jeux nations d'autant plus de suif, d'autant plus de drap, ou d'autant plus de toute autre maichandise ? Chaque pays, vu la de son chmat, vu le degré de ri- Gcnéralison& cette proposition. de nature son sol et de civilisation auquel il est parvenu, .«hfsse, d'industrie et peut monde commerçant certaines productions à fournir au moins de fraix que les autres pays. ver chez ^'autres *) une nation l'importation nations peuvent lui Interdire ou entra- des-,marchandises que fournir de meilleure qualité Un ërrivain vivant en Russie a calculé que les draps fins de ce pay' reviennent de 85| pour cent plus cher que ceux d'Angleterre, quand on les compjre sous les deux rapports du prix et de )a qualité. Voyez Atnkhicu hier dm Xor'fiystcm in KnSilaiid, von C. Arnold, 5/., Ectenb,. 755 ou d'une m.inicre moins à raison de quelque flispendix?usc, avantage particulier de leur industrie , donc se re- participer à cet avantage naturel dont elles jou- fuser de c'est issent , c'est forcer nation la plus d'avances qui lui coiite chez produire à et plus ce elle de travail; en un mot, c'est employer ses ouvriers et ses capitaux k perte *). Ce n'est que dans Içs de nation procédés à nation qu'on voit un tel égarement; entre particuliers, celui qui en agiroit ainsi , La maxime de mais faire chez mais il censé tout particulier soi la chose qui cherche pas à achète du cordonnier; pas un mais il seul de s'essaie genre d'indusirie concitoyens sommation avec •) dans iba sou- cordonnier ne recours au tail* a point à faire ni les uns ni deux artisans. Il n'y son lequel travail tout il a entier dans le quelque avantage sur et d'acheter les autres objets de sa con- , le produit Comparez mon Cours p. il le faire ses individus qui ne voie qu'il y va, de son intéict d'employer ses mais s'adresse à ces ces moins a. ache- lui coûtera les marchand ne autres , les a le raisonnable est de ne ja- tailleur ne tache pas de faiie ses habits , leur; son bon sens. perdu avoir Le ter qu'à faire. liers, seroit — 19a. de son travail, ou, ce qui est d' Economie politique , T. IF, p. 167 95* — 6j, eî 756 la même chose avec l'argent que luî rapporte la vente' , Or ce qui do ce produit. raisonnable dans est de cliaque particulier, ne peut guère être d'une nation Une le conduite dans celle *). qui nation acheter roit folie la à. produit chez elle ce meilleur compte aii-dehors, pour- qu'elle empêche pour moins l'accroissement de son Capital, et quelquefois le di ninue réellement. saire le prix néces- dans le pays est plus élevé que celui dans Tétranger, ne peut point le producteur. fets, Une marchandise dont rend rejettant la la se produire parce qu'il y auroit perte pout Le monopole dont nous examinons production de cette perte sur les les ef- marchandise possible, en consommateurs. Ceux-ci sont obligés de prendre ce surplus de dépenses sur leurs revenu?. Cependant, c'est sur ces revenus que doivent être faites, les économies qui seules jjeuvent augmenter les capitaux.. *) Cttte vérité est sentie par to»? Tes hommes d'an esprit juste, lorj même qu'ils n'ont point médité fur les principes de rEcoiionije poliDu tcn>s de Henri IV, cette science étoit presqu inconnue en Franccj cependant le grand Sully snvoit bien, deviner Cie qui convient sous ce rapport à 1' Etat. Il s' éloit dé laré contre i^ établissement forcé des. manufactures, dfi soie, de tapisseries etc. que Henri IV encovirngeoit à grand fraix. Un jour que qu''lques-uns de ces entrepreneurs s'étoitnt présentés chez le roi avec des échantillon* de leur» produits que Henri l'invitait à admirçr, Sully lui dit ^uil ne howvoit f imuis rien 'i hejii ni ./« hii » fait {juand il coûtait le douHf de ia tuaii (^Alunoira de Sully, T. Vl, f. 3in.).. Malfur. tique. , 757 En dirahuiant on rend donc impossible l'accroissement les de ces capitaux; peut-être mcme, pour fournir à xette dépense, et forcera-t-on les mateurs i entamer leurs capitaux. monopole cessaire il Ainsi, consom- en forçant par maintien de productions -dont le prix né- le domestique est au-dessus du prix nécessaire dans l'étranger, pense on répète sur trop cette opération, rendra-t-on le revenu net insuffisant d'objets le si et gouvernement ne le appauvrit la nation On fait qu'augmenter diminuer le revenu national, la dé- en d'autres termes, *). pourroit objecter que la différence des prix étant payée aux nationaux, la perte des consommateurs est compensée par gain des producteurs, et qu'ainsi la nation le ne s'appauvrit ni ne s'enrichit par cette mesure. Mais faut observer qu'il ne s'agit point ici de la différence aux piix courant, qui constitue piix nécessaire il du le gain du producteur, mais de la différence de deux prix nécessaires, de celui de la marchandise nationale et de celui de la marchandise étrangère. tion ne peut se Une marchandise dont la produc- soutenir qu'à l'aide d'un monopole, n'est pas régulièrement plus chère parce qu'elle donne un gain extraoïdioaire à l'entrepreneur,, mais parce qu'elle lui coûte •) Court ifEarn. polit. T» li^ p. i.i3 (t 169 — 173. -?58 réellement plus mencemens le dans les corit~ monopole, dont jouissent les producteurs les met à portée de hausser de Sans doute , produire. ;i le prix de leuis marchandises et des gains très-considérables; mais tôt ou tard la concurrence qu'ils se font entre eux, réduit ces gains au faire qui a lieu dans toutes les entrepiises pa- profit ordinaire reilles. Le prix nécessaire de leurs marchandises , au conpeut traire, les causes que la les rester de du l'intérêt et profit progrès de la division du travail, l'invention siècle; car diminuent les fraix de production , telles qui baisse même pendant plus d'un le et l'emploi de l'entrepreneur, ceux des lumières, des machines etc., ne se développent que très-lentement ^et dans l'espace de plusieurs Ainsi, en tant que le système prohibitif étoit siècles. maintenu Russie dans toute sa rigueur, le haut prix des manu- factures russes qui servoient à remplacer les manufactures étrangères, provenoit en partie ducteurs jouissoient ce rapport quoiqu'il il des dans l'intérieur de l'Kmpire, ne diminuoit point causât enrichissant du monopole dont un déplacement gratuitement consommateurs. la Mais quelques la les pro- et sous richesse de la Russie, injuste de fortune, individus en aux dépens principale cause de ce haut prix étoit dans le taux de l'intérêt, du loyer, des salaires et du profit d'entrepreneur, qui est plus élevé en Russie 759 que dans lès autres pays manufacturiers, défaut de connoissances , le nécessaires à la de plus dans de procédés et de machines Tout le fabrication. et surcroît de prix oc- casionné par cette seconde cause, ctoit une perte effective pour richesse la consommateurs le des augmenter sans payé par les gain des fabricant. Si car le il étoit système avoit duré plus longtemps, le gain de monopole" entrepieneurs auroit imperceptible de et et les pertes de \a d'un siècle \à richesse et le progrès lent de la civilisation de l'Em- viens nécessaires Russie auroient continué pendant plus peut-être. au moins Je mais les fraix de par conséquent la différence des prix pire ; d'avoir bientôt cessé; ne pouvoient diminuer qu'avec .fabrication et de l'Empire, C'est donc une mesure très - sage, limité ces pertes par le tarif de de dire que le i8i6. gain de monopole des pro- ducteurs, quoique fruit d'une loi injuste, n'appauvrit point mais cette thèse la nation; taines restrictions. périeurs au taux même n'est vraie qu'avec L'expérience prouve que des profits accoutumé, et qui cersu-, ne sont pas acquis par une plus grande activité de travail au une supériorité de mérite à , invite les producteurs à donner plus d'instans l'oisiveté, disprn lieuses. xeibe, se et Ce leur font qui se dépense de même. contracter des habitudes phis gagne aisément, le pro- Tel entrepreneur qui, san^^ dit 76o la faveur du monopole, seroit laborieux et frugal, se livre aux au ne lui coûte ni plus qui travail. Quand on tème prohibitif de , (|u il compte sur un d' avances plus ni de observé le train de vie <uie le sys- a embrasser chez nous à fait a la plupart; on peut raisonnablement douter que leur favoiis , ses gain parce et bénéfice de luxe distractions monopole les Ainsi , a enrichis. même sous ce rapport, le monopole tend à appauvrir le pays. Iroisième effet nombre du monopole marchandises des sommateur achète augmenté est fait renchérir monopole élève le prix que le con- marchandise étrangère dont le prix voir que le qui en sont frappées , la par un grand de consommation. d'objets Nous venons de il : droits les soit de douane ou les fraix de contrebande, soit qu'il s'en tienne à la marchandise nationale , dont fraix de plus haut par les prix est naturellement production et s'élève encore monopole accordé au producteur. Mais ne un grand nombre d'au- se borne pas là: tres denrées. les le industries il s'étend sur Le monopole, en qu'il favorise, davantage par le attirant les le renchérissement capitaux vers en prive d'autres industries déjà exercées; la production de celles-ci diminue, et com- me la demande de leurs produits reste la même , bien que le prix de ces produits monte. il 'faut 7^1 Ainsi monopole payer plut cher aux ccmsoM- marchandises étrangères prohibées ou chargées le fait matenrs : 1°. Les dé gros 2°. droits qui entrent par contrebande ; marchandises Les nationales destinées à remplacer les premières ; et 3°. Les marchandises nationales dont minae par On l'elTet que dans voit consommateurs est Cependant nation la de fabricans ni dividu qiii ne toujours des artisans, mais il n'est sacrifié à celui des l'intérêt natio- pas rintérêt des fabricans oa évidemment celui des consomma- de l'universalité des citoyens, ou de teurs, c'est-à-dire qui comprend toutes les autres. reste, fabricans. point composée exclusivement classe Au dî- mais elle ne compte pas un in- n'est est produttion système prohibitif l'iritérct des un consommateur. Ainsi sous ce rapport, nal, le d'artisans, soit la du monopole. le. comme les fabricans appartiennent également à la classe des consommateurs, ce système leur cause des pertes à eux-mêmes, par rapport à tous les objets de con- sommation qui ne sont point des produits de leur industrie^ „Je conçois, dit Turgot, que des fabricans qui neconnois- ï62 sçnt que leur fabrique, imaginent qu'ils gagneroient davan- tage s'ils avoient moins de concurrens. n'est Il point de producteur qui ne voulût être seul vendeur de sa denrée) il point de commerce dans lequel ceux qui l'exercent n'est ne cherchent à écarter la quelque sophisme pour faire réussissent plus aisément l'industrie et ne trouvent accroire que l'Etat est inté- du moins la concurrence des étrangers, qu'ils ressé à écarter de concurrence , nationale. à représenter Si on les comme les ennemis écoute, toutes les bran- ches de production seront infectées de ce genre de mono- Ces imbécilles ne voient pas que ce même mono- pole. pole qu'ils non pas, comme exercent, au gouvernement , contre concitoyens, leur est les rendu ils font accroire mais contre leurs étrangers , par le mêmes concitoyens ces dans les autres branches de production, lorsque ceux-ci deviennent à leur tour monopolistes et eux acheteurs. Ils ne voient pas que toutes ces associations de gens du même métier ne manquent pas de s'autoriser des mêmes prétextes pour obtenir même exclusion des étiangers; du gouvernement séduit ils la ne voient pas que dans cet équilibre de vexations et d'injustices entre tous les genres d'industrie, ou les fabricans et les marchands de chaque espèce op- priment comme vendeurs, teurs, n'y a il et sont opprimés comme ache- de profit pour aucune partie; mais qu'il y 7^3 a une perte iccllc pour ou pour l'Etat, onale vend lui pour prix la moins somme des ponibles, et à branche de par cert augmentation acheteurs diminue jouissances, de pouvoir tous, contre monopoles en souffre en guerre on n'a qui ne puisse acheter des choses puisse vendre duit, tandis a le sa excepté que la seule que toutes oppriment de consur nationaux, et qui, les peut ne même jouir que n'y a il vendeur. librement besoin; il loin du en sorte que de tou- Il le cul- et qui n'y a que des étrangers aucune n'y aux étrangers librement que prête monopole comme acheteur lui il souverain, gouvernement le même tems comme dont du et Cette vendre sa denrée; qui souffre du revenus dis- peuple. tes les classes de citoyens laborieux, tivateur des parce que dans cette opprimer personne , droit naturel de forcée nécessairement des distribuer au à où l'agriculture, ces somme la encore, réciproque, tous production nati- moins à letranf^er, achetant richesse des propriétaires doublée est d'oppression force les la Cette somme des salaires la perte la qui, aussi. tous de totalité la a la que lui qui ne denrée qu'il pro- fabricant de drap ou tout autre achète tant qu'il veut le blé des étrangers. (Quelques /tjue peut accumuler l'intérêt particulier ses de producteurs, la vérité est sophismes de quelques que toutes les 96* clas- branches 7<^4 c!e production doivent être lement libres; que en libres, également libres, entie- système de quelques politiques nip- le favoriser s'im^iginent dernes qui ' la production nationale interdisant l'entrée des marcliandises étrangères, est une pure illusion; que ce systèfne n'abouiit qu'à rendre toutes les à branches de production ennemies les unes des autres, nourrir entre guerres dont les plus foibles coûteux aux peuples^ plus la population, un germe de haines nations les effets destructifs de la et fois de plus richesse, de du bonheur, que tous les petits profits merne peuvent être avanta- cantiles qu'on s'imagine s'assurer geux aux mille sont La nations qui s'en laissent séduire. vérité est qu'en voulant nuire aux autres, on se nuit à soi-même: non - seulement parce que tions est si facile manquent pas de à s' imaginer eu de ces représdille la que à aviser les leur prohibi- autres nations ne tour, mais encore parce qu'on s'ôte à soi-même les avantages inappréciables d'un commerce libre; avantages tels que aommc la France vouloit en faire si un grand Etat l'expérience, les pro- giès rapides de son industrie forceroient bientôt les autres^ nations de l'imiter pour n'être pas appauvries par la perte commerce *). Oeuvres de Turgot, T. VL totale de leur •5 '* p4 44^* et suin. 165 Çkiatrième effet du monopole: de la nation , térieur diminue le commerce ex- il écarte les capitaux qui et il venus alimenter l'industrie uationaie. scroient Lor?qii'nn gouvernement met des entraves à l'impor* des marchandises étrangères^ tdtion vue que de diminuer il marchandises nationales: bien an contraire ; cependant ce dernier rable Si l'autre. rien jamais les Vendre sans acheter merce. Ainsi est pierre la entraves les à T importation , ne portation étrangères, comme les' entraves à l'im- s'étendent sur les pas toutes les marchandises autres nations peuvent nous envoyer d'au- plus de ces marchandises dont l'accès n'est point en- le passe la la mais dans en raisonnant marchandise demande, demande s'avilit. i8i2, : débit d'une boiné par ferte c'est-à-dire peut - être que , travé chez nous que sont encore diminuent en général le commerce extérieur. On dira tant tirer?" philosophale du com- indirectement des entraves à l'exportation, qu'ils est insépa- effet étrangers n'avoient plus que pourroient - ils en envoyer en Russie , à ea- importation, mais son but n'est cette pas de nuire à l'exportation des dfe proprement n'a et que, on oublieroit ainsi quelconque est du moment que de toujours l'olTre sur- la marchandise of- que nous avons vu aniver en nos transactions commerciales avec l'Angle- elTective, le prix C'est ce 166 La paix ayant lerre. glais été rétablie avec ce pays, An- les d'abord des achats considérables en Russie^ et firent ne pouvant payer avec leurs manufactures, les nèrent d'autant plus de matières premières ; tes les dégoûtèrent y ame- ils mais les sui- La valeur bientôt de cette tentative. de ces marchandises se déprécia tellement en Russie, qu'elles vendoicnt s'y prix nécessaire; le à St. Pétersbourg , port la impoitations en Russie ce pays , se imposé virent à qu'ils On faisoient avec la vendu marchandise. cette élever le montant de leurs celui dans sur la de exportations leurs de nécessité do réduire ces dernières, c'est-à-dire de restreindre la totalité merce de leur même les fraix de trans- ne paya pas Ainsi les Anglais ne pouvant ils plupart au-dessous sucre en poudre, par exemple, droit d'entrée le et pour du com- Russie. entend souvent avancer que la plupart des objets de notre commerce d'exportation sont de nature à ne pouvoir être remplacés par d'autres objets, ni même qualité et dans la même abondance tre pays. vé le terre et fournis de la par aucun au- L'expérience des dernières années a bien prou- contraire. est celui qui en a le De tous les pays de l'Europe, qui consomme besoin le le plus de plus absolu , l'Angle- produits russes, à cause do l'im- 767 mensité de sa marine et de sa fabrication; cependant, lorsque le système il trouva continental moyen de ou discs , sut il lui ferma les ports de la Russie, pourvoir ailleurs de ces m.irchan- se remplacer d'une manière ingénieuse les par des produits de son propre sol. L'Amérique méridionale lui fournit, savons les en partie du moins^ les peaux, les suifs et dont avoit besoin ; il aux huiles de chenevis , ment diminuée par la belle invention à éclairer la de Londres. le l' leur consommation us^ige f[it suifs sensible- de l' huile de baleine et par même les rues Six livres de charbon de terre donnent, l'intérêt et du gaz carbonique, qui sert actuellement de ]a en de fluide lumineux qu'une livre autant de suif donne de lumière ; que quant aux plupart des grands ateliers et décomposant, lité et et ce fluide ne coûte en réa- somme déboursée pour l'dchat des fourneaux, gazomètres et tuyaux; car après sa décomposition, la le charbon non-calciné conserve, à peu de chose près, même valeur qu'avant d'en avoir extrait le gaz. ce dernier n'est pas le seul produit qu'on des mêmes procédés chimiques on en de la obtient du goudron, poix et une espèce de thérébentine que les manu- facturiers anglais assurent à celles î-a IVIais en tire: à l'aide colle de être égales et même supérieures ces trois productions qu' ih tiroient du de poisson , nord. produit eAclusiverucnl propre à la 16S qii' on Russie , et bierres, est mer, qu'on et remplacée par celle qu'on a vu pour indispensable croyoit s'.inicliorcr purifier les des poissons de tire au point, qU'au dire des inventeurs, les îles Britanniques en fourniront bientôt autres peuples de l'Europe. de souiTiir Angleterre par le système continental, qu'en Irlande; fourni le lin forêts, et La fabrication des nécessaire a toiles^ aux loin accrue tant en s'est ce dernier pays qui a et c'est Les immenses cette fabrication. jusque-là intactes, du Canada, de la Nouvelle-Ecosse de rîie de Terre-Neuve, ont été mises à contribution pour les bois de constriiction ; jamais on Angleterre qu'à porté plus loin cette époque : mais bâti n'a aussi plus en jamais on n'a d'économiser le bois dans la charpente l'art des maisons et dans la construction des navires. Le besoin extrême de chanvres, militaire, en a et jusque dans étendu la objet la si important pour la marine culture en Irlande, au Bengale, Nouvelle-Zélande. Enfin , accroissement rapide dans sa population, malgré un l'Angleterre n'a aperçu aucun indice de disette, quoiqu'elle ait cessé tout à coup de recevoir des fromens de ture •) l'étranger; son sol a fait de progrès *). Ces exemples prouvent que, s'il cit Ces faits le faut, sont tirés de l'écrit de Mr. d'Iven.^is , hlttui (Ontincntal «te. tant la cul- l'Angleterre intitulé : ^ffct^ du peut à et si l'Angleterre le le peuvent ligueur la se des produits de la Russie ; passer peut, les autres nations européennes C'est donc une politique bien mal-en- aussi. tendue que celle qui conseiile d'entraver de l'étranger, ou produits nous Mais d'en par lu le force de renoncer à nos restreindre avons dans étrangers qui et encore nos importations les consommation chez la raisons de d'autres relations commerciales. ménager deux devient prêteuse, riche des marchandises un capital qui sont de la nation emprunteuse Kussie se range dustrie la la plus c'est-à-dire qu'elle à crédit les marchandises qu'elle importe chez ces *). sert les Loisque deux inégalement riches commercent ensemble , nations lui. vend l'autre. Or à vivifier l'in- Jusqu'à ce moment encore parmi les nations pauvres ou emprunteuses, puisque son capital^ ne suffit pas à nourrir toutes les branches d'industrie auxquelles elle peut se livrer; et nations les sont qui font pour elle son commerce étranger, toutes plus riches qu'elle, et rpitaux dont elle manque.' Entraver lui fournissent les ca- i importation chandises étrangères, c'est donc entraver les prêts autres que nations veulent nous faire de leurs capitaux^ retarder *) des mar- les progrès de notre industrie. les c'.est En considérant Voyez le développement de ce principe dans mon Ccun à'Eccn, j>o* Ut. T. f //, p. 5 2 et iu'hv. 1 mfmoires dcl'Acad. T. K/. 9*? 7 70 tout le nul qui s'y soiinicLttnt le ({tic bande comme un des lois près à les lois qui un système prrthibitif cuujsb aux t'petiples , on conduit est correctif à l(\i^cr icdwisent le : les son commerce: lois ces coTurc- CepcTicJjnt, le uièmeLieiTeU (jue barbarie, faisoirnt. défense ', quii dans les siècles de au marchand d'emprunter pour nuiixj ces la comra«Mcei.' dàî /in.aiqnsoîiî peu de contrebimde trafic ir^urdtr à ont, capitaux dont il ai'oit besoin absurdes n' c m p<;^c lièrent pjs absolument tout emprunt, mais elles forcèrent l'emprunteur à payer une usure au traves portées logues , lieu intérêt d'ini commerce étranger ont des au quoique moins sensibles: tout forcent nation la emprunteuse payer à effets ana- n'empêchent pas elles emprunt de nation à nation , ^absolument Les en- légitime. plus mais elles cher ceux qu'elle peut encore faire par la contrebandes. Cinquième de effet du monopole: il arrête le monopole pèse le perfectionnement l'industrie. Nous avons vu combien sur les à l'industrie en consommateurs, et combien il fait débouchés et en lui retirant les capitaux lui fermant étrangers ses qui étoient de tort venus T alimenter. Mais T industrie en souffre encore d'une autre manière: son perfectionnement est arrêté par le monopole, puisque celui-ci la prive des. 771 modèles' nil oit que rindiistiie des peuples plus nvancés lui four- le commerce {^tmn<:;er, [)ar (iirectc à éteindre l'émulalion A talent. quoi de vendre? que sert puisqu'il a une tendance engourdir le cènic et de se distinguer lorsqu'on est le as'îuré A quoi sert de chercher ^ fairô mieux, lors- gouvernement le , à pris a l'engageoienr. d* trouver des À quoi sert acheteurs à ceux mêmes de sur-prcndre secret des fabricant étrangers, le qui font plu.ç mal ? lorsqu'on n'aura jamais à craindre leur concurrence? C'est dans cette posilion, c'est lorsque liés réputation sa il qu'il se faire sortir. refuse à fabricant ne le voit plus ses intérêts qu'il s'appesantit dans sa routine et tout efTort géiiérëux' quî" pou'rroit de l'industiie étrangcie la plus avancée, et en étaiit con- les chefs stamment alarmé, par leur perfectionnement, que d'atelier l'en Ce n'est qu'en ayant sous les yetix les produits comprennent ce qu'ils peuvent faire pour Tintérêt des consommateurs et pour le leur piopre. Le célèbre Chaptal , autrefois ministre de l'intérieur en France^, en énumérant dans un de ses ouvrages les in- convéniens attachés à la prohibition des marchandises étrangères, n'oublie pas celui-ci: de ne plus lant à l émulation des fabricans français ; je veux que les 'prdduify ' offrir de stimu- aussi ^ ~ajotrte-t-il des"^f(ibn(p6^ étfan'gères 97 * viennent TJ:2 sur nos concourir qucs propres marchés Q.uoique }iationahs.. le ,. de nos fahri- da gouvernement les ,,pjéj tiges rcxécudon de ce fiançais se soifnt opposés à néreux avec ceux temoigHagç, que Ghaptal en pas une a; dessein, .gé- liiissé preuve que dans, ces hommes les lignes n'en est éclairés de tous les pays sont d'accord sur le principe de la liberté joioins du commerce,. Six'ihnc effet du monopole: dé vexations et de raliser une sourco faux - fraîx, et d'injustices, il tend a démo- la nation,. Nous avons examiné en produit le système les- il" est détail' lès- Inaux^ directs» que proliibitif;, jetons un coup -d'oeil, sur maux accessoires^ qui l'accompagnent.. i^. l'intérêt Il est fécond: en- iiijustices. D'aboid il sacrifie du consommateur a celui du producteur: mais de quel droit force-t-on' lés consommateurs a se refuser des jouissances innocentes, ou in faire dès dépenses plus fortes pour se procurer leurs besoiiis indispensables, le tout pour aug- menter l'embonpoint, de quelques fabricans,. ou pour enrichir quelques contrebandiers et j _. ,Le commis de douanes ? système prohibitif^ sacrifié- encore l'intérêt de taines classes cer*- de producteurs à celui de ceitaines. autres 773 de classes mais quand générales-, ne elles fort plus une l'étranger, prohibitions même elles seroient pas par le le pas revient Les producteurs. cher ne sont jamais le seroient par les lois, fait. Une denrée cjui ne à pioduirc dans le pays que dans marchandise dont le transport au loin est coûteux, n'ont point à craindre que les produits étran^ même espèce viennent se mettre en concurrence gers de la avec elles véniens : des leurs producteurs participent prohibitions sans donc aux incon- partager les profits du mo- nopole. Enfin, dans les industries même qui profitent du mo-- nopolé, les gains ne se partagent pas équitablement entre tous ceux qui concourent à la piodtiction: les chefs d'entreprises di?s exercent un monopole, non-seulement a l'égard consommateurs et des producteurs dans les autres bran- ches, mais encore, et par d'autres causes, à l'égard de leure propres agens et ouvriers ; de manière que ceux-ci parti- cipent aux désavantages du monopole comme consomma- teurs, et ne participent pas aux gains forcés comme pro«- ducteurs. 2°. Le système prohibitif est une source de vexations et de faux-frair. est celle La dépense perdue la plus apparente des douaniers,^ des inspecteurs, des gardes-cotes;. 774 mais le plus létlle est celle do la pcite du travail , lii s((iilc travail de ceux qui font leur mélier de trebande, et de cei'.x cupation de la piévcnir. le? faux-fraix, par des Parmi casionnés qui, font ou (lui il leur oc- faire transports Les inutiles. marchandises leur entiéc cloit libre, pourroient arriver par mer, si ou do d'arriver par terre, faire où frontière la à faire , sont obligées des détours immenses, sur pour se présenter à l'endroit contrebande est plus aisée. des routes peu praticables, la ou con- ne faut pas oublier ceux oc- ou n'auroicnt que peu de chemin de [)aroissent la Les ha- bitans des cotes ou des provinces frontières qui pourroient s'approvisionner leur à permis de l'importer, se voient forcés sommation, s'il de à grands le tirer porte de tel article de leur con- étoit Dans ce cas - ci , comme dans port et le travail inutile compensation pour la gueur, il fait contrebande. comme je l'ai des voituriers frai.x de trans- sont perdus sans ou le système prohibitif est en ri- infailliblement un système régulier de naître Sous l'autre ," les nation. partout Enfin 3°. du pays. fraix des provinces éloignées le déjà rapport observé, de la la richesse contrebande nationale, est un mal plus léger que le monopole^ puisqti'il sert en quelque sorte 7-5 de conc.rif à ce dernier; iiniis un iilïUuc ports c'est iiiélier (jui de i.i sous tous les autres rapla conduit à niépriser les devoirs ses lie inc)l comme citoyen plus dan/e relise. lois de l'Etat, à se jouer comme sujet, j£t Un à devenir parjure à ses sermens, doit certainement être regarde com- me une peste morale: tent d't^xposer leurs administrés p.is ncaumoins les gouvernemons n'hcsi- à cette funeste conta- gion pocH- atteindre un but illusoire, un but qui, s'il pouvoie atteint, être nuiroit à la richesse nationale au lieti de lui être utile! N'a-t-on pas \u des administrateius s'oj)I)oser la réduction des droits d'entrée, de peur de rendre la à contrebande moins lucrative , et conséquemment moins C'est à cet excès d'extravagance qu'on parvient *)? forte en se pénétrant des principes d'un système factice et contraire *) à l'ordre naturel des choses ! C'est en effet la raison sur laquelle le directeur des douanes françaises, fondoit son opposition dans un écrit publié il y a quelques gr'icu ^ M Dès que la fraude ne scrois plus si lucrative , il pense qu'on avec autant d'ardeur et que cet effet entraîneroit celui que les douaniers , ne voyant plus l'attrait des confiscations, se dé-> goùteroient de leur métier et s'en acquittcroient avec négligence. 11 croi t donc important d'agraver les droits pour donner de l'activité h la contretandc seul moyen qu'il connoisse pour en communiquer aux employés de la douane. Ceci revient au principe que le gouvernement doit encourager le crime pour avoir les moyens de le punir. On croit entendre un juge qui s'afflige de la réforme des moeurs, parce que si années. ne la fcroit plus , l'on parveroit à n avoir tribunaux. {S'imoiidCf plus de scélérats, -on n'auroit bientôt plus Dr la rktesse commcniûle, T, il, p. aag.) de DES ENTRAVES À L' I\lPOKTATrON DES MARCHANDlSl-iS ÉTRANGÈRES COMME MOYEN D'EN- COURAGER LA PRODUCTION NATION.VLE. PAR S T O Ji C H, H. Présenté ^ h Conférence Je i3 Août iBay^ Seconde partie. 'Tels sont, les effets des mesures qui excluent les produits de l'industrie étrangère ne les y admettent tre Cette discussion, loin d'exposer , matière, qu'on raisons leur il ou qui intérieur^ que chargés de gros avant de quitter cette les du marché importe de droits. Mais faire connoî- allègue en faveur de ces mesures. d'ailoiblir prêtera les principes que je viens au contraire de nouvelles forces, et fera sentir d'autant plus leur solidité. Les pertes , dit-on, qii ww nation fait en prohibant ou en entravant l'entrée des marchandises étrangères qu'elle peut produire chez elle, la forçant .de .se ne sont que faibles et momentanées suffire à elle- même ^ elle : en, acquiert de nou- 777 veïlcs la branches d'industrie qui l'enrichiront d'autant plus par suite. Observons d'jboid que les pertes occnsionnées mesures sont beaucoup pUis gr*incles On par ces et plus durables qu'on se r imagine Id Russie a faire par la prohibition d'un seul article, des ordinairement. draps étrangers an et *), c5 à , millions de ne évahuirion cette a calculé la roubles assignats par pajoît point exagérée. pouvoit supposer que vingt années eussent l'on parvenir faire monopole même au , fabriques de nos point les fabriques étrangères., la dre ce but , la moitié , la diaps , le suffi Si pour par le nioven de, perfection où du se trouvent Russie eût sacrifié, pour attein- somme énorme de 5oo toujours perte que millions. Mettons eût été au-delà de toute sacrifice si l'on considère que le but n'auroit été atteint qu'à demi. Car à proportion, ses les force d'efforts et de dépen- fabricans russes pourroient l'espace les surtout de étrangers, certainement vingt ans à quoique peut-être pervenir dans fabriquer d'aussi bons draps que j'en doute; pas les fournir au mais ils ne pourroient même prix. Ce qui rend nos marchandises manufacturées chères, en comparaison de celles de l'étranger, c'est principalement le taux élevé de •) Arnold, Aiiiubten ûber dus TarifsysH/rt in Russland, p. Mfmotrei de l'Aatd. T. FI, aS. 9^ 7-8 du et l'intêiêt profit do l'cntreprcncLU- mens du prix ne peuvent jamais deux ces or : baisser (juo par r'cnricliis- du capi- senient général de la sociclé^ par l'augmentalion national; tal fallu plus a Il augmentation cette et de descer>dre rintérct de de espérer au bout prohibitif la de est l'alTaire des siècies. Angleterre pour y faire siècles en trois éJé- lo pour cent à 4 C'est beaucoup *)• Russie que d y attendre une piireille baisse la tems de- ce ni.oitié donc ^ : si le système y eût été constamment maintenu, la Russie eût constamment des pertes, quoique graduellement moins fait sur cette branche de sa production , pendant plus fortes , -d'un siècle nouvelle Elle encore. eût, branche d'industrie, à h^ vérité, acquis une mais loin de s'enrichir pac Or le but de la législation économique n'est pas d'appauvrir la nation, elle là, lichir. se appauvrie. fût Quelles que mènent ù ce but, nent. Chez les peuples peut - être plus est soient c'est les branches indifférent, industrie qui pourvu qu'elles y mè- riches, l'industrie productive mais de l'en- d' manufacturière que l'industrie agricole; mais chez les peuples pauvres c'est tout le contraire **). Cependant, dit -on, ') Smitb^ **) presque toutes les nations europé" Wealtb of nations, the jtb ed'itiony Voyez le développement de ce principe T. /K, p. IIL i63, i<-'i cbap. Il et Fcl. /, p. i35. dans^mon Cours d'Eccu. polit, 779 ^nnes ont employé elles système prohibifif pour introduire chc% Je branches d'industrie qui leur manquoicnt, et les La piemièie partie de celte sont enrichies par ce moyen. . assertion n'est prouver la que ce n'est que trop fondée, mais Smith seconde. elles se a seroit il difficile de démontré jusqu'à l'évidence, pas par ses mesures réglementaires que l'An- gleterre s'est enrichie, mais malgré ces mesures, et qu'elle auroit fait des progrès le si gouvernement bien phis a voit rapides vers l'opulence, prendre laissé à l'industrie route que l'intérêt individuel lui prescrivoit. observations se sont vérifiées par rapport de la prospérité Les mêmes à la France et Le progrès natu- à tous les pays florissans de l'Europe. rel la amène immanquablement chez toute nation cette époque ou la culture des terres ne peut absorber le capital national, et où diriger vers l'établissement des le hasard , la nation adopte le devient avantageux de il manufactures *): système prohibitif «poque, l'accroissement de son industrie paroît de ces mesures législatives, que le résultat de sa •) et qu'en le seconder. de Louis XIV. Voyez Cci<n d'Eron. pciit. T. IV, p. 34o le ie à par cette être l'effet réalité situation naturelle, résultat mesures entravent au liea de du tems d'Elisabeth tandis si, il n'est que ces Ainsi , quand système prohibi- (bûp. XllI. 98* 78o tif fut établi l'industrie de en Angleterre et en France , les progrès de pays ces ne furent pas de ce sy- l'effet stème, mais de la sûreté mieux garantie des personnes et des propriétés, de l'accumulation des capitaux et de l'c-x- tension des lumières, causes qui, sans la manie réglénientaire des gouvernemens , eussent manufactures , tions *). et avec Si le système *) profit prohibitif avoit auroit il mais les du pays où tous les tems et dans tous les : également naître âes plus de bien en France et en Angleterre, dans cette vue fait pour ces na- produit ces effets produire dans les il a mêmes mesures qui été employé réussirent à Les preneurs du systèînc réglémentsire n'ont pas manqué d'attribuer d; l'agriculture en Angleterre à un des expédicns de savoir à la loi qui accorde une gratification {bounty) leur S7>tême pour l'exportation des blés. Voici ce que Smilh dit à ct-tte occasion. ,,Cc système de lois qui est lié avec l'établissement de la gral'état florissant , ne paroit nullement mériter les éloges qui lui ont été proL'amél oration et la richesse de la Grande Bretagne, qu'on peuvent très-aisément s'explquer a si souvent attribuées à ces lois Cette assurance que donne la Const tupar de tout autres causes. tion anglaise à tout individu, de pouvoir compter sur la jouissance des fruits de son travail , est st- ule sufiisautc pour faire prospérer et cette assurance a été un pays en dépit de tous ces réglemens portée au plus haut degré parla révolution, presqu'au même moment Parce que l'époque de la plus ou la gratification a été ét< blie grande prospérité de la Grande Bretagne et de ses plus grands proil ne grès dans la culture a été postérieure à ce système de lois faudroit pas, pour cette raison, en faire honneur à ce système. Cetor, ce qu'il te époque a aussi été postérieure à la dette nationale y a de plus certain au monde, c'est qu'elle n'a paà été amenée par tification, d);^aiés. , ; , . . . , : ia dette nationale. '• {JVealtb of nariom. Vol. //, p. 3 9.) Colbcrt, n'eiuent jwctine suite sous Flenri IV. *); et l'ap- du système plication qui est censé avoir rendu prohibitif, France et l'Angleterre les pays 1.1 les plus industrieux d# l'Europe, n'd point pioduit cet effet en Suède, en Dane- marc et dans plusieurs avec Id plus grande Ce étonnante. n'est du gouvernement, doivent pays autres rigueur et oîi persévérance la que les naturel de la prospérité , bien plus rapide plut nations opulentes de l'Europe lequel , ces mesures si la donc point aux mesures prohibitive^ industrie et leur richesse, leur été faite a elle ne mais au progrè* sans doute , aiuoit été l'a voient entravé. Les écrivains qui démontrent le vice des mesures réglementaires, sont souvent accusés d'être contraires au progrès des manufactures et n'approuvent pas du commerce étranger, parce qu'ils moyens violens par lesquels on tache les d'introduire et d'étendre ces industries, avant le terme qu€ nature des choses prescrit à leur développement spon- la C'est ainsi tané. que j' a vois que des lecteurs prêché une d'Économie politique, merce, état •) et pareille superficiels ont doctrine dans qu'ennemi des arts avancé mon cours et du com- je, voudiois que la Russie restât éternellement un agricole. Ce seroit avec le même fondement qu'on Voyez Mtmotris de Snlly, T. Ul, f. 4iO. 782 accuseroit un instituteur l'ennemi des sciences, lors- d'être qu'il conseillcroit à son élève d'attendre, pour le tems où il aura acquis s'y vouer, connoissances élémentaires les De mêversé dans le homme qui n'est pas bien me qu'un jeune maturité d'esprit nécessaires à leur culture. et la calcul, ne peut point entreprend le l'étude des mathém'a ti- ques sans retarder ses progrès dans cette science, une nadont le capital ne tion ver ses terres, res le et ce pas encore pour bien culti- ne peut point entreprendre les manufactu- commerce, sans Mais du richesse. suffit tort à faire moment où le l'avancement de sa capital est parvenu à terme, rien ne peut empêcher la nation d'étendre la de son activité sphère industrielle , et ses progrès sont alors d'autant plus marquans qu'ils sont le résultat de ses spontanés. efforts Pour accélérer ce moment, tout ce qu'il est au pouvoir du gouvernement, c'est contribuer à répandre les connoissances générales et de protéger l'accroissement du capital national; mais en dirigeant de force nationale vers des industries précoces, tion et agit en sens contraire de son il ment Europe le n'est appauvrit n'a été libre, et na- mais malheureuse- pas constatée par l'expérience. commerce lii but^. Cette théorie j dit-ort, est séduisante; elle l'industrie Nulle-part en nous n'avons point d^e- 783 xcmple crune nation chez laquelle spontanément pcc ' Ceux vcs. que memrcs que la prohihitt- ou supf)o- Suisse ^n^^ jamais conna Hollande ne Ta pratiqué la beaucoup de modération» qu'avec fût dèuelop- qui tiennent ce Lingaî^e, ignorenl;, syslcme- prohibitif ; le secours des le d'auties ignorent, qufî senr. sans et l'indnsirie se et par représailles plu- que par choix; que plusieurs contrées de l'Allemagne, tôt de ritalie nise, et mcme de l'Espagne, telles que la Saxe, Ve- Toscane la et -la ou moins exemptes; plus des que ces pays étoient au nombre enfin industrieux Parmi ces exemples , des et le est qui seul plus fl'orissans de l'Europe. celui qui prouve le plus en faveur de la liberté du commerce, pays en ont été également plus Biseaie^ c'est la Suisse, parce que ce adopté constamment pour règle ait de conduite celte sage politique dans sa plus grande extension, et Tisiblcs que les fruits qu'il aux yeux de tout le en a recueillis sont encore monde. Ecoutons ce qu'ua habitant éclairé de ce pays nous rapporte sur ce sujet. „Jamais, dit Mï.' Simondc douanes dans cherché de il n-'a existé de tarif de divers Etats de la Suisse; jamais on n'a à y protéger l'industrie nationale par l'exclusion l'industrie *) les *), étrangère et aux dépens des consommateurs. D^ la r'ichtsic commcràaU, T. llf p. ^\i. 784 Toutes les portes de l'État sont ouvertes, et si l'on y per- çoit des droits, ce sont des péages pour la chemins, et non point des douanes. put ne qui manufacture aucune On réparation des n'y jamais fondé a soutenir plus libre la concurrence, mais aussi toutes celles que la Suisse possède sont florissantes, et ne contribuent pas moins à l'avantage du consommateur qu'à de la du celui Les capitaux fabricant. Suisse ont suivi la direction naturelle: ils ont, avant toute chose, alimenté l'agriculture, et l'ont porté au haut point de dans aucun pays perfection du rude climat habitent les peut-être où monde. Il elle faut se soit plus arrivée rappeller quel Helvétiens, et combien d'obstacles ils rencontrent dans la rigueiu- des frimats et dans l'apreté du sol. Ils comme dans les belles plai- n'ont point pu, nes de Lombardie ou les heureuses collines de la Toscane, faire succéder une récolte à une autre ; mais jours su re, avec un degré de perfection su atteindre. Plus de la produire que de l'herbe, entendu l'art de la veur ont tou- connoître ce qui étoil le plus propre à leur ter- ne lui ont demandé que cela , ils ils de faire moitié l'ont obtenu de la Suisse ne peut mais nulle - part on n'a mieux produire vertu , ils qu'aucun autre peuple n'a en abondance à bonne herbe, de conserver aux et toute leur et foins toute la terre leur sa- d'élever de beau bétail, et de -or tirer un grand parti d'un sol stérile d'ailleurs vigne : on les de son trouvées propres à la sont :;c Q.uelqties collines laitage. en a couvertes, et il n'existe pas dans l'u- nivers de plus beau vignoble, dont la culture soit entendue plus bourse legrette des que celui faire du lac Léman qu' on prodigieux , et rem- pour son explotation , de produire fois plus qu'on ne terres sont propres faire soit réguliéiement les frnix exorbitans , point bords de dont le produit , mieux .i , au blé; on celles qui s'y en demande , leur surtout de la et n'a point refusent , on Vaux. Peu cherché à en mais toutes les prodigue tant de leur soins qu'on est assuré d'obtenir d'elles d'abondantes récoltes. j. stries, Après que la plus productive de l'agriculture, à été duits; un fonds les indu- complètement saturée de capitaux, Suisses ont destiné les leurs à les toutes commercer sur ses pro- très -considérable est consacré à ce négoce ; on en pourra juger en apprenant que le seul petit canton de Sch'vvitz, cie , qui n'a pas quinze lieues carrées de superfi- dont près de la peut - être moitié est occupée par des rochers stériles ou des glaces éternelles, exporte cha- que année par son port de Brunnen , d'une si belle race qu'elles ne se trois mille vaches vendent pas moins de quinze louis l'une dans l'autre; en sorte qiie son exporta- 786 bétail seulement s'élève 1^080,000 à tion en fjLit y ajouter celle en fromages, en bois qui est aussi très - considérable. que aussi bien celui Les et francs. Il en merrains, autres cantons font, un commerce immense sur les transports , les Suisses ont ouvert - là , productions de la terre. „ Pour faciliter les dans tous les sens des chemins on ne peut les traverser sans admirer l'immensité tagnes; du au travers de leurs mon- travail qui a tracés, et leur parfaite conservation. les pouvoient Mais ces industrieux montagnards ne complètement la nature sont point renchéri praticables les fraix : plusieurs de leurs chemins ne pour des chars ; de voiture. vaincre cette difficulté a Les marchandises les plus précieuses sont celles qui peuvent le mieux supporter ces fraix considérables , qra'il a et c'est sans doute convenu aux Suisses, manufactures, lorsqu'ils ont entrepris des de s'attacher à celles d'un prix élevé et qu'on pou voit .transporter plus au loin joaillerie du Locle et les toiles etc. pour cette raison et les montres et la de la Chaux-de-Fond; les indiennes : de coton d'Appenzell, de Saint-Gall, de Zurich vont chercher des consommateurs jusqu'aux extrémités de l'Europe. „lLe commerce intérieur, qu'on n'estime jamais à sa Traie valeur, est porté en Suisse au plus haut degré d'ac- dael livité. pour la première de contre doit''être l'étonnemént fois du les bords du voyngeur qui lac Léman, et qui ren- deux lieues en deux lieues de^ petites toutes florissantes, oh tous les habitans sont bien nourris , bien vêtus, bien logés, et suit villes, respirent l'aisance, toutes lès maisons contiennent des magasins presque oit et dès bouti" ques, qui ne redouteroient point la comparaison avec celles dos villes commerce y les' également libre ; est est point regardé Suisse peut - il plus inarchandés de la France. de mauvais Tout celui d'importation n'y oeil : aussi le consommateur obtenir à meilleur marché ses habits , instrumens et tout ce qui lui vient du dehors , ses qu'aucua autre peuple de l'Europe. „ Après que toutes les été saturées de capitaux, il Suisses,' outre le comniercé voies de la circulation ont en a surabondé encore; et les étranger d'importation et d'ex- Des ca- portation, ont entrepris aussi celWi de transport. pitaux dé Neufchàtel, de Bâîe, de Lausanne, de Genève, étoient destinés eux ou avec à faire les échanges des Fiançais d'autres nations; ceux dès villes entre'-' de Zurich, Schafhatisen et Saint-Gaii réndoient le mênie service aux Allemands; CEUX d'Altorf, foulé dé de' Luceme, dé Coire et d'une villages semés sur la pente méridionale des Al- pes , en faisoient autant pour Tltalie, où Ton tr0Uivi# 99* un 788 nombre prodigieux de riches négocians Grisons, Dans tous ces villages à peine connus. Genevoises , des colonies Suisses bien différent de celles que dans les autres parties s'établir chez et les colonies Européens l'on d'un ont de voit genre fondées du monde, puisqu'elles ne viennent peuples , que les Etats , sortis pour les assister de leurs richesses et de leur industrie. „ La injuste aussi que ruineuse une guerre du milieu de se relève *), accumulé l' industrie plaies qu'on lui a infligées. de par ses Suisse est encore riche , et le capital prodigieux cju'y avoit le dévastée avec une force que personne n'attendoit d'elle... désastres, La cruellement Suisse , sien à citer l'abolition balances en humaine , C'est ferme partout les un grand exemple que faveur de la liberté du commerce et de toutes les barrières qui, sous prétexte de empochent défavorables , l' entrée des produits d'une industrie étrangère. " Dans les ci - devant républiques des Pays - Bas et de Venise, l'importation d'aucune marchandise étrangère n'étoit défendue; celles-ci payoient un léger droit d'entrée (en Hollande valeur, dans ce droit les étoit de deux pour cent de leur États de Venise *) Mr. Simonde écrivoit en i8o3» d'un pour cent seule- 789 ment): des produits empêché les Hollandais et les Véni- n'a point d'établir chez étiangc'ie tiens et de devenir les eux des manufactures de tout genre nations les plus opulentes de l'Europe. Diins le royaume de Saxe , merce de de la tes les ville la de Leipsic a l'intérêt évident du com- triompher le principe fait commerciale sur les préjugés populaires; tou« liberté marchandises pendant de toutes est la de Tindustrie cependant l'affluence étrangères les contrées plus industrieuse et La Toscane, au la tems y entrent librement de l'Allemagne la , ce- : Saxe plus manufacturière. de la république Florentine, avoit été soumise au régime des prohibitions. Le Grand- Duc Lèopold rendit la Les contri- liberté au commerce. butions, qui étoient en grand nombre, furent toutes levées au profit fisc; aucune n'appuyoit un monopole mercan- Or tout le monde tile. rissante et du de combien la sait quelle étoit la situation flo- Toscane sous cette administration ses manufactures et son éclairée, commerce étoient su- périeurs à ceux des autres Etats d'Italie. Enfin , liberté aussi pour se convaincre des du commerce , instruit il suffuoit de effets lire que véiidique rapporte sur la Biscaie, à une heureux de la ce qu'un témoin la situation de époque peu antérieure aux derniers trou- — igo- Suivant le récit de Bour- tjes qui ont dévasté l'Espagne. going *), l'industrie, l'activité, cette province, formoient et le ertie dénuement de l'aisance qui régnoient dans un contraste singulier avec l'in- celles qui l'avoisinoient : aussi ces dernières étoient- elles soumises à toutes les vexations du système prohibitif, près , toutes ment dans pour les „ Les Biscaiens, ajoute douanes une aversion qu'en geant l'esprit plusieurs occasions indépendant des Biscaiens, leur avoit fourni moyens de prospérité ,'Ses l'auteur, ont La cour, en ména- ont prouvé être insurmontable." ils restrictions du dehors entroient libre- marchandises la Biscaie. les qu'à quelques tandis dontr .ou qu'elle déploroit peut-être elle se doutoit fort peu, comme des enttaves à cett^ prospérité. <!!es exemples, dont on pourroit encore augmenter nombre, prouvent bien que le prindpe de merciale n'est point le liberté cotïi- la un rêve philantropique , un principe fondé sur une théorie purement spéculative, et dont l'ap- que plication seroit douteuse, peut-être funeste, parce efTcts sont encore irrconnus: tout au contraire, l'expérience l»usi apprefld qtHB maint, jieuple vu- son» industrie entra- a- et ses progrès vej-s l'opulence retardés par ïe régiflie iVié^i — seà ^ I _ , _ —^— . — ..-^ .• * ' • • ^ —— =-^ 79 i mais prohibitif ; la ne fournit pas un seul exemple où elle du commerce libciLc prompt et produire l'opulence n'ait de toutes facile suivie été du développement les facultés qui donc permis nationale. Il joindre voeux à ceux de Mr. est citoyen éclairé dé monde, ''^pour que tout gouvernement qui ment le bien, qui ne rer il- ses Si- désire ardem- la routine à laquelle et qu'il profite des leçons muettes mais giques de l'expérience tout a pleure aucun sacrifice pour le procu- au peuple, réfléchisse encore sur se livre, concourent à éner- " ! y a des personnes qui, convaincues des avantages Il d'un commerce libre, sont cependant d'avis qu'il seroit dan- gereux d' êtahUr monnaie cette a remplacé supposent que la le liberté dans un pays bu numéraire métallique, valeur de ce papier le papier- parce qu'elles, dépend du change étranger, lequel peut devenir défavorable au pays, si l'impor* tation des marchandises étrangères n'y est assujéti à aucu» nés entraves. Les partisans de cette opinion sont très-nom- breux en Russie. Si le commerce étoit libre , disent - ils, l'importation des marchandises étrangères excéderoit l'exportation de nos produits, traire, ce qui dépréciés. avilïroit Le système et le change nous deviendroit cotif encore davantage nos assignats déjà prolùbitifj au co)itraire, eii limitant 792 limportatlony nous rend change favorable, le et améliore par là notre papier. ce raisonnement étoît fondé, Si il ne s'^nsuîvioit pas encore que le gouvernement dut recourir, valeur de son papier, que sible la a. pour sauver une mesure aussi violente la et nui- prohibition d'une branche du commerce. Pour- quoi n'emploieroit-il pas plutôt un moyen de guérison radical qu'un mauvais palliatif? pas Pourquoi ne diminueroit-il masse àes assignats et ne leur donneroit-il pas une la garantie pour assurer leur valeur, plutôt que de venir à leur secours par des mesures, lesquelles, supposé qu'elles pussent opérer quelque bien dans ce sens, font en même tems plus de mal dans un autre ? Mais ce raisonnement est absolument faux, comme la discussion suivante le prouvera 1°. Il tout esprit non-prévenu. l\ ne s'ensuit pas que, le commerce étant libre, la balance du commerce et le change seroient défavorables à la notre Russie. Au avantage que dans de prohibitions. jusqu'en 1*768) dans les trois contraire, le ils n'ont jamais été plus à tems où il y a voit le moins Dans l'espace de 69 ans (depuis 1700 le change ne nous a été contraire que années de la guerre de sept ans, de a 1761 ; il a été constamment au-dessus pendant tout le reste fjSg de cette longue période du pair, et le plus sou- 793 vont de lO à 42 pour cent pit.^que tnmes 1rs Oi^ *), cLuis marchandises crraUj^^t'ies et qii' (.lies cette période, entioient l>bre-. ment en poLii Li pUipart modiques. 2°. Les prohibitions n'cmpechcnt pas l'entiêe des mar- Russie , les dioits éti\ingères ; clKindises elles moins coûteuse j "suivant rendent seulement plus ou la volume le Dans ces derniers tems chandises. payaient éloient et la les valeur des mar- prohibitions s'éten-' doient sur presque tous les objets manufiîCt'âVés de Tëtran'et s^er'y jours, la contrebande nous on fouriiissoit tou- en abcndcince. êl 3^^. p.ïs cependant Enfin valeur Ia du change étranger , du papier - monnaie ne dépend de mais la quantité du papier. Lorsque celte quanlite est au dessous du oesoin de \à circulation intérieure, 1^5 espèces métalliques se maintiennent plu? ou moins se déprécier, au pays. le dans pays, le même quand Lorsqu'au et le le les papier monnaie excède espèces sortent tout-à-fait papier se déprécie, quelque' favorable que Dans ce cas, puisse être le change étranger. ') Voye?. le TiMecru con. papier ne peut point cliange seroit défcîvorabie le contraire besoin de la circulation, du pays et \q Nr. t II dans le fixi>mc volume ds polir. M^:noiri{iderAi„<i. T. n. ^ O^ les ijior. somm.es Cours d'E- 794 d'argent qu'il la ce papier, s'il s'est des lui prescrit en sont aussi -tôt surabondance du papier, par on pays, enlrcr dans le fciit; exj^Lilsccs de et le cours relevé momentaTiément par l'importati- ne espèces , pas de retomber au taux que tarde quanlilé relativement au besoin de la cir- sa culation. Quelque bien fondé qite Tableau, encore loin d'être crois donc utile nos assignats. J'ai dans l'intérieur et la de ce Tableau prouver par les de la Russie. Je de l'assignat valeur *). 11 résulte : , intérieure ; presque constam- valu le change étranger que dans car le ment davantage dans culation sont exemple même de dans le change étranger Que l^ rouble assignat a 1°. 1' ils à cet eiTet le Tableau ci-joint, dresisé comparaison présente en généralement reconnus de qui soient ces principes, pair de l'assignat pendant 34 années; dant 4 ans , au - dessous du et il n'a été la cir- change à été au - dessus du il a été au pair pen- pair que pen- dant 9 années. 2°. Qt-ve la dépréciation progressive de l'assignat a toujours précédé de plusieurs années l'époque où le change •) Ce Tableau «st extrait trouvent dans le 6nie volume J'y ai compris les dernière* ;innées et réduit le taux du change sur les différentes places i un terme moyen, exprimé en copcks d'argent, pour faciliter la coii)p<iraii>oo. de <le ceux qui se mon Co«n, sous les N-os. V. et VII. 795 devenu contraire à est sous du que change le assignats , que mencé en 1 tombé que deux la 1784; baisse la la première fois déjà déprécié depuis sensiblement depuis 3°. n'est pair de l'assignat: l'assignat s'étoit tandis Depuis Russie. la et réitérée des au des- fois - en 1789, lors17 75, seconde la création et plus en 1807, fois de l'assignat avoit déjà com- 804. Que r assignat a souvent éprouvé des variations en sens contraire du change; par exemple dans les années 1772 où 73, et il et dans les années monta tandis que 17 70 et 71, 95, où l'assignat tomba dans le 1774 tems le change baissa, et 75 et 1794 et même où le change s'améliora. 1 Le change ne peut donc pas tions de l'assignat, événemens. se montre Celle pour progressives avoit créé vement de en *). 40 *) dans de la ainsi faut la chercher d'ans d'autres progressive de ce papier baisse dire d'elle-même, dans les émissions millions d'assignats, qùî furent mis Successi- circulation. le il cause des varia- Nous voyons qu'en 1769 le gouvernement chaque émission .qués et être la en Quoique particulier Tableau auquel Ces émissions sont le indic^iurcs dan» je le montant et ne soient l' époque point mar- viens de renvoyer mes Tableau Nr.V. du Ccuri, 100 * lectfcirs, le tanx dé n(?>ns les indique' assez clai- rement. Dè^ pi êinieré^ émission, le rouble assignat ne vaut la Ka'^signat ^9 copiks-, se déprécie successivement penldcmt leV trois années suivantes. Cette baisse étoit l'effet iquê • étj natoix'l de raugmentàtio^n frifpper également fane du sortir espèces qu'on en subite dit numéraire; elle dut espèces métalliques et l'assignat, et les pays il- à - pc u - près a voit émis autant en papier. de millions en L'équilibre s'e- tant ictabli par cette sortie des espèces , et aucune nou- velle émission de papier ne le troublant derechef, le taux de remonte, dès Tannée 1 773, et l'année suivante le papier atteint sa valeur nominale. De: nouvelles é m issioniS l'assignat l'en font descendre de nouveau depuis 17 75; mais comme elles sont très-modérées, l'assigna^t se mainiicnt Dès l'année 1784 des émis- ans au taux de 99 copeks. sions plus sa chute nouveaux fortes est font le tomber, davantage , accélérée par assi^i;nats. la ciéalion somme Cette, . 1790. par ,des émissions annuelles, si évidemment pac la simple vue du Tableau liaison de ces Mais si la la \ pendant neuf baisse est et en 1787 de 60 millions de augmentée depuis dont refïet se montre progressive de l'assignat, que suffit pour se convaincre de la doux phénomènes. baisse de l'assignat est de ce papier, comment s'expliquer rcffet pa. /uiuv^c. des émissions deux fois vé- pêiçe,; dons sé *) ? suliit un Pour d'observer Que l*'. où. Igs émissions n'avoient ^aèrc ces- teins icsoudre cette contiadictian apparente , il : cette de l'assignat hausse n'a que mc- été Dientanée, l'une n'ayant duré que deux ans, et l'autre trois; Que 2*^. époques de cette hausse sont celles de les deux nouveaux vè<;nes , dont chacun débuta par des rae^ suies d'ordre et d'économie dans l'intérieur, et par des ar- pacifiques rang,eniens au - dehors. L'clTet de ces mesures de voit être d'autant plus grand , que l'opinion du peuple devançoit et leur prètoit de nouvelles forces; les Que l'acquisition des 3°. la ConrLinde qui précéda vert wr\ la nouveau champ aux provinces polonaises et de avoit ou- première période , assignats et avoit considéra- blenrent agrandie la sphère de leurs opérations; 4°. commerce Knfin que, dans la dernière de ces périodes , le et l'industrie en général jouirent d'une liberté, et l'Empire d'une paix et d'une prospérité rares, causes firent naître un commerciale, lequel, valeur dans le surcroît de à son et que ces production et d'activité tour, exigea un surcroît ges qui se fai^oient. *) de Ruméiaire, pour opérer le suEcroît d'échan- D.u>s Itî aanf?cî 179G 8t g./, et d.faj ctHes di: 1801 à i8q3- On vojt que ces circonstances passagères expliquent suffisamment la hausse momentanée des assignats , émissions les constante doute et sans léitéiées S'il progressive. l'égard il cesse expliquent b^aisse de cette seconde cause, les dernières an- les émissions ont cessé , tée; leur encore le moindre néstoit nées de notre Tableau le détruiioient. car, comme la Depuis i8il que chute de l'assignat s'est arrê- après les variations brusques et fortes des années précédentes, on peut compter pour rien rences qui ont eu lieu dans la les légères dilTé- de l'assignat pen- valeur " dant ces six années. En résumant ces observations_, on se convaincra, j'esdu commerce ne peut point influer père , que d'une manière désavantageuse nats. Au contraire soit il la liberté , sur taux de nos assig- le pourvu que la masse de papier ne point augmentée , plus le commerce sera libre , se fera d'échanges dans lesquels employés; plus, par conséquent, il les assignats plus seront seront recherchés, et plus leur taux haussera. Enfin les partisans du système prolnbiiif essaient quel- quefois de justifier ses mesures par la considération de lin'- dépendance natioucde. honteux d'acheter A les entendre, on diroit qu'il est quelque-chose aux étrangers; ils appellent 799f tnbut les sommes que la partie leur paye pour Iclus marchandises » à et tiennent ce langage, patriotes qui dans le pour des étrangers iiux marchandises Les soi-disant la dépendance est Russes, par exemple, payent un les si l'affranchir paioissent oublier- que, deux nations, coniiuercc entre mutuelle, et que, tribut au gouvernement de conseillent d lui joug aussi ignomincur. prix tout Us coloniales, les des etolTes , vins et des leur en payent étrangers pareil pour des blés, des fers et des bois un de construction. S'il y a quelque dépendance dans ce rapport mutuel, cer- tes elle n'est point ci achète aux du coté de étrangers des la nation agricole. objets Celle- de commodité et de luxe, dont elle peut se passer quand la nécessité l'ordonne; son débit est plus étendu, plus siir et plus lucratif; il le devient d'autant plus que les autres nations font des progrés marquans dans leur industrie , plus mêmes tandis que ces progrès' exposent les natio:is manufacturières et com- à merçantes dépendance mal pour perdre seroit les le leur Mais *). lors égale des deux côtés , nations qui s'y soumettent ? même que la ou en seroit le Partout ou les besoins se multiplient et ou la civilisation s'étend par le moyen du commerce, *) les nations deviennent de plus en Voyez la preuve de ces assertions dans mon Cours d'Ecou. polit. T. Il, p. ôSj. et suiv., I. /r, p. i8i et siiiv., et W V, p. ii5 et m',-. aoo plus déprîulanios les unes des antres: dépendance , cette extérieur, et la s*igesso du Lipon k toiU seroit: le commerce comble de la Icgislaiive. Cependant, est s'il ab^?urde de prétendre à une en- commerciale , indépend.ince tière renoncer fntidioit il politique pour annéantîr ainsi, gouvernement doit tout prendre des mesures pour rendre l'Etat nussi peu dépendant pour tout ce qui regarde sa possible des autres nations, {jue défense ou sa sàretè soient ces mesures, pins douces, tres de le encourage gouvernement sera de guerre parmi ses sujets, justifié Ainsi aux ycnx un souverain des armes ft des munitions fabrication la qtie but ne peut être atteint par d'au- raison de les a\'oir employées. la qui le si violentes Q.(ielq[ie extérieure. même par les mesures les plus sévères du système prohibitif et aux dépens de la ricliessc nationale, che n'en est point blémable, parce que cette bran- d'industrie tems qu'en de est nécessaire une guerre à la défcnso du pays, combinaison et de circonstances contraires peut le mettre dans l'impossibilité de s'en pour- voir de l'étranger. C'est sous ce point de justifie l'acte de navigation^ ou cette loi \'tie que Smith ans;laisse qui don- ne aux vaisseaux et aux matelots de la Grande-Bretagne monopole de navigation marchande de leur pays *), le *) la Wtaltb of lictiuns, Val. Il, p. 19Q. 801 Cette n'est loi n'en moins que favorable au commerce de l'Angletene, on à l'accroissement de ccttte opulence dont le commerce est ment supposé source la _, comme on l'a souvent fausse- sur le continent. La nation anglaise bien plus dans le cas d'acheter à bon marché, si, seroit par la liberté de la ons à lui apporter les marchandises qu'elle désire d'ache- ter ; et si, par navigation, elle encourageoit toutes les nati- elle seroit du remplis ent bien plus dans le cas de vendre cher, moyen de le cette plus L'acte de navigation, deurs et des même liberté, ses marchés êtoi- grand nombre d' acheteurs possible. en restreignant le nombre des ven- acheteurs étrangers dans les marchés de la grande-Bretagne, oblige les Anglais, non-seulement à acheplus cher les marchandises étrangères , ter vendre étoit entièrement l'État est Smith n' de leurs les à meilleur marché que libre. d'une plus pas hésite commerce les Toute-fois , mais encore a là navigation comme la sûreté de si grande importance que sa richesse, d' appeler cet acte un des réglemens plus sages de L Angleterre. Car la dé- fense de ce pays dépend principalement de sa marine, et l'acte le de nombre mais navigation contribue non-seulement à augmenter et encore à perfectionner la construction des vaisseaux, à former On voit combien il une pépinière d'excellens matelots. seroit déraisonnable Mimotrn de /' Acad. T. VI. de l\ part d'une 101 8f02 puissance conTincntalf^, dont ne dépend point de d'imiter l'exemple de l'Angleterre, flottes, Ses snreté Id et de mêmes sans en icliicr les aux mêmes sjciii\ces existe encore un antre cas dans lequel soiinKttre se avantag<.s. II . avantageux de mettre seroit qu'il diistrie étrangère pour encourager l'industrie nationale, sa- quand voir parolt il quelque charo;e sur l'in- de produit le celle-ci chargé lui-même de Dans ce cas impôt dans l intérieur. quelque est il paroît rai- sonnable d établir un pareil impôt sur le produit du même Ceci n'aura pas l'eftet genre, venu de fabrique étrangère. de donner à intérieur que : l'industrie tout qui en l'efTét cette partie nationale le monopole du du capital résultera, et du marché ce sera d'empêcher travail du pays qui s'y seroit porté naturellement, n'en, soit détournée par l'impôt pour prendie une direction moins naturelle, et de la lai<?ser concurrence entre l'industrie étrangère et l'industrie na- tionale sur le même pied qu'auparavant^ Mais ce principe n'est- il pas susceptible d'une appli- cation beaucoup plus générale, et dans mières nécessités de la vie fussent le cas ok les pre- imposées dans un pay.%. ne coiivicndroit-il pas d'imposer, non-seulement même espèce qui seroicnt le? objets importes des autres pays , de mais 8o3 toute espèce de march<indise étrangère^ de nature à concourir ai-cc tout autre produit de l'industrie nationale ? Sans doute les iinpols la sliï du \ie haussent le prix, les travail piemièrcs nécessités et par de conséquent celui de tonte marchandise produit de ce travail: cependant ce renchérissement n'est pas la même chose que d'une celui marchandise particulière, causé par un droit imposé direc- tement swr elle , et en diffère sous les deux rapports il siiivans : 1°. toujours est Il aisé de avec connoître la plus grande exactitude, de combien une marchandise se trouve par un rerichciie il scroit directement imposé sur elle , droit impossible de déterminer avec quelque précision, de combien le renchérissement général sur le prix influer mais de produite par le travail. chaque Il y de travail pourroit marchandise particulière auroit donc impossibilité de proportionner, avec quelque exactitude, l'impôt sur chaque étrangère au renchérissement de chaque mar- marchandise chandise nationale. 2°. Les impots ont, sur le sort sol ingrat sur les choses nécessaires à la vie du peuple, à-peu-près le même effet qu'un ou un mauvais climat. sent les denrées de la Ces impots renchéris- même manière que si elles coûtoi- loi * 8o4 de travail cnt 'plus de cède il du pauvreté la de dépense qu' à V ordinaire pour Comme dans la cherté naturelle qui pro- produites. être et ou de sol dureté du climat, la absurde de prétendre diriger les gens sur la route seroit qu'ils ont à prendre pour l'emploi de leurs capitaux et de leur industrie, ne le seroit pas moins de le vouloir faire dans cet- il te cherté artificielle causée par les impôts. du mieux qu'ils l'entendent, leur industrie à leur situation, c'est évidemment Mais les parti le plus le d'impôts; par et la trop cher les choses nécessaires de avantageux pour eux. charger d'un nouvel impôt, parce qu'ils sont déjà surchargés également paver Leur laisser assortir, plus cher la raison qu'ils payent déjà à la vie^ vouloir leur faire plupart des autres objets consommation, c'est à coup sûr une manière leur fort étrange d'adoucir leur situation. Les de restrictions liberté la que nous venons d'apporter au principe du commerce , des deux questions suivantes 1°. ter la chez Jusqu'à quel point libre elle, : est-il à propos de importation des marchandises laisser subsis- d'une nation, qui, gêne ou empêche l'importation des nôtres ? Dans ce de nous conduisent à l'examen cas, représailles , la et revanche porte naturellement à cette conduite peut être d' une n<^er bonne 8o5 politique quand vocation des jjlaindre. IMais il gros probabilité qu'elle amènera la ré- a y droits quand ou prohibitions dont on a à se cette probabilité n'existe pas, c'est évidemment une mauvaise méthode pour compenser le dom- mage fait autre dommage à quelques classes tant , à ces à[\ peuple, que de mêmes classes qu'à faire un presque toutes les autres. Jusqu'à 2°. de rétablir la après qu' elle lorsque par dindustrie importation des marchandises étrangères, libre a interrompue pendant quelque tems , été du système l'effet se point et de quelle manière convient -il quel so)it prohibitif , et certaines branches étendues au point d'employer un grand nombre de bras ? Dans ce cas, l'humanité autant que peuvent exiger que que graduellement de reserve. Si droits et ces la et liberté la sûreté publique du commerce ne soit rétablie avec beaucoup de circonspection et on alloit tout d'un coup supprimer ces gros prohibitions- qui gcnent l'importation des mar- chandises étrangères, intérieur fut il pourroit se faire que le marché' inondé aussi- tôt de ces marchandises à plus bas prix, tellement que plusieurs milliers de nos concitoyens tous privés de leurs occupations se trouvassent et dépourvus de tout moyen de subsistance. à la fois Il y a pourtant 8o6 de bonnes rair-onî pour que croire mnî le seroit beau-cfvt:p mcme dans un moins ^rand cnon se le fignre d'ordinaire,, pays qui auroit suivi le systcmc proliibirif depuis pins d'r.a siècle duit et Taurou maintenu dans sa plus grande rigueur. qu'un pays pro- D'abord, toutes les marcliandises au même prix et de chandises étrangères do la tel même qualité que les marmême espèce, lorsqu'elles sont la que arrivées sur son sol, ne se ressenti roient point du tout de la concurrence de l'étranger. même quelques consommateurs vicndroicnt à préférer la marchandise étrangère, un droit à si peu de personnes, Ensuite , liberté se trouver subsister, quoique dans le Et qtiand par engouement tel capr.ce s'éten- ne produiroit aucun ef- du peuple. sur l'occupation générale fet sensible la qu'il peu ou fort cours du létablissemcnt de commerciale, un grand nombre de gens par il là privés de leur manière dii<;scnt habituelle de ne s'ensuivroit point qu'ils fussent totalement privés d'emploi et de subsistance. Lors de réduction la des troupes de terre et de mer, en Angleterre^ à la paix de 1763, plus de cent-mille soldats rent tous à la fois déplacés de gens de mer fu- et leur emploi mais quoiqu'ils en aient eu sans doute à ils ne se trouvèrent pas pourtant ordinaire ; souffrir dénués de un peu, tout moyen ^0 7 Tiibsisrance «Te f.a . majrnie des pnrlic £;('ns cTc me r vr.nsoniblablcmcni entrèrent successivement au service de v.iisse.iux djls se marchands ; fondirent dans la une foule grand et si à de même et en tems eux et les so s 1- masse du peuple et s'adonncre nt Un chani^enient professions diverses. si subit dans le sort de plus de cent-mille ho m- nics, non-seulement n'entraîrra: aucune convulsion dangereu se, mais même aticun travail désordre sensible; les salaires même du ne souflVirent de réduction dans aucune profession, excepte dans celle de matelot au service du commerce Cependant, celles d'un ouvrier d'industrie, nous trouverons que celles et au dernier ne tendent pas autant à un nouveau métier, que colles de l'autre propre été à toute accoutumé vail ; te l'assiduité la *). nous comparons les habitudes d'un soldat si à snîdaL espèce de le rendre impropre à L'ouvrier a toujours travail. n'attendre sa subsistance à de l'attendre li l'autre. Or il est que de son paye. sa doivent être familières à l'un; dissipation à le rendre im- tfa:- L'industrie et la fainéantise et certainement beaucoup plus aisé à changer la direction de l'industrie d'une espèce à une autre, que d'amener la dissipation et la A une occupation quelconque. *)j Sjttitb, Wcid.h of nai'iamy l'oL Uy p. 204» fainéantise 8o8 plus grande partie dos la D'îiillenrs-, m an n factures ont d'autres bi^iiK hcs de manufacture collatérales, qiii ont avec tant d'analogie, qu'un ouvrier peut aisément transpor- elles industrie de l'une ter son de ces ouvriers à l'autre ainsi reformés , *). Et puis la plupart trouvent accidentellement de l'emploi dans les travaux de la campagne. Le capital qui les mettoit en oeuvre auparavant, restera toujours dans le pays pour les occuper de quelqu'autre pour éviter les manière. Ainsi, inconvéniens qui pourroient résulter de la de quelques manufactures pour les ouvriers qui y chute sont employés, il de suffit laisser à tous la liberté d'exer- cer toute espèce d'industrie qu'ils jugent à propos d'exercer, et et des de détruire les privilèges exclusifs des corporations métiers dans les pays où ces gênes de l'industrie Alors, existent. pas plus à utiles société la souffrir d'un classes d'ouvriers, soldats. ni ni les individus n'auront événement qui disperseroit quelques qu'il n'ont à souffrir du licentiemcnt des Les manufacturiers sont sans doute des gens à leur patrie, mais ils fort ne peuvent pas l'être davan- tage que ceux qui la défendent au prix de leur sang, et ils ne peuvent pas se plaindre s'ils sont traités comme eux. Les entrepreneurs des manufactures tombantes, dans le cas d'une liberté de commerce rendue subitement au pays^ *) Voyez en des exeivplci dans mon Cowrj, T. II, p. i8 et siiiv. 8 09 sans soiifiiiroient partie un dommage considérable. doute Cette de leurs capitaux qui s'emploie habituellement en achat de matières premières et en salaires d'ouvriers, trouveroit peut-être sans beaucoup de difTiculté ploi ; mais ils un autre em- ne pourvoient pas disposer, sans une perte sensible, de celte autre partie de leurs capitaux qui étoit fixée dans Une juste considération leurs ateliers et autres instrumens de métier. pour les intérêts de ces entrepre- neurs exige donc que de tels changemens ne soient jamais faits et brusquement, successifs, mais qu'ils soient amenés et après avoir été -annoncés pour cette raison que luut gouvernement V avec le plus grand soin monopole en fiiveur de la de pas lents à loin. r\f^\rra\t C'est se garder d'établir jamais ^uctm nouveau, l'industrie nationale, ni de -donn» moindre extentjon à ceux -qui sont déjà établis. règlement de ce genre introduit dans l'État Chaque un germe réel de désordre, <ju'il est bien difficile de guérir ensuite sans occasionner nn nouveau désordre. "ooi'ooo' ^o^caoo Mlmntrrs.kl'Acnd. T.Vi. 10- 8io TABLE A- UX STATISTIQUES SUR LE COMMERCE ÉTRANGER DE L'EMPIRE DE RUSSIE PENDANT LES ANNÉES 1802 ET 1807, ET DEPUIS 1812 JUSQU'EN i8i5. PAR T, C. Présentés à la HERRMANN. Conférence le 94 Sept. 1817. Nouff présentons deux tableaux sur le Commerce étran- de l'Empire de ger jusqu'en 1807, le Russie, second le depuis 1812 Les données statistiques sur les années manquent , et cette depuis 1802 jnsqn' en i8i5. premier 1808 — 1811 norts lacune rend les différences entre les deux tableaux encore plus frappantes, dont tems du système continental^ du tems de l'Eu^ et l'autre Tun est d'u lope délivrée. Le terre total du commerce de la Russie par mer et par pendant ces dix années étoit comme suit:- 8ii année; 8iir de plus , rniîlions de ce donne qui environ, la proportion à 3|., 1 Tout le revirement du commerce monfoit dans la prcpériode jflieie et à terme moyen par année à 114,541,817, dans la seconde à 279,2841966 r. et surpassoit donc ce- lui de la première période de 164,743,149, c'est-à-dire qu'il a voit plus tjue doublé, sans, le commerce de dont lïous parlerons, séparément dans la transit, suite. Nous n'fntrerona point dans la recherche intéressante des qui ont opéré un causes 3. surpasseroit qu'elle loit des heureux, changement, des objets- qu'on, peut envisager sur me borne ai remarquer, que le système con- ditTcremmcntj je tinental prédominoit en Europe dans la première période, que la. russe commence em i8l2,, quand l'ennemi dernière période si brillante rable les progrès du Commerce ji grandes les, çnÛQ: le le Commerce a voit passé les russe rivalisoient avec les progrès des armes victorieuses de terre pour de l'Empire,, et que depuis cette année mémo- frontières Lss puis- bornes de ce Mémoire et eniraine- les. discussions si. routes principales commerce ttnk Inattention du la, Russie.. de ce commerce par; meFi et par marchandises importées, et: exportées, rfe- St; Pê^er^bowrg en pariiculiei, méri» statisticien, politique.. ' 8i3 I. sur 1.) tneTn^TTtlcjue ( Commen'ce par Mer. mer "blanche ^ur la mer noire et d'a'îovv!';ur I.r.nLTCa'^p'.ennc sur la St.Pôtcrsboarg ctCronstidr Rii^a, Perniu. \':uv;r, An Wiboui-, Aren^bourj», Jdessc, Xiko'ac'w Ovidiopoj, FLupirorii. Sewaitopol, Kci' vil, Fcc) Onega. Aichan^^-il, Lib.iu, Friedrich'.ham,Wui ciau, Reval. importition llap>,i!. Importât j Importât. lixportat R 78 4 78Ô5 49,433,718 -7,107,653 45, i5'a 0(0 J-'Ji^^'^ ^7\^J^Hq^9 5o.|,6o6, 4,8.>a,6j8 2,960,8^6 i':* Exportât- 27>3p4>97^ 43,007,39; 4>"^ 1*3,34 Importât, j Expert. ; a,9(J),og6 666,044 4,9 4»°5j 802, iga i5o, 38 I 4,9 '5 357 _ 757^941 3>754»09>j 5,365, o-Sc)! 7 403,372 857,20 26^6^ "^95^66 "4^37,738 J^2M^ _^44_,7t>o 91,443 1 27,191,468 49,14.^,739 l6 >7 2 22 1,493 388,66;) 1^,715,788 -!8:93o,ooi \ 1 â^ 9j^l]^L 549,7 ltt02 Astrachan. Taganrok, Mariopol, Jtnicale. exportation j doiiaj 1 3,287,034 587,424 584,977 _ 397,694. ,077,610 185,599 1 total [173,733,1^4285,766,^312,707,49.9 22,y56,a,i'l'9j95c>,93l»4, 254,^92 4',7^57748 74o,2i3> lî. resuite de ce tableau: 1. que r importation mer blanche étoit portation ,, que noire,, mais le sur mer Baltique- et sur la la dans cette période commerce que l'importation étoit très inférieure a lex— plus égal sur la surpassoit. mer de Ijeaucoup IcXt-. portation sur la mer Caspienne.. 2:. que 1! importation, a diminuée sur pendant cette période,, mais que soutenue. continental, 1! Le premier phénomène le la: mer Baltique exportation s'est mieux: étoit l'effet du système second provenoit du besoin que les étran- gers avoient des productions russes.. 8i4 4 I 3, que commerce ^ré tous 4, Comiiverce le le plus égal -qui se trouve commerce pourtant le sur la à est sinioul bien soutenue n)al- assez raer noire est le commerce Le surplus la 1' exportation provient surtout en bled, commerce <îésavantageux à sur la mer Caspienne est le plus Russie, l'importation étant sept à huit pius ^^rande que l'exportation. fois 6, que l'importation générale par moyen cette période à terme tion la s'est entre les nations commerçantes. du commerce dOdesse que mer blanche la obstacles, les le 5, qui d'e.\'[;orralion, que sur 55,623,024- à Russie, qu'exporté. pour car il ^*ï y a mer montoit pendant 3 3, 506,643 r. et l'exporta- balance étoit donc en faveur de avoit 22,ii6,38i r. Assurément qu^on doit compter quelque chose , pourtant la balance plus d'importé la contrebande étoit toujours favorable pour cet Empire. 7, à tctme Le ics que le revirement général montoit à 89,129,667 moyen par année. second tablmu données suivantes. sur le comraerde de mer contient 8i5 '^ ui'l.T iiT-r sar l>.-.ltic|ue ne !a .- un [)l.:rfrû I nrtces importation | Exportr.ion Imporrition; E-xponai- R o , l.i i -!Cf no.'fet r. ci'nsov/!5Ût"fâTiîër~caspiennc Importation Exportatif-:illmponur. b u 47,542>8i9J 8-(,9 SJ lo? 8,7»3,o83 10,609, oui 3,oi9.j[)o5 >i_4 total 76,474» "8; _^^M9^9j^ tJ9.!j37,446 8>), 1 35,941 2,409,332 i5,r)54,iro 41, ()b5, 671 Le beaucoup .'),396,.537 ^^.'iGg. -"88 1.769,625' 7,714,97'! a,'2c3,()4/f c>,o3a,î-8a' 877 i3,n39..iQi (iG, G )g,5j '3,t!fï5,25i 8jy<)/,9û4 6,o3o,3uO' même phénomène se commerce d'un c»!)? 909, floiissdnt , reproduit d.ins celte pciiode l'exportation est pjrlo-nt à l'importation , excepté sur supéticuie Li de met cnspicnne. L'împorfation sur la mer Riltique en 181 3 est unique dans son genre, elle surpasse de 42 millions celle de T.in- née i8i2j elle surpasse merae l'exportation de duand les résultat décisif, l'Angleterre marchandises que ni le des armes- russes victoires quand stirtout le avoient 1 3 millions, donné un système con-tinental étoit tombé, combloit coloniales et de les ses ports de la Russie de Manufactures , Tarif existant alors le permettoit. autant Ni la France r Espagne pouvoient encore prendre une part active à cette importation énorme en Russie, les villes anséatiques étoient en parie ruinées, donc c'est surtout de l'Angleterre que doit venir cette masse énorme dé marchandises importées. Ce moment passé, " 1 :,i4Ç>,8b'4 1 Exportâr.- s ' 8 8.|5,,520'"9~iRÔ3^(^3 8o,07î,ot!3 199,617,007 297,P8B,9tio'43o 6o'i,8 i ' °»7'^7.677 ^59,.38i 309,6891 7,793,3 981 6,.i64,(i3i i5,.»8o Ôio >, '37,734 1.918,8^4 1 i0i3 ë J l'importation sut la mer Baltique 8iô tomba de quelque chose , mais elle resta toujours de 33 millions supérieure à l'année années dernières d'un demi et de 53 millions aux période précédente. la l'impoitation blanche lions, de 1812 pendant la dernière million et moins, subitement a la mer période monta plus de 8 mil- un cas extraordinaire qui est fondé sur c'étoit évcnemens Sur de militaires cette Quand année. la les Russie avoit pris une assiette plus tranquille, la grande importareprit tion diminua jours cours ordinaire par son nécessairement à de deux tiers St. Archangel, Pétersboarg^ -elle mais elle resta tou- supérieure à ce qu'elle avoit été dans la période précédente. Sur la mer noiie et sj.u- celle d'Asow le commerce augmenta .mais pas la mer baltiquc, puisque le commerce sur cette mer avoit si rapidement comme sur joujours essuyé moins d'entraves pendant \â période au systé-- me continental. Enfin le commerce sur la mer Caspienne a conservé son caractère, c'est-à-dire, que l'importation surpasse l'exportation, pourtant quatitrefois, où pendant lions et il s'y trouve infiniment plus d'égalité six années on importa demi, et n'exporta que pour 700,000 pour 4 milr. car dans ces dernièi-es années on a importé pour 8 millions et demi, mais on a aussi par cette route, exporté pour 6 millions, exportation inouie et qui paroit augmenter annucllem< nt. — 1 , 817 L cxpoHaiion présente sui toutes les routes les résulplus salisfaisans. tats les que par millions) Elle surpasse l'importation — — la mci Baltique de sur la nier blanche de swï mer noire et d'Asow de 37 total 196 sur la que les de victoires , du teins (en ne comptant là'i millions 26 — • millions étrangers ont payés à la Russie en de pas dans le révolution Françoise, mais par un Commerce la régulier. Elle surpasse l'exportation dans la pé- libre et riode du système continental de 145 millions sur en Baltique, de 2 blanche, de 39 — — noire et d'Asow, total 205 millions quatre ans, plusqu' auparavant commerce languissant. en Nous avons déjà 7 fait la mer sur la mer sur la mer 1 7 exportés années d'un mention com- bien l'exportation sur la mer Caspienne a gagnée, ment 5,390, années qi.iatrc genre de recette extraordinaire nommé- roubles. Le total de l'importation par mer pendant ces quatre années monte à 350,853,623 r. ou terme moyen par an- née à 87,723,405, plus 54,2 16,762 que pendant la première période ; elle a donc plus que doublée. Mémeirtsdet^Acad. J.Vl, 103 8i8 Le total de année 1 l'exportation ctoit 35,836, 141, ou 80,213,177 six années piéccdcntes. de 543,844,567 r., pat r. plus que pendant les Les progrés du commerce sont naturel- lement plus grands à l'exportation qu'à l'importation, puis- que la Le première est toujours plus favorisée. revirement général 223,559,546 r. il que pendant la période etoit étoit année commune de donc plus grand de 134,429,879 r. où tenoit l'Europe enchaînée. le bras de fer du despotisine 3 8i9 Commerce par terre, premier tableau. II. avec p.ir les lens avec Suède la magne et l'Autriche Gouverne, de la Fin- par et noimiument p.ir Strdopol, nie et Ny- 1 la angnen podolie , PoJourbourg , Wilmani- Kowno, Grodno, trand et Jousch- Brctt, lladsiwilow chiot, Walachie et la Bes- sarabie G. de Vilna, les Grodno, par la\'olhy- 'lande et Olonei-z, An-I avec la Moldavie la Pri!S«e, l'AIle- la les G. de Po- dolie et de Chersor. par Mohilcv et par Parkansk et Dubossar. koser Importa- Exportion ration I Importa Exporta- Importa, Exporta, tion tion tion tion R 1800: 3 09.068 1 10,3911 11, 572, :j43 j^ 487,995 £^47 ^67 _779i:io4 iT^ô 7873 4>-84>63o 3,087 *5^5| 473,o.')'6 j8o4 64,016 r8u5 83, 881 7ôo6 82 249I 62,421 ÎÔ~7 72,196; 58,295 rsô ^5 3 'S5 ij ~684 2 , 1 M 3^426.157 2 ,"26¥,«63 |^_i578^ 4 92't)25i 2,687,708' 481,119 10, a6o, 180I 2,584,227 1,616,202 434,176 3, i8b",o52| 2,766,710 779,a«2| 449,^23 43,606 1 8,459 56i 57,302} 8, i92,i63 1 total '4: 5,'66'4oo,438| s 1,618,617122,963,979 '^.Q' ',5173,039,676 , Le piincrpal avec celui ccmixirerce PoLingen jusqu'à Radziwilow, achta ; second rang le la l'Allemagne Prusse,. la de tient et le Russsie terre est l'Autriche depuis et ax^ec par la Chine par Ki- commerce avec Chiwa et la Fueharic, avec la Moldavie, la Walachie et la Bessarabie; le commerce le moins considérable est celui avec la Perse et avec la Suède. Et sur ces différentes routes de commerce la toutes Russie perdoit énormément pendant car terme raoyen. de tandis que le 18,017,408' r. moyen que de 7,39L,74l cette L'importation connue l'exportation Et comme i"- période triste nionioit n' étoit les terme frontières par sont beaucoup plus difficiles à garder contre les con- ^erre trebandiers que les ports de mer, surtout sur une si à a- énorme que celle depuis on peut tation la Finlande jusqu'à la étendtie Chine, bien sûr, que Timportation surpassoii l'expor- être an moins de deux, tiers. Les plus grandes variations du commerce se présentent ài l'importation dan.s^ le commerce avec la Prusse, l'Allemag- ne et rAutriche, car de 10 à 11 millions il tomboit Tout d'uni coup le à à 3, les circonstances politiques en étoient la cause^. commerce avec la Rusbie , s'est la Chine, quoique toujours défavorable mieux soutenu. 82 1 Mais nous allons tableau pour le facilemeut : il3 un coup d'oeil comparer au premier, derniers résultats, et contient jetter 11 est d'en liier les compose d'après une autre forme moins de détails que s'orienter. afin sur le second le premier, mais on peut Elle n'ci merce par pas augmenté sur toutes les routes du' comce n'est que sur la route par les frontiè- terre, d'Europe qu'on trouve ce surplus énorme, partout res ail- leurs l'importation surpasse l'exportation, pourtant l'exportation par les frontières asiatiques et par Kiachta a infi- d'où s'ensuit qu'à cet égard les deux niment gagnée, il tableaux portent le même caractère,' savoir: la Russie perd jusqu'aprésent dans son commerce par les frontières asiatiques et avec la Perse et la mais elle gagne par celui Chine ; qu'elle fait par ses frontières d'Europe. En comparant le commerce par terre de la Pvussie , mer par et le commerce trouvons les données sui- nous vantes : Commerce par mer. depuis ^ à terme 1802 — 1807 depuis moyen par année Importation à R 33,506,643 1 î 55,623,024 , 87,713405 Commerce par 18,0174081 7,391,741 ! — 18 15 • terme moyen par année Importation Exportation j 1812 Exportation ; e s 135,836,141 terre. 17,999-^95 35,252,244 823 L' cxpoitiition dans son toujours été favorable commerce par mer, elle ne l'étoit pas dans la a à la Russie période précédente pour le commerce par terre. Dans à celui dernière première période le commerce par terre la comme mer par comme l à 4 et environ dans la 5j quelque chose de plus. et Le commerce par mer non seulement est le plus con- de la Russie , mais toutes les périodes elle y a gagnée plus ou moins. sidérable dans à 3 i étoii Le commerce par terre est il est aussi le plus lucratif; seulement favorable à la Russie par les routes, qui mènent par ses frontières européennes, dans mais par terre T état lui est actuel des choses tout autre commerce indispensable à la vérité, mais toujours plus ou moins défavorable. Les principales marchandises qui occupent ce commerenviron -24 articles parmis lesquels ce sont le lin le bled, le suif et le bois sont les principales en pjemiè- res matières; les toiles, et goudron , le la chanvre avec le fer, cire, le d' exportation^ leurs semailles et leur huile, les cuirs, la potasse, je savon, les cordages et les pelleteries étoient les objrts les plus considérables pour le en produits de manufactures et fabriques. commerce 824 y Il a plus de 32 arîklcs d'unportatlon parmis lesquels de bouche, surtout le sucre, les provisions vin , premières les produits le café et le matières pour les manufactures et les manufactures étrangères sont les plus remar- des quables. Dans toutes ces les tableaux russes sur le commerce on divise marchandises en ordinairement provisions bouche, en métaux, en premières matières pour factures , en produits des manufactures , en bestiaux , en diamans, et tout le reste est compris sous le de différentes marchandises. Dans titre général ces derniers tems encore distingué les drogues dont on se sert pour la on a mé- étoient autrefois comprises sous le titre de pre- decine, ils mières matières. nous de manu- les Pour ne pas entrer en trop de détails, nous bornerons aux termes moyens ])our la première période. IMarchand ses 825 L'importation et raillions des provisions 1 7 et demi, l'exportation de 5 million's demi à de bouche varioit de en 1807 a 21,9-00,000 en i8o5, elle que tandis l'importation ctoit très variable, autour de i6 toujours tonrnoit 14 millions. L'importation en mèiaux et demî-mètaux tomboit de ir millions 800,000 portation varioit de 4 beaucoup. et niilîions i8o3, en r. demi, et puis elle remonta à millions en 1804, l'ex- 7 1802 Elle étoit en 1804 à en l million 3 raillions et demi , à i8o3 et 900,000, le transit de ces marchandises est très considérable. Les premières imponées en i8o5 et en ]8o3 pour 1804. des principales en et 1806 10 pour matières pour millions. sources de les pour 1807 12 la cxportoit de 89 à de suif etc. Mais presque tion des II n'y quant le a 40 furent millions, 8 en 1802 en et en est une richesse de la Russie ; les millions, Mais leur exportation l8o3 meilleures années étoient celles de l'on mamifactures et de 1804» où millions de lin et de chanvre, pas eu d'année absolument mauvaise. aux mamifactures, double de l'exportation. manufactures Mémtirrs de rAcad. T. 11. étrangères l'importation En i8o2 passoit 1 7 ^^^ faisoit l'importamillions et 826 demi, elle exportation qu'elle 1807 tomba en en Le 6,800,000. 8 millions et demi. mieux soutenue, s'est étoit à 1802, Le commerce en n'a baissé article est elle de cet transit de car bestiaux est en Notre 7,800,000 r. en 1807 qu'à très considérable. faveur de la Russie. La plus forte importation pendant les années i8o3 et 1806 étoit de 8 a 900,000 r. la moindre en 1802 de 700,000, mais notre exportation passoit souvent million et 1 demi. L'importation en diomans a été peu considéra bb, elle a variée des de 200 r. en 1807 a 61,260 perles fines étoit r. plus considérable, en en l8o5 elle montoit presque à un million. eu d'exportation de ces articles, 1806, celle car en Il 1804 et n'y a pas mais bien du transit pour les perles fines. Le poïtant. titre de différentes marchandises n' étoit pas im- 8c7 Voici le tableau sur la seconde période. 8,2 8 Ce tableau contient tant de phénomènes extraordinaires, si que ce à l'intérêt qu'il peut inspirer, tort fdire seroit comme vouloit en extraire les termes moyens l'on dans la première période. ctoit possible Parmis importent provisions de bouche les le sucre, que les étrangers notjy café et le vin tiennent le premier le lang, parmis celles que nous exportons, les bleds. les étoient elles tombées, 1813,. baissa un cha sie que l'importation monta de 16 mildoubla presque encore une 35 en 1812^. il 181 5 en peu,, mais se releva nouveau de 60 de consommé seule a presque ce qui en est la première déjà l'année que, d' une sorti il tation qui est et s'appro- bientôt, Et la Rus- millions. toutes ces marchandises, car nos voisins étoient suivante si bien pourvu,, masse énorme de la valeur de 62 étoit également sorti de que pour i25,8oir. de étoient millions et Notre expor^ 12 millions, année commune, monta 34 un avantage décidé à besoins en bien peu de chose, ce n'étoit que tout d'un coup presque à sez fois année que le Transit approcha dé 2 millions^ n'en est demi, A peine système continental entouroit l'Europe^ barières, dont le lions cela grands , 3 à "7 millions, 33 millions. cet de article, et et se soutenoit as- Les étrangers ont il paroit que no» même que pour les drogues 8^29 médicinales, 2 millions, qui entrent ordinairement pour la valeur de et nous en exportons environ pour un demi les métaux que nous million. Parmis exportons-, c'est surtout notre fer qui doit nous donner l'avantage dans la balance du commerce. tombée dans Cette période passée jusqu'à 3 la nous importait tranger Le demi -métaux. en de commerce branche fer, lions en fer nous avons deux fois nous a Ce autant en plomb et en reconquis notre commerce commencé par exporter pour 6 1812,. et nous avons demi en i8i5. ëtoit millions et demi, et l'é- fini résultat est mil- par en exporter 12 et pour nous d'autanfi plus satisfaisant, que l'importation étrangère a considérablement baissé, elle est tombée de 9 mi, et presque 2 en raillions demi à 3 et de- 1814. Nos premières matières pour toujours et les manufactures avoient un avantage décidé même dans la période ou le commerce languissoit, plus, et nous avons conservé notre prépondérance dans cette dernière période nous exportions toujours d'un commerce florissant. trois fois De 37 millions et demi, que nous exportions de cet article, Texportation est l'importation montée presque à 58 et demi. ctrangcrc Mais aussi a con^idéiablement augmentée ^ vui 830 les établies, 22 et de croissans besoins s'est elle nos élevée de inanufactniçs rauvcllem<-iH lo millions demi jusqu'à et demi, et mcine jusqu'au delà de g8 ir.illions en i8l3. Preuve certaine de que de de nos manufactures ^ l'aciivc c'est millions que nous en exportions, nous sommes "i parvenus à en exporter pour plus que 16, en conire l'im- et demi beaucoup diminuée, étrangère a portation elle est tombée à 11, à 10 commerce Le en bestiaux intéressant dans cette période, est et de i3 millions même à 5 millions. devenu un article si que d'un million nous som- mes parvenus à vendre en i8i5 pour 6 millions et demi. Mais de l'article toutes les le plus remarquable marchandises , qui ne amalgame est cet sont pas comprises sous les titres précédens, j'entends les diverses marchandises. Il plus n'existoit pour vient de s'élever à la rapidité avec demi, la s iltat, est où il éioit, à "/S, passé exportation somme étonnante de pi millions et dire, et laquelle nous avons obtenu ce re- incroyable; cet article remonte presque de zéro, à 35 millions, augmente jusqu'à 44» parvient et arrive enfin de notre ainsi beaucoup à 91, de manière qu'il a l'article le même sur- plus brilLint de notre ex- portation, celui de premières matières pour les manufacture?. L'impoiiation a aussi fait des progrès, elle est parvenue 4 S3i 20 millions, rrrnis elle est bien loin de la somme, pour laquelle nous en avons expoiL^. Le dernier résultat de ce tableau intéressant, est quj nous avons l'avantage sur l'étranger sous tous les rapports, excepté à que les l'article tableaux des provisions de bouche, et sur les années de 1816 et peut-être 1817 nous donnerons» encOre l'avantage à cet égard, vu l'énorme quan- de bled que nous venons d'exporter. tité Il rons la nous reste pour la à parler du Transit que nouô marque- première période par terme moyen, mais pour seconde par année, à cause des changemens considéra- blés que ce genre de commerce vient d'essuyer. Marchandises 832 Le commerce de transit en général a beaucoup baissé. Ce n'est titre à pas des pi'ovisions de bouche et au l'article des diverses marchandises que ce déficit se manifeste, au contraire le transit a gagné sur ces marchandises, mais c'est le commerce en métaux et dèmi-métaux qui a entiè- rement cessé, et nous devons nous en féliciter, puis qu'il paroît que nous pourvoyons nos voisins en Asie des pro- duits de nos propres fabriques: de même l'article des ma- nufactures étrangères a beaucoup perdu en partie, puisque nos manufactures pouvoient plus fournir, mais surtout puis- que le commerce de transit des draps de Prusse étoit in- terrompu, et comme cette branche de commerce vient d'être relevée , il y a lieu de croire , que cet article déviendra plus important dans, la suite. La de ville Pètershourg St. comme premier entrepôt du commerce étranger particulièfe. Nous. allons considérer de la Russie, meriie une «attention . i wnerce dans les STinées deux périodes. le total de son corn- S33 que l'importation de en résulte, Il St. Pétersbourg a presque triplée dans la dernière période, et que l'exporta- que doublée, c'est à dire qu'elle se rapporte com- tion a plus ine par terie à terme la première période moyen: importation pour 5i,52 7,o5ir. en ayant été de eu a un environ et tiers 63,014,766 r. St. i, St Péters- l'exportation Pétersbourg en a fait un et | environ. Dans la mer ayant été dans par et bourg tiers Le total du commerce de la Russie à 2| environ. 1 la moitié et dernière période St, Pétersbourg a eu presque | de l'importation et un tiers et environ | de l'exportation. St. Pétersbourg a donc ordinairement plus d'un du Commerce étranger de s'est assez bien soutenue dans les èi(mcim,Ul'A(ad. T.VL la Russie , et tiers cette proportion deux périodes. 105 834 Les piiiicipales mara terme moyen pour les Marchandises 1802 années en 1812 — 1807 Importât. ;Exportationi Importation tCxportatior. R Provisions de bouche 7,601,576 Pour la médecine Métaux et demi-métaux 1,704,003 u - 709,72610,461,708 4,243,64s 2,627,588 1,914,110 2,541,67'? premières matières pour les manufactures Manufactures bestiaux Diamans 5,618,76921,517,03218.437.31745,517,321 5,942,162 4,858,545 57,329 et 2,946 perles fines 18,644 Diverses marchandises 69,947 8,376,553 6,62.5,654 337 35 1,900 58,872 19, 295j 8,205 c 11 a n d 836 En compamnt l'importation et l'exportation de St. Pé- tersbourg, pendant la dernière période avec celle du com- merce de la Russie en général, nous trouvons que le com- merce de St. Pétersbourg, quant à l'importation,, roule sur- tout sur les provisions de bouche, par lesquelles on doit entendre sur tout le sucre, le café et les vins, et puis sur les manufactures et diverses marchandises étrangères. Les prin- cipaux pour les articles d'exportation manufactures, de sont une année de stagnation pour L'année les années suivantes, 1812 matières étoit la plupart des commerce, à l'exception du lin pendant premières même que les manufactures et diverses marchandises russes. son les le et articles de du chanvre, mais commerce de }?ourg a repris son cours ordinaire. encore St. Péters- 'Jle moire j- de 7\ CcaP. J//^ip c4v- ydenoej- S^me /V. :/a & i<7. . tt. J. i/HeTooizes i/e' <f' ytcaPemie t^mp. des fc ^me VI. &ai. /// <^i^. 2. .M'mo/r^s i/e 6-' <yîcaû( <y7/i^. c/eo- ,^€. Sa /ne VI ^/ab.IV. \%^'- fv- . ^« if-Of/: -il' 'V 'ïi ' <•' _ ' ~i^./ Jrro nnj aa i/iJ. eciyiuJnyUê-i ^l(0<J/J/^//f. Cl(0(J^^ //jCit/gc. <U/A„.ur.„ ^^\L^r.X:/i.j„,... £>.. ..,f,£^,^n y.' .Th.k'ô /r ^'//u:///S J/. /ara./c-m,^ J^ Jr r.i/: /. 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